ARMEN56 Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août https://www.linkedin.com/posts/navyrecognition_albanese-government-accelerates-build-of-activity-7221531126060720128-UEhn Posté aussi dans ce fil ; « Batellerie et engin & moyens de débarquement » https://landforces.com.au/media/news-article/defence-announces-accelerated-build-of-18-new-landing-craft- 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janmary Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août (modifié) TRADUCTION ANGLAIS / FRANCAIS PRECEDENT POUR LES AMIS NON BILINGUE. Ministre de l'Industrie de la Défense, l'honorable député Pat Conroy a annoncé aujourd'hui la construction accélérée de 18 nouveaux moyens de péniche de débarquement au chantier naval Henderson en Australie occidentale. Les navires construits par Austal, conçus par Birdon, créera jusqu'à 1 100 emplois pour la main-d'œuvre de l'industrie de défense et soutiendra une stratégie de déni en déployant et en soutenant des forces terrestres modernisées dotées de capacités de frappe terrestre et maritime à longue portée dans toute la région. Le Landing Craft Medium fera partie de la flotte plus large de navires de l'Armée de terre, notamment Landing Craft Heavy et Amphibious Vehicles Logistics. Ces navires formeront trois bataillons de péniches de débarquement, colocalisés avec les brigades de combat de l'armée. Le projet de $2 milliards sera un programme pilote pour l'Accord stratégique de construction navale du gouvernement avec Austal à Henderson. La Défense a maintenant entamé un processus d'approvisionnement pour sélectionner un modèle de Landing Craft Heavy mature, qui sera également construit par Austal à Henderson. “Le gouvernement albanais s'engage sans faille à sauvegarder les Australiens et leurs intérêts nationaux, c'est pourquoi nous investissons de manière record dans la défense et la modernisation des ADF. “Building Australia's new fleet of landing craft fait également partie de l'engagement du Gouvernement en faveur de la construction navale continue en Australie occidentale et d'un avenir fait en Australie. Cette réserve de travaux se traduira par des opportunités pour l'industrie de défense australienne et soutiendra une main-d'œuvre hautement qualifiée dans la construction navale pour les années à venir", a déclaré le ministre Conroy. “Ces nouveaux navires permettront aux ADF de déployer et de soutenir des forces terrestres sur les plages, les rivières et les ports d'Australie et de notre région, renforçant ainsi notre capacité à travailler avec des partenaires militaires régionaux, et soutenir les communautés à travers l'Indo-Pacifique avec des opérations humanitaires et de secours en cas de catastrophe.” Le premier des péniches de débarquement moyennes devrait être livré en 2026. Modifié le 6 août par Janmary 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rodac Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août il y a 48 minutes, Janmary a dit : TRADUCTION ANGLAIS / FRANCAIS PRECEDENT POUR LES AMIS NON BILINGUE. Ministre de l'Industrie de la Défense, l'honorable député Pat Conroy a annoncé aujourd'hui la construction accélérée de 18 nouveaux moyens de péniche de débarquement au chantier naval Henderson en Australie occidentale. Les navires construits par Austal, conçus par Birdon, créera jusqu'à 1 100 emplois pour la main-d'œuvre de l'industrie de défense et soutiendra une stratégie de déni en déployant et en soutenant des forces terrestres modernisées dotées de capacités de frappe terrestre et maritime à longue portée dans toute la région. Le Landing Craft Medium fera partie de la flotte plus large de navires de l'Armée de terre, notamment Landing Craft Heavy et Amphibious Vehicles Logistics. Ces navires formeront trois bataillons de péniches de débarquement, colocalisés avec les brigades de combat de l'armée. Le projet de $2 milliards sera un programme pilote pour l'Accord stratégique de construction navale du gouvernement avec Austal à Henderson. La Défense a maintenant entamé un processus d'approvisionnement pour sélectionner un modèle de Landing Craft Heavy mature, qui sera également construit par Austal à Henderson. “Le gouvernement albanais s'engage sans faille à sauvegarder les Australiens et leurs intérêts nationaux, c'est pourquoi nous investissons de manière record dans la défense et la modernisation des ADF. “Building Australia's new fleet of landing craft fait également partie de l'engagement du Gouvernement en faveur de la construction navale continue en Australie occidentale et d'un avenir fait en Australie. Cette réserve de travaux se traduira par des opportunités pour l'industrie de défense australienne et soutiendra une main-d'œuvre hautement qualifiée dans la construction navale pour les années à venir", a déclaré le ministre Conroy. “Ces nouveaux navires permettront aux ADF de déployer et de soutenir des forces terrestres sur les plages, les rivières et les ports d'Australie et de notre région, renforçant ainsi notre capacité à travailler avec des partenaires militaires régionaux, et soutenir les communautés à travers l'Indo-Pacifique avec des opérations humanitaires et de secours en cas de catastrophe.” Le premier des péniches de débarquement moyennes devrait être livré en 2026. C’est évidemment le gouvernement d’Anthony Albanese et non le gouvernement albanais. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août Il y a 6 heures, rodac a dit : C’est évidemment le gouvernement d’Anthony Albanese et non le gouvernement albanais. Merci car l Albanie semblait bien loin... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Lieutenant Neptunium Posté(e) le 12 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 août https://www.abc.net.au/news/2024-08-10/australians-in-dark-on-aukus-commitments-joe-biden-revealed/104206862 "Lorsque le président américain Joe Biden a annoncé qu'il ne briguerait pas un nouveau mandat, les dirigeants politiques australiens ont exprimé leur gratitude pour sa contribution à la vie publique. Mais cette semaine, les électeurs australiens ont eu une autre raison d'être reconnaissants envers Joe Biden. En effet, ce n'est qu'à la suite d'une lettre adressée par le président américain au Congrès américain que nous avons appris que l'accord AUKUS avait été mis à jour, ce qui permettra de transférer à l'Australie des installations de propulsion nucléaire navale, et non plus seulement des "informations" sur la propulsion nucléaire. Mais ce n'est pas cette partie de la lettre qui a fait sourciller, même si, comme d'habitude, nous sommes informés de ces accords par les Américains avant de l'être par notre propre gouvernement. La partie formelle de l'accord sera dévoilée lorsqu'elle sera soumise à la commission des traités de notre propre parlement. C'est un accord parallèle, conclu entre les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie, qui suscite le plus d'inquiétude : une "entente" juridiquement non contraignante qui comprend des "engagements politiques connexes supplémentaires". De quoi s'agit-il ? Ils sont secrets. Les critiques soutiennent que la "compréhension" et les "engagements politiques connexes supplémentaires" pourraient inclure la manière dont ces navires sont utilisés et le lieu où ils le sont. En d'autres termes, quels sont les conflits auxquels l'Australie devrait participer et comment. Certains spéculent sur la possibilité que l'Australie accepte de recevoir des déchets nucléaires des États-Unis et du Royaume-Uni, ce que le gouvernement a nié. L'idée que l'un ou l'autre de ces engagements ait été pris, mais que nous ne soyons pas autorisés à le savoir, est tout simplement scandaleuse. Un rapide récapitulatif de l'accord AUKUS révèle que nous nous attendons toujours à recevoir deux sous-marins américains d'occasion de classe Virginia, avant de nous lancer dans la construction d'un sous-marin britannique entièrement nouveau, et jusqu'à présent inédit, à Adélaïde. Bien entendu, nous avons notre mot à dire sur la conception et les plans de ce nouveau sous-marin, n'est-ce pas ? En octobre 2023, le Royaume-Uni a annoncé qu'il avait choisi BAE Systems pour le sous-marin SSN-AUKUS. Ce mois-là, le sénateur écologiste David Shoebridge a demandé à des fonctionnaires quelle était l'implication de l'Australie dans la sélection de l'entreprise qui construirait les sous-marins britanniques et australiens. Alexandra Kelton, de l'Agence australienne des sous-marins, a déclaré au Sénat que "nous avons été informés, par l'intermédiaire de notre haut-commissariat, qu'une annonce allait être faite et que le contexte s'y rapportait, mais nous n'avons pas eu connaissance du contenu en détail". La saga des sous-marins AUKUS se poursuit sans qu'il y ait beaucoup d'attention en Australie, et encore moins de contribution de la part de l'Australie, compte tenu de son coût et de son énorme investissement stratégique dans une idée particulière. Les sous-marins d'occasion de la classe Virginia et, plus tard, les sous-marins de la classe AUKUS qui seront construits à Adélaïde sont censés être des "actifs souverains australiens opérant sous le contrôle total du gouvernement australien". Le député des Verts Shoebridge est l'un des critiques qui prévient que les engagements secrets pourraient inclure des engagements sur la manière dont les sous-marins sont utilisés. Cette position semble être soutenue par les documents officiels rédigés pour le service de recherche du Congrès américain. Dans sa dernière mise à jour sur les sous-marins de classe Virginia, datée du 5 août, les analystes du Service décrivent à nouveau les avantages, les coûts et les risques relatifs d'une "autre approche de répartition des tâches". Il s'agit d'un terme technique pour désigner un plan alternatif dans lequel "jusqu'à huit SSN supplémentaires de la classe Virginia seraient achetés et maintenus au service de la marine américaine et exploités à partir de l'Australie avec les SSN américains et britanniques qu'il est déjà prévu d'exploiter à partir de l'Australie ... tandis que l'Australie investirait dans des capacités militaires (telles que, par exemple, des missiles antinavires à longue portée, des drones, des munitions de flânerie, des bombardiers à longue portée B-21 ou d'autres avions de frappe à longue portée)". En d'autres termes, nous ne recevons pas de sous-marins, les Américains (et les Britanniques) se contentant de faire sortir les leurs d'ici. Parallèlement à une expansion des visites de bombardiers, des rotations de personnel et de troupes. Les arguments en faveur de la dissuasion et de la rentabilité "comprennent [le fait que] le ministre australien de la défense Richard Marles aurait confirmé en mars 2023 qu'en échange des bateaux de classe Virginia, le gouvernement australien n'a pas promis aux États-Unis que l'Australie soutiendrait les États-Unis dans un futur conflit concernant Taïwan". "La vente de trois à cinq SSN de classe Virginia à l'Australie transformerait donc ces SSN, qui seraient disponibles en cas de crise ou de conflit entre les États-Unis et la Chine, en bateaux qui pourraient ne pas être disponibles en cas de crise ou de conflit entre les États-Unis et la Chine. Cela pourrait affaiblir plutôt que renforcer la dissuasion et la capacité de combat en cas de crise ou de conflit entre les États-Unis et la Chine. Il y en a beaucoup d'autres comme ça. Fâché vendredi par le rejet par le Premier ministre de ses observations sur AUKUS, le prédécesseur de M. Albanese, Paul Keating, a mis en garde contre le fait que "la force et l'ampleur de l'implantation des États-Unis en Australie éclipseront la capacité militaire de l'Australie, de sorte que l'Australie sera considérée aux États-Unis comme une extension continentale de la puissance américaine, semblable à celle dont ils jouissent à Hawaï, en Alaska et, de manière plus limitée, dans des endroits tels que Guam". "Une telle issue risque de transformer le gouvernement australien, en termes de défense et de sécurité, en simple administrateur national de ce qui serait largement considéré en Asie comme un protectorat américain", a-t-il ajouté. Si cela se produit, les électeurs seront probablement les derniers à le savoir." 2 3 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 12 août Share Posté(e) le 12 août Alors? Finalement, qui donc n'est content qu'on soit sortis de ce panier de crabes? Vous voyez que c'était pas la peine de s'énerver! 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août Plan B en cours au cas où les soum ne serait pas disponibles pour l'Australie. Article de Laurent Lagneau. https://www.opex360.com/2024/08/13/en-australie-lidee-dacquerir-des-bombardiers-strategiques-americain-b-21-raider-revient-dans-le-debat/ En Australie, l’idée d’acquérir des bombardiers stratégiques américain B-21 Raider revient dans le débat par Laurent Lagneau · 13 août 2024 FacebookXLinkedInGoogle TranslateEmailCopy LinkPartager Selon le pacte AUKUS, conclu par l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis en septembre 2021, la marine royale australienne [RAN – Royal Australian Navy] devrait recevoir trois sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] appartenant à la classe Virginia entre 2032 et 2038. Les cinq autres qu’elle compte acquérir seront issus du programme SSN-AUKUS, lancé par Londres afin de remplacer les SNA de type Astute de la Royal Navy. Seulement, cet échéancier ne pourra être respecté que si les chantiers navals américains parviennent à surmonter leurs difficultés [capacités industrielles insuffisante, chaînes d’approvisionnement déficientes, manque de main d’œuvre qualifiée, etc.]. Actuellement, le rythme de production des SNA de type Virginia [un par an au lieu de deux, ndlr] est insuffisant pour répondre aux besoins de l’US Navy et de la RAN. Pour autant, Canberra veut croire que cette situation va s’améliorer. En tout cas, le gouvernement australien y met les moyens, une subvention de 3 milliards de dollars devant être débloquée au cours des cinq prochaines années pour aider l’industrie navale américaine à étendre leurs capacités de production. Par ailleurs, trois autres milliards de dollars ont été engagés pour financer les études conceptuelles du programme SSN-AUKUS. Justement, le 5 août, les trois pays du pacte AUKUS ont signé un accord autorisant l’échange d’informations et d’équipements en matière de propulsion nucléaire navale. « Les sous-marins constituent un maillon essentiel de la capacité navale australienne, offrant un avantage stratégique en termes de surveillance et de protection de nos approches maritimes », a rappelé ce texte qui, selon Richard Marles, le ministre australien de la Défense, « satisfera les normes les plus élevées en matière de non-prolifératon » nucléaire. Pour rappel, les SNA américains et britanniques sont dotés de réacteurs nucléaires fonctionnant avec de l’uranium hautement enrichi à plus de 90 % [et donc de qualité militaire], contrairement aux SNA français… D’où le commentaire du ministre autralien au sujet de la non-prolifération. Reste que le projet de doter la RAN de sous-marins nucléaires d’attaque est encore incertain. Probablement qu’il finira par se concrétiser… mais dans doute pas dans les délais prévus. D’où l’idée d’un « plan B », avancée dans un rapport intitulé « La sécurité nationale et la défense du Nord de l’Australie » et récemment publié par l’Institute for Public Affairs [IPA], un centre de recherche australien à but non lucratif. Ainsi, l’IPA recommande l’achat du nouveau bombardier stratégique B-21 Raider, développé par Northrop Grumman… et d’accueillir un escadron de l’US Air Force doté de cet appareil en Australie afin de « renforcer la dissuasion dans les années 2020 et de gérer le risque de retards dans le programme AUKUS de sous-marins ». « L’achat du B-21 Raider permettrait à l’Australie de disposer d’une force de dissuasion non nucléaire et une capacité de frappe à longue portée significative plus rapidement qu’avec les SNA AUKUS », fait valoir l’IPA, en notant que le futur bombardier américain pourrait entrer en service d’ici 2027. « Notre première recommandation politique est que le gouvernement a besoin d’un Plan B, qui permettrait d’obtenir une capacité militaire plus tôt et d’avoir une solution de repli dans le cas où les circonstances feraient que les sous-marins nucléaires ne pourraient pas être livrés », insiste l’institut australien. En réalité, l’IPA ne fait que reprendre une idée qui avait été évoquée par Frank Kendall, le secrétaire de l’US Air Force, en août 2022. Interrogé par The Strategist, une publication affiliée à l’Australian Strategic Policy Institute [ASPI], il avait en effet avancé, au sujet du B-21 Raider, que les États-Unis seraient prêts à en discuter avec l’Australie si celle-ci exprimait le besoin de disposer d’une capacité de frappe à longue portée. À l’époque, la Royal Australian Air Force [RAAF] n’avait pas totalement exclu cette idée. « Si nous devions investir dans une capacité de frappe à longue portée, alors cela devra être fait de façon équilibrée. Nous devrions être en mesure de protéger et de maintenir ces plateformes […]. Donc, bien que nous puissions travailler avec les États-Unis sur le B-21, ce ne sera qu’une petite partie de la capacité de frappe globale dont nous avons besoin », avait en effet expliqué l’Air Marshal Robert Chipman, qui était lors son chef d’état-major. Cela étant, encore faut-il que Canberra ait les moyens d’acquérir des B-21 Raider, dont le prix unitaire est actuellement estimé à 700 millions de dollars [coût de recherche et de développement compris]. 2 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ciders Posté(e) le 13 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 août Et que les Américains acceptent de leur en vendre... ... Sinon, moi j'ai un plan B, c'est que l'Australie achète des B-1B de seconde main le temps d'acquérir l'expérience d'assembler chez elle des B-21. Avec une avionique britannique et des missiles de croisière australo-britannico-américain, évidemment. 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août Il n’y a que moi qui ne comprend pas en quoi un bombardier long range constitue un palliatif à un sna ? Dans la panique ils font n’importe quoi les kangourous… M’enfin, en soi, avoir des bombardiers lr quand on est une île-continent loin de tout mais néanmoins trop près d’un concurrent stratégique aux dents longues, c’est sûrement utile. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 13 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 août Hmmm... On part sur un projet remplacement de SSK, donc une capacité d'attaque depuis la mer, de blocus naval et de raid contre la chaine logistique maritime, et on arrive avec un projet d'acquisition de bombardier stratégique furtif, destiné à de la frappe dans la profondeur, mais quasiment dénué des capacités attendues des SSK/SNA envisagés ? C'est magique comme plan B. On a besoin d'un tournevis, mais on se satisfera d'un éventail... pourvu que le vendeur soit le même. 6 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août (modifié) il y a 6 minutes, Hirondelle a dit : Il n’y a que moi qui ne comprend pas en quoi un bombardier long range constitue un palliatif à un sna ? Dans la panique ils font n’importe quoi les kangourous… M’enfin, en soi, avoir des bombardiers lr quand on est une île-continent loin de tout mais néanmoins trop près d’un concurrent stratégique aux dents longues, c’est sûrement utile. Le problème c'est que quand tu as déchiré le contrat pour des sous-marin Diesel-électrique en disant que les sous-marin de ce type ne répondent pas au besoin du pays. C'est compliqué d'avoir un plan B quand les sous-marin nucléaire sont à la bourre donc tu sort la moindre connerie qui claque pour détourner l'attention et là c'est tombé sur le B-21. Après c'est tout bénèf pour les USA si ça se fait ça va se transformer en "au vu de la nature ultra sensible de l'appareil, l'Australie va acheté X appareil et construire une base pour ces appareils mais ils resteront sous responsabilité/entretien/pilotage US". Modifié le 13 août par emixam 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août il y a 42 minutes, Hirondelle a dit : Il n’y a que moi qui ne comprend pas en quoi un bombardier long range constitue un palliatif à un sna ? Dans la panique ils font n’importe quoi les kangourous… M’enfin, en soi, avoir des bombardiers lr quand on est une île-continent loin de tout mais néanmoins trop près d’un concurrent stratégique aux dents longues, c’est sûrement utile. Le retour de la F-111 mania. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août il y a 8 minutes, Ciders a dit : Le retour de la F-111 mania. Ils ne veulent pas des Su-34AU ou des Tu-160MAU en remplacement des soums? 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août il y a 20 minutes, MeisterDorf a dit : Ils ne veulent pas des Su-34AU ou des Tu-160MAU en remplacement des soums? Quand on sait qu'en 1990-1991 l'URSS avait proposé le S-300 et le MiG-31 aux Israéliens, va savoir. Ils payeraient en devises fortes ou en albums de Kylie Minogue ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août Il y a 1 heure, Ciders a dit : Ils payeraient en devises fortes ou en albums de Kylie Minogue ? P*tain, la torture... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 13 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 août Il y a 1 heure, Ciders a dit : en albums de Kylie Minogue Il n'y a pas des traités qui interdisent la prolifération des Armes de Distraction Massive ? 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août Il y a 5 heures, FATac a dit : Hmmm... On part sur un projet remplacement de SSK, donc une capacité d'attaque depuis la mer, de blocus naval et de raid contre la chaine logistique maritime, et on arrive avec un projet d'acquisition de bombardier stratégique furtif, destiné à de la frappe dans la profondeur, mais quasiment dénué des capacités attendues des SSK/SNA envisagés ? C'est magique comme plan B. On a besoin d'un tournevis, mais on se satisfera d'un éventail... pourvu que le vendeur soit le même. Oh, il suffit de mettre un schnorchel sur la bête qui est déjà quasiment noire. Et hop ça passe 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août (modifié) Il y a 5 heures, FATac a dit : Hmmm... On part sur un projet remplacement de SSK, donc une capacité d'attaque depuis la mer, de blocus naval et de raid contre la chaine logistique maritime, et on arrive avec un projet d'acquisition de bombardier stratégique furtif, destiné à de la frappe dans la profondeur, mais quasiment dénué des capacités attendues des SSK/SNA envisagés ? C'est magique comme plan B. On a besoin d'un tournevis, mais on se satisfera d'un éventail... pourvu que le vendeur soit le même. Prochainement: https://www.festo.com/fr/fr/e/a-propos-de-festo/recherche-et-developpement/bionic-learning-network/faits-marquants-2013-2014/bionickangaroo-id_33482/ Modifié le 13 août par Patrick 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
papsou Posté(e) le 13 août Share Posté(e) le 13 août il y a 18 minutes, Patrick a dit : Prochainement: https://www.festo.com/fr/fr/e/a-propos-de-festo/recherche-et-developpement/bionic-learning-network/faits-marquants-2013-2014/bionickangaroo-id_33482/ Ils préparent la cérémonie d'ouverture des JO de Brisbane??? --->[] 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SLT Posté(e) le 14 août Share Posté(e) le 14 août Le 12/08/2024 à 16:31, Lieutenant Neptunium a dit : Un rapide récapitulatif de l'accord AUKUS révèle que nous nous attendons toujours à recevoir deux sous-marins américains d'occasion de classe Virginia, avant de nous lancer dans la construction d'un sous-marin britannique entièrement nouveau, et jusqu'à présent inédit, à Adélaïde. Bien entendu, nous avons notre mot à dire sur la conception et les plans de ce nouveau sous-marin, n'est-ce pas ? Il y a encore des Australiens qui y croient à ça ? Que l'Australie va participer activement à la conception (R&D, design, décision d'architecture hardware et software, des systèmes, de l'armement....) de la Classe Aukus ? Déjà s'ils peuvent participer à la construction, ce sera pas mal (et pas juste souder ensemble les tronçons qui arriveraient des États-Unis et du Royaume-Uni). Bon ben, on leur souhaite bien du courage, en espérant que les retards et augmentation des coûts du projet seront suivis avec les même scrutement, diligence et passion que le projet des classes Attack... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ponto Combo Posté(e) le 14 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 août Crise des sous-marins : mensonges australiens, dépendance aux Etats-Unis, fiasco économique… les dessous de la rupture du "contrat du siècle" https://www.ladepeche.fr/2024/08/14/crise-des-sous-marins-mensonges-australiens-dependance-aux-etats-unis-fiasco-economique-les-dessous-de-la-rupture-du-contrat-du-siecle-12075964.php Dans "Nuked", paru le 2 juillet, le journaliste australien Andrew Fowler dévoile les raisons profondes de la rupture du "contrat du siècle" avec la France. En 2021, le gouvernement australien avait subitement annulé la commande de douze sous-marins du Naval Group pour un montant de 35 milliards d’euros. Citation C’était le "contrat du siècle"… L’annulation par l’Australie du contrat d’acquisition de douze sous-marins construit par Naval Group pour un montant de 35 milliards d’euros, avait donné lieu en 2021 à une crise diplomatique avec la France, qui avait alors parlé de "trahison". Dans son livre-enquête "Nuked" paru le 2 juillet, le journaliste d’investigation australien Andrew Fowler revient sur cette affaire et en pointant les manœuvres entre Américains, Britanniques et Australiens pour tromper la France, avant de révéler leur alliance pour contenir la Chine, l’Aukus, en 2021. Ces jours-ci, l’alliance fait reparler d’elle puisque l’Australie a annoncé avoir signé un accord autorisant l’échange d’informations et d’équipements en matière de propulsion nucléaire navale avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni. A lire aussi : Sous-marins : cinq questions pour comprendre la rupture du "contrat du siècle" entre la France et l'Australie Ancien correspondant à l’étranger, Andrew Fowler est spécialisé dans l’investigation politique. Dans un entretien exclusif à la Dépêche du Midi, il dévoile les dessous d’une affaire qui a "rompu la relation de confiance" entre la France et l’Australie, comme l’avait confié Emmanuel Macron. Qu’est-ce qui vous a poussé à enquêter sur cette affaire ? Ce qui m’a convaincu d’écrire ce livre, c’est l’extraordinaire abus du pouvoir exécutif de la part du Premier ministre libéral de l’époque, Scott Morrison. Il a menti au sujet de l’accord avec la France et a ensuite présenté celui de l’Aukus (avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni) au parti travailliste de l’opposition comme nécessaire à la sécurité nationale. Si les travaillistes n’acceptaient pas cet accord, ils seraient considérés comme faibles en matière de sécurité nationale ou anti-américains. Ce qui politiquement est une sorte de baiser de la mort en Australie. Cette affaire est-elle aussi la preuve du lien indéfectible entre les Etats-Unis et l’Australie ? Quelle est la nature de ce lien ? Sur le plan diplomatique, le syndrome de la "peur de l’abandon" est historique en Australie. D’abord, nous nous sommes accrochés aux Britanniques et maintenant aux États-Unis. Mais l’affaire souligne de façon indéniable qu’il existe une lutte entre ceux qui veulent l’indépendance de l’Australie et ceux qui cherchent la dépendance d’un allié puissant. Mais le déclin de l’influence américaine en Asie devrait pousser l’Australie à s’émanciper. A lire aussi : Affaires des sous-marins : jusqu'où la crise diplomatique peut-elle aller entre la France, les Etats-Unis et l'Australie ? Qu’avez-vous découvert lors de vos recherches pour ce livre ? La décision d’abandonner l’accord sur les sous-marins français était motivée par le désir du gouvernement de Scott Morrison de renforcer les liens avec les États-Unis. Le chef du renseignement australien, Andrew Shearer, avait déclaré, avant que l’accord avec Paris, que la France ne partageaient pas les mêmes intérêts stratégiques. Il était d’ailleurs l’un des principaux contacts avec les États-Unis pour négocier l’accord sur les sous-marins à propulsion nucléaire passé avec l’Aukus. En fait, Washington s’inquiétait du fait que les Français avaient une vision indépendante sur la manière de traiter avec la Chine. Les Américains voulaient que l’Australie suive fidèlement leur plan pour contenir Pékin. Selon eux, les sous-marins français auraient permis à l’Australie d’avoir une plus grande autonomie, ce que Washington ne voulait pas. Tout s’est accéléré lorsque Scott Morrison est devenu Premier ministre, pourquoi ? L’accord avec la France est passé en 2016. Le Premier ministre libéral de l’époque, Malcolm Turnbull, est un homme politique modéré qui croit fermement en l’indépendance de l’Australie. Mais lorsque Scott Morrison, entouré et conseillé par des idéologues de droite pro-américains, a succédé à Turnbull, il a fait tout son possible pour saper l’accord avec Paris. Scott Morrison, comme tous les dirigeants du Parti libéral avant lui depuis 80 ans, était persuadé que la sécurité de l’Australie passait obligatoirement par le fait d’être étroitement alliée aux États-Unis. Comment l’Australie, les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont-ils manœuvré pour tromper la France sur cet accord ? L’Australie a menti à plusieurs reprises sur les dépassements de coûts et les retards qui, selon elle, affectaient le sous-marin français. Côté États-Unis, ils ont déclaré être innocents de toute tromperie même si Joe Biden a dit que la question avait été gérée maladroitement. Mais le fait est que lors de plusieurs réunions entre des hauts responsables américains et le gouvernement français, les Français avaient à plusieurs reprises souligné l’importance de l’accord. Des réunions durant lesquelles les Américains étaient restés silencieux, selon l’ambassadeur de France aux États-Unis de l’époque, Philippe Etienne. A lire aussi : Sous-marins : après avoir rompu le "contrat du siècle" avec la France, l'Australie s'associe avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni Comme je l’écris dans le livre, les Français pensaient pouvoir faire confiance aux Américains et leur ont dit que l’accord sur les sous-marins était "une partie essentielle de leur présence stratégique dans l’Indo-Pacifique". L’importance de cet accord a été répétée plusieurs fois et les Américains n’ont jamais rien dit, "ils ont pris note", comme l’a confié Philippe Etienne. Certaines de ces rencontres ont réuni le secrétaire d’État Anthony Blinken et le ministre français des Affaires étrangères de l’époque, Jean-Yves Le Drian. La ministre française de la Défense de l’époque, Florence Parly, a aussi rencontré son homologue Lloyd Austin au Pentagone, où la coopération entre la France et les États-Unis dans l’Indo-Pacifique a été discutée. Mais à aucun moment, les Américains n’ont parlé de leurs discussions avec l’Australie lors de ces réunions. Qui est David Gould et pourquoi son témoignage est-il si important ? David Gould est un ancien sous-secrétaire à la Défense du Royaume-Uni. En 2012, il a été recruté par le gouvernement australien comme consultant pour travailler sur le remplacement des anciens sous-marins australiens. Il a révélé pour la première fois ce qui était longtemps soupçonné : l’une des exigences les plus importantes pour l’utilisation des sous-marins australiens est de travailler avec les Américains en mer de Chine méridionale. Et pas nécessairement pour défendre l’Australie. A lire aussi : Sous-marins : plus de 360 milliards de dollars de coût... l'Australie dans l'impasse après avoir rompu le "contrat du siècle" avec la France Quelle a été la suite de l’affaire en Australie ? L’accord sur les sous-marins américains, si on peut appeler cela un accord, est un désastre à 368 milliards de dollars. Il n’y a aucune garantie que les États-Unis fourniront les trois sous-marins de classe Virginia à l’Australie qui doivent servir de relais avant que la classe Attack du Royaume-Uni ne soit opérationnelle dans les années 2040. Autre problème : les carnets de commandes des industries navales américaines sont déjà bien remplis et cela devrait affecter l’accord. En Australie, la publication du livre a relancé le débat sur cette affaire, tant au Parlement que dans les médias, sur la façon de gérer cette crise. Elle n’est pas encore résolue. 2 6 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
castle68 Posté(e) le 15 août Share Posté(e) le 15 août La fourberie et l'incompétence bien mis à jour; un exemple parmi d'autres... Mais comme les responsables ne risquent rien, pourquoi se priver n'est ce pas ?... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 août Share Posté(e) le 15 août il y a 39 minutes, castle68 a dit : La fourberie et l'incompétence bien mis à jour; un exemple parmi d'autres... Mais comme les responsables ne risquent rien, pourquoi se priver n'est ce pas ?... A mon sens c'est la France le nigaud de l'affaire, celui qui n'a rien vu venir... Rien que la première phrase est comique. Citation les Français pensaient pouvoir faire confiance aux Américains et leur ont dit que l’accord sur les sous-marins était "une partie essentielle de leur présence stratégique dans l’Indo-Pacifique". L’importance de cet accord a été répétée plusieurs fois et les Américains n’ont jamais rien dit, "ils ont pris note", comme l’a confié Philippe Etienne. Certaines de ces rencontres ont réuni le secrétaire d’État Anthony Blinken et le ministre français des Affaires étrangères de l’époque, Jean-Yves Le Drian. La ministre française de la Défense de l’époque, Florence Parly, a aussi rencontré son homologue Lloyd Austin au Pentagone, où la coopération entre la France et les États-Unis dans l’Indo-Pacifique a été discutée. Mais à aucun moment, les Américains n’ont parlé de leurs discussions avec l’Australie lors de ces réunions. ... Pour l'Australie c'est un simple choix politique. On a les élus qu'on mérite. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 15 août Share Posté(e) le 15 août il y a 44 minutes, g4lly a dit : celui qui n'a rien vu venir... Gouverner c’est prévoir ; A la signature du contract , était il pertinent d’envisager l’entourloupe ? En terme de risques et dans le contexte géo du moment , la question c’était certainement posée en très haut lieu ( Elizée, matignon , quay, leviers ad hoc ……madame irma ?) 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 août Share Posté(e) le 15 août il y a 5 minutes, ARMEN56 a dit : A la signature du contract , était il pertinent d’envisager l’entourloupe ? C'est un principe de base il faut toujours envisager toutes les issues possibles et avec un minimum de réponses appropriées pour chacune même celle que nos hypothèse rendent peu probable. C'est pas juste un contrat de fourniture de boulons, c'était un élément géopolitique plus que notable, surtout dans le contexte de tension en extrême orient. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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