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Tout ce qui a été posté par herciv
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Cette partie du discours de Macron est intéressante à cet égard ; Dans l'espace maritime enfin, il nous faut disposer des capacités navales à la hauteur des atouts maritimes de notre pays. La France possède la deuxième zone économique exclusive du monde grâce à nos Outre-mer. C'est un immense atout, c'est aussi une immense responsabilité, y compris à l'échelle des enjeux environnementaux, climatiques, de la protection de certaines infrastructures et de nos territoires. Je souhaite aussi que nous puissions acquérir une capacité de maîtrise des fonds marins jusqu'à une profondeur de 6 000 mètres pour des raisons militaires, mais aussi au titre de la protection de nos infrastructures sous-marines critiques. Je souhaite également que nos forces armées soient davantage et mieux présentes dans nos Outre-mer et que ces derniers figurent une constellation stratégique à la fois tête de pont relais et point de veille de nos intérêts dans le monde. Je présenterai prochainement le déploiement concret et opérationnel de cette stratégie ultramarine. Enfin, connectant tout cela, nous devrons refondre le commandement interarmées des opérations, notamment pour mieux lutter contre les stratégies hybrides. Cette LPM va faire un focus particuliers sur les outres-mers et on imagine en particulier en Indo-Pacifique non seulement pour les protéger mais également pour en faire des points d'appuis de nos relation stratégiques avec les pays de cette zone. Je suis impatient d'en découvrir la déclinaison militaire.
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Je crois que dans cette affaire il ne faut surtout pas oublier l'Inde et la proximité grandissante entre l'Inde et le Bangladesh. L'Inde a intérêt a laisser le moins possible de pays de son environnement géostratégique rentrer dans le giron US ou chinois. C'est aussi simple que çà. Encore une fois l'armement totalement ITAR / CATSAA FREE est un instrument indispensable pour y parvenir. Dassault est définitivement un des poils à gratter des US et des chinois.
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Très bonne question puisque quelques mois auparavant le même tweeter annoncait la fin du rafale dans l'évaluation. On peut envisager plusieurs hypothèses très différentes : - On peut penser que certaine fuites ont été organisées pour permettre aux français de faire une meilleure offre. - Le rédacteur de ces tweet a accès à une personne de l'équipe d'évaluation et cette équipe n'ayant pas terminé son évaluation a intégré de nouveaux paramètres. Les deux arguments ne s'excluent pas l'un et l'autre.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Taïwan lie politiquement son avenir géopolitique avec celui de l'Ukraine et trouve un écho auprès des républicain aux US : https://en.rti.org.tw/news/view/id/2008898 La Chine attaquera Taïwan si l’Ukraine tombe: le dirigeant américain Les États-Unis doivent continuer à soutenir l’Ukraine parce que si le pays tombe, la Chine est sûre d’attaquer Taïwan. Cela est venu du président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis, Michael McCaul, dimanche dans une interview accordée à CNN. McCaul dit qu’il doit régulièrement éduquer ses collègues républicains sur « ce qui est en jeu » en Ukraine. Il dit que si la Russie est capable de vaincre l’Ukraine, le dirigeant chinois Xi Jinping (習近平) envahira Taïwan. Le républicain de haut rang n’a fourni aucune preuve à l’appui de sa revendication. Les commentaires de McCaul interviennent alors que de nombreux politiciens républicains aux États-Unis ont critiqué le soutien du pays à l’Ukraine. Les États-Unis ont approuvé un programme d’aide militaire de 40 milliards de dollars pour l’Ukraine en mai dernier, mais des rapports suggèrent que le pays pourrait avoir besoin de plus de soutien pour repousser les avancées russes. Les républicains ont remporté la majorité à la Chambre en novembre dernier, ce qui leur a donné une influence significative sur les décisions de financement. Le commentaire de McCaul fait suite à un certain nombre d’avertissements différents des dirigeants américains sur la menace imminente à laquelle Taïwan est confronté de la part de la Chine. En octobre dernier, le secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken a déclaré que la Chine « voulait accélérer le processus par lequel elle poursuivrait la réunification ». Les États Unis ont fourni peu d’éléments de preuve à l’appui de ces allégations. -
Australie
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Bon ben la voilà la solution. Les Australiens entrainent leur équipage sur des sous-marins US et font construire une flotte de sous-marins classiques au Japon. Ca c'est du hold-up. -
Australie
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
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Australie
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Et si c'était les japonais qui mettaient tout le monde d'accord ? -
Australie
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Le plus intéressant dans tous ces articles c'est que nous seulement les chantiers navals US et UK sont à fond mais qu'en plus un ee montée en puissance est très compliquée à cause du manque de main d'oeuvre. Cette montée en puissance est désirée pourtant depuis de nombreuses années par le congrès et la navy. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Il y a beaucoup de chose à éclaircir là-dedans. Mais il ne faudrait pas oublier les nombreux articles qu'on a eu sur les pressions que Macron mettait sur le Danemark pour qu'ils livrent leurs CAESAR. Je ne suis pas certain que Macron voulait que le Danemark livre tous ces CAESAR. -
Australie
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Les US auraient mal informé leur copains australiens (et anglais par la même occasion ?) -
Certe mais il serait peut-être bien de conserver un peu d'hypocrisie pour que de part et d'autre on puisse continuer à se nourrir intellectuellement parlant les uns les autres.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
L’industrie allemande des chars jouit d’une excellente réputation à l’étranger. Krauss-Maffei Wegmann et Rheinmetall ont construit le meilleur char du monde avec le Leopard 2, mais aussi l’un des plus chers (7 à 8 millions d’euros dans la version 2A7). Rien qu’à l’OTAN et dans l’UE, seize pays ont acheté le Leopard 2. Certains possèdent plusieurs centaines de pièces, comme la Turquie, la Grèce, l’Espagne, la Pologne et la Finlande. D’autres n’en ont que cinquante ou même moins, par exemple la Norvège, le Danemark et le Canada. La fourniture d’armes en tant qu’instrument de la politique de sécurité Le choix d’un modèle de char est un engagement à long terme. L’éducation et la formation des soldats, l’infrastructure d’entretien et de réparation, la fourniture de pièces de rechange – tout cela ne peut pas être changé d’un type de char à l’autre du jour au lendemain. Une fois que vous êtes en affaires, vous resterez pendant des décennies. Inversement, une fois que vous êtes en faillite, vous resterez en dehors des affaires pendant une longue période. Ce n’est pas seulement une perte économique. La vente d’armes garantit les impôts et les emplois pour l’État et leurs rendements pour les entreprises. Mais surtout, les exportations d’armes font partie de la politique étrangère et de sécurité. Quiconque fournit à un autre État ce dont il dote ses propres forces armées assure la confiance et en même temps la dépendance économique – et gagne ainsi en influence. Par exemple, un sous-marin dont l’hélice est endommagée ne peut être remis en service que si le producteur livre une nouvelle hélice. Ainsi, le pays de fabrication peut influencer directement la capacité de combat de l’État client. En Allemagne, cependant, les exportations d’armes n’ont pas été considérées de ce point de vue pendant des décennies, mais d’un point de vue économique, mais surtout d’un point de vue éthique. Les politiciens, en particulier ceux de gauche, voulaient que plus d’armes soient exportées d’Allemagne à l’étranger. Ils étaient convaincus que cela rendrait le monde plus pacifique. Les Américains mènent une politique différente. La France l’a ressenti il y a deux ans lorsque l’Australie a mis fin sans cérémonie à un contrat de construction de sous-marins d’une valeur de 56 milliards d’euros afin d’acheter des bateaux américains. Auparavant, le gouvernement américain avait formé une alliance de sécurité avec le gouvernement australien et la Grande-Bretagne, ce qui assurait les Australiens du soutien des États-Unis. En retour, les Australiens devraient acheter leurs armes aux États-Unis. Les Américains jouent la carte de la confiance Dans les cercles de l’industrie allemande de l’armement, on dit que le gouvernement américain essaie depuis des années d’intensifier ses ventes d’armes en Europe. L’accord semble bon pour les deux parties, les armes américaines sont également parmi les meilleures au monde. Mais le commerce a aussi un prix. En janvier 2022, les Américains ont convenu avec la Croatie de livrer 89 véhicules de combat d’infanterie Bradley usagés, dont 22 en tant que donateurs de pièces de rechange. Le prix de vente était de 130 millions d’euros moins 46 millions d’euros, qui a été repris par le ministère américain de la Défense. Mais ce qui semblait initialement être une bonne affaire s’est avéré être une entreprise coûteuse. Les Bradley ont plus de trente ans. La Croatie a dû acheter un ensemble complet comprenant les pièces de rechange, l’entretien et la maintenance. Volume total : 630 millions d’euros. Le développement en Pologne est particulièrement douloureux pour l’industrie allemande des chars. Au cours des vingt dernières années, le pays a acheté plus de 200 Leopard 2 en Allemagne. Après l’annexion de la Crimée par la Russie, les relations germano-polonaises se sont détériorées. Le gouvernement de Varsovie a accusé Berlin d’une politique beaucoup trop peu critique envers Moscou. L’Allemagne était considérée par la Pologne comme un cantoniste de moins en moins sûr, même lorsqu’il s’agissait d’achats d’armes. En juillet 2021, le ministre de la Défense Mariusz Blazczak a annoncé son intention d’acheter 250 chars de combat M1 Abrams neufs et 116 d’occasion aux États-Unis pour un prix total de 8,85 milliards d’euros. Au cours de l’été de l’année dernière, la Pologne a également accepté d’acheter 1 000 chars de combat K-2 en Corée du Sud. Le fabricant installera une usine en Pologne à cet effet. L’industrie allemande avait également demandé le contrat, mais est repartie les mains vides. La Pologne achète maintenant des chars aux États-Unis et à la Corée du Sud. Pour l’Allemagne, c’est aussi politiquement douloureux, car les décisions polonaises ont clairement montré une chose : l’Allemagne, le voisin, n’est plus un partenaire stratégique et digne de confiance. Ce sont maintenant les lointains États-Unis et la Corée du Sud encore plus lointaine. Les représentants des entrepreneurs de la défense, qui souhaitent rester anonymes, rapportent que les Américains offrent aux pays qui pourraient fournir Leopard 2 à l’Ukraine, des chars usagés en remplacement de leur propre inventaire et un partenariat industriel à long terme. Tout pays qui accepte l’offre américaine est difficile à reconquérir pour l’industrie allemande des chars. En outre, l’influence de Berlin sur la politique d’armement est également en déclin. Scholz : L’industrie de l’armement devrait produire plus vite Reste à savoir si les craintes de l’industrie allemande de l’armement jouent un rôle décisif pour le chancelier Scholz dans son attitude hésitante à l’égard des livraisons de chars. L’industrie militaire en Allemagne doit également se demander si elle n’aurait pas dû augmenter considérablement ses capacités il y a longtemps. Le besoin croissant non seulement de l’Ukraine, mais aussi des États occidentaux pour les chars de combat est évident depuis le 24 février 2022 au plus tard. Pour la première fois depuis des décennies, la demande d’armes est en plein essor en Occident, mais les producteurs allemands peuvent difficilement livrer. Aux États-Unis, cependant, il compte déjà ce que les ventes d’armes aux alliés européens pourraient rapporter comme substitut à leurs approvisionnements à l’Ukraine. Le Centre sur le pouvoir militaire et politique de la Fondation pour la défense des démocraties, une organisation de lobbying apparemment financée par Israël à Washington, a récemment rapporté qu’un volume total de 21,7 milliards de dollars est attendu, qu’il s’agisse d’armes utilisées ou neuves. Il y a quelques jours, Olaf Scholz se plaignait que, compte tenu des faibles quantités produites par les entreprises d’armement allemandes, on ne pouvait pas parler d’une « véritable industrie ». Il a appelé à une expansion significative de la production d’armes et de munitions. Samedi, le président du SPD, Lars Klingbeil, a proposé un « pacte avec l’industrie de l’armement ». Les deux déclarations montrent une fois de plus qu’il n’y a pas de manque de connaissances dans la politique de sécurité allemande, mais un manque de mise en œuvre. La question reste de savoir pourquoi, après presque un an de guerre avec l’industrie en Ukraine, ce pacte n’existe pas déjà. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Débat sur les chars allemands : quel rôle jouent les intérêts américains en matière d’armement ? A mon avis c'est un argument à regarder de très près. https://www.nzz.ch/international/kampfpanzer-leopard-2-us-ruestungsinteressen-lassen-scholz-zoegern-ld.1722377 Jusqu’à présent, la livraison de Leopard 2 à l’Ukraine a toujours été discutée du point de vue militaire. Mais les livraisons d’armes sont également associées aux intérêts de la politique d’armement. C’est là que les perspectives allemande et américaine divergent. Le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, était entouré de journalistes, les micros tendus vers lui. Il devait répéter ce qu’il avait déjà dit peu de temps auparavant dans la salle de conférence du Groupe de soutien à l’Ukraine à la base aérienne américaine de Ramstein. Le gouvernement de Berlin, a déclaré le social-démocrate à ses homologues de plus de cinquante pays, n’a pas encore décidé s’il approuverait la livraison de Leopard 2 par d’autres États. L’Ukraine a besoin de chars de combat pour continuer à se défendre contre l’attaque russe. Mais le chancelier Olaf Scholz hésite et subit donc une pression massive de la part de nombreux alliés. Pistorius a répondu à la question de savoir pourquoi l’Allemagne ne bouge toujours pas, avec deux phrases: Il y a de bonnes raisons pour la livraison et de bonnes raisons contre elle. Et: Tous les arguments devraient être soigneusement pesés. Cela semblait évasif, et les critiques ne se sont pas fait attendre. La livraison était nécessaire de toute urgence « pour arrêter l’agression russe, aider l’Ukraine et rétablir rapidement la paix en Europe », a déclaré samedi le ministre letton des Affaires étrangères, Edgars Rinkevics. En tant que puissance européenne de premier plan, l’Allemagne a une responsabilité particulière à cet égard. L’expert en politique étrangère de la CDU, Roderich Kiesewetter, a déclaré qu’il voyait maintenant l’Allemagne isolée par l’attitude hésitante du gouvernement fédéral. Les États-Unis veulent offrir leurs propres chars Lorsque le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, est apparu devant la presse à Ramstein peu après Pistorius, on lui a demandé si l’Allemagne était suffisamment engagée en tant que puissance dominante en Europe. Austin ne put s’empêcher de sourire, mais répondit ensuite que l’Allemagne en faisait assez et était un « allié fiable ». Il devrait savoir exactement pourquoi Pistorius a parlé de bonnes raisons et de bonnes raisons contre les livraisons de chars. Les raisons en sont militaires : sans chars, l’Ukraine ne peut pas se défendre avec succès. Les raisons en ont jusqu’à présent été citées par le gouvernement allemand de manière plutôt évasive. De la part de l’industrie allemande de l’armement, cependant, on peut entendre l’inquiétude que les Américains attendaient juste d’offrir aux Européens un remplacement avec leurs propres chars pour leur livraison de Léopards. Après les hélicoptères, les avions de combat et les missiles, la guerre en Ukraine offre aux États-Unis l’occasion de prendre pied sur le marché européen de l’armement avec des véhicules blindés et d’évincer la concurrence allemande. Cela est soutenu par le fait que les Américains n’ont pas caché leurs intérêts dans la politique des armements pendant des décennies. Dans les années 1960, ils ont fondé la Defense Security Cooperation Agency, une agence relevant du département de la Défense des États-Unis. Leur travail consiste à convaincre les États d’acheter des armes américaines. L’objectif est de les lier ainsi aux États-Unis à long terme. Pour les Américains, cela présente plusieurs avantages. Les partenaires avec les mêmes armes sont plus faciles à intégrer dans les coalitions militaires dirigées par les États-Unis. En achetant des armes, ils s’assurent également que le nombre d’unités augmente et donc que les coûts diminuent. Cela profite au Pentagone, qui doit payer moins cher pour ses armes. Enfin, l’industrie américaine de l’armement peut investir les revenus supplémentaires dans l’amélioration et le développement de nouvelles armes. Cela renforce non seulement leurs capacités, mais augmente également « notre capacité à rester l’armée la plus meurtrière au monde ». Du moins, c’est ce qu’il dit sur le site Web de la Defense Security Cooperation Agency. Si Lloyd Austin exhorte le gouvernement allemand à autoriser la livraison de Leopard 2 à l’Ukraine, alors il doit aussi avoir les intérêts américains à l’esprit. Pour les Allemands, c’est un dilemme. Si Scholz cède, il nuit aux intérêts allemands. S’il reste ferme, il risque de perdre plus de territoire pour l’Ukraine, nuisant ainsi aux intérêts allemands. La façon dont cette situation délicate s’est produite a à voir avec la politique de sécurité allemande au cours des trente dernières années. L’industrie allemande ne peut pas remplacer le léopard d’Ukraine Les gouvernements de tous bords ont réduit le budget de la Bundeswehr allemande. Il ne restait presque plus d’argent pour de nouvelles armes. Les entreprises d’armement ne recevaient plus de commandes et devaient réduire leurs capacités. Les chars comme le Leopard 2 n’étaient plus fabriqués industriellement, mais en manufacture. Cela prend plus de temps et coûte plus cher. De la production de l’acier blindé à la remise du véhicule au client, deux ans se sont parfois écoulés. Mais les clients n’étaient pas pressés, il y avait la paix. Et les chars semblaient être un modèle militaire abandonné de toute façon. Le monde entier parlait de cyberguerre et de guerre par drones. Puis vint l’invasion russe de l’Ukraine, et soudain, non seulement la Bundeswehr allemande, mais aussi d’autres forces occidentales réalisèrent qu’elles avaient trop réduit leurs capacités. S’ils doivent remettre leurs chars de combat déjà trop peu nombreux à l’Ukraine, ils ont besoin de remplacements. Pas à un moment donné, jusqu’à ce que l’industrie allemande des chars puisse livrer, mais immédiatement. Personne ne veut regarder vide, comme l’inspecteur de l’armée allemande s’est plaint pour la Bundeswehr au début de la guerre le 24 février 2022. -
F-35 Les rapports du GAO et du DOT&E
herciv a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
C'est quand même incroyable qu'à la veille de passer au TR3 (block 3F) les DOT&E en est encore à tester le TR2 (block3F) ... Je sais que LM et le JPO leur ont bien savonné la planche mais là en plus on à l'impression qu'ils ne sont plus en phase ... -
F-35 Les rapports du GAO et du DOT&E
herciv a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Les problèmes induit par le manque du puissance de moteur ne sont même pas évoqués. Il a fallut que PW et GE en parle pour qu'on ait des infos. je ne connais pas le périmètre du DOT&E mais là je les trouve en dessous de tout. Ils rabâchent les problèmes de logiciels et c'est tout. -
F-35 Les rapports du GAO et du DOT&E
herciv a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Le dernier rapport du DOT&E : je l'ai lu en diagonal mais ma première impression est celle-ci : circulez il n'y a rien à voir https://www.f-16.net/forum/download/file.php?id=41052&sid=6cc6c0c6ef23ccf81f21923bf115fc88 -
Economie de guerre c'est pas pour demain : Zonebourse L'"économie de guerre", un chantier de longue haleine 21/01/2023 | 15:39 PARIS (awp/afp) - Le passage à une "économie de guerre" annoncé au printemps par Emmanuel Macron doit permettre à l'industrie de défense de monter rapidement en puissance face au spectre d'un conflit majeur, mais ce chantier peine à se matérialiser. En contrepartie de l'augmentation de plus d'un tiers du budget de la future loi de programmation militaire (LPM) --400 milliards d'euros entre 2024 et 2030-- annoncée vendredi, le président de la République a appelé les armées et industriels à "faire beaucoup plus vite, beaucoup mieux, parfois à moindre coût" dans la fourniture d'équipements militaires. Le conflit en Ukraine a mis en lumière des faiblesses de la France, qui se veut avoir un "modèle d'armée complet" mais calculé au plus juste, particulièrement en ce qui concerne les stocks de munitions ou la défense sol-air. L'industrie d'armement dont la capacité de production est taillée pour les besoins limités des 30 dernières années malgré ses 200.000 salariés, doit, selon le président, "faire autrement, raccourcir drastiquement les cycles de production, ne pas céder à la sur-sophistication". "La consommation des munitions et l'attrition du matériel au combat impose de produire et de livrer vite", souligne-t-on au ministère des Armées, où les réunions avec les industriels s'enchaînent pour identifier les leviers. L'objectif est par exemple de ramener le délai de production d'un canon Caesar, tel que ceux fournis à l'armée ukrainienne, de 24 à 12 mois et celui des obus qu'il tire de 9 à 3 mois. Pour les armées, il s'agit notamment de réduire de 20% la paperasse demandée dans les programmes d'armement, qui doivent être davantage standardisés pour limiter les coûts. L'Etat envisage également un mécanisme donnant la priorité aux commandes de défense par rapport à celles du monde civil. Les industriels doivent pouvoir de leur côté rapidement faire monter en cadence leur production. Problème, pour cela "il faut un certain temps", selon Eric Béranger, PDG du fabricant de missiles MBDA. "La meilleure solution serait de stocker des missiles pour être capable d'attendre le moment où l'on atteint la bonne cadence. C'est cher. L'alternative, c'est de faire des stocks de matières premières, de composants pour fabriquer plus rapidement", expliquait-il cet automne lors d'une conférence de l'IFRI. Marges "relativement limitées" "Qui paye" ces stocks? s'interroge un autre industriel. "Pour pouvoir accélérer la cadence, les industriels ont besoin de commandes, or on ne leur a pas parlé de budgets, de financement de stocks stratégiques", regrette Cédric Perrin, vice-président LR de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, qui dénonce un "coup de com'". Avant d'engager des investissements, les industriels réclament de la visibilité. Pour y répondre, le gouvernement envisage de créer un dispositif de précommandes, garantissant à l'industriel une commande future pour lui permettre d'être plus réactif. Il faut également identifier les potentiels "goulets d'étranglement" qui ralentiraient la production. Selon le ministère des Armées, environ 200 entreprises, souvent des PME, sur les 4.000 de l'industrie de défense française, "ne seraient pas en mesure d'augmenter leur cadence". "On doit savoir si c'est à cause d'un manque de machines, de ressources humaines limitées, de stocks insuffisants", confie-t-on au ministère. Une piste pour augmenter les effectifs si nécessaire, alors que de nombreux industriels font état de difficultés à embaucher, serait de faire revenir dans l'entreprise les gens l'ayant quittée récemment ou d'instituer une réserve de personnels aux compétences précieuses à l'industrie de défense. Pour accélérer les cadences, "des marges de manoeuvre ont été identifiées à court terme mais il faut reconnaître qu'elles sont relativement limitées", convient Guillaume Faury, président du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas) et d'Airbus, mais "il y a beaucoup de possibilités à plus long terme". L'expression même d'économie de guerre est excessive, jugent aussi certains, comme le consultant international Marc Chassillan. "Sur le plan industriel, si aujourd'hui on est au niveau 1 de l'échelle, le niveau 2 serait une base industrielle capable de satisfaire les besoins déployés dans les années 1960-70, le niveau 3 serait le plan de réarmement de 1936 et le niveau 4 la véritable économie de guerre, celle de 1915-1918", analyse-t-il. "Avec la LPM qui se prépare, on va se situer bien au-dessous du niveau 2", selon lui.
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C'est le second aspect de l'offensive de Raoul. Premier aspect il est trop cher, second aspect le programme MRFA n'avance pas. Le Raoul reste caché dans tout çà mais on reconnait la signature du maître. Je dirais même que c'est le but, rappeler que Raoul est là grâce au Rafale. C'est l'Inde il y a plein de gros lobbying mais le pouvoir a l'habitude et la population aussi.
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Ce cher Raoul s'apprête à sortir de la naphtaline : Manifestement çà sent bon pour le rafale.
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Ce que je comprend pour le Canada c'est que le problème n'est pas budgétaire mais plus un problème de pilotes. @Stark_Contrasta bien montré que ce problème existe dès maintenant pour les CF-18. Si le volume de formation est bien de 2 pilotes formé par F-35 les canadien vont devoir trouver 160 à 170 pilotes en 7 ans !!!
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Tout le monde n'a pas abandonné la politique responsable. Néanmoins il faut effectivement attendre la fin de cette décennie pour savoir comment tout çà va évoluer.
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Non défense anti-aérienne et sous-marine et brouilleur
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Annonce d'une politique de défense spécifique pour les DOM-TOM.