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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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scaf FCAS SCAF et connexes (NGWS, drone FCAS - DP etc.)
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de prof.566 dans Europe
Je ne suis pas beaucoup intervenu pour commenter les derniers évènements, mais vous vous doutez bien qu'ils sont à peu près conformes à ce que j'anticipais et donc je n'avais pas beaucoup de commentaires. En fait ça ne me chagrine même pas, parce que je trouve que c'est une occasion de réfléchir à nouveau à la pertinence du SCAF. Je vais m'expliquer, mais c'est du lourd et ça va être concentré. On ne justifie pas comme ça qu'il ne faut pas faire le SCAF. Donc j'annonce d'abord la couleur, très grossièrement, pour donner envie de lire les explications qui justifient mon point de vue, et je donnerais ensuite ces explications. Pour prendre une comparaison, mon point de vue est qu'on est au moment où les mammifères sont sur le point de naître et où l'Allemagne nous propose de faire l'ultime dinosaure. En effet jusqu'à présent on a concentré les moyens (armes, moyens de détection, d’identification, de transmission, de désignation) sur une plateforme et l'avenir est de concentrer les effets des moyens sur un objectif. Ce qui veut dire qu'il faudra une ossature sûre et efficace pour coordonner, synchroniser et focaliser les différentes forces sur un objectif, on aura donc plusieurs petites unités autonomes coordonnées entre elles par des flux d'informations permanents et en temps réel. La technologie permet à une unité autonome de tirer sur une cible poursuivie par une autre unité autonome. En plus des capacités d'intégration dans le réseau, ces petites unités portent un équipement, parfois deux lorsque l'équipement est léger, ça peut être une arme ou un capteur par exemple, ou un nœud de transmission. Est-ce que cela signifie qu'il n'y a plus d'avion piloté? Je pense que la solidité des réseaux est plus faible à grande distance et qu'il faudra donc un homme pour faire le chef d'orchestre dans un avion à relativement courte distance. L'avion en question doit être étudié pour protéger la vie de cet homme et lui fournir une situation claire lui permettant de prendre des décisions. Autant dire que ce n'est pas un avion Omnirôle. Pour expliquer ce point de vue je compte décrire l'évolution du système militaire du point de vue du système organisationnel, et du système d'action, sous l'effet des progrès techniques, et les conséquences que ça a sur le renseignement, afin de montrer que ce que je propose est l'aboutissement des évolutions en cours. -
Il y en a eu plus, mais la bataille d'Angleterre, c'est au tout début, matériellement c'était difficile d'être déjà là. Pierre Clostermann par exemple n'a rejoint l'Angleterre qu'en 1942. Et mon père en 1943
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[Tempest] Nouvel Avion de Combat Britannique En Partenariat !
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de SharkOwl dans Europe
Pour le décollage, je pense que le problème est moins critique, parce qu'ils utilisent le tremplin. Mais pour l'atterrissage, ils le font verticalement et le problème c'est quand les entrées d'air réingurgitent l'air chaud sortis du réacteur. D'un seul coup la poussée diminue et l'avion tombe comme une pierre. Le phénomène est plus sensible quand il fait chaud que quand il fait froid. -
scaf FCAS SCAF et connexes (NGWS, drone FCAS - DP etc.)
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de prof.566 dans Europe
Je l'ai mis chez les Indiens. -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Je pense que pour l'instant les Talios sont réservé à la France, par contre ils ont peut être des Damocles d'occasion -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Il faut agrandir un peu pour le voir, Mais le team Rafale international fait du marketing pour le brimstone ! Ainsi que pour un Pod bi canon et du lance roquette! -
Traduction DeepL. Les Grecs traquent "notre" Rafale. Et les Français ne résisteront pas à la vente Athènes suit de près la tentative de la Croatie de se procurer des avions de guerre et espère qu'il n'y aura rien à tirer de la vente de l'avion de combat Rafale à la Croatie. A savoir que les Français n'ont pas autant d'avions d'occasion que les Grecs achèteraient Ce que l'on peut entendre officieusement au sommet de l'armée de l'air croate, mais aussi lire sur les portails grecs spécialisés qui suivent la défense, Athènes suit attentivement, depuis les coulisses, la tentative croate actuelle d'acquérir des avions de combat. Comme on le sait, la Grèce est dans un grand élan pour reconstruire sa force aérienne. Après avoir signé un accord avec Dassault Aviation au début de l'année pour l'achat de 6 Rafale F3R neufs et 12 d'occasion pour deux milliards et demi d'euros, la Grèce a demandé à la France d'autres avions d'occasion. Cependant, à part les Rafale qui ont été offerts à la Croatie, la France n'a pas d'autres surplus de ces chasseurs. Comme nous le disent nos interlocuteurs au sommet de l'armée de l'air croate, l'intérêt de la Grèce à ce que la Croatie y renonce va croissant. Même le lobbying politique n'est pas exclu. D'autant plus que les Grecs sont prêts à payer les avions de la "tranche croate" - immédiatement. D'autre part, la Croatie se trouve dans une position de plus en plus difficile car, en raison de la mauvaise situation économique causée par la pandémie de corona et les tremblements de terre, elle a prolongé la décision de choisir un chasseur et, surtout, on ne sait pas combien d'argent le gouvernement croate prévoit pour cette acquisition militaire, la plus chère de l'histoire. des forces armées de la République de Croatie. Il ne faut pas non plus s'étendre sur la perte de temps due à l'échec de l'acquisition du F-16 Barak israélien. Si l'on ajoute à cela le fait que Paris et Athènes sont de proches alliés militaires depuis des décennies, il est clair que la Croatie n'aura pas trop à attendre. Les analystes et journalistes militaires grecs concluent que la Croatie n'a pas besoin de gros chasseurs bimoteurs comme le Rafale, car leur exploitation est trop coûteuse. En outre, la Croatie n'a pas de menaces extérieures qui justifieraient d'une manière ou d'une autre l'achat d'un bimoteur coûteux. Par conséquent, il est de plus en plus évident que le Rafale ne gardera pas notre ciel. La Grèce serait disposée à offrir à la Croatie ses Mirage 2000 5Mk2 usagés, qui sont retirés de la circulation. Après la France, la Grèce est le plus grand utilisateur européen des Mirages français et elle en assure elle-même la maintenance et l'entretien dans les installations de Helenic Aerospace.
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[Tempest] Nouvel Avion de Combat Britannique En Partenariat !
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de SharkOwl dans Europe
Tu penses qu'ils pourraient mettre une propulsion nucléaire au Tempest? -
co² Economie et climat. CO2 or not CO2?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Economie et défense
Il y a une suite à cet article que je veux traduire: Nature Has Been Removing Excess CO2 4X Faster than IPCC Models Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) La nature a éliminé l'excès de CO2 4 fois plus vite que les modèles du GIEC le 5 février 2020 par Roy W. Spencer, Ph. D. Note : Ce que je présente ci-dessous est à peine croyable pour moi. J'ai cherché une erreur dans mon analyse, mais je n'en trouve pas. Néanmoins, les affirmations extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires, alors que ce qui suit est une introduction à un problème potentiel des modèles actuels du cycle du carbone qui pourrait bien être facilement résolu par d'autres personnes ayant plus d'expérience et de perspicacité que moi. Résumé Soixante ans de données sur le CO2 du Mauna Loa comparées aux estimations annuelles des émissions anthropiques de CO2 montrent que Mère Nature a éliminé 2,3 %/an de "l'excès anthropique" de CO2 atmosphérique au-dessus d'une base de référence de 295 ppm. Lorsque des calculs similaires sont effectués pour les projections RCP (Representative Concentration Pathway) des émissions anthropiques et des concentrations de CO2, on constate que les modèles du cycle du carbone ; ces projections sont basées sur l'élimination de l'excès de CO2 à seulement un quart du taux observé. Si ces résultats sont proches de la réalité, les futures projections de CO2 du RCP, ainsi que la projection du modèle climatique du réchauffement qui en résulte, sont probablement fortement biaisées. Introduction Mon précédent article, publié il y a quelques jours, montrait les performances d'un modèle simple de bilan de CO2 qui, lorsqu'il est forcé par les estimations des émissions anthropiques annuelles, correspond très étroitement à la moyenne annuelle des observations de CO2 du Mauna Loa pour la période 1959-2019. Je suppose qu'un niveau d'accord comparable est une condition nécessaire pour tout modèle sur lequel on s'appuie pour prédire les niveaux futurs de CO2 atmosphérique si l'on veut espérer faire des prédictions utiles sur le changement climatique. Dans ce post, j'ai forcé le modèle avec les projections de l'EIA sur les émissions futures (0,6%/an de croissance jusqu'en 2050) et je l'ai comparé aux scénarios RCP (Representative Concentration Pathway) utilisés pour forcer les modèles climatiques du GIEC. J'en ai conclu que nous pourrions ne jamais atteindre un doublement du CO2 atmosphérique (2XCO2). Mais je n'ai pas abordé l'influence relative sur ces résultats de (1) l'hypothèse de futures émissions de CO2 anthropiques par rapport à (2) la vitesse à laquelle la nature élimine l'excès de CO2 de l'atmosphère. La plupart des critiques des scénarios du PCR portent sur le premier, mais pas sur le second. Les deux sont nécessaires pour produire un scénario RCP. J'ai laissé entendre que les scénarios RCP issus des modèles n'éliminaient pas le CO2 assez rapidement, mais je ne l'ai pas réellement démontré. C'est le sujet de ce court article. À quoi doit-on comparer le taux d'élimination du CO2 atmosphérique ? La surface de la Terre absorbe et émet naturellement dans l'énorme réservoir atmosphérique de CO2 par le biais de divers processus biologiques et géochimiques. Nous pouvons faire l'analogie simple avec une cuve d'eau géante (le réservoir atmosphérique de CO2), avec un robinet qui verse de l'eau dans la cuve et un drain qui laisse sortir l'eau de la cuve. Supposons que ces taux de gain et de perte d'eau soient presque égaux, auquel cas le niveau d'eau dans la cuve (la teneur en CO2 de l'atmosphère) ne change jamais beaucoup. C'était supposé être l'état naturel des flux de CO2 entrant et sortant de l'atmosphère avant la révolution industrielle, et c'est une hypothèse que je vais faire pour les besoins de cette analyse. Ajoutons maintenant un autre robinet qui fait couler l'eau dans la cuve très lentement, pendant de nombreuses années, de manière analogue aux émissions de CO2 par l'homme. Je pense que vous pouvez voir qu'il doit y avoir un certain changement dans le taux d'évacuation du drain pour compenser le gain d'eau supplémentaire, sinon le niveau d'eau augmentera au même rythme que l'eau supplémentaire qui s'égoutte dans la cuve. Il est bien connu que le CO2 atmosphérique n'augmente qu'à environ 50% du taux de production de CO2, ce qui indique que le "drain" coule effectivement plus fortement. Notez que je ne me soucie pas vraiment de savoir si 5% ou 50% de l'eau de la cuve est échangée chaque année par l'action du robinet principal et du drain ; je veux savoir à quelle vitesse le drain s'adapte à l'eau supplémentaire qui s'écoule dans la cuve, limitant ainsi la montée de l'eau dans la cuve. C'est également la raison pour laquelle les arguments [et les modèles] basés sur les taux d'élimination de la bombe atomique C-14 ne sont, à mon avis, pas très pertinents. Ils sont utiles pour déterminer la vitesse moyenne à laquelle le carbone circule dans le réservoir atmosphérique, mais pas pour déterminer à quelle vitesse la "surcharge" supplémentaire de CO2 sera éliminée. Pour cela, nous devons savoir comment les processus biologiques et géochimiques changent en réponse à une quantité de CO2 atmosphérique supérieure à celle à laquelle ils ont été habitués au cours des siècles passés. La fraction d'élimination du CO2 par rapport aux émissions n'est pas une mesure utile Pendant de nombreuses années, j'ai vu des références à la fraction moyenne équivalente de l'excès de CO2 qui est éliminée par la nature, et j'ai souvent (à tort) dit quelque chose de similaire : "environ 50% des émissions annuelles de CO2 anthropique ne se retrouvent pas dans l'atmosphère, car elles sont absorbées." Je crois que ce point a été abordé dans le tout premier rapport du GIEC, le FAR. J'ai moi-même utilisé cette fraction d'absorption de 50 %, à de nombreuses reprises, pour décrire comment la nature élimine l'excès de CO2 de l'atmosphère. Je me suis récemment rendu compte que ce n'est pas une mesure très utile et que la formulation ci-dessus est incorrecte et trompeuse. En fait, ce n'est pas 50 % des émissions anthropiques annuelles qui sont absorbées ; c'est une quantité qui équivaut à 50 % des émissions. Vous voyez, Mère Nature ne sait pas combien de CO2 l'humanité produit chaque année ; tout ce qu'elle sait, c'est la quantité totale dans l'atmosphère, et c'est à cela que répondent la biosphère et les divers processus géochimiques. Il est facile de démontrer que la fraction d'élimination, comme on le dit habituellement, n'est pas très utile. Disons que l'humanité a réduit ses émissions de CO2 de 50 % en une seule année, passant de 100 à 50 unités. Si la nature avait auparavant éliminé environ 50 unités par an (50 unités éliminées contre 100 produites, soit un taux d'élimination de 50 %), elle continuerait à éliminer très près de 50 unités parce que la concentration atmosphérique n'a pas vraiment changé en un an seulement. Le résultat serait que la nouvelle fraction d'élimination passerait de 50% à 100%. Il est clair que ce passage à une fraction d'élimination de 100 % n'a rien à voir avec un taux d'élimination du CO2 plus élevé ; c'est entièrement dû au fait que nous avons établi le taux d'élimination par rapport à la mauvaise variable : les émissions anthropiques annuelles. Il faut plutôt se référer à la quantité de CO2 "supplémentaire" qui réside dans l'atmosphère. Le taux d'élimination du CO2 "excédentaire" dans l'atmosphère Le modèle de bilan de CO2 que j'ai décrit ici et ici élimine le CO2 atmosphérique à un taux proportionnel à la concentration de CO2 au-dessus d'un niveau de fond que la nature essaie de "détendre", une attente physique raisonnable qui est soutenue par des données d'observation. D'après mon analyse des données sur le CO2 du Mauna Loa par rapport aux estimations de Boden et al. (2017) sur les émissions mondiales de CO2, ce taux d'élimination est de 2,3 %/an de l'excédent atmosphérique au-dessus de 295 ppm. Cette simple relation permet d'obtenir une correspondance extrêmement étroite avec les changements à long terme des observations annuelles de CO2 du Mauna Loa, 1959-2019 (j'inclus également les effets moyens d'El Nino et de La Nina dans le modèle de bilan de CO2). La question se pose donc de savoir comment ce taux d'élimination du CO2 se compare aux scénarios du PCR utilisés comme données d'entrée dans les modèles climatiques du GIEC. La réponse est illustrée à la figure 1, où j'ai calculé le taux moyen annuel d'élimination du CO2 à partir des données du Mauna Loa et du modèle simple du bilan de CO2, de la même manière que je l'ai fait pour les scénarios du PCR. Comme les données du PCR que j'ai obtenues de la source ont des émissions et des concentrations de CO2 tous les 5 (ou 10) ans à partir de 2000, j'ai calculé les taux d'absorption annuels moyens en utilisant ces années limites à partir des observations et des modèles. Fig. 1. Taux moyen annuel calculé d'élimination du CO2 atmosphérique au-dessus d'une valeur de référence de 295 ppm à partir d'estimations d'émissions historiques comparées aux données du Mauna Loa (rouge), aux scénarios du PCR utilisés par les modèles climatiques CMIP6 du GIEC, et dans un modèle simple de bilan du CO2 dépendant du temps forcé avec les émissions historiques avant, et les émissions supposées après, 2018 (bleu). Notez que les intervalles de temps passent de 5 à 10 ans en 2010. Les quatre scénarios du PCR ont effectivement un taux d'absorption croissant à mesure que les concentrations atmosphériques de CO2 augmentent au cours du siècle, mais leurs taux moyens d'absorption sont beaucoup trop faibles. Étonnamment, il semble y avoir un écart d'un facteur quatre entre le taux d'absorption du CO2 déduit des données du Mauna Loa (combinées aux estimations des émissions historiques de CO2) et le taux d'absorption dans les modèles du cycle du carbone utilisés pour les scénarios du PCR pendant leur période de chevauchement, 2000-2019. Un tel écart semble à peine croyable, mais j'ai vérifié et revérifié mes calculs, qui sont assez simples : ils ne dépendent que des concentrations atmosphériques de CO2, et des émissions annuelles de CO2, sur deux années limites. Comme je ne suis pas un expert dans ce domaine, si j'ai négligé un point fondamental ou ignoré des travaux antérieurs sur ce sujet spécifique, je m'en excuse. Recalcul des scénarios du PCR avec le taux d'élimination du CO2 de 2,3 %/an Cela soulève la question de savoir à quoi ressembleraient les scénarios du PCR concernant la teneur future en CO2 de l'atmosphère si leurs projections d'émissions supposées étaient combinées avec le taux d'élimination du CO2 excédentaire corrigé par le Manua Loa de 2,3 %/an (au-dessus d'une valeur de fond supposée de 295 ppm). Ces résultats sont présentés à la figure 2. Fig. 2. Quatre scénarios de PCR concernant le CO2 atmosphérique futur jusqu'en 2100 (lignes pleines), et corrigés pour le taux observé d'élimination de l'excès de CO2 sur la base des données du Mauna Loa (2,3 %/an de l'excès de CO2 au-dessus de 295 ppm, lignes pointillées). Nous pouvons maintenant voir l'effet des différences entre les modèles du cycle du carbone sur les scénarios de la PCR : ces modèles à part entière qui tentent de traiter tous les composants individuels du cycle du carbone et la façon dont il change lorsque les concentrations de CO2 augmentent, par rapport à mon modèle simple (mais qui s'appuie sur les données du Mauna Loa) qui ne traite que de l'observation empirique selon laquelle la nature élimine l'excès de CO2 à un taux de 2,3 %/an de l'excès atmosphérique au-dessus de 295 ppm. C'est un aspect de la discussion du scénario RCP que je vois rarement mentionné : Le réalisme des scénarios du PCR n'est pas seulement une question d'émissions futures de CO2 qu'ils supposent, mais aussi du modèle du cycle du carbone qui élimine l'excès de CO2 de l'atmosphère. Discussion J'avoue ne pas savoir grand-chose sur les modèles de cycle du carbone utilisés par le GIEC. Je suis sûr qu'ils sont très complexes (bien que j'ose dire pas autant que Mère Nature) et qu'ils représentent l'état de l'art en essayant de décrire tous les différents processus qui contrôlent les énormes flux naturels de CO2 entrant et sortant de l'atmosphère. Mais les incertitudes abondent en science, en particulier lorsque la vie (par exemple la photosynthèse) est impliquée, et ces modèles du cycle du carbone sont construits avec la même philosophie que les modèles climatiques qui utilisent les résultats des modèles du cycle du carbone : Ces modèles sont construits en partant du principe que tous les processus (et leurs nombreuses approximations et paramétrisations) qui produisent une image *moyenne* raisonnablement équilibrée du cycle du carbone (ou état *moyen* du climat) permettront ensuite de prédire avec précision ce qui se passera lorsque cet état moyen changera (augmentation du CO2 et réchauffement). Ce n'est pas un fait acquis. Il est parfois utile de prendre du recul et d'adopter une approche globale : Que nous disent les observations sur le CO2 sur la façon dont le système terrestre moyen réagit à une augmentation du CO2 atmosphérique ? C'est ce que j'ai fait ici, et il semble qu'un modèle correspondant à une mesure aussi élémentaire (à quelle vitesse la nature retire l'excès de CO2 de l'atmosphère, à mesure que la concentration de CO2 augmente) serait un test fondamental et nécessaire de ces modèles. Selon la figure 1, les modèles du cycle du carbone ne correspondent pas à ce que la nature nous dit. Et d'après la figure 2, cela fait une grande différence par rapport aux scénarios du PCR concernant les futures concentrations de CO2 dans l'atmosphère, qui auront à leur tour un impact sur les futures projections du changement climatique. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Le débat sur le nucléaire suppose de tenir compte de tout le "mix énergétique" Un vieil article, mais l'info n'a pas du changer. -
scaf FCAS SCAF et connexes (NGWS, drone FCAS - DP etc.)
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de prof.566 dans Europe
Oui mais après l'échec d'Europa la primauté de la France était reconnue: Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) On avait 73% du programme, c'est ce qu'on devrait avoir sur le NGF. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Non c'est pas Trappier qu'il devait remplacer, c'est Edelstenne . -
Si ton retour est fort, le radar va l'atténuer avant de le traiter parce qu'il veut que les signaux soient "calibrés" et il atténuera le vrai retour en même temps...
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Non c'est comme un brouillage tu renvois le signal en changeant juste la fréquence, pas besoin de faire des calculs d'atténuation pour annuler pile poil le retour... ton signal sera plus fort que le retour réel et le noiera, l'écho en question sera éliminé comme ayant une vitesse radiale identique à la terre, et ton écho réel sera éliminé par la même occasion.
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Mais suppose que SPECTRA trafique le doppler.
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On peut aussi dire que ça complique le travail des AWACS qui peuvent être là pour détecter les avions en suivi de terrain. La détection dans le clutter de terre ou de mer est difficile et si on s'approche du Rafale on se prend un Meteor.
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http://www.air-defense.net/forum/topic/20302-le-dieu-rafale-et-tous-ses-saints/?do=findComment&comment=1127007
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C'est une liaison entre tous ceux qui en sont équipé Avions, satellites, chars, bateaux, sous marins, centre à terre. Non je croyais avoir expliqué la différence
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Non, lors de la cure d'amaigrissement ils ont remplacé le Titane par de l'aluminium.
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Dans une liaison de données tactiques tu transmets des pistes, par rapport à la L 16 tu peux avoir définit plus d'objets, tu peux avoir de meilleures performances etc... Par contre la connexion inter-Rafale te permet aussi de transmettre des mesures qui serviront peut être à faire des pistes et du coup tu peux faire une piste avec des mesures venant de plusieurs avions et tu peux même avoir une mesure qui met en œuvre des capteurs de plusieurs avions.
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INCAS: leurre/brouilleur électromagnétique actif largué.
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Bon, ça suffit. -
Et ça te suffit pour le croire plutôt que moi?
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Tu sais les stagiaires on ne peut pas toujours leur faire confiance. Personne ne peux changer la cadence qui était prévue en 2022.
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Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
C'est le Rafale qui les remplace...225 Rafale et c'est tout.- 1 014 réponses
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(et 2 en plus)
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