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[FDI] Les Frégates de Défense et d’Intervention ex FTI


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il y a une heure, Born to sail a dit :

La position des pavillons, dont particulièrement le pavillon national , Il n'y a que moi que ça choque ?

Il ne devrait pas se trouver sur l'arrière de la mâture ?

le topside PSIM  doit y être pour qqchose ?  je vais regarder si j'ai de la littérature ..:smile:

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Le 10/12/2024 à 16:10, Titus K a dit :

C'est un trait d’humour rassures nous ?

Je crois que c'est un trait d'amertume concernant un bâtiment précédent, construit avec une réserve d'évolution pour de l'armement supplémentaire, réserve consommée par la mise en place de quartiers féminins au moment de la féminisation des équipages (qui n'avait pas été envisagée au moment de la construction).

C'était quoi, déjà ? Les FLF ?

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il y a 14 minutes, ARMEN56 a dit :

je vous  informe que la féminisation des FLF concernait la tranche J et non la C,  hein !!

Juste pour troller : moi, dans ce que tu as posté, je lis que ce qui a été fait sur le Guépratte n'avait pas encore été faite sur les 4 unités précédentes. Je suis prompt à en conclure que ce document "d'étape" ne correspond pas nécessairement à l'état final des autres bâtiments.

Mais c'est parce que j'aime me faire l'avocat du diable. :wink:

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il y a 26 minutes, FATac a dit :

Juste pour troller : moi, dans ce que tu as posté, je lis que ce qui a été fait sur le Guépratte n'avait pas encore été faite sur les 4 unités précédentes. Je suis prompt à en conclure que ce document "d'étape" ne correspond pas nécessairement à l'état final des autres bâtiments.

Mais c'est parce que j'aime me faire l'avocat du diable. :wink:

Alors de mon peu de temps ( SN) sur un escorteur , j’ai ft ; 

- poste avant , pas mal secoué ..

- poste arrière donc proche point tranquille mais aussi du bruit LA et  des écoulements tourmentés 

De toute façon ; avant ou arrière ces berceuses font bien le roupillon jusqu’au branle-bas . 

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Il y a 2 heures, ARMEN56 a dit :

je vous  informe que la féminisation des FLF concernait la tranche J et non la C,  hein !!

 

il y a une heure, Scarabé a dit :

Je le savais

Et moi, je savais bien que je l'avais vu écrit quelque part, en toutes lettres :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Classe_La_Fayette

Citation

Initialement, les frégates classe La Fayette devaient être équipées de douze missiles surface-air Aster. Ils n'ont pas été installés pour des raisons budgétaires mais leurs emplacements sont disponibles, entre la tourelle de 100 mm et l'avant de la passerelle. Depuis la féminisation des FLF ces emplacements sont aménagés en locaux vie pour le personnel féminin.

Alors, certes, l'affirmation de Wikipedia n'est pas sourcée... J'en appelle à un habitué de l'outil : @collectionneur ça ne vaudrait pas le coup de déclencher une discussion sur l'article et/ou un "cet article ne cite pas suffisamment ses sources ?

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Il y a 2 heures, collectionneur a dit :

@FATac reference nécessaire demandé. 

@FATac Cet article devrait aider :

https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-fayette-il-y-a-20-ans-la-france-inventait-la-fregate-furtive

Révélation

Modularité et optimisation des coûts

Pour les mêmes raisons, le STCN et DCN optent pour une conception modulaire et une plateforme évolutive: « Nous avons conçu et réalisé un bateau économique, avec un système de combat à la base relativement limité, mais qui pouvait embarquer des capacités supplémentaires. Pour cela, des zones vides ont été réservées pour un usage potentiel ultérieur », explique Bernard Planchais.  Devant la passerelle, un espace est ainsi conservé pour pouvoir installer deux lanceurs verticaux Sylver abritant 16 missiles surface-air Aster 15. Comme pour le Charles de Gaulle, la conduite de tir aurait été assurée par un radar Arabel. Il est aussi prévu de pouvoir embarquer un sonar de coque, et même un sonar remorqué, ainsi que des torpilles. Le hangar et la plateforme hélicoptère, particulièrement vastes, ont été quant à eux dimensionnés pour recevoir des machines de 10 tonnes, en perspective à l’époque de l’arrivée du NH90. Il est prévu aussi prévu que l’appareil embarqué puisse mettre en œuvre des missiles antinavire (AS 15 ou AM39).

Aucune des capacités supplémentaires initialement prévues n’a été ajoutée, du moins jusqu’à cette époque puisque les La Fayette vont être modernisées et notamment recevoir un sonar de coque. Mais cette modularité a aussi permis de faciliter le développement de versions spécifiques pour l’export.

 

Modifié par Born to sail
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  • 1 month later...

On croise les doigts pour une belle année pour la FDI...

https://www.meretmarine.com/fr/defense/2025-sera-une-annee-charniere-a-lorient-naval-group-mise-sur-l-export

FDI-3.jpg

Révélation

«"2025 sera une année charnière » : à Lorient, Naval Group mise sur l'export"

Frégates de défense et d'intervention (FDI) en achèvement à flot au chantier Naval Group de Lorient, le 22 janvier. Au premier plan le Kimon, première unité grecque de ce type.

Alors que la première Frégate de défense et d’intervention va être livrée en 2025, Naval Group investit près de 10 M€ par an sur son site de Lorient. Et mise sur de nouvelles commandes à l’export. Un article de Stéphane Guihéneuf de la rédaction du Télégramme.

À Lorient, la construction des Frégates de défense et d’intervention (FDI) par Naval Group pour la Marine nationale et la marine grecque va bon train. « Aujourd’hui, on a six bateaux en production », commente Vincent Martinot-Lagarde, directeur Bâtiments de surface et membre exécutif du groupe. L’ancien architecte naval supervise les actions industrielles et les programmes. Ceux réalisés à Lorient, site d’assemblage des corvettes et frégates, ou par des partenaires : navires de lutte contre les mines avec Kership (Lanester), porte-avions de nouvelle génération avec les Chantiers de l’Atlantique dont la livraison est prévue en 2038. « Aujourd’hui, on en est à la phase d’avant-projet détaillé ».

Première FDI livrée en 2025

2024 a été une année importante pour le programme FDI. « Elle a vu Amiral Ronarc’h prendre la mer. C’était un point de départ, 2025 sera une année charnière. » La frégate va poursuivre ses essais en mer avant une livraison au second semestre. Trois autres suivent pour la marine grecque : le Kimon devrait être livré « à la fin de l’année », le Nearchos est en phase de finition et le Formion en phase d’armement. Cette dernière « sera mise à l’eau avant l’été. » Quant à la quatrième grecque évoquée par Nikos Déndias, ministre grec de la Défense, elle fait toujours objet de discussions. « Les négociations avancent bien. On espère une confirmation définitive dans le courant de l’année. » Année charnière parce que Oostende, premier navire de lutte contre les mines du programme belgo-néerlandais sera, lui aussi, livré en milieu d’année. « On va avoir deux têtes de série qui vont démontrer leur pleine capacité technique à la mer. Ces deux produits se rejoignent par leur haut degré de technologie. »

Norvège, Arabie, Indonésie

Le programme FDI continue d’intéresser. « La Norvège a sollicité la France dans le cadre de son programme de renouvellement des frégates. » Arabie et Indonésie sont intéressées. De son côté, la Direction générale de l‘armement (DGA) envisage la production de coques nues pour l’export. De quoi soutenir l’activité du site lorientais. « Ce qui se discute, c’est la façon d’affermir l’ensemble des cinq bateaux français : trois sont formellement commandés, deux sont prévus. La DGA a une latitude dans la façon de commander les derniers exemplaires. Ils peuvent rentrer dans une logique d’encouragement de Naval Group à l’export », précise Vincent Martinot-Lagarde. La capacité industrielle du site est de deux frégates par an. « Le rythme effectif dépend de la réalité des prises de commandes. Si la Norvège aboutit, deux FDI par an sera une réalité. »

Maintenir la capacité industrielle

Pour maintenir le rythme et entretenir la capacité industrielle de son site, Naval Group investit « près de 10 M€ par an ». Le nouveau bateau-porte a permis de récupérer un bassin. « Cela nous donne plus de flexibilité. On a deux quais de finition, deux bassins, cela fait un ensemble cohérent. » Naval Group a pour projet de créer un nouveau pôle composite. « On a deux pôles principaux, à Lorient et Ruelle (Charente), pour répondre à l’ensemble de nos projets. L’objectif est d’augmenter la capacité. » Naval Group à Lorient, c‘est 2600 salariés, 1100 prestataires et une centaine d’embauches par an.

 

Modifié par Ronfly
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