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Tout ce qui a été posté par Wallaby
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ressource Les terres rares, commencent a se faire vraiment rares !
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alpacks dans Economie et défense
Ce n'est certes pas une "terre rare", mais... https://www.ouest-france.fr/bretagne/treguennec-29720/lithium-a-treguennec-le-pays-bigouden-n-est-pas-a-vendre-meme-pour-tout-l-or-blanc-du-monde-5cef50fe-805a-11ec-be7c-6adc9f4bf6f7 Une étude du bureau de recherches géologiques et minières révèle une importante ressource en lithium, métal rare et recherché, dans le sol de Tréguennec (Finistère). Pour le maire, il est « absolument hors de question » d’envisager l’ouverture d’une quelconque mine sur ce terrain, classé à plusieurs titres comme zone naturelle sensible et à protéger. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.aa.com.tr/fr/afrique/mali-une-délégation-du-csp-arrivée-à-rome-en-labsence-du-ministre-de-la-réconciliation/2489508 (30 janvier 2022) « Sur demande des autorités de Transition du Mali, l’ONG italienne ARA PACIS a initié une réunion de médiation à Rome pour un rapprochement entre le CSP et le gouvernement, ainsi que l’autre tendance de la plate-forme qui n’est pas membre du CSP », a précisé Mohamed Elmaouloud Ramadane porte–parole de la Coordination des Mouvements de l'Azawad (CMA). https://malijet.com/les_faits_divers_au_mali/lettres_ouvertes_mali/266500-nicolas-normand%2C-l’ancien-ambassadeur-de-la-france-”le-mali-doit.html Après avoir invité les groupes armés pour une séance de travail sur la migration, l’Italie se met désormais sur une pente de la provocation. C’est le constat fait par l’ancien ambassadeur de la France au Mali, Nicolas Normand. “Mais quant à l’Italie à quel titre elle invite les membres du CSP ? Elle pense que les membres des groupes armés contrôlent le flux migratoire donc qu’il faut négocier avec eux. C’est ce que la diplomatie italienne pense, mais c’est inacceptable” a estimé, Nicolas Normand. Il enfonce le clou, en disant que Bamako doit expulser l’ambassadeur d’Italie et non celui de la France. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
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Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/02/03/la-france-et-ses-partenaires-europeens-envisagent-un-retrait-du-mali_6112158_3212.html A moins d’un revirement des autorités de Bamako, la France et ses partenaires européens examinent l’opportunité et les modalités d’un retrait total de leurs troupes du Mali. L’hypothèse est bel et bien sur la table des consultations en cours entre Paris, les capitales européennes et africaines engagées dans ce pays dans la lutte contre les djihadistes. « Il n’y a de sens à être engagé que quand on peut être efficace. Là où les conditions ne sont pas réunies, il ne faut pas rester, affirme une source diplomatique française. Cela dépendra de la posture de la junte. Mais pour l’instant, elle reste dans l’escalade et rien ne permet d’anticiper un changement. » https://www.augsburger-allgemeine.de/politik/aussenpolitik-ist-der-einsatz-in-mali-gescheitert-id61663656.html (3 février 2022) Les élections prévues pour février ont été repoussées de cinq ans, l'ambassadeur français et les soldats danois ont été expulsés, le gouvernement se complaît dans le flirt politique avec la Russie, l'Union des Etats d'Afrique de l'Ouest a imposé au Mali des sanctions drastiques qui ne font qu'accroître la pauvreté. Le gouvernement français, ancienne puissance coloniale qui lutte depuis des années contre les djihadistes, envisage ouvertement de se retirer du pays. Le conflit entre le gouvernement militaire malien et Paris s'envenime de plus en plus et pourrait mettre en péril la lutte antiterroriste. Car la discorde entre Bamako et Paris fait également sonner toutes les sonnettes d'alarme à Berlin - le choc laissé par la débâcle afghane est encore trop profond. La ministre des Affaires étrangères Annalena Baerbock remet déjà en question l'intervention de la Bundeswehr au Mali. Il s'agit du plus grand mandat allemand actuel. Depuis neuf ans, la Bundeswehr participe avec plus de 300 soldats à la mission de formation de l'UE EUTM et avec plus de 1100 soldats à la mission de l'ONU Minusma. Le Bundestag devrait bientôt se prononcer sur l'avenir de la participation aux deux missions. "L'ambiance ici est mauvaise", dit Ulf Lässing. Les Français, en tant qu'anciens maîtres coloniaux, sont considérés comme des méchants, la déception face aux maigres succès militaires contre les islamistes se transforme de plus en plus en colère, le nombre d'attentats terroristes a récemment augmenté de manière vertigineuse. Des millions de personnes sont en fuite, des milliers sont mortes, sans compter la pauvreté galopante. Depuis des décennies, le Mali est sous perfusion de l'aide internationale au développement et ne parvient pourtant pas à se libérer de l'emprise de la misère. Il est de plus en plus évident que le conflit avec les djihadistes ne peut guère être résolu militairement. Mais une deuxième guerre sans fin, comme celle que l'Allemagne a connue dans l'Hindou Kouch, est considérée à Berlin comme une véritable horreur. "Notre engagement n'est pas une fin en soi", déclare la ministre fédérale des Affaires étrangères Baerbock au Süddeutsche Zeitung. La sécurité des Maliens, la stabilité et le développement ne peuvent être assurés que par des réformes et le retour à la démocratie, comme le pays en a convenu avec la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Cela ne signifie rien d'autre que cela : S'il n'y a pas de succès, les soldats allemands reprendront l'avion en direction de leur pays. Beaucoup ont compris qu'on ne gagne pas une guerre avec de bonnes intentions. Mais Lässing est certain qu'un retrait rapide contribuerait à déstabiliser davantage le pays et à détériorer dramatiquement la situation sécuritaire. Les combattants islamistes pourraient conquérir d'autres régions, leur objectif étant de progresser en direction de la mer afin de pouvoir envoyer des bateaux de contrebande. Les problèmes risquent en outre de s'étendre à d'autres pays de la région, ce qui n'est déjà pas le cas. Cette situation est donc loin d'être simple. "Je pense qu'il y a une possibilité d'entamer un dialogue avec le gouvernement de transition du Mali", déclare l'expert de la KAS. "Il y a beaucoup d'arguments pour rester sur place". On ne fera jamais de cet Etat d'Afrique de l'Ouest une deuxième Suisse, mais le risque de pousser ici un pays encore plus loin vers l'abîme est grand. La France en particulier doit adopter un ton plus diplomatique dans l'intérêt d'une solution commune, en laissant de côté la campagne électorale, dans laquelle le président Emmanuel Macron veut délibérément montrer sa capacité à s'imposer. Les premiers temps, lorsque les troupes internationales sont arrivées dans le pays, ont justement montré que la situation était loin d'être désespérée. Des villes comme Kidal, Gao et Tombouctou ont été libérées, l'avancée des radicaux a été stoppée. Mais l'engagement a rarement été durable. Là où les islamistes et d'autres bandes criminelles ont été chassés, le faible État malien n'a jamais réussi à combler le vide. Le gouvernement a été renversé pour la dernière fois en 2020 et en 2021, et c'est actuellement une junte militaire installée de manière non démocratique, avec à sa tête le colonel Assimi Goita comme président de transition, qui est aux commandes. On ne sait même plus qui on soutient, dit-on à Berlin. La population se range derrière les officiers - les gens ont trop souvent vu leurs dirigeants civils penser davantage à leur propre compte qu'au bien commun. Dans un pays comme le Mali, les civils qui arrivent à la tête d'un gouvernement sont généralement issus d'une petite élite qui aime entretenir ses propres réseaux et son propre solde bancaire. L'armée apparaît alors pour beaucoup comme un moindre mal. Mais celle-ci préfère ne pas s'attarder sur les principes de l'Etat de droit. En Occident, on craint que les dirigeants maliens ne s'appuient de plus en plus sur la Russie. Des centaines de mercenaires du groupe dit "Wagner" se trouveraient au Mali. "Quand je suis allé au bureau aujourd'hui, j'ai croisé des drapeaux russes", dit Lässing. Il est certes peu probable que Moscou se jette à corps perdu dans le conflit malien, comme en Syrie, mais c'est justement la débandade des Européens qui devrait plaire au Kremlin. "La Russie parvient à créer un maximum d'insécurité avec un minimum d'engagement", explique Ulf Lässing. Les mercenaires russes auraient trouvé une sorte de "niche de marché" car, contrairement aux Allemands par exemple, ils vont au front avec leurs collègues maliens. La Bundeswehr, en revanche, s'en tient aux patrouilles, à la logistique et à la formation. Le Parlement doit encore décider en février si elle continuera à le faire. "Si rien ne change au Mali, il ne peut pas y avoir de simple continuation", avait déjà annoncé la ministre de la Défense Christine Lambrecht en janvier. Certes, elle ajoutait : "Nous ne céderons pas, nous ne rendrons pas les choses aussi faciles aux Russes". Mais le mot "stratégie de sortie", il gronde de plus en plus fort dans le Berlin politique. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/mali-il-faut-des-maintenant-commencer-a-se-replier-estime-l-ex-ministre-herve-morin-20220203 Certes «on ne replie pas 5000 hommes du jour au lendemain» et «il faut faire ça dignement, proprement», mais l'opération «Barkhane doit être revue de fond en comble et il nous faut probablement nous replier sur le Niger, bâtir un modèle dans lequel nous sommes en capacité d'intervenir en cas d'urgence», a développé le président de la région Normandie. «Très clairement, toutes choses égales par ailleurs -ce n'est pas le même contexte-, le schéma s'approche malheureusement chaque jour de celui qu'on a connu en Afghanistan: nous sommes arrivés pour lutter contre le djihadisme, l'idée était d'avoir un accord politique, de reconstruire un État», mais la France «aujourd'hui apparaît de plus en plus comme une force d'occupation», donc «le but de notre intervention militaire a échoué», a-t-il constaté. «L'équation» était de toute façon «impossible» selon lui, car «quels que soient tous les moyens déployés, qui sont énormes», les territoires à reconquérir sont «gigantesques». Qui plus est, «on est sur des guerres asymétriques, entre d'un côté la puissance militaire des forces occidentales, et de l'autre du terrorisme, du harcèlement, de l'attentat». L'ancien ministre a en outre estimé que le renvoi de l'ambassadeur français par la junte au pouvoir au Mali était «très clairement une rupture». Le Premier ministre Jean Castex a annoncé mercredi qu'un débat serait organisé au Parlement pour évoquer l'engagement militaire de la France au Mali. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://lavoiedelepee.blogspot.com/2021/06/le-choix-de-lembarras.html (juin 2021 - 30 janvier 2022) Michel Goya revient loin dans le temps (intervention au Tchad en 1969) et dans la géographie (Rwanda, 1990) pour rappeler des principes simples : aider des forces faibles les rend dépendantes vis à vis de l'aide qu'on leur apporte, mais ne les renforce pas. Conclusion : Après le succès de Serval, imaginer qu’en restant militairement au Mali, et qu’avec quelques stages de formation de type tonneau des Danaïdes prodigués par des instructeurs européens ou des centaines de millions d’euros d’aides en tout genre, on allait être relevés rapidement par une armée structurellement parmi les plus faibles et corrompues au monde, relevait de la magie. Or, la magie ne fonctionne que pour ceux qui y croient naïvement. Au bout de sept ans de Barkhane, il est peut-être temps d’ouvrir les yeux et de transformer cette opération, en commençant par se dégager du Mali. https://lemamouth.blogspot.com/2022/02/pourquoi-il-faut-rapatrier-nos.html (2 février 2022) La France n'a plus aucune mission au Mali, si ce n'est celle de réussir correctement et sans pertes son départ accéléré, dans les pires conditions. Cela va mettre une pression importante sur les vols affrétés, déjà fort rares et coûteux. Mais aussi demander une solidarité de nos alliés anglo-saxons (C-17) et européens (A400M), au moins pour un pont aérien à cycle court (vers Abidjan), avant un retour par voie maritime. La voie routière est maintenant trop problématique. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Alors que le Mali qui est l'épicentre de la crise sécuritaire régionale sonne la fin de l'intervention militaire française, l'urgence n'est plus de reconfigurer Barkhane ou de définir des lignes rouges pour négocier avec les groupes armés islamistes, mais de sortir du bourbier sahélien avant d'être tout simplement mis à la porte. C'est la même ligne que Merchet : -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Les sanctions de la Cédéao reviennent tacitement à soutenir l'opposition qui demande de respecter le calendrier - pardon on dit le "chronogramme", maintenant, c'est plus chic - de la Cédéao. Quand la junte n'aura plus assez d'argent pour payer les fonctionnaires, les fonctionnaires mécontents devraient se rallier autour de cette opposition pour faire pression contre la junte. J'imagine que c'est ce genre de scénario qui est en jeu derrière les sanctions. Oui mais qui est Bamakois ? Il y a des Touareg à Bamako, comme il y a des Corses et des Auvergnats à Paris (et des Tigréens à Addis-Abebba). -
Chine
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://twitter.com/sundellviz/status/1488596964208001026 -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.ledevoir.com/societe/668988/la-manifestation-de-camionneurs-n-a-rien-de-pacifique-selon-la-police-d-ottawa (3 février 2022) « Plus longtemps durera la manifestation, plus grand sera le risque pour la sécurité publique », a indiqué le chef de police de la capitale, Peter Sloly, selon qui « toutes les options sont sur la table » pour mettre fin à l’événement. Il ajoute toutefois que la police se sent impuissante et incapable de mettre fin à l’événement, puisqu’un affrontement avec les camionneurs pourrait poser de graves risques pour la sécurité publique, comme une émeute. Il soutient par exemple que l’action policière menée par la GRC contre une autre manifestation de camionneurs, celle-ci à la frontière de l’Alberta, s’est avérée contre-productive et très risquée lorsque des camionneurs ont défié les autorités, mardi. « Nous sommes très peu habilités à négocier pour toutes les demandes associées à la manifestation. […] Il pourrait ne pas y avoir de solution policière », soutient-il. Le chef Sloly a qualifié le convoi de « sans précédent », notamment parce qu’il dispose d’une extraordinaire source de financement, dont une partie proviendrait des États-Unis. La présidente de la Commission de services policiers d’Ottawa, Diane Deans, a d’ailleurs évoqué que les gouvernements pourraient tenter de saisir les fonds recueillis sur GoFundMe. Au moment où ces lignes étaient écrites, la campagne de sociofinancement cumulait plus de 10 millions de dollars. -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lapresse.ca/covid-19/2022-02-02/convoi-contre-les-mesures-sanitaires/camions-inutilises-recherches-pour-assieger-quebec.php « Si y’a des camionneurs qui ont des trucks saisonniers qui peuvent venir parker, venir rester là ? », demande Keven Bilodeau dans une vidéo diffusée mercredi. « Parce que ça va être un siège aussi à Québec. S’ils peuvent juste les parker. Il va y avoir des trucks partout autour du parlement et on va staller ça là », assure celui qui avait été l’un des organisateurs du Festival des Gaulois en Beauce l’été dernier. Comme à Ottawa, des manifestants se dirigent à Québec pour dénoncer les mesures sanitaires. Un premier convoi nord-côtier doit arriver dès jeudi. Les Beaucerons vont partir samedi. Le maire de Québec a haussé le ton mercredi matin. « « On va s’assurer que ça ne soit pas possible de jammer Québec. La police va faire son travail », a dit Bruno Marchand au micro du 98,5 FM. -
Japon
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Avec tous les problèmes que cela pose pour la fête de la majorité qui a lieu traditionnellement à 20 ans le 2e lundi de janvier : https://ja.wikipedia.org/wiki/成人式#成人年齢引き下げに伴う動き En 2022, le code civil sera modifié pour abaisser l'âge de la majorité à 18 ans, mais la ville de Hachioji et d'autres ont déclaré qu'ils continueraient à inviter des personnes ayant atteint l'âge de 20 ans parce que les jeunes de 18 ans doivent passer des examens et trouver un emploi, etc.[7][8]. Il est également question de changer le nom de la cérémonie en prévision de l'écart entre l'âge de l'adulte et l'âge des participants [9]. La ville d'Iga prévoit de changer la cérémonie en une cérémonie pour les jeunes de 18 ans, la dernière cérémonie au format traditionnel devant se tenir en janvier 2023, la cérémonie pour les jeunes de 19 ans devant se tenir en mars, et la cérémonie pour tous les jeunes de 18 ans devant se tenir le 4 mai 2023[10][11]. Haruhiko Tanaka, professeur émérite d'éducation tout au long de la vie à l'Université Sophia, a déclaré que si l'âge de l'âge adulte est abaissé, il n'y aura plus de base légale pour célébrer l'âge de 20 ans. On s'interrogera sur le sens de la tenue d'une cérémonie aux frais du public[12]. -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Michael Shellenberger, 4 janvier 2019 -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est une opinion de profane qui ne s'appuie pas sur la science. Qu'est-ce que disent les statisticiens sur la part des non-vaccinés dans la transmission du virus ? Et en particulier, celle des non-vaccinés qui circulent en camion et non en transports en communs. -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.tvanouvelles.ca/2022/02/01/convoi-pour-la-liberte-loccupation-dottawa-sorganise Autour des feux, on se réchauffe en buvant du café. On parle politique et on se plaint abondamment de la couverture médiatique. En cuisine, le souper mijote dans d’énormes chaudrons. Il y en a assez pour nourrir un régiment. Des véhicules ravitailleurs font des aller-retour entre ce camp et le parlement. Ils prennent les petites rues et passent les barrages de police sans soucis. « Les policiers nous laissent passer. Ils n’ont pas le choix. Il faut bien que les gars mangent », indique Josée en nous invitant à rester manger des spaghettis. Mais ses collègues ne voient pas les choses du même œil. Un camionneur peu amical sort de sa cabine pour nous lancer des insultes. Les journalistes ne sont pas les bienvenus ici. https://www.ledevoir.com/politique/canada/668502/analyse-la-sourde-oreille-de-trudeau (2 février 2022) Mais des députés libéraux, eux, entendent haut et fort l’exaspération populaire sur le terrain et aimeraient voir leur chef en prendre acte et tendre la main aux citoyens exaspérés, qu’ils soient ou non vaccinés (comme l’a fait François Legault mardi, en invoquant ce motif pour abandonner l’idée de taxer les non-vaccinés). https://www.lapresse.ca/covid-19/2022-02-01/taxe-sante-pour-les-non-vaccines/legault-recule-pour-preserver-la-paix-sociale.php (Québec) Le premier ministre François Legault abandonne l’imposition d’une taxe ou d’une « contribution santé » aux non-vaccinés pour préserver la paix sociale, alors que l’« on voit la grogne grandir de jour en jour ». -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Non, l'UE ne s'est pas exclue toute seule. L'UE est activement exclue par les États-Unis comme le dit très bien Victoria Nuland : "fuck the EU", et les Etats-Unis torpillent activement les accords de Minsk pour être certains qu'ils ne seront pas appliqués : - - - https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Dernier_Mitterrand « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. » François Mitterrand -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Ce qui serait malhonnête ce serait de dire "les Français", comme on lit très souvent en intitulé de "nombre de" sondages. Dans ce schéma par blocs, j'ai peur que tu oublies une donnée massive du problème qui est que l'Afrique avec sa démographie est tout simplement ingérable. Pourquoi on a décolonisé ? parce que cela nous coûtait trop d'argent. Il faut arrêter d'investir à fonds perdu dans ce gouffre financier. Recoloniser est une erreur. La Corrèze avant le Zambèze. -
Océanie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/02/01/les-iles-tonga-confinees-a-la-suite-de-la-detection-de-deux-cas-de-covid-19_6111911_3244.html Cette nation insulaire était pour l’instant l’un des rares endroits de la planète à avoir été épargnés par le virus.- 238 réponses
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Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lopinion.fr/international/ambassadeur-expulse-du-mali-que-faire-de-cette-humiliation (1er février 2022) D’une guerre perdue, il n’existe malheureusement pas de « sortie honorable ». Comme Eric Vuillard dans un livre récent sur l’Indochine, le Mali en fournit une nouvelle démonstration. Paris a donc « pris note » de l’expulsion de l’ambassadeur de France par les autorités maliennes, se donnant le temps de consulter alliés et partenaires avant toute décision sur son engagement militaire. On verra dans une quinzaine de jours. Pour l’heure, une chose est certaine : dans l’opinion, cette affaire est vécue comme une humiliation pour la France, un signe de son déclassement international. Si même Bamako se permet cela avec nous, alors que nous n’avons ménagé ni le sang de nos soldats (58 morts), ni notre argent (presque 8 milliards), c’est que nous ne pesons plus guère... Voilà ce que, plus ou moins confusément, nombre de Français ressentent. Surtout que cette affaire intervient après la claque infligée par l’Australie avec les sous-marins. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
https://visitukraine.today/blog/78/keep-calm-and-visit-ukraine# (27 janvier 2022) Gardez votre calme et visitez l'Ukraine Selon le président et le Conseil national de sécurité et de défense de l'Ukraine, il n'y a aucune raison de paniquer, et la situation à la frontière ukrainienne reste sous contrôle. Il y a trop peu de nouvelles positives dans l'espace d'information aujourd'hui. C'est pourquoi il est particulièrement important de populariser l'Ukraine dans le monde comme un pays attrayant, amical, fantastique, spécial, avec des divertissements pour tous les goûts, des lieux et des attractions uniques, des paysages inoubliables, des événements cool, des plats délicieux, et d'utiliser toutes les méthodes et tous les outils possibles pour cela. Parlez de la majestueuse Kiev, de l'insomniaque Kharkiv, de la parfumée Lviv, de l'accueillante Tchernivtsi, de l'excitante Odessa, de la puissante Zaporizhzhia, de l'étonnante Kherson... beaucoup de charmes et d'avantages ! Par conséquent, n'hésitez pas à planifier un voyage en Ukraine et autour de l'Ukraine - le pays est ouvert et sûr pour les touristes. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.nicematin.com/faits-de-societe/dos-au-mur-paris-se-donne-15-jours-pour-trancher-sur-l-avenir-de-sa-presence-au-mali-743492 (1er février 2022) "Un soldat français peut-il encore risquer sa vie pour la protection d'un pays failli qui expulse son ambassadeur?", s'indignait mardi sur Twitter le colonel français en retraite Raphaël Bernard, auteur de l'ouvrage paru en novembre "Au coeur de Barkhane", du nom de l'opération antijihadiste française au Sahel. Une sortie du Mali ne se ferait toutefois pas sans difficulté. Le désengagement des militaires français, solidement implantés sur des bases à Gao, Ménaka et Gossi, prendrait de nombreux mois à organiser, selon l'état-major. En outre, la relocalisation de Takuba promet d'être un casse-tête: le Niger voisin a fait savoir qu'il n'accueillerait pas cette task force. Quant au Burkina Faso, il vient de connaître un coup d'Etat. -
Alimentation et faim dans le monde
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://usrtk.org/our-investigations/critiques-of-gates-foundation/ (13 octobre 2021) La Fondation Bill et Melinda Gates a consacré près de 6 milliards de dollars à des programmes de développement agricole axés principalement sur l'expansion de l'agriculture industrielle en Afrique. D'éminents experts en sécurité alimentaire, le principal réseau de la société civile africaine et des centaines de groupes à travers le monde affirment que le programme agricole "révolution verte" de la fondation pour l'Afrique exacerbe la faim, les inégalités et le changement climatique. Ils affirment qu'un changement de paradigme est nécessaire pour s'éloigner des modèles agricoles à haut niveau d'intrants, dépendants des produits chimiques et contrôlés par les entreprises, et pour adopter des approches agroécologiques qui peuvent fournir des aliments plus abondants et plus nutritifs, protéger la biodiversité et s'attaquer aux inégalités structurelles au cœur de la crise de la faim. Le programme agricole phare de la Fondation Gates, l'Alliance pour une révolution verte en Afrique, s'efforce d'amener les agriculteurs à abandonner les semences et les cultures traditionnelles au profit de semences brevetées, d'engrais à base de combustibles fossiles et d'autres intrants pour cultiver des produits de base destinés au marché mondial. La fondation affirme que son objectif est "d'augmenter les rendements et les revenus de millions de petits agriculteurs en Afrique... afin qu'ils puissent se sortir eux-mêmes et leurs familles de la faim et de la pauvreté". Cette stratégie s'inspire de la "révolution verte" indienne, qui a stimulé la production de cultures de base, mais a également laissé un héritage d'inégalités, de problèmes environnementaux et de contrôle des entreprises sur les systèmes alimentaires, ce qui a conduit à une mobilisation massive des paysans qui exigent un changement. Plusieurs rapports récents prouvent que les interventions agricoles menées par Gates en Afrique n'ont pas non plus réussi à aider les petits agriculteurs et pourraient même aggraver la crise de la faim et de la malnutrition dans cette région. Dans ce contexte, les intérêts de l'agrobusiness et les donateurs privés, dont la Fondation Gates, mettent en scène ce que les critiques décrivent comme des jeux de pouvoir pour consolider le contrôle des politiques agricoles mondiales lors du Sommet des systèmes alimentaires des Nations unies de 2021. Il s'agit notamment de propositions visant à mettre en œuvre un nouveau cadre pour la gouvernance des systèmes alimentaires et à centraliser le contrôle des centres de recherche agricole. Il s'agit d'"une bataille à enjeux élevés autour de visions différentes de ce qui constitue une science légitime et des connaissances pertinentes pour les systèmes alimentaires", déclare le Groupe international d'experts sur les systèmes alimentaires durables, et "une partie d'une bataille plus large sur ce à quoi les systèmes alimentaires devraient ressembler et qui devrait les gouverner." http://expression.africa/why-criticism-against-green-revolution-is-growing/ (13 octobre 2021) L'Alliance pour la souveraineté alimentaire en Afrique (AFSA), le plus grand réseau de la société civile du continent, qui comprend 35 groupes impliquant quelque 200 millions de producteurs alimentaires, s'est lancée dans une campagne vigoureuse, décrivant l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) comme un effort malavisé qui n'a pas réussi à apporter une quelconque révolution de la productivité dans ses 13 pays cibles. Des chefs religieux d'Afrique australe ont lancé leur propre défi à la Fondation Gates. Aucune de ces lettres n'a encore reçu de réponse ou de preuve de la part des principaux donateurs de l'AGRA, qui comprennent les deux fondations américaines et les organismes d'aide des États-Unis, du Royaume-Uni, de l'Allemagne et du Canada. L'AGRA a été fondée en 2006 avec des objectifs ambitieux : Doubler la productivité et les revenus de 30 millions de ménages de petits exploitants agricoles d'ici 2020 tout en réduisant l'insécurité alimentaire de 50 %. Cette échéance est maintenant passée, et des recherches indépendantes suggèrent que les promesses roses de l'AGRA sont loin d'être réalisées. En fait, l'AGRA est incapable de fournir des preuves de ces progrès, affirme Timothy A. Wise, conseiller principal sur l'avenir de l'alimentation à l'Institute for Agriculture and Trade Policy et chercheur principal à l'Institut du développement mondial et de l'environnement de l'université Tufts. Il a entrepris une étude d'impact en 2020 et n'a trouvé aucune évaluation complète des progrès de l'AGRA dans la réalisation de ses objectifs, que ce soit de la part de l'AGRA ou de ses principaux donateurs. Après que l'AGRA a refusé sa demande de données sur ses bénéficiaires, Wise a adopté une approche plus large et plus révélatrice. "J'ai choisi d'examiner les données des 13 pays prioritaires de l'AGRA pour voir s'il y avait des indications qu'une révolution de la productivité était en train de se produire avec une augmentation des revenus et une amélioration de la sécurité alimentaire. J'ai trouvé peu de preuves d'améliorations significatives de la productivité", note M. Wise à propos de ses recherches. Comme il l'a expliqué dans un récent article pour The Conversation Africa, "Selon toute estimation, 30 millions de ménages de petits exploitants agricoles représentent une majorité significative des agriculteurs dans les 13 pays ciblés. Si l'alliance avait doublé les rendements et les revenus et réduit de moitié l'insécurité alimentaire pour ce nombre de ménages agricoles, cela serait effectivement apparu dans les données." Pour un panier de cultures de base, M. Wise a constaté que la productivité n'a augmenté que de 18 % en 12 ans. Ce chiffre est loin de l'objectif de doublement de la productivité, qui correspondrait à une augmentation de 100 %. Plus révélateur encore, il est à peine supérieur au taux de croissance de la productivité avant le lancement de l'AGRA. Les revenus et la sécurité alimentaire ne se sont pas non plus beaucoup améliorés. Selon les dernières estimations des Nations unies, le nombre de personnes gravement "sous-alimentées" dans les 13 pays cibles de l'AGRA a augmenté de 30 % depuis 2006, ce qui est loin de la promesse de l'AGRA de réduire de moitié l'insécurité alimentaire. Beaucoup d'argent a soutenu la production de maïs, et la production totale a augmenté de 87 %, selon le rapport. Mais la majeure partie de cette augmentation provient des agriculteurs qui ont planté davantage de terres en maïs, encouragés par les subventions. Les rendements n'ont augmenté que de 29 % en 12 ans, mais les terres consacrées au maïs ont augmenté de près de 50 %, ce qui n'est pas une méthode d'agriculture durable. La préférence accordée au maïs au détriment d'autres cultures vivrières tout aussi essentielles, comme le millet, qui résistent à la sécheresse et sont plus nutritives, a également été citée comme l'un des inconvénients des interventions de l'AGRA. Selon le rapport, la production de millet a diminué d'un quart. Depuis la création de l'AGRA en 2006, souligne M. Wise, la faim en Afrique subsaharienne n'a pas diminué de moitié, elle a augmenté de près de 50 %. "La révolution verte entraîne l'Afrique précisément dans la mauvaise direction", dit-il. Le Rwanda est largement présenté comme le pays le plus performant du plan AGRA, avec une production de maïs quadruplée depuis 2006. Mais selon le rapport False Promises, le "miracle" rwandais a montré une faible amélioration de la productivité globale des cultures de base dans le pays, les agriculteurs ayant abandonné les cultures locales plus nutritives pour cultiver du maïs. Et selon les dernières estimations de l'ONU sur la faim, le nombre de personnes sous-alimentées au Rwanda a augmenté de 41 % depuis l'avènement de l'AGRA. Mariam Mayet, directrice exécutive du Centre africain pour la biodiversité, a déclaré : "Pendant des années, nous avons documenté les efforts déployés pour répandre la révolution verte en Afrique, et les impasses qu'elle conduira au déclin de la santé des sols, à la perte de la biodiversité agricole, à la perte de la souveraineté des agriculteurs, et à l'enfermement des agriculteurs africains dans un système qui n'est pas conçu pour leur bénéfice, mais pour les profits de multinationales principalement du Nord."- 262 réponses
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Je ne savais pas que la corne de l'Afrique était aussi longue et multidirectionnelle. C'est une corne de mouflon. Quand bien même, il est débattable de présenter Madagascar comme appartenant à l'Afrique : https://www.rfi.fr/fr/emission/20151018-cap-ocean-indien-madagascar-fait-elle-partie-afrique La langue malgache fait partie des langues austronésiennes, elle est issue du malaisien. Aujourd'hui, Madagascar fait partie de l'Union africaine et de la SADC, la Communauté de développement d'Afrique australe. Mais elle reste fermée au continent africain sur le plan économique, politique et culturel.
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Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.france24.com/fr/afrique/20220119-les-sanctions-de-la-cédéao-constituent-une-impasse-pour-le-mali-comme-pour-ses-voisins Si les biens de première nécessité tels que la nourriture, le carburant ou les médicaments, qui représentent près de la moitié des importations, sont toujours autorisés à circuler, de nombreux produits essentiels à l’économie malienne, comme le ciment et le fer, les voitures d’occasion importées depuis l’Europe par les ports, le matériel informatique ou bien les équipements de transport sont eux totalement bloqués. https://www.financialafrik.com/2022/01/14/embargo-sur-le-mali-les-effets-collateraux/ (14 janvier 2021) Le blocus financier représente un frein pour le refinancement du Mali sur les marchés obligataires de l’Uemoa et fait encourir au pays un risque accru de « Shutdown » avec une incapacité à moyen et long terme de prendre en charge les salaires des fonctionnaires. Le Malien Assimi Goita et le Guinéen Mamadi Doumbouya jouent carte sur table et semblent plus que jamais déterminés quoiqu’il advienne à ne céder ou négocier aucune once de la souveraineté de leurs pays et misent éventuellement dans leurs confrontations avec la Cédéao et la communauté internationale sur le soutien des Russes et des Chinois, une aubaine pour l’axe sino-russe qui entend bien en profiter pour étendre son influence géopolitique dans une région traditionnellement sous influence française. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
La Cédéao fait quelque chose : un embargo économique. Je pense que l'attitude actuelle du gouvernement français est d'attendre de voir ce que donneront ces sanctions économiques de la Cédéao. Si la junte actuelle tombe comme un fruit mur comme la précédente (celle du capitaine puis général Sanogo) le renvoi de l'ambassadeur ne sera qu'un épiphénomène. Par contre si elle s'avère plus coriace...