Ce qui me semble intéressant dans le cas polonais, c'est la remise à "sa place" du Rosomak par l'arrivée de l'Anders. En effet, dans cette longue discution sur les vertus de la roue et du VBCI, nombreux sont ceux qui s'appuient sur le cas polonais pour dire "la France a raison, regardez les polonais ils ont de la roue." l'AMV Rosomak surclasse le BWP-1 (sauf peut être en pure franchissement), or le BWP-1 est remplacé par l'Anders. Le point dure polonais n'est donc pas le Rosomak comme l'est le VBCI pour la France.