[Iran]

[loki]

Reuters indique que l'Iran aura bientôt la capacité de produire environ 35 kg d'uranium enrichi à 60% par mois ( soit de quoi produire une arme nucléaire par mois environ si l'Uranium est ensuite enrichi à 90% ).

Son stock actuel est estimé suffisant pour produire 4 ou 5 armes nucléaires. 

 

[BPCs]

En conséquence de l'effondrement du potentiel anti-aerien syrien, Israël pourrait en profiter pour cibler les installations nucléaires iraniennes, maintenant que l'Iran n'est plus qu'à quelques semaines d'avoir des stocks d'uranium de qualité militaire suffisant pour produire 5 bombes.

Après la Syrie, le programme nucléaire de l'Iran dans le collimateur d'Israël
https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/apres-la-syrie-le-programme-nucleaire-de-liran-dans-le-collimateur-disrael-2137673

[FAFA]

Toujours aussi sympa le gouvernement iranien:

"En Iran, une nouvelle loi sur le port obligatoire du voile entre en vigueur vendredi, imposant des sanctions sévères. Plus de 10'000 francs d'amende, des interdictions de voyager, des peines de prison pouvant atteindre dix ans et même la peine de mort menacent les femmes iraniennes refusant de se conformer. Les défenseurs des droits humains appellent à une action internationale."

https://www.rts.ch/info/monde/2024/article/iran-nouvelles-sanctions-severes-contre-les-femmes-sans-voile-28726472.html

[Shorr kan]

il y a 34 minutes, FAFA a dit :

Toujours aussi sympa le gouvernement iranien:

"En Iran, une nouvelle loi sur le port obligatoire du voile entre en vigueur vendredi, imposant des sanctions sévères. Plus de 10'000 francs d'amende, des interdictions de voyager, des peines de prison pouvant atteindre dix ans et même la peine de mort menacent les femmes iraniennes refusant de se conformer. Les défenseurs des droits humains appellent à une action internationale."

https://www.rts.ch/info/monde/2024/article/iran-nouvelles-sanctions-severes-contre-les-femmes-sans-voile-28726472.html

Sans parler de la loi qui prévois d'envoyer les récalcitrantes en hôpital psychiatrique, dans le pure style soviétique, depuis l'affaire de la jeune femme qui s'était mise à poil en publique.

[g4lly]

Il y a 3 heures, BPCs a dit :

En conséquence de l'effondrement du potentiel anti-aerien syrien, Israël pourrait en profiter pour cibler les installations nucléaires iraniennes, maintenant que l'Iran n'est plus qu'à quelques semaines d'avoir des stocks d'uranium de qualité militaire suffisant pour produire 5 bombes.

Après la Syrie, le programme nucléaire de l'Iran dans le collimateur d'Israël
https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/apres-la-syrie-le-programme-nucleaire-de-liran-dans-le-collimateur-disrael-2137673

Les russes n'ont jamais empêché les Israéliens de passer en Syrie...

[loki]

Ni les USA de passer par la Jordanie et l'Irak 

[FAFA]

"Je suis Parastou, une fille qui veut chanter"

https://information.tv5monde.com/international/video/la-chanteuse-iranienne-parastoo-ahmadi-ete-arretee-2752922

[FAFA]

"En Iran, des centrales électriques ont été mises à l'arrêt en cause d'une pénurie de carburant aggravée par une vague de froid.

Plusieurs centrales électriques en Iran ont été mises hors service en raison d'une pénurie de carburant aggravée par une vague de froid qui pèse sur l'approvisionnement énergétique, ont rapporté lundi des médias locaux. L'Iran est un géant sur le plan énergétique, qui dispose des deuxièmes plus grandes réserves de gaz naturel au monde, selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), et était le septième producteur mondial de pétrole brut en 2022. Mais le réseau électrique iranien souffre d'un manque d'investissements dans ses infrastructures, en raison notamment des sanctions occidentales."

https://www.europe1.fr/international/liran-met-larret-des-centrales-electriques-faute-de-carburant-235525

Pénurie d’énergie en Iran : les écoles fermées mardi pour le troisième jour consécutif

https://www.lefigaro.fr/international/penurie-d-energie-en-iran-les-ecoles-fermees-mardi-pour-le-troisieme-jour-consecutif-20241216

Pénurie d'énergie en Iran: les centres commerciaux à Téhéran priés de fermer plus tôt

https://www.dhnet.be/dernieres-depeches/2024/12/17/penurie-denergie-en-iran-les-centres-commerciaux-a-teheran-pries-de-fermer-plus-tot-V6HGYAFM6RGXXO356JP3Y7CPZ4/

[fraisedesbois]

Le 13/12/2024 à 15:52, FAFA a dit :

Toujours aussi sympa le gouvernement iranien:

"En Iran, une nouvelle loi sur le port obligatoire du voile entre en vigueur vendredi, imposant des sanctions sévères. Plus de 10'000 francs d'amende, des interdictions de voyager, des peines de prison pouvant atteindre dix ans et même la peine de mort menacent les femmes iraniennes refusant de se conformer. Les défenseurs des droits humains appellent à une action internationale."

https://www.rts.ch/info/monde/2024/article/iran-nouvelles-sanctions-severes-contre-les-femmes-sans-voile-28726472.html

non non, ladite loi a finalement été suspendue par le Conseil suprême de la sécurité nationale ! (pour un bout de tissu!)

Citation

________

17.12.24

Alors que le Conseil suprême de la sécurité nationale iranienne suspend la nouvelle loi sur le hijab, certains mettent en garde contre une « tyrannie »

https://amwaj.media/media-monitor/as-top-council-pauses-new-hijab-law-some-iranians-warn-of-tyranny

L'histoire : La mise en œuvre d'une nouvelle loi controversée qui impose une application plus stricte du code vestimentaire islamique a été suspendue par le Conseil suprême de la sécurité nationale iranienne (SNSC). Cette décision, qui a fait sourciller, fait suite à de nombreuses critiques de la législation. Beaucoup ont attribué cet exploit au président réformiste Masoud Pezeshkian, qui préside le conseil suprême de prise de décision. Dans le même temps, la manœuvre a suscité des questions parmi les critiques qui disent qu'elle ridiculise le processus législatif en Iran.

La couverture : Deux députés iraniens ont déclaré le 14 décembre que la SNSC était intervenue pour suspendre la mise en œuvre de la loi, officiellement connue sous le nom de « Soutien à la famille par la promotion de la culture de la chasteté et du hijab ».

Le vice-président du Parlement, Ali Nikzad, a déclaré qu’il n’était « pas clair » quand la pause prendrait fin.

Le député Akbar Ranjbarzadeh a affirmé que la SNSC avait conclu qu’il était « opportun » de ne pas encore mettre en œuvre la loi. Il a ajouté que « la question de la sécurité nationale et de l’opportunité transcende toutes les lois ».

La SNSC n’a pas officiellement commenté la nouvelle, mais les responsables du gouvernement ont félicité l’administration Pezeshkian pour son intervention.

Ali Rabiei, l’un des principaux collaborateurs de Pezeshkian sur les questions sociales, a remercié le président pour « avoir mis la mise en œuvre de la loi à l’ordre du jour de la SNSC, compte tenu de ses conséquences sur la société ».

Le vice-président des affaires parlementaires, Shahram Dabiri, a déclaré le 14 décembre que le gouvernement avait demandé une pause temporaire dans l’application de la loi, qui devait entrer en vigueur le 13 décembre.

Dabiri a ajouté qu’un « projet de loi d’amendement » était en cours de préparation par l’administration, mais n’a pas divulgué plus de détails.

La législation a été largement critiquée par les conservateurs et les réformistes, qui ont salué l’intervention du SNSC.

Le journaliste pro-réforme Seyyed Ali Pourtabatabaei a félicité Pezeshkian pour avoir « fait preuve de prudence » et a émis l’hypothèse que son prédécesseur conservateur, feu Ebrahim Raisi (2021-24), « se serait précipité pour mettre en œuvre et faire respecter » la loi.

Le journaliste conservateur Hossein Soleimani, qui a plaidé plus tôt ce mois-ci pour l’intervention du SNSC, a salué le conseil suprême pour avoir « pris conscience des dangers » de la mise en œuvre de la nouvelle loi sur le hijab.

Le député Javad Nikbin, un député conservateur et religieux qui est partisan de l’application stricte du hijab, a soutenu le report de la mise en œuvre de la nouvelle loi parce que « les gens ne doivent pas être en colère ».

Cependant, les partisans de la ligne dure qui soutiennent une application plus stricte du code vestimentaire islamique ont critiqué le gouvernement et accusé le SNSC d’ingérence injustifiée.

Hamed Nikoonahad, juriste et universitaire, a écrit sur X le 15 décembre qu’il serait « dangereux » de normaliser l’arrêt de la mise en œuvre de toute loi « quelle qu’elle soit ». Il a ajouté que si cela devenait la norme, ce serait le « coup de grâce porté à la sainteté et à la validité de la loi » et annoncerait « un retour à la tyrannie et à la dictature ».

Le site d’information radical Raja News a affirmé que l’échec de la promulgation des lois approuvées par le pouvoir législatif ne ferait que « nuire à la confiance du public dans le gouvernement et le système au pouvoir » et a accusé l’administration Pezeshkian d’« incompétence ». Contexte/analyse : L’application du hijab obligatoire est un sujet controversé en Iran, notamment depuis les manifestations nationales de 2022 qui ont donné naissance au mouvement « Femmes, vie, liberté ». Dans la foulée, un nombre croissant de femmes, notamment dans les quartiers aisés de la capitale, ont commencé à rejeter publiquement le voile.

Les manifestations ont éclaté après la mort en garde à vue de Mahsa Jina Amini, une jeune femme qui avait été arrêtée à Téhéran pour ne pas avoir respecté correctement le code vestimentaire.

Les manifestations ont rapidement dégénéré en une opposition plus large contre la République islamique, avec des appels à la chute du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei.

L’organisation Iran Human Rights, basée à Oslo, estime que 551 personnes ont été tuées lors de la répression visant à réprimer les troubles. Les manifestations ont également coûté la vie à des dizaines d’agents de sécurité.

Le texte final de la nouvelle loi sur le hijab a été publié le 28 novembre, après des mois de débats et d’échanges constants entre le Parlement et le Conseil des gardiens de la Constitution iranienne.

La loi de 74 articles introduit plusieurs mesures controversées, notamment des amendes importantes en cas de violation. Les personnes qui ne paient pas dans les 10 jours risquent de perdre l’accès aux services publics.

Les entreprises sont tenues de faire respecter le port obligatoire du hijab dans leurs locaux, sous peine d’amendes.

Les administrations publiques doivent également installer des systèmes de vidéosurveillance avec technologie de reconnaissance faciale et partager les images avec les forces de l’ordre pour identifier les personnes soupçonnées d’enfreindre la loi.

Le SNSC est présidé par le président, mais ses décisions devront finalement être approuvées par Khamenei, qui a le dernier mot sur toutes les questions d’État.

L’une des raisons probables pour lesquelles le SNSC et Pezeshkian sont critiqués pour avoir au moins temporairement contrecarré la loi sur le hijab est que critiquer Khamenei reste tabou dans le débat général en Iran.

Les opinions de Khamenei, lorsqu’elles sont exprimées publiquement, font effectivement loi. Ces dernières années, il a empêché le Parlement de destituer l’ancien président modéré Hassan Rohani (2013-21), interdit l’importation d’appareils électroménagers sud-coréens et interdit les vaccins contre le Covid-19 fabriqués en Occident.

L’avenir : Khamenei a selon toute vraisemblance approuvé la décision du SNSC, ou du moins refusé d’utiliser son droit de veto. En gardant le silence – du moins jusqu’à présent –, il se protège des critiques des principaux partisans de la République islamique, tout en détournant les réactions négatives envers le gouvernement réformiste.

La pause actuelle dans la mise en œuvre ne signifiera probablement pas la fin de la loi sur le hijab. L’évolution des circonstances économiques, politiques et sociales pourrait conduire à une résurgence de la controverse.

Outre le mécontentement croissant de la population face aux pénuries de gaz naturel en plein hiver, la récente chute de l’ancien président syrien Bachar Al-Assad – un allié de longue date de l’Iran – et le retour imminent de Donald Trump à la Maison Blanche incitent la République islamique à faire preuve de prudence. Cette dynamique peut donner lieu à une certaine flexibilité de la part de l’État, en fonction des circonstances.

 

Ils ont pas mieux à faire en Iran en ce moment que légiférer sur la "longueur d'un bout de tissu", avec ce qui se passe en Syrie et dans l'environnement régional?

Modifié le 17 décembre 2024 par fraisedesbois

[FAFA]

il y a 32 minutes, fraisedesbois a dit :

non non, ladite loi a finalement été suspendue par le Conseil suprême de la sécurité nationale ! (pour un bout de tissu!)

Merci. C'est une bonne nouvelle.

il y a 32 minutes, fraisedesbois a dit :

Ils ont pas mieux à faire en Iran en ce moment que légiférer sur la "longueur d'un bout de tissu", avec ce qui se passe en Syrie et dans l'environnement régional?

En Syrie et dans l'environnement régional, mais aussi chez eux.

Pour ce qui est de la chanteuse Parastou elle a été arrêté puis heureusement relâchée.

https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/musique/4129451-20241216-iran-apres-avoir-chante-voile-youtube-chanteuse-parastoo-ahmadi-arretee-puis-relachee

 

[ksimodo]

Il y a 2 heures, FAFA a dit :

Pour ce qui est de la chanteuse Parastou elle a été arrêté puis heureusement relâchée.

On est fort loin du progressisme, et sa notoriété a pu jouer. Tant mieux au final, il y a qq années je ne suis pas si sûr que celà se serait passé pareil.

 

Pour remettre dans le contexte façon procureur zélé ( et barbu ):

- le lieu du chant, ça ressemble quand même beaucoup à un iwan en arrière plan ( du genre TRES ancien ), donc possiblement la cour intérieure d'une mosquée ancienne.

- évidemment le foulard, mais bon......y'a des foulards qui s'échappent dans la rue, c'est pas la volée de coups de batons.

- là, les épaules nues à ce point, c'est 10 marches au dessus du foulard absent.

En terme de "blasphème", elle y est allé fort, la somme de transgression trés significative. 

La fin est "heureuse", donc je vais voir le verre à moitié plein.

 

 

[fraisedesbois]

Il y a 23 heures, FAFA a dit :

Merci. C'est une bonne nouvelle.

(...) mais aussi chez eux.

Oui, officiellement l'économie est la priorité de l'administration Pezeshkian. Donc un nouvel accord sur le nucléaire, afin que les sanctions soient levées.

Alors que les faucons, c'est le contraire, la dissuasion iranienne "conventionnelle" ayant été mise KO au Liban, à Gaza, et en Syrie.

[erthermer]

Les bureaux du gouvernement iranien sont fermés ou fonctionnent à des horaires réduits. Les écoles et les universités ne fonctionnent plus qu’en ligne. Les autoroutes et les centres commerciaux sont plongés dans le noir et les usines sont privées d’électricité, ce qui entraîne un arrêt quasi total de la production. Bien que l’Iran dispose de l’une des plus grandes réserves de gaz naturel et de pétrole brut au monde, il est en proie à une crise énergétique généralisée qui peut être attribuée à des années de sanctions, à une mauvaise gestion, à des infrastructures vieillissantes, à une consommation excessive et à des attaques ciblées d’Israël. « Nous sommes confrontés à des déséquilibres très graves dans les domaines du gaz, de l’électricité, de l’énergie, de l’eau, de l’argent et de l’environnement », a déclaré le président Masoud Pezeshkian dans un discours télévisé en direct à la nation ce mois-ci. « Tous ces déséquilibres sont à un niveau qui pourrait se transformer en crise. » Alors que l’Iran est aux prises avec des problèmes d’infrastructure depuis des années, le président a averti que le problème avait atteint un point critique.

Les autorités ont déclaré que le déficit de gaz dont le pays a besoin pour fonctionner s'élève à environ 350 millions de mètres cubes par jour. Les températures ayant chuté et la demande ayant grimpé en flèche, les autorités ont dû recourir à des mesures extrêmes pour rationner le gaz. Le gouvernement était confronté à deux choix difficiles. Il devait soit couper le service de gaz aux habitations, soit couper l'alimentation des centrales électriques qui produisaient de l'électricité. Il a choisi la deuxième option, car couper le gaz aux habitations comporterait de graves risques pour la sécurité et couperait la principale source de chauffage pour la plupart des Iraniens.

Vendredi, 17 centrales électriques avaient été complètement mises hors service et les autres n'étaient que partiellement opérationnelles. Tavanir, la compagnie d'électricité publique, a averti les producteurs de toutes sortes de produits, de l'acier au verre en passant par les produits alimentaires et les médicaments, qu'ils devaient se préparer à des coupures de courant généralisées qui pourraient durer des jours ou des semaines. Cette nouvelle a fait déraper les industries publiques et privées.

Mehdi Bostanchi, le chef du Conseil de coordination des industries du pays, un organisme national qui agit comme un lien entre les industries et le gouvernement, a déclaré dans une interview depuis Téhéran que la situation était catastrophique et sans précédent dans l’industrie. Il a estimé que les pertes de la semaine dernière pourraient réduire l’industrie manufacturière en Iran d’au moins 30 à 50 pour cent et représenter des dizaines de milliards de dollars de pertes. Il a ajouté que si aucune entreprise n’a été épargnée, les petites et moyennes usines ont été les plus durement touchées.

Un facteur moins connu a aggravé la crise énergétique cette année : en février, Israël a fait exploser deux gazoducs en Iran dans le cadre de sa guerre secrète avec le pays. En conséquence, le gouvernement a discrètement puisé dans ses réserves de gaz d’urgence pour éviter des interruptions de service pour des millions de personnes, selon un responsable du ministère du pétrole et M. Hosseini, membre du comité de l’énergie de la Chambre de commerce. M. Pezeshkian, élu président en juillet, a déclaré que son gouvernement avait hérité d’une réserve d’énergie épuisée qu’il n’a pas été en mesure de reconstituer. Le gaz naturel représente environ 70 % des sources d’énergie de l’Iran, un taux bien plus élevé que celui des États-Unis et de l’Europe, selon des études internationales sur l’énergie. Le gouvernement a mis en œuvre un projet ambitieux visant à approvisionner en gaz tous les coins de l’Iran, y compris les petits villages, et aujourd’hui, environ 90 % des foyers iraniens dépendent du gaz pour se chauffer et cuisiner.

source :

https://www.nytimes.com/2024/12/21/world/middleeast/iran-economy-energy-crisis.html

[papsou]

https://www.lalsace.fr/societe/2025/01/08/detention-de-cecile-kohler-le-glacant-temoignage-de-narges-mohammadi

A l'occasion d'une interview exceptionnelle sur les ondes de France Inter, la lauréate du prix Nobel de la Paix 2023, détenue dans la même prison que Cécile Kohler, a donné des nouvelles de l'état de santé de l'enseignante originaire de Soultz, otage en Iran depuis 32 mois.

Interviewée ce matin sur France Inter, la militante iranienne des Droits de l’Homme et lauréate du prix Nobel de la Paix 2023 Narges Mohammadi, a, pour la première fois, donné des nouvelles de Cécile Kohler via des co-détenues de l’enseignante originaire de Soultz.

« Des conditions terribles »

Et la vice-présidente du Defenders of Human Rights Center, dirigée par une autre lauréate du prix Nobel de la paix, Shirin Ebadi, est très inquiète. « J’ai demandé des nouvelles de Cécile à des prisonnières qui ont passé quelques jours en cellule avec elle. Elles disent que sur le plan physique, elle est très affaiblie, et je suis très inquiète pour elle. Parce que, moi aussi j’étais en isolement, vous savez. Et ce sont des conditions terribles, une vraie torture », a déclaré Narges Mohammadi.

« Quelque chose d'inconcevable »

« Quand j’y étais on n’avait que trois sorties dans la cour, de seulement 20mn par semaine. [...] Donc s’y retrouver très longtemps, trois ans, comme elle, être là sans bouger, sans prendre l’air, peut vraiment lui être fatal. Le fait d’être à ce point isolée longtemps pour la mettre dans une situation psychique terrible, peut la mettre en grand danger. C’est l’occasion pour moi de déclarer mon inquiétude pour l’état de santé de Cécile. Se retrouver si longtemps en isolement est quelque chose d’inconcevable et d’insoutenable », a conclu Narges Mohammadi au micro de Sonia Devillers ce mercredi matin sur France Inter.

Cécile Kohler et son compagnon Jacques Paris sont détenus en Iran depuis le 7 mai 2022, soit 32 mois.

[Connorfra]

Un haut gradé iranien reconnait une défaite majeur en Syrie.

Ce qui est significatif c'est que l'axe Moscou/Thereran à de l'eau dans le gaz (ou le vilain jeu de mots).

Les iraniens accusans les russes d'avoir défendu mollement le régime d'Assad lors de l'offensive éclair de fin novembre début décembre.

 

 

[Joab]

3 minutes ago, Connorfra said:

Un haut gradé iranien reconnait une défaite majeur en Syrie.

Ce qui est significatif c'est que l'axe Moscou/Thereran à de l'eau dans le gaz (ou le vilain jeu de mots).

Les iraniens accusans les russes d'avoir défendu mollement le régime d'Assad lors de l'offensive éclair de fin novembre début décembre.

 

 

Ce haut gradé pense que Bachar aurait dû attaquer Israël comme les iraniens lui conseillaient. Il est encore plus dans le déni que ses supérieurs qui minimisent la perte de la Syrie.

[Connorfra]

il y a 23 minutes, Joab a dit :

Ce haut gradé pense que Bachar aurait dû attaquer Israël comme les iraniens lui conseillaient. Il est encore plus dans le déni que ses supérieurs qui minimisent la perte de la Syrie.

Bachar aurait très certainement été finit plis vite... au lieu de 3 semaines ça en aurait prit 2 et puis bon vu la motivation de son armée 

[Paschi]

La justice iranienne a annoncé jeudi qu'un ressortissant suisse accusé d'espionnage s'était suicidé dans la prison de Semnan, dans l'est du pays. Le Département fédéral des affaires étrangères confirme. Selon les médias locaux, l'homme aurait prélevé secrètement des échantillons de terre, mais d'après le DFAE, il était en Iran comme touriste.

https://www.rts.ch/info/monde/2025/article/suisse-accuse-d-espionnage-retrouve-mort-dans-une-prison-iranienne-28750257.html