Philippe Top-Force Posté(e) le 8 janvier 2018 Auteur Share Posté(e) le 8 janvier 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 16 janvier 2018 Share Posté(e) le 16 janvier 2018 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wielingen1991 Posté(e) le 7 février 2018 Share Posté(e) le 7 février 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ogo Posté(e) le 7 février 2018 Share Posté(e) le 7 février 2018 il y a 13 minutes, wielingen1991 a dit : Oh ! Un treuil pour l'antenne linéaire sur les photos de l'article On a quelques détails sur ce "innovative bow-mounted antenna concept" ? Un sonar actif, c'est "innovative" ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arka_Voltchek Posté(e) le 1 mars 2018 Share Posté(e) le 1 mars 2018 J'ai aussi l'impression d'avoir vu un treuil sur certaines vue 3D du Suffren. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PhilACP7 Posté(e) le 3 mars 2018 Share Posté(e) le 3 mars 2018 Ce qui est sur c'est que sur nos SNA et SNLE actuels la flute ETBF n'est pas rétractable. Pourquoi ? Les US ( les GB je ne sais pas) et les Russes ont des antennes rétractables depuis des lustres donc c'est que cela est possible sans trop d'inconvénients? Qui pourrait nous éclairer sur cette singularité de la MN ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 3 mars 2018 Share Posté(e) le 3 mars 2018 il y a 9 minutes, PhilACP7 a dit : Ce qui est sur c'est que sur nos SNA et SNLE actuels la flute ETBF n'est pas rétractable. Pourquoi ? Les US ( les GB je ne sais pas) et les Russes ont des antennes rétractables depuis des lustres donc c'est que cela est possible sans trop d'inconvénients? Qui pourrait nous éclairer sur cette singularité de la MN ? J'ai plusieurs fois lu que le treuil pour la flute était trop indiscret. Nous avons peut être fait des progrès dans le sens de la discrétion du treuil ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 5 mars 2018 Share Posté(e) le 5 mars 2018 De ce que je sais, l'opération de déroulé/enroulement de l'antenne est une opération longue, délicate et d'une discrétion qui laisse à désirer. En conséquence, le déroulé se fait généralement en quittant le port et l'enroulement juste avant de revenir ; mais jamais sur la zone d'opérations puisque cela bloque la trajectoire et la rend prévisible tout en pouvant révéler la position du sous-marin. Il y a, éventuellement, un largage d'urgence, mais il n'est pas possible de renrouler "sous pression". Donc, le fait d'accrocher la flute en mer, après l'appareillage, et de la décrocher au retour, c'est sensiblement équivalent sur le plan opérationnel, tout en étant bien moins coûteux sur le plan structurel et un peu plus coûteux en ressources humaines. C'est l'idée "low-cost" de ceux qui n'ont pas les moyens et/ou la place de se payer les solutions haut de gamme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 5 mars 2018 Share Posté(e) le 5 mars 2018 étant entendu qu'avoir la queue à l'air (ou plutôt à l'eau) nuit aux performances - ici la vitesse - sachant quand même que si mes souvenirs sont bon le réacteur des SNA peut fonctionner sans la mise en marche des pompes du circuit primaire jusqu'à 15 noeuds je crois donc on peut imaginer notre SNA évoluant entre 4 et 15 noeuds queue déployée sachant que sa Vmax dans ses conditions correspond à la Vmax "silence" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 6 mars 2018 Share Posté(e) le 6 mars 2018 Il y a 21 heures, FATac a dit : De ce que je sais, l'opération de déroulé/enroulement de l'antenne est une opération longue, délicate et d'une discrétion qui laisse à désirer. En conséquence, le déroulé se fait généralement en quittant le port et l'enroulement juste avant de revenir ; mais jamais sur la zone d'opérations puisque cela bloque la trajectoire et la rend prévisible tout en pouvant révéler la position du sous-marin. Il y a, éventuellement, un largage d'urgence, mais il n'est pas possible de renrouler "sous pression". Donc, le fait d'accrocher la flute en mer, après l'appareillage, et de la décrocher au retour, c'est sensiblement équivalent sur le plan opérationnel, tout en étant bien moins coûteux sur le plan structurel et un peu plus coûteux en ressources humaines. C'est l'idée "low-cost" de ceux qui n'ont pas les moyens et/ou la place de se payer les solutions haut de gamme. Il y a 20 heures, pascal a dit : étant entendu qu'avoir la queue à l'air (ou plutôt à l'eau) nuit aux performances - ici la vitesse - sachant quand même que si mes souvenirs sont bon le réacteur des SNA peut fonctionner sans la mise en marche des pompes du circuit primaire jusqu'à 15 noeuds je crois donc on peut imaginer notre SNA évoluant entre 4 et 15 noeuds queue déployée sachant que sa Vmax dans ses conditions correspond à la Vmax "silence" Oui c’est complètement çà, c’est ce qui transpire d’un doc que j’ai eu l’occasion de consulter lors projet lié à l’assistance SNA dont récup de l’ALR en eau libre . Faut un navire d’assistance ( Frégates ou autres ) avec drome , bref de moyens LOG . Sujet abordé sur ce fil http://www.air-defense.net/forum/topic/1531-sna-suffren-snle-et-ssgn-capacité-française/?page=37&tab=comments#comment-911111 Vitesse du soum limitée , en fonction tenue efforts sur la goulotte liés à traine hydro de l’antenne qui est à flottabilité nulle , pas trop lente non plus et surtout pas de marche arrière. Ces antennes sonar sont en fin de vie indus et seront amenées à être remplacées , par des TAHS towing array handling system sur Barracuda ? via campagne sea proven démonstrateur Rubis ? extrait du lien ci-dessous . Cà serait quand même mieux de disposer d’un démonstrateur que de foncer tête baissée …… « En septembre 2010, le SNLE NG français Le Terrible a finalement été livré, mettant fin à la production du SONAR - DSUV-61. En fait, cela s'est déjà produit il y a quelque temps lorsque le sonar a été livré au sous-marin avant d'être terminé. Au moment où le sous-marin a été livré, la chaîne de production avait déjà été fermée, et avec elle, toute perspective des ventes futures a été résilié. Il n'est guère surprenant que le DSUV-61/62 ait atteint la fin de sa durée de vie. C'est un système très daté et doit être remplacé de toute urgence. En effet, il est plus que probable qu'un sonar de remplacement sur les SSN et SNLE français est en cours de développement. Officiellement au moins, ce sera pour les nouveaux SSN de classe Barracuda et sera un réseau remorqué à lignes fines, probablement combiné avec des émetteurs actifs pour fournir une couverture active / passive complète. Cependant, il sera certainement mis à jour sur les SSBN et il est probable que les SSN de classe Rubis seront utilisés pour des «essais». Ce sera un élément différent, beaucoup plus avancé que le DSUV-61 existant. La carrière de l'ancien système est maintenant terminée et ce rapport sera archivé l'année prochaine. » https://www.forecastinternational.com/archive/disp_pdf.cfm?DACH_RECNO=839 Me semble aussi que sujet confinement technique du TAHS ( towing array handling system ) déjà évoqué . Treuil probablement hydraulique or l’hydraulique signe dès fois ( pas en stationnaire mais en transitoire ), et puis pas la même problématique d’intégration du process sur un soum hors coque épaisse que sur une plage arrière de FREMM. http://www.electronica-submarina.com/defence/sonar-onboard-systems/solarsub-rdtas-reelable-digital-towed-array-sonar/?lang=en sur les S-80 https://www.electronica-submarina.com/saes-finalizes-the-integration-test-of-the-towed-array-handling-system-tahs-made-for-new-spanish-submarines-s-80/?lang=en Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 22 mars 2018 Share Posté(e) le 22 mars 2018 Voici la réponse du CEMA le Général Lecointre à un élu de l'assemblé nationale : Citation Monsieur Lejeune m’a posé une question que je trouve assez amusante, d’autant plus que, mon père ayant commandé un SNLE, je suis très sensible à la question… Comme l’indiquait le président, posez la question à M. Guillou ; cela devrait le faire rire. Je me suis récemment entretenu avec lui et il m’a expliqué la difficulté, pour lui, de préserver les compétences. À mes yeux, le maintien des compétences est un élément essentiel pour notre BITD. Et un équipement aussi extraordinaire qu’un sous-marin nucléaire, lanceur d’engin qui plus est, nécessite des compétences que la France est sans doute le seul État membre de l’Union européenne à avoir conservées. Il me semble difficile d’imaginer partager les SNLE avec les Britanniques dans la mesure où leur dissuasion nucléaire est dépendante des États-Unis. Au plan opérationnel, il est indispensable de garder quatre SNLE pour conserver une permanence à la mer. Dans ces conditions, les contraintes industrielles et les exigences de préservation des savoir-faire ont conduit à aligner de manière très précise le cadencement de commande et de production des sous-marins Barracuda d’une part et, d’autre part, la rénovation des SNLE actuels et la production du SNLE de troisième génération. Au risque de me répéter, imaginez la somme de compétences qu’il faut maîtriser, dans le domaine des missiles, de la discrétion acoustique, de la propulsion nucléaire pour faire des choses aussi extraordinaires qu’un pas de tir capable de lancer xfusées sous la mer, le tout propulsé par un cœur nucléaire qui est une centrale à lui seul ! C’est vraiment d’une complexité inouïe et j’espère que vous serez amené à visiter un sous-marin nucléaire. Dès lors, vous comprendrez que, pour moi, le scénario que vous évoquez est une vue de l’esprit. 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KnewEdge Posté(e) le 14 avril 2018 Share Posté(e) le 14 avril 2018 Pour ceux que ça intéresse le dernier DSI Hors-série est exclusivement sur les sous-marins dans le monde. Je le recommande car il est top ! (pourtant je ne suis pas du tout fan de DSI). https://www.areion24.news/produit/dsi-hs-n-59/ PS: ceci n'est pas un placement de produit car je n'y ai aucun intérêt si ce n'est que ma personne est hautement altruiste et tiens à partager cette pépite avec vous héhé. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 25 mai 2018 Auteur Share Posté(e) le 25 mai 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 22 juin 2018 Auteur Share Posté(e) le 22 juin 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KnewEdge Posté(e) le 21 juillet 2018 Share Posté(e) le 21 juillet 2018 Sortie du Téméraire du bassin 8 de la base navale de Brest après sa refonte M51: Merci Le marin. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 21 juillet 2018 Share Posté(e) le 21 juillet 2018 Le vendredi 20 juillet 2018, le sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) Le Téméraire, sortira du bassin 8 de la base navale de Brest après 19 mois d’indisponibilité pour entretien et réparations (IPER) et adaptation au missile M51. Ce chantier se déroule sous la maîtrise d’ouvrage conjointe de la DGA (Direction générale de l’Armement) et du SSF (Service de Soutien de la Flotte). La maîtrise d’œuvre, avec la conduite des travaux, est assurée par Naval Group. Le Téméraire est le dernier des SNLE à être adapté au standard M51. L’opération de maintenance approfondie qui se termine va lui redonner de plus un potentiel de disponibilité pour une dizaine d’années. Elle a également permis de mettre aux derniers standards les systèmes de combat et de navigation. Cette modernisation régulière, incrémentale, des SNLE et de leurs missiles est l’un des marquants visibles de la crédibilité de la composante océanique de la dissuasion. Le Téméraire, actuellement dépourvu de combustible nucléaire, traversera la rade vers la base opérationnelle de l’Ile Longue pour la dernière étape de son IPER Adaptation : le rechargement de son cœur nucléaire, puis ses essais à la mer et enfin l’embarquement de son armement stratégique avant son retour dans le cycle opérationnel. Communiqué de la Marine nationale, 19/07/18 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 25 juillet 2018 Auteur Share Posté(e) le 25 juillet 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 26 juillet 2018 Share Posté(e) le 26 juillet 2018 Le 21/07/2018 à 18:07, Scarabé a dit : Le Téméraire est le dernier des SNLE à être adapté au standard M51 Wiki dit cela: La Marine nationale française dispose de 4 SNLE-NG en activité (en parc) ; ce qui permet d'assurer la permanence opérationnelle stratégique par au moins un bâtiment en patrouille : Nom Mise sur cale Date de lancement Mise en service Le Triomphant (S616) 9 juin 1986 26 mars 1994 21 mars 1997 Le Téméraire (S617)18 décembre 1993 21 janvier 1998 23 décembre 1999 Le Vigilant (S618 )janvier 1996 19 septembre 2003 26 novembre 2004 Le Terrible (S619) 24 octobre 2000 21 mars 2008 20 septembre 2010 OR M&M ( pas accès à l'intégralité de l'article ) dit que "Lancé en 2010, le programme de refonte des trois premiers sous-marins nucléaires lanceurs d’engins du type Le Triomphant entre dans sa phase finale" QUESTION: Quid du devenir du 4-ème SNLE Classe Triomphant ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mayamac Posté(e) le 26 juillet 2018 Share Posté(e) le 26 juillet 2018 Je ne sais pas... Mais je suppute que le 4eme (c a d le Terrible) n'a pas besoin de refonte car il a été déjà produit au dernier standard, c'est pourquoi seulement 3 ont eu besoin de refonte. Ou alors, au pire, il est trop jeune pour déjà faire une refonte (mais ce n'est pas cohérent avec le fait que le programme de refonte soit déjà terminé) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 26 juillet 2018 Share Posté(e) le 26 juillet 2018 Les 3 premiers ont été mis au standard du Terrible livré au standard M 51 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nenel Posté(e) le 26 juillet 2018 Share Posté(e) le 26 juillet 2018 Article de Mer&Marine qui retrace l'histoire de la classe "Triomphant " pour ceux qui seraient passés à côté de certains détails. https://www.google.fr/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.meretmarine.com/fr/content/dossier-la-modernisation-de-la-force-oceanique-strategique&ved=2ahUKEwi61v6krbzcAhVHUhoKHf4OCeMQFjABegQIBhAB&usg=AOvVaw3zpKqWiZ6Sa_Y6qxO-AU8- 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 21 septembre 2018 Share Posté(e) le 21 septembre 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 2 octobre 2018 Auteur Share Posté(e) le 2 octobre 2018 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 2 octobre 2018 Share Posté(e) le 2 octobre 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 10 octobre 2018 Auteur Share Posté(e) le 10 octobre 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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