C’est un message populaire. Rob1 Posté(e) le 22 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 juin https://bsky.app/profile/acyn.bsky.social/post/3ls7bmorvth2e JD Vance : I certainly empathize with Americans who are exhausted after 25 years of foreign entanglements in the Middle East, I understand the concern, but the difference is that back then, we had dumb presidents, and now we have a president who actually knows how to accomplish America’s national security objectives. Ah ben je suis rassuré alors 12 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin https://www.newsweek.com/aoc-trump-impeachment-iran-giuliani-2089177 (23 juin 2025) Les démocrates qui réclament la destitution du président Donald Trump en raison des frappes militaires américaines contre l'Iran devraient être « jugés pour trahison », a déclaré Rudy Giuliani. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin L'apaisement et la réconciliation nationale est en bonne voie aux US sous cette mandature 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 26 juin Share Posté(e) le 26 juin y a t il un psy pour nous éclairer sur ce qui se passe dans la tete du président US ? il se prend pour un dieu, décidant de qui doit rentrer dans le rang et à son top il décide unilateralement de hausses de taxes il "prend en otage" ses partenaires (disons qu'il est cru dans ses explications) son verbiage est limite enfantin il change d'avis comme de casquette bref, d'un coté, il m'inquiete, parce que patron de la plus grande puissance militaire du monde (pour l'instant).. et d'un autre coté, ses excès, ses retournements m'incitent à ne pas le prendre au mot et d'attendre toujours son changement d'avis... allo, docteur (des boyaux de la tête) ... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 26 juin Share Posté(e) le 26 juin Les gens font ce qu'ils peuvent. Tant qu'ils peuvent ils font. Et comme personne le l'empêche pourquoi se gêner outre mesure. C'est aussi simple que ca un con... Ça ose tout. Et de tout évidence ça convient bien aux USA... Et suffisamment bien au reste du monde qui lui lèche me cul. --- Une petite citation pour explorer en quoi ce genre de déraison être aussi favorisée par l'évolution L'homme raisonnable s'adapte au monde. L'homme déraisonnable essaye d'adapter le monde à lui-même. Par conséquent tout progrès dépend de l'homme qui n'est pas raisonnable. https://en.m.wikiquote.org/wiki/George_Bernard_Shaw#Quotes 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 28 juin Share Posté(e) le 28 juin Un arrêt rendu par la cour suprême vient abraser un peu plus le le système des checks and balances, cher aux Etats-Unis et aux pères fondateurs. C'est un énorme verrou à la politique de Trump qui vient de sauter, dans le cadre d'un débat plus large sur le périmètre des juges et de l'exécutif (débat qui existe aussi chez nous, dans une moindre mesure). Ce que cela signifie pour nous, c'est que Trump va pouvoir retrouver une marge de manœuvre en capital politique et de la capacité à agir sur la scène intérieure, ce qui renforcera d'autant plus son influence à l'international. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/06/28/aux-etats-unis-la-cour-supreme-offre-une-victoire-retentissante-a-donald-trump-en-affaiblissant-le-pouvoir-des-juges-federaux_6616231_3210.html Citation Aux Etats-Unis, la Cour suprême offre une victoire retentissante à Donald Trump en affaiblissant le pouvoir des juges fédéraux La haute juridiction restreint l’usage des suspensions de portée nationale prononcées par les magistrats. Conséquence : elle laisse en place un décret présidentiel limitant le droit du sol dans les vingt-huit Etats qui ne s’étaient pas portés en justice. Dans trente jours, tous les enfants nés sur le sol américain n’auront plus automatiquement la nationalité américaine, contrairement à la promesse que leur fait la Constitution des Etats-Unis depuis plus de cent cinquante-cinq ans. Tel est le résultat de la décision de la Cour suprême, annoncée vendredi 27 juin, au dernier jour de sa session annuelle. La décision de la Cour a une autre portée historique. Elle limite le pouvoir des juges fédéraux de bloquer temporairement les lois et décrets sur l’ensemble du territoire américain, tranchant un débat qui dure depuis plus de vingt ans sur le pouvoir des juges. Alors qu’elle n’avait pas jugé bon de réduire la portée des injonctions judiciaires sous Joe Biden, la Cour a offert cette victoire à Donald Trump, qui ne cessait, il est vrai, de mettre en demeure le président de la Cour suprême, John Roberts, de « contrôler les excès » du corps judiciaire. La Cour avait été saisie par Donald Trump après que trois juges fédéraux ont suspendu l’application de son décret du 20 janvier, le jour même de sa prise de fonctions, annonçant que les enfants nés sur le sol américain de parents sans statut légal ou résidents temporaires n’acquerraient plus automatiquement la citoyenneté américaine, cela à partir du 19 février. Un décret allant à l’encontre du 14e amendement de la Constitution, adopté en 1868, qui prévoit que « toutes les personnes nées ou naturalisées aux Etats-Unis et soumises à leur juridiction sont citoyennes des Etats-Unis », indépendamment du statut migratoire de leurs parents. Dès le lendemain, le décret de Donald Trump avait été attaqué en justice par 22 Etats et plusieurs associations de défense des droits civiques. Trois juges fédéraux – dans le Maryland, le Massachusetts et le New Hampshire – avaient bloqué son application par le biais d’injonctions à portée nationale. Le gouvernement avait demandé à la Cour suprême de surseoir à ces suspensions dites « universelles » et d’en limiter la portée aux seuls plaignants du dossier porté devant la Cour : sept femmes enceintes et onze membres de deux associations de défense des migrants. « Recette pour le chaos » Dans leur décision de vendredi, rendue par six voix contre trois, les juges ne se prononcent pas sur la remise en question, par un simple coup de plume présidentiel, d’un principe inscrit dans la Constitution. La limitation du droit du sol, voulue par Donald Trump au nom de la lutte contre l’immigration illégale, reste en cours d’examen sur le fond par les tribunaux – à ce jour, six l’ont rejetée – et éventuellement les cours d’appel, sachant que le dossier reviendrait devant la Cour suprême en cas de contentieux. La Cour ne se prononce pas sur le fond, mais en décidant que les juges ont « outrepassé » leurs pouvoirs, comme l’écrit la juge Amy Coney Barrett au nom des six conservateurs, et en renvoyant l’affaire aux tribunaux inférieurs, elle laisse de fait le décret présidentiel s’appliquer, du moins dans les Etats où il n’a pas été contesté. En pratique, l’octroi automatique de la citoyenneté américaine aux enfants nés de parents sans statut légal ou résidents temporaires devrait donc prendre fin dans un mois dans vingt-huit Etats, sauf nouvelle intervention judiciaire. Même s’il n’est que temporaire, ce bouleversement risque de renforcer la division du pays entre Etats républicains – où l’avortement est limité, où les polices locales contribuent à l’arrestation des personnes sans papiers, etc. – et Etats démocrates, aux politiques opposées. « Comment met-on en place un tel système, où les droits constitutionnels dépendent de l’Etat dans lequel on vit ? », s’est alarmé le procureur général du Colorado, le démocrate Phil Weiser. Comme lui, les responsables démocrates ont dénoncé une décision qui fait l’effet d’une « recette pour le chaos ». Les gouverneurs ont fait savoir à leurs résidents que le droit du sol continuerait à s’appliquer chez eux. Mais quelles seront les répercussions dans les Etats républicains voisins ? « Est-ce que des habitants du Wyoming vont vouloir venir dans le Colorado pour y faire naître leurs enfants ? », s’est interrogé Phil Weiser, au micro de Colorado Public Radio. Principal vecteur de contre-pouvoir Pendant l’audience consacrée à l’affaire, le 15 mai, plusieurs juges conservateurs s’étaient souciés des conséquences pratiques d’une telle modification sur les familles, les maternités, les administrations. Loin de ces considérations pour leurs concitoyens, la décision de vendredi – longue de 119 pages – reflète surtout le souci de la majorité de régler une querelle politico-judiciaire qui dure depuis des décennies sur les injonctions. A la surprise des experts, compte tenu de l’importance du sujet, le texte majoritaire a été rédigé par la dernière arrivée à la Cour, Amy Coney Barrett, nommée en 2020. Elle avait été violemment prise à partie par la base MAGA (Make America Great Again), après deux décisions défavorables à l’administration Trump. Cette fois, les républicains n’auront aucune raison de la critiquer, et le président lui-même l’a remerciée. « Personne ne conteste que l’exécutif a le devoir de respecter la loi. Mais le pouvoir judiciaire ne dispose pas d’une autorité illimitée pour faire respecter cette obligation, écrit-elle. En fait, la loi lui interdit parfois de le faire. » L’argumentation est technique et fait remonter la discussion sur les injonctions universelles au droit anglais médiéval. Si les juges fédéraux (quelque 870 nommés à vie) ont depuis 1803 le pouvoir de contrôle de la légalité des décisions (judicial review), aucun texte – sinon un principe « d’équité » reconnu par le Congrès – ne leur donne spécifiquement l’autorité de suspendre l’application de mesures pour l’ensemble du pays et pas seulement pour les personnes ou les groupes s’étant pourvus en justice. Au fil des années, et particulièrement depuis la présidence de Barack Obama (2009-2017), la pratique s’est étendue. Les deux partis s’en sont plaints. « Finalement, l’injonction universelle était visiblement inexistante pendant la plus grande partie de l’histoire de notre nation », a ajouté Amy Coney Barrett. Sous le premier mandat de Donald Trump (2017-2021) et, plus encore, depuis le début du second, le 20 janvier, les ordonnances judiciaires sont devenues le principal vecteur de contre-pouvoir face à l’administration, les démocrates étant réduits à un rôle de spectateurs au Congrès. Donald Trump et son vice-président, J. D. Vance, ont rivalisé d’agressivité envers les juges « radicaux », furieux que quelque 25 injonctions aient été prises en quatre mois contre leur politique, au point que les magistrats avaient commencé à craindre pour leur sécurité – laquelle dépend du bon vouloir du ministère de la justice. A l’audience du 15 mai, le très conservateur Samuel Alito, membre de la Cour suprême, avait ironisé sur la « maladie professionnelle » qui affecte les juges fédéraux : « penser qu’ils ont raison » et se prendre pour des « monarques ». « Pas terrifiant vers l’autoritarisme » Vendredi, la juge Ketanji Brown Jackson a regretté que le réexamen des injonctions ait eu lieu sur un dossier comme le droit du sol, et que la Cour suprême, garante de la Constitution, se soit prêtée à un scénario qui va permettre au gouvernement de se livrer « à des actions illégales », comme la modification de l’un des textes fondateurs de la République de l’après-guerre de Sécession. Elle y a vu « une menace existentielle contre l’Etat de droit ». En séance, la juge Sonia Sotomayor a lu l’opinion dissidente des trois juges progressistes, un signe de désapprobation solennelle. Elle a estimé que, par sa décision, la Cour avait instauré « un nouveau régime juridique » dans lequel les « garanties constitutionnelles » ne constituaient plus une protection. La juge Amy Coney Barrett a regretté que la minorité se focalise sur la constitutionnalité de la réforme du droit du sol, question qui n’était pas soumise à la Cour. « La juge Jackson dénonce un exécutif impérial tout en célébrant un judiciaire impérial, cingle-t-elle dans le texte signé par la majorité. Elle ferait bien de suivre sa propre mise en garde : “Chacun, du président jusqu’aux plus humbles, est soumis à la loi.” Cela vaut aussi pour les juges. » Donald Trump s’est félicité d’une « victoire gigantesque », avant de faire la liste des dossiers dans lesquels son administration va se sentir libérée de la contrainte des juges, de la cessation des financements fédéraux pour les villes sanctuaires aux licenciements de fonctionnaires fédéraux. « C’est une décision qui couvre un territoire immense », a-t-il ajouté. Le sénateur de New York, Chuck Schumer, chef de file de la minorité démocrate au Sénat, a qualifié la décision de « pas terrifiant vers l’autoritarisme ». Les associations de défense des immigrants ont promis d’essayer de représenter toutes les mères qui doivent maintenant trouver un avocat et se pourvoir en justice pour obtenir que leur enfant échappe au décret du président limitant le droit du sol. Plusieurs ont déjà déposé des recours en nom collectif, la solution de rechange aux injonctions universelles, désormais bannies. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin Il y a 6 heures, olivier lsb a dit : Ce que cela signifie pour nous, c'est que Trump va pouvoir retrouver une marge de manœuvre en capital politique et de la capacité à agir sur la scène intérieure, ce qui renforcera d'autant plus son influence à l'international. Tu pourrais étayer comment tu construit un rapport de causes à effet entre marge de manoeuvre en politique intérieure influence internationale, influence sur qui d'ailleurs? Sur les politiques qui s'en inspirent? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin (modifié) Il y a 21 heures, g4lly a dit : Tu pourrais étayer comment tu construit un rapport de causes à effet entre marge de manoeuvre en politique intérieure influence internationale, influence sur qui d'ailleurs? Sur les politiques qui s'en inspirent? L'arrêt de la cour suprême lui ouvre un passage pour faire avancer, avec moins d'entraves judiciaire, son agenda politique. Quand les dirigeants sont accaparés ou entravés sur leur agenda domestique, ils disposent de moins de temps, de ressources ou de légitimité pour œuvrer à l'international. C'est juste ce constat basique, sans spéculer sur ce que Trump fera concrètement. Il a de toute façon suffisamment donné d'indices sur la question. Le PR est un bon exemple de cette situation, entre son premier mandat et une influence importante de la voix de la France dans l'UE, et maintenant depuis la dissolution. Scholz et sa coalition branlante à trois partis en était un autre. Sous Trump II, le dernier contre-pouvoir réellement tangible est celui de la justice, et la cours suprême a donc limité le périmètre des juges fédéraux. Modifié le 29 juin par olivier lsb orthographe 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin il y a 8 minutes, olivier lsb a dit : Sous Trump II, le dernier contre-pouvoir réellement tangible est celui de la justice, et la cours suprême a donc limité le périmètre des juges fédéraux. Question que je me pose du coup : comment finalement assurent-ils leur contrôle de constitutionnalité des lois propres à chaque état, et des décisions de justice au sens plus large ? Il me semble que c'était en fait par le mécanisme qui vient d'être torpillé ou, pour être gentil, considérablement raboté. Il semble que l'injonction fédérale des trios de juges fédéraux n'avait pas été explicitement prévue par les textes mais s'inscrivait dans la logique du système. Le fond de l'affaire est la multiplication des décisions locales très partisanes et, dans la ligne des émeutes au Congrès de début 2021 puis depuis le début de l'année, le mépris évident de Trump & Co. pour tout ce qui les entrave, fut-ce la Constitution. C'est absolument flagrant dans le cas de la citoyenneté liée au droit du sol. D'après wikipedia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Citoyenneté_américaine) : Le 14e amendement (Section 1) de la Constitution américaine dispose : « Toute personne née ou naturalisée aux États-Unis, et soumise à leur juridiction, est citoyenne des États-Unis et de l'État dans lequel elle réside. Aucun État ne fera ou n'appliquera de lois qui restreindraient les privilèges ou les immunités des citoyens des États-Unis ; ne privera une personne de sa vie, de sa liberté ou de ses biens sans procédure légale régulière ; ni ne refusera à quiconque relève de sa juridiction l'égale protection des lois. » Ce texte est bafoué actuellement, sans aucun doute possible, de plusieurs manières et à grande échelle, et ce n'est pas le seul loin de là. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin Et pour ne rien arranger, il n'y a plus de parti républicain. C'est désormais confirmé. Fil à lire. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin (modifié) Il y a 13 heures, Boule75 a dit : Question que je me pose du coup : comment finalement assurent-ils leur contrôle de constitutionnalité des lois propres à chaque état, et des décisions de justice au sens plus large ? Il me semble que c'était en fait par le mécanisme qui vient d'être torpillé ou, pour être gentil, considérablement raboté. Il semble que l'injonction fédérale des trios de juges fédéraux n'avait pas été explicitement prévue par les textes mais s'inscrivait dans la logique du système. Non. Enfin, ce n'est pas ma compréhension. Le contrôle constitutionnel reste la prébende de la cour suprême et de ses neufs juges. Ce qui vient d'être raboté, c'était la capacité des juges fédéraux, au sein des cours de justices "traditionnelles" des états, de pouvoir bloquer des décisions de l'exécutif fédéral. L'arrêt renvoie les juges à leurs affaires, en réduisant le pouvoir d'aller chercher un contentieux sur une décision de l'exécutif dans son entièreté (et non plus indirectement, par jurisprudence, comme c'est traditionnellement le cas en matière de justice). De ce point de vue là, je trouve que le pouvoir des juges américains était assez exorbitant, sur des standards français. Après, faut bien comprendre que c'était tout leur système qui était construit sur cet équilibre de checks and balances (là ou en France, c'est Paris approved et rien d'autre). Citation Le fond de l'affaire est la multiplication des décisions locales très partisanes et, dans la ligne des émeutes au Congrès de début 2021 puis depuis le début de l'année, le mépris évident de Trump & Co. pour tout ce qui les entrave, fut-ce la Constitution. C'est absolument flagrant dans le cas de la citoyenneté liée au droit du sol. D'après wikipedia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Citoyenneté_américaine) : Le 14e amendement (Section 1) de la Constitution américaine dispose : « Toute personne née ou naturalisée aux États-Unis, et soumise à leur juridiction, est citoyenne des États-Unis et de l'État dans lequel elle réside. Aucun État ne fera ou n'appliquera de lois qui restreindraient les privilèges ou les immunités des citoyens des États-Unis ; ne privera une personne de sa vie, de sa liberté ou de ses biens sans procédure légale régulière ; ni ne refusera à quiconque relève de sa juridiction l'égale protection des lois. » Ce texte est bafoué actuellement, sans aucun doute possible, de plusieurs manières et à grande échelle, et ce n'est pas le seul loin de là. Dans le fond, cette décision de la cour suprême, pour radicale qu'elle soit, tranche un débat qui transpire aussi chez nous en filigrane, quand on lit entre les lignes de beaucoup de débats politiques. On serait bien sage de ne pas y avoir qu'un nouvel épisode d'une Trumperie. Les extrêmes, surtout à droite, sont très volontariste pour des politiques à 180 degrés, qui viendraient percuter de plein fouet certains traités. Souvent à gauche, on rétorque qu'on ne peut pas faire ci ou çà, car le droit (ou les traités) et la justice l'interdisent.... Sans pour autant fournir de réponse satisfaisantes, aux yeux de l'électorat, aux problèmes soulevés. Modifié le 29 juin par olivier lsb 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 30 juin Share Posté(e) le 30 juin Le 28/06/2025 à 20:12, olivier lsb a dit : Un arrêt rendu par la cour suprême vient abraser un peu plus le le système des checks and balances, cher aux Etats-Unis et aux pères fondateurs. C'est un énorme verrou à la politique de Trump qui vient de sauter, dans le cadre d'un débat plus large sur le périmètre des juges et de l'exécutif (débat qui existe aussi chez nous, dans une moindre mesure). Ce que cela signifie pour nous, c'est que Trump va pouvoir retrouver une marge de manœuvre en capital politique et de la capacité à agir sur la scène intérieure, ce qui renforcera d'autant plus son influence à l'international. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/06/28/aux-etats-unis-la-cour-supreme-offre-une-victoire-retentissante-a-donald-trump-en-affaiblissant-le-pouvoir-des-juges-federaux_6616231_3210.html Sujet déjà traité, page 1073 du sujet principal. Je vois mal comment une décision de la cour suprême, qu'on l'aime ou pas, puisse être ravalée au rang de "criaillerie". https://forum.air-defense.net/topic/11243-usa/page/1073/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 30 juin Share Posté(e) le 30 juin Il y a 3 heures, Wallaby a dit : Sujet déjà traité, page 1073 du sujet principal. Je vois mal comment une décision de la cour suprême, qu'on l'aime ou pas, puisse être ravalée au rang de "criaillerie". https://forum.air-defense.net/topic/11243-usa/page/1073/ Polémique, plutôt. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 30 juin Share Posté(e) le 30 juin Il y a 6 heures, Wallaby a dit : Sujet déjà traité, page 1073 du sujet principal. Je vois mal comment une décision de la cour suprême, qu'on l'aime ou pas, puisse être ravalée au rang de "criaillerie". https://forum.air-defense.net/topic/11243-usa/page/1073/ Dire tout et son contraire, en faisant l'inverse, alternativement. Voilà ma contribution Trump spirit au sujet criaillerie ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Après les crypto, les deals immobiliers au Moyen-Orient, le portable Trump voici le parfum Trump ! Tout est bon pour rentrer de la fraîche ! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Il y a 6 heures, vincenzo a dit : Après les crypto, les deals immobiliers au Moyen-Orient, le portable Trump voici le parfum Trump ! Tout est bon pour rentrer de la fraîche ! Ce n'est même plus du mauvais goût ni profiter du pouvoir à ce niveau-là... 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
RugbyGoth Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Le 29/06/2025 à 10:42, Ciders a dit : Et pour ne rien arranger, il n'y a plus de parti républicain. C'est désormais confirmé. Fil à lire. Ah, c'est pour ça qu'Elon est reparti en roue libre sur X... Il annonce un nouveau parti à priori. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet La classe présidentielle : 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Oh ça alors quelle surprise... (le vidéaste Nate The Lawyer est noir donc pas d'accusations foireuses, merci) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet (modifié) il y a 12 minutes, Patrick a dit : Oh ça alors quelle surprise... (le vidéaste Nate The Lawyer est noir donc pas d'accusations foireuses, merci) La chasse aux sorcières est ouverte ... Et là les sorcières c'est toute personnes embauchées par les démocrates, DEI est juste un allibi. Ils ont trouvé un cas pratique idéal. Modifié le 2 juillet par herciv 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet (modifié) Le 02/07/2025 à 14:31, herciv a dit : La chasse aux sorcières est ouverte ... Et là les sorcières c'est toute personnes embauchées par les démocrates, DEI est juste un allibi. Ils ont trouvé un cas pratique idéal. Oui pauvre agente chinoise présente sur le sol US pour mettre le bordel dans la société et pour voler des dizaines de millions d'argent public... Je suis loin d'être d'accord avec ce que fait Trump. Il fait essentiellement n'importe quoi. Mais certaines de ses actions sont pleinement justifiées et servent d'alibi au reste. Ne pas vouloir voir cela c'est de l'aveuglement. Si les accointances avec la Russie (intolérables entendons-nous bien) sont condamnables, celles avec la Chine doivent l'être tout autant. Modifié le 5 juillet par collectionneur Majuscules Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Le 02/07/2025 à 14:48, Patrick a dit : Je suis loin d'être d'accord avec ce que fait Trump. Il fait essentiellement n'importe quoi. Mais certaines de ses actions sont pleinement justifiées et servent d'alibi au reste. Ne pas vouloir voir cela c'est de l'aveuglement. Oui c'était la cliente idéal. Agent chinoise, fraudeuse, DEI et embauchée par les démocrates. On a tous les ingrédients d'une bonne tête d'alibi pour porter un message politique plus profond. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Le 02/07/2025 à 14:50, herciv a dit : Oui c'était la cliente idéal. Agent chinoise, fraudeuse, DEI et embauchée par les démocrates. On a tous les ingrédients d'une bonne tête d'alibi pour porter un message politique plus profond. Bof si elle est coupable qu'elle soit jugé et condamné. Trump s'encombre pas vraiment d'excuse dans ses choix politiques et surtout n'attends pas qu'une quelconque réalité viennent les corroborer. Il joue une partition empire en déclin, mes intérêts avant tout le reste et 2/3 touches idéologiques qui tiennent plus des habitudes mentales que d'une idéologie authentique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Le 02/07/2025 à 14:48, Patrick a dit : Si les accointances avec la Russie (intolérables entendons-nous bien) sont condamnables, celles avec la chine doivent l'être tout autant. Ça tombe bien, elles ne sont pas condamnées. Elles te donnent même des postes au sein du gouvernement et de l'administration américaine. Enfin bon. Ça permet de cacher les vrais enjeux de ce qu'il se passe actuellement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet https://www.lefigaro.fr/sports/mma/donald-trump-souhaite-organiser-une-soiree-ufc-a-la-maison-blanche-pour-les-250-ans-des-etats-unis-20250704 Je propose Donald T vs E Musk... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Veuillez vous connecter pour commenter
Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.
Connectez-vous maintenant