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Il me semble que 5% du PIB Allemand (200 milliards d'Euros) c'est l'objectif OTAN pour 2035 et qui se décompose en 3,5 % pour la défense stricte et 1,5 % pour sécurité élargie. Donc pour la défense 150 milliards en 2035. A mon avis, l'objectif ne sera tenu qu'en cas d'aggravation/capitulation en Ukraine et d'agressivité redoublée de la Russie. Et puis une fois que l'industrie est dimensionnée pour ces dépenses militaires (bureau d'études, usines, main d'oeuvre, matières premières, etc.. ) comment on fait pour revenir en arrière en cas de retour à une situation de paix ? Ceci dit, le réarmement Allemand, et Polonais également, est une bonne chose pour la sécurité Européenne qui aura dans quelques années une dissuasion conventionnelle considérable.
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Ils auront assez de monde chez BAE Systems pour apporter leur expertise et former la main d'oeuvre Canadienne, Australienne et maintenant Norvégienne ?
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Quand on pense que ce projet a été lancé en 2017, et que 7 ans après on en arrive à aussi peu de résultats, et à ce niveau d'incompréhension et de conflit entre Français et Allemands, c'est que fondamentalement les intérêts industriels, la culture stratégique, ainsi que les modes de pensée sont totalement différents. Les projets de coopération majeurs sont donc voués à l'échec, et même pire, accroissent les ressentiments réciproques. Le mieux est d'abandonner tout projet de coopération majeur dans l'industrie de défense et de se concentrer sur la coopération purement militaire.
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En fait, je suis un peu idiot et même très peu intelligent, tu l'as sans doute remarqué, et donc j'ai besoin d'une intelligence supérieure pour m'expliquer certaines situations. Mais comme je suis honnête je précise que l'analyse n'est pas de moi.
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Finalement, que penses-tu de cette interprétations par ChapGPT ? Voici ma question : Eric Trappier le PDG de Dassault a démenti plusieurs fois vouloir 80% de la charge de travail du NGF (projet Scaf). Alors pourquoi des hommes politiques et journalistes allemands et étrangers continuent à attaquer la société Dassault et la France sur cette prétendue exigence ? Et voici la réponse : Cette question touche à la fois à la politique industrielle, à la communication et aux rapports de force franco-allemands dans le projet SCAF (Système de Combat Aérien du Futur). Voici quelques éléments d’explication : 1. Un malentendu (entretenu) sur la notion de "maîtrise d’œuvre" Dassault a toujours revendiqué la maîtrise d’œuvre du NGF (le chasseur piloté qui est au cœur du SCAF), car c’est son domaine historique et son savoir-faire clé. Les 80 % évoqués correspondent souvent à une confusion avec la répartition du travail. Dassault a dit qu’il devait avoir la main sur les architectures critiques (commandes de vol, aérodynamique, intégration globale), mais n’a pas demandé 80 % des heures de travail ou du budget. Des interlocuteurs allemands (et parfois espagnols) traduisent cette exigence de souveraineté technique en une "prétention à 80 % du gâteau", ce qui est plus simple à présenter dans le débat public. 2. Des enjeux politiques nationaux En Allemagne, Airbus Defence & Space pousse pour un partage "équilibré", car le pays ne veut pas être relégué au second plan dans un projet financé par ses impôts. Politiquement, il est difficile pour des responsables allemands de justifier qu’une grande part de la valeur ajoutée industrielle leur échappe, alors que Berlin met beaucoup d’argent sur la table. Pour certains élus allemands, dire que "Dassault veut tout prendre" permet de justifier des résistances et de négocier plus de parts industrielles pour Airbus. 3. Une bataille de communication Dassault s’exprime en termes d’exigence technique : "sans maîtrise d’œuvre claire, l’avion ne volera pas". Les responsables politiques ou journalistes étrangers traduisent cela en conflit de pouvoir économique ("les Français veulent trop"). Cette asymétrie de communication fait que le récit allemand circule davantage dans les médias, notamment en Allemagne et en Espagne, et est repris à l’international. ✅ En résumé : Dassault ne réclame pas "80 % du travail", mais la maîtrise technique des briques critiques. Cependant, pour des raisons politiques et médiatiques, cette demande est transformée en une revendication de "quasi-monopole". Cela permet à certains acteurs étrangers de faire pression dans les négociations et de rallier l’opinion publique à l’idée que la France est "trop gourmande".
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Ce n'est pas grave car fondamentalement on se fiche que les Suisses prennent du F35 pas fini et qui coute cher, et parce que le carnet de commande de DA s'est rempli depuis. Mais ce qui est grave c'est la malhonnêteté et la désinformation consistant à se vanter d'un appel d'offre exemplaire et in fine d'annoncer le F35 comme de loin le meilleur et le moins cher. Ils auraient choisi le F35 directement sans concurrence parce que c'est américain et tutti quanti, on aurait rien à dire, car après tout c'est leur droit souverain de choisir l'avion qui leur plait.
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- Force aérienne suisse
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J'ai l'impression que la France joue la montre. En cas de dissolution, il y aura des élections en Octobre, puis les Municipales en Mars 2026 et à la rentrée 2026 la compétition pour les Présidentielles de 2027 commencera. Tout ce qu'il faut pour "agir à l'allemande" et ne pas prendre de décisions ! C'est parfait !
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On pourrait être aussi vicieux que les Allemands. On ne se retire pas de ce grandiose projet Européen, mais on exige un report de 5 ans, le temps de revenir aux 3% de déficit. Dégoutés, Allemands et Espagnols finiront par sortir eux-mêmes du projet et quémander une place ailleurs.
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A de nombreuses reprises l'Allemagne a fait capoter/retarder des projets de coopération à cause de contraintes internes. Un jour c'est la cour constitutionnelle, d'autres fois à cause du Bundestag, ou encore à cause de dissensions/négociations au sein de la coalition gouvernementale. Rendons la pareille. L'instabilité politique Française actuelle et l'absence probable de budget est une bonne occasion pour sortir de ce projet calamiteux, sans procès en anti-européanisme. La France n'a plus d'argent, car elle veut revenir au graal Européen des 3% de déficit. Donc elle se retire du projet SCAF et souhaite bonne chance aux Allemands et Espagnols. Un point c'est tout !
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Dissuasion nucléaire française...
CANDIDE a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
Merci pour le lien. Sinon, effectivement la France prévoit un dernier avertissement sous forme de frappe nucléaire pré-stratégique avec l'ASMP-R. Néanmoins, et c'est ce que je voulais dire dans mon message, la doctrine, ne prévoit pas, il me semble, l'utilisation des M51 pour une frappe décapitante en premier. La mission des SNLE c'est de procéder à une frappe de rétorsion, soit en cas d'invasion/atteinte aux intérêts vitaux soit bien sûr en cas de frappe nucléaire sur le territoire national, l'ennemi serait dans ce cas assurer d'être frapper de façon massive. -
Dissuasion nucléaire française...
CANDIDE a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
Est-ce que le remplacement des ogives nucléaires des M51 par des planeurs ne serait pas interprété comme une volonté de frappe en premier, alors que la doctrine Française est celle d'une frappe en second ? Par contre, il me semble que l'utilisation du planeur sur un nouveau vecteur IRBM ou MRBM, pour une frappe conventionnelle, permettrait d’atteindre dans la profondeur, des cibles de haute valeur (infrastructures critiques, centres militaires) avec peu de délai et grande précision. Ce serait une option supplémentaire de riposte graduée, avant le nucléaire pré-stratégique. D'ailleurs, est-ce que Lecornu n'a pas parlé il y quelques mois, d'un projet de missile MX ? Je n'arrive plus à trouver la source. -
Dissuasion nucléaire française...
CANDIDE a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
On aura donc, d'ici quelques années, la capacité de mettre en oeuvre des planeurs hypersoniques très manoeuvrants. Je me demande quels sont le projet et la doctrine de l'armée et du gouvernement derrière : frappe à longue portée (en milliers de km) ? nucléaire ou classique ? Par ailleurs, je me dis que si toute l'intelligence (pilotage, manoeuvres, précision terminale) est dans le planeur, le missile porteur, s'il doit être robuste et fiable, doit juste emmener le planeur dans la bonne direction, altitude et vitesse. ça doit quand même réduire sensiblement son coût par rapport à un missile balistique classique. -
La traduction youtube est très mauvaise, donc cette vidéo semble très brouillonne. Si l'auteur était objectif, il parlerait pas des "80% du travail" demandé par Dassault, comme tous les autres intervenants Allemands, alors que Trappier a démenti plusieurs fois. Dassault veut être LE maître d'oeuvre, garant et responsable des performances / coûts / délais. Donc s'il y a des choix structurants à faire sur le NGF, il doit convaincre ses partenaires bien sûr, mais en cas de désaccord il lui revient de décider. Donc sa voix doit compter pour 50% + Ɛ et non pas pour 33% comme ça semble être le cas aujourd'hui. Je ne comprends pas qu'une chose aussi simple ne soit pas comprise et acceptée par tous !
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Oui mais à priori le SKB (28000 personnes) est interarmées. Il faudrait savoir quel pourcentage du temps de travail est consacré à la Heer ? Comme la Heer représente environ 60 -65% du personnel militaire, une estimation possible serait que la Heer capterait environ 50 % de la charge de travail du SKB (armée moins technique que la Marine ou l'Aviation). Soit l'équivalent de 14000 personnes. Donc l'armée de terre Allemande aurait un effectif actuel de 79 000 personnes.
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Merci. C'est très parlant ce récapitulatif des budgets militaires. 133 milliards sur 29 ans ça fait donc une différence de 4,5 milliards chaque année pour la France. 4,5 milliards correspond peu ou prou aux dépenses liées à la force de dissuasion. En déduisant ces 4,5 milliards, les dépenses ont été les mêmes en Allemagne et en France et pourtant à priori les capacités militaires sont nettement supérieures en France et dans tous les domaines : aérien, naval, projection, terrestre (~120 000 (Armée de Terre)~65 000 (Heer)), spatial, commandement autonome, expérience opérationnelle. La principale cause est sans doute dans ce résumé de ChatGPT : Évolution historique sur ~30 ans France : dans le cadre des LPM successives (1997‑2002, 2003‑2008, 2009‑2014, 2019‑2025, …), la part des équipements a souvent tourné autour de 30 à 35 % du budget Défense, reflétant un effort soutenu en grands programmes et investissements, notamment à partir de 2018 : modernisation Rafale, Scorpène, SNA, simulateurs, cyber, etc. Reuters+6Sénat+6Reddit+6Wikipédia Allemagne : historiquement marquée par une frilosité culturelle sur les dépenses d’équipement depuis les années 1990, la part consacrée aux achats d’armement a généralement oscillé entre 10 et 20 % du budget total, avec un pic récent à ~19 % selon certaines estimations informelle
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La dépense militaire Allemande est un peu un mystère. Avant son envolée en 2025 et 2026, leur budget était de 50 milliards d'Euros en 2023 et 2024, grosso modo comme la France. Avec ce budget ils mettre en oeuvre : 3 brigades blindées + trois brigades classées "médianes" en phase de montée en puissance opérationnelle. 138 Eurofighter, 90 tornados en cours de retrait 11 frégates sont 3 F124 vraiment capable de faire la guerre. Pour les futurs 6 F126 ça se présente mal 6 sous-marins classiques (+ 6 commandés) A comparer avec ce que met en ligne la France pour le même budget, avec en plus une force de dissuasion au top niveau ! Alors oui, avec un budget doublé puis triplé, il devrait bâtir une armée conventionnelle au premier rang en Europe et qui sera avec la Pologne notre première ligne de défense.
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Le choix du F35 date d'avant l'explosion de leurs budgets militaires : https://www.opex360.com/2025/07/31/en-2026-le-budget-militaire-de-lallemagne-sera-presque-deux-fois-plus-eleve-que-celui-de-la-france/ Pour 2026 : 108 milliards d'Euros contre 57 pour la France (qui doit entretenir/développer son nucléaire), et ce n'est que la 1ère marche. Leur cible à 2029 est de 3,5% du PIB, quand nous serons à 2,5% !
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Oui je les cite comme points forts aujourd'hui, et qui doivent impérativement le rester pour notre position en Europe.
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Je pense qu'on est sur le point de divorcer. Les deux gouvernements ont besoin de sauver la face et vont imputer l'échec à la mésentente entre industriels. C'est comme cela que je comprends les récentes sorties de Trappier et la réponse de Michael Schoellhorn, PDG d’ADS et de politiciens Allemands. On est dans une situation radicalement différente de 2017 année de lancement du programme. Je pense que la guerre en Ukraine a durci la position Française, car les points forts comme le nucléaire et l'aviation de combat y compris embarquée, deviennent encore plus fondamentaux pour la position de la France en Europe. On ne peut donc pas se permettre d'avoir un NGF trop tard, trop cher, moyennement performant, long à faire évoluer, peu exportable et inapte au nucléaire et à l'aéronavale. Les budgets faramineux à venir permettent également à l'Allemagne de durcir ses positions et d'envisager de développer seul ou en tant que leader avec des partenaires juniors, un avion de 6ème génération, même si cela prendra du temps, car l'objectif probable est d'apprendre et de redevenir un grand constructeur d'avion de combat.
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A priori c'est de l'infrastructure, donc la majeure partie des 2 milliards resteront en Allemagne et donneront du travail aux allemands. Les dépenses militaires qui ne seront pas fléchées vers des armes américaines/israéliennes, vont participer à la relance de l'économie Allemande qui en a bien besoin.
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Europe de la Défense ?
CANDIDE a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Une synthèse par ChatGPT des lâchages/"cocufiages" de l'Allemagne vis à vis de la France dans le domaine de l'armement, hors projet SCAF : "Voici une liste non exhaustive mais documentée des désengagements allemands ou points de friction récurrents dans la coopération franco-allemande en matière d’armement et de défense, notamment du point de vue français. Cette liste inclut des faits largement reconnus dans les milieux diplomatiques, industriels et militaires" : 1. Non-respect des accords Debré-Schmidt (1971) Principe : Engagement bilatéral à ne pas bloquer les exportations d’armements co-développés. Problème : L’Allemagne a bloqué ou menacé de bloquer plusieurs ventes à l’export de systèmes comprenant des composants allemands (ex : Blindés Aravis / Nexter, composants dans des équipements Nexter/Arquus, etc.). Conséquence : Frein à la compétitivité de l’industrie française à l’export, forte irritation du gouvernement français. 2. Abandon du projet MAWS (Maritime Airborne Warfare System) Projet : Remplacement conjoint des avions de patrouille maritime ATL2 (France) et P-3 Orion (Allemagne). Position allemande : Berlin s’est tourné vers l’achat de P-8 Poseidon américains (déjà livrés), sans attendre la définition du besoin commun. Conséquence : Abandon de fait du projet MAWS, vécu comme un désengagement unilatéral. 3. Retrait du programme Tigre Mk3 Projet : Modernisation de l’hélicoptère d’attaque Tigre vers une version Mk3 commune (France, Allemagne, Espagne). Position allemande : Retrait officiel du programme en 2022. Conséquence : Le programme Mk3 est maintenu par la France et l’Espagne, mais en version dégradée. 4. Bouclier anti-missiles – Exclusion du système français Aster 30 Projet allemand : European Sky Shield Initiative (ESSI), promu par Olaf Scholz. Problème : ESSI privilégie des systèmes étrangers : Patriot (USA), Arrow 3 (Israël) et IRIS-T (Allemagne), au détriment de l’Aster 30 (MBDA, projet franco-italien). Conséquence : Sentiment d’exclusion du système français, pourtant très performant et opérationnel. 5. Programme MGCS (Main Ground Combat System – char du futur) Objectif : Développer un successeur commun au Leclerc et Leopard 2. Blocages : Désaccords industriels (Rheinmetall imposé côté allemand), gouvernance conflictuelle, suspicion de mauvaise foi allemande dans les partages de tâches. Statut actuel (2025) : Très en retard, aucun prototype réel 7. Satellites d’observation militaires Projet : Coopérations dans le spatial militaire, notamment dans les systèmes d’observation optique (France) ou radar (Allemagne). Problème : Malgré son accès partiel aux satellites français, l’Allemagne a refusé de fournir ses propres images radar en échange, estimant que ses satellites SARah étaient sous responsabilité exclusive de la Bundeswehr. Cela a créé un déséquilibre d’accès : la France partageait, l’Allemagne non, ou à des conditions restreintes 8. Projet CIFS : Common Indirect Fire System Objectif : Développer un système d’artillerie nouvelle génération à longue portée, pouvant remplacer les Caesar français et PzH 2000 allemands et être interopérable dans un contexte européen ou OTAN, offrir une capacité de feux longue portée, mobile, connectée, précise et réactive Problème : Allemagne préfère miser sur des solutions américaines. En 2023–2024, la Bundeswehr s’est désolidarisée discrètement du projet CIFS. L’Allemagne a exprimé plus d’intérêt pour le programme américain ERCA (Extended Range Cannon Artillery), développé par BAE Systems / US Army. Berlin souhaite aussi participer à des projets dans le cadre de l’OTAN plutôt que bilatéraux franco-allemands. -
Sont-ils tous anglo-saxons d'ailleurs ? Plus à l'Est il y a deux pays qui souhaitent déstabiliser Dassault et la BTID Française par une guerre de l'information, et qu'on a vu à l'oeuvre lors du conflit Indo-Pakistanais.
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Bien d'accord. Rheinmetall va produire des tronçons de F35 et des éléments de Patriots, donc les deux géants, Thales (51 milliards en bourse le 18/07) ou Safran (120 milliards le 18/07) peuvent très bien reprendre Nexter et produire des véhicules blindés et des canons !
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Europe de la Défense ?
CANDIDE a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Peut-être également dans le domaine spatial avec le VORTEX en version cargo, et une capacité de patrouille et de brouillage/interception/aveuglement de satellites hostiles. Je pense aussi qu'on aura des missiles IRBM équipés de planeurs hypersoniques. -
Europe de la Défense ?
CANDIDE a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Ils n'achèteront jamais Français. Même gratuit ils n'en voudront pas et préfèreront acheter Américain et cher ! Par contre certains politiques Allemands ne se gênent pas pour demander le partage de notre force de dissuasion et de notre siège au Conseil de Sécurité ! J'ai le sentiment que la coopération avec l'Allemagne est terminée, et que dans le domaine Naval par exemple, un arc de coopération se construit avec le Nord de l'Europe. Vente de sous-marins aux Pays-Bas après les chasseurs de mines, ventes possibles de FDI à la Norvège et à la Suède, plus les chasseurs de mines qui intéressent plusieurs pays Nordiques et pourquoi des drones navals de la gamme Seaquest (USV) et Seagent (UUV) de Naval Group.