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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. La deuxième armée du monde a mangé son pain blanc et s'est avéré incapable de soutenir un conflit de haute intensité. Les ukrainiens en harcelant les dépôts ont fragilisé tout le montage et les russes n'arrivent plus à reconstruire une quelconque logistique. Ils semblent désorganisés et n'ont pas ou plus la volonté de continuer. Le discours de Poutine comme quoi c'est une opération spéciale fait que les soldats n'y voit aucun intérêt. La Russie va se faire sortir de l'Ukraine. Le sort de la Crimée et des deux Oblast annexés est en question mais il se pourrait bien que par lassitude l'ensemble repasse sous drapeau Ukrainien. Mais le sort de la Russie plus globalement est qu'elle n'est plus et pour longtemps une menace crédible pour l'Europe sur le plan conventionnelle. Est-ce que la Chine pourrait profiter de ce moment de faiblesse ? Regardes liveuamap il y a un état quotidien qui est archivé.
  2. Ce gouvernement hérite d'une situation explosive. Les UK ne peuvent plus profiter de la solidarité européenne pour gommer leurs erreurs. Et là ils rajoutent de la poudre explosive ... Le résultat devrait être douloureux.
  3. zonebourse La France pourrait livrer de nouveaux canons Caesar à l'Ukraine-presse 01/10/2022 | 13:26 PARIS, 1er octobre (Reuters) - La France s'apprête à fournir à l'Ukraine six à 12 canons Caesar supplémentaires, prélevés sur une commande initialement destinée au Danemark, écrit samedi Le Monde. Contacté par Reuters, le ministère des Armées n'a pas souhaiter commenter ces informations, préférant rappeler que "la France est un soutien fiable, crédible et solidaire de l'Ukraine" mais que "le détail de ce soutien n'a pas vocation à être communiqué". Selon Le Monde, "si les discussions techniques sont en cours de finalisation, la manoeuvre fait l'objet d'un accord politique de principe entre les trois gouvernements". Le journal explique que le président Emmanuel Macron a eu ces dernières semaines des échanges sur ce dossier avec son homologue ukrainien, Volodimir Zelensky, et la Première ministre danoise, Mette Frederiksen. Emmanuel Macron pourrait annoncer l'accord lundi lors d'une rencontre à Berlin avec le chancelier allemand, Olaf Scholz, précise l'article. Paris a déjà livré à Kyiv 18 exemplaires du Caesar, fabriqués par le groupe français Nexter, prélevés sur les réserves de l'armée de terre française. Mardi, à l'occasion d'une visite à Kyiv de la ministre des Affaires étrangères française, Catherine Colonna, le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmitro Kouleba, avait déclaré que la question de la fourniture de nouveaux Caesar était "résolue", sans plus de précision. (Reportage Marc Angrand et Juliette Jabkhiro)
  4. C'est toi qui avait raison : https://www.latribune.fr/economie/international/nord-stream-le-sabotage-est-enorme-les-explosions-equivalent-a-500-kilos-de-tnt-934907.html Torpille ?
  5. La France aurait fait pour 4 milliard d'euros d'aide à l'Ukraine d'après une sénatrice : ENQUETE. Armement : pourquoi la France ne serait pas capable de faire face à une guerre Franceinfo - Il y a 2 h La guerre en Ukraine a mis en évidence les carences de la France en matière d’armement. Le chef de l’État pousse les industriels à produire plus vite, mais cette incitation aura du mal à être suivie de faits. ENQUETE. Armement : pourquoi la France ne serait pas capable de faire face à une guerre© Fournis par franceinfo "C’est très simple, si on n’a pas envoyé beaucoup d’armes à l’Ukraine, c’est avant tout parce qu’on était à l’os !" Le constat dressé par l’ancien député Les Républicains de 1993 à 2022 François Cornut-Gentille, ancien rapporteur du budget défense à la commission du budget de l’Assemblée nationale, a de quoi inquiéter. La France s’est en effet retrouvée embarrassée lorsque la guerre en Ukraine a débuté. Qu’envoyer sur place alors qu’elle peine déjà à équiper ses propres soldats ? 25% de nos canons Caesar sont en Ukraine Difficile de savoir exactement ce que nous avons livré. Contrairement à d’autres pays comme les États-Unis, la liste des équipements français est classée secret-défense. Le président de la République et le gouvernement ont cependant livré quelques informations. Emmanuel Macron a évoqué l’envoi de 18 canons Caesar, une arme qui permet de frapper des cibles à près de 40km. À cela s’ajoutent des missiles anti-char et des véhicules blindés livrés l’été dernier. Des équipements destinés aux soldats ukrainiens sont aussi régulièrement acheminés (casques, gilets pare-balles…). Au total, la sénatrice Hélène Conway-Mouret, secrétaire de la commission défense au Sénat, évalue l’aide française en Ukraine à quatre milliards d’euros, aide humanitaire comprise. Bien plus donc, à priori, que les 100 millions d’euros avancés par l’ancienne ministre des Armées Florence Parly au mois d’avril 2022. 250 avions contre 700 il y a 30 ans Problème pour l’armée française : ces armes ont été prélevées sur un stock déjà limité. Les 18 canons Caesar livrés représentent près de 25% du parc français. Certes, la France dispose d’un modèle d’armée dit "complet", à l’inverse de certains de nos voisins, nous avons conservé un panel global d’équipements dans les trois corps d’armées (terre, air, marine), "mais cette armée complète s’est heurtée à des coupes dans les budgets de la défense depuis la fin de la guerre froide", relève Elie Tenenbaum, directeur du centre des études de sécurité à l’IFRI. À partir des années 90, on se rend compte que notre appareil militaire ne correspond plus à un environnement pacifié. "On paye le prix de ce que Laurent Fabius appelait 'toucher les dividendes de la paix'. On a dépensé moins et réduit les équipements car le spectre de la guerre s’était éloigné." Elie Tenenbaum, directeur du centre des études de sécurité à l’IFRI à franceinfo Résultat : "Alors qu’on avait 1 350 chars de bataille en 1991, on en a 220 aujourd’hui. On avait 700 avions en 1991, et aujourd’hui moins de 250." Et les budgets de la défense qui représentaient 4% du PIB à la fin de la guerre froide, sont descendus à 1% sous le mandat de Nicolas Sarkozy. Tandis que l’armée a réduit ses effectifs de 30% depuis les années 90. Dans le même temps, la France serait passée à côté d’évolutions technologiques notables. "On a raté le virage des drones, regrette l’ancien député François Cornut-Gentille. Ça n’intéressait ni l’armée, ni les industriels. On a cru que c’était des joujoux alors que ça change la physionomie du champ de bataille" Or, pendant que la France – et les Européens dans leur globalité – réduisaient leurs dépenses de défense, d’autres grandes puissances comme la Chine, la Russie ou les États-Unis continuaient d’investir. Incapable de faire face à un conflit majeur L’annexion de la Crimée par la Russie fera l’effet d’un électrochoc. "Avant cela, c’était assez confortable pour les pays européens de se reposer sur les investissements américains pour leur défense, explique le général Jean-Paul Paloméros, ancien commandeur en chef de l’OTAN. Outre-Atlantique, on n’a eu de cesse de réclamer aux Européens de prendre leur part du fardeau. Mais ça a pris du temps." Devant la menace Russe, l’OTAN fixe un objectif pour les pays européens : faire remonter la part de leurs dépenses de défense à 2% du PIB. Jean-Paul Paloméros conseillera le candidat Emmanuel Macron pour son projet de défense en 2017. Et le président nouvellement élu suivra ses préconisations en augmentant les budgets, d’abord de 1,7 milliard par an de 2017 à 2022, puis de 3 milliards par an jusqu’en 2025. Avec pour objectif d’atteindre 50 milliards au final, soit 2% du PIB. Si cet argent a remis l’armée à flot, il n’a cependant pas permis d’augmenter ses moyens. Selon Elie Tenenbaum, "la loi de programmation de 2017 ne se traduit pas par une remontée capacitaire. On modernise, mais on n’a pas de choses en plus dans notre arsenal". Certes, l’armée de terre a développé le programme Scorpion pour ses véhicules de combat, la Marine a vu le remplacement d’un sous-marin nucléaire, et l’armée de l’air a acquis quelques Rafale, mais ces remplacements restent cosmétiques. Le député européen Arnaud Danjean avait prévenu de ces carences dans la revue stratégique de 2017 qui a servi de base à la loi de programmation militaire. "Des mentions de la guerre qui se rapproche de l’Europe figurent dès l’introduction. On ne parlait pas de guerre de haute intensité mais de conflits interétatiques. On évoquait des risques d’escalade engageant des puissances globales comme la Russie. On a alors appelé à une montée en puissance de l’appareil de défense français pour faire face à l’intégralité de ces menaces." Mais cette mise en garde est arrivée trop tard, car la France aujourd’hui ne saurait se défendre seule dans un conflit de haute intensité. Pour le député LR Jean-Louis Thiériot, qui a écrit un rapport parlementaire sur ce sujet, "nous n’avons pas la capacité de tenir dans la durée. Au mieux au bout de quelques semaines, nous serions en difficulté." L’aviation de chasse réduite à néant en cinq jours Deux exercices de simulation de conflits internationaux l’ont confirmé en 2021. Le premier, baptisé Warfighter, organisé avec les Américains et les Britanniques concernait l’armée de terre. Et le second, Polaris 21, la Marine et l’aviation. Ces exercices interarmées ont mis en évidence les limites des forces françaises. "Warfighter a montré qu’en une semaine d’affrontements de haute intensité, la France aurait 800 à 1 000 hommes tués ou blessés, et plus aucune munition." Jean-Louis Thiériot, député LR à franceinfo Le compte rendu de la commission de la défense nationale des forces armées daté du 16 février 2022 fait lui état de 400 marins disparus au cours de l’opération Polaris 21. Il précise qu'"en une quinzaine de minutes d’un premier combat, deux frégates avaient été envoyées par le fond et deux autres étaient neutralisées, soit entre 200 et 400 marins tués ou disparus." Ce même rapport indique que si l’on extrapolait les pertes lors des derniers conflits aériens (la guerre de Kippour et la guerre des Malouines), "il est manifeste que l’aviation de chasse française pourrait être réduite à néant en cinq jours". Mettre la pression sur les industriels Compte tenu de ces carences, et alors que la guerre est aux portes de l’Europe, la France a décidé de changer de braquet. L’exécutif a d’abord pris une décision inédite : stopper la loi de programmation en cours et la remplacer par une nouvelle qui sera examinée en Conseil des ministres durant les premières semaines de 2023. L’objectif est clair : maintenir et accentuer l’effort budgétaire jusqu’en 2030. Si certains parlementaires approuvent, des experts, comme Olivier Schmitt, professeur de relations internationales au centre d’études sur la guerre de Copenhague, se montrent réservés. "Le risque c’est de mettre la charrue avant les bœufs. De tirer des conclusions rapides de ce qui se passe en Ukraine, et en déduire ce que doit être notre format d’armées" Olivier Schmitt, professeur de relations internationales au centre d’études sur la guerre de Copenhague à franceinfo "Or il y a quelques semaines, je pense que pas grand monde ne s’attendait à une percée ukrainienne sur le front, poursuit le professeur. C’est comme si on demandait à un planificateur de défense de tirer des leçons de la Seconde Guerre mondiale après les huit premiers mois du conflit." Il n’empêche. Le chef de l’État a voulu aller vite. En juin 2022, lors du salon international de défense Eurosatory, il déclare que "nous entrons dans une économie de guerre. Une économie dans laquelle il faudra aller plus vite, notamment pour les industriels." Mais cette injonction a semé le trouble. "Il faut avoir en tête qu’entre le moment où on passe la commande et celui où on reçoit les matériels, le temps est long, relate le député LR Jean-Louis Thiériot. Pour un obus de 155, entre la commande et la livraison il faut compter un an. Pour un missile trois ans. Et un Rafale quatre ans." "On ne produit pas des armes comme on produit des aspirateurs", relève la sénatrice socialiste Hélène Conway-Mouret. Une remontée en cadence prendra du temps a, pour sa part, expliqué devant les députés le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier : "Si certains peuvent croire qu’on monte une cadence d’avion de combat en un mois, ce n’est pas possible. On ne peut pas dire qu’il n’y a pas la guerre et qu’on profite des dividendes de la paix et d’un coup dire aux industriels, garde à vous, augmentez vos cadences." Autre obstacle à cette montée en puissance : les commandes du secteur de l’armement proviennent principalement de l’étranger, des marchés extrêmement lucratifs. La France est le 3e exportateur mondial d’armes, derrière les États-Unis et la Russie. Et il sera compliqué de mener de front cette production et une augmentation de la production française. D’autant plus que le prix de l’énergie flambe actuellement, avec des factures de gaz multipliées parfois par 8, et des matières premières qui viennent aussi à manquer. Or, "l’aluminium et l’acier peuvent représenter jusqu’à 60% du coût de petits navires, a récemment précisé aux députés, le PDG de Naval Group, Pierre-Éric Pommellet. On assiste à un marché qui est devenu fou, avec des hausses de prix considérables. On demande à nos entreprises d’accepter dans les heures une commande 60, 80 ou 100% au-dessus du prix moyen." Des désaccords franco-allemands La solution ne semble pas apparaître non plus au niveau européen. L’Europe de la défense voulue par Emmanuel Macron s’enlise dans des désaccords. Certes la France et l’Allemagne veulent développer deux projets communs : le char du futur (MGCS pour "main ground combat system") et le système de combat aérien du futur (SCAF). Mais ces deux projets sont à l’arrêt, déplore la sénatrice Hélène Conway-Mouret : "Nous avons peut-être trop misé sur le couple franco-allemand. Or, les Allemands ont des objectifs différents des nôtres." "Ce qui intéresse les Allemands, c’est un partenariat privilégié avec les États-Unis, peut-être pour remplacer le Royaume-Uni qui a quitté l’Union européenne." Hélène Conway-Mouret, sénatrice à franceinfo Les faits semblent lui donner raison. Lorsqu’il a annoncé un investissement massif de 100 milliards d’euros dans la défense, le chancelier Olaf Scholz a cité parmi ses partenaires européens possibles : les Polonais, les Tchèques, les Slovaques, mais il n’a fait aucune mention des Français. De quoi inquiéter Paris même si on continue de se dire serein. En témoignent les récentes déclarations du ministre des Armées Sébastien Lecornu affirmant : "Le SCAF est un programme prioritaire, et il se fera." Pour l’ex-député François Cornut-Gentille, cette situation serait la conséquence de désaccords. "Dassault pense que l’Allemagne est d’accord pour financer le SCAF à condition d’avoir accès à ses technologies et ses savoir-faire. Et Dassault a envie de conserver ses secrets de fabrication. Tandis que les Allemands n'ont pas envie de financer un programme qui profitera à l’industrie française sans avoir accès à un certain nombre d’informations… Il n’y a aucune confiance réciproque en réalité." Cette absence de confiance pourrait au final profiter aux États-Unis. L'Oncle Sam en embuscade rêve de monter en puissance sur le marché européen. Un échec du SCAF pourrait représenter un manque à gagner de plusieurs milliards d’euros pour les industriels français.
  6. T'es un cynique de première La vache on dirait une version moderne de la guerre de tranchés avec les charges d'infanterie qui vont bien ...
  7. Bon donc Lyman devient bien un point de fixation. Une armée de secours est à prévoir côté russe ?
  8. Vers la fin également. En cas de défaite de la Russie, ce pays ne sera plus incontournable pour beaucoup de pays qui pourraient chercher une nouvelle puissance d'équilibre (entre la Chine et les US). J'en déduis que l'Inde pourrait trouver une place centrale dans le monde si la Russie venait à s'effondrer militairement.
  9. Ca allait suffisamment lentement pour être suivi. Maintenant çà va trop vite. Mais je regarde encore ce qui se passe autour de Lyman parce que c'est un marqueur pour le reste pour savoir si il reste de la volonté chez les russes. Perso plus vite les russes s'effondrent plus vite on pourra passer à une Europe loin des conflits US.
  10. Intéressant. En France depuis deux mois ce sont les administration qui doivent recenser les abonnés prioritaires. C'est-à-dire les 30%. Ceux qui ne seront pas délesté pendant deux heures en cas de besoin. Sur ceux-là il y a déjà eu des efforts de fait pour les équiper en groupes électrogènes et ce sont les premiers concernés également par les réserves stratégiques de pétroles et de gaz. Ceux-là sont également désigné pour prendre en charge les particuliers sous assistance respiratoire placés en ambulatoire. Je rappel qu'un délestage ne peut être fait que quartier par quartier et donc ne peut pas faire de distinction entre personne sous assistance et les autres.
  11. IAN provoque de gros dégâts en Floride, historique d'après le gouverneur : https://fr.news.yahoo.com/floride-dévastée-l-ouragan-ian-170800799.html
  12. EH bien çà devient une habitude pour les armées d'envoyer ses têtes grises faire le boulot politique.
  13. Je pense que si nos centrales nucléaires sont remises en ligne comme prévu, nous n'avons pas intérêt à lever trop la voix pour aller dans le sens de l'Allemagne.
  14. Les allemands semblent ne pas avoir compris à quel point le risque de pénurie existe chez eux ; https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/l-allemagne-debloque-200-milliards-d-euros-pour-plafonner-les-prix-de-l-energie-934724.html Les Allemands doivent faire des efforts La flambée des prix de l'énergie n'a pas dissuadé les Allemands d'allumer leur chauffage. La consommation de gaz des foyers et commerces a en effet a bondi avec les premiers frimas de l'automne. Lors de la semaine du 19 septembre, la consommation moyenne a grimpé à 483 GWh, soit nettement plus que la moyenne des années 2018 à 2021 sur la même période (422 GWh par semaine), selon le rapport hebdomadaire de l'Agence fédérale des réseaux. « Les chiffres de cette semaine sont très décevants. Il sera difficile d'éviter une situation de pénurie cet hiver sans économies considérables », a réagi Klaus Müller, chef de la Bundesnetzagentur dans un communiqué. Et de rappeler qu'une baisse de la consommation globale de gaz d'au moins 20% est nécessaire cet hiver pour prévenir tout risque de pénurie. « La semaine dernière était certes plus froide que celle de la même période de l'an passé (...) » mais « il faudra continuer à faire des économies même quand les températures seront encore plus basses, et cela ne se fera pas tout seul », a-t-il insisté. Lire aussi : Gaz : les stocks de l'Allemagne ne seront pas remplis cet hiver, des pénuries sont à prévoir dans certaines régions Les foyers et petits commerces représentent environ 40% de la consommation de gaz en Allemagne et ils n'ont jusqu'ici que « peu contribué » à réduire la consommation, note l'agence.
  15. Hier on pendait à une menace uniquement sur les tuyau mais en fait ce sont toutes les infra maritimes qui sont menacée dont les plateformes offshore : La Norvège appelle à la vigilance après la présence de drones inconnus près de ses sites gaziers et pétroliers http://www.opex360.com/2022/09/28/la-norvege-appelle-a-la-vigilance-apres-la-presence-de-drones-inconnus-pres-de-ses-sites-gaziers-et-petroliers/ Donc là une drone Iranien peut faire de gros dégâts ? Pour le sabotage un mammifère marin (dauphin, otarie, phoque) dressé pourrait suffire.
  16. herciv

    Le F-35

    En regardant les différents articles sur cette mission je suis tombé sur un commentaire intéressant concernant le déploiement sur des FOB. C'est-à-dire des déploiement "austère". Les unités sont réduites. Cà n'est pas surprenant en soit ne serait-ce que pour prévoir des relèves, mais là il parle de flexibilité. https://www.airforcetimes.com/news/your-air-force/2021/04/30/fighter-wings-try-a-fresh-approach-to-combat-maintenance/ Les aviateurs du 388th sont revenus d’un cycle de 18 mois de déploiement l’automne dernier, au cours duquel l’escadre a réorganisé sa façon de gérer la maintenance au milieu des opérations de combat du Commandement central des États-Unis. Cette nouvelle approche a permis d’atteindre un autre grand objectif de la Force aérienne : rendre les escadrons plus capables de répondre aux missions à court préavis. « Le principal point de données que nous avions était l’examen de notre emploi de combat agile », a déclaré Behmer. « Pour nous, cela signifie opérer à partir d’une base d’exploitation principale avec un certain nombre d’avions et ensuite ... déploiement sur une [base d’opérations avancée]. Nous l’avons fait avec au moins un de nos escadrons. » L’arrivée d’un commandant d’escadron, qui était auparavant resté en arrière, et la réduction de la taille de chaque unité, ont aidé l’entreprise F-35 à rester plus flexible et efficace en déplacement, a-t-il déclaré. Cette phrase peut être comprise d'au moins deux façons différentes. Elle est ambiguë. Pour la comprendre dans le sens que tu voudrais qu'on la comprenne il manque un mot : "Chaque jour, chaque pilote a passé plus de six heures sur le théâtre des opérations". Malheureusement çà n'est pas ce qui est écrit. Si on lit stricto senso çà donne le total des opérations journalière sur le théâtre étaient de 6 heures pour tous les pilotes du VMFA-211. Sincèrement je pense que le retex de l'Ukraine rend les missions de CAS par les chasseurs beaucoup moins intéressantes que par l'artillerie. Elle est aujourd'hui extrèmement réactive et précise. Regarde comment l'Ile au serpent à été reprise : un canon de 155 qui tirait à 40 km de là pour harceler les russes. Pas besoin de F-35B. L'artillerie de marine pourrait bien aller dans ce sens pour le support de l'USMC.
  17. herciv

    Le F-35

    Alors il y a eu un déploiement de trois escadrons du 388 Air Wing au EAU en 2019 à tour de rôle, chacun pendant 6 mois. Le 388ème reçoit 2 F-35 par mois depuis septembre 2015 jusqu'à avoir 72 f-35. Son premier escadron (le 34ème) était donc totalement livré en septembre 2016, le second (le 4éme) en septembre 2017 et le dernier (le 420ème) en septembre 2018. L'escadron qui est parti en premier au EAU est le 4ème en Avril 2019. Les f-35 livrés avaient donc largement moins de 400 heures de vol en arrivant. Ils n'ont pas pu tester l'effet 1000 heures de vol sur la soutenabilité. Le second escadron a été le 34 en octobre 2019. Les f-35 livrés avaient donc au maximum autour de 500 heures de vol (3 ans), on va dire 600 pour être gentil. Ils n'ont pas pu tester l'effet 1000 heures de vol. Le 420ème a pris son tour vers Avril mai 2020. Aucun F-35 n'avait plus de 300 heures de vol en arrivant. Ils n'ont pas pu tester l'effet l'effet des 1000 heures de vol. D'autre part il n'y a rien sur le volume d'heures de vol réalisés. On sait juste que le programme a été tenu, et j'admet que c'est un bon point, mais sans en connaître les objectifs chiffrés en terme d'heures de vol. Donc en aucun cas tu ne peux démontrer avec cette opex que le f-35 pourrait soutenir des opérations à haute intensité au-delà de 1000 heures de vol de son moteur (et de 2000 pour sa cellule) ce qui est l'enjeux actuel et l'objet des doutes dont je parle.
  18. Zonebourse L'Allemagne prolonge la durée d'exploitation des centrales à charbon 28/09/2022 | 19:38 FRANCFORT (Reuters) - Le gouvernement allemand a adopté mercredi deux décrets pour prolonger la durée d'exploitation de ses centrales à charbon et rétablir les capacités de production de lignite, afin de stimuler l'approvisionnement en électricité avant l'hiver. Le ministère de l'Economie a présenté ces décrets comme "importants pour se préparer à l'hiver prochain" dans un communiqué. "L'exploitation des centrales au charbon nous permettra de limiter notre recours au gaz, et ainsi, de l'économiser", a-t-il expliqué. L'Allemagne a décidé en juillet de prolonger la durée de vie de ses centrales à charbon, alors que la Russie a réduit drastiquement ses livraisons de gaz naturel à destination de l'Europe. Les centrales au charbon pourront désormais opérer jusqu'au 31 mars 2024, et la production de lignite, un type de charbon très polluant, sera relancée jusqu'au 30 juin 2023. Les centrales resteront en activité tant que le pays se trouvera en niveau 2, dit "d'alarme", de son plan d'urgence sur l'approvisionnement en gaz, ou s'il passe en niveau 3, dit "d'urgence". (Reportage Vera Eckert; version française Camille Raynaud)
  19. herciv

    Le F-35

    Tu veux dire en opération ? The Pentagon’s top acquisition official, Bill LaPlante, admitted how difficult it is for the services and the defense industry to track materials through the supply chain. He told Bloomberg News, “I had [a] CEO tell me two weeks ago that he thought he had 300 suppliers and he discovered when he counted all of the suppliers he probably had 3,000, and suppliers can change overnight.”
  20. C'était peut-être une grenade à plâtre remplie avec de la poussière parce qu'il n'y a plus de sous pour mettre autre chose ?
  21. herciv

    Le F-35

    Mais vrai problème.
  22. herciv

    Le F-35

    J'ai plusieurs fois précisé que çà n'était pas lié à l'avion lui-même (F-35, Rafale, EF-2000, ...) mais bien à la taille de l'armée de l'air en question. ET je ne parle pas de maintenant mais bien de l'avenir. Mais il faut bien voir qu'il y a une relation entre les coûts d'acquisition et de MCO et la taille de cette armée de l'air, au moins en temps de paix. EN temps de guerre la relation ne se fait pas sur le plan budgétaire mais avec la capacité à obtenir des effets majeurs (cf des gros boum) de façon répétés.
  23. Les raffineurs indiens paient en dollars pour le pétrole russe après l'échec des tentatives en dirhams 28/09/2022 | 16:56 Les entreprises indiennes continuent d'acheter du pétrole russe en utilisant des dollars après que la Mashreq Bank de Dubaï a refusé de traiter les paiements d'au moins deux raffineurs en dirhams émiratis comme le demandait le fournisseur, selon trois sources familières avec la question. La Russie a été frappée par les sanctions des États-Unis et de ses alliés à la suite de son invasion de l'Ukraine, et Moscou a demandé à certains acheteurs de ses produits de base de payer en roubles ou dans d'autres monnaies que le dollar et l'euro dans lesquels sont généralement fixés les prix de ses contrats. Des négociants fournissant du pétrole russe en juillet avaient demandé à au moins deux entreprises indiennes de régler en dirhams. Une facture de l'un des raffineurs, vue par Reuters, montrait que les paiements de pétrole étaient calculés en dollars alors que le paiement était demandé en dirhams. La facture indiquait que les paiements devaient être effectués à Gazprombank via la Mashreq Bank, sa banque correspondante à Dubaï. Mashreq a une succursale à New York, selon son site Internet. Les trois sources ont déclaré que les paiements en dirhams n'ont pas été effectués parce que Mashreq a refusé de faciliter le commerce. Reuters n'a pas été en mesure d'établir pourquoi. Le Trésor américain, la Mashreq Bank et Gazprombank n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires. L'une des sources a déclaré que les paiements ont finalement été traités par la succursale d'Abu Dhabi de la State Bank of India et réglés en dollars américains. La State Bank of India n'a pas répondu à un courriel de Reuters demandant un commentaire. Les Émirats arabes unis et l'Inde ont évité de critiquer fortement les actions de la Russie en Ukraine, que Moscou qualifie d'"opération militaire spéciale", et n'ont pas imposé de sanctions. NOUVEAU MÉCANISME La banque centrale de l'Inde a récemment mis en place un mécanisme visant à faciliter le commerce international en roupies, une mesure considérée comme favorisant les liens commerciaux avec la Russie en cas de sanctions occidentales plus strictes contre Moscou. Les nouvelles règles reflètent largement le système de troc utilisé avec l'Iran lorsqu'il était sanctionné, où les importateurs indiens déposaient leurs paiements en roupies sur le compte "vostro" des banques commerciales de Téhéran auprès de la banque indienne UCO, un créancier d'État. Un compte vostro est un compte qu'une banque correspondante locale détient pour le compte d'une banque étrangère. L'Iran a utilisé les fonds pour payer des importations de marchandises non sanctionnées en provenance d'Inde. La UCO Bank a obtenu l'approbation de la banque centrale indienne pour ouvrir un compte spécial en roupies pour la Gazprombank de Russie, et son directeur général Soma Sankara Prasad a déclaré à Reuters qu'elle espérait le faire bientôt. Pour un règlement dans le cadre du nouveau mécanisme, les importateurs et les exportateurs doivent accepter de facturer en roupies et de régler les conditions de change. Pour rendre le commerce en monnaie locale plus attractif, l'Inde a également autorisé les banques étrangères à investir leurs fonds excédentaires dans des titres gouvernementaux, les comptes spéciaux en roupies ne proposant aucun intérêt sur les dépôts. Selon les données du gouvernement, les importations indiennes en provenance de Russie ont atteint 17,24 milliards de dollars en avril-août de cette année fiscale, contre environ 3,2 milliards de dollars un an plus tôt, en raison d'une forte augmentation des achats de pétrole. Les sanctions occidentales ont incité de nombreux importateurs de pétrole à fuir Moscou, poussant les prix au comptant du brut russe à des remises record par rapport aux autres qualités. Cela a donné aux raffineurs indiens, qui achetaient rarement du pétrole russe en raison des coûts de transport élevés, l'occasion d'acheter des exportations à des prix très inférieurs à ceux du Brent et des produits de base du Moyen-Orient. © Zonebourse avec Reuters 2022
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