Joab

Dans ce cas, ils viendront vivre dans le Golan comme les druzes. Et à ma conséquence, les chiites n'ont pas disparu la ou il y a une majaorité sunnite au pouvoir (Arabie Saoudite ou Empire Ottoman historiquement) et les sunnites n'ont pas disparu la ou une majorité chiite est au pouvoir (Iran acteuel par exemple) meme si dans les deux cas, le sort n'est jamais enviable. Par ailleurs, on n'en est pas la, les sunnites ne parviennent pas controler une ville dans un pays ou ils sont largement majoritaire, alors de la a controler les montagnes alaouites...

Le decret date de 28. Peu ont été assez fou pour quitter Moscou, Leningrad, Kiev ou Minsk de leur plein gré pour s'installer quelque part entre Sibérie ou steppe mongole. Pour la Russie soviétique, je ne sais pas, pour la république soviétique d'Ukraine, les Juifs y étaient une minorité nationale dès 1919. Meme chose en Bielorussie, le Yiddish y était meme langue officielle jusqu'à la guerre. Pour l'Ukraine, c'est toujours le cas et c'est aussi le cas en Roumanie, Lituanie et Estonie. Je ne sais pas comment la législation russe a evolué sur le sujet mais j'ai vu de mes yeux un extrait de naissance avec la mention "ivreï" (Juif) datant des de la fin des années 80 pour une fille née à Moscou. Et qu'ils ne vivent pas au Birobidjan ne change rien au fait qu'ils étaient considérés comme une minorité nationale, après tout tous les ukrainiens ne vivent pas en Ukraine, tous les russes ne vivent pas en Russie...etc Je sais que c'est bizarre et aberrant selon le modèle républicain et assimilateur français (que je respecte beaucoup) mais en Europe de l'Est, la situation était très très différente, on dissociait nationalité et citoyenneté et la nationalité était souvent indissociable de l'origine ethno religieuse et de la langue (Yiddish pour les Juifs).

En union soviétique, dans la Pologne de l'entre deux guerre ou dans l'ukraine actuelle, les juifs sont considérés comme une minorité nationale. Y a même un oblast qui est leur est destiné, celui du birobijan. Par contre, ce n'est pas la liste des premiers commissaires aux peuples.

A ma connaissance, le seul commissaire au peuple qui était de "nationalité juive" en 18 etait Trotski. Lui seul ne fait pas 50% non? Et il y avait certainement beaucoup plus de juifs orthodoxes anti revolutionnaires et de Juifs dans chez les socio démocrates et mencheviks que de juifs bolchéviks (et eux ont très mal fini après la révolution, comme tous les opposants quelque soit leur origine ethno-religieuse).

En parlant d'antisémitisme, les dernieres perles nous viennent malheureusement d'Iran, le vice président iranien déclare lors d'une conférence internationale contre la drogue que le juifs sont responsables du trafic de drogue dans le monde pour détruire les non-juifs comme le leur enseigne le talmud, qu'il payerait pour qu'on lui montre un "sioniste" accro aux drogues, "ça n'éxiste pas" preuve que c'est les "sionistes" qui sont derrière le trafic de drogue (perso, si j'aimerais bien l'inviter dans un centre de désintoxication en Israel s'il me payait vraiment). Ca, plus es gynécologues sionistes qui tuent des bébés noirs et les sionistes résponsables de la révolution russe. http://www.nytimes.com/2012/06/27/world/middleeast/irans-vice-president-rahimi-makes-anti-semitic-speech.html

Y a un bobo israélien qui pensait que la révolution place tahrir, c'était trop cool: Il a été arreté pour "espionnage" et echangé contre des prisonniers egyptiens en Israel.

Ceux qui sont avec Israel ou avec les palestiniens (on pourrait etre avec les deux mais bon) le sont parce que c'est leur interet de l'etre, qu'Israel réoccupe Gaza ou pas n'a pas grand chose à voir avec les positions des différents pays.

Rien que sur l'helicoptere après le crash, on aurait déja recupéré le pilote non

Le texte dit: "Nous étions dans la plage de Wadi Qandil, nous avons vu une centaine de metres au dessus de l'eau... l'avions était lent, nous avons cru a un avion de transport... il se dirigeait vers le sud puis a viré vers l'ouest, puis le tir a commencé, l'avion n'a pas explosé mais est tombé... puis un hélicoptère est venu, vive notre défense anti aérienne". J'ai vu la video y déja deux jours, et j'étais déja plus que sceptique.

En Israel on a toujours étudié ça comme un evenement historique, si en France vous l'apprenez a l'eglise quelque part entre la traversée de la mer rouge et la résurrection du christ, je comprends ta réaction. C'est pas forcément une bonne idée que je continue d'intervenir dans un sujet comme celui la.²

Pour la Hongrie de Horty, si je ne dis pas de betises, c'est le premier pays européen a avoir voté des lois antisémites depuis la chute de la Russie tzariste (dès les années 20), à une époque ou Hitler n'était qu'un petit agitateur. Alors faire croire, sur ce dossier au moins, qu'il n'a fait qui suivre les nazis est faux. Après en tant qu'israéliens, je n'en ai rien a foutre, l'état hongrois est souverain et honore qui il veut, du moment qu'aucun juif n'est plus sa merci... Y a surout le fait que les états communistes avaient des relations execrables avec Israel, au point de gommer la dimension antisémite du génocide et meme de soutenir que les "sionistes" étaient réponsables de la Shoah (thèse soutenue entre autre par un certain Mahmoud Abbas lorsqu'il était étudiant en Union Soviétique). Et puis qui a dit que les morts tziganes, russes, bielorusses, ukrainiens ou polonais (dans le sens ethno linguistique) sont moins importants? Qui empeche la commémoration de ces morts? Et puis si on aime les chiffres, on n'a qu'a comparer d'un coté la pourcentage de juifs de Russie ou de tziganes morts au pourcentage de russes ethniques par exemple dans les territoires occupés, meme chose pour la l'Ukraine, la Lituanie ou la Bieolorussie pour déduire qui était prioritaire comme cible du grand nettoyage ethnique (ce qui ne signifie pas que les victimes juives ou tziganes était moralement plus vertueuses, plus innocentes ou plus importantes, juste plus prioriataires et plus vulnérables vu que souvent apatrides selon les normes est européeennes, et d'autres) et d'autres ethnies étaient sur la liste de la solution finale. Qui a dit une chose pareille? Je ne connais pas ton père mais c'est pour son pays qu'il a du se battre non?

Pas du tout. Les bundiste et les ultra orthodoxes anti sionistes sont eux aussi d'accord avec ce posutulat, c'est sur ce qu'il fallait faire en partant du fait que les Juifs sont un peuple qu'il n'étaient pas d'accord. Pour les uns, il fallait un état souverain et indépendant au Proche Orient, pour les autres une autonomie politique et culturelle dans le cadre de pays démocratiques et pour les ultra orthodoxes, continuer à vivre dans un ghetto en attendant un miracle ou un truc dans le genre (et ils continuent un vivre dans des ghetto à Jerusalem ou Kiryat Joel dans l'état de New York). Mais je ne pense pas que ça va durer du moins, aux Etats Unis ou il y aura d'un coté, des communautés insulaires ultra orthodoxes et de l'autre, une assimilation totale, et c'est ce qui était en train d'arriver en Allemagne avant les années 30. Aucune idée, et j'aimerais bien que le sujet passe a autre chose, je sais pas moi du genre les tziganes ou les homosexuels. Je ne suis pas bien placé pour parler des communautés juives d'Europe mais aux Etats Unis, la communauté juive est réputée pour etre politiquement "liberal".

Les ashkenazes sont génétiquement plus proches des sefarades et des mediterranéens en general (leur plus poche cousins sont les italiens, les grecs et les espagnols) que de leurs ex-voisins polonais, bielorusses, ukrainiens ou lithuaniens (ce qui rend la theorie khazare peu defendue de nos jours). Il existe une identité juive indépendante de la croyance religieuse (meme si je ne pense pas que cette identité se maintiendra hors d'Israel sur le long terme) et la Loi juive ne distingue pas l'identité filiale de l'identité religieuse (il n'existait pas de mot hébreu pour dire "religion", on a pris un mot perse), il y a aussi souvent une proximité génétique à cause des réstrictions sur le mariage dans la loi juive, ce qui par ailleurs explique le "marqueur génétique Cohen" (les Cohen ont des regles de mariage différentes des autres Juifs). Mais au final, il y a eu suffisamment de "sang neuf" (conversion) et d'assimilation (des juifs qui ont fini par s'identifier totalement au nations de leur pays, dont la descendance n'est pas juive) pour qu'au final; il y ait des juifs de toutes les couleurs, c'est la meilleure chose qui nous soit arrivée dans notre histoire et ce n'est pas spécialement nouveau. Par ailleurs, il y a un courant israélite qui n'a jamais accepté les conversions et qui ne les accepte pas (les samaritains, héritiers des tribus israélites du Nord), ils ne sont plus que un millier et c'est la population au monde la plus uniforme du point du vue génétique. Pour éviter les mantendus, quand je parle d'assimilation, il n'a aucun jugement de valeur la-dedans, juste un fait. Les juifs "blancs" d'Inde sont originaires d'Irak (souvent de Baghdad par ailleurs) ou d'Iran dont le general Jacob, une partie de ma famille à vecu en Inde au 19 eme siecle. Les Falasha sont probablement des auto convertis, contrairement aux autres communautés, ils ne se sont pas convertis par contact avec des immigrants juifs mais juste par lecture de l'Ancien Testament, pour cette raison ils ne connaissaient ni l'hébreu, ni la littérature rabbinique (Talmud) ni mème l'Ancien Testament en hébreu. C'est un cas atypique.

Une menace éxistentielle sur le front sud était éxclue meme au cours des evenements pour une raison simple, entre le canal de Suez et la premiere grande ville israélienne (Beer Sheva) il y avant une marge énorme. Au nord, c'était déja beaucoup moins vrai mais on pensais d'abord et surtout a créer une ligne de défense en Galilée au cas ou le Golan cédèrait entièrement (ce qui n'est pas arrivé). Les armes nucléaires étaient surtout dirigée vers.... les Etats Unis qu'on voulait contraindre au plus tot à lancer le pont aérien alors que Kissinger et Nixon prenaient tous leur temps.

Pour parler de nucleaire, il aurait fallu que les arabes menacent l'existence meme de l'état d'Israel, ce qui n'a jamais été le cas dans leur plans et sur le terrain, les egyptiens ne sont pas allé plus loin que la bande de terre autour du canal et les syriens ont échoué a prendre le controle du Golan. A aucun moment, le territoire israélien n'a été menacé d'invasion. La question que je me pose toujours, c'est pourqui est ce que les syriens se sont arretés avant les lignes de 49-67? Leur logistique était elle mal au point après la première poussée? Combats de la vallée des larmes? Inferiorité aérienne hors de la zone couverte par les atteries fixes? Et puis comment leur artillerie a été aussi peu efficace?

Tel que je vois les choses, il n'y a que des coups a prendre au Liban pour la FINUL. Que peut faire le contingent si un IED revendiqué par un groupe armé totalement inconnu (un prète nom a des services) fait rentrer des soldats dans un brancard ou un cercueil?

A charge, il y avait le fameux rapport psychologique de l'OSS en 44 qui en faisait un impuissant, un homosexuel refoulé et un descendant de la famille Rothschild alors qu'en fin de compte, le gars était globalement d'une banalité effrayante pour un type qui a fait couler tant de sang.

Je ne sais si tu connais l'identité de l'officier qui a intercédé en sa faveur pour sa foutue médaille... http://en.wikipedia.org/wiki/Hugo_Gutmann Rien que ça, ça en dit beaucoup sur sa loyauté et son esprit chevaleresque.

Pas vraiment, en fait l'opposition voulait virer le candidat de l'ancien régime (Shafiq) par une décision de l'assemblée, le conseil militaire la cours constitutionnelle le maintient et suspend l'assemblée. La démocratie, c'est pas pour tout de suite.

Le parlement egyptien vient d'etre dissous par le conseil constitutionnel et la loi qui interdit au anciens du pouvoir de faire de la politique déclarée anticonstitutionnelle.

Pas sure, regarde le Hamas, il ne veut pas reconnaitre Israel, on ne le reconnait pas et on ne négocie pas avec et tout le monde est content ou presque. Et je ne pensais pas au prochain régime (s'il y en a un) mais à l'état de chaos et de guerre civile. Pas évident de revendiquer une province quand on s'entre tue, et puis les salafistes finiront pas faire peur aux druzes du Golan (les seuls habitants non juifs) qui ne souhaiteront peut etre plus redevenir syriens. D'ailleurs aujourd'hui meme, si on organisait un referundum d'autodetermination pour tous les habitants du Golan, je pense qu'une majorité choisirait Israel.

Ce n'est jamais une bonne nouvelle d'avoir un état instable ou en guerre civile à ses frontieres. Le seul point positif, c'est que ça taira les revendiquation sur le Golan vu qu'en ce moment, c'est la seule "province syrienne" ou il n'y a pas de massacre.

Oui mais je ne pense pas qu'il y avait une dimension raciale dans le Stakhanovisme. Par ailleurs, un des arguments des partisans de Lissenko (charlatan auteur d'une theorie pseudo scientifique en biologie) etait que la "génétique bourgeoise" était une science réactionnaire, nazi et raciste.

L'auditeur de l'état israélien accable Netanyahu et Barak sur le raid du Navi Marmara: State Comptroller report: Netanyahu inadequately heeded IDF warnings ahead of Gaza flotilla raid State Comptroller Lindenstrauss accuses premier in 153-page document of being inadequately prepared for the 2010 maritime takeover, says Barak silenced opposition to a military raid. The decision-making process was flawed, the discussions were hurried and superficial, the National Security Council was kept in the dark, and scenarios of extreme violence were ignored – these are only some of the harsh criticisms found in the State Comptroller's report on the government's handling of the Turkish aid flotilla to Gaza, which took place on May 2010. Micha Lindenstrauss highly critical report, released on Wednesday, stretches over 153 pages and deals with both the government's performance in the Turkish flotilla incident and with the application of the National Security Council Law, as well as Israel's national propaganda apparatus. In his report, Lindenstrauss named Prime Minister Benjamin Netanyahu as the party responsible for the incident: "The decision making process regarding the dealings with the Turkish flotilla led by Prime Minister Benjamin Netanyahu and under his responsibility was found to include essential and significant flaws." "The prime minister's decision-making was made without proper coordination, documentation, or preparation, despite the fact that the government, the IDF's top officers, and senior intelligence officials were all aware that the Turkish flotilla wasn't like the flotillas that preceded it," the report added. The comptroller indicated that despite the fact that Netanyahu was well aware that the incident was highly irregular in its scope and was personally involved in the preparation for it, he hadn't internalized the fact that intercepting the flotilla with force could lead to a violent confrontation onboard the Mavi Marmara, leading to a large number of casualties. The report lists multiple cases in which officials, including then Chief of Staff Gabi Ashkenazi, warned of a violent response by the boat's passengers. A few weeks before the flotilla set sail, Ashkenazi sent a letter to Netanyahu and Minister of Defense Ehud Barak, in which he suggested the flotilla be thwarted by diplomatic means before resorting to use of force. According to the report, after the letter was sent, Netanyahu held four work meetings with Ashkenazi, in which the matter was discussed. IDF official: Israel government should prepare for casualties On May 6, 2010, three and a half weeks before the flotilla, Barak convened a meeting to discuss the preparation for the flotilla, in which Ashkenazi warned of the possibility that Palestinian activists from the Gaza Strip will try to attack IDF navy vessels. "It is important that the government realize what we're expected to face," Ashkenazi said at the meeting. In the same meeting, Barak instructed the IDF to prepare for the possibility that live rounds may be fired at the commandos by the flotilla passengers and to make sure that uninvolved persons are kept from harm. The defense minister also instructed the army to present these contingencies to Netanyahu. "He needs to know," Barak said. A week later, at another meeting convened by the defense minister, Barak reiterated his fear that the passengers would fire at IDF soldiers. "I hope this doesn’t happen, it didn't in previous like incidents," answered then Israel Navy chief Eliezer Marom, adding that it wasn't likely that the passengers would shoot at IDF forces. The comptroller’s report also mentions a meeting of the IDF's general staff ten days before the flotilla, at which a high ranking officer warned of violence. Two days later the chief of staff spoke in the same vein in his office. Tell us what you think on Facebook. "Completing the IDF's stated mission as it has been defined for it will lead to confrontation with foreign nationals onboard and will create a provocation which will serve to further fan the flames of criticism already targeting Israel," stressed Ashkenazi. Five days before the flotilla’s arrival, in the only meeting on the subject the seven-member forum of senior ministers held, Ashkenazi warned the ministers that a military takeover of the Mavi Marmara would lead to a violent confrontation. "I want to clarify that it isn't easy but we will do it. It is no-two minute operation," he said. "If anyone wants to make a drama out of it – there's enough fuel for two or three days – not an hour…. I have no doubt that there will be violence there. Let it be made clear. The people will confront us. I think it's an illusion to think that if 20 people descend onto a ship with 400 people aboard they will be met with applause. They will fight them," he added. Netanyahu: I didn't receive information on the danger posed by the flotilla The long list of examples included in the comptroller’s report contrast with the answers Netanyahu gave to whether or not he knew and understand that a takeover of the flotilla could escalate into a violent confrontation. Netanyahu and his office members admitted that all the relevant discussion summaries were made known to the prime minister. But Netanyahu claimed that in none of these said discussions mentioned the possibility of violent confrontation. "The chief of staff didn't raise the issue of the threat that flotilla members posed nor did he voice any concern that violence would erupt," the Prime Minister's Office told the comptroller and his staff, adding: "In the meeting at the Defense Minister's office the possibility that the flotilla was dangerous because of its size or the probability that shots would be fired was assessed as negligible." Netanyahu and his staff presented the comptroller with responses to each one of the report drafts, in which in each case they reiterated the claim that "the whole time the possibility that the army wasn't prepared to deal with the flotilla wasn't raised." According to the report, Netanyahu himself said during a meeting with the comptroller that "in no place, in no discussion, not with anyone, not with the defense minister, not with the chief of staff, not with the commander of the navy…nowhere was a problem with the operation raised." Check out Haaretz on Tumblr. These statements made by Netanyahu are strange in light of the quotes presented in the report from the senior minister meeting in which at least three ministers raised concerns over the IDF's plans, inquired about the details and were silenced, only to be silenced. For example, Intelligence and Atomic Energy Minister Dan Meridor asked Ashkenazi "Do you have enough men?" Ashkenazi's response shows that possible problems were in fact raised. "There will not be [enough men] in the beginning…gradually there will be," he said. "We are boarding armed very selectively, not everyone, but there is no choice, because someone may be shot." Minister Benny Begin asked "What possibilities do they have to block off the bridge?" to which the chief of staff answered that this was possible "but in the end with force we will be able to do it." Lindenstrauss: Security officials anticipated armed conflict The comptroller repeated the statements presented to him by the Prime Minister's Office in their defense five times throughout the report, but at the end he rejects them, stating that in fact Netanyahu was presented with the possibility of a violent conflict. "IDF estimates presented to the government, including the prime minister, did in fact state that the flotilla could be stopped, Lindenstrauss wrote in the report. "However, different security officials, including the minister of defense and the IDF chief of staff, warned that the incident won't be peaceful, and could escalate to use of weapons and firing at our soldiers, and that it was believed that the passengers would oppose the actions of the IDF, and that there will be a conflict with them," he added. Lindenstrauss said that in "the inspections leading up to the report, we couldn't find any evidence that the defense minister checked the IDF's preparedness for dealing with violent activity on the part of the passengers, though he himself pointed out that this was possible…. In the opinion of the state comptroller the government, the prime minister, the seven-member senior minister forum should have looked into the objectives and plans of the military action in a orderly manner; especially since they themselves realized the action had wide reaching reproductions." Follow Haaretz.com on Twitter. With that in mind, the comptroller also critisized for the military, which he said "didn't stress or clarify to the prime minister the possible reproductions dealing with a violent response may have." Comptroller: Superficial, undocumented debate ahead of flotilla Lindenstrauss stated that one of the main reasons that led to the flawed decision making process regarding the Turkish flotilla was the absence of any orderly discussion by the cabinet or any other forum of senior ministers on the subject. The comptroller stated that Netanyahu's conduct in this matter was "in opposition to all standards set by the Winograd Committee," which looked into the failings in the Second Lebanese War in 2006. "Despite the fact that information concerning the Turkish flotilla began accumulating at the beginning of 2010, and despite the recognition by the prime minister that it represented an irregular event, the decision-making process was done without proper coordination," Lindenstrauss added. He added that working meetings between Netanyahu and Barak were held with only the PM and defense minister present, without any preparation or documentation, saying that it wasn't "clear which decisions were made during, decisions that were, on any account, not summed in writing." "As a result, it isn’t clear what the ministers understood and knew, having not participated in the private meetings concerning ways to deal with the flotilla," Lindenstrauss added. Netanyahu and his office tried to present the failure to convene the cabinet's diplomatic-security forum as a procedural issue, and not an essential one, with the Prime Minister's Office telling the comptroller: "The takeover of the Turkish flotilla is a simple military operation, one which the army is prepared to deal with without any special problems, and under those circumstances there was no justification to bring up the Turkish flotilla at the cabinet." The comptroller's report reveals that the one "forum of seven" meeting that did take place, five days prior to the takeover, and in which it was decided to halt the flotilla using force and on passing responsibility for the operation to the defense minister, was hastily convened and conducted in an unprofessional manner. Lindenstrauss severely criticized that session, emphasizing that Netanyahu called the meeting without due notice and after some of the flotilla's ships had already set sail. "The meeting's participants were unaware of the purpose of the debate and its content, and, on any account, did not have enough time to prepare for it," he wrote. According to the report, ministers received only a general overview of the flotilla, without any discussion as to the full breadth of the operations consequences, and didn't hear of alternatives to deal with the situation. "In reality, the prime minister made the decision as to the way to deal with the Turkish flotilla based on the discussion held in this forum, and based on the recommendations of his friends," Lindenstrauss said. http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/state-comptroller-report-netanyahu-inadequately-heeded-idf-warnings-ahead-of-gaza-flotilla-raid-1.436116

Légal ou pas, tu aurait raté ton vol si tu t'étais opposé à l'interrogatoire. Crois le ou pas mais mème des israeliens peuvent etre interrogés, j'ai traversé la frontière terrestre entre Jordanie et Israel avec une jordanienne, on nous a interrogé séparément et je te laisse deviner le genre de certaines questions.