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Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. Si tu savais ce que je pense du SAS britannique, Mat... :lol:
  2. En fait la matériel du 13 est assez limité pour des FS : Famas parce que c'est standard, SIG 551 parce que c'est amphibie, MP5SD parce que c'est silencieux... Mais ils n'ont pas de G3, de snipers ou autre truc de ce genre car leur mission ne vise pas à l'action.
  3. Il y a des M4 au 13e RDP ? Je me souviens seulement de Famas, SIG 551, MP5SD...
  4. Sur la vidéo, je n'ai pas réussi à voir de tels détails. A quel moment tu arrives à voir les marquages du sélecteur ? Quand ils attendent devant la porte, la qualité est tellement pourrave qu'il m'a semblé voir un tube récupérateur au-dessus du canon, du coup je me suis demandé si ce n'était pas une kalash modifiée comme on en a vu dans l'ANA. Le seul moment où je suis sûr, c'est lors de l'investigation, quand le gars regarde en l'air, à cause du type de crosse. Et à 0:53, il y a un plan très court où on peut voir la crosse HK416. Il y en avait aussi dans les GCP, au 1er RPIMa, mais il se peut que ne soit plus le cas
  5. Rob1

    Weapons Quiz

    Sako = la marque TRG-42 = le modèle 338 = le calibre ;)
  6. Dur de dire si ce sont des HK416 ou des M4, je trouve.
  7. Rob1

    Weapons Quiz

    Le chargeur fait trop petit pour du 7,62 mm. Et les SR-25 / Mk 11 / M110 n'ont pas de "forward assist" (l'espèce de bouton-pression à l'arrière, sous le levier d'armement)
  8. Rob1

    Ici on cause fusil

    Sur le F2000, c'est surtout parce que c'est un "bullpup" : s'il éjecte vers la gauche, le tireur se prend la douille dans la figure, s'il éjecte vers la droite, pareil lorsque le tireur est gaucher ou épaule à gauche (par exemple en CQB pour entrer dans couloir à droite). Ca évite aussi de balancer les douilles dans la figure d'un copain à côté.
  9. Rob1

    Ici on cause fusil

    La plupart des poignées d'armement sont solidaires des culasses, et reculent donc avec elle. Parmi les exceptions, la famille M16.
  10. J'ai récemment décidé de me mettre à faire des fiches de mes lectures, alors voici ma première. J'ai essayé d'y noter le maximum de noms de codes d'opérations pour faciliter les recherches, c'est pour cela aussi qu'il y a parfois des références à des pages précises. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques sur ce qui est bien, ce qu'il faudrait améliorer, ce qui manque... Références du livre : Sherry Sontag et Christopher Drew, Guerre froide sous les mers : l'histoire extraordinaire des sous-marins espions américains (trad. de Blind Man's Bluff: The Untold Story of American Submarine Espionage, 1998), Marines éditions, Rennes, 2004 ISBN 2-915379-15-7, 978-2-915379-15-0 487 pages, cahier photos (45 photos noir & blanc) (je note qu'à l'intérieur du livre, le sous-titre est légèrement différent : l'histoire méconnue des sous-marins espions américains. Il y a aussi un troisième co-auteur non crédité sur la couverture, Annette Lawrence Drew) Résumé par chapitre : Chapitre 1 « Un début meurtrier » : En 1948, les Américains envoient les sous-marins USS Seadog et USS Blackfin, équipés tant bien que mal d'équipements d'écoute électronique, en patrouille de renseignement en mer de Béring. En 1949, L’USS Cochino (SS-345), équipé de schnorkel, est envoyé pour une mission d’écoute longue durée en mer de Barents (opération Kayo). Récit détaillé de son naufrage (causes accidentelles). Chapitre 2 « Whisky à gogo » : lors d'une patrouille de reconnaissance en 1957, l'USS Gudgeon (SS-567) est repéré par des destroyers soviétiques et poursuivi jusqu'à ce que, à cours d'air, il soit forcé de faire surface. L'USS Wahoo (SS-165) est surpris au large d'une côte soviétique début 1958. En réaction, les Américains cherchent à faire de même aux Soviétiques. En mai 1959, l'USS Grenadier parvient à forcer un sous-marin Zulu à faire surface au large de l'Islande. En conséquence, les Américains s'orientent vers les sous-marins nucléaires, capables de rester en plongée presque indéfiniment. A la fin des années 60, un tel sous-marin, l'USS Skipjack, pénètre dans le chenal de Mourmansk (p.71). Chapitre 3 « Plongée profonde » : suite au naufrage accidentel de l'USS Thresher, l'US Navy lance un projet de véhicules de plongée profonde dirigé par John Craven. Programmes Deep Submergence Search Vehicle (DSSV), SEALAB. Evocation des missions d’écoute et surveillance des bâtiments russes (opérations Binnacle/Holystone), USS Scamp, Ronquil et Trumpetfish traqués, évacuation clandestine de Cubains (p.82). Le programme « plongée profonde » débouche sur des recherches d'objets à grande profondeur (opération Sand Dollar), la conversion de l'USS Halibut et la construction du mini-sous-marin NR-1. Recherche d'une bombe H perdue en Méditerranée par un B-52. Chapitre 4 « Poing de velours » : Premières campagnes infructueuses de recherche de débris de missiles soviétiques par le Halibut (opération Winterwind). Découverte de la perte du sous-main K129 : rôle de l’USS Barb, antennes ELINT type Wullenweber (115), recherches par l'USS Halibut (classification Velvet Fist). Chapitre 5 « Mort d'un sous-marin » : chapitre sur le naufrage et la recherche de l'USS Scorpion. Reprend principalement la thèse de l’explosion de torpille accidentelle de John Craven. Chapitre 6 « La ballade de Whitey Mack » : Le « sport » des années 60 est la découverte et la poursuite de nouveaux sous-marins soviétiques. Parmi les chasseurs les plus les réputés, USS Dace, Ray, Greenling. Britanniques agressifs (p.181). Récit détaillé de la traque d'un Yankee pendant 47 jours par l'USS Lapon, récompensé par une Presidential Unit Citation. Chapitre 7 « Le voilà... » : Les traques entraînent des collisions. Mention de l'USS Gato - K19. Récit détaillé de la collision de l’USS Tautog avec le K-108 en 1970. Le sous-marin soviétique fut cru perdu par les Américains, et Nixon garda la chose secrète. Chapitre 8 « Et bien, allons-y pour Oshskosh » : Premières opérations d'écoutes des câbles sous-marins en mer d’Okhotsk par le USS Halibut (opération Ivy Bells) en 1972. L’Halibut, secoué, doit se poser sur le fond. Ultérieurement, il sera équipé de « skis » pour ce genre de manœuvre. Chapitre 9 « Le château de sable à 500 millions de dollars » : tentative de la CIA de remonter secrètement l’épave du K-129 (projet Jennifer). Enquête de la commission sénatoriale Pike sur les activités de renseignement sous-marin. Opérations d'écoutes par l'USS Seawolf 1976-1977. Chapitre 10 « Triomphe et crise » : poursuite des opérations Ivy Bells, extension à la mer de Barents sous la présidence Carter. Implication de l’USS Parche en mer d’Oshkosh en 1978, et premier branchement en mer de Barents en 1979. Echouage de l’USS Seawolf en mer d’Oshkosh fin 1981. Chapitre 11 « Les joyaux de la couronne » : suites des opérations d’écoute (opérations Manta, Acetone). Compromission d’Ivy Bells. Déplacement des confrontations vers l'Arctique. Mission « endurance » du Parche de 1982 (passage par le pôle Sud pour entrer dans la mer de Barents, mission de 137 jours). Tensions de la remontée de la guerre Froide de 1983. Mission de l’USS Parche en 1984, enregistrements concernant les tensions de 1983 surnommés « Les joyaux de la couronne ». Affaires Walker et Pelton. Missions du Seawolf et du NR-1 en Méditerranée en 1986. Mission du Parche 1986, repéré, parvient à fuir grâce à une diversion de l’USS Finback. Chapitre 12 « Fait confiance, mais vérifie » : quelques réflexions sur la fin de la guerre froide et son impact sur les missions de renseignement sous-marin. Commentaire : Toute personne qui s'intéresse au monde du renseignement devrait avoir lu ce livre, éclairage rare, très bon et bourré de scoops sur la collecte du renseignement sous-marin, même s'il commence à dater (1998 pour la VO). Il y a un peu trop « d'étoffage » des récits à mon goût, qui alourdit un peu inutilement l'ensemble, mais le fond de livre compense largement ces défauts. Il est aussi dommage que beaucoup d’informations courtes mais intéressantes soient perdues dans la parties des références. Globalement, très bon, un seul véritable regret sur le fond, c’est la reprise au chapitre 11 des affirmations d’Oleg Gordievsky sur « Able Archer ». Dommage que les auteurs n’aient pas eu connaissance de la monographie de la CIA A Cold War Conundrum: The 1983 Soviet War Scare qui a recherché le même sujet. EDIT : une autre chose qui fait tiquer, c'est une courte phrase qui dit que le K-129 aurait atteint le fond de l'océan en coulant à une vitesse de 100 noeuds (p.125), je doute qu'un sous-marin puisse atteindre cette vitesse, même totalement rempli d'eau. Quelques regrets au niveau de la traduction : il y a quelques fautes de frappe, et je n’aime pas les choix de ne pas mettre de point après les initiales, et de traduire les titres d’ouvrage de la bibliographie (cela compliquerait la recherche plus qu’autre chose). On notera que ce livre a démarré un genre à part entière que l’on pourrait appeler « real-life Hunt for Red October genre », vu le nombre d’ouvrages sur des thèmes similaires publiés dans les années suivantes (The Silent War de John P. Craven, Red November de W. Craig Reed, Stalking the Red Bear de Peter Sasgen, Rising Tide de Gary E. Weir…) où on doit sans doute trouver le pire comme le meilleur.
  11. Rob1

    Weapons Quiz

    Heu... un truc sur base de M16, mais à part ca... Mk 12 SPR ?
  12. Visiblement, il y a une espèce de groupe de forces spéciales qui ne veut pas dire son nom et qui est absent des organigrammes (logique s'il n'est pas sous les ordres de la CJSOTF-A mais des Battle Group français). Entre les gars du 13, les "gendarmes spécialistes des arrestations délicates", le détachement du 1er RPIMa envoyé fin 2009 pour mission non-précisée et la probable présence du service action de la DGSE, il y a de quoi faire.
  13. Ouais, arme d'assassin. Et avec une balle en plomb mou, les experts de Miami peuvent aller se brosser. O0
  14. Il paraît que c'est vachement efficace côté bruit, et c'est nettement plus compact qu'une arme avec silencieux. Mais ca ne doit pas avoir un recul idéal pour une arme automatique ni même semi-auto. Les premiers pistolets de ce genre étaient à rechargement manuel (S4M, MSP). La vitesse initale pour le MSP serait d'environ 200 m/s. Voir les pistolets S4M, MSP et PSS sur http://world.guns.ru/handguns-e.html Bref, c'est plutôt fait pour éliminer une sentinelle d'une seule balle dans la tête à 10 mètres de distance, pas pour s'engager dans une fusillade.
  15. Rob1

    Air quiz

    Focke-Wulf 189, mais j'ignorais qu'il avait été équipé de radar (chasse nocturne ?)
  16. Rob1

    Weapons Quiz

    Le pistolet, c'est un truc des années 20 qui était surnommé le "Liliput". Le pompe, je coince, le bloc qui se "réduit" à la hauteur de la culasse est assez particulier.
  17. Rob1

    Weapons Quiz

    Pour le fusil à pompe, un Mossberg 500 ?
  18. Ca nous fait donc des MAG 58 sur tourelleau Wasp (pour VBL ou ou PVP ?) et sur les Caracals. Y'en a-t-il d'autres que j'oublie ?
  19. Vu ce qu'il y a sur le site d'où ca vient, je dirais plutôt que c'est du Russe.
  20. Pour les pseudos-viols des tirailleurs coloniaux, un copain m'a dit que ca pourrait venir de l'occupation de la Rhénanie de 1918 à 1930. Des Allemandes dans le "besoin" (pauvreté de l'après-guerre) pourraient avoir couché avec des tirailleurs coloniaux, causant évidemment la naissance d'un certain nombre de métis, qu'il aurait été très commode de désigner comme le fruit de viols commis par des sauvages. Est-ce que cette version est crédible ?
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