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Dans le cadre de l'OTAN, je pense que oui, mais en tant que mission "non-article 5" (quel nom moche). Dans le cadre de l'application de l'article 5 du Traité de l'Atlantique Nord, il est écrit dans l'article 6 que : Pour l'application de l'article 5, est considérée comme une attaque armée contre une ou plusieurs des parties, une attaque armée : contre le territoire de l'une d'elles en Europe ou en Amérique du Nord, contre les départements français d'Algérie 2, contre le territoire de la Turquie ou contre les îles placées sous la juridiction de l'une des parties dans la région de l'Atlantique Nord au nord du Tropique du Cancer; contre les forces, navires ou aéronefs de l'une des parties se trouvant sur ces territoires ainsi qu'en toute autre région de l'Europe dans laquelle les forces d'occupation de l'une des parties étaient stationnées à la date à laquelle le Traité est entré en vigueur, ou se trouvant sur la mer Méditerranée ou dans la région de l'Atlantique Nord au nord du Tropique du Cancer, ou au-dessus de ceux-ci. Donc tous ces territoires sont trop au sud pour un appel à l'article 5. Il n’empêche que les autres traités vont jouer et les chancellerie tourner à plein régime pour décider d'une assistance ou non.

Concrètement, l'image que vous cherchez c'est celle-ci ?

J'attends avec délectation dix ans, et on reparle du prix réel.

Enfin bon, l'article original du Monde on le trouve où? Pas dans le journal, mais dans un des blogs hébergé par le journal, qui n'a pas de lien avec le journal à part une adresse internet : http://filiu.blog.lemonde.fr/2018/10/21/pourquoi-lalgerie-protege-le-pire-jihadiste-du-sahel/ Donc là, numidiadz, vous venez de tomber dans la connerie de l'information non sourcée.

Ben oui, dès que l'on peut on ramène la défense de la grande Russie éternelle innocente face au complot des démocraties dégénérées occidentales.... Comparaison n'est pas raison. Évidemment qu'il n'y aura pas de fin de ventes d'armes. Il y a trop d'argent en jeu. d'abord on fini de pomper le portefeuille des bédouins. Quand ils n'auront plus d'argent, on verra. La morale est soluble dans l'argent, surtout quand il y a beaucoup d'argent et peu de morale. Quand à la seconde explication de non-vente : la guerre au Yemen, c'est étonnant de s'étonner que certains utilisent les armes qu'ils achètent.

Peut être que cela se fait, mais c'est interdit. L'Etat a fait pour ce créneau de navires le choix d'appels d'offres. Donc pas de "retour" et autre. Si l'on veut maintenir la capacité industrielle prioritairement par rapport au coût, on ne fait pas un appel d'offre, on choisit d'exclure le marché des appels d'offre au titre de l'exception "Défense et sécurité" qui existe dans la directiveet que de nombreux pays utilisent en Europe (y compris pour les patrouilleurs, la France le fit aussi pour les sous-marins par exemple). En l’occurrence, en France il n'y a pas besoin aujourd'hui de soutenir les entreprises qui conçoivent et produisent des patrouilleurs, il y en a assez qui survivent toutes seules (CNM, Piriou/Kership, Socarenam, Ocea, je dois en oublier) pour qu'il n'y ait aucun risque de perte sèche de matière grise. Et puis c'est du patrouilleur, le savoir-faire revient vite depuis un chantier civil.

En gros : l'officier de programme propose trois séries de noms, avec argumentaire. Le service historique de la défense (SHD) donne son avis sur les propositions. Le CEMM décide à partir de ces bases. Évidemment, comme le CEMM signe par délégation du ministre (c'est le concept en droit français, rien de particulier au MINDEF), le ministre peut toujours reprendre la main sur la décision.

On va rester souple. Les études sont parties, pas la construction. Il reste possible de revenir dessus, tout comme cela l'a déjà été par le passé. Et d'ici deux ans, on ne verra même pas le plan des grands ensembles, donc wait, et loin de see.

Les navires sont dans le port de l'ancienne concession française de Kouang-Tchou-Wan? Au moins, le mouillage favorable identifié voici quelques siècles aura finalement eu un développement.

Ils se sotn barrés car ils n'avaient pas de plan. Comme les adeptes du "non" au référendum de 2005. C'était juste de la com' basée sur du vent quand aux solutions proposées.

Ici, le coupable pointé c'est l'Euro. Prenons alors des pays qui ne sont pas dans l'Euro, comme la Grande-Bretagne, ou les Etats-Unis. Qu'observe-t-on? Une désindustrialisation, des inégalités croissantes, un 'taux de population active" (plutôt que chômage) qui croît. Mais alors, est-ce que cela ne signifierai pas que ce qui est avancé est faux? Reprenons l'article cité :, avec mes réponses dans le texte Mouvements des capitaux en direction des zones les plus attractives sur le plan fiscal et sur le plan des coûts de production et de la tradition industrielle >Se produit partout y compris et très largement hors de la zone Euro, est lié à la fluidité des mouvements de capitaux. Par exemple, même en Russie on défiscalise en basant des entreprises en Suisse. , monnaie sous-évaluée pour certains pays (de 15% pour l’Allemagne selon le FMI) et surévaluée pour d’autres (de 12% pour la France) >en effet lié à la monnaie unique, à l'instar de ce que l'on observe à l'intérieur des pays ou de toute zone monétaire , déséquilibres des paiements courants (en vingt ans l’Allemagne est passée de l’équilibre à un excédent de 8% du PIB) >ce n'est pas lié uniquement à l'Euro mais aussi à l’abaissement du coût du travail en Allemagne par les contrats faiblement payés, c'est juste renforcé par l'Euro puisque al monnaie est "équilibrée" par les pays moins dynamiques ce qui favorise la région al plus dynamique en interne de la zone, désindustrialisation de certains pays (production industrielle : -10% en France depuis 2000, + 35% en Allemagne) >cf ce que j'ai écrit avant la citation, émigration des jeunes du Sud vers le Nord >Est-il pertinent de penser que c'est lié à l'Euro? Les migrations vers les zones plus attractive économiquement existent depuis fort longtemps, j'ai presque envie de dire depuis toujours. Sinon il n'y aurait pas tous ces migrants économiques qui tentent de rallier l'Europe. En outre, deux pays non membres de la zone euro se dépeuplent vers le "Nord": Roumanie et Bulgarie. Bref, quand on veut tuer son chien, on l'accuse d'avoir la rage, ne dit-on pas? Donc là on propose d'enterrer le système car il ne va pas assez loin, puisque l'on ne s'y identifie pas. revenons donc à l'Histoire. Combien de temps a-t-il fallut pour créer une conscience nationale qui remplace les régions, les paroisses, et autres provinces? Des siècles. Et là, on demande par un coup de baguette magique (parceque je lis aussi sur ce forum qu'il est amoral que l'Union fasse de la publicité ou de l'information sur ses missions e sur ce qu'elle apporte car c'est appelé "endoctrinement") qu'une conscience européenne remplace les consciences nationales. Mais c'est juste impossible d'y arriver aussi vite. Regardez dans vos connaissances et trouvez-y un Pied-Noir. Lui il se sent toujours français des départements d'Algérie, cinquante ans après. Bien rares sont ceux qui ont réussi à faire le bond intellectuel. Donc penser pouvoir créer cette conscience européenne aussi rapidement c'est utopique. Pour autant, céder maintenant Super, le niveau zéro de l’argumentation ou de la proposition. "Creuse toi la cervelle". C'est quoi le sous-entendu? Que les gens qui n'arrivent pas aux même conclusions sont justes de gens qui ne réfléchissent pas, c'est bien cela? Et bien désolé d'être un pauvre con alors. Car non, je n'ai pas les mêmes conclusions. Et de toute façon dans ceux qui dénoncent l'Europe on a toujorus deux blocs totalement opposés qui ne se retrouvent que dans leur rejet de l'Europe actuelle, comme lors du référendum de 2005 : il y a ceux qui disent qu'il y a trop d'Europe, et il y a ceux qui disent qu'il n'y a pas assez d'Europe. Sauf que ces deux blocs ne sont d'accords que pour une seule chose : bloquer tout changement. C'est étrangement antinomique, et pourtant, ceux qui rejettent comme ceux qui rêvent d'une autre Europe sont en pratique les plus gros conservateurs. Quand certains pays proposent une harmonisation, d'autres s'insurgent et parlent de "dictature" ou crient que l'on piétine sur leurs droits souverains. Donc à un moment il va falloir se décider. Davantage d'Europe ou moins d'Europe, mais pas un entre-deux où tout est dénoncé pèle-mêle. Oui c'est possible mais il va falloir que certains acceptent de perdre un peu, car il y a rarement des réformes qui ne créent que des gagnants. Et de toute façon même lorsqu’il n'y a que des gagnants, ceux qui ont vu leurs gains progresser moins vite que les autres s'estiment perdants et hurlent à la mort. Cf plus haut avec ce qui est reproché à la zone Euro. https://www.robert-schuman.eu/fr/questions-d-europe/0064-la-preference-communautaire-ou-les-illusions-du-protectionnisme-europeen Si l'on veut exporter, il faut aussi savoir importer. Vous vous souvenez, un petit peu plus tôt le coupable désigné c'était l'Euro. Et bien ici c'est l'Union à qui l'on prête les causes des mêmes difficultés. Tout ce que je vois ci-dessus dans les deux messages, c'est que le problème a été trouvé, et ensuite on cherche toutes les justifications qui s'alignent. Aucun élément positif, aucune comparaison. On est totalement dans le biais cognitif. Il y a confusion entre mondialisation et l'Union Européenne. Tout ce que vous dites je l'ai vu au Vietnam, où l'on se plaint de la mondialisation qui apporte des produits Philippins moins chers. Mais ils ne voient pas toutes les exportations produites dans leur pays. Et au Vietnam, on en peut aps dire que 'lest la faute de l'Europe. Non, c'est simplement un effet de la globalisation économique. Tous ceux qui rejettent cette globalisation, j'espère que vous avez votre téléphone produit et conçu en Europe, que vos vêtements sont tissés et coupés sur le territoire de l'Union. Même si pour les vêtements c'est vraiment pas facile d'en trouver. Il y a une vison de l'Europe par certains comme d'une terre qui pourrait être idéale si l'on allait uniquement dans un sens. Mais on oublie qu'il y a plusieurs courants de pensée. J'ai cité deux exemple de personnes dans mes citations dont le lecteur pourrait à la première vue croire qu'il sont d'accord, alors qu'à la lecture attentive, on voit qu'il s'agit de deux groupes bien distincts : celui qui pense que l'Union devrait disparaître, et celui qui pense que l'Union en va pas assez loin. Mais les deux se sont retrouvés avec les mêmes mots, et la même verve pour dénoncer tout ce qui en va pas dans leur sens de pensée personnel. Qui sont pourtant des sens de pensée différents. Cf mon exemple précédent avec le référendum de 2005. Sur une touche plus légère, j'aimerai dire que je notre les prévisions sur la fin de l'Euro/Union pour les élections de 2022 ou 2027 (voire avant), mais au fond ce serait mentir car je ne me souviendrai pas de qui a fait la prévision lorsque l'échéance de 2027 arrivera. Petite question, ce choix d'années 2022/2027 pour les élections est lié à quoi exactement? Car dans ces dates je en vois que des échéances françaises. C'est à dire que je vois une vision du monde pays-centrique et non liée à l'Europe.

C'est trop facile de dire cela. Et on fait quoi, et comment? Quand je lis "il faut faire davantage de social" et "il faut peser davantage sur le monde", ce sont deux choses antinomiques. Soit on investi son énergie/travail/argent/cequonveut en interne, soit en externe. Dire qu'il faut faire davantage des deux est juste trop facile et n'apporte aucune solution quand aux objectifs détaillés ni aux moyens d'y arriver. C'est juste de l'idéalisme. Et il est beaucoup trop facile de se voiler la face des réalités du monde, de rejeter ce monde, en rêvant d'u monde meilleurs ou de lendemains qui chantent. Donc concrètement, à part la (trop facile dans le discours solution de) taxer les mouvements de capitaux, c'est quoi la proposition qui permet à la population de mieux vivre et à l'Union de peser dans le monde?

Et bien pour tous ceux qui croient qu'il est facile de peser dans le monde, je les invite à observer avec soin ce qui se passera pour les britanniques dans les 10 années à venir, et à n’apporter leurs conclusions qu'après cette période d'étude.

Ben non, on attend qu'un forumeur donne son avis avant de lancer une enquête qui a envoyé un gars à quelques centimètres du cimetière et a détruit une machine à 20G€. Le Ministère de la Défense est vraiment trop con.... Sachez d'ors et déjà que seules les conclusions intéressant la sécurité aéronautique, ou pouvant avoir des applications civile, seront rendues publiques. Faudra pas couiner à ce moment là. Pour le reste du message, ej préfère ne rien dire tant il est un ramassis du niveau du café du commerce par une personne qui ne s'est pas intéressée au sujet en amont.

Si ce la tourne à al catastrophe en terme de qualité du logement, ça va se passer très vite : eu égard à l'importance actuellement accordée à la condition de vie du personnel, la Ministre va directement tordre le bras des équipes et prélever de l'argent ailleurs pour les aménagements ou des bus patrimoniaux avec chauffeurs militaires.

Au contraire, il est plus facile de se poser lorsqu’un navire se déplace : cela crée un vent relatif constant dans la direction de son choix.

Il faut passer sur deux moteurs à 12nds. ON sort du domaine encrassant.

Les butées extérieures me semblent très en avant. La lige d'arbre est immergée dès la moitié du navire? Cela srt aussi lors des contacts accidentels avec un autre navire, spécialité reconnue de l'US Navy dans le Pacifique ces derniers temps :D

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/la-france-compte-t-elle-trop-de-fonctionnaires_1324777.html Le graphique date un peu (en base 1000 en 2000) : Mais il montre une tendance à l'augmentation. Comme l'indique aussi ce lien : https://www.weka.fr/sante/dossier-pratique/gerer-le-personnel-medical-et-hospitalier-dt45/les-chiffres-cles-de-la-fonction-publique-hospitaliere-4621/ 1986 : 665 000 agents 1996 : 885 296 agents 2006 : 1 055 821 agents 2008 : 1 045 042 agents 2009 : 1 100 073 agents 2010 : 1 110 469 agents Si l'on prend les ETP, les valeurs sont légèrement plus faibles (cas des temps partiels) mais la tendance est la même. Donc ma question c'est : où sont passés tous ces effectifs supplémentaires lors de cette période de croissance des effectifs? On hurle aujourd'hui à la mort sur les réductions, mais c'est un retour à des effectifs précédents où la situation n'était pas décrite comme catastrophique, pourtant.

On va rester souple. L'ordre de grandeur est le même, il s'agit juste de la réduction d'un facteur 2 de la SER. Aller, 3 en prenant en compte les faible superstructures. Ce n'est pas un game changer comme peut l'être une réduction d'un facteur 20 de la SER. Enfin, il ne s'agit que de la réduction de la SER, cela n'a aucun impact sur l'acoustique, le thermique et les émissions électromagnétiques de l'unité en question.

Heu... on parle d'extraction de pétrole là pas de gaz. Il faut dépasser la confusion sémantique journalistique. L'injection d'eau n'est pas chère face aux milliards nécessaires pour ouvrir un nouveau champ. Une pompe, un puit bien placé et c'est réglé.

Dans les exploitations pétrolières actuelles qui ne sont pas sous pression suffisante pour remonter en surface (à l'inverse des fameux geyser qu'on peut voir dans les films sur la ruée vers le pétrole), on injecte déjà de l'eau en quantité équivalente au pétrole soutiré. Cela n'est pas interdit et ne pose de problème à personne. Cela stabilise les couches géologiques au passage.

C'est sûr que de répondre à des faits par des convictions, cela évite toute nécessité de fournir un argumentaire. Comme lors des procès religieux contre des scientifiques. Quand à l'argument du temps limité, c'est un artefact rhétorique basé sur une confusion. Le temps manque pour le réchauffement de la planète, pas du tout pour la prétendue pollution de l'eau en France.

Les BPC stationnent au quai d'honneur et à Milhaud 5 (éventuellement Milhaud 6 en l'absence du porte avion). Donc non concernés par les travaux. À moins que l'idée ne soit un jeu de taquin. Pour Milhaud 1,je pensais que les travaux étaient associés au programme flotLog. Donc dépendant du détail des modifications du design italien. C'est à dire encore non défini? Par ailleurs, je crois que vous ne vous rendez pas compte de l'impact humain et social, mais aussi industriel et technique d'un changement de port base. Énorme sur la vie sociale au point de générer des démissions et des divorces. Énorme sur la disponibilité d'un navire si la classe en question n'existe pas dans le port (compétence, stocks, planification,...)

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