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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Non ils ne vont pas être équipé de ce radar. Pour l'instant ils ont lancé le développement de la technologie il n'y a aucune commande de Radar, c'est comme si on disait que les Rafale vonr être équipé de ceci ou de cela chaque fois qu'on lançait un PEA.
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Oui, celui qui a l'avantage dans l'établissement de la situation tactique, va le conserver car il pourra faire disparaître les détections des ennemis.
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Tu as raison. Normalement si on veut être tranquille il faut réemettre la contre onde vers toutes les pistes hostile détectées par tes alliés y compris les tiennes bien sûr.
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Rafale Qui sera le quatrième client export du Rafale?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Moi mon copain grec, m'a dit, après avoir engueulé son ministre de la défense, que les grecs n'achèteraient pas de Typhoon sans compétition, ça prouve qu'en cas d'urgence ils ne peuvent acheter que des Rafale non? -
Chine - Inde : Relations bilatérales
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Politique etrangère / Relations internationales
Voila le rêve des Indiens: -
Chine - Inde : Relations bilatérales
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Politique etrangère / Relations internationales
Les Indiens pensent que ça va bouger dans le Depsang, peut être même cette nuit. Ils semblent assez confiant. -
Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Mais non, tu focalises sur des critères du passé, maintenant ce qui est important c'est qu'il y ait une étiquette où Lockheed Martin certifie que ton avion est bien de cinquième génération.- 4 692 réponses
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Il est clair qu'il a participé à l'appel d'offre Suisse pour le remplacement des F-5 et qu'il a même été retenu par le sinistre (sic) de la défense Suisse. Ensuite le peuple Suisse a refusé le montage financier permettant d'acheter ces Gripen. Pour Gagner SAAB avait fait des promesses car l'avion n'était pas complètement définis et il y avait juste un bricolage à base de Gripen C/D montrant certaines évolutions qui seraient intégrées dans le nouvel avion. Si on regarde où en est le programme Gripen aujourd'hui il y a au moins une promesse qui n'a pas été tenue c'est le planning. Et finalement le Gripen E était bien candidat pour le remplacement des f-18 qui est en cours, mais Armasuisse a conseillé à SAAB de se retirer ce que SAAB a fait. On peut supputer que l'état d'avancement du programme était très insuffisant, ou que les performances n'étaient pas du tout à la hauteur, ou les deux.
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Rafale Qui sera le quatrième client export du Rafale?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Ou alors ils sont prêtés ou loués en attendant les 10 que les Grecs achètent. -
Rafale Qui sera le quatrième client export du Rafale?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
J'essaye d'expliquer, mais c'est pas pour ça que je cautionne l'information!!! D'abord il me semble que le rédacteur a des bribes d'information et qu'il essaye d'en faire des articles en recrachant ce qu'on lui a dit sans forcément avoir tout compris. Il y aurait deux sources pour que la Grèce ait rapidement 18 Rafale: 8 venant de l'armée Française et 10 neufs, que Dassault doit construire. Pour l'armée Française ils seraient donné (ce dont je doute fortement) et ce serait ceux qui ont fait une blague aux Turcs sur la base de Al Watiya en Libye donc des Rafale opérationnels tout de suite (par contre les grecs devraient transformer vite fait des pilotes de Mirage 2000 si ils veulent les utiliser) Pour les 10 Rafale neufs, normalement on peut commencer à livrer dans 3 ans et finir dans 4. Mais peut être que Dassault est en discussion avancée avec l'Egypte et lui a déjà promis qu'il pourra livrer dans 3 ans! Auquel cas il ne peut rien promettre aux Grecs, donc il est possible qu'une nouvelle négociation soit ouverte avec l'Egypte pour partager avec la Grèce, les Rafale qui seront produit .... -
Coronavirus - Covid 19
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est depuis que l'hydroxychloroquine a été interdite pour traiter le Covid? -
[MEDOR]
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
Traduction Conversations radio du navire français: la frégate française radio aux responsables grecs "Des centaines d'objets nous survolent que nous ne pouvons pas identifier. Nous ne pouvons pas comprendre ce qu'ils sont. Cela a verrouillé tout notre système. L'ensemble du système numérique du navire est hors de notre contrôle. Envoyez-nous un guide" -
Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Si on considère que c'est le prix des avions seuls qu'il faut multiplier par 3 ça fait $ 11 Milliards + $ 13 Milliards soit 24 Milliards pour le budget total sur 30 ans. Alors que mon calcul montre une solution qui coûte $ 9.989 Milliards + $ 6.649 Milliards soit $ 16.638 Milliards. 8 Milliards d'économisé soit 30 % du budget, ça commence à être intéressant! En gros on pourrait presque faire les Rafale gratuit si on mettait le prix des heures de vol au niveau où le budget le prévoit.- 4 692 réponses
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Vu le coût initial de l'heure de vol F-35 le PBL ne doit pas être donné Pour info complémentaire un article sur la disponibilité des F-18 Suisse. C'est une bonne illustration du fait que 50% de dispo pour les F-18 Finlandais est une estimation raisonnable. (finalement c'est ça qu'il faut remplacer) Disponibilité réduite de la flotte des F/A-18 !- 4 692 réponses
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Pour être à égalité avec Dassault il ne suffirait pas qu'ils démontrent une telle disponibilité, mais qu'ils s'engagent par contrat à cette disponibilité avec des pénalités financières si le contrat n'est pas remplis. Je te raconte pas la gueule de L.M. si tu lui propose ça.- 4 692 réponses
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
http://www.air-defense.net/forum/topic/19628-appel-doffre-finlandais-hxchallenge/?do=findComment&comment=1251761 Je recopie ici le post dont je donne le lien car je pense que je l'avais écris 10 mois trop tôt- 4 692 réponses
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Chine
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Je crois qu'il va soutenir la ZEE autours des îles, et même des îles artificielles car cela permet de revendiquer la mer de Chine, mais c'est une position qui va déplaire à la Turquie... -
Conflits territoriaux dans la Mer de Chine méridionale
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Politique etrangère / Relations internationales
Si si ils peuvent faire tir au but, ils repèrent leur cible de haut et ont un système de guidage terminal... -
USA
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Trump est en train de reprendre le dessus pour la prochaine élection présidentielle, les émeutes de Kenosha le favorise, l’élection se resserre et la victoire de Biden n'est plus assurée. La bataille sera serrée et débouchera sur d’interminables querelles juridiques, et un blocage complet des institutions. https://www.lemonde.fr/international/article/2020/08/28/a-kenosha-le-scrutin-presidentiel-a-l-aune-des-violences-et-des-emeutes_6050182_3210.html Or Trump est l'ennemi de l'Europe en général et de l'Allemagne en particulier où Merkel s'oppose à sa réélection. Par exemple les USA soutiennent clairement Erdogan quoique sans trop le clamer, simplement pour contrer l'UE. Idem pour l'Iran, Nord Stream 2 etc... Dans l'affaire d'Iran les US et l'UE s'opposent vraiment avec perte de face pour les US qui vont rugir si les Russes et les Chinois réarment l'Iran lorsque l'embargo sera levé. Tout ça sur fond de Covid et de crise économique qui attise les rivalités... On est pas sortis de l'auberge. -
Rafale Qui sera le quatrième client export du Rafale?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Indonesia’s impulsive arms trade [....] -
Coronavirus - Covid 19
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
Au cap d’Agde chez les naturistes on a atteint les 30%... -
Conflits territoriaux dans la Mer de Chine méridionale
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Politique etrangère / Relations internationales
China’s Missiles Warn U.S. Aircraft Carriers to Stay Away Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Les missiles de la Chine mettent en garde les porte-avions américains Le PLA aurait lancé quatre missiles en mer de Chine méridionale Le mouvement est considéré comme un rappel des coûts élevés des conflits entre les pouvoirs La dernière volée de missiles lancée par la Chine dans la zone la plus contestée du monde a servi d'avertissement à deux cibles clés des États-Unis : les porte-avions et les bases régionales. Les missiles lancés dans la mer de Chine méridionale mercredi comprenaient le DF-21D et le DF-26B, rapporte le South China Morning Post, citant un proche de l'Armée populaire de libération. Ces armes sont au cœur de la stratégie chinoise visant à dissuader toute action militaire au large de sa côte orientale en menaçant de détruire les principales sources de projection de la puissance américaine dans la région. "La Chine signale aux États-Unis, à ses alliés et à ses partenaires que la Chine a une réponse aux groupes d'attaque des porte-avions américains, une réponse qui est toujours disponible et qui ne dépend pas des calendriers de déploiement", a déclaré Carl Schuster, membre auxiliaire du corps enseignant du programme de diplomatie et de sciences militaires de l'Université du Pacifique à Hawaï et ancien directeur des opérations du Centre de renseignement conjoint du Commandement américain du Pacifique. En effet, la Chine dit : "Si les États-Unis mettent deux porte-avions dans la mer de Chine méridionale, nous y enverrons des missiles tueurs de porte-avions". Les lancements montrent aux États-Unis le coût croissant de tout conflit armé, avec un rappel très visible de l'arsenal croissant de missiles balistiques à moyenne et moyenne portée de la Chine. Le président Xi Jinping a déployé la nouvelle force de fusées de l'APL dans le cadre d'un défilé militaire massif en octobre, montrant une capacité qui défie la supériorité militaire américaine en Asie pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale. Des chercheurs de l'université de Sydney ont averti l'année dernière que les missiles chinois pourraient anéantir les bases américaines pendant les "heures d'ouverture" de tout conflit. Un responsable de la défense américaine qui a demandé à ne pas être identifié a déclaré à Bloomberg News que la Chine avait tiré quatre missiles balistiques de moyenne portée lors d'une série d'exercices militaires cette semaine. Ils ont atterri dans la mer entre le sud de l'île chinoise de Hainan et la chaîne de colis litigieux près du Vietnam, a déclaré le fonctionnaire, non loin de l'endroit où les transporteurs américains ont effectué des exercices ces dernières semaines pour appuyer la décision de l'administration Trump de contester les revendications de souveraineté de Pékin. "La conduite d'exercices militaires sur le territoire contesté dans la mer de Chine méridionale est contre-productive pour apaiser les tensions et maintenir la stabilité", a déclaré le Pentagone dans un communiqué jeudi. Les actions de la Chine, y compris les essais de missiles, déstabilisent encore plus la situation en mer de Chine méridionale". Le ministère chinois de la défense a réitéré son affirmation selon laquelle les exercices n'étaient pas dirigés contre une seule nation jeudi, sans mentionner le lancement de missiles. Cependant, le porte-parole du ministère, le colonel Wu Qian, a accusé "certains politiciens américains" d'essayer de provoquer un conflit entre les deux nations, déclarant lors d'un briefing à Pékin que la Chine "n'avait pas peur". Jeudi, l'armée chinoise a publié une déclaration disant qu'elle avait expulsé un destroyer de missiles guidés de la marine américaine qui avait "pénétré" dans les eaux proches des îles Paracel. "Nous demandons instamment aux États-Unis de mettre fin à ce genre d'actes de provocation, de gérer strictement les opérations militaires maritimes et aériennes et de restreindre strictement leurs troupes de première ligne, afin d'éviter les accidents", a déclaré Li Huamin, un porte-parole du Commandement du théâtre sud de l'armée chinoise. Les essais de missiles semblaient destinés à la consommation américaine, plutôt qu'à un public national, la couverture sur l'internet fortement censuré du pays étant largement limitée aux reportages des médias étrangers. Au début de la semaine, la Chine a protesté contre le vol d'un avion espion américain U-2 près de la zone d'exercice en mer de Chine orientale, vraisemblablement pour recueillir des renseignements sur les capacités du pays. "L'objectif est de tester les capacités des troupes", a déclaré Li Jie, un expert naval basé à Pékin, qui n'a pas pu confirmer l'essai du missile. "On pourrait dire qu'il s'agit d'un avertissement aux États-Unis, car les États-Unis ont augmenté leurs activités militaires dans la mer de Chine méridionale." Alors que les deux puissances nucléaires ont de nombreuses raisons d'éviter un affrontement, le risque d'escalade augmente alors que les États-Unis et leurs alliés cherchent à repousser un Pékin plus affirmé. Ces dernières semaines, les États-Unis ont effectué une série d'exercices militaires dans la région et ont approuvé la vente d'un avion de chasse à Taïwan, dans le cadre d'une élection nationale, le président Donald Trump a tenté de se concentrer sur la Chine. Les récents exercices de la marine américaine dans la mer de Chine méridionale ont inclus des opérations conjointes des groupes de frappe des porte-avions USS Nimitz et USS Ronald Reagan le mois dernier et des exercices séparés du Reagan ce mois-ci. Ces actions font suite à l'annonce du 13 juillet du secrétaire d'État Michael Pompeo, qui a clarifié l'opposition légale des États-Unis aux revendications chinoises sur la plus grande partie d'une voie maritime vitale, dont certaines parties sont également revendiquées par le Brunei, la Malaisie, les Philippines, Taïwan et le Vietnam. Le risque réel est qu'un conflit entre les États-Unis et la Chine au sujet de Taïwan dégénère en guerre nucléaire, en partie parce que le DF-26 peut être armé d'ogives nucléaires et conventionnelles, a déclaré Jeffrey Lewis, directeur du programme de non-prolifération en Asie de l'Est au Middlebury Institute of International Studies en Californie. "Si les États-Unis voyaient les missiles DF-26 se mobiliser pour frapper les porte-avions américains, le président devrait ordonner des frappes contre les bases de missiles dans toute la Chine, et pas seulement dans les zones côtières", a déclaré M. Lewis. "Les États-Unis frapperaient probablement les forces nucléaires chinoises. Il serait très difficile de limiter un tel conflit". La Chine a lancé au moins un autre missile DF-26 ces dernières semaines, dans ce que le journal Global Times du Parti communiste a qualifié de réponse aux opérations de transport des États-Unis. Le journal avait auparavant vanté ses missiles "tueurs de porte-avions" sur Twitter - en tirant une réfutation laconique de la marine américaine, qui notait que les navires de guerre étaient néanmoins "toujours là". Bien que la Chine n'ait pas encore prouvé sa capacité à couler un navire de guerre en mouvement, le coût de la perte d'un porte-avions de 10 milliards de dollars, des troupes et du matériel à bord - et de tout le prestige militaire américain qu'ils représentent - serait incommensurable. Cette menace pousse les planificateurs du Pentagone à envisager des moyens moins voyants de projeter la force, une étude interne du ministère de la défense recommandant de réduire la flotte de porte-avions du pays de 11 à 9, rapportait Defense News en avril. L'arsenal de missiles de l'APL est l'un des nombreux facteurs qui poussent les États-Unis à modifier leur dispositif de sécurité en Asie, le Pentagone envoyant des bombardiers B-1 à Guam, où ils sont plus vulnérables aux attaques. L'inquiétude face à cette menace a également contribué à la décision des États-Unis de se retirer du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire avec la Russie et de chercher à engager des pourparlers tripartites sur les armes avec la Chine. Avant même les lancements de cette semaine, la Chine avait discrètement intensifié les essais de missiles balistiques, dans une tentative apparente d'évaluer leurs capacités opérationnelles. Le pays a tiré plus de 100 missiles balistiques l'année dernière, soit plus de trois fois le record de la Corée du Nord, a rapporté Kyodo News en février, citant des personnes connaissant bien le sujet. La Chine possède ce que l'ancien commandant du Pacifique Harry Harris a appelé "la force de missiles la plus importante et la plus diversifiée au monde", avec des dizaines d'armes différentes en cours de développement. Le DF-21D peut parcourir plus de 1 500 kilomètres (900 miles), tandis que le DF-26 peut emporter des ogives sur une distance estimée à 4 000 kilomètres, ce qui est suffisant pour atteindre Guam. Il y a de "vraies questions" sur le fait de savoir si les transporteurs tueurs de la Chine fonctionnent réellement, a déclaré Ankit Panda, chercheur principal du programme de politique nucléaire de la Carnegie Endowment for International Peace à Stanton. Les derniers tests pourraient donner aux États-Unis une chance de mieux comprendre leurs performances. "La Force de fusées de l'Armée de libération du peuple a un programme de tests très chargé et il s'agissait probablement d'un entraînement opérationnel", a déclaré Panda. "Mais cela rappellera certainement aux gens à Washington que l'armée chinoise continue de se moderniser et peut refuser l'accès à la marine américaine dans certaines parties de l'Asie-Pacifique." -
4 avions qui tirent 8 meteor de loin contre un raid supérieur en nombre histoire de rééquilibrer la confrontation....
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
La complémentarité nucléaire hydrogène L’électricité nucléaire pourrait être le moyen idéal pour produire de l’hydrogène vert à grande échelle à des coûts acceptables. Elle est bas-carbone et le coût de fonctionnement des centrales est presque identique qu’elles fonctionnent à la moitié de leur puissance ou à pleine puissance. Il est difficile aujourd’hui d’échapper à l’effervescence autour du potentiel de l’hydrogène et plus particulièrement de l’hydrogène vert fabriqué sans carbone. Selon un calcul effectué par Axios, sur les 59 milliards de dollars annoncés récemment de financements d’énergie propre, pas moins de 19% seront consacrés à l’hydrogène. «J’ai rarement vu, voire jamais, une technologie qui bénéficie d’autant de soutiens autour du monde. Des pays qui ont des vues complétement différentes sur l’énergie et le climat se rejoignent en affirmant que l’hydrogène est la clé d’une technologie d’énergie propre», déclare Fatih Birol, le Directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie (AIE). «De mon point de vue, l’hydrogène est aujourd’hui ce que le solaire était il y a dix ans», ajoute-t-il. Utiliser de l’électricité bas carbone S’il est produit par électrolyse et avec de l’électricité qui émet peu de CO2, c’est un carburant propre qui peut remplacer les carburants fossiles dans de nombreuses activités, notamment le transport, l’industrie, le chauffage. Le point clé pour rendre cette filière économiquement viable consiste à utiliser de l’électricité bas carbone disponible en abondance à des coûts réduits. La baisse rapide du prix des panneaux photovoltaïques ouvre une voie. L’hydrogène vert est donc compris de façon assez générale comme un moyen de stocker l’électricité renouvelable éolienne et solaire, par nature intermittente et aléatoire. L’hydrogène n’est pas une source d’énergie en tant que telle, mais un vecteur qui facilite son utilisation, son transport et son stockage. Mais une autre solution existe, celle de l’électricité nucléaire qui produit sur l’ensemble de son cycle de vie aussi peu de gaz à effet de serre que l’éolien et beaucoup moins que le solaire. Il s’agit aussi d’une électricité générée en très grande quantité dans des installations qui fonctionnent pour des coûts presque équivalents qu’elles soient à moitié de leur puissance ou à pleine puissance. Cela permettrait de produire de l’hydrogène quand les réseaux électriques sont alimentés en priorité par des sources renouvelables intermittentes et aléatoires (éolien et solaire). Les «avantages inhérents au nucléaire» Aux Etats-Unis des expérimentations ont été lancées par l’Etat fédéral. L’an dernier, trois producteurs d’électricité et le Idaho National Laboratory ont été désignés pour adapter des centrales nucléaires afin de fabriquer de l’hydrogène par électrolyse. L’expérimentation doit durer deux ans. Une nouvelle étude de Energy Options Network, une organisation à but non lucratif qui promet les solutions énergétiques bas carbone, montre la logique d’une telle association. Selon l’étude d’EON, le nucléaire peut être la source d’énergie idéale pour fabriquer de l’hydrogène et utiliser à grande échelle serait même très compétitive avec le gaz naturel qui sert aujourd’hui à fabriquer la majeure partie de l’hydrogène produit, qui est lui, loin d’être vert. «Un des avantages inhérents du nucléaire par rapport à des technologies qui ne produisent que de l’électricité, comme l’éolien et le solaire photovoltaïque, est sa capacité à produire à la fois de l’électricité et de la chaleur, cela permet d’utiliser toutes les options existantes pour produire de l’hydrogène», souligne l’étude. Un modèle économique pour les petits réacteurs développés aux Etats-Unis et en Chine Le marché de l’hydrogène représente aujourd’hui à l’échelle mondiale plus de 100 milliards de dollars et devrait grandir rapidement et significativement, notamment via l’hydrogène vert. Il s’agit pour EON d’une opportunité pour la filière nucléaire qui correspond à ses avantages: une puissance électrique importante, continue et à des coûts amortissables sur longue période. L’étude souligne aussi que cela permet de construire des modèles économiques favorables notamment aux petits réacteurs nucléaires (voir la photographie ci-dessus) dont des prototypes sont développés aujourd’hui notamment aux Etats-Unis et en Chine. Pour donner une idée du potentiel, la demande en énergie du transport maritime, si elle basculait vers l’hydrogène, «nécessiterait jusqu’à 650 gigawatts de puissance électrique nucléaire», écrit EON. C’est six fois la capacité de production théorique de tous les réacteurs nucléaires en service aujourd’hui aux Etats-Unis et dix fois celle des réacteurs français. 20 000 volts sous les mers... Segula imagine une solution de stockage d'énergie sous-marine -
Vont-ils acheter des AESA pour leur Typhoon....