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CANDIDE

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Tout ce qui a été posté par CANDIDE

  1. CANDIDE

    Réforme de la DGA

    Elle est vraiment bien cette journaliste. Elle pose les bonnes questions et laisse son interlocuteur développer sa réponse.
  2. Encore une réussite stratégique de Trump ? : A un "tournant de l'histoire", Tokyo, Pékin et Séoul cherchent à renforcer leur coopération https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/a-un-tournant-de-l-histoire-tokyo-pekin-et-seoul-cherchent-a-renforcer-leur-cooperation-6aa0da07f052bc389381aa72845f5cdd Les chefs de la diplomatie du Japon, de la Chine et de la Corée du Sud ont cherché samedi à se rapprocher et surmonter leurs différends et désaccords, comme l'Ukraine ou la Corée du Nord, au moment où la guerre commerciale engagée par les États-Unis menace la région. "La situation internationale est devenue de plus en plus difficile, et il n'est pas exagéré de dire que nous nous trouvons à un tournant de l'histoire", a déclaré le ministre japonais des Affaires étrangères, Takeshi Iwaya en ouvrant ses discussions avec ses homologues chinois Wang Yi et sud-coréen Cho Tae-yul. "Il est plus que jamais nécessaire de redoubler d'efforts pour surmonter les divisions et les confrontations par le dialogue et la coopération". Renforcer la coopération permettra de "résister ensemble aux risques" et de promouvoir la "compréhension mutuelle" entre les populations, a relevé de son côté Wang Yi. Cette réunion trilatérale, la 11e sous ce format, intervient en effet alors que l'Asie orientale se trouve sous la menace de l'offensive douanière du président américain Donald Trump, et confrontée aux déploiements militaires nord-coréens en soutien à la Russie en Ukraine et manoeuvres de Pékin autour de Taïwan. La rencontre a donné lieu, a indiqué M. Iwaya à son issue, à "un échange de points de vue franc sur la coopération trilatérale" et les enjeux internationaux, relevant une volonté commune de "promouvoir une coopération orientée vers l'avenir". Il a annoncé que Tokyo, Séoul et Pékin comptaient "accélérer" leurs discussions pour organiser un nouveau sommet entre leurs dirigeants.
  3. Concernant la Corée. Méta-Défense a publiée cette info le 17 mars : Depuis quelques jours, un certain vent de panique est perceptible en Corée du Sud. En effet, le département de l’Énergie américain, a déqualifié le pays en tant que partenaire à risque, en matière de coopération technologique, venant mettre en danger de nombreux programmes en cours, qui reposent, souvent, sur des technologies américaines, tout en menaçant directement l’indispensable coopération militaire avec les États-Unis, pour la protection du pays. La décision de classer la Corée du Sud, dans la catégorie des partenaires technologiques à risque, par l’administration américaine, constitue, à coup sûr, un coup très dur pour les autorités du pays. En effet, non seulement celle-ci va-t-elle entraver de nombreux travaux technologiques coopératifs de haut niveau, entre les deux pays, mais elle va rapidement faire sentir ses effets, dans le domaine de la défense du pays, et dans le développement de son industrie de défense, qui représente, pourtant, un axe stratégique pour Séoul, qui y a consacré d’importants crédits ces 20 dernières années. On ignore, aujourd’hui, qu’elles sont les objectifs visés par Washington, par ce déclassement, ainsi que les raisons ayant amené à cette requalification défavorable. Pour autant, qu’il s’agisse de préparer de nouvelles négociations commerciales, en vue de rééquilibrer la balance commerciale avec les États-Unis, ou de fortement handicaper la dynamique internationale sud-coréenne, sur le marché de l’armement, il semble bien que la Corée du Sud ne soit pas armée pour y résister.
  4. Les médias et des experts auto-proclamés, comparent souvent à tort le nombre de têtes nucléaires Françaises au nombre de têtes Russes, histoire de montrer que nous ne sommes pas de taille comparé à la Russie. Ils feraient mieux, encore une fois, de citer De Gaulle qui disait à Messmer en 1963 : « Dans dix ans, nous aurons de quoi tuer 80 millions de Russes. Eh bien, je crois qu’on n’attaque pas volontiers des gens qui ont de quoi tuer 80 millions de Russes, même si on a soi-même de quoi tuer 800 millions de Français, à supposer qu’il y eût 800 millions de Français. ».
  5. 19h32 - L’Ukraine peut compter sur la poursuite de l’aide militaire, ont dit ce mardi soir Olaf Scholz et Emmanuel Macron, à Berlin, après que Vladimir Poutine a demandé à Donald Trump que l’aide occidentale cesse en Ukraine. Le président de la République, en déplacement à Berlin ce mardi soir, a salué une «première étape» concernant l’appel entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Il a également appelé à ce que le cessez-le-feu soit «vérifiable» et les Ukrainiens «autour de la table».
  6. Les allemands viennent de remporter l'appel d'offre pour 6 sous marins disposant d'un AIP (programme P75i). Sinon, je me suis trompé sur le Scorpène. L'inde est sur le point de commander 3 Scorpène supplémentaires mais de la classe Kalvari, en plus des 6 premiers déjà construits (programme P75). Le Scorpène Evolved avec des batteries Lithium-Ion a été commandé par l'Indonésie en 2 exemplaires.
  7. Oui des scorpene evolved avec batteries lithium ion que l'Inde est sur le point de commander et de fabriquer avec l'aide de Naval Group. Ce serait du gagnant -gagnant -gagnant !
  8. Ils sont peut-être dans le déni, et surtout ils sont morts de trouille à l'idée d'annuler Aukus et de déplaire à leur suzerain. S'ils étaient malins ils annonceraient chercher une solution intérimaire à base de SSK pour remplacer les Collins en attendant les Virginia. Et si Macron était malin, il proposerait une location de longue durée pour 4-5 SSK proches des Orka Néerlandais afin de pouvoir livrer rapidement. Bien entendu, si les Virginia ne devaient pas arriver, la location se transformerait en achat, avec option pour 4-5 autres SSK.
  9. Je ne suis pas étonné par ce revirement. Les yeux se dessillent et l'Europe se tourne vers la France, seule puissance dotée véritablement indépendante des Etats-Unis. La France est écoutée et acquière une sorte de "Soft Power" qui lui permet d'être à la manoeuvre dans l'organisation de la défense de l'Ukraine et de l'Europe. Il serait dommage de gâcher cela en rackettant nos voisins pour qu'ils bénéficient de notre protection nucléaire. Ce qui ne veut pas dire comme le suggère @Clairon qu'on ne doit pas leur proposer les équipements qu'on a en magasin, d'autant qu'ils sont performants et Itar-Free. Par ailleurs, alors que les pays comme la Pologne et l'Allemagne, devront consacrer une part importante de leurs budgets à bâtir en temps record des forces conventionnelles et mécanisées très importantes, la France qui est en retrait et sanctuarisé par sa force nucléaire pourra consacrer plus de ressources dans l'accélération de ses programmes (ASNG4, Aster 30 B1NT, FMAN/FMC, etc.. ) et le développement de nouvelles armes (laser, canon électromagnétique, planeur hypersonique, char moyen, guerre spatiale, missile Aquila/Hydis, etc..) qui apporteront une supériorité par rapport à la Russie, et qui trouveront donc des clients en Europe et dans le monde. Bref dans ce contexte de menaces et d'explosion des budgets militaires la France pourrait devenir l'arsenal de l'Europe, en terme d'équipements apportant une supériorité opérationnelle.
  10. Je crois que Poutine a été encore plus imagé. La phrase exacte était : « Que ça te plaise ou non, ma jolie, faudra supporter ». On devine à quoi il fait référence !
  11. Tu n'oublies pas les gains de productivité lorsque les séries s'allongent ? A ton avis quel est le prix du canon Caesar depuis que la production mensuelle est passée de 2/mois à 8/mois ?
  12. Tu as raison pour le Covid, mais "vérité d'un jour.........". Et puis Poutine devrait être là pour quelques temps encore, le désengagement Américain semble être une tendance longue, même après Trump, et peut-être que même si un armistice intervient en Ukraine, les pays d'Europe ne referont plus le coup des dividendes de la paix. Enfin, le réarmement permettra une relance massive des économies Européennes quasiment en stagnation aujourd'hui. Rien n'est sûr bien évidemment.
  13. C'est mon avis aussi. Face à une Amérique qui se désengage et un Trump imprévisible et menaçant, la France doit être un pôle rassurant, protecteur et organisateur en Europe, grâce à sa force de dissuasion, qu'il faut développer, et grâce à sa BITD complète capable de fournir des équipements Itar-Free. Avec le boom des budgets militaires, les commandes vont affluer et on doit pouvoir espérer un doublement du chiffre d'affaire de la BTID Française, voire plus.
  14. Trump poursuit des objectifs contradictoires : plus de pétrole (donc plus d'investissements) et pétrole moins cher (donc moins d'investissements rentables) ou alors Dollar fort (pour capter l'épargne mondiale) et Dollar faible (pour être compétitif). Du coup, l'expression "Lave-moi la fourrure, mais ne me mouille pas", convient parfaitement. "Ménager la chèvre et le chou", veut dire "ne pas savoir choisir" ou en plus positif "faire un compromis". Par exemple Friedrich Merz qui veut le maintien du parapluie nucléaire américain, et souhaite un parapluie complémentaire Français, eh bien il ménage la chèvre et le chou. "Vouloir le beurre et l'argent du beurre", c'est par exemple, les Français qui sont d'accord pour dépenser plus d'argent dans la défense, mais sans payer plus d'impôts et en gardant tous les avantages sociaux !
  15. Sur Wiki, l'origine de cette devise : "Je maintiendrai Châlon" était la devise de Philibert de Chalon-Arlay2 (branche cadette des comtes de Bourgogne), qui cède son titre de Prince d'Orange à son neveu René de Nassau à condition, entre autres, qu'il reprenne celle-ci. Elle devient ensuite "Je maintiendrai Nassau", puis simplement "Je maintiendrai", alors que Guillaume Ier d'Orange-Nassau, stadhouder (gouverneur) de Hollande et de Zélande, succède à son cousin René de Nassau.
  16. Oui, mais il y a un moment où la réalité finit par s'imposer, y compris à Trump et son électorat. Peut-être l'inflation, peut-être la récession et d'ores et déjà la baisse des marchés financiers (plus bas atteint depuis 2 ans). "Il y a environ 40% de chances que les États-Unis connaissent une récession cette année et que la réputation du pays en tant que destination d'investissement soit durablement entachée si l'administration américaine ébranle la confiance dont jouit le pays en tant que puissance mondiale, a averti mercredi l'économiste en chef de J.P. Morgan."
  17. https://www.lefigaro.fr/conjoncture/donald-trump-va-t-il-ecouter-les-signaux-d-alerte-des-marches-financiers-20250311 Après sept semaines - seulement ! - au pouvoir, l’histoire entre Trump et les marchés tourne vinaigre. L’euphorie des investisseurs pour l’Amérique, qui avait connu son apogée au moment du Forum de Davos, en janvier, s’est envolée. Les actions américaines chutent depuis le début de son mandat et, pire, sous-performent par rapport aux actions européennes. Qu’est-ce qui explique ce divorce ? La brutalisation des partenaires économiques des États-Unis, la purge violente et erratique du secteur public engagée par Elon Musk, l’application déroutante de la politique commerciale annoncée ont plongé le pays dans un brouillard d’incertitude anxiogène. La réaction vigoureuse du Canada, du Mexique, de la Chine, et de l’Europe a été sous-estimée à Washington. C’est aussi un problème de cohérence. Plus personne ne comprend comment Donald Trump entend amener les États-Unis vers cet « âge d’or » qu’il leur a promis. Le président, élu sur la promesse de terrasser l’inflation, maintient ses mesures les plus inflationnistes (protectionnisme et lutte contre l’immigration). Il fait de ses fameux « tarifs » une baguette magique qui résoudrait à la fois le déficit commercial et le déficit budgétaire, et financerait la création d’un fonds souverain. Il occulte le temps industriel des relocalisations qu’il souhaite, et met la pagaille dans toutes les chaînes d’approvisionnement. Il veut plus de production de pétrole et en même temps un baril pas cher, un dollar fort - gage de la puissance américaine et aspirateur à épargne mondiale - et faible - pour être compétitif - à la fois. Il promet enfin le redressement budgétaire et les baisses d’impôts, qui prennent du retard.
  18. Peu réaliste sans doute, ce plan B d'achat de 12 Suffren est soutenu par l'ancien premier ministre Malcom Turnbull, celui qui a signé pour la classe Attack.
  19. Personnellement entre l'hypothèse 1). Trump et son équipe sont des pros de la négo, et des stratèges raisonnant dans un espace à 10 dimensions, et l'hypothèse 2). Trump et son équipe sont des amateurs, qui enchainent conneries sur conneries, et doivent maintenant rétropédaler à toute vitesse, eh bien je penche plutôt sur l'hypothèse 2). Voici ce que disait Bolton de Trump en mars 2024 dans le Figaro : JOHN BOLTON. - Il faut d'abord donner quelques éléments concernant Trump pour répondre. Car si on considère ce dernier comme un politicien normal, on se fourvoie. Donald Trump n'a pas de philosophie politique, il ne s'implique pas dans l'analyse des politiques ou le processus de décision de la manière dont nous utilisons ces termes d'ordinaire. Pour lui, tout est épisodique, anecdotique, transactionnel. Et tout est subordonné à la question de savoir comment cela va profiter à « Donald Trump », politiquement ou personnellement. Voilà pourquoi, quand les gens parlent de ses politiques ils parlent de quelque chose qui n'existe pas. Trump a pris des milliers de décisions pendant sa présidence. J'étais d'accord avec beaucoup d'entre elles. Avec sa décision de se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien. Avec le choix de tous les juges qu'il a nommés. Mais, comme je l'écris dans mon livre, ces milliers de décisions sont comme des points dans l'espace, qui ne sont pas reliés entre eux. Les gens qui essaient de tirer des traits entre ces points se trompent, car lui ne le fait pas. De ce point de vue, il agit de manière radicalement différente des autres présidents américains. Il a dit qu'il pourrait régler la guerre russo-ukrainienne en 24 heures, mettre Zelensky et Poutine dans une pièce et les amener au compromis, ce qui est tout à fait ridicule. S'il s'y attelait sans résultat, ce serait un échec cuisant. Mais comme Donald Trump n'échoue jamais, il faudrait reporter la faute sur l'une des deux autres parties. Et c'est là que Poutine pourrait rafler la mise, car je suis prêt à parier une petite fortune que Zelensky serait désigné comme le coupable. Ce qui mettrait l'Ukraine en danger.
  20. Le panama c'est 4 millions d'habitants. Le canada c'est une puissance de 40 millions d'habitants très remontés contre les États unis en ce moment.
  21. Le type devient pathétique ! Pas sûr que Wall Street ouvre en hausse. Ca devrait même être l'inverse ! Comment a fini Néron déjà ?
  22. Et en cas d'accord secret Pologne-Corée du Sud ? car finalement, ils sont un peu dans la même situation avec un voisin doté et agressif.
  23. Cet article d'Andrew Day (rédacteur en chef de The American Conservative) est intéressant, car il a vraiment l'air sincèrement "pro-Europe puissance", ce qui est surprenant dans la sphère MAGA : Les Européens feraient bien de replier le parapluie nucléaire américain et d’ouvrir le leur – et les Etats-Unis feraient bien de les laisser faire. La dissuasion nucléaire américaine a toujours été sujette à caution en Europe de l’Est, où les intérêts américains sont démunis. Dans une telle situation, les clients de l’Amérique peuvent devenir trop confiants, tandis que ses adversaires peuvent douter que Washington se batte pour des vassaux lointains. Curieusement, de nombreux commentateurs américains qui se moquaient de la faiblesse de l'Europe considèrent aujourd'hui ses projets de réarmement comme stupides et les dirigeants qui les promeuvent comme des bellicistes. Certains de ces commentateurs sont manifestement motivés par des sentiments anti-européens, auxquels s'ajoute un soupçon de vantardise quant à la puissance américaine. Les patriotes du mouvement America-First ont une vision différente du vieux continent, le considérant comme la patrie ancestrale de la plupart des citoyens américains et la source de l'héritage culturel américain. Buchanan (cofondateur de The American Conservative) serait d'accord, je pense, pour dire que la meilleure raison de soutenir le réarmement des Européens n'est pas qu'ils ont été des profiteurs insolents, mais que cela serait bon à la fois pour l'Europe et pour l'Amérique. En vérité, le militarisme américain a récemment mis en danger l’Europe, au lieu de la protéger, souvent malgré les objections des capitales européennes. La politique belliqueuse des États-Unis a rendu plus probable une invasion russe de l’Ukraine. Les guerres américaines au Moyen-Orient ont déclenché des crises migratoires qui ont déstabilisé la politique européenne. Et le soutien américain à la guerre d’Israël à Gaza a attisé la haine que ressentent de nombreux nouveaux venus en Europe envers l’Occident. Un repli américain et un réarmement européen seraient une aubaine pour la sécurité de l’Europe.
  24. A priori, il y a eu une attaque massive de drones Ukrainiens cette nuit (337 engins dont 91 ont ciblé Moscou d'après la Russie). Nous verrons s'il y a une riposte nucléaire. Ceci dit l'intérêt d'un arsenal de disons 2000 missiles de croisière d'une précision métrique ou décamétrique + des milliers de drones pas chers pour saturer les défenses, c'est : d'une part de permettre des frappes dans la profondeur sur des objectifs militaires, dans un cadre conventionnel d'autre part de constituer une sorte de dissuasion "du pauvre" sans têtes nucléaires. L'idée n'est donc pas de frapper en premier les villes Russes, mais bien de pouvoir faire une frappe de rétorsion en cas d'attaque nucléaire Russe ou de frappe massive et meurtrière sur des villes Polonaises. 2000 missiles répartis dans des sous-marins, des avions et des camions dispersés dans la nature, devraient apporter une garantie de frappe massive en second. Cette garantie (certes moins forte que celle d'un arsenal nucléaire) permettrait justement de dissuader la Russie d'exercer un chantage nucléaire ou de procéder à une frappe sur les villes.
  25. Pour 3 milliards d'Euros, ils pourraient acquérir un millier de MDCN et d'ELSA (ou même 2000 pour 6 milliards), soit pour moins cher que le développement d'un arsenal nucléaire. Des raids de 100 à 200 missiles de croisière sur Moscou ou St-Petersbourg, ça doit quand même faire du dégât et faire réfléchir l'agresseur.
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