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Picdelamirand-oil

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  1. Face à un possible effondrement, quels scénarios pour l'économie russe en 2025? https://actu.geo.fr/geopolitique/face-a-un-possible-effondrement-quels-scenarios-pour-l-economie-russe-en-2025-224076?dicbo=v4-nzoehcH-1078254507-0&utm_campaign=pmo_GEO_article_desktop_desktop_iso_froid_economie_russie_ISODS&utm_medium=cpc&utm_source=outbrain&utm_term=LaNouvelleTribune.Info (QUEBEC INC)_La Nouvelle Tribune La Russie aborde une période d'incertitude économique : les dépenses liées à la guerre et aux subventions ont maintenu l'économie à flot, mais ont aussi entraîné une inflation galopante. Pour contrôler cette inflation, la seule option semble être de tolérer une stagnation économique en 2025. L'économie russe s'est avérée bien plus résiliente depuis le début du conflit à grande échelle en Ukraine que ne l'espéraient de nombreux politiciens occidentaux, malgré une pluie de sanctions visant à séparer Moscou du reste du marché mondial. Mais entre hausse des dépenses militaires, dépendance à l'effort de guerre et inflation dévorante, seul un changement de politique brutal mais nécessaire pourrait permettre au Kremlin d'échapper à un effondrement de son économie. Inflation ou prix du pétrole : des facteurs échappant au contrôle du Kremlin Près de trois ans après le début du conflit, l'arsenal de mesures déployées par le Kremlin pour préserver son complexe militaro-industriel et les citoyens russes de l'effet des sanctions est de moins en moins efficace. Dans le même temps, les prévisions du gouvernement russe – qui table sur une croissance de 2,5 % du PIB russe en 2025, selon le ministère du Développement Économique cité par Interfax – paraissent de plus en plus en décalage avec la réalité. Certains facteurs décisifs, comme le prix des hydrocarbures, sont difficilement influençables par Moscou comme par l'Occident. Les revenus tirés de la vente de gaz et de pétrole assurent une part considérable du budget russe depuis des décennies, mais le prix du baril d'or noir risque de continuer à baisser en 2025. Selon la Banque mondiale, le prix du baril Brent, référence mondiale, pourrait descendre jusqu'à 73 dollars, son montant le moins élevé depuis quatre ans. L'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole a acté en 2024 l'augmentation de la production de cette matière première, une décision qui devrait tirer les prix du baril vers le bas, tandis que la baisse des tensions au Moyen-Orient permet de stabiliser le marché. Une variation de quelques dollars du prix du baril serait d'une importance capitale pour Moscou. Selon The Insider, une réduction du prix du baril suivant les projections de la Banque Mondiale pourrait creuser le déficit budgétaire : actuellement prévu à 9,5 milliards de dollars, il pourrait grimper jusqu'à 28,5 milliards dans ce scénario. L'arrêt de la guerre, une mauvaise nouvelle pour l'économie ? La santé de l'économie russe est dépendante d'une autre question cruciale, la guerre contre Kiev. L'arrêt de cette dernière serait un immense soulagement à terme pour les finances de Moscou, qui a prévu d'allouer officiellement 145 milliards de dollars à la défense nationale en 2025, soit 6,3 % de son PIB. Paradoxalement, un arrêt du conflit serait cependant dévastateur à court terme pour la Russie, tant ces dépenses militaires soutiennent l'économie du pays : entre emplois créés dans l'industrie de l'armement, salaires versés aux militaires et primes versées aux familles en cas de décès, le pouvoir d'achat des citoyens dépend désormais fortement du conflit en Ukraine. Sans allègement des sanctions, scénario qui impliquerait vraisemblablement en contrepartie un retrait des forces russes du territoire ukrainien, la Russie resterait isolée du reste de l'économie mondiale, compliquant toute perspective de reconstruction de l'économie. Un dilemme pour le pouvoir central Un autre problème de fond continue de frapper l'économie russe : une inflation persistante, qu'un taux directeur relevé plusieurs fois jusqu'à atteindre 21 % s'avère incapable d'enrayer. Cette inflation est en effet causée en grande partie par d'autres politiques russes, visant à subventionner les citoyens russes par des programmes d'aides pour maintenir leur pouvoir d'achat malgré la guerre. Une réduction de ces dépenses aiderait à tempérer la hausse de l'inflation au prix d'une forte baisse de popularité et une croissance minime, tandis que le maintien des subventions soutenant l'économie laisserait libre cours à une inflation galopante. Autrement dit, pour Moscou, le scénario le plus optimiste est probablement celui d'une stagnation complète en 2025, qui permettrait de calmer l'inflation. L'autre perspective, une inflation incontrôlée, présente un risque de taille : une baisse du pouvoir d'achat des Russes, l'inflation dépassant l'augmentation des revenus liés à la guerre. Difficile cependant pour Moscou de trancher un tel dilemme, l'acceptation du conflit en Ukraine par la population étant largement liée aux efforts déployés par le Kremlin pour maintenir le niveau de vie des Russes.
  2. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    J'ai vu à plusieurs reprises dans les journaux indiens 24 ou 25 milliards de dollar. Et c'est plus cohérent avec le prix des Rafale M.
  3. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    La négo va être facilité parce que ça suit de près celle des Rafale M et que la différence de prix entre les versions est bien connue et pas susceptible de longue palabre.
  4. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Je me suis fait plaisir NOTE DE SYNTHÈSE Proposition MRFA – 114 Rafale « Made in India » Source : ANI / IAF – 12 septembre 2025 1. FAITS PRINCIPAUX Le ministère de la Défense indien a reçu la proposition de l’IAF pour l’acquisition de 114 Rafale « Made in India ». Valeur estimée : >2 lakh crore INR (~24 Mds USD). Contenu local : >60 %. Flotte totale Rafale Inde après ce contrat : 176 avions (36 IAF en service + 26 navals IN + 114 MRFA). Mise en place d’une capacité MRO moteur M88 à Hyderabad. Participation attendue de Tata et industriels indiens. Les appareils « Made in India » seront équipés de nouvelles capacités air-sol longue portée. La décision fait suite aux résultats de l’opération Sindoor, où le Rafale a défait les missiles PL-15 chinois déployés par le Pakistan, grâce à sa suite Spectra. Vision de flotte confirmée : triptyque Su-30MKI + Rafale + programmes indigènes (LCA Mk1A/Mk2, AMCA). 2. IMPLICATIONS OPÉRATIONNELLES Validation au combat : supériorité démontrée face aux PL-15 → crédibilité immédiate du Rafale comme pivot de supériorité aérienne. Renforcement de la dissuasion : signal clair à la Chine et au Pakistan. Interopérabilité tri-services : cohérence accrue entre IAF et IN. 3. IMPLICATIONS INDUSTRIELLES Implantation durable : Dassault + DRAL (majoritaire) + Tata → ligne locale viable. Seuil critique atteint (>100 appareils produits localement) → rentabilité industrielle. Effet levier : possibilité de tranches supplémentaires (IAF + IN). Capacité MRO moteur : réduction de dépendance externe, montée en autonomie stratégique. 4. IMPLICATIONS POLITIQUES Make in India renforcé : >60 % de contenu local. Contrat historique : le plus important jamais signé par le gouvernement indien dans la défense. Narratif de victoire : décision adossée au succès de Sindoor → crédibilité face à l’opinion publique et au Parlement. Affaiblissement des concurrents étrangers (F-15EX, F-18, Typhoon, Gripen). 5. RECOMMANDATIONS / PERSPECTIVES Suivi budgétaire : impact sur les financements disponibles pour LCA Mk2, AMCA, TEDBF. Coordination interarmées : harmoniser la doctrine d’emploi Rafale IAF/IN (cloud de combat, standard F5). Préparer l’étape suivante : envisager d’ores et déjà une tranche additionnelle (~60 avions) pour atteindre la masse critique (~300 Rafale IAF) si Su-30MKI sort progressivement après 2045. Exploiter l’avantage Spectra : renforcer les programmes communs franco-indiens en guerre électronique. CONCLUSION L’Inde est à un tournant historique : après Sindoor, l’IAF a obtenu la justification opérationnelle pour pousser le Rafale comme colonne vertébrale stratégique nationale. Ce contrat, le plus important de son histoire, garantirait au Rafale une place centrale dans les forces aériennes et navales indiennes jusqu’en 2060, tout en consolidant une implantation industrielle franco-indienne durable.
  5. L'IAF estime que plus la construction sera locale, plus elle sera autonome en cas de guerre.
  6. Le ministère de la Défense reçoit la proposition de l'IAF d'acheter 114 avions de combat Rafale « Made in India » Par Ajit Dubey | Mis à jour : 12 septembre 2025 19:32 IST New Delhi [Inde], 12 septembre (ANI) : Le ministère de la Défense a reçu et entamé des discussions sur la proposition de l'armée de l'air indienne visant à acquérir 114 avions de combat Rafale « Made in India », qui seraient construits par la société française Dassault Aviation en collaboration avec des entreprises aérospatiales indiennes. Cette proposition, dont la valeur est estimée à plus de 2 lakh crore de roupies, avec un contenu local supérieur à 60 %, devrait être examinée par le Comité des achats de défense présidé par le secrétaire à la Défense dans les prochaines semaines. Une fois achevé, ce projet de défense serait le plus important contrat jamais signé par le gouvernement indien dans ce domaine. « La déclaration de cas (SoC) ou la proposition concernant les 114 avions Rafale préparée par l'armée de l'air indienne a été reçue par le ministère de la Défense il y a quelques jours et est actuellement examinée par les différentes divisions qui en dépendent, y compris le département des finances de la défense. Après délibération, la proposition sera ensuite transmise au DPB, puis au Conseil d'acquisition de la défense, ont déclaré des responsables de la défense à l'ANI. Le plus important contrat de défense jamais signé pour les Rafale devrait porter à 176 le nombre d'avions Rafale dans la flotte des forces de défense indiennes, l'armée de l'air indienne en ayant déjà intégré 36 et la marine indienne en ayant commandé 26 dans le cadre d'accords intergouvernementaux. La décision de donner suite à la proposition intervient peu après que le Rafale ait obtenu d'excellents résultats contre le Pakistan lors de l'opération Sindoor, où il a réussi à battre à plate couture les missiles air-air chinois PL-15 grâce à sa suite de guerre électronique Spectra. Les avions qui seront construits en Inde devraient également être équipés de missiles air-sol à plus longue portée que les Scalp existants, qui ont été largement utilisés pour frapper des cibles militaires et terroristes à l'intérieur du Pakistan. La part de contenu local dans les avions de combat Rafale fabriqués en Inde devrait être supérieure à 60 %. La partie française prévoit également de mettre en place une installation de maintenance, de réparation et de révision pour les moteurs M-88 utilisés par les avions Rafale à Hyderabad. La société française Dassault a déjà créé une entreprise chargée de la maintenance des avions de combat d'origine française. Des entreprises aérospatiales indiennes telles que Tata devraient également participer à la fabrication. L'Inde a un besoin urgent d'introduire des avions de combat pour faire face à la perception croissante de la menace dans la région. La structure de la force de chasse de l'IAF devrait être principalement composée de Su-30 MKI, de Rafale et de projets de chasseurs indigènes. L'Inde a déjà commandé 180 avions LCA Mark1A et prévoit également d'introduire en grand nombre le chasseur indigène de cinquième génération après 2035. (ANI)
  7. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    US team to visit India for negotiating aircraft deal Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Une délégation américaine se rendra en Inde pour négocier un contrat d'achat d'avions https://www.hindustantimes.com/india-news/us-team-to-visit-india-for-negotiating-aircraft-deal-101757529980952.html Une délégation américaine se rendra en Inde la semaine prochaine pour négocier la vente de six avions de patrouille maritime P-8I, dans le cadre des efforts visant à rétablir les relations bilatérales tendues. Une délégation américaine se rendra en Inde la semaine prochaine pour négocier la vente de six avions de patrouille maritime P-8I supplémentaires à l'armée indienne, alors que les contacts se poursuivent entre les deux parties pour rétablir les relations bilatérales après un différend commercial, ont déclaré mercredi des sources proches du dossier. La délégation américaine, composée de hauts responsables du département de la Défense et de Boeing, le constructeur de l'avion P-8 Poseidon déjà en service dans la marine indienne, se rendra en Inde à un moment où les hauts responsables de l'administration Trump ont critiqué à plusieurs reprises l'Inde pour avoir acheté du matériel militaire russe. Si la décision du président américain Donald Trump de doubler les droits de douane sur les produits indiens en imposant une taxe punitive de 25 % sur les achats de pétrole russe a conduit à des tensions dans les relations bilatérales sans précédent depuis près de deux décennies, des signes indiquent que les deux parties s'efforcent de réparer leurs relations. Mercredi, le Premier ministre Narendra Modi et Donald Trump ont eu leur deuxième échange positif sur les réseaux sociaux en quatre jours, les deux dirigeants évoquant la conclusion rapide des négociations commerciales. La délégation du département américain de la Défense et de Boeing se rendra à Delhi du 16 au 19 septembre pour discuter en détail de l'offre actuelle faite au gouvernement indien concernant l'achat de six avions P-8I, ont déclaré ces personnes sous couvert d'anonymat. La délégation comprendra des hauts responsables américains chargés des relations avec l'Inde, issus du bureau du sous-secrétaire à la défense chargé de la politique, du bureau des programmes internationaux de la marine (NIPO), du bureau du programme des avions de patrouille et de reconnaissance maritime (PMA 290) et de l'agence de coopération en matière de sécurité et de défense (DSCA), ont déclaré ces personnes. Le NIPO supervise les partenariats maritimes mondiaux en se concentrant sur l'exportation et le transfert de capacités qui soutiennent les intérêts stratégiques des États-Unis en matière de sécurité, tandis que le PMA 290 gère l'acquisition, le soutien et la livraison des avions de patrouille maritime. Si le coût final des six avions sera négocié lors des pourparlers, les personnes interrogées ont déclaré que le montant de la transaction serait de l'ordre de 4 milliards de dollars. La marine dispose d'une flotte de 12 avions P-8I, répartis en deux escadrons opérant à partir d'Arakkonam et de Goa. Ces avions ont été achetés en deux lots, huit dans le cadre d'un accord de 2,2 milliards de dollars en 2009 et quatre autres en 2016, afin de renforcer les capacités de la marine en matière de lutte anti-sous-marine et anti-surface. Les avions ont également été utilisés à des fins de renseignement, de surveillance et de reconnaissance (ISR) lors des affrontements avec la Chine à Doklam et au Ladakh. L'Inde et l'Australie, autre membre du Quad, qui utilise également le P-8, ont mené des exercices conjoints et des patrouilles de surveillance maritime avec cet avion afin de renforcer leur interopérabilité. Lorsque Modi et Trump se sont rencontrés à Washington le 13 février, une déclaration commune publiée par les deux parties indiquait que celles-ci s'attendaient à « l'achèvement de l'acquisition de six avions de patrouille maritime P-8I supplémentaires afin de renforcer la portée de la surveillance maritime de l'Inde ». Au cours des mois qui ont suivi, l'administration Trump a poussé la partie indienne à acheter davantage d'équipements militaires américains, ont déclaré ces personnes. « Certains des équipements proposés par les États-Unis, tels que les avions de combat F-35, ne sont pas adaptés aux besoins de l'Inde. Le P-8I est un choix judicieux, car la marine utilise déjà cet avion et il a fait ses preuves dans le domaine du renseignement, de la surveillance et de la reconnaissance », a déclaré l'une de ces personnes. Une deuxième personne a souligné que les contacts institutionnels entre l'Inde et les États-Unis s'étaient poursuivis malgré le conflit commercial, notamment avec la visite d'une équipe américaine pour des discussions dans le cadre du mécanisme du groupe de politique de défense et des discussions virtuelles entre hauts fonctionnaires des ministères de la défense et des affaires étrangères dans le cadre du mécanisme 2+2, et a déclaré que l'objectif était de remettre les relations globales sur les rails. La récente visite du Premier ministre indien en Chine, sa première en sept ans, pour assister au sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), et les images de M. Modi en compagnie du président chinois Xi Jinping et du président russe Vladimir Poutine seraient à l'origine du récent changement d'approche de l'administration Trump. Le sous-secrétaire adjoint américain à la défense pour l'Asie du Sud, Andrew Byers, s'est rendu en Inde du 16 au 20 août pour des réunions avec les ministères de la défense et des affaires étrangères, tandis qu'Alka Patel, conseillère principale au bureau de la politique en matière de cybersécurité et de numérique du département d'État américain, s'est rendue à New Delhi du 6 au 12 septembre pour des discussions visant à faire avancer des initiatives telles que la feuille de route sur l'IA. John Tengalia, directeur principal chargé des prix et des contrats de défense, s'est également rendu en Inde en juillet pour discuter d'un projet d'accord réciproque sur les achats de défense. Bien que la Russie continue de représenter près de 60 % des stocks des forces armées indiennes, les États-Unis sont devenus un fournisseur clé de systèmes sophistiqués au cours des deux dernières décennies. Depuis 2008, l'Inde a passé des contrats pour l'achat d'équipements militaires américains d'une valeur d'au moins 24 milliards de dollars, notamment des avions de transport C-130J Super Hercules et C-17 Globemaster III, des hélicoptères d'attaque Apache, des hélicoptères CH-47F Chinook, des obusiers M777, des missiles antinavires Harpoon et des drones MQ-9B. Les États-Unis ont désigné l'Inde comme « partenaire majeur en matière de défense » en 2016, lui accordant ainsi un accès sans licence à toute une gamme de technologies militaires et à double usage. Les États-Unis ont signé trois accords dits « fondamentaux » avec l'Inde – le protocole d'accord sur l'échange logistique (LEMOA), l'accord sur les communications, la compatibilité et la sécurité (COMCASA) et l'accord sur la sécurité industrielle (ISA) – qui sont nécessaires pour renforcer la coopération en matière de défense. Alors que le conflit commercial s'est aggravé ces dernières semaines, la partie indienne a cherché à se concentrer sur les relations à long terme et les domaines de convergence avec les États-Unis, tels que la collaboration en matière de défense et de sécurité assidûment développée au cours des deux dernières décennies. Le ministère des Affaires étrangères a déclaré que l'Inde s'engageait à faire progresser ses relations avec les États-Unis sur la base du respect mutuel et des intérêts communs, et qu'il y avait eu plusieurs engagements liés à la défense et l'exercice militaire Yudh Abhyas en août. Dans le même temps, l'Inde a défendu ses achats de pétrole et de matériel militaire russes, affirmant que ces acquisitions étaient motivées par des considérations de sécurité énergétique et de sécurité nationale.
  8. Il y a aussi dans le sud des hélicoptères qui ravitaillent les FARC.
  9. Pour l'instant tout va bien, les F-35 sont livrés à l'heure et ils vont pouvoir s'entraîner dessus comme prévus aux US. Ensuite à la fin de l'année ils espèrent une version complète de TR3 qui soit "combat capable" un portage de 3F qui marche sur TR3 quoi, et d'ici leur FOC ils espèrent bien qu'il y aura quelque chose de livré qui marche ce qui leur permettra de dire qu'ils ont un Block4 certes incomplet mais qui permet d'être FOC.
  10. ça fait rien, la Croatie viendra les défendre, maintenant qu'ils sont dans l'OTAN.
  11. Chine TuringQ livre en secret ses premiers ordinateurs quantiques à l'armée chinoise https://www.intelligenceonline.fr/surveillance--interception/2025/09/11/turingq-livre-en-secret-ses-premiers-ordinateurs-quantiques-a-l-armee-chinoise%2C110519482-art?cxt=PUB&utm_source=LMR&utm_medium=email&utm_campaign=AUTO_EDIT_SOM_PROS&did=109653022 La société chinoise TuringQ aurait livré, il y a quelques semaines, ses premiers ordinateurs quantiques à la cyberforce de l'Armée populaire de libération. Un transfert explosif qui, selon une source interne, inquiète jusqu'aux analystes de la DIA à Washington.
  12. Israël, Qatar Le missile Silver Sparrow, suspect principal des frappes israéliennes sur Doha https://www.intelligenceonline.fr/renseignement-d-etat/2025/09/10/le-missile-silver-sparrow-suspect-principal-des-frappes-israeliennes-sur-doha%2C110520586-gra?did=109653022 Les premières analyses concernant les frappes israéliennes qui ont visé Doha mardi 9 septembre montrent que Tsahal est passé au-dessus de la Syrie. Sans que les batteries de défense antiaérienne américaines présentes sur ce territoire ne réagissent. Publié le 10/09/2025 à 15h00 GMT Pierre Gastineau, Théo Sou Les premières analyses de services européens de renseignement commencent à s'affiner : selon leurs conclusions, c'est le modèle de missile balistique air-sol Silver Sparrow qu'Israël a utilisé pour ses frappes visant des représentants du Hamas à Doha, le 9 septembre. Conçu par les groupes israélien Rafael Advanced Defense Systems et américain Raytheon (devenu RTX), ce missile ne peut être utilisé en condition de guerre qu'après autorisation américaine. L'opération semble ainsi avoir été validée à Washington. D'autant plus que, pour opérer en toute discrétion, les appareils de l'Israeli Air Force (IAF) qui ont embarqué le Silver Sparrow – des chasseurs F-15 ou F-16 fabriqués par Lockheed Martin –, ont survolé la Syrie. Le pays est dénué de toute défense antiaérienne, à l'exception d'une base des forces spéciales américaines bien protégée par des batteries de défense pouvant détecter tout survol de ce type. La portée de 2 000 km du missile a permis à l'aviation israélienne d'atteindre aisément Doha depuis le ciel syrien, évitant ainsi de traverser d'autres pays, comme la Jordanie ou bien l'Irak, où des bases militaires étrangères auraient pu repérer les appareils. Il s'agirait de la première utilisation répertoriée de ce missile long de 8,39 mètres, pouvant embarquer une ogive de 150 kg. Issu de la gamme des missiles Sparrow, celui-ci a été initialement conçu pour simuler la gamme Shahab-3 iranienne et ainsi tester la défense antibalistique israélienne Arrow.
  13. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ils ont commandé 40 LCA Mk1 (le seul qui a fini ses essais), 87 + 93 Mk1a pour lesquels GE a des années de retard pour la fourniture des F404 (ils n'ont peut être pas trouvé ) et ils comptent commander des Mk2 dès que celui ci sera définis, sachant qu'il lui faudra des F414.
  14. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    En fait pour les Indiens c'est le LCA dans ses différentes versions qui remplace les MiG 21 et le Rafale remplace les MiG 29, 23,27 les Harrier, les Mirage, Les Jaguar. Mais HAL ne voit pas ça d'un bon œil et propose le TEDBF et L'ORCA. La marine a fait semblant de coopérer sur le TEDBF tout en disant qu'il lui fallait un stopgap parce que elle ne pouvait quand même pas rester avec un porte avions sans avions (il n'y a que les Anglais qui font ça) et quand elle a eu son contrat de 26 elle a dit à HAL "mais vous n'avez rien compris ce qu'il me faut sur mes porte avions c'est un avion furtif comme l'AMCA", ce qui fait que le stopgap va s'éterniser...
  15. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Bien sûr, c'est 5 ans à partir du moment où ils se sont décidés mais la décision est souvent plus longue qu'espérée. En fait ils ne peuvent pas décider si ils n'ont pas le financement ce qui explique que les mises en vigueur de leurs commandes sont très rapides.
  16. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Le deuxième PA sera une copie du Vikrant (sauf peut être les ascenseurs) pour aller plus vite: il compte le faire en 5 ans, le troisième sera beaucoup plus long à venir, les MiG - 29 seront retirés en même temps que le Vikramaditya. On est sans doute autours de 2040 pour le Catobar.
  17. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Il ne seront pas de trop pour arriver à 42 squadrons soit ~ 840 avions pour la seule IAF.
  18. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Oui ce serait quand même une belle occasion de nous refaire un AUKUS.
  19. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Non, c'est évident mais je n'arrive pas à trouver la preuve, mais j'ai une image d'un tweet:
  20. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Sans doute mais le Brahmos NG étudié pour être porté par un avion (ce qui n'est pas le cas du Brahmos) sera suffisamment petit (bien que gros) pour être porté par un Rafale.
  21. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    C'est ma propre réflexion: La logique c'est : pour les trois porte avions il n'y a que le Rafale de disponible parce que en demandant un TEDBF furtif celui ci a été repoussé après l'AMCA donc il faut 100 Rafale. Si l'IN réussit à avoir 100 Rafale, l'IAF en voudra 300 et tout le reste en découle
  22. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Alors maintenant je vais vous raconter une belle histoire: Depuis le départ, la Marine indienne (IN) voulait importer un chasseur embarqué moderne (57 MRCBF). Le discours autour du TEDBF (Twin Engine Deck Based Fighter) n’a servi qu’à temporiser. En réalité, le TEDBF a été reprofilé en furtif, ce qui le repousse très loin dans le temps (au-delà de 2045, probablement proche de 2050). Entre-temps, la Marine s’appuiera presque exclusivement sur les Rafale M, avec l’objectif implicite de monter à 80–100 appareils pour ses trois futurs porte-avions (dont un nucléaire à catapultes EMALS). L’Indian Air Force (IAF) modernise les Su-30MKI (MLU), ce qui leur permet de durer jusque vers 2040. Après 2040, ces Sukhoï devront être remplacés. L’IAF aura deux options : prendre quelques Su-57 russes pour maintenir le lien stratégique avec Moscou, ou pousser plus massivement sur le Rafale F5, standardisé, éprouvé, et produit localement. Le programme AMCA, censé être le chasseur indigène de 5e génération, est en réalité repoussé très loin. Si un jour il vole en série, ce sera après 2045, ce qui le rend presque hors-jeu pour les besoins urgents de remplacement. Conséquences pour le Rafale: Le Rafale M devient le cheval de bataille de l’IN : 26 déjà commandés, objectif implicite : 80 - 100 au total pour trois PA. Le TEDBF ne pourra jouer qu’un rôle symbolique dans les années 2045–2050. Déjà en service, modernisable, compatible nucléaire, avec une roadmap claire jusqu’en 2060, le Rafale F5 sera un pilier de l’IAF capable de remplacer les Mirage 2000, MiG-29, Jaguar, et à terme une partie des Su-30. Volume plausible : 300 appareils pour l’IAF, avec production locale et montée en puissance progressive. Pour ménager la Russie, l’IAF prendra sans doute quelques escadrons de Su-57 (40 - 60), mais cela restera un complément, pas le cœur de la flotte. Le Rafale, avec ses standards évolutifs (F4, F5, puis F6), est bien plus intéressant en termes de disponibilité, de coût et de logique de flotte. Projection plausible à l’horizon 2040–2050 Indian Navy (IN) 3 porte-avions (2Vikrant + 1 CATOBAR), 100 Rafale M (flotte principale). TEDBF furtif : premiers exemplaires après 2045, en quantités symboliques. Indian Air Force (IAF) 300 Rafale F5/F6 (multirôle, standardisés, cœur de flotte), 40–60 Su-57 (complément furtif, héritage russe). AMCA : incertain avant 2045–2050, donc marginal à l’horizon 2040. Cela ferait un total de 400 Rafale en Inde, soit la plus grande flotte mondiale, avec un noyau commun Navy/IAF permettant d’économiser sur la maintenance, la formation et l’armement. Le Rafale F5 avec IA embarquée, cloud de combat, drones loyal wingman, guerre électronique furtive et standardisation modulaire aura des capacités comparables, voire supérieures à la plupart des « 5G ». La furtivité passive extrême (cellule type F-35) est coûteuse, fragile et de plus en plus contournable par radars multistatiques et traitement de données IA. Ce qui compte désormais, ce n’est plus la génération autoproclamée, mais la capacité d’intégration en système de systèmes et l’évolutivité logicielle. Là-dessus, le Rafale F5 sera plus pertinent que nombre de chasseurs dits « 5e génération ». L’Inde se dirige vers une flotte hybride mais dominée par le Rafale, avec 400 appareils au total (IAF + Navy). Le Su-57 servira de complément politique envers Moscou. Les programmes nationaux AMCA et TEDBF sont repoussés bien au-delà de 2040 - 2045. Le Rafale F5, grâce à son évolution incrémentale et son adaptabilité au combat collaboratif, sera de facto plus utile et plus mature qu’un hypothétique « 5G indigène » livré en retard. Le Rafale sera au XXIᵉ siècle ce que le Jaguar a été pour l’Inde au XXᵉ, mais en version beaucoup plus moderne, connectée, et adaptée au combat collaboratif. Le Jaguar a été retiré du service en France dès les années 2000, mais en Inde, où il était produit sous licence par HAL, il est resté en service bien plus longtemps (encore opérationnel aujourd’hui dans une version modernisée DARIN III !). Parce qu’une fois qu’un avion est indigénisé et qu’une base industrielle est montée, l’IAF le garde en vie pour rentabiliser l’investissement et maintenir des capacités, même après l’arrêt en Europe. Le Rafale est en train de devenir l’épine dorsale des forces aériennes indiennes (IAF + Navy). Avec une production locale (Make in India probable via MRFA), l’Inde aura les moyens d’entretenir et prolonger ses Rafale bien après que la France sera passée à autre chose (NGF/SCAF). Le Rafale F5/F6 aura une longévité en Inde au moins jusque vers 2060–2070, exactement comme le Jaguar. Cela en ferait un chasseur typiquement indien, au même titre que le Su-30MKI ou le Jaguar l’ont été, mais avec une différence majeure : le Rafale est beaucoup plus moderne et évolutif, donc son cycle de vie sera encore plus long. Pour Dassault et Safran : l’Inde devient le garant de la longévité du Rafale, comme HAL l’a été pour le Jaguar. Pour l’IAF/IN : le Rafale sera encore opérationnel quand le NGF et l’AMCA voleront ailleurs, permettant à l’Inde de conserver un volume de chasseurs de première ligne en attendant. Pour l’image : le Rafale devient non seulement "l’avion de la France", mais aussi "l’avion de l’Inde", symbole de son autonomie stratégique.
  23. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    On ne le saura jamais, mais quand on dit que « Nous avons perdu certains avions, mais cela est uniquement dû à la contrainte imposée par les dirigeants politiques de ne pas attaquer les installations militaires ou leur système de défense aérienne » cela veut bien dire que les Pakistanais y sont pour quelque chose quand même. Après si les Pakistanais ont tiré spécifiquement contre les Rafale une centaine de PL-15 et que finalement il y en a un qui a eu un Rafale qui était dans une phase de retours de sa mission, c'est pas honteux pour le Rafale quand même.
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