C’est un message populaire. herciv Posté(e) le 2 avril 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 avril 2024 il y a 3 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit : "Défense : l’Australie découvre les déchets nucléaires cachés dans le pacte d’Aukus" Ben crotte alors ... https://www.ouest-france.fr/monde/australie/defense-laustralie-decouvre-les-dechets-nucleaires-caches-dans-le-pacte-daukus-2f643ff6-f0d7-11ee-bc38-55f66082c1a5 tiré de l'article : Révélation Les Australiens payeront le prix fort pour Aukus, le pacte de sécurité que leur gouvernement a signé avec les États-Unis et le Royaume-Uni, en 2021. Des documents du ministère de la Défense, examinés par une enquête parlementaire cette première semaine d’avril 2024, prévoient que les huit sous-marins à propulsion nucléaire de l’accord soient démontés sur leur sol. Autrement dit, l’Australie devra gérer les déchets nucléaires de haute activité en contrepartie du savoir technologique fourni par les grands frères américains et britanniques. Physiquement, les moteurs nucléaires ne représentent pas un gros volume - l’équivalent d’une voiture chacun tout de même - mais il faudra stocker ce vieux combustible usé pendant 100 000 ans, dans un lieu sûr, encore à déterminer. Ces révélations font des mécontents. En grande majorité, l’Australie n’est pas friande des retombées de la fission atomique. En 1995, Canberra avait officiellement protesté contre la reprise des essais nucléaires français dans le Pacifique. Deux grandes lois ont été adoptées en 1998 et 1999, (l’Australian Radiation Protection and Nuclear Safety Act et l’Environment Protection and Biodiversity Conservation Act) qui bannissent tout projet d’installation nucléaire. Jusqu’ici, les industriels de l’île continent se limitaient à extraire de l’uranium pour alimenter les autres pays et se contentaient d’une petite centrale, Opal, pour le nucléaire médical. Toutefois, les temps changent. Le réchauffement climatique qui réclame moins de charbon et une Chine qui montre les muscles dans la région d’Asie-Pacifique ont été les arguments avancés par le gouvernement conservateur de Scott Morrison, en 2019, pour remettre l’atome en selle. Et signer Aukus, deux années plus tard. Les travaillistes du Premier ministre Anthony Albanese, arrivés au pouvoir en mai 2022, se débrouillent actuellement avec les promesses de l’époque. Notamment celle du Britannique Boris Johnson, qui avait rassuré les Australiens, sujets de Charles III, ainsi : Le projet Aukus s’appuiera sur six Depuis, des élus comme le sénateur écologiste David Shoebridge, chargé de la Défense, ont pointé les failles de l’ expertise du Royaume-Uni. Le HMS Dreadnought, l’un des premiers sous-marins nucléaires britanniques, rouille depuis son déclassement en 1980. Actuellement 21 engins de la Royal Navy sont en attente de démantèlement , dans les ports de Rosyth et Devonport. Dix contenaient encore leurs barres de combustibles nucléaires l’an passé. Plus de 584 millions d’euros ont été dépensés pour le stockage et la maintenance de ces vieux sous-marins depuis le retrait du premier il y a plus de quarante années. Plus de 580 millions d’euros, c’est aussi la somme que l’Australie a dû verser au Français Naval Group, après avoir rompu au dernier moment le contrat du siècle à 56 milliards d’euros en 2021 : la fabrication de douze sous-marins SNLE dérivés du Barracuda. Contrairement au modèle américain, les SNLE doivent être régulièrement rechargés en uranium. Mais en matière de démantèlement, Naval Group dispose d’un savoir-faire effectif, lui. Le Redoutable est ainsi devenu en 2020 la star des visites de la Cité de la mer, à Cherbourg. Le Tonnant, L’Indomptable, Le Foudroyant, L’Inflexible et Le Terrible sont actuellement au port militaire de Cherbourg pour être totalement démantelés et, eux, recyclés en pièces détachées d’ici 2026. Coût estimé : 140 millions d’euros. Pour le journaliste britannique Alex Taylor, les Australiens deviennent les dindons de la farce , en français dans le texte, de ce pacte Aukus. La facture grimpe, plus de 380 milliards de dollars sur trente ans, et les premiers sous-marins n’arriveront pas avant 2032. Si Donald Trump est élu, c’est le saut dans l’incertitude totale. Le ministre de la Défense, Richard Marles, a accusé les Verts de semer la peur et affirmé que le pays n’accueillerait pas les déchets des autres nations alliées. Dans ce cas, pourquoi le reste du gouvernement présente-t-il un projet de loi sur la sécurité de l’énergie nucléaire navale, interroge le sénateur vert. Un texte justement bloqué jusqu’au rapport du Sénat attendu le 26 avril. 1 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 2 avril 2024 Share Posté(e) le 2 avril 2024 il y a 1 minute, Lordtemplar a dit : oui et il y en a un paquet chez les US et UK qui attendent le demantellement ou dechets stockes provisoirement. ex Le Dreadnought de la RN attends depuis les annees 80 Oui pour les US et UK, mais là il semble que pour les australiens ... c'était noté en tout petit, à la millième page ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. pascal Posté(e) le 2 avril 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 avril 2024 Je sens qu'on a pas fini de se marrer ... 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 2 avril 2024 Share Posté(e) le 2 avril 2024 9 minutes ago, jojo (lo savoyârd) said: Oui pour les US et UK, mais là il semble que pour les australiens ... c'était noté en tout petit, à la millième page ... merci mon adblock m'a empeche de lire l'article dans sa totalite 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 2 avril 2024 Share Posté(e) le 2 avril 2024 il y a 25 minutes, Lordtemplar a dit : merci mon adblock m'a empeche de lire l'article dans sa totalite C'est @herciv qu'il faut remercier ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. fraisedesbois Posté(e) le 2 avril 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 avril 2024 Il y a 1 heure, herciv a dit : tiré de l'article : Masquer le contenu (…) Plus de 580 millions d’euros, c’est aussi la somme que l’Australie a dû verser au Français Naval Group, après avoir rompu au dernier moment le contrat du siècle à 56 milliards d’euros en 2021 : la fabrication de douze sous-marins SNLE dérivés du Barracuda. (…) argh 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 3 avril 2024 Share Posté(e) le 3 avril 2024 (modifié) HAHA, encore un délai de quelques années sur les programmes de SNA Américain. Et le congres doit valider les dons aux australiens de 2/3 coques dans les années 2030 ? Bonne chance https://x.com/paulmcleary/status/1775287808724226289?s=20 Modifié le 3 avril 2024 par Titus K 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 https://www.leparisien.fr/international/deux-ans-apres-le-camouflet-inflige-a-la-france-les-sous-marins-australiens-en-eaux-troubles-07-04-2024-FSXZJR2A45AZZLLTCMMQCV4PEU.php Elles semblent plus que troubles les eaux pour les Wallabies, elles paraissent verdâtres tirant sur le croupies... 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 (modifié) Le 02/04/2024 à 20:36, herciv a dit : tiré de l'article : Masquer le contenu Depuis, des élus comme le sénateur écologiste David Shoebridge, chargé de la Défense, ont pointé les failles de l’ expertise du Royaume-Uni. Le HMS Dreadnought, l’un des premiers sous-marins nucléaires britanniques, rouille depuis son déclassement en 1980. Actuellement 21 engins de la Royal Navy sont en attente de démantèlement , dans les ports de Rosyth et Devonport. Dix contenaient encore leurs barres de combustibles nucléaires l’an passé. Plus de 584 millions d’euros ont été dépensés pour le stockage et la maintenance de ces vieux sous-marins depuis le retrait du premier il y a plus de quarante années. Et dire qu'ils s'empressaient de critiquer les Popofs ! "Pour le journaliste britannique Alex Taylor, les Australiens deviennent les dindons de la farce , " Je dirais les autruches de la farce ! Modifié le 7 avril 2024 par mudrets 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ronfly Posté(e) le 7 avril 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 avril 2024 Effectivement, impressionnant comme ce programme stratégique a été bien ficelé et n'a que des avantages!... https://www.internationalaffairs.org.au/australianoutlook/aukus-submarine-revelations-compel-a-rethink/ Révélation Un rapport du Congrès américain affirme que l'acquisition de sous-marins nucléaires par l'Australie nuirait en fait à la dissuasion de la Chine en épuisant la flotte sous-marine américaine. Alors que la promesse de sous-marins nucléaires s’éloigne de plus en plus, il est peut-être temps de reconsidérer d’autres options. De récentes révélations surprenantes ont révélé que les sous-marins à propulsion nucléaire, que l'Australie envisage d'acquérir dans le cadre du partenariat trilatéral AUKUS, ne peuvent pas atteindre trois des principaux objectifs déclarés par le gouvernement pour le programme. L’achat australien dégraderait, au lieu de renforcer, la dissuasion contre la Chine. Elle ne pourrait assurer qu’une présence minuscule et incohérente en mer, même après deux décennies. Et cela affaiblirait plutôt que soutiendrait le régime mondial de non-prolifération. Heureusement, seule une infime fraction du coût total estimé du programme, estimé à 368 milliards de dollars australiens , a été dépensée à ce jour. Il n'est donc pas trop tard pour que les Australiens envisagent de meilleurs moyens d'assurer la sécurité nationale. Sur le premier objectif, l'ancien Premier ministre australien Scott Morrison, qui a négocié l'accord sur les sous-marins AUKUS, a affirmé qu'il était nécessaire de parvenir à une « dissuasion crédible » contre la Chine, et son successeur Anthony Albanese a rapidement accepté . Le mois dernier, cependant, le Bureau du budget du Congrès américain (CBO) a démenti cette affirmation. Il a indiqué que, étant donné que les États-Unis vendraient à l'Australie trois à cinq sous-marins nucléaires d'attaque (SSN) existants de la flotte américaine avant que la base industrielle américaine puisse s'étendre pour les remplacer, « la vente de SSN à l'Australie réduirait le nombre de sous-marins d'attaque ». disponible pour la marine [américaine] ». Le CBO a alors posé une question cruciale : « La Chine serait-elle moins dissuadée si les États-Unis réduisaient le nombre de leurs sous-marins d’attaque pour aider l’Australie à développer sa force sous-marine ? » La réponse semblait évidente car « l’Australie contrôlerait ses propres sous-marins et leur participation à un conflit particulier ne serait pas garantie. En mars 2020, le ministre australien de la Défense a d'ailleurs déclaré que son pays ne promettait pas de soutenir les États-Unis en cas de conflit impliquant Taiwan et la République populaire de Chine.» Ainsi, le rapport indiquait que l'acquisition de sous-marins nucléaires par l'Australie nuirait à la dissuasion de la Chine – exactement à l'opposé des affirmations des dirigeants australiens. Deuxièmement, Morrison a déclaré en 2021 que la « première initiative majeure » d'AUKUS serait de fournir à l'Australie une flotte de sous-marins à propulsion nucléaire . Cette année, cependant, Albanese a admis que le SSN-AUKUS, encore en cours de conception, ne commencerait pas à être livré en Australie avant au moins les années 2040. Entre-temps, selon le témoignage du vice-amiral Jonathan Mead sur les estimations du Sénat en mai, l'Australie s'attend à recevoir des États-Unis d'ici la fin des années 2030 deux sous-marins nucléaires partiellement utilisés et un nouveau. Cela peut ressembler à trois sous-marins, mais c’est illusoire. Des rapports récents révèlent que seulement 63 pour cent des sous-marins de la marine américaine sont opérationnels chaque année, et que ceux qui le peuvent ne passent que 39 pour cent de l'année en mer . Ainsi, en moyenne, chaque sous-marin d’attaque américain n’est en service que 25 % de l’année, soit trois mois. Cela signifie que même si l’Australie recevait les trois navires américains promis d’ici la fin des années 2030, la RAN serait en moyenne en mesure de déployer moins d’un sous-marin nucléaire à la fois. Est-ce vraiment la « flotte » à laquelle les Australiens s’attendent pour leurs milliards de dollars d’impôts ? Troisièmement, Albanese a promis lors du sommet AUKUS de 2023 que « le fier bilan de l’Australie en matière de leadership dans le régime international de non-prolifération nucléaire se poursuivrait bien sûr ». Cependant, le SSN-AUKUS violerait un principe fondamental de ce régime en utilisant inutilement du combustible à l’uranium hautement enrichi (UHE) de qualité militaire – suffisant pour des centaines de bombes nucléaires. Depuis les années 1970, le régime de non-prolifération a interdit le combustible UHE dans les nouveaux réacteurs de pays comme l’Australie qui se sont engagés, dans le cadre du Traité de non-prolifération nucléaire, à éviter les armes nucléaires. Le régime est allé jusqu’à convertir 71 vieux réacteurs du combustible HEU au combustible à l’uranium faiblement enrichi (UFE), pour éliminer le risque de prolifération. En fait, la minimisation de l’UHE est jugée si vitale pour la non-prolifération qu’elle a été appliquée même à de minuscules réacteurs contenant seulement un kilogramme d’uranium de qualité militaire. L’Australie a désormais l’intention d’éviscérer cette norme de non-prolifération en alimentant chaque SSN-AUKUS avec des centaines de kilos d’uranium de qualité explosive. Heureusement, les sous-marins nucléaires n’ont pas besoin de combustible UHE et peuvent parfaitement fonctionner avec du combustible LEU, comme l’utilisent les marines française et chinoise. Malgré cela, l’Australie et ses partenaires insistent sur le combustible UHE pour le SSN-AUKUS, afin de permettre des réacteurs plus petits sans ravitaillement, envoyant ainsi un message mondial selon lequel l’UHE est nécessaire pour les meilleurs sous-marins. En conséquence, on peut s’attendre à ce que d’autres pays déclarent – comme l’Iran l’a fait immédiatement après l’annonce de l’AUKUS – que leurs marines utiliseront également de l’UHE, qu’ils enrichiront eux-mêmes, ouvrant ainsi une immense porte dérobée aux armes nucléaires. En revanche, le combustible LEU est infiniment plus résistant à la prolifération que le combustible UHE, malgré les réflexions des pom-pom girls mal informées d'AUKUS. Le ministre australien de la Défense, Richard Marles, a écarté les craintes de prolifération en affirmant que le combustible UHE serait importé dans des réacteurs « scellés » et donc inaccessible. En réalité, cependant, l’Australie a annoncé cette année qu’elle extrairait le combustible UHE de tous les sous-marins mis hors service et le conserverait à perpétuité, sauvant ainsi encore plus le régime de non-prolifération. Le combustible soi-disant « usé » de chaque sous-marin retiré du service contiendrait en fait environ 200 kilogrammes d’uranium encore très hautement enrichi, suffisant pour une douzaine d’armes nucléaires ou plus. Alors, que peut faire l’Australie maintenant ? Elle devrait au minimum demander à ses partenaires de passer au combustible LEU pour le SSN-AUKUS australien, afin de se conformer aux normes de non-prolifération. Heureusement, le Congrès américain a financé le développement du carburant naval LEU au cours des huit dernières années, ce qui constitue une longueur d'avance pour incorporer ce carburant résistant à la prolifération dans la conception en cours du SSN-AUKUS. Si Albanese pense vraiment ce qu’il dit à propos du « leadership dans le régime international de non-prolifération nucléaire », cette étape est une évidence. La plus grande question est de savoir si l’Australie devrait abandonner complètement la recherche de sous-marins nucléaires. Le rapport du Congrès suggère que cela renforcerait la dissuasion au cours des prochaines décennies en évitant d’épuiser la flotte américaine. L’Australie pourrait plutôt reprogrammer les centaines de milliards destinés à ses sous-marins nucléaires pour acheter des systèmes de défense qui compléteraient plutôt que saperaient la dissuasion américaine. Cela semble certainement être une situation gagnant-gagnant. Du coup, ils sont où les avantages stratégiques pour l'Australie avec ce pacte... Rien à attendre de significativement opérationnel d'ici 2045 et tout cela pour un prix astronomique. Ils auraient pu avoir 12 des plus puissants et performants SSK océanique de l'histoire d'ici cette date et pour une fraction du coût d'AUKUS. Avec au moins 3/4 SSK en permanence en patrouille, équipés de grandes batteries Li ion hautes capacités et tout le reste, il y aurait de quoi quadriller les zones à surveiller... 1 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 Eh bien. Je pensais que c'était inepte... mais pas à ce point. Et dire que j'ai osé sourire du Bangladesh quand il a acquis ces deux Type 035 d'occasion pour se lancer dans la sous-marinade... ils vont avancer plus vite et plus mieux que les Australiens, avec des navires de seconde main et pas de première fraîcheur. Par contre : Citation La plus grande question est de savoir si l’Australie devrait abandonner complètement la recherche de sous-marins nucléaires. Le rapport du Congrès suggère que cela renforcerait la dissuasion au cours des prochaines décennies en évitant d’épuiser la flotte américaine. L’Australie pourrait plutôt reprogrammer les centaines de milliards destinés à ses sous-marins nucléaires pour acheter des systèmes de défense qui compléteraient plutôt que saperaient la dissuasion américaine. Cela semble certainement être une situation gagnant-gagnant. Ils vont claquer combien d'argent encore et dans quels projets fumeux ? Des drones sous-marins ? Une ceinture de détection sous-marine comme dans l'Atlantique ? Des P-8 supplémentaires ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 Il y a 7 heures, mudrets a dit : Et dire qu'ils s'empressaient de critiquer les Popofs ! "Pour le journaliste britannique Alex Taylor, les Australiens deviennent les dindons de la farce , " Je dirais les autruches de la farce ! Du filet d'autruche farcie, ça a l'air super bon! https://www.capekaroomeat.com/stuffed-ostrich-fillet/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 Il y a 7 heures, mudrets a dit : Et dire qu'ils s'empressaient de critiquer les Popofs ! "Pour le journaliste britannique Alex Taylor, les Australiens deviennent les dindons de la farce , " Je dirais les autruches de la farce ! Pour les emmerder un max disons plutôt des émeus https://www.lepoint.fr/eureka/le-jour-ou-l-armee-australienne-perd-une-guerre-contre-des-oiseaux-15-01-2024-2549771_4706.php#11 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bocket Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 8 hours ago, Ronfly said: https://www.leparisien.fr/international/deux-ans-apres-le-camouflet-inflige-a-la-france-les-sous-marins-australiens-en-eaux-troubles-07-04-2024-FSXZJR2A45AZZLLTCMMQCV4PEU.php Elles semblent plus que troubles les eaux pour les Wallabies, elles paraissent verdâtres tirant sur le croupies... La journaliste souligne "la réalité du terrain ": "Les Australiens sont dans une situation compliquée et ils le savent, mais ils ne pouvaient pas faire sans les Américains, considère Anne Genetet, députée LREM des Français de l'étranger, qui avait alerté dès février 2018 le Quai d'Orsay sur les doutes de leur partenaire. Les États-Unis disposent de 375 000 militaires en zone indo-pacifique, nous en avons 7 000. Et nous avons aussi des territoires à protéger, ce serait mal venu de notre part de les regarder de haut. » Spoiler Le jour où il quitte le Quai d'Orsay, le 21 mai 2022, Jean-Yves Le Drian est heureux. Au moment de la passation de pouvoir, l'ancien ministre des Affaires étrangères apprend la défaite électorale du Premier ministre australien, Scott Morrison. L'homme qui, quelques mois plus tôt, avait trahi la France en torpillant sans prévenir le « contrat du siècle »,signé en 2016 et censé lier pour trente ans les deux pays avec la vente par le français Naval Group de douze sous-marins français à propulsion conventionnelle. « ScoMo », comme on le surnomme, n'en voulait plus. Obsédé par la montée en puissance de la Chine, il avait changé radicalement de stratégie en préférant les sous-marins à propulsion nucléaire américains. Après des mois de tractations secrètes dans le dos des Français, Morrison dévoile en direct à la télévision, le 15 septembre 2021, un nouveau partenariat baptisé « Aukus » (contraction de Australie, Royaume-Uni et États-Unis), en même temps que ses homologues américains et britanniques. « La solennité de l'annonce, avec le décalage horaire que cela pouvait représenter pour chacun d'entre eux, était particulièrement inconvenante dans le cadre de la rupture d'un contrat avec un allié », se remémore Jean-Yves Le Drian.Le ministre, Emmanuel Macronet les diplomates ne sont prévenus que quelques heures avant. Sept ans d'allers-retours, de liens tissés et d'efforts ruinés en une journée. La « duplicité » des Anglo-Saxons entraîne cinq mois de crise diplomatique... et une crise de confiance plus durable encore. Côté industrie, il aura fallu attendre deux ans et demi pour que Naval Group remporte de nouveau un important contrat à l'export de son sous-marin Barracuda : mi mars, les Pays-Bas ont choisi le groupe français pour la construction de quatre modèles, un projet à plusieurs milliards d'euros. Présenté il y a un an, l'accord Aukus entend dissuader la Chine de toute aventure militaire dans la zone indopacifique. Les États-Unis doivent vendre au moins trois sous-marins de classe Virginia entre 2032 et 2038 (dont deux d'occasion), jusqu'à cinq si besoin. Le Royaume-Uni et l'Australie construiraient sur leur sol une nouvelle classe de sous-marins estampillés « Aukus », intégrant la technologie américaine. Au total, l'Australie fonctionnerait d'ici la fin des années 2040 avec une flotte de huit sous-marins à propulsion nucléaire. Selon les experts, l'Australie a perdu dix ans : Un programme extrêmement ambitieux, dont la concrétisation exige du temps. C'est justement ce qu'il manque à Canberra : ses six sous-marins vieillissants arrivent à terme en 2026. Leur service a d'ores et déjà été prolongé jusqu'en 2038. Or, certains militaires et analystes américains prédisent une éventuelle attaque chinoise contre Taïwan d'ici quelques années seulement. « Les Australiens vont être dans un creux sur le plan de leur défense, alors qu'ils ressentent la menace chinoise très fortement », résume la politologue franco-américaine Nicole Bacharan. Les experts considèrent qu'Aukus a fait perdre une dizaine d'années à l'Australie et beaucoup d'argent :l'opération pourrait leur coûter 362 milliards de dollars australiens. Bien au-delà des 92 milliards (35 milliards d'euros) du partenariat français. « Le choix nucléaire représente un changement de vision considérable. Dans un pays qui n'a aucune culture nucléaire, le transfert de la technologie américaine s'étalera sur une génération », prédit Jean-Yves Le Drian. De la part d'un Scott Morrison très nationaliste, c'est aussi « le choix contradictoire du renoncement à la souveraineté d'hyper protection américaine aboutissant à une forme d'impasse provisoire sur leurs capacités propres. Ils ont pris le risque. Aucune de leurs exigences dans l'agenda initial ne sera respectée », tacle l'ancien ministre de la Défense de François Hollande, avant de devenir celui des Affaires étrangères de Macron. L'hypothèse d'une impasse industrielle: Ce risque soulève aussi des interrogations des deux côtés du Pacifique : dans un article, nourri par deux rapports américainset un britannique, le site Strategic Analysis Australia évoque même l'hypothèse d'une impasse industrielle. Derrière la forte volonté politique affichée, chaque partie semble naviguer lentement en eaux troubles. Les chantiers navals américains ont déjà le plus grand mal à livrer dans les temps les navires destinés à leur propre marine nationale. Côté britannique, « aucune décision sur le nombre de sous-marins n'a encore été prise et, par conséquent, le coût estimé du programme n'a pas été fourni par le gouvernement », indiquait fin 2023 un rapport destiné aux parlementaires. La commission de défense souligne aussi des « défis (infrastructures, réglementation...) susceptibles d'être aggravés par le manque de clarté sur les détails clés du programme », comme les armes dont les sous-marins seront équipés. « Le précédent gouvernement s'est engagé avec Aukus sans informations claires, il a fait l'erreur de sous-estimer le coût et la lenteur des constructions », juge Hugh White, ancien stratège au ministère de la Défense australien. L'inflation, la pénurie de main-d'oeuvre et les problèmes d'approvisionnement compliquent encore une quelconque maîtrise du budget et du calendrier. « Pas sûr que l'Australie ait gagné au change »: « L'Australie a cru obtenir des sous-marins dans de meilleures conditions, et cela ne va pas être le cas. Je ne suis pas sûr qu'elle ait gagné au change », observe François Hollande. Selon l'ancien président, cette logique de blocs n'est pas condamnable pour autant : « La situation géopolitique a changé, avec la perception d'une Chine plus agressive. Je crois que la France, consciente qu'il faut se défendre, aurait dû à ce moment-là envoyer des signaux à l'Australie. » Comprendre : la France de son successeur Emmanuel Macron. En réalité, il s'agit moins de sous-marins que d'une assurance-vie souscrite auprès des États-Unis, suffisamment dissuasive en tant que tel, selon les défenseurs d'Aukus. Contrairement à son prédécesseur et à la stratégie d'Emmanuel Macron, Scott Morrison a choisi la confrontation avec Xi Jinping.Pendant la crise sanitaire, les relations entre les deux hommes s'étaient nettement dégradées. « La Chine dispose d'une capacité de projection bien supérieure à ce que nous avions anticipé en 2016 », justifiait en 2022 Michael Shoebridge, directeur du programme défense de l'ASPI (Institut australien de stratégie politique).« J'ai entendu, au sein du ministère de la Défense française, des interrogations. Les Australiens sont dans une situation compliquée et ils le savent, mais ils ne pouvaient pas faire sans les Américains, considère Anne Genetet, députée LREM des Français de l'étranger, qui avait alerté dès février 2018 le Quai d'Orsay sur les doutes de leur partenaire. Les États-Unis disposent de 375 000 militaires en zone indo-pacifique, nous en avons 7 000. Et nous avons aussi des territoires à protéger, ce serait mal venu de notre part de les regarder de haut. » Les relations franco-australiennes demeurent fraîches : Sans sous-marins performants, l'alliance Aukus ferait-elle le poids en cas de conflit avec la deuxième puissance mondiale ? Pour François Hollande, la Chine « parle à tout le monde », y compris les États-Unis, et n'a pas intérêt à « précipiter les choses » avec Taïwanalors que son économie souffre. « Nous avons été affectés par le manque de confiance, c'est vrai. Mais l'Australie doit rester pour la France un partenaire important, si l'on veut être une puissance maritime. » Plus de deux ans après la crise, les relations franco-australiennes demeurent fraîches. « Les Australiens voudraient renouer sur le plan culturel, scientifique, énergétique, remarque Anne Genetet. Côté français, il y a toujours un scepticisme mais l'envie d'un partenariat sur le plan de la défense, hors sous-marins. Ce sont deux mondes différents. » 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 Faudra quand même qu'on note la date de livraison du premier soum Fr aux australiens pour leur laisser un petit message le jour J en mode "To our dear neighbor friends from Australian navy, we are today trully happy to announce the achievement and delivery of the first sub... oh ... wait ... ah ! Sorry___ ! we forgot to delete the pre-recorded annoucement ^^' Goodluck with Aukus guys" 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 7 avril 2024 Share Posté(e) le 7 avril 2024 il y a 40 minutes, Bocket a dit : La journaliste souligne "la réalité du terrain ": "Les Australiens sont dans une situation compliquée et ils le savent, mais ils ne pouvaient pas faire sans les Américains Mais les américains étaient là, Aukus ou non C'est pas comme si la situation était binaire France où USA 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 8 avril 2024 Share Posté(e) le 8 avril 2024 Il y a 9 heures, clem200 a dit : Mais les américains étaient là, Aukus ou non C'est pas comme si la situation était binaire France où USA Oui, les américains avec le système d'armes devaient récupérer la plus grande partie du marché. Vu qu'ils risquent de ne rien livrer... je ne suis même pas sûr qu'ils y gagnent. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 8 avril 2024 Share Posté(e) le 8 avril 2024 Le 07/04/2024 à 22:48, Bocket a dit : La journaliste souligne "la réalité du terrain ": "Les Australiens sont dans une situation compliquée et ils le savent, mais ils ne pouvaient pas faire sans les Américains, considère Anne Genetet, députée LREM des Français de l'étranger, qui avait alerté dès février 2018 le Quai d'Orsay sur les doutes de leur partenaire. Les États-Unis disposent de 375 000 militaires en zone indo-pacifique, nous en avons 7 000. Et nous avons aussi des territoires à protéger, ce serait mal venu de notre part de les regarder de haut. » Révéler le contenu masqué Le jour où il quitte le Quai d'Orsay, le 21 mai 2022, Jean-Yves Le Drian est heureux. Au moment de la passation de pouvoir, l'ancien ministre des Affaires étrangères apprend la défaite électorale du Premier ministre australien, Scott Morrison. L'homme qui, quelques mois plus tôt, avait trahi la France en torpillant sans prévenir le « contrat du siècle »,signé en 2016 et censé lier pour trente ans les deux pays avec la vente par le français Naval Group de douze sous-marins français à propulsion conventionnelle. « ScoMo », comme on le surnomme, n'en voulait plus. Obsédé par la montée en puissance de la Chine, il avait changé radicalement de stratégie en préférant les sous-marins à propulsion nucléaire américains. Après des mois de tractations secrètes dans le dos des Français, Morrison dévoile en direct à la télévision, le 15 septembre 2021, un nouveau partenariat baptisé « Aukus » (contraction de Australie, Royaume-Uni et États-Unis), en même temps que ses homologues américains et britanniques. « La solennité de l'annonce, avec le décalage horaire que cela pouvait représenter pour chacun d'entre eux, était particulièrement inconvenante dans le cadre de la rupture d'un contrat avec un allié », se remémore Jean-Yves Le Drian.Le ministre, Emmanuel Macronet les diplomates ne sont prévenus que quelques heures avant. Sept ans d'allers-retours, de liens tissés et d'efforts ruinés en une journée. La « duplicité » des Anglo-Saxons entraîne cinq mois de crise diplomatique... et une crise de confiance plus durable encore. Côté industrie, il aura fallu attendre deux ans et demi pour que Naval Group remporte de nouveau un important contrat à l'export de son sous-marin Barracuda : mi mars, les Pays-Bas ont choisi le groupe français pour la construction de quatre modèles, un projet à plusieurs milliards d'euros. Présenté il y a un an, l'accord Aukus entend dissuader la Chine de toute aventure militaire dans la zone indopacifique. Les États-Unis doivent vendre au moins trois sous-marins de classe Virginia entre 2032 et 2038 (dont deux d'occasion), jusqu'à cinq si besoin. Le Royaume-Uni et l'Australie construiraient sur leur sol une nouvelle classe de sous-marins estampillés « Aukus », intégrant la technologie américaine. Au total, l'Australie fonctionnerait d'ici la fin des années 2040 avec une flotte de huit sous-marins à propulsion nucléaire. Selon les experts, l'Australie a perdu dix ans : Un programme extrêmement ambitieux, dont la concrétisation exige du temps. C'est justement ce qu'il manque à Canberra : ses six sous-marins vieillissants arrivent à terme en 2026. Leur service a d'ores et déjà été prolongé jusqu'en 2038. Or, certains militaires et analystes américains prédisent une éventuelle attaque chinoise contre Taïwan d'ici quelques années seulement. « Les Australiens vont être dans un creux sur le plan de leur défense, alors qu'ils ressentent la menace chinoise très fortement », résume la politologue franco-américaine Nicole Bacharan. Les experts considèrent qu'Aukus a fait perdre une dizaine d'années à l'Australie et beaucoup d'argent :l'opération pourrait leur coûter 362 milliards de dollars australiens. Bien au-delà des 92 milliards (35 milliards d'euros) du partenariat français. « Le choix nucléaire représente un changement de vision considérable. Dans un pays qui n'a aucune culture nucléaire, le transfert de la technologie américaine s'étalera sur une génération », prédit Jean-Yves Le Drian. De la part d'un Scott Morrison très nationaliste, c'est aussi « le choix contradictoire du renoncement à la souveraineté d'hyper protection américaine aboutissant à une forme d'impasse provisoire sur leurs capacités propres. Ils ont pris le risque. Aucune de leurs exigences dans l'agenda initial ne sera respectée », tacle l'ancien ministre de la Défense de François Hollande, avant de devenir celui des Affaires étrangères de Macron. L'hypothèse d'une impasse industrielle: Ce risque soulève aussi des interrogations des deux côtés du Pacifique : dans un article, nourri par deux rapports américainset un britannique, le site Strategic Analysis Australia évoque même l'hypothèse d'une impasse industrielle. Derrière la forte volonté politique affichée, chaque partie semble naviguer lentement en eaux troubles. Les chantiers navals américains ont déjà le plus grand mal à livrer dans les temps les navires destinés à leur propre marine nationale. Côté britannique, « aucune décision sur le nombre de sous-marins n'a encore été prise et, par conséquent, le coût estimé du programme n'a pas été fourni par le gouvernement », indiquait fin 2023 un rapport destiné aux parlementaires. La commission de défense souligne aussi des « défis (infrastructures, réglementation...) susceptibles d'être aggravés par le manque de clarté sur les détails clés du programme », comme les armes dont les sous-marins seront équipés. « Le précédent gouvernement s'est engagé avec Aukus sans informations claires, il a fait l'erreur de sous-estimer le coût et la lenteur des constructions », juge Hugh White, ancien stratège au ministère de la Défense australien. L'inflation, la pénurie de main-d'oeuvre et les problèmes d'approvisionnement compliquent encore une quelconque maîtrise du budget et du calendrier. « Pas sûr que l'Australie ait gagné au change »: « L'Australie a cru obtenir des sous-marins dans de meilleures conditions, et cela ne va pas être le cas. Je ne suis pas sûr qu'elle ait gagné au change », observe François Hollande. Selon l'ancien président, cette logique de blocs n'est pas condamnable pour autant : « La situation géopolitique a changé, avec la perception d'une Chine plus agressive. Je crois que la France, consciente qu'il faut se défendre, aurait dû à ce moment-là envoyer des signaux à l'Australie. » Comprendre : la France de son successeur Emmanuel Macron. En réalité, il s'agit moins de sous-marins que d'une assurance-vie souscrite auprès des États-Unis, suffisamment dissuasive en tant que tel, selon les défenseurs d'Aukus. Contrairement à son prédécesseur et à la stratégie d'Emmanuel Macron, Scott Morrison a choisi la confrontation avec Xi Jinping.Pendant la crise sanitaire, les relations entre les deux hommes s'étaient nettement dégradées. « La Chine dispose d'une capacité de projection bien supérieure à ce que nous avions anticipé en 2016 », justifiait en 2022 Michael Shoebridge, directeur du programme défense de l'ASPI (Institut australien de stratégie politique).« J'ai entendu, au sein du ministère de la Défense française, des interrogations. Les Australiens sont dans une situation compliquée et ils le savent, mais ils ne pouvaient pas faire sans les Américains, considère Anne Genetet, députée LREM des Français de l'étranger, qui avait alerté dès février 2018 le Quai d'Orsay sur les doutes de leur partenaire. Les États-Unis disposent de 375 000 militaires en zone indo-pacifique, nous en avons 7 000. Et nous avons aussi des territoires à protéger, ce serait mal venu de notre part de les regarder de haut. » Les relations franco-australiennes demeurent fraîches : Sans sous-marins performants, l'alliance Aukus ferait-elle le poids en cas de conflit avec la deuxième puissance mondiale ? Pour François Hollande, la Chine « parle à tout le monde », y compris les États-Unis, et n'a pas intérêt à « précipiter les choses » avec Taïwanalors que son économie souffre. « Nous avons été affectés par le manque de confiance, c'est vrai. Mais l'Australie doit rester pour la France un partenaire important, si l'on veut être une puissance maritime. » Plus de deux ans après la crise, les relations franco-australiennes demeurent fraîches. « Les Australiens voudraient renouer sur le plan culturel, scientifique, énergétique, remarque Anne Genetet. Côté français, il y a toujours un scepticisme mais l'envie d'un partenariat sur le plan de la défense, hors sous-marins. Ce sont deux mondes différents. » Au moment de signer les australiens savaient qu'on avait 50 fois moins de militaires dans la zone que les américains. Si c'était si important pourquoi ils ont demandés aux français, aux allemands, aux espagnols, aux suédois et aux japonais ? Il fallait dès le départ dire on prend US qu'est ce que vous proposez ? 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) le 8 avril 2024 Share Posté(e) le 8 avril 2024 On 4/7/2024 at 5:17 PM, Asgard said: Faudra quand même qu'on note la date de livraison du premier soum Fr aux australiens pour leur laisser un petit message le jour J en mode "To our dear neighbor friends from Australian navy, we are today trully happy to announce the achievement and delivery of the first sub... oh ... wait ... ah ! Sorry___ ! we forgot to delete the pre-recorded annoucement ^^' Goodluck with Aukus guys" Avec un peu de chance on leur fera le rappel quand le 1er Barracuda hollandais sera livré vers 2032-33 et qu’ils n’auront pas encore reçu un seul soum, même d’occasion. 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 8 avril 2024 Share Posté(e) le 8 avril 2024 Je persiste à penser que le rejet du Shortfin était un rejet de la France dans le contexte des Tigre et NH90 ne donnant pas satisfaction. Les australiens n'ont même pas cherché à comprendre. La conclusion qui persiste elle aussi est que les programmes en coopération qui ne marchent pas et sur lesquels nous n'avons pas suffisamment prise pour régler les problèmes doivent être proscrits car ils sont des boulets à l'export et nous font passer pour des glandus. 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 9 avril 2024 Share Posté(e) le 9 avril 2024 Il y a 17 heures, Patrick a dit : Je persiste à penser que le rejet du Shortfin était un rejet de la France dans le contexte des Tigre et NH90 ne donnant pas satisfaction. Les australiens n'ont même pas cherché à comprendre. La conclusion qui persiste elle aussi est que les programmes en coopération qui ne marchent pas et sur lesquels nous n'avons pas suffisamment prise pour régler les problèmes doivent être proscrits car ils sont des boulets à l'export et nous font passer pour des glandus. Effectivement, il y a un cumul assez important d'echecs avec les Wallabies et on aurait tendance à en conclure qu'ils nous punissent. Résultat, ils ont envoyer valser 24 Tigre, 47 MRH90 et 12 SSK Attack pour 12 Mds € en tout en nous faisant passer pour des peintres... (une pensée à ceux qui ont bosser comme des damnés pour ces projets). Impatient de voir notamment l'arrivée de Trump et sa clique, avec son "America first", qui enverrait balader les Australiens (et leurs amis Anglo-saxons de l'Otan en passant qui se sont honteusement bien foutus de notre gueule dans cette histoire...) avec une conclusion genre: AUKUS les Aussies et compagnie, a never again and good luck!... ;) (C'est de bonne guerre non?...) 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 9 avril 2024 Share Posté(e) le 9 avril 2024 (modifié) Le probleme est bien plus complexe mais si on doit resumé a l’essenciel. Le premier ministre a vu l’occasion de faire un coup politique, tout en se debarrassant d’une bombe. Il l’a pris./ La bombe politique n’est devenue que plus grosse mais le premier ministre est plus là. En tout honneté, on s’en sort rien bien, le niveau industriel de ce pays ne permet pas de produire un soum. L’equation ne fera que se compliquer pour l’Australie et nous sommes tres bien ailleurs, j’aurais presque envie de dire partout ailleurs. ah encore une fois le coup de partie de GB pour securisé leur filliaire reacteur nucleaire. Modifié le 9 avril 2024 par wagdoox Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 9 avril 2024 Share Posté(e) le 9 avril 2024 il y a 48 minutes, Ronfly a dit : mpatient de voir notamment l'arrivée de Trump et sa clique, avec son "America first", Tu oublies que si les nego ont ete conclu avec joe, c’est bien avec donald quelles ont commencé. C’est une vue trés franco media que de croire que trump les enverra petre, ils devront payer pour l’outils industriel usa, c’est tout. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 9 avril 2024 Share Posté(e) le 9 avril 2024 à l’instant, wagdoox a dit : Tu oublies que si les nego ont ete conclu avec joe, c’est bien avec donald quelles ont commencé. C’est une vue trés franco media que de croire que trump les enverra petre, ils devront payer pour l’outils industriel usa, c’est tout. Je n'oublie pas cette précision mais si il doit choisir entre équiper l'US Navy, qui est bien en retard sur son planning, et les Australiens, ce sera America First et peu etre vers 2050 les SNA AUKUS surtout avec une Chine en ralentissement économique et qui va se tendre un peu plus pour garder la population controlable... (c'est bien connu, le nationalisme en se trouvant un grand mechant en face pour unifier les âmes en peine...) il y a 6 minutes, wagdoox a dit : Le probleme est bien plus complexe mais si on doit resumé a l’essenciel. Le premier ministre a vu l’occasion de faire un coup politique, tout en se debarrassant d’une bombe. Il l’a pris./ La bombe politique n’est devenue que plus grosse mais le premier ministre est plus là. En tout honneté, on s’en sort rien bien, le niveau industriel de ce pays ne permet pas de produire un soum. L’equation ne fera que se compliquer pour l’Australie et nous sommes tres bien ailleurs, j’aurais presque envie de dire partout ailleurs. ah encore une fois le coup de partie de GB pour securisé leur filliaire reacteur nucleaire. La dessus on se rejoint et ils sont aux fraises sur les capaciyés réelles de mener de tel projet. C'est possiblement un mal pour un bien. Tout ce qui compte, c'est que notre Naval Group fassent peter les contrats loin des Aussies et qu'un SSK Barracuda navigue vers 2035 au large de Sydney accompagner d'un Suffren... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 9 avril 2024 Share Posté(e) le 9 avril 2024 Il y a 2 heures, Ronfly a dit : Effectivement, il y a un cumul assez important d'echecs avec les Wallabies et on aurait tendance à en conclure qu'ils nous punissent. Résultat, ils ont envoyer valser 24 Tigre, 47 MRH90 et 12 SSK Attack pour 12 Mds € en tout en nous faisant passer pour des peintres... (une pensée à ceux qui ont bosser comme des damnés pour ces projets). Après l'histoire des NH90 que l'Australie préfère enterrer les hélicoptères que les céder à l'Ukraine ou revendre les pièces détachées, plus les rumeurs comme quoi les australiens sont incapable de suivre les procédures techniques pour l'entretien du matériel... c'est aussi les Australiens qui passe pour des peintres. Si on ajoute les soums ils passe pour des peintres-cocus, finalement on s'en sort pas mal côté français 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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