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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. https://www.washingtonpost.com/world/national-security/trump-says-he-is-not-seeking-regime-change-in-iran/2019/05/27/94d3053a-808d-11e9-933d-7501070ee669_story.html (27 mai 2019) "Nous ne cherchons pas un changement de régime. Je veux que ce soit clair ", a déclaré M. Trump lors d'une conférence pour la presse conjointe lundi avec le Premier ministre japonais Shinzo Abe. [John Bolton] avait appelé à un changement de régime avant de rejoindre l'administration en mars 2018, déclarant en juillet 2017 que " la politique déclarée des Etats-Unis devrait être le renversement du régime des mollahs à Téhéran ".
  2. http://discours.vie-publique.fr/notices/917016900.html (8 novembre 1991) François Mitterrand : Cela pourrait présenter l'inconvénient d'apparaître comme une manœuvre d'encerclement de l'Union anciennement soviétique si tout de suite l'Alliance se presse de refermer ses ailes autour de l'empire qui se désagrège ; cela serait très fâcheux. Prenons un autre exemple : lorsqu'il s'est agi de l'unité allemande, et donc de la disparition de la RDA, j'ai été l'un de ceux qui ont dit tout de suite : oui, mais que l'OTAN ait la sagesse de ne pas avancer ses premières lignes à l'intérieur de la RDA ou à la frontière de la RDA et de ses voisins plus au nord ou plus à l'est car pour une nécessité militaire, il ne faut surtout pas donner le sentiment au peuple d'Union soviétique que nous procédons à une manœuvre d'encerclement, je serai le premier à m'y opposer.
  3. Quelle alliance avec les USA ? Je rappelle que l'OTAN, comme son nom l'indique c'est l'Atlantique Nord. https://fr.wikipedia.org/wiki/Traité_de_l'Atlantique_nord L'Article 6 définit le périmètre d'application du traité, qui comprend le territoire de ses membres y compris les départements français d'Algérie (disposition devenue caduque en 1963), ainsi que leurs forces armées au nord du Tropique du Cancer.
  4. Je ne comprends pas pourquoi il y a des interventions françaises en mer de Chine méridionale. Je croyais que la France s'était définitivement retirée de cette région depuis Dien Bien Phu et les accords de Genève. Cela mériterait au minimum un débat au parlement. Je ne vois pas l'intérêt de ce genre d'aventure post-coloniale. Si les Chinois et les Vietnamiens ou les Philippins ont envie de se taper dessus, la France doit surtout rester neutre.
  5. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hivernage_de_la_flotte_ottomane_à_Toulon Pendant cet hivernage, la cathédrale de Toulon fut transformée en mosquée, l'appel à la prière eut lieu cinq fois par jour, et la monnaie ottomane fut la devise de choix. Selon un observateur, « à voir Toulon, on pourrait s'imaginer à Constantinople ».
  6. Les mots de Nixon sont dactylographiés page 3, mais merci pour la référence. Voir aussi : https://journals.openedition.org/etudesafricaines/156 René Lemarchand, Le génocide de 1972 au Burundi : Les silences de l’Histoire, Cahiers d'études africaines, N°167, 2002 pp.551-568
  7. https://foreignpolicy.com/2019/05/31/document-of-the-week-nixons-little-known-crusade-against-genocide-in-burundi/ (31 mai 2019) Dans un document de 1972 déniché aux archives, on voit un président Nixon furibard contre une note de Kissinger qui lui propose de... ne rien faire, face aux massacres de Hutus au Burundi.
  8. https://www.lemonde.fr/vu-d-ailleurs/article/2014/02/25/la-perception-britannique-de-la-grande-guerre-est-concentree-sur-l-experience-nationale_4373221_4366902.html (25 février 2014) Heather Jones : Cette question reste importante dans de nombreux pays européens. Particulièrement en Grande-Bretagne, parce que ce pays n'a pas été envahi en 1914 et qu'il a choisi de soutenir la Belgique et la France alors qu'il n'était pas obligé de le faire. De nombreux Britanniques continuent de penser que la Grande-Bretagne n'aurait pas dû entrer en guerre et aurait dû rester neutre, un argument formulé par l'historien Niall Ferguson, par exemple. En d'autres termes, la première guerre mondiale est toujours considérée comme un conflit futile qui a amorcé le déclin de l'empire britannique. Par conséquent, ceux qui soutiennent l'entrée en guerre de la Grande-Bretagne doivent se justifier en trouvant une bonne cause. D'où la chasse au coupable contre l'Allemagne. Aujourd'hui, on constate une nouvelle scission entre ceux qui continuent de penser que l'Allemagne a causé la guerre (Max Hastings, Gary Sheffield) et ceux qui pensent que la guerre est le produit d'une faillite collective des Européens et du système international. Richard J. Evans, vous estimez que la Serbie porte les plus grandes responsabilités du déclenchement de la guerre. Cette opinion s'inscrit dans la lignée des travaux de l'historien Christopher Clark. Son ouvrage Les Somnambules a rencontré un franc succès en Allemagne. Comment a-t-il été accueilli au Royaume-Uni ? R.J.E. : Je défends cette idée depuis des années. La lecture des Somnambules ne m'a pas fait changer d'avis. A l'évidence, l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand fut l'étincelle qui mit le feu aux poudres de la guerre. Il est clair qu'il y a eu collusion entre le gouvernement serbe, ou du moins entre certains de ses membres et l'organisation terroriste de la Main noire. Le gouvernement serbe a échoué à imposer un contrôle sur cette organisation violente et criminelle. Les Autrichiens ont encouragé la Main noire en échouant à introduire des réformes en Bosnie après son annexion en 1908 : les conditions de vie étaient misérables, le servage encore en vigueur, des réformes auraient pu désamorcer le sentiment d'amertume qui habitait les jeunes Bosniens comme Prinzip, l'auteur de l'attentat. Pour ce qui est de Christopher Clark, son livre a été largement mal interprété. Il ne décharge pas l'Allemagne. Sa mise en cause des responsabilités allemandes est exemplaire. Mais parce qu'il n'affirme pas que l'Allemagne porte l'entière responsabilité de la guerre, son livre est devenu un best-seller en Allemagne, alors qu'il a été largement ignoré en Grande-Bretagne. H.J. Si je suis en accord avec [la] description [que fait Clark] de la volatilité de l'Etat serbe, je pense toutefois que l'Autriche-Hongrie, soutenue par l'Allemagne, a provoqué la guerre. La Serbie n'était pas à ce point l'acteur-clé qui a poussé l'Europe dans la guerre, risquant une conflagration continentale. https://www.lemonde.fr/centenaire-14-18/article/2014/02/05/la-discussion-sur-les-causes-de-la-grande-guerre-ne-prendra-sans-doute-jamais-fin_4360097_3448834.html (5 février 2014) Margaret MacMillan : je pense pour ma part que certaines puissances et leurs dirigeants étaient plus coupables que d’autres. L’Autriche-Hongrie résolue à détruire la Serbie, l’Allemagne qui soutint l’Autriche-Hongrie jusqu’au bout, la Russie impatiente de mobiliser, toutes les trois me semblent les plus grandes responsables du conflit. Ni la France ni la Grande-Bretagne ne voulaient la guerre, mais elles auraient peut-être pu faire davantage pour l’éviter. https://www.aphg.fr/Controverse-sur-les-causes-de-la-Grande-Guerre (23 décembre 2014) Gerd Krumeich a publié un livre « Juli 1914, Eine Bilanz », Schoeningh, 2013 en réponse aux thèses de Clark qui atténue les responsabilités allemandes dans le conflit et charge les Serbes, les Russes et les Français. Son dernier ouvrage « Le feu aux poudres. Qui a déclenché la guerre en 1914 ? » Belin, octobre 2014, 300 pages, souligne au contraire les responsabilités allemandes dans le déclenchement du conflit. Recourant à l’histoire de l’ensemble du conflit entre la Serbie et l’Autriche-Hongrie, Clark décrit avec une grande clarté la préparation de l’attentat. Il admet pour principe que le gouvernement serbe en était assez exactement informé et n’a pas fait assez pour l’empêcher. Sur ce point, on peut toutefois être sceptique, la preuve n’en a pas été apportée. Sa description de la Serbie et de sa relation à l’Autriche-Hongrie est en général à mes yeux le point le plus faible du livre. Faisant, déjà à l’époque, preuve d’une brutalité et d’une cruauté énormes, les Serbes sont pour lui au fond les méchants de cet avant-guerre et l’Autriche-Hongrie était en droit de se défendre face à eux. Ce présupposé serbophobe amène dans les détails à quelques prises de position à propos desquelles on ne peut que tiquer lorsqu’on connaît les documents. Par exemple, on cherche en vain le fait pourtant clair que les Autrichiens voulaient d’emblée la guerre, raison pour laquelle ils ont consciemment posé aux Serbes un ultimatum inacceptable. Lorsque, aujourd’hui, Clark veut nous expliquer que l’ultimatum n’était pas si grave et que la réponse des Serbes, intelligente et depuis 100 ans objet de louanges, n’était en fait rien d’autre qu’une indigne finasserie, ce qui saute là aux yeux est un préjugé simplement difficile à expliquer. Quand enfin, on lit que seul « un télégramme de Saint-Pétersbourg » aurait amené les Serbes à s’opposer aux Autrichiens, ce n’est là aussi qu’une grossière déformation des faits. « Un télégramme de Saint-Pétersbourg » ? Oui certes, or il n’émanait pas des Russes, mais de l’ambassadeur serbe et disait simplement que, face à l’ultimatum autrichien à la Serbie, les Russes commençaient à prendre des mesures de préparation militaire (ce que les autres puissances faisaient déjà aussi à cette date). Clark insinue donc une responsabilité particulière des Russes. Les Français ne sont pas mieux lotis non plus : Poincaré et son ambassadeur à Saint-Pétersbourg Paléologue, sont de véritables bellicistes, alors que, ayant lu la littérature émanant de la recherche, Clark devrait mieux connaître ce point. Par contraste, les acteurs allemands de la crise de juillet restent étrangement inconsistants : la description de Bethmann-Hollweg, le chancelier est certes très précise et haute en relief. Mais sa présentation concrète minimise l’aspect belliciste de sa politique du risque. Clark ne perçoit pas non plus que, contrairement à ce que suggère le mot, la prétendue « politique de localisation » du gouvernement allemand ne tendait pas véritablement vers l’apaisement. « Localiser » un conflit signifie en effet, communément, vouloir en empêcher l’extension incontrôlée. Mais l’intraitable exigence allemande de limiter le conflit aux seules Autriche-Hongrie et Serbie, son attention à ce que aucune autre puissance n’interfère dans le règlement de comptes de l’empire des Habsbourgs avec la Serbie, a en fait été son plus grand raté. Bethmann-Hollweg, l’empereur, Jagow, le ministre des affaires étrangères : tous suivaient ce plan pour la raison que, soit cette localisation réussissait et le dangereux foyer serbe était éliminé pour longtemps. Soit il échouait, la Russie s’en mêlait, les alliances commençaient à « jouer » : il valait alors mieux que la guerre éclate maintenant, quand l’Allemagne pouvait encore espérer être militairement plus forte que la Russie et la France. La Russie s’est effectivement immiscée, elle ne voulait ni ne pouvait permettre que la petite nation slave soit entraînée dans la guerre sous les yeux de son protecteur traditionnel. La Russie a donc effectivement mobilisé la première, ainsi l’Allemagne était-elle contrainte de mobiliser à son tour. Mais ce test de la volonté de guerre des Russes n’était pas un véritable test, seulement une [prophétie autoréalisatrice] – telle est du moins mon opinion, fondée sur les sources, en opposition à Clark qui minimise la décision allemande de recourir à la guerre.
  9. https://warontherocks.com/2019/05/the-problem-with-the-narrative-of-proxy-war-in-iraq/ (31 mai 2019) En décembre 2018, le président Donald Trump a déclaré que les États-Unis utiliseraient leur base dans le gouvernorat d'Anbar pour surveiller l'Iran : "Nous regardons", a-t-il averti. Cela a suscité l'indignation des politiciens irakiens et une proposition du Parlement irakien de mettre fin à la présence américaine. Le fait de considérer toutes les actions ou les postures menaçantes de ces milices comme étant contrôlées et planifiées par l'Iran signifie que toute riposte ou dissuasion individuelle de la part des forces sur le terrain, aussi rationnelle ou irrationnelle soit-elle, est considérée comme une agression ou une réaction irrationnelle de l'Iran, ce qui pourrait aggraver les tensions géopolitiques. Inversement, traiter ces forces comme une extension de l'Iran et suggérer qu'elles sont donc aussi une cible pourrait provoquer de nouvelles contre-mesures et même une agression sur le terrain en Irak. Au lieu de cela, pour désamorcer les tensions locales et géopolitiques, il est important de différencier la source et la nature de la menace. Bien que personne ne doute que l'Iran (et les États-Unis) puissent et veuillent exercer une certaine influence sur les acteurs de la sécurité en Irak, ces milices demeurent d'abord et avant tout leurs propres maîtres. Nos recherches montrent que dans la plupart des scénarios, l'autonomie et les calculs politiques et stratégiques des groupes expliquent mieux leurs actions que le récit simpliste de la marionnette téléguidée de l'extérieur. L'exagération de ce lien et l'idée de " combattants par procuration " de l'Iran conduiront à de nouveaux signaux erronés et à une escalade du conflit, au détriment de la sécurité tant américaine qu'irakienne.
  10. [1] comme le papa d'Angela Merkel, prêt à relever les manches pour édifier le socialisme dans la patrie des travailleurs, la RDA, mais cela ne nous rajeunit pas. [2] peut-être Max Weber a-t-il la clé avec son "éthique protestante" et l'esprit du capitalisme". https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/parteien/id_85856600/gruene-staerkste-kraft-in-umfrage-wird-robert-habeck-der-naechste-kanzler-.html (1er juin 2019) Pour la première fois dans l'histoire allemande, les Verts sont en tête d'un sondage national, à 27% CDU-CSU : 26% SPD : 12% AfD : 11% FDP : 8% Die Linke : 7%
  11. https://www.theguardian.com/politics/2019/jun/01/brexit-party-nigel-farage-lead-opinion-poll-conservatives-opinium (1er juin 2019) À 26%, le Brexit Party est en tête d'un sondage dans l'hypothèse d'élections législatives. Le parti travailliste est second à 22%, suivi par les conservateurs : 17% et les libéraux-démocrates : 16%. En projection en sièges, il ne manquerait que 20 sièges au Brexit Party pour avoir la majorité absolue à la chambre.
  12. J'ai lu ce que tu as traduit. Ca me parait suffisant pour voir le message de l'article. Le locuteur semble dire que puisque la population ouvrière ne ressent pas l'oppression, alors ce qu'expriment les classes sociales aisées qui manifestent leur dissidence par des banderolles et des rubans n'est pas sérieux. Or si on a lu Orwell, on se dit que ce raisonnement n'est pas exact. Dans le régime de 1984, les classes sociales inférieures ne ressentent pas l'oppression, peut-être parce qu'elles n'ont pas les outils intellectuels pour évaluer le régime, ou l'imagination pour imaginer un régime meilleur. Dans 1984, c'est la classe dominante, celle qui occupe les postes hiérarchiques, qui est l'objet de la surveillance du régime et le cas échéant, de la répression.
  13. "Travailleurs" correspond à "prolétaires", "à peine opprimés" à "libres".
  14. Dans 1984 d'Orwell, un des principes du régime est "les prolétaires et les animaux sont libres".
  15. https://www.france24.com/en/20190529-xi-broke-promise-south-china-sea-top-us-general (29 mai 2019) Xi Jinping a trahi sa promesse de ne pas militariser la Mer de Chine méridionale, rappelle le général Joseph Dunford, chef d'État-Major des armées américaines : "À l'automne 2016, le président Xi Jinping a promis au président Obama de ne pas militariser les îles. Ce que nous voyons aujourd'hui, ce sont donc des pistes de 10 000 pieds, des installations de stockage de munitions, le déploiement de routine des capacités de défense antimissile, des capacités aéronautiques et ainsi de suite ", a-t-il déclaré dans un discours sur la sécurité et la défense des États-Unis à la Brookings Institution à Washington. "Il est donc clair qu'ils ont abandonné cet engagement."
  16. https://www.cnbc.com/2019/05/29/dont-say-we-didnt-warn-you---a-phrase-from-china-signals-the-trade-war-could-get-even-worse.html (29 mai 2019) Nous conseillons à la partie américaine de ne pas sous-estimer la capacité de la partie chinoise à sauvegarder ses droits et intérêts en matière de développement. Ne dites pas qu'on ne vous a pas prévenu", disait le Quotidien du Peuple dans un commentaire intitulé "Les Etats-Unis, ne sous-estimez pas la capacité de la Chine à riposter." L'expression " Ne dites pas que nous ne vous avons pas prévenus " a été utilisée par le Quotidien du Peuple en 1962 avant la guerre frontalière de la Chine avec l'Inde et avant la guerre Chine-Vietnam de 1979. https://www.scmp.com/week-asia/opinion/article/3011741/chinas-wrong-us-can-kill-huawei-heres-why-it-wont (27 mai 2019) La semaine dernière, les médias continentaux étaient pleins de rhétorique nationaliste stridente sur la façon dont Huawei peut prospérer en dépit de l'interdiction américaine et de la manière dont la Chine va développer des substituts indigènes aux technologies américaines à son propre avantage économique. Aucune de ces affirmations ne résiste à l'examen. À la fin des années 1990 et au début des années 2000, le gouvernement chinois a poursuivi un programme d'"innovation indigène" pour concevoir et fabriquer ses propres puces, investissant des milliards dans des entreprises comme Grace Semiconductor, dirigée par rien moins que Jiang Mianheng, le fils du président chinois Jiang Zemin. Cependant, même des ressources inépuisables et un soutien politique au plus haut niveau n'ont pas réussi à faire de Grace un succès, qui a depuis été fusionnée avec une entreprise concurrente tout aussi peu enthousiasmante. Les tentatives visant à former des champions nationaux de la puce basés sur des technologies étrangères ont également connu des difficultés. La puce mémoire DRAM Fujian Jinhua s'est effondrée l'année dernière après avoir été frappée par les contrôles à l'exportation américains à la suite d'allégations selon lesquelles elle aurait conspiré pour voler les conceptions du géant américain de la puce Micron. Et plus de 12 ans après sa création pour produire des puces mémoire NAND, le concurrent potentiel de Samsung, Yangtze Memory Technologies, reste au moins cinq ans derrière le géant coréen. Les sceptiques disent que les patrons de la société chinoise ont fait plus de progrès dans le développement immobilier que dans la fabrication de puces. La Chine n'a pas eu plus de succès dans le développement de logiciels. Après près de 20 ans d'efforts soutenus par l'État, la Chine n'a pas encore mis au point un système d'exploitation national pour les ordinateurs personnels capable de défier Microsoft Windows. Sa meilleure tentative à ce jour ressemble beaucoup à Windows XP, que Microsoft a abandonné il y a plus de 10 ans. Et malgré de fréquentes déclarations audacieuses au cours de la dernière décennie, le succès dans la construction d'un système d'exploitation smartphone s'est avéré tout aussi insaisissable. À long terme, le mieux que la Chine pourrait faire en poursuivant une telle politique serait de s'isoler sur le plan technologique. Elle pourrait créer un bloc de pays alliés en utilisant ses systèmes, ses normes et ses logiciels. Mais coupés du reste du monde, les pays de ce bloc resteraient pour toujours le parent pauvre de la technologie - à un coût d'opportunité énorme pour leur développement économique.
  17. Le village d'Astérix (qui résiste encore à l'envahisseur).
  18. Merci pour ce voyage dans le temps qui nous ramène en 2007, mais le fil principal sur le Vénézuela est ici : http://www.air-defense.net/forum/topic/673-venezuela/?page=1
  19. Le Japon dans la première guerre mondiale : https://encyclopedia.1914-1918-online.net/article/warfare_1914-1918_japan Il n'y a pas qu'en Europe où la première guerre mondiale plante le décor de la deuxième. Les Japonais saisissent les îles allemandes du Pacifique, autant de pierres dans le jardin américain : Déjà en 1907, la politique de défense impériale du Japon avait identifié les États-Unis comme l'adversaire le plus probable de la marine japonaise. En 1912, les planificateurs américains, pour leur part, avaient prévu une attaque japonaise contre les bases américaines aux Philippines, avec un engagement naval ultérieur dans le Pacifique[5] Dans un tel scénario, le contrôle des îles du Pacifique Sud le long de la route maritime entre les bases militaires américaines aux Philippines et Guam revêtait une grande importance stratégique, surtout après l'ouverture du canal de Panama, le 15 août 1914, lorsque les inquiétudes des Japonais au sujet de leur domination dans le Pacifique ont augmenté. Contrairement au siège de Qingdao, la campagne des îles du Pacifique Sud avait été courte, avec très peu de publicité et aucune victime. Plus important encore, et encore une fois en contraste frappant avec Qingdao, l'importance stratégique de l'occupation était énorme. Maintenant, une marine japonaise numériquement inférieure était en mesure d'intercepter et d'affaiblir la flotte américaine déjà en route vers les Philippines avant de s'engager dans une bataille finale décisive. À la fin de 1914, le deuxième escadron des mers du Sud a été converti en Force de défense provisoire des îles des mers du Sud. Avec la création d'une telle unité, la marine japonaise a non seulement affirmé le contrôle japonais de la région, mais elle a également renforcé sa proposition d'une nouvelle " avancée vers le sud " dans un avenir proche. Les Japonais s'illustrent dans le ciel français : Shigeno Kiyotake (1882-1924), un noble japonais et pianiste accompli, rejoint le corps d'aviation français en décembre 1914[9] Avec deux abattages confirmés et six non confirmés d'avions allemands, Shigeno rejoint la ligue exclusive des as du vol français et reçoit l'Ordre national de la Légion d'honneur, la décoration française la plus haute. Kobayashi Shukunosuke (1892-1918) a reçu son brevet de pilote, la licence de pilote française, en décembre 1916. Il mourut au combat lors de l'offensive du printemps 1918 et reçut la Croix de Guerre à titre posthume[10] Un certain nombre de pilotes volontaires japonais jouèrent également un rôle important dans le transfert de la stratégie aérienne et de la technologie aéronautique au Japon. Isobe Onokichi (1877-1957) est un autre pilote très décoré, cité pour " ses qualités militaires exemplaires dans l'escadron en démontrant son agressivité au combat "[11] Dès son retour au Japon, Isobe publie le livre Sora no tatakai (La guerre dans les airs), où il souligne l'importance nationale des forces aériennes et de la défense aérienne civile. Ishibashi Katsunami (1893-1923) a utilisé ses connaissances de la conception d'avions français pour construire des avions de course au Japon, tandis que Moro Goroku (1889-1964) s'est lancé dans une carrière distinguée comme ingénieur aéronautique chez Kawasaki. et sur la Méditerranée : Les croiseurs et destroyers japonais patrouillaient ainsi les principales routes maritimes reliant Alexandrie, Marseille, Tarente en Italie et Thessalonique, qui étaient vitales pour le transport des troupes et des fournitures. La marine japonaise a joué un rôle crucial dans l'une des missions de sauvetage les plus spectaculaires de la Première Guerre mondiale. Le 4 mai 1917, le navire de troupes Transylvania fut touché par une torpille allemande. Avec l'aide des destroyers Matsu et Sakaki, environ 3 000 des quelque 3 300 personnes à bord ont été sauvées.
  20. Boris Johnson assigné en justice pour "mensonge" pour le message de campagne alléguant un gain de 350000 livres en cas de brexit : https://www.independent.co.uk/voices/boris-johnson-trial-court-brexit-bus-nhs-lie-misconduct-a8934566.html (29 mai 2019) Vraisemblablement, rien ne se passera avant la fin de l'élection à la direction [du parti conservateur], qui devrait se terminer en juillet, date à laquelle Johnson pourrait être premier ministre, ou non. Mais cette affaire, que tout leaver considérera (avec une certaine justification) comme une intrusion de la justice dans la politique, ne fera que renforcer la campagne de Johnson auprès des membres du Parti conservateur. Je suis surpris que le juge ait refusé aujourd'hui de rejeter l'affaire. Cela semble s'inscrire dans une mauvaise tendance, celle de recourir à la justice pour trancher des désaccords politiques. Il ne serait pas sage de faire appel aux tribunaux pour trancher de telles questions. Qu'en est-il de l'affirmation des travaillistes selon laquelle les conservateurs veulent privatiser les services de santé ? Ce n'est pas vrai, mais voulons-nous vraiment que les tribunaux décident quelles allégations hyperboliques sont permises et lesquelles ne le sont pas ? Et quid des allégations de Tony Blair sur les armes de destruction massives de Saddam Hussein ? À ce sujet, le "spin doctor" de Blair, Alastair Campbell, vient d'être expulsé du parti travailliste (il avait fait campagne pour les LibDems pendant les Européennes).
  21. J'ai bien compris que le but est de faire des enfants la chair à canon de la politique. C'est mettre l'intérêt de la politique avant l'intérêt de l'enfant. Quelqu'un qui se soucie de l'intérêt de l'enfant place en priorité ce qui semble être important pour cet enfant de connaître. La probabilité que cela rende service à un enfant plus tard dans sa vie d'avoir quelques notions sur l'Angleterre, sa culture, sa géographie, ses hommes et ses femmes, est plus forte que celle que cela lui rende service d'avoir les mêmes connaissances sur Malte.
  22. https://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/union-gegen-direkte-eu-verhandlung-mit-albanien-und-nordmazedonien-16211829.html (29 mai 2019) Ouverture des négociations d'adhésion à la Macédoine septentrionale et à l'Albanie : La commission est pour La CDU est contre, le SPD est pour (quelle sera donc la position allemande ? a priori la CDU peut mettre son veto, mais le ministre des affaires européennes est SPD) Les Pays-Bas, le Danemark, et la France, sont "critiques".
  23. Oui mais les enfants doivent être éduqués avec ce qui leur ouvre l'esprit sur le monde. Il n'est pas très malin de leur mettre des oeillères pour des raisons de politique politicienne. C'est un peu stupide aussi de faire un numéro entier sur Chypre (et j'imagine sur Malte) et ne rien dire sur la Turquie, pays autrement plus important.
  24. Du coup, à cause du Brexit, ils vont faire l'impasse sur l'Angleterre ? C'est faire l'impasse sur un pays important géographiquement et culturellement. On pourrait en dire autant de la Russie, qui n'a pas l'heur de faire partie de l'UE.
  25. https://www.7sur7.be/monde/les-hells-angels-interdits-aux-pays-bas~ae2ff681/ (29 mai 2019) Le club de motards Hells Angels est interdit aux Pays-Bas, a annoncé mercredi le tribunal d'Utrecht
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