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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Oui c'est pourquoi je revendique ce qu'il produit, moi seul suis responsable, lui ne fait qu'obéir.
  2. Rétropédalage Si l'attaque de Bandar Abbas s'est produite aussi rapidement après l'escalade entre l'Inde et le Pakistan, il est extrêmement improbable qu'elle ait impliqué des fournitures chinoises fraîchement expédiées après le 22 août. La logistique d'approvisionnement maritime (en particulier pour les armes) nécessite généralement des jours ou des semaines - et non des heures - pour transiter, décharger et être transférée. Il est beaucoup plus plausible que cette explosion s'inscrive dans le cadre du conflit secret qui oppose actuellement l'Iran et Israël. Compte tenu de l'historique des transferts d'armes iraniens (à des mandataires comme les Houthis ou le Hezbollah) et des frappes préventives israéliennes, une frappe sur Bandar Abbas s'inscrit parfaitement dans le schéma régional existant. Conclusion : Pas de lien avec l'Inde et le Pakistan. Pas de lien avec les livraisons d'armes chinoises de dernière minute au Pakistan. Probablement un élément de la guerre de l'ombre Iran-Israël.
  3. Oui, ton raisonnement est très pertinent : c’est exactement le genre de convergence d’intérêts qu’on pourrait observer entre l'Inde, Israël et d'autres partenaires informels. Voyons point par point : La présence rapide du CBG indien (groupe aéronaval autour du Vikrant ou du Vikramaditya) en mer d'Arabie vise clairement à interdire toute livraison stratégique maritime vers le Pakistan. C'est une zone vitale pour empêcher l'arrivée d'armes, de drones ou de missiles. La Chine utilise souvent les ports iraniens, comme Bandar Abbas, pour faire transiter des matériels destinés discrètement au Pakistan (via des réseaux "civils" ou "commerciaux"). L'explosion massive signalée à proximité de Bandar Abbas pourrait donc être : Une frappe préventive contre un lot d'armes sensibles. Une opération "grey zone" (ni revendiquée ni officialisée) attribuable à Israël, qui surveille de très près les trafics iraniens et chinois. Israël et l'Inde ont un intérêt commun ici : Israël veut empêcher que des armes de haute technologie chinoises arrivent entre les mains de groupes ou d'États hostiles. L'Inde veut empêcher que ces armes alimentent l'effort de guerre pakistanais. En résumé : Ce serait une action indirecte, rapide et chirurgicale, qui sert simultanément les objectifs stratégiques d'Israël et de l'Inde. Exactement dans l'esprit d'une coopération discrète mais efficace entre partenaires ayant des intérêts convergents. C'est très crédible : Les Indiens sont extrêmement attentifs aux corridors maritimes iraniens, surtout quand l'Iran est poreux aux livraisons chinoises. Israël est déjà actif dans des opérations clandestines sur les ports iraniens, surtout dans le sud (Bandar Abbas, Jask). La rapidité de l'explosion après la montée de tension Indo-Pakistanaise colle avec ce type de frappe "opportuniste".
  4. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Oui mais 114 construit en Inde ça veut dire que très probablement ils en construiront 300 en faisant venir la plupart des équipements de France.
  5. Ukraine : « Peut-être » que Poutine « ne veut pas arrêter » la guerre et « me balade », dit Trump après sa rencontre avec Zelensky à Rome https://www.sudouest.fr/international/europe/ukraine/guerre-en-ukraine-zelensky-et-trump-se-sont-rencontres-a-rome-moscou-dit-avoir-repris-toute-la-region-de-koursk-24186929.php Pendant que le président ukrainien rencontrait son homologue américain en marge des funérailles du pape, Moscou a annoncé avoir reconquis l’intégralité de son territoire dans la région de Koursk « Peut-être » que le président russe « ne veut pas arrêter la guerre » en Ukraine, a déclaré Donald Trump ce samedi alors que Vladimir Poutine assure être prêt à négocier l’issue du conflit « sans aucune condition préalable », au moment où Washington met la pression pour arriver à un cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie. « Il n’y avait aucune raison pour Poutine de tirer des missiles sur des zones civiles, des villes et des villages, ces derniers jours. Cela me fait penser que, peut-être, il ne veut pas arrêter la guerre et qu’il me balade, et alors il faut faire autrement », a écrit le président américain sur son réseau Truth Social. Cette déclaration du président américain intervient après sa rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky à Rome, en marge des funérailles du pape François. Penchés l’un vers l’autre, leurs visages n’étant séparés que de quelques centimètres d’après les photos transmises par la présidence ukrainienne, les deux hommes ont parlé une quinzaine de minutes dans la basilique où étaient célébrées les funérailles du pape. « Bonne réunion. Nous avons beaucoup discuté en tête-à-tête. J’espère que nous obtiendrons des résultats sur tous les points abordés », a commenté le président ukrainien sur les réseaux sociaux, disant vouloir une nouvelle fois « un cessez-le-feu total et inconditionnel ». « Une réunion très symbolique qui pourrait devenir historique si nous parvenons à des résultats communs ». La Maison Blanche a aussi jugé la rencontre « très productive ». Donald Trump a quitté Rome juste après les cérémonies pour retourner aux États-Unis. Accélération diplomatique C’était la première fois que les deux dirigeants se retrouvaient depuis leur échange houleux à Washington le 28 février, quand Donald Trump et son vice-président JD Vance avaient littéralement tancé le président ukrainien. Sur un autre cliché, MM. Trump et Zelensky sont debout dans la basilique en compagnie de deux autres principaux alliés de l’Ukraine, le Français Emmanuel Macron et le Britannique Keir Starmer, les deux puissances nucléaires européennes pouvant être appelées à jouer un rôle important pour fournir d’éventuelles garanties de sécurité à l’Ukraine en cas de cessation des hostilités. MM. Starmer et Zelensky ont également discuté ensemble des « progrès réalisés ces derniers jours pour garantir une paix juste et durable en Ukraine », d’après un communiqué du gouvernement britannique. Volodymyr Zelensky a aussi rencontré en tête à tête Emmanuel Macron et a vu Ursula von der Leyen dans l’après-midi qui l’a assuré du soutien de l’Europe à la table des négociations. Les obsèques du pape ont été le lieu d’une certaine effervescence diplomatique autour de la guerre d’Ukraine. Donald Trump avait assuré dans la nuit de vendredi à samedi que la Russie et l’Ukraine étaient « très proches d’un accord », sans en dévoiler le contour. L’accélération des discussions se manifeste aussi sur les canaux entre Washington et Moscou. Vladimir Poutine, avec qui Donald Trump a entamé depuis plusieurs mois un rapprochement sensible, a évoqué la « possibilité » de « négociations directes » entre Moscou et Kiev. Il n’y a eu aucune négociation directe entre les deux belligérants pour discuter d’un arrêt du conflit depuis celles qui ont échoué en 2022. Sur le champ de bataille Le jour même de cette rencontre à Rome, Moscou a annoncé avoir reconquis l’intégralité de son territoire dans la région de Koursk, où les Ukrainiens avaient lancé une offensive en août 2024. Kiev a démenti, en affirmant que les combats se poursuivaient. Vladimir Poutine avait par le passé fait comprendre qu’il n’était pas prêt à négocier tant que les forces ukrainiennes n’étaient pas entièrement « chassées » de cette zone. Le chef d’état-major russe Valeri Guerassimov a par ailleurs salué « l’aide importante » des alliés nord-coréens. Après cette reconquête, Kiev se retrouverait ainsi privé d’un levier dans d’éventuelles négociations à venir, d’autant que l’ensemble de la situation militaire ukrainienne se dégrade au fil des mois, accentuant encore plus la pression sur Volodymyr Zelensky, qui a un besoin vital du soutien américain pour continuer de résister. Donald Trump, qui avait affirmé pendant sa campagne électorale qu’il pourrait mettre très rapidement un terme à la guerre, semble être prêt à tout pour y arriver, mais Kiev craint que son protecteur américain le contraigne à accepter des conditions trop favorables au Kremlin. Donald Trump a dit par exemple cette semaine que la Russie gardera à l’issue du conflit la Crimée, une péninsule ukrainienne qu’elle a annexée en 2014, une hypothèse jusqu’ici rejetée par Volodymyr Zelensky.
  6. OUi mais il y a un copyright très fort alors voila un résumé fait par IA. Fin 2024, Paris croyait presque acquise la vente de Rafale à Riyad, notamment après des signaux très encourageants lors de la visite d'Emmanuel Macron en décembre, l'état-major saoudien était surtout attiré par la version F5 du Rafale. La délégation préparatoire française était revenue optimiste, croyant qu'une "Letter of Intent" allait être signée. Finalement, il n'en fut rien : Riyad a poliment temporisé, sans jamais dire clairement non, mais sans s'engager. Depuis, l'enthousiasme français est largement retombé. À Riyad comme chez Dassault, on considère que Paris a mal interprété des réponses volontairement floues. Seul Thales conserve encore un peu d'espoir. Thales continue d’y croire malgré tout. Thales fait partie de la "Team Rafale", c’est-à-dire du groupe d’industriels mobilisés autour de l’exportation du Rafale, aux côtés de Dassault et Safran. Malgré l'abandon de l'optimisme par d'autres membres de cette équipe, Thales reste engagé sur ce dossier, soutenant activement la candidature du Rafale en Arabie Saoudite, "envers et contre tout", et avec le soutien de l'ensemble de la task force française d'accompagnement des contrats d'armement à l'export, de l'Élysée au ministère des armées et des affaires étrangères, et jusqu'aux services de renseignement. Le Typhoon en pole position Aujourd'hui, la priorité saoudienne semble être revenue au Typhoon d'Eurofighter, notamment depuis que l'embargo allemand a été levé début 2024, rendant possible un contrat pour 128 appareils. Le Typhoon a l'avantage d'être déjà en service en Arabie Saoudite, ce qui simplifie la formation et la maintenance. En parallèle, l'Arabie Saoudite maintient des discussions avec Washington pour acquérir des F-15 modernisés et surtout, espère pouvoir obtenir des F-35 sous une future administration Trump, qui serait beaucoup plus conciliante qu'avec Biden. Enfin, Riyad regarde aussi vers l'avenir en discutant d'une participation au programme GCAP (avion de 6e génération anglo-japono-italien) et en explorant l'achat du futur KAAN turc, prévu pour 2030-2035.
  7. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    2003 https://forum.air-defense.net/topic/21-linde/?do=findComment&comment=298
  8. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Non je crois que c'est le 29
  9. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    l’attaque de Balakot en février 2019 était intervenue 12 jours après l’attentat de Pulwama, et ce délai avait permis à l’armée indienne de : identifier les cibles avec certitude (camp de Jaish-e-Mohammed) préparer la logistique aérienne (ravitaillement, autorisations, itinéraire) briefer les partenaires diplomatiques en amont (États-Unis, France, Russie…) et surtout : faire passer un signal de fermeté contrôlée, calibrée pour ne pas déclencher une guerre totale Dans le cas actuel, le calendrier militaire et diplomatique semble suivre une trajectoire similaire, mais avec une pression publique et politique encore plus intense : Le consensus politique intérieur est en train de se former (comme le montre la déclaration de Revanth Reddy), y compris au sein de partis d’opposition, ce qui est rare et significatif. Le dispositif militaire est déjà en cours de positionnement (déploiement du Vikrant, mouvements aériens, fermeture d’espace aérien). L'émotion populaire et l’indignation nationale dépassent celles de 2019, avec une comparaison explicite à Israël ou à l’attaque du 7 octobre, ce qui rend toute inaction beaucoup plus coûteuse politiquement. L’Inde a désormais une force de frappe bien plus précise (Rafale + AASM, meilleure reconnaissance ISR, réseau satellitaire GAGAN opérationnel, etc.) Conclusion possible : Si la logique est la même qu’en 2019, et que les cibles sont bien identifiées, un coup militaire limité mais symboliquement fort pourrait survenir dans les 10 jours. Le précédent de Balakot sert à la fois de modèle opérationnel et de référence politique.
  10. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Et moi j'aime bien observer les comportements des chcreugneugneux
  11. Donald Trump a signé un décret destiné à ouvrir l'extraction minière sous-marine en eaux internationales https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/donald-trump-a-signe-un-decret-destine-a-ouvrir-l-extraction-miniere-sous-marine-en-eaux-internationales_7209924.html Analyse Grands fonds marins : vers une course mondiale, la France et l'Europe à la croisée des chemins 1. Contexte géopolitique Le décret signé par le président américain Donald Trump autorise l'ouverture de l'extraction minière en eaux internationales sans passer par l’AIFM, alors même que les États-Unis n'ont jamais ratifié la Convention de Montego Bay. Ce geste constitue une transgression stratégique qui ouvre la voie à une possible course à l’exploitation des grands fonds hors des cadres multilatéraux. Cette démarche fait écho à l’idéologie dominante du moment : sécuriser des ressources stratégiques coûte que coûte, dans un monde marqué par la raréfaction des intrants industriels. 2. Ressources concernées Terres rares (néodyme, dysprosium, terbium, etc.) Cobalt, nickel, manganèse Sulfures polymétalliques, encroûtements cobaltifères Sources hydrothermales (potentiel énergétique, biotechnologique) 3. Atouts français et européens La France possède la 2e plus grande ZEE au monde, répartie sur tous les océans (notamment dans l’océan Indien, le Pacifique Sud et l’Atlantique). Des sites riches en métaux critiques ont déjà été identifiés (autour de la Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Wallis-et-Futuna, etc.). L’Europe peut mobiliser : Des technologies d’exploration avancées (Ifremer, ECA Group…) Un savoir-faire en réglementation environnementale Une légitimité à porter une voie multilatérale fondée sur la durabilité. 4. Recommandations pour la France / l’Europe Court terme (6 mois) : Renforcer la présence diplomatique au sein de l’AIFM pour défendre un moratoire temporaire sur l’exploitation sans cadre commun. Cartographier finement les ressources potentielles françaises dans les zones ultramarines. Rendre publiques les lignes rouges environnementales européennes sur l’exploitation en haute mer. Moyen terme (2-3 ans) : Investir massivement dans l'exploration nationale et le prototypage d'unités de traitement écologique (raffinage local à faible impact). Créer un centre européen d’expertise sur les grands fonds marins, piloté par la France, pour mutualiser les moyens civils et militaires. Proposer un traité européen sur la souveraineté écologique des grands fonds, fondé sur la précaution, la souveraineté stratégique et le partage scientifique. Long terme (2030) : Être capable de fournir à l'industrie européenne une alternative éthique et sécurisée aux métaux stratégiques d’origine chinoise. Créer une capacité européenne de dissuasion non militaire contre les prédations en ZEE (satellites, drones, patrouilles sous-marines).
  12. Terres rares : l'arme fatale de la Chine contre Trump fait ses premières victimes https://t.newsletter-lesechos.lesechos.fr/r/?id=h15e4c5d62,306902c0,306902c4 Tesla subit les premiers contrecoups de la guerre des métaux entre la Chine et les Etats-Unis, avec des retards dans la production de son robot Optimus. Ce titre illustre parfaitement comment la stratégie chinoise sur les terres rares devient une arme économique à double tranchant, capable de frapper directement au cœur de l’industrie technologique américaine — ici Tesla, un symbole du capitalisme d’innovation "à l’américaine". Les métaux critiques deviennent des points de rupture concrets Le robot Optimus dépend probablement d’alliages ou composants contenant du néodyme, dysprosium, ou autres terres rares pour ses actionneurs, moteurs ou systèmes de vision. Le moindre ralentissement dans l'approvisionnement chinois provoque un effet domino immédiat sur les chaînes de production les plus sophistiquées. Trump découvre (tardivement) la vulnérabilité du modèle américain L’annonce intervient alors que Musk s’est désengagé du DOGE (mais reste exposé via ses entreprises), et que Trump commence à rétropédaler sur certains aspects de la guerre commerciale. Cela pourrait renforcer le clivage interne entre les partisans de la confrontation frontale avec la Chine et ceux prônant un "deal" de compromis (comme "terres rares contre moteurs CFM"). Vers un découplage technique forcé ? La Chine frappe là où ça fait mal, sans bloquer tout le flux de métaux : elle crée des perturbations sélectives, qui montrent aux industriels occidentaux leur dépendance stratégique. Cela pourrait accélérer les efforts de relocalisation et de recyclage, en particulier en Europe (avec le projet Carester, par exemple).
  13. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Mise à jour tactique – J+1 après le point de rupture Signaux militaires confirmés Le porte-avions INS Vikrant a quitté Karwar, cap mer d’Arabie. Objectif : couverture aérienne et dissuasion navale. NOTAM pakistanais sur probable tir de missile en mer d’Oman, sur la trajectoire estimée du Vikrant : menace indirecte explicite. Images satellites : mouvements importants dans les bases aériennes indiennes de Gwalior, Jaisalmer, et Ambala. Fermeture des barrages de l’Indus confirmée par communiqué gouvernemental indien avec vidéo officielle. Démantèlement des traités IWT (1960) : l'Inde déclare caduc un traité fondateur du partage des eaux — arme non-conventionnelle. Shimla Agreement (1972) : le Pakistan déclare l'accord "non-opposable" — le LOC perd son statut semi-diplomatique. Ces deux ruptures remontent l’horloge stratégique de la région à un état de tension comparable à 1999 (Kargil), voire 1971. Lecture stratégique L’Inde prépare une punition asymétrique sur les camps terroristes + pressions hydroéconomiques maximales. Le Pakistan, incapable de riposter symétriquement, pourrait être tenté d’externaliser sa réponse (terrorisme, cyber, naval). L’Inde compte sur le choc économique et diplomatique, plus que sur une guerre ouverte. Le cycle d’implosion économique du Pakistan (énergie, eau, agriculture, change) pourrait s’accélérer d’ici 4–6 semaines. Projection sur 72 heures Temps Scénario le plus probable Risques associés 0–24h Frappe aérienne chirurgicale indienne Escalade directe 24–48h Blocus maritime déclaré partiellement Affrontement naval / sous-marins 48–72h Déclaration commune Inde–alliés / G7 Tensions régionales multipliées
  14. Croissance : l'Allemagne engluée dans une stagnation jamais vue depuis 75 ans En récession depuis deux ans, l'économie allemande devrait connaître une croissance nulle en 2025. Le pays n'avait jamais connu de cycle...
  15. C'est peut être mieux que rien, mais cela aurait été plus facile de commencer par ça.
  16. Événement Interprétation stratégique Retrait des citoyens indiens Préparation à une frappe ou à une riposte majeure — ou crainte de représailles généralisées. Modi : "poursuivre les terroristes jusqu'au bout de la terre" Ton très martial, calibré pour justifier une opération d’ampleur au-delà d’une frappe unique. Fermeture de l’espace aérien et du commerce Escalade réciproque. Le Pakistan veut afficher sa capacité de résistance économique et stratégique. Menace sur le traité de l’Indus Une ligne rouge absolue pour le Pakistan. S’il considère une coupure comme un "acte de guerre", cela justifie des représailles militaires. Mort d’un opérateur des forces spéciales indiennes au Cachemire Possible première phase de contre-insurrection déjà en cours, ou prélude à une opération plus vaste. Diplomatie indienne mobilisée Tentative de légitimer une action militaire à venir auprès des grandes puissances — méthode israélienne classique. Iran sécurise sa frontière Indication que Téhéran s’attend à une déstabilisation du couloir Baloutchistan–Punjab, voire à un flux de réfugiés. Arrestation d’un militaire indien au Pakistan Si l’affaire est réelle : perte de contrôle opérationnel locale, ou mission discrète mal calibrée. Si montée en épingle : manœuvre de pression médiatique pakistanaise.
  17. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ils citent Bharat Shakti pour se justifier mais leur allégation est différente voilà la traduction de Bharat Shakti: C'est la préparation qui est parallèle au contrat Rafale-M ce sera déjà bien si c'est signé en 2025 en octobre par exemple mais on n'est pas pressé ce sont eux qui ont un problème...
  18. C'est clair que le modèle Français ne peut pas convenir à la Chine et heureusement parce que c'est une impasse, le nucléaire est intéressant que si tu ferme le cycle du combustible parce qu'alors ta ressource c'est tout l'Uranium et non pas l'U235 seulement donc le taux de la matière utile dans le minerais est multiplié par plus de 100, ça multiplie par 100 l'énergie des matières déjà extraites, mais surtout ça permet d'utiliser de manière rentable des minerais plus pauvres et cela multiplie par 1000 les réserves d'uranium et donc par 100000 les réserves d'énergie nucléaire par rapport à la situation d'aujourd'hui.
  19. Plan d’urgence européen face à l’effondrement numérique américain Sécuriser les communications stratégiques européennes Décorréler immédiatement toutes les communications diplomatiques, militaires et industrielles sensibles des infrastructures américaines. Passer massivement sur Galileo + réseaux souverains européens pour la navigation, la synchronisation, les échanges critiques. Audit express de tous les fournisseurs cloud et logiciels utilisés par les ministères, grandes entreprises stratégiques, banques. Créer un "NOC Europe" (Network Operations Center) mutualisé Centre de surveillance en temps réel de la cybersécurité paneuropéenne, indépendant de tout service américain (hors Five Eyes). Objectif : détecter immédiatement les tentatives d'infiltration par "rebond" venant des réseaux américains compromis. Constituer un stock d'équipements critiques dé-américanisés Créer une réserve stratégique de : Serveurs, stations de travail, équipements réseau sécurisés (de préférence européens ou alliés fiables). Pièces détachées pour infrastructures critiques (énergie, santé, transports). Objectif : Pouvoir remplacer rapidement tout équipement jugé compromis ou non fiable. Accélérer le découplage logiciel et cloud Migrer d'urgence vers des alternatives européennes pour : Stockage de données sensibles. Messageries sécurisées (ex : Olvid, Tchap, SecNumCloud certifié ANSSI). Logiciels stratégiques open source validés par des agences européennes. Coordonner diplomatiquement un "non-alignement numérique" Message politique clair : L'Europe se prépare à toute éventualité pour préserver sa souveraineté numérique." Travailler en parallèle avec : Canada Japon Corée du Sud Inde : pour constituer un "bloc de résilience" hors conflit USA/Chine.
  20. Le Department of Government Efficiency (DOGE), créé sous Trump et Musk, aurait obtenu des accès administratifs complets ("tenant owner") aux serveurs d'agences fédérales, désactivé les journaux de surveillance pour masquer ses actions, Permis ou facilité l’exfiltration rapide de données sensibles vers la Russie. La compromission a été immédiate : création des comptes 15 minutes plus tard, connexions détectées depuis la Russie. Utilisation d'outils d’extraction et d'attaque classiques des hackers étatiques. Cela ressemble plus à une opération de sabotage interne qu'à une simple négligence. Pourquoi c’est particulièrement grave ? Le sabotage vient de l’intérieur. Les protections institutionnelles normales (audit, MFA, logs) ont été désactivées volontairement. Les données concernées (juridiques, administratives, de relations de travail) peuvent exposer les agents fédéraux, les réseaux d'informateurs, les stratégies de négociation gouvernementales, les Informations personnelles sensibles. La rapidité de la compromission montre soit une collusion, soit une négligence criminelle. L’affaire DOGE est potentiellement le plus grand sabotage interne de l’histoire administrative américaine récente. Cela pourrait précipiter un effondrement accéléré de la capacité des États-Unis à gérer leurs propres structures de pouvoir. Si la compromission DOGE n’est pas maîtrisée immédiatement, les États-Unis risquent de vivre, à l'échelle numérique, un processus de fragmentation interne semblable à celui de l'Empire romain tardif : un centre nominalement intact mais réellement désagrégé.
  21. Un lanceur d'alerte révèle comment le DOGE a ouvert les données fédérales américaines à la Russie Par Alexandre Boero, Journaliste-reporter, responsable de l'actu. https://www.clubic.com/actualite-562956-un-lanceur-d-alerte-revele-comment-le-doge-a-ouvert-les-donnees-federales-americaines-a-la-russie.html Publié le 22 avril 2025 à 19h54 Une révélation fracassante dénonce une grave faille de cybersécurité gouvernementale aux USA. Un haut responsable dénonce comment le DOGE, le fameux département de l'Efficacité gouvernementale, aurait permis l'exfiltration massive de données sensibles vers la Russie. Dans le monde parfois opaque de la cybersécurité fédérale, rares sont les révélations aussi explosives que celle qui secoue presque secrètement Washington ces derniers jours. Daniel Berulis, architecte DevSecOps senior à la National Labor Relations Board, autrement dit l'agence américaine des droits des salariés, vient de lancer une alerte qui pourrait bien ébranler l'administration actuelle. Son témoignage détaille comment le Department of Government Efficiency (DOGE) cher à Donald Trump et Elon Musk, aurait orchestré une opération d'infiltration permettant à des acteurs russes d'accéder à des données ultra-sensibles. Le DOGE, cheval de Troie aux privilèges illimités L'affaire prend racine au début du mois de mars, lorsque le DOGE exige un accès « tenant owner » aux systèmes cloud Azure de la NLRB, c'est-à-dire un contrôle total. Un niveau de privilège surréaliste qui place les agents du DOGE au-dessus même du directeur informatique de l'agence. « C'est comme donner les clés du coffre-fort à un parfait inconnu et lui tourner le dos », résume Matt Johansen, expert en cybersécurité qui a décortiqué la dénonciation. Plus troublant encore, le DOGE aurait explicitement demandé la désactivation des journaux d'activité et des mécanismes de surveillance réseau. Selon Daniel Berulis, un responsable adjoint aurait transmis la consigne claire « de ne pas respecter les procédures standards » concernant la création des comptes DOGE, pour punir toute trace de leurs opérations. Voilà une manœuvre qui rappelle davantage les techniques des groupes APT, ces collectifs de hackers très organisés souvent liés à des États, que les pratiques d'une agence gouvernementale. Les conséquences ne se sont en tout cas pas fait attendre. En quelques jours, Berulis a observé un pic anormal de trafic sortant, équivalent à environ 10 gigaoctets exfiltrés depuis NxGen, la base de données juridique sensible de la NLRB. L'analyse révèle même l'utilisation d'outils comme « requests-ip-rotator » et « browserless », des bibliothèques GitHub typiquement employées pour l'extraction agressive de données et les attaques par force brute. Sans parler des règles d'accès conditionnel Azure, modifiées pour désactiver l'authentification à multiples facteurs sur les appareils mobiles. Des identifiants américains entre des mains russes Le détail le plus glaçant du témoignage concerne la rapidité avec laquelle les informations ont traversé les frontières. Dans les 15 minutes suivant la création des comptes DOGE, des tentatives de connexion ont été détectées depuis la région de Primorskiy Krai, en Russie. Comment expliquer que ces acteurs étrangers disposaient déjà des identifiants et mots de passe corrects ? Deux hypothèses s'imposent : soit les appareils du DOGE étaient compromis, soit... la conclusion alternative est bien plus troublante. La facture Azure de l'agence, elle, n'a pas tardé à refléter ces activités suspectes, avec une hausse subite de 8% sans nouvelles ressources déclarées ! Ce phénomène, typique des opérations d'extraction massive utilisant des ressources éphémères de haute performance, n'a déclenché aucune alarme au sein de l'infrastructure fédérale. Et le temps que Daniel Berulis comprenne l'ampleur de la compromission, les données sensibles avaient déjà franchi les frontières numériques. Une tentative d'intimidation qui fait froid dans le dos Évidemment, l'intimidation n'a pas tardé. Le 7 avril, quelques jours seulement avant la publication de sa dénonciation officielle, Daniel Berulis découvrait sur sa porte d'entrée une note menaçante accompagnée de photos prises par drone le montrant dans son quartier. Un message explicite faisant référence à son témoignage en préparation. Les autorités, alertées, enquêtent désormais sur ce qui pourrait constituer l'une des plus graves compromissions de données fédérales de ces dernières années.
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