Oxcart
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Un exemple : un Rafale est re-taské pour aller faire du CAS. Il dispose d'AASM. Vu que le pilote devra avoir la VID (le visuel) de l'endroit où va taper sa bombe, la balistique de la bombe en non-propulsée sera largement suffisante pour atteindre le target. Elle sera donc tirée ainsi. Egalement, en mission d'AI (bombardement classique), le pilote devra là aussi, dans la plupart des cas, avoir la VID sur son target (afin d'éviter les dommages collatéraux genre classe de primaire qui traverse la rue à ce moment là...). Là aussi, l'AASM sera tiré en non propulsé. On ne peut donc pas parler de "missile" tiré.
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Ça fait bien marrer en escadron cette appellation de missile pour l'AASM. L'AASM est une bombe. Alors oui, un missile est un projectile guidé, propulsé tout ou partie de sa trajectoire. Le fait est que l'AASM est souvent tiré en non propulsé (pour diverses raisons). Parle-t-on toujours de missile ? C'est alors un jour un missile et un autre jour une bombe ? Arrêtons. Le fait que cet armement soit issu d'un corps de bombe, et qu'il ne soit pas systématiquement tiré propulsé ne peut pas en faire un "missile". Le terme "Bombe" est plus adapté à son emploi opérationnel (mais oui, si vous voulez, sur une plaquette constructeur, le terme théorique de "missile" peut convenir).
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Faut regarder large DEFA... Il y a des flottes d'avions qui tiennent l'alerte PPS en plus des vols d'entrainement. Et dans ce cas, certains de ces avion ne doivent "pas trop voler" car ils doivent tenir jusqu'à la prochaine butée de maintenance, tout en assurant au moins l'alerte, et en pouvant servir de spare pour les vols d'entrainement. Et pourtant... Selon les boutique (et selon les flottes), ça se fait
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Surtout qu'en disant ceci, ce n'était pas une attaque contre Forbin (même si il l'a pris ainsi), mais un message disant que les gens qui lisent ce forum ne sont pas tous "spécialistes", et que donc, comme l'a déjà dit FATac, il faut être le plus explicite et compréhensible possible dans ses propos, de manière à ce que les "non spécialistes" y pigent quelque-chose.
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Exactly. Pour des pays qui ont des ravitailleurs, ou alors qui opèrent en coalition avec d'autres pays équipés de tankers, ça ne vaut pas trop la peine. Par contre, cela peut être utile lors d'opérations particulières et profondes en territoire ennemi non permissif (par exemple : opération OPERA (Osirak) en 1981).
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C'est pas si con que ça. On peut très bien échanger le radar de tel type d'un avion X, en état de vol, mais qu'on ne doit pas faire trop voler cause potentiel, pour le mettre sur un avion Y, lui aussi en état de vol avec un radar d'un autre type, mais qu'il faut faire voler car il lui reste beaucoup de potentiel à utiliser. Je rajoute les différents standards d'avions qui font que, comme pour la raison précédente, il va falloir faire voler tel standard pour telle raison, et donc si on a besoin du radar (au autre équipement) d'un autre avion déjà en ligne mais d'un standard différent, eh bien on va être amené à peut-être le rendre indispo pour raison ops ;) Ça s'appelle "les contraintes technico-opérationnelles".
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L'armée de l'air en alerte en vol jeudi pour des Tu-160 en vol dans l'espace aérien européen : http://www.opex360.com/2018/09/21/bombardiers-russes-160-blackjack-surveilles-forces-aeriennes-britanniques-francaises/
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Oula......
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Bien sûr qu'ils échangent entre eux. C'est le fameux "Fighter To Fighter". Celui qui aura la meilleure détection sur une piste l'enverra à l'autre, ce qui pourra donner lieu à une corrélation de pistes pour celui qui reçoit.
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En service :) Pour ce qui est en test, on a quoi à part le MRTT ? Sinon, dans ce qui est en service, on peut rajouter l'A400M. Les unités de l'EAC2P sont L16 ?? L11 oui, mais L16... Suis pas sûr... EDIT : apparemment oui, ils auraient la L16 :) Donc dans la case unités C2 (quand on sait que les CDC ne sont même pas équipés... Et que les ESCA le seront très prochainement, eux...) Pour Barkhane, ce sont des "bulles L16" qui sont mises en place (des répétiteurs, un peu comme un répétiteur Wifi à la maison). Ce ne sont pas des participants au réseau (ils n'ont pas d’existence tactique pour les acteurs, car ils sont "transparents"). Techniquement ce n'est pas compliqué, mais réglementairement, on ne peut pas mettre de la L16 sur n'importe quoi, ni l'utiliser n'importe comment. Les unités participantes FR de la L16 sont listées officiellement. On ne peut pas greffer un MIDS comme ça, par exemple, sur un VAB, parce que c'est pratique. Il y a des demandes à faire, et ça peut être très long....
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J'avais le doute... Est-il participant actif (autrement dit, a-t-il un PPLI sur le réseau ?), ou alors ne fait-il que du relais via JREAP (ce qui ne compterai pas dans ce cas là) ?
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Les CMD3D utilisant les UMAT, ça va dans la case des sol-air, dont je parle plus haut. Ce sont des unités C2. EDIT : Le plus simple, c'est de lister ce qui est L16 en France (en service) : Aéronefs : Rafale / Mirage 2000D / Mirage 2000-5F / Hawkeye / E-3F / A400M ; Hélicoptères : un seul et unique SuperPuma ; Sol-Air : systèmes SAMP / CMD3D/MARTHA. Structures sol : JEANNETTE (CEILDT) / EDIT : EDCM Je ne pense pas en oublier...
