TarpTent

Pluton tout en montagnes et en plaines de glace, filmée à environ 18 000 kms d’altitude par New Horizons.

Après recherche, j’ai confirmation que les Raptor RVac sur le Starship 24 sont basés sur le Raptor 2 (depuis juillet 2022 en fait, j’avais zappé l’information).

Quelques gros enjeux de ce 1er vol, pour rappel : - ça sera le 1er vol de réacteurs Raptor 2 - ça sera le 1er vol d’un Booster (et de fait également 1ère manoeuvre d’atterrissage, même si simulée au-dessus de l’eau) - 1er décollage de l’ensemble Booster + Starship - 1er passage de MaxQ - 1er vol au-delà des 25 kms pour Starship (avec allumage des Raptor RVac* en prime) - 1ere rentrée atmosphérique pour Starship - 1er tir pour la Tour de Lancement … rien que de très habituel en somme. => MECO : Main Engine Cut Off // SES : Second [stage] Engine Start // SECO : Second [stage] Engine Cut Off *Je m’aperçois que je ne suis pas sûr que la version RVac des Raptor montés sur S24 soit basée sur le Raptor 2 (j’ai même un très gros doute) La version des RVac montés sur S20 découlait du Raptor v1.0, ça c’est certain. Je vais essayer d’avoir plus d’informations.

Changement de programme (comme souvent), officialisé par SpaceX : la grande répétition de remplissage de Starship qui devait être menée hier ou aujourd’hui est abandonnée, et SpaceX se prépare à un lancement au plus tôt le 17 avril, en attente de la validation de la FAA. Par ailleurs, S24 vient d’être déstacké afin de permettre l’installation de l’AFTS. Probablement que S24 restera au sol jusqu’à l’annonce officielle de la date de lancement après approbation de la FAA, le système d’auto-destruction ayant une date d’expiration comme on l’a vu pour Artemis. Petit rappel par SpaceX du profil de ce 1er vol, en image : La page SpaceX dédiée à ce vol, avec le décompte attendu à partir du moment où la ferme d’ergols est prête : https://www.spacex.com/launches/mission/?missionId=starship-flight-test - - - - - Ça n’a rien à voir, mais petite information trouvée dans l’autorisation des vols sub-orbitaux pour le Starship délivrée par la FAA, et qui court jusqu’à mai 2023 (le vol orbital attendu le 17 n’est évidemment pas couvert par cette autorisation) : les garanties financières définies pour couvrir ces opérations : - police d’assurance Responsabilité civile avec couverture de 3 millions de dollars pour tous les tests au sol - police d’assurance Responsabilité civile avec couverture de 500 millions de dollars (oui, 500 !) pour tous les tests en vol Source : https://www.faa.gov/about/office_org/headquarters_offices/ast/licenses_permits/media/License and Orders SpaceX LRLO 20-119 Starship Prototype 2022-05-27.pdf

http://rafalefan.e-monsite.com/pages/dossier-rafale-les-escadrons.html

Escadron de chasse 3/30 Lorraine, basé à Mont-de-Marsan ?

Le 17 avril ne semble plus d’actualité, même si le report ne paraît pas conséquent. Les indices sont les suivants, à commencer par l’annonce d’E. Musk, disant que le vol (n’)aurait (pas) lieu avant la fin de la 3ieme semaine d’avril (du moins, c’est la tendance du jour). En parallèle, les fermetures de route annoncées par Cameron County pour le 17/04 entre autres précisent qu’il s’agit d’activités au sol (en fait, la route est fermée dans ces cas-là pour toute opération de stacking/destacking, de tests de remplissage et bien évidemment de tirs statiques. Certaines fois, les routes peuvent aussi être fermées lors du déplacement d’éléments de la fusée). Étant donné qu’un dernier destacking est attendu pour la mise en place des boîtiers d’auto-destruction sur le Starship, une de ces dates servira nécessairement à cela. Pour revenir sur la date, il y a un fantasme qui circule au sein des observateurs pour un tir le 20 avril. Quand je parle de fantasme, c’est parce qu’il s’agit à la base d’un choix basé sur les chiffres 20 et 04, soit en anglais 4/20. Or à l’origine, la fusée qui devait réaliser le 1er OFT devait être composée du Booster 4 et du Starship 20. Peut-être une prophétie auto-réalisatrice, pour le plaisir du clin d’oeil aux geeks. À part ça, cette date n’a aucunement plus d’intérêt qu’une autre. Bref, NET 20/04, pouvant glisser encore tant que la licence n’est pas délivrée par la FAA. Sinon, comme à chaque fois qu’il y a des reports, des incertitudes, des grandes dates ou une réunion d’investisseurs, SpaceX (comme toute grosse boîte) lâche une vidéo. Voici celle du jour : Il y a quelques petits points remarquables sur celle-ci, mais il y aura le temps d’en reparler.

https://www.politico.eu/article/emmanuel-macron-incite-europeens-etats-unis-chine/ "Selon Yanmei Xie, analyste en géopolitique chez Gavekal Dragonomics, “l’Europe est plus disposée à accepter un monde dans lequel la Chine devient un hégémon régional. Certains de ses dirigeants pensent même qu’un tel ordre mondial pourrait être plus avantageux pour l’Europe.” L’analyse est bizarre, ou en tout cas largement biaisée. "Pour Emmanuel Macron, l’Europe devrait également réduire sa dépendance à “l’extraterritorialité du dollar américain”, un objectif politique clé de Moscou et de Pékin. “S’il y a une accélération de l’embrasement du duopole, […] nous n’aurons pas le temps ni les moyens de financer notre autonomie stratégique et deviendrons des vassaux”, a-t-il déclaré. " Ça par contre, c’est assez clair.

Tiens, c’est marrant, on est sur le fil Ukraine Bon, je comprends bien qu’on sera toujours capable à la fin de raccrocher les wagons et expliquer en quoi c’est une donnée géopolitique majeure dans le cadre du conflit avec l’Ukraine… sinon on continue : - ici : - ou là :

[article écrit avant le 50ième vol] 2 mises à jour majeures ont été discrètement réalisées sur Ingenuity en décembre dernier pour offrir de nouvelles capacités à l’appareil. Passés sous le radar, ces 2 upgrades d’Ingenuity lui permettent à présent de voler au-dessus du Cratère Jezero, loin de sa zone initiale de vol, Three Forks : en décembre dernier, Ingenuity a fait l’objet d’une mise à jour significative afin qu’il puisse notamment en autonome remettre en question la zone d’atterrissage désignée en cas de conflit entre les images orbitales initiales et celles nouvellement recueillies par sa caméra, et se choisir son propre site d’atterrissage. La mise à jour a également ajouté à Ingenuity la capacité à gérer les élévations de terrain via son altimètre, et donc son enveloppe de vol. En effet, la mission initiale de 10 vols se déroulait dans une zone absolument plate, et la plus grande distance parcourue a été de 1,2 kms dans cette configuration. Or, depuis son changement de mission, Ingenuity doit notamment voler dans le delta de la rivière ainsi que le long des pentes du cratère Jezero. Ingenuity prend donc à présent en compte les élévations de terrain dans son profil de vol, tout en maintenant sa capacité de converser avec le Rover Perseverance. Sur ce dernier aspect, l’équipe s’appuie massivement sur les cartes orbitales pour s’assurer qu’Ingenuity ne soit jamais masqué de Perseverance à cause du terrain, afin de conserver une communication permanente (Perseverance sert de relai de communication à Ingenuity). Par ailleurs, Ingenuity est devenu un instrument de mapping à part entière, en commençant notamment le survol du cratère Belva, pour lequel le rover Perseverance ne peut pas fournir ce type de données. Ingenuity est devenu un précieux engin de scouting pour l’équipe en charge de piloter le rover Perseverance. Cependant, l’équipe en charge de piloter Ingenuity sait pertinemment qu’au moindre souci de son appareil, Perseverance ne se détournera pas de sa mission initiale pour lui venir en aide (mission consistant à réaliser des mesures scientifiques et prélever des échantillons qui seront plus tard récupérés) : D’où la préparation extrême de chaque vol pour lui assurer une vraie valeur ajoutée, une communication permanente ainsi qu’un vol le plus précautionneux possible (coté terrain, mais aussi loin de Perseverance afin d’éviter tout risque de collision). De même, la priorité est et sera toujours donnée à Perseverance dans l’usage du Deep Space Network, l’équipe Ingenuity faisant son maximum pour limiter son utilisation de ce réseau et être le plus flexible possible afin de s’adapter aux contraintes au quotidien. Lorsqu’Ingenuity n’a pas de mission prioritaire de scouting, l’équipe en profite pour pousser un peu plus les capacités d’Ingenuity afin de recueillir un maximum d’informations pour le futur hélicoptère qui serz chargé de récupérer les échantillons martiens. Raison notamment pour laquelle le vol 49 avait pour objectifs de voler le plus haut possible, et atteindre la vitesse la plus élevée. L’autre bonne surprise a été la capacité de l’appareil à s’auto-nettoyer des poussières véhiculées par Mars notamment lors des tempêtes. Non prévue, cette capacité est apparue de fait, notamment "grâce" aux vibrations de l’appareil en fonctionnement puis à ses vols, qui non seulement débarrassent ses panneaux solaires dudit sable - lui permettant de se recharger bien plus longuement qu’initialement imaginé - mais également de nettoyer ses actuateurs. La bonne formule a été ainsi trouvée pour améliorer la longévité de l’appareil. La grande victoire opérationnelle de ce démonstrateur est qu’une solution aéroportée de récupération des échantillons est maintenant largement considérée comme crédible, et a été validé comme Plan B pour la récupération de ceux-ci en cas de souci du futur Rover. Dernier point important : Ingenuity a été le 1er appareil conçu et envoyé sur Mars employant des composants "courants", et notamment un processeur de téléphone portable Snapdragon, de Qualcomm. Il en a été de même pour l’IMU, la caméra, la batterie ainsi que les panneaux solaires, et la fiabilité et les performances obtenues sont très concluantes, pour un coût contenu. C’est également un enseignement en soi, et cette trajectoire sera reproduite autant que faire se peut pour les prochains hélicoptères. L’article d’origine ci-dessous. J’ai synthétisé les principales informations de l’interview : https://spectrum.ieee.org/mars-helicopter-ingenuity-50

E. Musk comme à son habitude sème des cailloux : - le Starship devra à terme être plus haut d’une dizaine de mètres* - et se verra adjoindre 3 Raptor RVac de plus (et cela semble inévitable) *la question se pose maintenant de savoir s’il avait en tête tous les Starships ou bien simplement une version particulière de celui-ci lorsqu’il a posté cela. Quant à la Tour de Lancement, est-ce qu’elle pourra continuer à réaliser les opérations de levage avec cette dizaine de mètres en plus ou bien devront-ils déplacer les points de levage plus bas qu’au niveau des flaps ? En attendant, il le répète, Starship est près à réaliser son 1er vol : Seule la date du 17/04 est maintenant inscrite dans le planning prévisionnel de la FAA, et la plage horaire est désormais en « To be defined ».

Jour anniversaire : il y a 7 ans jour pour jour, un 1er étage de Falcon 9 se posait pour la 1ere fois sur une plateforme dronisée en mer - en l’occurrence ’Of Course I Still Love You’ - . Depuis, SpaceX aura réalisé 143 autres récupérations sur barge dronisée en mer, ainsi que 41 atterrissages.

Une signature pour 50 appareils, ça se fête.

Petit point Raptor 2 avec ce nouveau record : 5min50 de poussée en continue, avec un peu de danse au milieu (je me demande s’ils testaient aussi du béton en-dessous, comme ils le faisaient régulièrement).

Oui En attendant, voici le bingo règlementaire du jour, à remplir au fur-et-à-mesure :

@Ardachès Première officialisation par SpaceX : le créneau du 10/04 au 11/04 servira à effectuer un test complet de remplissage cryo, l’OFT aura lieu la semaine suivante si la licence FAA a été acquise d’ici là. => la date du 17/04 est donc pour le moment la date-cible au plus tôt pour ce tir. La FAA elle-même même fait provisoirement apparaître ce vol le 17/04 - en attente d’autorisation -, avec les dates de repli du 18 au 21 avril. La tranche horaire est en GMT, ce qui correspondrait à la tranche 14h - 17h pour nous.

730 jours depuis son arrivée sur Mars… et Ingenuity vient d’effectuer son 50ième vol, pour une distance parcourue de 398 mètres lors d’un vol qui aura dure 150 secondes, à une altitude maximale de 12 m. La très faible densité de l’atmosphère sur Mars fait qu’il devra toujours y avoir limitation drastique du poids des engins de ce type, sauf à faire tourner les rotors encore plus vite que les 2400 tours/minute d’Ingenuity. Quoi qu’il en soit, Ingenuity en est maintenant à 84 minutes de vols cumulés, pour 11 kms parcourus au total à une vitesse maximale de 21,6 kms/h et une altitude maximale de 14 mètres. Pas mal pour un appareil autonome de 1,8 kgs et d’1,2m d’envergure. Sa mission initiale devait durer 30 jours et quelques vols en s’élevant de 3 à 5 m maximum.

Dans le film, ils anticipent une défaillance d’un des volets, ce qui est bien évidemment possible. De mon côté, j’aurai plutôt tendance à regarder du côté du nombre de tuiles qu’il serait très possible de voir choir lors de la poussée initiale des 33 Raptor, pour créer le futur point d’échauffement et de dislocation.

Petit point sur les assemblages en cours, puisque rien ne reste vraiment statique chez SpaceX : Source :

On en avait pas mal discuté ici entre 2020 et 2021, notamment parce qu’E. Musk avait annoncé très tôt que les infrastructures au sol coûtaient une blinde et que le moindre dégât sur celles-ci créerait un délai conséquent sur le Programme, le temps de les remettre en état. D’où la volonté de ne pas prendre de risque sur ce 1er vol et valider le bon comportement du Booster sur sa phase finale avant de tenter une quelconque récupération - puisque lui n’a jamais volé, et que c’est la 1ere fois qu’ils collent 33 Raptor sous un cylindre - . Même avec l’expérience des Falcon 9, ils ont raison d’être un peu prudent. J’imagine, oui, à l’équivalent de ce qu’avait fait SpaceX lors du programme Falcon, d’autant qu’ils vont vouloir étudier l’usure des composants et relever le comportement notamment des tuiles et des flaps. Bon, pour le Starship, on s’attend quand même à ne recueillir que des confettis, E. Musk estimant que le Starship a 50% de chances de se désintégrer lors de sa rentrée atmosphérique. En fait, tout le monde croise les doigts pour que l’envol, le passage à MaxQ puis la séparation et l’allumage du second étage se passent sans encombre. À partir de là, tout le reste sera du bonus.

Il ne reviendra a priori pas à Boca Chica : Dès le départ et la soumission du profil de vol auprès de la FCC, SpaceX a indiqué que Booster 7 ferait une simulation d’atterrissage au-dessus de l’eau, dans le Golfe du Mexique, à 20 miles des côtes de Boca Chica, tandis que le Starship effectuerait un amerrissage en douceur au nord-ouest d’Hawaï. Pour le moment, rien n’indique qu’il y a eu une nouvelle soumission à la FCC avec un profil de vol différent pour cet OFT (mais je peux me tromper). Booster 7 va pousser pendant 170 secondes avant séparation, donc il ne devrait pas se passer plus de 4min30 entre son décollage et son amerrissage. La source initiale ici : https://apps.fcc.gov/els/GetAtt.html?id=273481&x= (bon par contre, il se raconte n’importe quoi sur internet, entre ceux qui annoncent un atterrissage au Texas pas loin de Boca Chica et ceux qui considèrent qu’il se posera sur barge… pas mal pour un tuyau de poêle de 50 m de haut et 33 boosters… sans jambes d’atterrissage ) Justement non, d’où le problème Mais j’avais quand même étudié la possibilité d’y débarquer soit par les USA soit par le Mexique, histoire de confirmer que côté logistique, ça serait forcément une plaie.

Les signes sont les suivants : - NOTAM et notifications de fermetures de routes : réservations de créneaux, qui peuvent être réalisées jusqu’à plus d’1 mois à l’avance - Notification d’évacuation de Boca Chica : pour tout tir statique et encore plus avant envol, la notification est obligatoire et est émise 24h à l’avance. C’est l’information la plus fiable pour anticiper le tir. Mary, @BocaChicaGal, est la meilleure source à suivre sur Twitter pour cela puisqu’elle habite sur place - le jour J : Les fermeture de route et évacuation du site ont lieu en moyenne 15 à 30 min avant les 1eres opérations de la ferme des ergols, qui prend jusqu’à* 6 heures pour un Starship full stacked (je dis « jusqu’à », parce que l’on ne sait pas si cette partie là a fait l’objet de tests particuliers et si ce délai peut être raccourci). Le remplissage cryo de B7 /24 a pris 2h30 lors du dernier test il y a 2 mois. Lorsque le remplissage est réalisé, la sirène sonne 10 minutes avant le tir. => Donc dans tous les cas, même avec une fermeture dès 8h du matin, l’OFT se déroulera au mieux à 14h30 (voir l’astérisque), et plus probablement à partir de 16h le même jour. Pour nous, ça revient à dire que la fermeture aurait lieu à 16 heures heure de Paris, pour un tir effectif entre 22h30 et minuit au plus tôt. Enfin, on ne peut s’empêcher de considérer que SpaceX et encore plus certainement E. Musk feront un tweet lorsque la date sera arrêtée (dommage que ça soit aussi loin, je me serais personnellement déplacé pour voir ça). Généralement, SpaceX réserve aussi un live 8h ou 24h à l’avance, pour un début de transmission à H-1h (ça peut être plus proche : pour les 1ers tests d’envol des Starships, ils le démarraient 20 min avant) Pour les 10 et 11, l’hésitation quant à la possibilité du tir OFT à l’une de ces dates vient du fait que si le NOTAM émis par le Mexique couvre explicitement une possibilité d’envol (donc sans limite d’altitude), la notification de fermeture de route de Cameron County indique elle qu’il s’agira d’un tir statique. À noter que pour tout tir statique, il doit exister un NOTAM couvrant la zone et empêchant le survol à moins de 12000 pieds (environ, de mémoire).

Il y a aujourd’hui 2 sons de cloche, mais aucune annonce officielle : - ceux qui considèrent que le tir aura lieu entre le 10 et le 11 avril - ceux qui considèrent qu’il se déroulera le 17 avril Pour les 1ers, il y a notamment les NOTAM émis pour cette période : Pour les seconds, je ne peux toujours que recommander de suivre ce lancement depuis la chaine Techniques Spatiales, qui vient de réserver un créneau : Ça paraît toujours un peu moins structuré que d’autres, mais la mine d’informations et de documents sourcés est toujours fantastique quand il assure un live. Et en plus c’est en français. En attendant, B7 et S24 viennent d’être stackés, après un nouveau test full cryo pour B7 il y a 2 jours.

Les indices se renforcent pour un tir OFT entre le 10 et le 11 avril : la Nasa a en effet prévu un WB-57 ces 2 jours là, appareil qui leur sert notamment à couvrir les envols de fusées. https://airbornescience.nasa.gov/aircraft_detailed_cal/2023-04?aircraft_id=36 Par ailleurs, une source aurait indiqué à Ars Technica que la certification auprès de la FAA était en très bonne voie dans les 2 prochaines semaines. Cet envol finira bien par arriver tôt ou tard, mais si c’est dans les semaines, ça serait encore mieux On va attendre l’officialisation, et il n’y a ici nul besoin de faire un stock de cordes de chanvre.