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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. http://www.focus.de/politik/videos/ersatzteile-fehlen-havarie-vor-norwegen-deutschland-hat-jetzt-kein-funktionierendes-u-boot-mehr_id_7754768.html (23 octobre 2017) Le sous-marin U35, qui a heurté un rocher durant une manœuvre en eau profonde la semaine dernière au large de la Norvège, est de retour à Kiel pour avarie, ce qui laisse l'Allemagne sans aucun sous-marin en état de fonctionnement. Quatre des six sous-marins allemands sont au chantier naval Thyssen-Krupp de Kiel, et deux se trouvent à la base de Eckernförde en attente d'une date pour passer au chantier naval. Les retards sont dûs à des manques de pièces détachées et à des mesures d'économies. L'Allemagne ne disposera de quatre sous-marins en état de fonctionner qu'à partir de novembre 2018.
  2. https://www.theguardian.com/commentisfree/2017/oct/23/we-need-to-understand-why-catalonia-lombardy-scotland-are-reposing-question-of-self-determination (23 octobre 2017) Mais en décembre, la Cour de justice européenne a statué que l'article premier de la Charte des Nations unies, qui garantit le droit à l'autodétermination aux États qui ne sont pas encore indépendants, est un droit juridiquement exécutoire dans l'UE. Il n' a pas encore été testé par rapport à la Catalogne, la Flandre ou l'Écosse, mais il le sera.
  3. http://www.ctvnews.ca/politics/putin-brands-canada-s-adoption-of-new-magnitsky-act-as-political-gamesmanship-1.3641638 (20 octobre 2017) Le Canada adopte une "loi Magnitsky" sur le modèle américain, quoique formulée en termes génériques contre tout pays qui enfreint les droits de l'homme. Pour Vladimir Poutine, c'est de 'l'hystérie anti-russe". https://www.nytimes.com/2017/10/22/world/europe/russia-sergei-magnitsky-william-browder.html (22 octobre 2017) La justice russe inculpe William Browder, le patron de Sergei Magnitsky, pour meurtre, sur la base d'un raisonnement tiré par les cheveux : il aurait conspiré avec un agent du MI6 britannique pour persuader les médecins de la prison de ne pas soigner Magnitsky.
  4. Non, ce n'est pas un séparatiste Catalan qui le dit, mais un Gibraltarien : http://chronicle.gi/2017/10/in-perspective-its-way-more-than-just-prosperity/ (11 octobre 2017) Pour commencer, et plus fondamentalement, nous sommes en conflit d'intérêts quant à notre droit inaliénable à l'autodétermination, dont l'Espagne cherche anachroniquement à nous priver. En d'autres termes, l'Espagne est déterminée à nous empêcher de devenir qui et ce que nous voulons être; une réalité qui, en soi, rend le rapprochement impossible. Notre identité multicouche, concoctée à partir de notre héritage britannique, méditerranéen et européen (regardez cet espace pour en savoir plus), est manifestement autre qu'espagnole.
  5. http://chronicle.gi/2017/10/eu-judges-may-not-be-neutral-after-brexit-warns-think-tank/ (7 octobre 2017) À ce sujet les chercheurs du Char d'Assaut de la Pensée (think tank) Institute for Government pensent que c'est vain d'exiger de Bruxelles de conserver l'accès au marché unique tout en faisant fi de la CJUE. Ils proposent donc comme compromis de passer par le tribunal de l'Association européenne de libre-échange, où des juges britanniques siégeraient aux côtés des juges liechtensteiniens, norvégiens et islandais, tout en respectant les règles de l'AELE qui font en sorte que les décisions de la CJUE "exercent une influence".
  6. Quel mensonge ? D'après l'article suivant, Kelly n'a pas contredit l'élue : http://www.20minutes.fr/monde/2154787-20171020-general-kelly-defend-trump-fait-taire-journalistes (20 octobre 2017) John Kelly, ne contestant pas explicitement la version donnée par l’élue...
  7. http://www.rfi.fr/moyen-orient/20171021-irak-forces-kurdes-irakiennes-altun-kupri-kirkouk (21 octobre 2017) Forces kurdes et irakiennes se sont affrontées vendredi à la mitrailleuse lourde et au mortier dans cet ensemble de 36 villages s'étendant sur 530 km² et habités par une population mixte de 56 000 Kurdes et Turkmènes.
  8. http://www.pewresearch.org/fact-tank/2017/08/01/u-s-power-and-influence-increasingly-seen-as-threat-in-other-countries/ (1er août 2017) Sondage : La puissance et l'influence des Etats-Unis est-elle une menace majeure pour votre pays ? Turquie : oui à 72% (contre 44% en 2013).
  9. http://www.bbc.com/news/world-latin-america-41678337 (19 octobre 2017) Mais certains candidats de l'opposition, dont l'ancien gouverneur de l'État de Lara, Henri Falcón, ont accepté leur défaite aux urnes et l'ont imputée à la démoralisation de leurs partisans. http://www.liberation.fr/planete/2017/10/19/venezuela-trois-partisans-de-maduro-expliquent-leur-vote_1604163 (19 octobre 2017) Trois partisans de Maduro expliquent leur vote.
  10. De toute façon, l'idée de nation qui constitue l'État dans un régime constitutionnel démocratique, tout comme l'idée de Dieu dans une monarchie de droit divin ou théocratie, est une construction métaphysique, imaginaire.
  11. http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/10/21/le-mouvement-populiste-de-babis-remporte-les-legislatives-tcheques_5204285_3214.html (21 octobre 2017) Les Tchèques ont par ailleurs durement sanctionné le Parti social-démocrate CSSD du premier ministre sortant Bohuslav Sobotka ; cette formation subit une chute brutale et n’arrive que sixième, avec 7,3 % des voix.
  12. Pour compléter : https://www.bloomberg.com/view/articles/2017-10-12/italy-knows-how-to-solve-catalonia-s-problem (12 octobre 2017) Le Tirol du Sud conserve 90% des impôts collectés localement, y compris l'impôt sur le revenu, et 70% de la TVA. De plus, le gouvernement italien a longtemps subventionné la province. La Catalogne ne conserve que 50% de l'impôt sur le revenu et de la TVA qu'il collecte.
  13. C'est peut-être simplement que comme les sondages étaient favorables, et que Madrid avait approuvé ce nouveau statut, les gens n'ont pas éprouvé le besoin de se mobiliser. On peut tenir le raisonnement inverse et calculer le nombre de votants qui ont voté "non" et en tirer des conclusions sur le nombre infime de Catalans qui ont désapprouvé l'Estatut version 2006.
  14. http://www.eldiario.es/zonacritica/Alea-jacta-est-sabemos-significa_6_699640045.html (21 octobre 2017) Article de Javier Pérez Royo, professeur de droit constitutionnel à l'université de Séville : Le constituant espagnol de 1978 ne savait pas ce que la société espagnole souhaitait en ce qui concerne la structure de l'État et ne disposait donc pas d'un point de référence solide sur la base duquel répondre à ce problème dans le texte constitutionnel. Cependant, il savait ce que la société ne voulait pas et ce qu'elle ne pouvait pas vouloir: l'État unitaire et centraliste ne pouvait pas être l'État de la démocratie espagnole. En Espagne, la démocratie et l'État unitaire ne sont pas compatibles. Les preuves empiriques dont nous disposons sont indiscutables. Il y a l'expérience protodémocratique du sexennat révolutionnaire au XIXe siècle et l'expérience de la Deuxième République au XXe siècle. Dans les deux seuls moments où la société espagnole a eu un certain rôle à jouer dans la définition de la formule de sa coexistence, l'État unitaire a été écarté. La même chose s'est produite dans les dernières années de la dictature du général Franco. Dans l'ordre du jour de toutes les plates-formes des partis politiques de transition, la décentralisation politique était considérée comme une nécessité incontournable. La démocratie et la décentralisation politique ne peuvent pas ne pas aller de pair en Espagne. Sans démocratie, il n' y a pas de décentralisation politique et vice versa. Le nationalisme catalan et le nationalisme basque sont les deux options politiques par lesquelles ce lien indissoluble s'exprime. Sans eux, un tel lien n'aurait pas été établi. Sans eux, un tel lien ne peut être maintenu. Les nationalismes catalan et basque sont des éléments indispensables de la constitution matérielle de l'Espagne démocratique. Il ne peut y avoir de démocratie sans leur présence et leur participation active au système politique. Les nationalismes catalan et basque ne peuvent concurrencer le nationalisme espagnol du point de vue du pouvoir constitutif pour des raisons purement démographiques, mais l'existence de tels nationalismes ne permet pas au peuple catalan et au peuple basque de se diluer dans le peuple espagnol, comme le font l'Andalou, le Castillan-Manchego, l'Aragonais et d'autres peuples. Il n' y a pas de pouvoir constituant catalan ou basque compétitif avec le pouvoir constituant espagnol. Mais le système politique espagnol ne peut ignorer la présence des nationalismes catalan et basque en tant qu'éléments singuliers et essentiels de sa configuration démocratique. Les nationalismes catalan et basque identifient des signes de la démocratie espagnole. Ceci, bien que sans le savoir dans les termes que je viens d'exprimer, la société espagnole l' a intériorisé. Nous l'avons vu continuellement avec la Constitution de 1978. Le système politique espagnol de 1977 à 2011 a consisté en une confrontation entre les deux grandes options du gouvernement espagnol, celle du centre-droit (UCD et PP), et celle du centre-gauche (PSOE), périodiquement arbitrée par les nationalismes catalan et basque. Le PP a protesté avec une grande virulence lorsque le résultat de l'arbitrage ne l'a pas favorisé, mais la société espagnole dans son ensemble a toujours accepté l'arbitrage et l'a considéré comme légitime. La démocratie espagnole fonctionne de manière stable depuis plus de trente ans grâce aux nationalismes catalan et basque. Sans eux, le système politique n'aurait pas pu trouver d'abord l'équilibre, puis le maintenir. Le PP n' a pas compris cela. Je ne pense pas qu'il l'ait jamais compris comme ça. Cependant, en tout état de cause, il n'a pas compris cela depuis le début du processus de réforme du Statut d'autonomie de la Catalogne en 2005. A partir de ce moment, il entame une attaque frontale contre la Communauté autonome de Catalogne, qui finit par détruire la formule d'intégration de la nationalité catalane dans l'Etat espagnol prévue par la Constitution de 1978. Le recours à l'article 155 CE est une constatation de cette destruction. La Catalogne, qui s'est exprimée par la réforme du Statut d'Autonomie, n' a pas sa place dans la Constitution de 1978 dans l'interprétation du PP de la Constitution, qui a malheureusement été approuvée par le TC dans STC 31/2010. La suspension de l'autonomie de la Catalogne et l'exclusion conséquente du nationalisme catalan du système politique détruisent l'équilibre sur la base duquel l'État d'autonomie a été construit et développé. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Mapa_político_de_España,_1850.jpg?uselang=fr Carte politique de l'Espagne en 1852
  15. En tout cas, l'Espagne ne reconnaît pas le Kosovo. Donc s'il y a un pays qui est cohérent, c'est bien l'Espagne.
  16. Charles Quint, né à Gand, était moins étranger aux Pays-Bas que ne l'est l'actuel roi Philippe VI à la Catalogne.
  17. https://fr.wikipedia.org/wiki/Don_Carlos_(opéra)#Analyse_du_livret Le thème de la liberté était déjà apparu en filigranes dans La Traviata par exemple : Violetta réclame le droit de pouvoir jouir sans frein de sa vie, le duc de Rigoletto agit de la même façon ; mais le thème de la liberté était surtout en corrélation avec le motif de la patrie oppressée, en quête de liberté, dans Nabucco, Macbeth, Il Trovatore (avec les gitans), Les Vêpres siciliennes, La battaglia di Legnano, etc. Ce thème est présenté dans Don Carlos sous deux formes différentes : celle des députés flamands qui veulent se libérer de l’influence espagnole, et celle de Carlos et de Rodrigue qui veulent se libérer d’un pouvoir tyrannique et immobiliste contraire à leur jeunesse. Il y a donc en présence deux volontés qui s’affrontent : celle du pouvoir autoritaire et celle de la liberté. Il y a, par rapport aux opéras précédents, un enrichissement du thème de la liberté dans l’opéra qui nous occupe. Don Carlos est le dernier des quatre opéras espagnols de Verdi, avec Ernani, Il trovatore, et La Forza del Destino. Tous ces opéras ont la particularité de mettre en scène la guerre et le pouvoir religieux. L’Espagne était pour les romantiques la terre de la démesure : celle de l’honneur en particulier, de toutes les passions en général. L’Espagnol est un homme ardent et passionné – excessif, propre à être mis en scène.
  18. http://trends.levif.be/economie/politique-economique/la-commission-panama-papers-du-parlement-europeen-adopte-son-rapport-final/article-normal-741705.html (19 octobre 2017) La commission d'enquête "Panama Papers" du Parlement européen a adopté mercredi son rapport final, ainsi que les recommandations issues de son investigation dans ce dossier. Les parlementaires y déplorent notamment "le manque de volonté politique au sein de certains États membres pour faire avancer les réformes et leur mise en oeuvre", un manque de volonté qui a permis des entorses à la législation européenne en termes de blanchiment d'argent, d'optimisation et d'évasion fiscales.
  19. Hier soir sur Arte, de 20h50 à 1h du matin, il y avait la première de Don Carlos à l'Opéra Bastille. Peut-on, après avoir vu Don Carlos, ne pas être favorable à la liberté des Pays-Bas ?
  20. Je copie-colle depuis les fils USA et Arctique : --
  21. https://www.welt.de/newsticker/dpa_nt/infoline_nt/brennpunkte_nt/article169643720/SPD-triumphiert-in-Niedersachsen.html (15 octobre 2017) Victoire du SPD en Basse-Saxe. Le SPD redevient pour la première fois depuis 1998 la première force politique de la région. La prochaine majorité sera donc SPD-verts.
  22. http://foreignpolicy.com/2017/10/12/the-american-alliance-with-turkey-was-built-on-a-myth/ (12 octobre 2017) La communauté diplomatique américaine est en train d'apprendre petit à petit que bon nombre de ses présupposés sur la Turquie s'avèrent faux. Les dirigeants de ce pays - y compris le commandement militaire - ne sont ni démocrates ni pro-occidentaux. En fait ils sont profondément suspicieux de l'Occident, spécialement des Etats-Unis.
  23. http://rodrik.typepad.com/dani_rodriks_weblog/2017/04/why-did-so-many-cheer-turkeys-democracy-while-it-was-dying.html (25 avril 2017) & https://www.the-american-interest.com/2017/04/24/guilty-men/ (24 avril 2017) Articles très durs envers les Occidentaux et notamment la presse occidentale, qui a fermé les yeux sur la nature du régime en particulier durant les années 2010-2013. Pire : cette presse chantait les louanges du régime en disant que c'était une démocratie "vibrante". 2013, c'est les émeutes du parc Gezi, et c'est seulement à partir de cette date que la presse occidentale commence à ouvrir les yeux et à critiquer le régime. Avant 2010, il y avait matière à critique, puisque le régime utilisait les mêmes pratiques liberticides que ses prédécesseurs. Mais il y avait des avancées qui pouvaient d'une certaine façon contrebalancer cela, puisqu'il était devenu possible de parler du génocide arménien (enfin à condition de l'appeler par un autre nom que "génocide") et des revendications des Kurdes. Donc on peut comprendre qu'Erdogan et l'AKP aient pu bénéficier d'une sorte de bénéfice du doute jusqu'en 2010. Mais à partir de 2010 avec les affaires Ergenekon et Balyoz il devient clair que l'on a affaire à des procès staliniens et qu'on n'est plus dans un État de droit. Claire Berlinski indique notamment deux points dont je n'étais pas conscient : - en 2012 Türkan Saylan, médecin, fondatrice d'un réseau de lutte contre la lèpre et d'une association pour l'éducation des filles en zone rurale a été emprisonnée dans le cadre de l'affaire Ergenekon. - le référendum constitutionnel de 2010, dont l'Occident a célébré les louanges, était un mélange de bonnes mesures camouflant selon elle, une mesure extrêmement pernicieuse affectant l'indépendance de la justice. Si l'on avait respecté les normes de la commission de Venise, le peuple Turc aurait dû être appelé à se prononcer mesure par mesure, par plusieurs votes, et non être obligé de se prononcer en bloc pour ou contre le paquet de mesures. Ces articles ne le disent pas clairement, mais on peut se demander si la prise de conscience de l'Occident comme quoi tout n'est pas rose en Turquie ne date pas du divorce entre Erdogan et Gülen. Cela pourrait nous faire soupçonner que la presse occidentale était finalement soumise à l'influence de la propagande güleniste, très forte à l'international. Il aura fallu attendre que Gülen se brouille avec Erdogan pour que l'Occident accepte de voir qu'Erdogan n'était pas le héros de la démocratie qu'il croyait avoir trouvé.
  24. La notion de "comte" est une notion de division administrative franque. D'un côté il y a les Francs. De l'autre les Wisigoths. Ne mélangeons pas les torchons et les serviettes. Les Francs catholiques bien pensants qui se font sacrer à Reims avec les barbares ariens hérétiques, récupérés in extremis dans la vrai foi par des gens comme saint Isidore de Séville. Mais quelque part les Wisigoths nous sont plus étranges, plus périphériques, que les Francs.
  25. Je suis d'accord : il n'y a aucun texte qui prédéfinit cela. Donc le texte, il faut l'écrire. Déjà, cela réduirait l'incertitude si Guy Verhofstadt et son groupe libéral au parlement européen proposaient une motion écrite dans ce sens. Pour moi, la Catalogne étant une terre de référence carolingienne, elle a plus facilement vocation à être gouvernée par l'empereur d'Aix-la-Chapelle que l'Espagne madrilène. Je faisais un raisonnement par l'absurde. Oui la constitution de 1978 est un bon texte. Soyons honnête : je ne le connais pas. Je suis tout à fait prêt à admettre que c'est un bon texte. Mais par l'absurde : quand bien même au lieu d'être un bon texte, la constitution de 1978 eût-elle été un mauvais texte, n'importe qui un peu futé qui regardait les grandes tendances du monde à l'époque se serait dit qu'il vaut mieux signer un mauvais texte démocratique qui permette de se rapprocher des normes de l'Occident américanisé non-soviétique, que laisser filer cette occasion de sortir du franquisme.
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