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CANDIDE

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Tout ce qui a été posté par CANDIDE

  1. Trump poursuit des objectifs contradictoires : plus de pétrole (donc plus d'investissements) et pétrole moins cher (donc moins d'investissements rentables) ou alors Dollar fort (pour capter l'épargne mondiale) et Dollar faible (pour être compétitif). Du coup, l'expression "Lave-moi la fourrure, mais ne me mouille pas", convient parfaitement. "Ménager la chèvre et le chou", veut dire "ne pas savoir choisir" ou en plus positif "faire un compromis". Par exemple Friedrich Merz qui veut le maintien du parapluie nucléaire américain, et souhaite un parapluie complémentaire Français, eh bien il ménage la chèvre et le chou. "Vouloir le beurre et l'argent du beurre", c'est par exemple, les Français qui sont d'accord pour dépenser plus d'argent dans la défense, mais sans payer plus d'impôts et en gardant tous les avantages sociaux !
  2. Sur Wiki, l'origine de cette devise : Je maintiendrai Châlon était la devise de Philibert de Chalon-Arlay2 (branche cadette des comtes de Bourgogne), qui cède son titre de Prince d'Orange à son neveu René de Nassau à condition, entre autres, qu'il reprenne celle-ci. Elle devient ensuite Je maintiendrai Nassau, puis simplement Je maintiendrai, alors que Guillaume Ier d'Orange-Nassau, stadhouder (gouverneur) de Hollande et de Zélande, succède à son cousin René de Nassau.
  3. Oui, mais il y a un moment où la réalité finit par s'imposer, y compris à Trump et son électorat. Peut-être l'inflation, peut-être la récession et d'ores et déjà la baisse des marchés financiers (plus bas atteint depuis 2 ans). "Il y a environ 40% de chances que les États-Unis connaissent une récession cette année et que la réputation du pays en tant que destination d'investissement soit durablement entachée si l'administration américaine ébranle la confiance dont jouit le pays en tant que puissance mondiale, a averti mercredi l'économiste en chef de J.P. Morgan."
  4. https://www.lefigaro.fr/conjoncture/donald-trump-va-t-il-ecouter-les-signaux-d-alerte-des-marches-financiers-20250311 Après sept semaines - seulement ! - au pouvoir, l’histoire entre Trump et les marchés tourne vinaigre. L’euphorie des investisseurs pour l’Amérique, qui avait connu son apogée au moment du Forum de Davos, en janvier, s’est envolée. Les actions américaines chutent depuis le début de son mandat et, pire, sous-performent par rapport aux actions européennes. Qu’est-ce qui explique ce divorce ? La brutalisation des partenaires économiques des États-Unis, la purge violente et erratique du secteur public engagée par Elon Musk, l’application déroutante de la politique commerciale annoncée ont plongé le pays dans un brouillard d’incertitude anxiogène. La réaction vigoureuse du Canada, du Mexique, de la Chine, et de l’Europe a été sous-estimée à Washington. C’est aussi un problème de cohérence. Plus personne ne comprend comment Donald Trump entend amener les États-Unis vers cet « âge d’or » qu’il leur a promis. Le président, élu sur la promesse de terrasser l’inflation, maintient ses mesures les plus inflationnistes (protectionnisme et lutte contre l’immigration). Il fait de ses fameux « tarifs » une baguette magique qui résoudrait à la fois le déficit commercial et le déficit budgétaire, et financerait la création d’un fonds souverain. Il occulte le temps industriel des relocalisations qu’il souhaite, et met la pagaille dans toutes les chaînes d’approvisionnement. Il veut plus de production de pétrole et en même temps un baril pas cher, un dollar fort - gage de la puissance américaine et aspirateur à épargne mondiale - et faible - pour être compétitif - à la fois. Il promet enfin le redressement budgétaire et les baisses d’impôts, qui prennent du retard.
  5. Peu réaliste sans doute, ce plan B d'achat de 12 Suffren est soutenu par l'ancien premier ministre Malcom Turnbull, celui qui a signé pour la classe Attack.
  6. Personnellement entre l'hypothèse 1). Trump et son équipe sont des pros de la négo, et des stratèges raisonnant dans un espace à 10 dimensions, et l'hypothèse 2). Trump et son équipe sont des amateurs, qui enchainent conneries sur conneries, et doivent maintenant rétropédaler à toute vitesse, eh bien je penche plutôt sur l'hypothèse 2). Voici ce que disait Bolton de Trump en mars 2024 dans le Figaro : JOHN BOLTON. - Il faut d'abord donner quelques éléments concernant Trump pour répondre. Car si on considère ce dernier comme un politicien normal, on se fourvoie. Donald Trump n'a pas de philosophie politique, il ne s'implique pas dans l'analyse des politiques ou le processus de décision de la manière dont nous utilisons ces termes d'ordinaire. Pour lui, tout est épisodique, anecdotique, transactionnel. Et tout est subordonné à la question de savoir comment cela va profiter à « Donald Trump », politiquement ou personnellement. Voilà pourquoi, quand les gens parlent de ses politiques ils parlent de quelque chose qui n'existe pas. Trump a pris des milliers de décisions pendant sa présidence. J'étais d'accord avec beaucoup d'entre elles. Avec sa décision de se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien. Avec le choix de tous les juges qu'il a nommés. Mais, comme je l'écris dans mon livre, ces milliers de décisions sont comme des points dans l'espace, qui ne sont pas reliés entre eux. Les gens qui essaient de tirer des traits entre ces points se trompent, car lui ne le fait pas. De ce point de vue, il agit de manière radicalement différente des autres présidents américains. Il a dit qu'il pourrait régler la guerre russo-ukrainienne en 24 heures, mettre Zelensky et Poutine dans une pièce et les amener au compromis, ce qui est tout à fait ridicule. S'il s'y attelait sans résultat, ce serait un échec cuisant. Mais comme Donald Trump n'échoue jamais, il faudrait reporter la faute sur l'une des deux autres parties. Et c'est là que Poutine pourrait rafler la mise, car je suis prêt à parier une petite fortune que Zelensky serait désigné comme le coupable. Ce qui mettrait l'Ukraine en danger.
  7. Le panama c'est 4 millions d'habitants. Le canada c'est une puissance de 40 millions d'habitants très remontés contre les États unis en ce moment.
  8. Le type devient pathétique ! Pas sûr que Wall Street ouvre en hausse. Ca devrait même être l'inverse ! Comment a fini Néron déjà ?
  9. Et en cas d'accord secret Pologne-Corée du Sud ? car finalement, ils sont un peu dans la même situation avec un voisin doté et agressif.
  10. Cet article d'Andrew Day (rédacteur en chef de The American Conservative) est intéressant, car il a vraiment l'air sincèrement "pro-Europe puissance", ce qui est surprenant dans la sphère MAGA : Les Européens feraient bien de replier le parapluie nucléaire américain et d’ouvrir le leur – et les Etats-Unis feraient bien de les laisser faire. La dissuasion nucléaire américaine a toujours été sujette à caution en Europe de l’Est, où les intérêts américains sont démunis. Dans une telle situation, les clients de l’Amérique peuvent devenir trop confiants, tandis que ses adversaires peuvent douter que Washington se batte pour des vassaux lointains. Curieusement, de nombreux commentateurs américains qui se moquaient de la faiblesse de l'Europe considèrent aujourd'hui ses projets de réarmement comme stupides et les dirigeants qui les promeuvent comme des bellicistes. Certains de ces commentateurs sont manifestement motivés par des sentiments anti-européens, auxquels s'ajoute un soupçon de vantardise quant à la puissance américaine. Les patriotes du mouvement America-First ont une vision différente du vieux continent, le considérant comme la patrie ancestrale de la plupart des citoyens américains et la source de l'héritage culturel américain. Buchanan (cofondateur de The American Conservative) serait d'accord, je pense, pour dire que la meilleure raison de soutenir le réarmement des Européens n'est pas qu'ils ont été des profiteurs insolents, mais que cela serait bon à la fois pour l'Europe et pour l'Amérique. En vérité, le militarisme américain a récemment mis en danger l’Europe, au lieu de la protéger, souvent malgré les objections des capitales européennes. La politique belliqueuse des États-Unis a rendu plus probable une invasion russe de l’Ukraine. Les guerres américaines au Moyen-Orient ont déclenché des crises migratoires qui ont déstabilisé la politique européenne. Et le soutien américain à la guerre d’Israël à Gaza a attisé la haine que ressentent de nombreux nouveaux venus en Europe envers l’Occident. Un repli américain et un réarmement européen seraient une aubaine pour la sécurité de l’Europe.
  11. A priori, il y a eu une attaque massive de drones Ukrainiens cette nuit (337 engins dont 91 ont ciblé Moscou d'après la Russie). Nous verrons s'il y a une riposte nucléaire. Ceci dit l'intérêt d'un arsenal de disons 2000 missiles de croisière d'une précision métrique ou décamétrique + des milliers de drones pas chers pour saturer les défenses, c'est : d'une part de permettre des frappes dans la profondeur sur des objectifs militaires, dans un cadre conventionnel d'autre part de constituer une sorte de dissuasion "du pauvre" sans têtes nucléaires. L'idée n'est donc pas de frapper en premier les villes Russes, mais bien de pouvoir faire une frappe de rétorsion en cas d'attaque nucléaire Russe ou de frappe massive et meurtrière sur des villes Polonaises. 2000 missiles répartis dans des sous-marins, des avions et des camions dispersés dans la nature, devraient apporter une garantie de frappe massive en second. Cette garantie (certes moins forte que celle d'un arsenal nucléaire) permettrait justement de dissuader la Russie d'exercer un chantage nucléaire ou de procéder à une frappe sur les villes.
  12. Pour 3 milliards d'Euros, ils pourraient acquérir un millier de MDCN et d'ELSA (ou même 2000 pour 6 milliards), soit pour moins cher que le développement d'un arsenal nucléaire. Des raids de 100 à 200 missiles de croisière sur Moscou ou St-Petersbourg, ça doit quand même faire du dégât et faire réfléchir l'agresseur.
  13. Est-ce le début de la cascade ? Les fusées SpaceX explosent, aujourd'hui X subit une panne mondiale et l’action Tesla chute de 14% à 19.30 heure de Paris !
  14. Voici. Il n'y a qu'à demander ! CHRONIQUE - Le président américain veut un dollar à la fois faible pour les exportations et hégémonique pour l’économie mondiale. Une contradiction périlleuse, alors que la montée des Brics et les tensions géopolitiques menacent la confiance dans le billet vert. L’hôte de la Maison-Blanche exige à la fois que le dollar s’affaiblisse, pour rendre le « made in America » compétitif, et que le billet vert continue de régner en maître absolu dans le commerce et la finance internationale. C’est ce qu’on appelle « le privilège exorbitant du dollar », expression forgée par le général de Gaulle et Valéry Giscard d’Estaing dans les années 1960 et adoptée aujourd’hui par les économistes américains, qui en reconnaissent la véracité. Pour les États-Unis, dont la dette publique atteint 36 000 milliards de dollars, et alors que 8 000 milliards sont dans les mains de créanciers étrangers, cette suprématie est le gage de financements illimités, sans risque et bon marché. Donald Trump ferraille sur les deux fronts. D’un côté, il accuse les partenaires commerciaux des États-Unis de manipuler et de déprécier leurs monnaies. Et de l’autre, il menace les Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud, Iran, Égypte, EAU, Indonésie, Turquie, Éthiopie) de leur imposer des tarifs douaniers de 100 % s’ils boycottent le dollar dans leurs transactions mutuelles. « Nouvelle guerre des monnaies » Que le billet vert doive s’affaiblir tout en restant hyperpuissant, comme le souhaite impérieusement Washington, peut sembler un oxymore infantile. La contradiction n’est qu’apparente, sinon le franc suisse, la devise la plus solide depuis deux siècles, dominerait la planète. « Les parts de marché, et non les taux de change, sont les indicateurs pertinents pour comprendre le rôle des principales monnaies », soulignent Christian de Boissieu et Marc Schwartz dans leur livre (La Nouvelle Guerre des monnaies, Éditions Odile Jacob). Le billet vert se taille la part du lion dans tous les registres : il constitue la monnaie de facturation de 68 % du commerce mondial, intervient dans 60 % des émissions de dette sur le marché financier international et contribue à 59 % des réserves en devises des 190 banques centrales du monde entier, etc. Les tensions géopolitiques et la montée en puissance de la Chine, l’arrivée des cryptomonnaies et, à l’opposé de cette dématérialisation ultime des moyens de paiements, l’envolée des cours de l’or font que la « nouvelle guerre des monnaies » est elle aussi hybride. Seule certitude, « le fait que la monnaie soit un bien commun fondé sur la confiance restera, lui, bien réel », rappellent Boissieu et Schwartz. Or cette confiance, qui était le fondement de la « Pax Americana » tissée par une multitude d’accords civils et militaires, Donald Trump n’est-il pas en train de la jeter par-dessus les moulins ? Certes, la monnaie américaine tend à s’affaiblir. L’Index Dollar (sa valeur pondérée par rapport aux six principales devises mondiales) a perdu 5 % depuis le 20 janvier. Est-ce l’effet de la centaine de décrets signés en rafale dans le Bureau ovale, ou du climat d’incertitude qui en résulte ? La question du taux de change instantané est à vrai dire secondaire comparée aux perspectives à moyen terme. L’approche unilatéraliste du gouvernement américain « représente la plus grande menace pour le dollar, en tant que monnaie centrale du monde, depuis cinq décennies », a confié à l’agence Bloomberg l’économiste Laurence Summers, ex-secrétaire au Trésor de l’Administration Clinton et ancien président de Harvard. Et, dans une note à ses clients, le stratège de la Deutsche Bank sur les monnaies, George Saravelos, s’inquiète de « la perte potentielle du statut de valeur refuge du dollar ». Privilège exorbitant Ce serait faire injure aux experts économiques de Donald Trump d’ignorer les risques de « dédollarisation » et ses conséquences funestes pour l’Amérique. Bien au contraire, ils fourmillent d’idées fracassantes ; « out of the box », disent-ils. Ainsi, Scott Bessent, le secrétaire au Trésor, dont le souci principal n’est pas le dollar mais les taux du marché obligataire qui « impactent » la dette publique et plus encore les emprunts immobiliers des ménages, propose d’éponger une partie de la dette par « un fonds souverain américain ». Il convient, selon lui, « de monétiser l’actif du bilan des États-Unis », notamment en réévaluant le stock d’or, comptabilisé à 42 dollars l’once, alors qu’il vaut 2 744 dollars sur le marché, ce qui dégagerait une plus-value de 750 milliards. Donald Trump a annoncé qu’il se rendrait avec Elon Musk à Fort Knox où dorment les 8 134 tonnes d’or du trésor national. Une visite sans précédent depuis le président Roosevelt en 1943. Autre idée disruptive, Stephen Miran, chef économiste du Council of Economic Advisers de la Maison-Blanche, suggère, dans une note de novembre 2024, que les créanciers étrangers convertissent leurs titres en « bons du siècle » à 100 ans, non convertibles sur le marché. Cette restructuration de la dette US, qualifiée « accord de Mar-a-Lago » - la résidence trumpienne -, s’inspire des accords du Plaza de septembre 1985 : les ministres des Finances du G 5 (États-Unis, Japon, Allemagne, France, Grande-Bretagne) s’étaient réunis alors dans l’hôtel new-yorkais, promettant de faire baisser le billet vert surévalué par les marchés. Tel le phénix renaissant de ses cendres, le privilège exorbitant du dollar ne cesse de muter. L’hégémonie a d’abord été inscrite dans les textes de l’accord de Bretton Woods de 1944, instituant la convertibilité en or du seul dollar, les autres devises étant de simples satellites. Le président Nixon met fin, le 15 août 1971, à la convertibilité or, devenue insoutenable avec la guerre du Vietnam. Les taux de change des monnaies se mettent ensuite à flotter, le dollar restant de facto la référence mondiale du fait de la supériorité économique yankee, plus encore de Wall Street, et en dernier ressort de sa suprématie militaire écrasante – la « guerre des étoiles » a eu raison de l’URSS ! Donald Trump cassera-t-il le jouet magique qu’il a reçu en héritage ?
  15. Oui, avec un impact mondial ! J'ai pris un extrait des commentaires les plus appréciés. Je n'ai gardé que les commentaires provenant de l'étranger : @blauemadeleine We desperately need more politicians like this. We need to stand together as Europeans.. We must not let false information destroy the cohesion of our societies. It is our only chance to get through these dark days. We have to manage this feat for our children and grandchildren! @colincampbell9132 EVERY MAJOR NEWSPAPER IN AMERICA SHOULD RUN HIS SPEECH! Every American needs to here this! It is the reality of what is happening! TRUMP AND HIS OLIOGARCHY NEED TO BE STOPPED! @deirdreconley6295 Need English subtitles to spread this everywhere, more Americans need to listen to this. Thank you . Yes, Bravo. @candela6319 En 63 ans, c'est la première fois que j'entends une tel discours noble, reprenant point par point chaque fait pour le moins "contestables" et "erreurs" historique, sortant irrémédiablement des discours aseptisés de nos politiciens (Français, Belge, Allemand...).Merci Monsieur Malhuret de la part 'un Belge. @BienvenuMboyi Je suis gabonais ,mais vraiment ce discours est l'état du cœur d'un grand homme politique. @germainhovington Superbe discours, Ici Québec/Canada sommes avec l'Europe @jimboyfuentes658 iVive la France! Love from The Philippines! The free world is now resting on the shoulders of Europe! We are one with you! @snoosnoo7054 A superb speech, it is the most concise and complete summary of the current situation possible, without exaggerations or rhetoric. None of what he says is news, but until today none have chosen to say it. Europe needs to listen and act, quickly. @LocationsLoucam Excellent discours qui devrait passer à l’histoire car elle est en train de changer, l’histoire. Enfin une critique sans gants blanc de cet aspirant dictateur! La vérité d’un bout à l’autre! Bravo! D’un québécois qui commence à prendre au sérieux les menaces du 51eme état. @БНетрек-о4д Great speech and outstanding metaphor. Thank you, France, for standing for Ukraine and whole Europe! Love from Kyiv, Ukraine :) @anneg8000 Chaque mot de ce discours est juste, tellement songé et lucide. Je vous lève mon chapeau et ce du Québec au Canada @Aftersun371 J’ai fait l’erreur de déménager aux États-Unis avec ma famille depuis la Suède pour le travail. En entendant ce beau discours, je regrette de ne pas avoir eu la chance de m’installer en France à la place. Amitiés d’un Suédois. @kristo5747 Je suis un expatrié Français en Californie. Je suis ici depuis 34 ans et votre vidéo me fait profondément manquer la France. La langue française est incroyablement vivante et puissante pour décrire des individus vils comme Trump et ses semblables. La langue anglaise ne pourra jamais être aussi adéquate. Magnifique discours, Monsieur le Sénateur. @giselevandenplas7847 Depuis la Belgique, et de la part d'une flamande, mais je voulais quand même vous le dire : quel beau discours..... j'étais stupéfaite. @isla_bonita One of the best speeches I've heard from a politician in a long time. Respect! @ola_cha Un excellent discours et des mots sages. J'écris de Pologne, notre position officielle devrait être tout aussi forte. @martinplamondon1089 Très beau discours! J’aurais adoré voir ces mots sortir de mon Premier Ministre Canadien. Historique!! @lydiastardust5169 One of the best political discourses I have heard in recent weeks. I deeply appreciate the perspective and hope in Americans livig up to our history. @Ros532 iTrès bien dit! Je suis italien et je vous dit que ce discours est à la hauteur de la tache! Simplement parfait dans sa rigueur analytique. @fredericmineur8263 Incredible speech!! Probably the best against Trump I have heard off ! @jophoenix5329 Mr. you have all my respect. Your speech and the words you have carefully chosen reflect what is happening and give us a perfect reflection of the situation and confirm what we each think and feel about what is holding the world under uncertainty insecurity incomprehension concerning the us. at this time. Thank you for your vision and thank you for explaining it to us and sharing it in front of the world. Respect @gmod-store It's the most striking and accurate speech I've heard: courageous, truthful and factual. @ianbolger1279 I've only been learning French history and French for a short period. But man did that speech clap. We need to get it formally translated. Because that is a call to people who believe in Democracy to stand up and fight back. Well done. Vive la démocratie indeed. @opereiramarc À diffuser à grande échelle aux États Unis SVP...!
  16. L'accélération de la production est en cours, et va sans doute encore accélérer avec cette augmentation du budget. Je résume ici l'article du Figaro : https://www.lefigaro.fr/societes/les-industriels-de-l-armement-peuvent-ils-vraiment-produire-davantage-comme-le-souhaite-emmanuel-macron-20250306. Les industriels investissent et recrutent mais revoient également leurs process pour réduire les délais de fabrication. AASM : Safran produit désormais deux fois plus d’Armement sol-air modulaire, AASM, appartenant à la famille des bombes guidées (600 exemplaires en 2024). «Nous pouvons encore doubler, tripler la cadence de l’AASM, de façon agile, en appliquant les méthodes de production utilisées dans le civil pour les moteurs Leap», a indiqué Olivier Andriès, directeur général de Safran, mi-février. Turboréacteurs de missiles : Le groupe Safran a déjà décidé d’investir «pour multiplier par 2,5 à 3 fois, la fabrication de turboréacteurs de missiles (notamment Scalp et Exocet de MBDA, NDLR)» dont il est le seul spécialiste en Europe. Blindés Scorpion : KNDS France, la branche tricolore du groupe franco-allemand de blindés et matériels terrestres, produit désormais 350 blindés (Jaguar, Griffon ou Serval) par an, contre à peine 100 en 2020. Il prévoit d’en construire 450 par an à terme. Canons Caesar et obus de 155 mm : L’industriel KNDS a investi 500 millions sur fonds propres pour réorganiser son outil industriel, en se dotant de lignes d’assemblage inspirées de l’automobile, en recrutant (450 à 500 personnes par an) et en constituant des stocks auprès de ses sous-traitants. La production de Canons Caesar a quadruplé à 8 par mois en 2025, contre 2 par mois en 2022. KNDS vise ensuite 12 systèmes d’artillerie par mois. Parallèlement, le cycle de production du Caesar a été réduit par deux, à 15 mois. Côté obus de 155 mm, il en sort désormais 100 000 par an, dont 60.000 en France (et 40 000 sur d’autres sites), contre 30.000 par an, avant la guerre en Ukraine. Radars : Thales a investi 750 millions sur fonds propres, entre 2021 et 2024, en France pour augmenter ses capacités. L’an dernier, 24 radars de surveillance et de défense aérienne GM 200, 400 et GF 300 (équipant le SAMP/T franco-italien, équivalent européen du Patriot américain, NDLR) sont sortis de son usine de Limours (Essonne). C’était 12 en 2021. Et ce sera 30 en 2025. Roquettes : pour l’hélicoptère Tigre notamment, le site Thales de la Ferté Saint-Aubin (Loiret) vise une production de 80.000 roquettes par an en 2026, contre 20.000 en 2023. Missiles Aster : Pour sa part le missilier MBDA, codétenu par Airbus, le britannique BAE Systems et l’italien Leonardo, a lancé un plan d’investissement de 2,5 milliards d’ici à 2028, dont 1 milliard en France, pour augmenter notamment de 50% la production de missiles Aster d’ici 2026 par rapport à 2022. Cela, en réduisant de 42 à 18 mois le délai initial de fabrication.
  17. Le discours historique de Claude Malhuret vu des dizaines de millions de fois aux Etats-Unis : https://www.lefigaro.fr/politique/claude-malhuret-ce-senateur-de-l-allier-devenu-la-nouvelle-coqueluche-des-opposants-a-trump-20250309 Washington est devenu la cour de Néron», a dénoncé Claude Malhuret au Sénat mercredi dernier. La vidéo de son intervention a fait le tour des médias américains. Il est rare que le Sénat soit à l’origine du buzz du moment. Pourtant, le discours du sénateur Claude Malhuret (Indépendants) a traversé l’Atlantique pour y trouver une certaine popularité. Au cours d’un débat sur la guerre d’Ukraine le 5 mars, le sénateur déclarait «Washington est devenu la cour de Néron . Un empereur incendiaire, des courtisans soumis et un bouffon sous kétamine [Elon Musk à la tête du DOGE , NDLR] chargé de l’épuration de la fonction publique. C’est un drame pour le monde libre, mais c’est d’abord un drame pour les États-Unis». «Nous étions en guerre contre un dictateur, nous nous battons désormais contre un dictateur soutenu par un traître», a-t-il ajouté, tranchant nettement avec le ton policé habituellement usité au sein de la Chambre haute. Les saillies du Sénateur de l’Allier, coutumier pour sa part de bonnes phrases, ont été vues des dizaines de millions de fois aux États-Unis. Il a même été traduit par The Atlantic, un magazine influent de la côte Est. Sur les réseaux sociaux, les commentaires louangeurs se succèdent. Peu de médias ont osé s’en prendre directement à Donald Trump, J.D Vance ou encore Elon Musk depuis leur entrée en fonction. Seuls quelques émissions de divertissements comme le Saturday night live se sont attaqués directement au président américain. L’opposition y semble sonnée à la suite de sa cinglante défaite. La version américaine du Huffington Post, le 7 mars : Stop What You’re Doing And Watch This French Senator’s Take On Trump And Musk
  18. Est-ce que les États-Unis ne sont pas rentrés dans une phase de restriction des libertés et de la pensée, comme ils en connus dans le passé : 1. Les Lois sur la sédition (1798 et 1918) En 1798, sous la présidence de John Adams, les Alien and Sedition Acts ont été adoptés. Ces lois criminalisaient les critiques contre le gouvernement fédéral, entraînant des poursuites contre des journalistes et des opposants politiques. En 1918, durant la Première Guerre mondiale, le Sedition Act a été adopté pour interdire les discours critiques à l'égard du gouvernement, de l'armée ou des symboles nationaux. 2. Le maccarthysme (années 1950) Sous l'influence du sénateur Joseph McCarthy, des milliers de personnes accusées d'être communistes ou sympathisantes ont été persécutées. Des écrivains, artistes et fonctionnaires ont été mis sur liste noire, et certaines libertés fondamentales ont été bafouées. 3. Le Patriot Act (2001) et les restrictions post-11 septembre Après les attentats du 11 septembre 2001, le Patriot Act a renforcé la surveillance gouvernementale au détriment des libertés civiles. Il a autorisé des écoutes téléphoniques sans mandat, la détention prolongée de suspects et la collecte massive de données personnelles.
  19. Leur premier réacteur nucléaire (AP1000 de Westinghouse) ne sera opérationnel qu'en 2033. Du coup, il leur faudra une dizaine d'années avant de disposer de Plutonium 239. S'ils veulent passer par l'Uranium 235, il leur faudra également bien 10 ans pour arriver à l'enrichir à 90% minimum.
  20. Les têtes nucléaires des M51 et ASMP ont des puissances ajustables et pré-sélectionnables en fonction de la mission et de l’objectif stratégique.. Ce point a été discuté dans la rubrique Dissuasion nucléaire Européenne.
  21. Les Polonais devraient se méfier. Certains médias évoquent depuis quelques jours un pacte secret Trump-Poutine ou bien Germano Americano-Russe !
  22. Dernier sondage Odoxa sur la défense et le soutien à l'Ukraine : https://www.lefigaro.fr/international/a-la-manoeuvre-sur-le-dossier-ukrainien-emmanuel-macron-peut-compter-sur-le-soutien-de-l-opinion-20250307 43 % du pays trouve que Macron « représente bien » la France à l’étranger, soit nettement plus que sa popularité en tant que PR : 29% (+4%) La guerre en Ukraine inquiète sérieusement les Français, qui y voient un risque pour l’Europe (81 %) et pour l’Hexagone (75 %) mais aussi pour leurs propres destinées (59 %). Dans ce contexte d’incertitude, une écrasante majorité d’entre eux (81 %) pensent que les Vingt-Sept doivent désormais apprendre à se protéger seuls, sans le renfort des États-Unis. La première puissance mondiale n’est d’ailleurs plus considérée comme une alliée par les deux tiers des Français (66 %). Les dernières annonces et propositions d’Emmanuel Macron trouvent un écho favorable dans l’opinion publique : l’augmentation du budget de la défense (67 %), le renforcement de l’aide militaire à l’Ukraine (58 %), le « plan européen d’endettement commun pour la défense » (62 %), une riposte européenne sur la hausse des droits de douane décidés par Donald Trump (77 %) et même l’extension, pourtant polémique, du parapluie nucléaire français à d’autres pays voisins (64 %). 65% sont favorables à une intervention de l’armée française en Ukraine Pour faire respecter un éventuel accord de paix entre la Russie et l’Ukraine. Seulement 25% seraient d'accord pour que l'armée intervienne pour combattre la Russie aux côtés des soldats ukrainiens.
  23. CANDIDE

    [EBRC/Jaguar]

    Physiquement oui, je les trouve impressionnants. Ce qui m'impressionne aussi, c'est ce futur ensemble de 3700 véhicules de combat, modernes, complémentaires et capables de combat collaboratif. En même temps, par comparaison avec le duel Bradley-T90, le Jaguar lui, va défourailler tout en étant en mouvement.
  24. CANDIDE

    [EBRC/Jaguar]

    Griffon, Jaguar et Serval sont quand même de beaux bestiaux. Ce qui m'impressionne c'est leur numérisation et capacité de combat collaboratif, leur mobilité, la complétude des différentes versions et la cohérence d'ensemble. Est-ce qu'il y a une autre armée de terre en Europe, qui pourra mettre en oeuvre en 2030 l'équivalent de ~1400 Griffon, ~2000 Serval et ~240 Jaguar ?
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