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armée de l'air égyptienne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Chris. dans Afrique / Proche Orient
Egypt could arm Rafale jets with Chinese long-range HD-1A missiles L'Égypte pourrait équiper ses avions Rafale de missiles chinois de longue portée HD-1A Un récent rapport israélien évoque la possibilité que la Chine fournisse à l'Égypte un missile de croisière à longue portée, le Guangdong Hongda HD-1A. Ces missiles, d'une portée supérieure à 290 kilomètres, pourraient être intégrés à la flotte de l'armée de l'air égyptienne, notamment aux chasseurs Rafale de fabrication française. Cette intégration donnerait à l'Égypte un avantage considérable en matière de projection de puissance régionale. Le rapport souligne les difficultés logistiques et politiques auxquelles le Caire est confronté pour acquérir des armements aussi avancés, tels que les missiles SCALP-EG, qui ont été fortement influencées par les efforts déployés par Israël et les États-Unis pour maintenir la supériorité militaire d'Israël dans la région. Malgré cela, l'Égypte a réussi à se procurer des missiles SCALP après d'intenses négociations, ce qui témoigne de sa dépendance croissante à l'égard de sources d'armement diversifiées autres que les puissances occidentales. Le missile Guangdong Hongda HD-1A se distingue par ses capacités de ciblage de précision et sa portée à longue distance, ce qui en fait un ajout potentiellement déterminant aux ressources militaires de l'Égypte. Ces armes doteraient l'Égypte de capacités de dissuasion accrues, en lui offrant la possibilité de frapper des cibles stratégiques bien au-delà de la portée des systèmes de missiles actuels. Compte tenu du partenariat croissant entre la Chine et l'Égypte, cet accord potentiel sur les missiles est considéré comme faisant partie d'une stratégie plus large du Caire visant à élargir ses options d'approvisionnement en armes, en particulier en s'éloignant des sources occidentales. Un moment mémorable du salon aéronautique de Zhuhai, dans le sud de la Chine, a suscité un intérêt considérable lorsqu'un modèle d'avion de chasse français Rafale a été exposé, armé de deux missiles Guangdong Hongda HD-1A. Cela a suscité des spéculations, certains considérant qu'il s'agissait d'un gadget marketing destiné à vanter les capacités de la Chine. Dans un premier temps, les experts ont jugé cette hypothèse improbable, invoquant des obstacles politiques dus aux relations tendues de la Chine avec les pays occidentaux. Toutefois, le rapport israélien suggère désormais un scénario plus réaliste dans lequel l'Égypte, contournant les restrictions occidentales, pourrait acquérir ces missiles chinois. Ce scénario s'inscrit dans la stratégie actuelle de l'Égypte visant à se procurer des armes de pointe auprès de pays non occidentaux, en élargissant ses partenariats militaires avec des pays comme la Chine. Des rapports récents font également état de discussions militaires croissantes entre l'Égypte et l'Italie, notamment en ce qui concerne l'acquisition de 24 Eurofighter Typhoons, d'une valeur d'environ 3 milliards de dollars. Cet accord, qui implique une collaboration entre le Royaume-Uni, l'Espagne, l'Italie et l'Allemagne, souligne la force de la coopération européenne dans le domaine de l'aviation militaire moderne. En outre, l'Égypte est sur le point d'atteindre l'objectif qu'elle s'est fixé de longue date, à savoir ajouter à sa flotte des chasseurs F-15 « Strike Eagle » de fabrication américaine, sous réserve de l'approbation des États-Unis. Si ces accords se concrétisent, l'armée de l'air égyptienne, qui compte déjà 54 avions à réaction Rafale de Dassault Aviation, verrait ses capacités considérablement renforcées, à côté d'un ensemble d'avions plus anciens hérités de l'ère soviétique. Toutefois, à l'instar de l'accord Rafale, l'Égypte pourrait ne pas recevoir le paquet complet lors de l'acquisition des Eurofighter Typhoons. L'exclusion probable de missiles air-air essentiels tels que le Meteor, ainsi que d'autres armes de pointe, montre bien que le Caire a toujours du mal à obtenir des capacités complètes pour ses nouveaux avions. La France et les États-Unis hésitent depuis longtemps à fournir à l'Égypte des systèmes d'armement à longue portée en raison de leur engagement à maintenir l'avantage militaire qualitatif d'Israël dans la région. Si Israël ne s'oppose peut-être pas à la vente d'Eurofighter Typhoon à l'Égypte, il est probable qu'il opposera son veto à toute transaction impliquant des missiles air-air tels que le Meteor ou d'autres armes à longue portée. Une résistance similaire a été observée lorsque l'Égypte a acquis des Rafales, Israël bloquant les efforts visant à équiper ces chasseurs de missiles avancés à longue portée. Malgré cela, la possibilité pour l'Égypte de contourner ces restrictions en se tournant vers la Chine devient de plus en plus plausible. Un accord portant sur le missile Guangdong Hongda HD-1A pourrait devenir réalité, renforçant encore la coopération militaire de l'Égypte avec la Chine et remettant en cause la domination occidentale dans la région. Le Guangdong Hongda HD-1A est un missile de croisière supersonique développé par la société chinoise Guangdong Hongda Blasting Co. Ltd. Il fait partie d'une famille de missiles basés sur une technologie issue de la rétro-ingénierie du missile ukrainien Bliskavka. Le HD-1A mesure 5,7 mètres de long, avec un diamètre de 375 mm, et a une masse au lancement d'environ 1 200 kg. Son système de propulsion comprend un statoréacteur à propergol solide qui lui permet d'atteindre une vitesse de Mach 3,5. Il peut ainsi parcourir des distances allant jusqu'à 290 km en quelques minutes. Le missile est équipé d'un système de guidage par imagerie infrarouge pour la variante aérienne et d'un radar actif pour la version de surface [HD-1C], qui est principalement conçue pour des rôles anti-navires. Le HD-1A s'appuie sur une suite de navigation combinant la navigation inertielle et les mises à jour GPS, garantissant une grande précision avec une probabilité d'erreur circulaire (CEP) de 20 mètres, améliorée à 10 mètres lorsqu'elle est assistée par un guidage infrarouge. L'ogive est un projectile à fragmentation de 240 kg, conçu pour causer des dommages importants aux cibles navales et terrestres. L'autodirecteur du missile est situé à l'avant et est complété par des surfaces de contrôle à l'arrière pour stabiliser le vol. En termes de déploiement, le HD-1A est généralement lancé à partir de plates-formes aériennes, bien que la variante de surface la plus importante [HD-1C] utilise un système de lancement de bidon monté sur un camion 10×10 avec un transporteur-érecteur-lanceur de quatre missiles [TEL]. Cette configuration permet de déplacer et de tirer rapidement des missiles, offrant ainsi une flexibilité opérationnelle et des temps de réponse rapides. La version HD-1C lancée en surface est dotée d'un propulseur qui accélère le missile jusqu'à des vitesses supersoniques. Les capacités du HD-1A en matière de radar et de capteurs améliorent la précision du ciblage dans des environnements complexes, avec une probabilité d'abattage d'un seul coup de 75 % contre des cibles navales en mouvement. Dans l'ensemble, le HD-1A est un système de missiles très performant, alliant vitesse, précision et polyvalence pour les frappes maritimes et terrestres. -
Could a 'Transactional' Trump Leverage the Pannun Case to Get Modi to Buy US Fighter Aircraft? Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Un Trump « transactionnel » pourrait-il tirer parti de l'affaire Pannun pour amener Modi à acheter des avions de combat américains ? Chandigarh : Le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis a donné lieu à des spéculations optimistes dans les cercles indiens de la sécurité et de la défense, selon lesquelles l'administration entrante tirera probablement un trait sur la question inquiétante de l'implication présumée du gouvernement Modi dans le projet d'assassinat du leader séparatiste sikh Gurpatwant Pannun à New York l'année dernière. Mais un groupe de vétérans et d'analystes militaires de haut rang estiment que toute volonté des États-Unis d'aider Modi à enterrer l'affaire Pannun pourrait avoir un prix élevé sous Trump, qui, selon eux, pourrait bien être l'achat pour 25 milliards de dollars de 114 chasseurs américains par l'armée de l'air indienne (IAF) dans le cadre de son besoin de longue date d'avions de combat multirôles (MRFA). « Le MRFA est nécessaire depuis hier », a déclaré le mois dernier le maréchal chef A.P. Singh lors de sa conférence de presse annuelle, soulignant l'importance de l'achat de plateformes en temps opportun pour maintenir la disponibilité opérationnelle de l'IAF en augmentant le nombre d'escadrons de chasse qui a chuté à 29-30 par rapport à l'effectif autorisé de 42 escadrons. Ce nombre diminuera encore prochainement, lorsque les deux derniers escadrons de MiG-21 « Bison » d'attaque au sol de l'IAF, qui comprennent 40 plates-formes anciennes, seront numérotés ou mis hors service l'année prochaine. Trois avions de combat d'origine américaine figurent parmi les huit chasseurs étrangers susceptibles d'être achetés par l'IAF dans le cadre du programme MRFA. Les analystes estiment que la future administration Trump pourrait éventuellement utiliser l'influence politique qu'elle a clairement sur Delhi pour acquérir un de ces types d'avions de combat comme une forme non déclarée de « prix du sang » pour Washington afin d'enterrer diplomatiquement le différend sur le Pannun. Certes, les procédures judiciaires concernant l'affaire Pannun se poursuivraient devant un tribunal de New York, mais on veillerait alors à protéger l'establishment indien, ses hauts fonctionnaires et ses dirigeants contre toute allégation embarrassante d'implication. Le président désigné, âgé de 78 ans, se considère comme un maître négociateur, capable de déployer son sens des affaires dans le monde de la politique et de la diplomatie, notamment en tirant parti d'accords potentiellement rentables, mais discutables, y compris ceux impliquant des alliés. Dans les cercles officiels de Delhi, le retour de Trump à la Maison Blanche est largement considéré comme un coup de pouce pour le gouvernement du Premier ministre Narendra Modi, dirigé par le BJP, qui a fait l'objet d'un certain nombre d'examens minutieux de la part de l'administration Biden et des législateurs démocrates pour avoir avidement propagé des politiques nationalistes hindoues à l'intérieur du pays et, plus récemment, pour avoir prétendument planifié et exécuté des exécutions extrajudiciaires aux États-Unis et au Canada. Une récente analyse de Bloomberg sur les dirigeants mondiaux qui profiteraient ou perdraient du retour de Trump, prévoit que Modi accepterait des accords avec Washington, sans les « doigts d'honneur » qu'il a dû endurer récemment. L'analyse indique également qu'une présidence Trump pourrait ne pas soutenir les efforts du Canada visant à tenir le gouvernement indien pour responsable du meurtre du leader séparatiste sikh Hardeep Nijjar en Colombie-Britannique en juin dernier. L'animosité et le dédain de Trump à l'égard du Premier ministre canadien Justin Trudeau sont bien connus. D'autres analystes diplomatiques et politiques à Delhi suggèrent que, pour diverses considérations sécuritaires, stratégiques et commerciales, et en accord avec l'équation personnelle de Trump avec Modi, la nouvelle administration de Washington se dirigerait sommairement vers la conclusion de l'affaire Pannun, bien que de manière avantageuse, peut-être en échange d'avions de combat américains pour l'IAF. Aucun responsable militaire ou sécuritaire indien, en activité ou à la retraite, ni aucun diplomate n'a souhaité être cité pour commenter une affaire aussi sensible et spéculative, mais beaucoup ont admis en privé qu'un tel « compromis » pourrait s'ensuivre, étant donné les propensions « transactionnelles » largement reconnues de Trump. « Trump est un homme d'affaires typique, qui cherche toujours à tirer parti de son avantage pour faire du profit », a déclaré un officier trois étoiles de l'IAF à la retraite. Il est tout à fait concevable que Trump, ainsi que son cabinet aux vues similaires, puisse envisager une « affaire mûre » en réglant l'affaire de Pannun pour satisfaire un gouvernement indien paniqué, en la manœuvrant à leur avantage pécuniaire. Mais après tout, en quoi consiste l'acquisition putative de la MRFA, qui sont les fabricants d'équipements d'origine (OEM) en concurrence pour cette acquisition et quelle est la position favorable des États-Unis dans cette course ? Les retards dans l'introduction de quelque 180 variantes de l'avion de combat léger Tejas (LCA) développé en interne pour remplacer les anciens chasseurs tels que les MiG-21 et les 100 à 115 Jaguars vieillissants du SEPECAT ont entraîné l'acquisition de l'AMRF, dont l'appel d'offres ou la demande de proposition devrait être envoyé en 2025 ou au début de l'année suivante. Lors de sa conférence de presse d'octobre, l'ACM Singh avait déclaré que si le LCA-Mk2 avancé en cours de développement et l'achat de l'AMRF progressaient comme prévu, l'IAF pourrait vraisemblablement déployer 36 escadrons de chasseurs au cours de la prochaine décennie. L'acquisition de la MRFA prévoit l'importation d'un escadron de 18 chasseurs en état de vol auprès d'un équipementier présélectionné, dont six ont répondu à la demande d'information (RfI) d'avril 2019 de l'IAF en proposant huit types de chasseurs. Les 96 plates-formes restantes seraient construites en interne, par le biais d'une entreprise collaborative entre l'équipementier qualifié et un partenaire stratégique national du secteur privé ou public, avec des niveaux d'indigénisation progressivement accrus dans le cadre d'un accord actuellement estimé à environ 25 milliards de dollars. Les OEM qui ont répondu à la demande d'information sont Dassault (Rafale), Eurofighter (Typhoon), le suédois Saab (Gripen-E), les russes United Aircraft Corporation et Sukhoi Corporation (respectivement MiG-35 « Fulcrum-F » et Su-35 « Flanker-E ») et les américains Boeing et Lockheed Martin (F/A-18E/F « Super Hornet » et F-15EX « Eagle » II et le F-21, principalement un dérivé modernisé du F-16, configuré spécialement pour l'IAF). Compte tenu de la guerre que mène actuellement la Russie en Ukraine, l'évaluation des deux chasseurs russes à forte consommation de carburant en vue d'une éventuelle acquisition par l'IAF était, selon des officiers supérieurs, « totalement irrationnelle », étant donné la grave crise des pièces détachées et des composants à laquelle l'armée est confrontée en ce qui concerne sa flotte de 259 Sukhoi-30 MKI multirôles et de quelque 60 chasseurs-bombardiers MiG-29UPG. « La druzhba ou amitié de Delhi avec Moscou, qui a soutenu le prodigieux commerce militaire bilatéral entre les deux, d'une valeur de plus de 70 milliards de dollars sur près de six décennies, semble avoir plus ou moins fait son temps », a déclaré Amit Cowshish, ancien conseiller en acquisitions du ministère de la défense. La route du matériel pour l'Inde, a-t-il ajouté, mène désormais aux fournisseurs occidentaux et à l'accélération de l'« atmanirbharta » pour développer des systèmes d'armes et des plates-formes en interne, ou à un mélange pratique des deux, souligné par des transferts de technologie. Le Typhoon avait déjà été rejeté lors des essais menés à partir de 2010 pour le contrat MMRCA (Medium Multi-Role Combat Aircraft) attribué à l'IAF en 2007, tout comme le Gripen-E, le F-18 américain et le F-16 - le précurseur du F-21 - sur de nombreux critères de capacité opérationnelle. En outre, le Gripen-E et le F-21 étaient des plates-formes monomoteurs et, bien que la demande d'offre de la MRFA n'ait pas spécifié de préférence pour des chasseurs dotés d'un seul ou de deux groupes propulseurs, la préférence intrinsèque de l'IAF pour ces derniers n'a pas été exprimée. Et bien que les équipementiers aient affirmé que leurs plates-formes avaient été équipées de technologies et d'armements plus récents et plus avancés, l'IAF, semble-t-il, n'a pas été impressionnée. Le Rafale, en revanche, est favorablement placé dans la course aux MRFA, non seulement en raison de sa supériorité opérationnelle sur ses concurrents, reconnue par l'IAF, mais aussi, plus récemment, par la marine indienne (N), qui négocie l'achat de 26 chasseurs Rafale-M (Maritime) pour un déploiement à bord de l'INS Vikrant, le porte-avions indien construit en interne. Dassault a également obtenu récemment l'autorisation d'établir une installation de maintenance, de réparation et de révision (MRO) entièrement autonome près de l'aéroport international de Jewar, dans l'Uttar Pradesh, afin de soutenir non seulement la flotte de l'IAF composée de quelque 50 chasseurs Mirage 2000H et, à terme, de 62 Rafale, dont 26 de l'IN, mais aussi les 42 Rafale' exploités par l'armée de l'air indonésienne, renforçant ainsi l'acceptabilité de l'appareil par l'AMRF. Une fois que l'achat de 26 Rafale-M par l'IN sera achevé, l'armée indienne disposera d'un total de 62 de ces chasseurs français dans son inventaire. « L'ajout de ces appareils est tout à fait logique sur le plan commercial, logistique et opérationnel », a déclaré l'analyste militaire Air Marshal V K “Jimmy” Bhatia (retd). En outre, l'acquisition de Rafales supplémentaires dans le cadre de l'achat du MRFA, a-t-il ajouté, permettrait également de rationaliser le catalogue de chasseurs diversifié de l'IAF, qui comprend actuellement sept types d'avions différents, dont le maintien constitue non seulement un défi logistique de longue haleine, mais aussi une affaire extrêmement coûteuse pour la force financièrement surchargée. Malgré ces avantages évidents en faveur du Rafale, une série d'articles de presse récents, citant des sources officielles anonymes, ont écarté l'avion de combat français de la compétition de la MRFA. En effet, l'achat par l'IAF en 2016 de 36 Rafale de Dassault pour un montant d'environ 59 000 milliards de roupies dans le cadre d'un accord de gouvernement à gouvernement est devenu très controversé et constitue un enjeu majeur des élections parlementaires de 2019. Des allégations de malversations dans le cadre de cet achat ont également été portées devant la Cour suprême, où les questions de sécurité nationale sont obligatoirement rendues publiques, affirment ces rapports. En outre, ces médias ont cité des responsables de la défense non identifiés qui ont déclaré que même dans le cas où le Rafale serait sélectionné comme choix de l'IAF pour la MRFA, Dassault ne serait pas en mesure de fournir les plates-formes pendant au moins 10 ans en raison de commandes en attente de la part de divers autres pays. De tels retards, ajoutent les rapports, compromettraient l'urgence du programme MRFA à combler rapidement le nombre d'escadrons de chasseurs de l'IAF, ce qui aurait un impact négatif sur les chances du Rafale dans le concours MRFA. Ce processus d'élimination ne laisse donc en lice que le chasseur multirôle bimoteur F-15EX Eagle II de Boeing, de la génération 4,5. Dérivé de l'ancien modèle McDonnell Douglas F-15E « Strike Eagle » datant du milieu des années 1980, l'Eagle II modernisé a effectué son premier vol en 2021 et est devenu opérationnel en juin 2024 avec l'armée de l'air américaine qui, jusqu'à présent, a passé une commande de 104 unités. L'éventuelle manœuvre de Trump « un avion contre un Panun » dépendrait finalement du degré de culpabilité de l'establishment sécuritaire indien dans l'assassinat du militant sikh et de la crédibilité de ses dénégations qui, jusqu'à présent, ont été quelque peu discutables. Si tel est le cas, il est concevable que le plan de Trump l'emporte et conduise peut-être l'IAF à dépenser 25 milliards de dollars pour acquérir un avion de combat d'origine américaine.
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La Roumanie achète 32 avions de chasse F35 pour plus de 6 milliards d'euros La Roumanie devient le vingtième Etat client de l'avion de chasse de Lockheed Martin. Le département d'Etat avait donné son feu vert à cette vente en septembre dernier. La Roumanie a concrétisé sa volonté de s'équiper d'avions de combat F35 américains. Le pays a signé jeudi 21 novembre un contrat pour 32 avions de chasse F-35 aux Etats-Unis, un investissement militaire historique, qui fait du voisin de l'Ukraine le vingtième pays client du F35 et le dixième Européen. L'investissement est estimé à 6,1 milliards d'euros, par le Parlement de Bucarest.
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Vous n'avez rien lu de ce que j'ai écrit je ne vais pas recommencer, c'est un peu long. « La technologie d'électrolyse du CEA qu'exploitera Genvia pour produire de l'hydrogène atteint 99% de rendement», se réjouit Julie Mougin du CEA-Liten https://www.usinenouvelle.com/article/la-technologie-d-electrolyse-du-cea-qu-exploitera-genvia-pour-produire-de-l-hydrogene-atteint-99-de-rendement-se-rejouit-julie-mougin-du-cea-liten.N1809792 ET https://forum.air-defense.net/topic/37559-un-plan-pour-décarboner-léconomie-mondiale/?do=findComment&comment=1618853 -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Je ne change pas la techno, j'utilise les centrales telles qu'elles sont. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Je couple la centrale nucléaire avec l'usine de production du carburant de synthèse et je fais de la cogénération en utilisant des électrolyseurs à haute pression et haute température. Et mes usines de production servent de STEP chimique pour réguler le prix de l'électricité tout en faisant des bénéfices. J'ai exposé tout ça dans mon plan pour décarboner l'industrie mondiale. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Ah oui : et cela augmenterait le prix de l'électricité en Allemagne ce qui renforcerait notre position concurrentielle. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
A 0,97 le litre de Diesel tu n'achète pas toi? -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
1. Production de carburant de synthèse avec 85 TWh d'électricité Dans nos calculs précédents : 1 litre de carburant de synthèse nécessite 11,69 kWh. Ainsi, avec 85 TWh (85 milliards de kWh) : Quantité de carburant produite= 85×109 kWh/11,69 kWh par litre = 7,27 milliards de litres Cela correspond à environ 7,27 millions de m³ de carburant de synthèse. 2. Valeur économique de cette production Le prix de vente estimé du carburant de synthèse dans nos développements précédents était d'environ 0,97 €/litre. La valeur totale de cette production serait donc : Valeur totale=7,27×109 litres×0,97 €/litre≈7,05 milliards d’euros 3. Impact sur l'emploi et les revenus fiscaux Emplois directs et indirects : Selon nos estimations précédentes, la construction et l'exploitation des usines de production de carburant de synthèse génèrent environ 375 emplois directs par Mt de CO₂ capturé et traité. Avec 85 TWh, on capturerait environ 21 Mt de CO₂, ce qui représente : Emplois directs=375×21≈7875 emplois directs Avec un facteur multiplicatif de 1,75 pour les emplois indirects et induits, cela porterait le total à environ 13 780 emplois. Revenus fiscaux : En prenant une base moyenne de 15 % du coût salarial en revenus fiscaux (impôts), 20% du coût salarial en TVA, 40% du coût salarial en cotisations sociales, ces emplois pourraient générer : Revenus fiscaux≈13780 emplois×40000 €/an/emploi×0,75≈ 413 millions d’euros/an 4. Impact sur la balance commerciale Actuellement, l’électricité exportée est vendue à un prix moyen d’environ 60 €/MWh. La valeur totale des exportations électriques est donc : Valeur des exportations=85×106 MWh×60 €/MWh≈5,1 milliards d’euros En comparaison, la production de carburant de synthèse permettrait d’ajouter 7,05 milliards d’euros à la balance commerciale. L’impact net sur la balance commerciale serait donc : Gain net=7,05−5,1≈1,95 milliard d’euros Conclusion Si la France utilisait les 85 TWh d'électricité exportée pour produire du carburant de synthèse : Cela créerait environ 13 780 emplois directs et indirects. Les revenus fiscaux augmenteraient d'environ 413 millions d'euros/an. La balance commerciale gagnerait un supplément net de près de 1,95 milliard d'euros. Ce scénario met en évidence l'intérêt économique et industriel d'un usage stratégique de l'électricité excédentaire, notamment pour la production de carburants de synthèse. Cela pourrait également renforcer l'indépendance énergétique tout en valorisant les capacités électriques de la France. Et cela permettrait de réduire l'empreinte écologique officielle de la France (bien que cela ne changerait rien au niveau mondial). -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Sans compter que @g4lly et quelques autres veut nous compter le carbone de nos importations dans notre empreinte écologique et j'ai argué que si on importait du vice on exportait de la vertu: https://forum.air-defense.net/topic/12390-australie/?do=findComment&comment=1750628 Ce que je voulais dire peut être mieux compris avec cet exemple, l'électricité décarbonée qu'on exporte permet aux autres pays de ne pas démarrer des centrales thermiques pour gérer leur pointes de consommation et donc de réduire leur empreinte écologique. Est ce qu'on nous compte ces exportations comme un puit de carbone? Je ne crois pas et c'est pourquoi je pense qu'on ne devrait pas nous compter les émissions des autres que les autres ont d'ailleurs sans doute déjà compté dans leur propre empreinte écologique. -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
La France s’engage vers un nouveau record d’exportation d’électricité Le gestionnaire du réseau RTE prévoit des exportations d’électricité records grâce au retour des productions nucléaire et hydraulique dans un contexte de consommation en berne. Le 13 novembre, RTE a publié ses prévisions pour le passage de l’hiver 2024-2025 et a annoncé un nouveau record d’export d’électricité. En effet, le gestionnaire a confirmé[1] lors de sa présentation que les exports représentaient déjà 78 TWh, dépassant la performance de 2002 (77 TWh). Ce chiffre devrait se trouver autour de 85 TWh à la fin de l’année 2024 selon RTE. Ceci « est le résultat d’une production d’électricité bas carbone française (nucléaire et renouvelables), compétitive sur les marchés européens et donc fréquemment sollicitée pour alimenter la consommation européenne », précise RTE. Au rebond de la production s’ajoute une consommation électrique qui reste en France 6 % en deçà de la moyenne des années 2014-2019. Le retour en force de la production nucléaire Après des années 2022 et 2023 perturbées par les impacts de la crise sanitaire et de la découverte d’un phénomène de corrosion sous contrainte sur certains réacteurs, la disponibilité du parc nucléaire remonte avec près de 50 GW début novembre 2024 « soit 9 à 17 GW de plus qu’en 2023 » précise RTE. « Le retour de neuf réacteurs supplémentaires entre début novembre et le mois de janvier devrait également permettre d’augmenter la disponibilité du parc au cœur de l’hiver, bien que l’arrêt pour maintenance de huit réacteurs soit prévu en février ». Fort de ce constat, EDF a relevé début septembre et a confirmé un mois plus tard la cible de 340-360 TWh pour la production électronucléaire contre les 320,4 TWh effectivement produits en 2023[2]. Les barrages hydroélectriques pourraient eux aussi battre des records Alors que les barrages avaient fortement été impactés par la sécheresse en 2022, RTE note une « production hydraulique exceptionnellement haute qui s’établit à plus de 62 TWh à fin octobre, soit environ +40% par rapport à la même période en 2023 ». La production hydraulique de cette année pourrait ainsi s’approcher du record des quinze dernières années (2013, 75,5 TWh). -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Retour du nucléaire en Allemagne : un débat relancé à la veille des élections anticipées ? Alors que des élections anticipées sont attendues au début de l’année 2025, la CDU/CSU, favorite des sondages, propose un retour du nucléaire. Dans un pays qui a fermé ses derniers réacteurs en 2023, la question divise encore. À la COP29, qui se tient cette semaine à Bakou en Azerbaïdjan, le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, interrogé sur la politique énergétique en Allemagne, a estimé que revenir à l’énergie nucléaire serait “logique” et “rationnel”. Ces déclarations résonnent particulièrement fort à l’heure où la CDU/CSU, principal parti d’opposition, est, selon les sondages, la favorite des élections législatives anticipées qui se profilent. L’éclatement de la coalition Olaf Scholz va se soumettre le 16 décembre à un vote de confiance des députés du Bundestag. Une épreuve présentée comme perdue d’avance à cause de l’éclatement de la coalition entre les sociaux-démocrates, les écologistes et les libéraux[1]. Le président allemand, Frank-Walter Steinmeier, aura ensuite trois semaines pour dissoudre la Chambre basse. La CDU/CSU, qui avait pourtant initié la sortie du nucléaire après la catastrophe de Fukushima en 2011 sous l’égide d’Angela Merkel, se positionne aujourd’hui pour une réouverture[2] du dossier nucléaire. Un retour du nucléaire ? Bien que l’accident de Fukushima en mars 2011 ait alimenté des politiques énergétiques en défaveur de l’atome, l’Allemagne est le seul pays au monde à avoir procédé à la fermeture de tous ses réacteurs nucléaires. L’exploitation des trois derniers, fermés en avril 2023, avait été rallongée de quelques mois en pleine crise énergétique et les critiques se faisaient alors de plus en plus virulentes. Selon certains sondages, deux Allemands sur trois étaient contre l’arrêt des derniers réacteurs nucléaires à cette échéance. C’est dans ce nouveau contexte que les conservateurs de la CDU/CSU proposent, dans leur programme fondamental[3] intitulé “Vivre en liberté”, de réintégrer cette énergie désormais considérée comme indispensable dans le mix énergétique, en soutien aux énergies renouvelables. Un système de coalition complexe Néanmoins, le système politique allemand, fondé sur des coalitions, rendra les futures négociations de coalitions complexes. La question énergétique pourrait bien être un point de fracture dans les alliances à venir. Si la CDU/CSU partage certains points communs avec le SPD (socio-démocrate) — comme le développement des infrastructures d’hydrogène et la modernisation des réseaux énergétiques —, les deux partis restent profondément divisés sur le nucléaire. Pourtant, selon une étude récente publiée dans l’International Journal of Sustainable Energy, si l’Allemagne avait maintenu ou renforcé son parc nucléaire, elle aurait pu décarboner son économie de manière plus efficace et économiser des centaines de milliards d’euros. Ces conclusions alimentent le débat, renforçant l’idée que l’abandon du nucléaire pourrait avoir été une erreur stratégique. -
Tu imagines le nombre de MRTT que Airbus va vendre en Europe si celui ci devient un outil de maintenance du F-35.
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Ben il y a un mec qui a craché dans la soupe alors ça va être plus difficile pour les supporters du F-35 de dire non non c'est pas vrai c'est de la désinformation etc... Et tu imagine les délais pour la maintenance: l'avion s'est pris une éraflure, il faut corriger ça pour la furtivité, il faut l'envoyer aux US pour reprendre la peinture. je suppose qu'il faut mobiliser un avion ravitailleur pour ça
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Arrivée de deux Rafale DG biplace à Tanagra De Savvas D. Vlassis Avec l'arrivée aujourd'hui de deux chasseurs Rafale au 114 Fighter Wing à Tanagra, non seulement les effectifs du 332e Escadron augmentent encore à 22 appareils, mais la livraison du lot de 6 chasseurs neufs se rapproche de plus en plus. Il s'agit de Rafale DG biplaces portant les numéros d'empennage « 443 » et « 444 », qui font le voyage depuis la France, alors que, formellement, les avions appartiennent à l'Armée de l'Air ici pour vingt jours ! La branche de l'Armée de l'Air en France a procédé les 29 et 30 octobre aux procédures de réception des deux biplaces Rafale DG. Cependant, plusieurs jours ont été nécessaires pour le voyage en Grèce. La raison en était les jours fériés consécutifs en France et en Grèce début novembre : Toussaint (Toussaint), Archange Michel, Journée de l'Armée de l'Air et anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale (Armistice). Le calendrier de livraison devrait être achevé dans les délais.
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Ce n'est pas un problème de stabilité de l'avion quand il vole: même si l'avion se pose bien à plat, si il y a une dissymétrie de masse les efforts sur les jambes de train seront dissymétriques, ce qui pose un problème si c'est trop fort, et l'atterrissage sur porte avion est un crash contrôlé. Cela ne pose pas de problème de sécurité d'ailleurs, cela réduit la durée de vie de la cellule. -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Quand tu tire un Scalp depuis un Rafale tu ne sens même pas la séparation. La différence de qualité avait été noté ici : https://forum.air-defense.net/topic/20630-rafale/?do=findComment&comment=1589684 Avec mon complément d'information juste en dessous. -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Il pourrait en emporter 5 mais ils n'aurait pas beaucoup d'autonomie. C'est l'avantage des FCS de Dassault, les FCS compensent tout. par contre pour l'Inde qui voudrait attaquer le Pakistan, il n'y a pas besoin d'une grande autonomie. -
Les turcs négocient pour obtenir des F-35 mais le Kill switch non seulement existe mais est encore pire que ce à quoi on a jamais pensé L'ancien président de l'agence turque d'acquisition de défense SSB sur des conditions préalables ridicules pour les F-35 : Payer des sommes énormes pour le F-35 n'est pas le problème, c'est la dépendance totale à l'égard des États-Unis que cela crée. Nous ne pouvions pas faire voler nos avions en 1974* parce que les États-Unis refusaient de fournir leurs pneus de secours ! Même les plus petites sanctions peuvent avoir des conséquences considérables. * Se référant probablement à leur flotte F-4 Phantom. F-35 nécessite des mises à jour régulières du code et un mot de passe unique juste pour *MISE EN MARCHE*, qui est fourni aux clients par les États-Unis *QUOTIDIEN*. Et s'ils arrêtent de vous le donner ? Les États-Unis supervisent et contrôlent entièrement à distance l'ensemble de votre chaîne d'approvisionnement en F-35. Ce dont vous avez besoin, quand vous en avez besoin, combien, vous ne leur dites pas, ils vous le disent. Et il faut payer pour l'obtenir. Un centre de révision des moteurs F-35 allait être créé en Turquie. Mais les Américains ont déclaré qu'il y aurait une section restreinte qui emploierait uniquement du personnel américain et qui serait interdite au personnel turc. De quel type de partenariat s’agit-il ? Aucun accès technique aux parties chaudes des moteurs. Pas d'accès à l'avionique ou aux codes sources fournis par les États-Unis. Même la vieille peinture du RAM qui est grattée avant d'être repeinte, l'avion est renvoyé aux États-Unis pour nous empêcher de procéder à une ingénierie inverse des produits chimiques.
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
C'est un problème de Domaine d'emploi: c'est déjà très restreint pour le Storm Shadow parce qu'il y a une instabilité au largage et qu'au début ils étaient obligés de larguer deux missiles en même temps pour que la séparation soit équilibrée! alors le Taurus qui est plus lourd ne passe pas. En fait ils ont développé un kit aérodynamique pour améliorer tout ça et ils ont prétendu que c'était pour améliorer la maniabilité à basse vitesse car ils ne pouvaient pas avouer qu'ils ne pouvaient pas larguer des missiles lourds, mais personne n'a acheté le kit aérodynamique... -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
87. Depuis quand le gouvernement fédéral négocie-t-il avec le gouvernement britannique au sujet d'un échange d'anneaux TAURUS, comme cela devrait être fait selon les médias. (table.media/security/ne ws/ringtausch-koennte-streit-um-taurus-lieferen-beenden/) ? Il est fait référence à la réponse du gouvernement fédéral à la question écrite 63 sur les imprimés du Bundestag 20/10233. 95. Le gouvernement fédéral envisage-t-il de développer le NGF dans le NGWS afin que les avions de combat puissent emporter des missiles de croisière TAURUS ? Les demandes spécifiques concernant l’armement du NGF n’ont pas encore été déterminées. 96. Le gouvernement fédéral peut-il confirmer que le long veto du gouvernement fédéral sur les exportations d'armes vers l'Arabie saoudite ne peut sans aucun doute garantir l'exportation d'avions EUROFIGHTER vers le Royaume d'Arabie saoudite ? (www.welt.de/wirtschaft/plus249850440/Ruestungsmesse-in-Riad-Deutschlan d-droht-Denkzettel-fuer-Eurofighter-Blockade.html) ? Le gouvernement fédéral ne prend pas position sur les questions spéculatives. 97. Le gouvernement fédéral est-il actuellement en pourparlers avec l'Arabie saoudite au sujet d'une éventuelle exportation d'avions EUROFIGHTER supplémentaires ? 99. À la connaissance du gouvernement fédéral, jusqu'à quand les avions EUROFIGHTER approuvés pour l'exportation vers l'Arabie saoudite arriveraient-ils en Arabie saoudite ? 101. Le gouvernement fédéral envisage-t-il de renoncer à son veto sur l'exportation de l'EUROFIGHTER – dans le contexte de l'autorisation américaine de fournir des avions F-16 – vers la Turquie et, si oui, quand (www.w elt.de/wirtschaft/plus249850440/Ruestungsmesse-in-Riad-Deutschlanddroht-Denkzettel-fuer-Eurofighter-Blockade.html) ? Les questions 97, 99 et 101 reçoivent une réponse ensemble. Le gouvernement fédéral suit l'arrêt de la Cour constitutionnelle fédérale du 21 octobre 2014 (BVerfGE 137, 185) et informe le Bundestag allemand des décisions finales d'approbation positive ainsi que des données clés des projets d'exportation approuvés. Le gouvernement fédéral s'abstient donc de fournir d'autres informations et renvoie aux déclarations faites par les représentants du gouvernement fédéral lors de la conférence de presse gouvernementale du 8 janvier 2024. 98. Le gouvernement fédéral approuvera-t-il officiellement l'exportation d'avions EUROFIGHTERN vers l'Arabie saoudite et, si oui, quand ? Il est fait référence à la réponse à la question 97 et à la réponse du gouvernement fédéral à la question orale 16 dans le procès-verbal 20/146 de la séance plénière. 100. Le gouvernement fédéral peut-il exclure que l'Arabie saoudite ait également reçu une offre de la France pour l'achat d'avions de combat Rafale ? (www.welt.de/wirtschaft/plus249850440/Ruestungsmesse-in-Riad-Deu tschland-droht-Denkzettel-fuer-Eurofighter-Blockade.html) ? Le gouvernement fédéral ne prend pas position sur les questions spéculatives. 102. Comment le gouvernement fédéral veille-t-il à ce que les connaissances acquises au cours des dernières années dans l'industrie aéronautique nationale ne soient pas perdues en raison des écarts prévisibles dans les commandes entre la fin de la production de l'EUROFIGHTER Tranche 4 et le début de la production en série de le NGWS ? Le gouvernement fédéral ne prend pas position sur les questions spéculatives. 103. Le gouvernement fédéral envisage-t-il de mettre en service une tranche 5 d'EUROFIGHTER et, si oui, quand devrait-il être mis en service ? L’objectif est de mettre en service une tranche 5. 104. Comment la Confédération veille-t-elle à ce que les ressources fiscales utilisées soient utilisées de manière efficace et innovante, malgré la configuration très complexe avec un grand nombre de participants au projet, pour les futures compétences requises dans le SCAF ? Le gouvernement fédéral intègre les intérêts allemands dans les négociations du programme, notamment du point de vue de l’efficacité et de l’innovation. Les accords de partage des coûts et du travail entre les nations garantissent que les fonds apportés par l'Allemagne profitent à l'industrie allemande. -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
82. Le gouvernement fédéral peut-il exclure la possibilité que le NGF qui sera développé dans le NGWS soit simplement une simple révision technique et une nouvelle conception de systèmes existants, tels que le F-35 ? Il n’est pas prévu de se contenter d’une simple révision technique et d’une refonte des systèmes existants avec le chasseur de nouvelle génération (NGF) qui sera développé dans le NGWS. 83. La planification actuelle du projet NGWS/FCAS, selon lequel le NGF en particulier doit être introduit dans le NGWS dans les années 2040, est-elle encore d'actualité compte tenu de la situation de menace actuelle ou des solutions intermédiaires sont-elles nécessaires pour le début des années 2030 ? Et si oui, quelle est la position du gouvernement fédéral sur le développement progressif du système d'armes EUROFIGHTER basé sur le programme Long Term Evolution (LTE) ? La planification actuelle concernant le projet NGWS/FCAS est contemporaine. Le programme EUROFIGHTER prévoit un développement progressif des compétences grâce à l'introduction de packages de développement ultérieurs. 84. Le gouvernement fédéral envisage-t-il de procéder à une mise à niveau correspondante de l'EUROFIGHTER de l'armée de l'air afin d'intégrer l'EUROFIGHTER dans un système opérationnel en réseau et donc dans le FCAS ? a) Si oui, pour quelles tranches EUROFIGHTER de la Bundeswehr la mise à niveau correspondante vers une gestion opérationnelle intégrée et en réseau est-elle prévue ? b) Si oui, combien d'avions EUROFIGHTER de la Bundeswehr devraient bénéficier d'une telle mise à niveau pour un contrôle opérationnel intégré et en réseau ? Les questions 84 à 84b reçoivent une réponse ensemble. L'EUROFIGHTER dispose déjà de capacités de transmission de données normalisées par l'OTAN. En fonction des besoins opérationnels d'un SCAF, une décision est prise concernant la conversion des tranches, qualitativement et quantitativement. c) Le programme EUROFIGHTER Long Term Evolution crée-t-il les prérequis pour cela, notamment en termes d'architecture du cockpit, des ordinateurs et des systèmes ? Les éventuelles mesures d'intégration dans un futur SCAF font l'objet d'une analyse permanente. d) Le compromis trouvé avec la Grande-Bretagne et l'industrie britannique pour le LTE est-il adapté à la stratégie EUROFIGHTER de l'Armée de l'Air (possibilité d'homologation, évolutivité) La conception du contenu pour LTE n'a pas encore été finalisée avec les partenaires du programme. e) Un soutien national ou un développement ultérieur de l'industrie nationale allemande sont-ils généralement possibles pour l'EUROFIGHTER LTE et dans le but d'intégrer la gestion des opérations en réseau, ou cela signifie-t-il qu'il existe une dépendance permanente à l'égard de l'industrie britannique ? Le développement et le soutien ultérieurs de l'EUROFIGHTER proviennent généralement du programme quadrinational et avec différentes responsabilités nationales. L'industrie britannique est responsable de la structure du cockpit, de l'informatique et de l'avionique. Néanmoins, des programmes nationaux de développement ultérieur sont en cours d'élaboration dans le centre national de support du système et introduits dans la flotte allemande EUROFIGHTER. 85. À la connaissance du gouvernement fédéral, les avions F-35A commandés aux États-Unis devraient-ils être mis à niveau vers un contrôle opérationnel intégré et en réseau afin d'être intégrés dans le FCAS ? Le F-35A est fondamentalement capable d’effectuer des opérations intégrées et en réseau. L'intégration du F-35A dans le FCAS fait l'objet d'études en cours. 86. Les préoccupations de la France concernant l'achat de F-35A pour la Bundeswehr qui a été initié jusqu'à présent et l'achat potentiel d'avions F-35A supplémentaires, selon lesquelles la France utilise l'achat initié de 35 F-35A comme un signal négatif pour la poursuite du projet commun NGWS /FCAS a interprété, justifié de l'avis du gouvernement fédéral (table.media/security/analyse/prioritization-of-f-35-cares-for-new-irritations-at-fcas/) ? Le gouvernement fédéral ne prend pas position sur les questions spéculatives. -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
d) Si oui, quelle importance cela revêt-il selon le gouvernement fédéral pour le développement d'EURODROHNE ? e) Si oui, le projet de la DGA française de lancer un programme de développement de Loyal Wingmans affectera-t-il les Pillars RC et ACC, dont l'Allemagne est le principal développeur, dans le projet NGWS/FCAS ? 69. Le gouvernement fédéral peut-il confirmer les informations parues dans la presse sur les déclarations du ministre français de la Défense selon lesquelles la coopération antérieure entre la France, l'Indonésie, l'Inde et les Émirats arabes unis concernant l'avion Rafale du constructeur français Dassault concerne le développement du cinquième génération de l'avion Rafale (standard F-5) et peut-être même la sixième génération de l'avion Rafale (standard F-6) d'ici la fin des années 2030 (www.defense-aerospace.com/signs-point-to-germany-and-airbus-bein g-eased-out-of-scaf/) ? a) Si oui, cela met-il en danger le projet NGWS/FCAS entre l'Allemagne, la France et l'Espagne, notamment en ce qui concerne le NGF ? b) Si oui, quelle importance cela a-t-il pour le calendrier du projet NGWS/FCAS ? c) Si oui, quelle importance cela a-t-il pour la répartition des coûts entre l'Allemagne, la France et l'Espagne dans le cadre du projet NGWS/FCAS ? d) Si oui, quelle est la position du gouvernement fédéral face aux déclarations du ministre français de la Défense sur l'éventuel développement et production d'une sixième génération d'avions Rafale (standard F-6) à partir du milieu des années 2030, qui placerait alors la France aux côtés des NGF dans le NGWS aurait-il un autre type de chasseur de sixième génération ? Les questions 68 à 69d reçoivent une réponse ensemble. Le gouvernement fédéral ne dispose d'aucune information à ce sujet. 70. Le gouvernement fédéral peut-il confirmer que la France a l'intention de développer et de produire une cinquième génération d'avions Rafale (standard F-5) ? 71. Le gouvernement fédéral peut-il confirmer que la France a l'intention de développer et de produire un avion Rafale de sixième génération (norme F-6) aux côtés du NGF dans le NGWS, comme l'ont annoncé les ministres de la Défense allemand et français le 26 avril 2024 et ont également discuté de la manière de procéder. avec le projet franco-allemand d'avion de combat FCAS (www.bmvg.de/de/aktuelles/ruestungsvorhab en-forttritte-mgcs-projekt-5776198) ? Les questions 70 et 71 reçoivent une réponse ensemble. Le gouvernement fédéral ne commente pas les intentions des autres États. 72. Le gouvernement fédéral peut-il exclure que la France développe et produise une sixième génération d'avions Rafale (standard F-6) aux côtés du NGF dans le NGWS ? Le gouvernement fédéral ne dispose d'aucune information à ce sujet. 73. Le colonel Jörg Rauber, chef de département au BMVg et responsable du projet NGWS/FCAS, parle au nom du gouvernement fédéral lorsqu'il déclare que « le F-35A […] est la première partie du FCAS » (table.media/ sécurité/analyse/priorisation-du-f-35-cause-de-nouvelles-irritations-au-fcas/) ? Dans le cadre de la spécification de la gestion opérationnelle en réseau du futur réseau FCAS, il faudra décider progressivement quand quels transporteurs et moyens aéroportés seront intégrés. 74. De l'avis du gouvernement fédéral, l'acquisition d'avions de combat F-35A est-elle essentielle au succès du SCAF ? 75. Quelle importance militaire l’achat d’avions de combat F-35A a-t-il pour le projet NGWS/FCAS ? Les questions 74 et 75 reçoivent une réponse ensemble. Le F-35A exécute des tâches dans les rôles qui lui sont assignés qui complètent le NGWS et d'autres systèmes pour générer des avantages opérationnels et permettre un FCAS globalement efficace. 76. Quelle importance industrielle l’achat d’avions de combat F-35A a-t-il pour le projet NGWS/FCAS ? L’achat du F-35A n’a aucune signification industrielle directe pour le projet NGWS/FCAS. 77. Quelle importance technologique l’achat d’avions de combat F-35A a-t-il pour le projet NGWS/FCAS ? L’acquisition du F-35A n’a aucune signification technologique directe pour le projet NGWS/FCAS. 78. Quelles sont les exigences de l'utilisateur allemand concernant le NGF dans le NGWS ? 79. Quels sont les besoins des utilisateurs français pour le NGF dans le NGWS ? 80. Quelles sont les exigences de l'utilisateur espagnol concernant le NGF dans le NGWS ? Les questions 78 à 80 reçoivent une réponse ensemble. Les exigences initiales du NGWS sont contenues dans les documents d’exigences préparés en collaboration avec les partenaires du programme. Ceux-ci seront développés et précisés au cours du programme. Ces documents décrivent le futur NGWS. 81. Les exigences éventuellement différentes des trois utilisateurs sont-elles prises en compte de manière égale dans les projets de NGF existants dans le NGWS ? Oui -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
56. une fusion du NGWS/FCAS et du GCAP est-elle politiquement réalisable du point de vue du gouvernement fédéral ? Le gouvernement fédéral ne peut pas se prononcer sur la faisabilité politique pour d'autres nations. 57. une fusion du NGWS/FCAS et du GCAP est-elle, du point de vue du gouvernement fédéral, réalisable en termes de programmation, compte tenu de la part de travail des industries concernées ? Il n'est pas possible de se prononcer à ce sujet sans discussions concrètes préalables avec les nations participant au programme GCAP. 58. quelle est la position de la France, à la connaissance du gouvernement fédéral, sur une fusion des projets NGWS/FCAS et GCAP ? 59. quelle est la position de l'Espagne, à la connaissance du gouvernement fédéral, sur une fusion des projets NGWS/FCAS et GCAP ? 60) Quelle est, à la connaissance du gouvernement fédéral, la position de la Grande-Bretagne sur la fusion des projets NGWS/FCAS et GCAP ? 61) Quelle est, à la connaissance du gouvernement fédéral, la position de l'Italie sur la fusion des projets NGWS/FCAS et GCAP ? 62. quelle est, à la connaissance du gouvernement fédéral, la position du Japon sur une fusion des projets NGWS/FCAS et GCAP ? 63. le gouvernement fédéral peut-il confirmer les informations parues dans la presse concernant une coopération entre la France et l'Inde dans le domaine de l'armement, selon lesquelles un accord de coopération entre les deux gouvernements dans le domaine de la défense a été signé dans le domaine des technologies aérospatiales avancées, et si oui, de quoi s'agit-il à la connaissance du gouvernement fédéral (www.defense-aerospac e. com/signs-point-to-germany-and-airbus-being-eased-out-of-scaf/) ? a) Dans l'affirmative, le gouvernement fédéral y voit-il une concurrence au NGWS/FCAS ? b) Dans l'affirmative, depuis quand le gouvernement fédéral a-t-il connaissance de l'accord de coopération entre la France et l'Inde dans le domaine des technologies aéronautiques avancées, qui vise à développer un système de combat aérien commun pour l'avenir ? c) Si oui, le gouvernement fédéral en a-t-il été informé par la partie française et à quel moment cette information a-t-elle été donnée par le gouvernement français ? Il sera répondu conjointement aux questions 58 à 63c. Le gouvernement fédéral ne dispose d'aucune information. d) Dans la négative, le gouvernement fédéral peut-il exclure pour l'avenir que la France et l'Inde développent et produisent ensemble un projet concurrent au NGWS/FCAS ? e) Le gouvernement fédéral peut-il exclure que la société Dassault utilise les résultats du projet trinational FCAS pour un projet commun avec l'Inde (www.opex360.com/2023/07/15/la-france-et-lind e-vont-soutenir-le-developpement-conjoint-dun-systeme-de-combat-ae rien) ? Les questions 63d et 63e reçoivent une réponse commune. Non. 64. Si l'Inde se montrait intéressée par une participation au projet NGWS/FCAS, le gouvernement fédéral accepterait-il que ce pays devienne le principal développeur de l'un des sept piliers et, dans l'affirmative, pour quels piliers une coopération avec l'Inde est-elle envisageable selon le gouvernement fédéral (veuillez en dresser la liste) ? 65. si l'Inde se montrait intéressée par une participation au projet NGWS/FCAS, le gouvernement fédéral accepterait-il que ce pays devienne un partenaire principal dans l'un des sept piliers et, dans l'affirmative, pour quels piliers une coopération avec l'Inde est-elle envisageable selon le gouvernement fédéral (veuillez en dresser la liste) ? 66 Si l'Inde se montrait intéressée par une participation au projet NGWS/FCAS, le gouvernement fédéral accepterait-il que ce pays soit admis en tant que partenaire principal dans l'un des sept piliers et, dans l'affirmative, pour quels piliers une coopération avec l'Inde est-elle envisageable selon le gouvernement fédéral (veuillez en dresser la liste) ? Les questions 64 à 66 recevront une réponse commune. Le gouvernement fédéral ne prend pas position sur les questions spéculatives. 67 Le gouvernement fédéral prévoit-il de mener à l'avenir ses propres projets d'armement en collaboration avec l'Inde ? Le gouvernement fédéral ne prévoit actuellement aucune coopération commune en matière de développement ou d'acquisition avec l'Inde. 68. le gouvernement fédéral a-t-il connaissance de projets de la Direction générale de l'armement (DGA) française selon lesquels celle-ci a lancé un programme de développement de drones en complément des capacités du Rafale (www.defense-aerospace.com/signs-point-t o-germany-and-airbus-being-eased-out-of-scaf/) ? a) Si oui, quelle est l'importance, selon le gouvernement fédéral, pour le développement du NGF dans le cadre du projet NGWS/FCAS ? b) Si oui, quelle est l'importance, selon le gouvernement fédéral, pour le développement du RC dans le cadre du projet NGWS/FCAS ? c) Si oui, quelle est l'importance, selon le gouvernement fédéral, pour le développement de l'ACC dans le cadre du projet NGWS/FCAS ?