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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Eh non ce n'est pas le seul problème ni même le plus important. Le plus gros problème ce sont les pénuries d'énergies à venir et leurs conséquences sur le tissu industriel et agricole européen.
  2. Oui pareil. La Chine ne semble pas se sentir prête. Les US ont un niveau militaire important mais leur niveau de stock de munition doit être remonté. Et puis on sait aussi qu'en guerre élec il veulent remonter leur compétence ainsi que sur l'artillerie. La Chinois ont entamé leur monté en puissance depuis longtemps et les Taïwanais sont prêt à la guerre depuis toujours. La tenacité Taïwanaise fera beaucoup mais celle des soldats chinois n'est pas à négliger. Ils se sentent dans leur bon droit.
  3. Pas MSN mais HESPRESS un média marocain : https://fr.hespress.com/283674-lalgerie-senfonce-dans-le-conflit-en-ukraine-une-question-profondement-problematique-pour-washington.html
  4. Oh quel surprise L'Algérie envoit les US se faire ... et nous avec donc parce que on compte quand meême sur leur gaz ... Dans la logique L'Algérie devrait se raprocher des brics comme les saouds. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/l-algérie-s-enfonce-dans-le-conflit-en-ukraine-une-question-profondément-problématique-pour-washington/ar-AA12KTHE?ocid=msedgntp&cvid=2a3803ee745944a190c1d7e6c1d168ca L'Algérie s'enfonce dans le conflit en Ukraine, une question "profondément problématique" pour Washington Hespress FR - Il y a 14 h Réagir|214 En continuant d’acheter des armes à Moscou, l’Algérie s’attire les foudres des Etats-Unis qui ont de fortes chances d’imposer des sanctions aux pays contribuant indirectement à financer la guerre en Ukraine. L’Algérie qui fait alliance également avec l’Iran devrait le rejoindre sur la liste des pays sanctionnés internationalement. L’achat massif et compulsif d’armements russes par l’Algérie commence à poser problème pour la communauté internationale. Si la course à l’armement en Algérie n’avait pas fait réfléchir plus que ça, aujourd’hui, les Etats-Unis la voient d’un mauvais œil. Vendredi, lors du briefing quotidien du département d’Etat, le porte-parole adjoint du département d’Etat américain, Vedant Patel, a répondu à une question sur l’Algérie en soulevant la lettre envoyée au secrétaire d’Etat, Blinken appelant à des sanctions contre les responsables gouvernementaux en Algérie pour un accord sur les armes avec la Russie. Sans le nommer mais en formulant une réponse sans équivoque, le diplomate américain a affirmé que l’achat d’armes russes par l’Algérie est «profondément problématique». «Tout pays qui continue à soutenir la Russie en ce qui concerne son conflit en Ukraine en ce moment, sa violation injuste et illégale de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de l’Ukraine, est profondément problématique», a-t-il affirmé, sans commenter la correspondance du Congrès qui n’est pas d’usage. La semaine dernière, un groupe de membres bipartites du Congrès a en effet adressé une lettre au secrétaire d’Etat Antony Blinken en exprimant leur « préoccupation concernant les récents rapports sur les liens toujours plus étroits entre la Fédération de Russie et la République algérienne démocratique et populaire », pour l’appeler à activer des sanctions contre les responsables algériens Cette fois, les Républicains, connus pour être plutôt favorables à l’Algérie à cause des intérêts des lobbies des armes et des pétroliers, se sont joints aux Démocrates, pour se saisir de l’affaire de l’alliance entre l’Algérie et la Russie et dénoncer l’alignement d’Alger sur Moscou. Vidéo associée : Une place pour l’Algérie dans les Brics ? Les 25 élus du Congrès ont indiqué qu’en principe et en application de la loi «Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act», adoptée au Congrès en 2017, le président des Etats-Unis doit imposer des sanctions aux parties « s’engagent dans une transaction importante » avec les secteurs de la défense ou du renseignement de Russie. Et l’Algérie est une partie qui engage des sommes colossales dans l’achat d’armes russes. Pas moins de 7 milliards de dollars ont été versés par l’Algérie à la Russie en achat d’armes l’année dernière. « L’Algérie a accepté d’acheter des avions de chasse russes avancés, y compris des Sukhoi 57. Jusqu’à présent, la Russie n’avait jamais accepté de vendre cet avion à aucune autre nation » ce qui prouve une relation militaire étroite entre l’Algérie et la Russie. « Ce transfert militaire a fait de l’Algérie le 3ème destinataire d’armes russes dans le monde », ont écrit les élus du Congrès américain. «Il est essentiel que le président Biden et son administration se préparent à sanctionner ceux qui tentent de financer le gouvernement russe et sa machine de guerre en achetant du matériel militaire», ont-ils plaidé. Et alors que la presse algérienne a vite crié victoire en voyant quelques jours après, le tweet à tonalité positive de l’ambassadrice américaine à Alger, Elizabeth Moore Aubin, qui a rencontré le ministre algérien des Affaires Etrangères, Ramtane Lamamra, elle était loin de s’imaginer les dessous de cette rencontre embarrassante pour l’Algérie. Car ce tweet de la diplomate américaine trahit ce que les dirigeants algériens ont tenté de faire : Camoufler cette rencontre qui était en réalité une convocation d’Elizabeth Moore Aubin par Ramtane Lamamra pour s’expliquer sur la lette des membres du Congrès. Alger qui voulait montrer ses muscles en jouant la carte de l’indignation auprès de la diplomate américaine, n’avait pas les moyens de ses ambitions puisque la diplomatie algérienne, qui a l’habitude de publier le moindre événement, n’a pas communiqué sur cette rencontre avec l’ambassadrice de la première puissance mondiale. Les raisons de ce silence algérien autour de cette rencontre sont évidentes, et trouvent leur origine dans la mauvaise presse qu’une convocation d’ambassadeur peut provoquer, surtout que l’Algérie est la partie à blâmer dans cette affaire. La peur donc, est la principale raison de l’impasse sur cette rencontre du côté d’Alger mais qui a été dévoilée par l’ambassadrice. L’autre raison de ce silence c’est que les militaires algériens ont peur de se mettre à dos la Russie en s’affichant avec les Etats-Unis en de pareilles circonstances de guerre et d’animosité des Occidentaux envers Moscou. L’Algérie se retrouve dans une situation compliquée au moment où des exercices militaires conjoints avec la Russie doivent avoir lieu prochainement, de quoi renforcer l’alignement d’Alger sur les positions russes.
  5. UE UK PESCO https://www.express.co.uk/news/uk/1679605/uk-troop-deployment-europe-eu-russia-ukraine-war Le Royaume-Uni obtient le feu vert pour un déploiement rapide de troupes européennes en « rapprochement » avec l’UE L’armée britannique a rejoint une initiative de l’UE, la coopération structurée permanente (CSP), qui implique 24 États membres et membres de l’OTAN. Par LIAM DOYLE 11:35, ven, oct 7, 2022 | MIS À JOUR: 11:49, ven, oct 7, 2022 Liz Truss interrogée par un vétéran de l’armée britannique sur « l’espoir » pour l’avenir Le Royaume-Uni a reçu le feu vert pour déplacer rapidement des troupes à travers l’Europe aujourd’hui. Les responsables de l’UE ont approuvé à l’unanimité la demande de l’armée britanniqueà une initiative dirigée par les Pays-Bas qui permet déjà la même chose pour d’autres pays de l’OTAN. La participation de la CSP permettra au Royaume-Uni d’accélérer la livraison des forces armées, mais intégrera davantage le pays au bloc. Le gouvernement a adhéré au projet de mobilité militaire, qui vise à « simplifier et normaliser les procédures de transport militaire transfrontalier ». Dans la pratique, le projet - l’un des quelque 60 parrainés par la CSP - permet aux forces armées participantes de se déplacer « sans entrave » à l’intérieur des frontières de l’UE. Les troupes peuvent se déplacer par avion, bateau, train ou convoi sans avoir besoin de « longues procédures bureaucratiques ». La CSP explique que des « groupes de travail d’experts au sein et au-delà de l’UE » et des institutions de l’UE travaillent sur le projet. L’organisation se compose de 24 États membres, qui ont tous voté pour inclure le Royaume-Uni. Le ministère de la Défense s’est félicité de la décision d’aujourd’hui, déclarant que l’adhésion s’avérerait vitale pour soutenir le paysage de la sécurité en Europe. Un porte-parole a déclaré à Politico: « Nous sommes impatients de continuer à travailler avec nos partenaires de l’UE et les alliés de l’OTAN pour coordonner notre travail conjoint pour soutenir la sécurité européenne. ». Les Pays-Bas ont également salué la nouvelle comme une aide « cruciale » pour l’invasion russe en cours de l’Ukraine. Armée britannique : la CSP permet aux pays participants d’accélérer le déploiement de troupes (Image: GETTY) Kajsa Ollongren, ministre néerlandaise de la Défense, a déclaré : « La coopération avec notre allié et partenaire, le Royaume-Uni, renforcera encore la mobilité militaire en Europe. C’est d’autant plus crucial à la lumière de la guerre en Ukraine. » Johann Frank, directeur du cabinet du président de l’EUMC, a déclaré que l’approbation était « agréable », ajoutant: « Avec l’augmentation du budget de la défense annoncée aujourd’hui, l’Autriche remplit pour la première fois son obligation de l’UE (CSP). « Il serait maintenant important, comme cela a déjà été décidé, d’investir également dans des projets européens communs ». La nouvelle arrive comme une première post-Brexit pour le Royaume-Uni, car rejoindre un projet CSP signifie que le pays doit s’engager dans la politique de sécurité et de défense commune (CDSP) de l’UE. La politique régit les membres en tant qu’aspect clé de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) plus large qui liait autrefois le Royaume-Uni aux règles commerciales de l’Union. Alors que la PESC est spécifique à l’UE, la CSP se ramifie davantage, y compris les membres de l’OTAN. La Norvège, le Canada et les États-Unis, qui ne sont pas membres, sont déjà impliqués dans l’organisation, ce qui signifie que le Royaume-Uni peut participer sans avoir à respecter les lois de l’UE. Discutant de la nouvelle sur Twitter, Nicolai von Ondarza, chef de la division UE/Europe du groupe de réflexion de l’Institut allemand pour les affaires internationales et de sécurité, a déclaré que cette décision était un « petit mais non négligeable élément du rapprochement UE-Royaume-Uni ». e Dr Charles Tannock, ancien eurodéputé de Londres, a déclaré qu’il était « bon de voir le Royaume-Uni se réengager de manière constructive avec le bloc. Il a déclaré: « Lentement, le gouvernement britannique se rend compte que le Brexit de la terre brûlée n’est pas dans l’intérêt national. « C’est une bonne chose de voir le Royaume-Uni se réengager de manière constructive dans la politique de sécurité extérieure de la CSPDP. »
  6. Article fleuve qui fait un peu le point sur les volontés des uns er des autres : https://www.rfa.org/english/news/china/taiwan-defense-10052022131555.html Taïwan « se prépare à la guerre » après les incursions chinoises sur la ligne médiane maritime L’APL a détruit un « accord tacite » lorsqu’elle a commencé à franchir la ligne médiane, à seulement 25 miles des eaux taïwanaises. Par Raymond Cheng pour RFA Cantonais, Hsia Hsiao-hwa et Hwang Chun-mei pour RFA Mandarin 2022.10.05 Des soldats taïwanais participent à un exercice de guerre urbaine au Commandement de l’entraînement de l’infanterie de l’armée à Fengshan, Kaohsiung, Taïwan, le 6 janvier 2022. Reuters L’île démocratique de Taïwan se prépare à la guerre, en réponse à l’escalade des tensions militaires en Chine avec des incursions répétées par voie aérienne et maritime, ont annoncé mercredi des ministres. Le ministre taïwanais de la Défense, Chiu Kuo-cheng, a déclaré que l’Armée populaire de libération de la Chine (APL) avait détruit ce qu’il a appelé un « accord tacite » lorsqu’elle a fait des incursions à travers la ligne médiane du détroit de Taiwan, qui sépare l’île de la Chine. Chiu a déclaré mercredi aux législateurs de Taipei que les forces taïwanaises réagiraient si la Chine franchissait une « ligne rouge », bien qu’il n’ait pas précisé ce que pourrait être une telle ligne rouge. Les avions militaires chinois ont franchi à plusieurs reprises la ligne médiane depuis qu’une visite à Taïwan le 2 août de la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, a irrité Pékin. Taïwan n’a jamais été gouvernée par le Parti communiste chinois (PCC), ni fait partie de la République populaire de Chine, mais Pékin insiste sur le fait qu’elle a une revendication territoriale sur l’île, qui était une dépendance japonaise pendant la première moitié du 20ème siècle. « La ligne médiane était censée être un accord tacite pour tout le monde », a déclaré Chiu à un comité du Yuan législatif. « Cet accord tacite a été détruit. » La ligne médiane, qui se trouve à environ 40 km (25 miles) des eaux taïwanaises, a été délimitée par un général américain au plus fort de l’hostilité entre Pékin et Taipei en 1954, et l’APL l’a largement respectée jusqu’à ce qu’un porte-parole du ministère des Affaires étrangères ait déclaré qu’il n’y avait pas une telle chose en 2020. « Ils veulent construire une nouvelle normalité mais nous ne changeons pas... Nous resterons fermes quand ils viendront. Nous ne cédons pas », a déclaré Chiu. Le ministre taïwanais de la Défense, Chiu Kuo-cheng, arrive au parlement à Taipei, au milieu de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 10 mars 2022. Crédit : Reuters « Actions irresponsables » La présidente taïwanaise Tsai Ing-wen a rejeté à plusieurs reprises l’insistance de Pékin sur « l’unification », affirmant que les 23 millions d’habitants de l’île ne souhaitaient pas renoncer à leur souveraineté ou à leur mode de vie démocratique, un point de vue largement étayé par de récents sondages d’opinion. Tsai a condamné les mesures militaires chinoises lors d’un événement de groupe de réflexion en ligne mardi, où elle a exprimé sa gratitude pour le soutien des États-Unis et des pays du G7 et a appelé à la solidarité face aux menaces de Pékin. « Les exercices militaires persistants de la Chine, les opérations en zone grise et les incursions avec du personnel militaire, des armes et des drones dans les zones autour de Taiwan sapent le statu quo à travers le détroit de Taiwan », a-t-elle déclaré. « Ces actions irresponsables empiètent sur la souveraineté de Taïwan et menacent la paix et la stabilité dans la région indo-pacifique. Ils mettent également en danger la sécurité aérienne et maritime ainsi que le commerce international dans une tentative d’éroder le droit et les normes internationales », a déclaré Tsai lors d’un événement organisé par le Global Taiwan Institute, un groupe de réflexion de Washington. « Nous savons par l’histoire et les événements actuels que les menaces contre un pays ou une région se traduisent, directement et indirectement, par des menaces croissantes contre ses voisins. C’est pourquoi la solidarité mondiale est essentielle pour contrer l’expansion autoritaire, sauvegarder la démocratie et relever les défis communs », a-t-elle déclaré. Chiu a déclaré que Taïwan se préparait déjà à une invasion chinoise. « Nous construisons notre arsenal et nous nous préparons à la guerre selon notre propre plan », a-t-il déclaré aux législateurs. Stocks de nourriture, fournitures essentielles, énergie Pendant ce temps, le vice-ministre de l’Économie, Chen Chern-chyi, a déclaré aux journalistes que le gouvernement faisait déjà des inventaires mensuels des approvisionnements alimentaires et énergétiques essentiels. Taipower, géré par l’État, et le raffineur public CPC Corp sont déjà prêts à assurer l’approvisionnement en énergie, a déclaré Chen. « Nous voulons nous assurer que nous avons une certaine période de stocks à Taïwan, y compris la nourriture, y compris les fournitures essentielles, les minéraux, les produits chimiques et l’énergie bien sûr », a-t-il déclaré. Selon un article récent de l’ancien analyste de la CIA John Culver, la Chine pourrait envahir dès 2024, mais certaines estimations disent que 2027 est plus probable. Mais il y aura des signes certains que la guerre arrive, a écrit Culver dans un éditorial pour le Carnegie Endowment for International Peace, citant l’arrêt de la démobilisation et des exercices réguliers, la construction d’hôpitaux de campagne et des exercices de propagande visant à préparer la population en général à l’impact d’un conflit militaire. « Si la Chine décide de mener une guerre de choix sur Taïwan, la surprise stratégique serait une victime de l’ampleur de l’entreprise », a écrit Culver. « Même si Xi était tenté de lancer une campagne rapide et d’espérer que la volonté de combat de Taiwan s’effondrerait rapidement, l’invasion désastreuse de l’Ukraine par la Russie a probablement incité à plus de prudence à Pékin. » « Toute invasion de Taïwan ne sera pas secrète pendant des mois avant le début des hostilités par Pékin. Ce serait une entreprise nationale de tout le régime pour une guerre qui pourrait durer des années », a-t-il déclaré. Chao Chun-shan, un expert de la Chine à l’Université Tamkang de Taïwan, a déclaré que l’invasion était presque certainement à l’ordre du jour du PCC. « Ils ont déjà mis cela à l’ordre du jour à coup sûr », a déclaré Chao à RFA. « [Nous ne savons tout simplement pas] si ce sera à court, moyen ou long terme. » Capacités PLA en question Mais il a convenu qu’il y a des points d’interrogation sur les capacités de l’APL à organiser une invasion amphibie massive. « Beaucoup de gens disent que le PCC, en particulier la marine, est un match pour les États-Unis, mais je pense que la force militaire du PCC est encore loin derrière celle des États-Unis », a déclaré Chao. « Après 2027, la probabilité qu’ils mènent cette guerre est plus élevée. » Lin Po-chou, expert militaire chinois à l’Institut de recherche sur la défense nationale et la sécurité de Taïwan, a déclaré qu’on ne savait toujours pas exactement quel soutien militaire les États-Unis offriraient à Taïwan en cas d’invasion chinoise. « S’il doit s’agir d’une opération alliée, il faudra beaucoup de coordination et d’exercices à l’avance », a déclaré Lin à RFA. « Il y a quelque temps, il y a eu des rapports selon lesquels les États-Unis prévoyaient de stocker des armes à Taïwan. La forme que prendra cette soi-disant aide n’est donc pas encore claire. » Le chef de la CIA, Bill Burns, a déclaré à CBS News le 3 octobre que les développements en Ukraine pourraient avoir changé l’approche du chef du PCC, Xi Jinping, à l’égard de Taïwan. « Je pense que le président Xi regarde ce qui se passe en Ukraine comme un faucon », a-t-il déclaré à la chaîne. « Je pense qu’il a été dégrisé dans une certaine mesure par la piètre performance de l’armée russe. » « Ces dirigeants chinois regardent également ce qui se passe lorsque vous organisez une invasion, et les gens que vous envahissez résistent avec beaucoup de courage et de ténacité. » Traduit et édité par Luisetta Mudie.
  7. On ne parle pas de çà. Plutôt que les BRICS tente de sortir du système dollar et plus intéressant encore que les saouds aussi pourtant à fond dans le systèmes des pétrodollars jusqu'à récemment. Donc les BRICS accumulent des réserves en Or pour renforcer leur systèmes. Ni plus ni moins.
  8. Plus facile à dire qu'à faire. Les russes sont sur la reculade. Pour moi l'offensive ukrainienne a été très efficace mais va devoir stopper et capitaliser sur la raspoutiza pour consolider les gains. Les russes vont faire de même. Et tout le monde va en profiter pour réorienté ses capacité de production en occident et en Russie. Reste que nous ne sommes pas beaucoup producteurs de nos ressources au contraires des russes. Les aternoiements saoud et leur volonté de rejoindre les BRICS ne sont pas une bonne nouvelle pour nos approvisionnement en hydrocarbures et donc pour nos capacité de productions globales.
  9. La même chose vu des USA : https://www.usgoldbureau.com/news/is-brics-a-threat-to-the-dollar Les BRICS sont-ils une menace pour le dollar ? 13 Juillet 20223367 vue(s) Économie mondiale Signes avant-coureurs En 2021, les pays BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) ont contribué à hauteur de 24,44 T à l’économie mondiale, soit 24% du PIB mondial total. En revanche, le G7 (États-Unis, Canada, Angleterre, Allemagne, Italie, Japon et France) a produit environ 45 % du PIB mondial total. En 1990, les BRICS produisaient 11 % du PIB mondial et le G7 66 %. Les pays du G7 et des BRICS représentent 11 des 12 plus grandes économies mondiales. L’économie de l’Afrique du Sud est la 33ème plus grande économie du monde. À l’exception de l’Inde, tous les pays des BRICS sont d’importants producteurs d’or. L’Afrique du Sud est le 8ème plus grand producteur d’or sur terre. Le Canada et les États-Unis sont les seuls grands producteurs d’or dans les pays du G7. Le G7 était officiellement le G8. Le huitième pays était la Russie. Le G8 a expulsé la Russie de l’alliance stratégique à la suite de l’annexion par la Russie en 2014 de la Crimée, une péninsule ukrainienne. Malgré l’économie massive de la Chine, la Chine n’a jamais reçu d’invitation à rejoindre le G7 en raison d’accusations de violations des droits de l’homme. Le système international de paiements bancaires s’appelle le système SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications). Environ 42 millions de transactions SWIFT ont lieu quotidiennement. Les transactions SWIFT se font principalement en dollars américains. Les pays reçoivent des sanctions via le système SWIFT. Les pays BRICS ont de plus en plus pris des mesures pour dédollariser leurs économies et se protéger des sanctions. Pendant des années, les discussions sur les règlements commerciaux en dehors du système SWIFT ont été courantes parmi les pays BRICS. Le président russe Poutine a fait des remarques en juin faisant écho à ce sentiment. Se référant aux BRICS, « ... développer des mécanismes alternatifs fiables pour les règlements internationaux » et « ... explorer la possibilité de créer une monnaie de réserve internationale basée sur le panier des monnaies des BRICS. Croissance du PIB des BRICS Les DTS (droits de tirage spéciaux) sont un panier de devises utilisées pour les transactions internationales émises par le FMI (Fonds monétaire international). Les DTS sont principalement le dollar américain, l’euro, la livre sterling, le yen japonais et le yuan chinois. En réponse aux sanctions russes, la Chine et la Russie ont accéléré leurs efforts pour créer une alternative aux DTS. Les BRICS tentent de construire un panier de devises des pays membres pour les transactions internationales. Si les BRICS réussissaient à créer une alternative aux DTS, il y aurait deux économies mondiales : les BRICS et le G7. La Russie a renforcé les alliances des BRICS en vendant du pétrole aux pays des BRICS à un rabais en dehors de SWIFT. En mai, les importations chinoises de pétrole russe ont augmenté de 55% par rapport à l’année précédente. La Russie a dépassé l’Arabie saoudite en tant que premier fournisseur de pétrole chinois. En outre, la Russie et la Chine effectuent de nombreuses transactions transfrontalières sur le bois d’œuvre en yuan chinois et en rouble russe. Un éditorial du journal communiste chinois, le Global Times, a fait valoir que les BRICS devraient faire pression pour que tous leurs membres utilisent les monnaies locales pour repousser l’hégémonie du dollar. L’article poursuivait en disant: « S’ils peuvent atteindre cet objectif, d’autres pays en développement se joindront également à eux lorsqu’il s’agira de développer une infrastructure financière alternative en réponse aux sanctions américaines imprudentes. » L’Iran a demandé à rejoindre les BRICS. La Russie est l’alliée de l’Iran, et la Chine est le principal client du pétrole iranien. Les importants gisements de pétrole de l’Iran sont probablement souhaitables pour les autres pays brics. L’Argentine a également présenté une demande aux BRICS. L’Argentine possède d’importants gisements de pétrole, de métaux et de production de bœuf. Les ressources de l’Iran et de l’Argentine sont stratégiques si les BRICS réussissent à créer une monnaie basée sur les matières premières. Après que la Russie a rattaché le rouble à l’or plus tôt cette année, la probabilité d’une monnaie adossée aux produits de base des BRICS a considérablement augmenté. L’influence économique des BRICS s’étend au-delà de ce que la plupart réalisent. Les BRICS ont ouvert une banque appelée la Nouvelle Banque de Développement (NDB) et ont commencé à financer des projets. Une déclaration conjointe des ministres des Finances des BRICS et des gouverneurs des banques centrales a déclaré: « Nous encourageons la NDB, en tant que principal fournisseur de solutions pour les infrastructures et le développement durable... développer ses opérations en monnaie locale, améliorer ses notations de crédit... y compris la réalisation d’un plus grand nombre d’entreprises de cofinancement. » Les BRICS gagnent en importance économique, mais le dollar reste fort en raison du recyclage des pétrodollars. Le système des pétrodollars est l’accord entre les États-Unis et l’Arabie saoudite pour maintenir le commerce du pétrole en dollars. 80% du commerce international du pétrole se fait en dollars américains. Le recyclage des pétrodollars se produit après les transactions pétrolières basées sur le dollar, et les dollars sont « recyclés » en investissements et infrastructures étrangers. Si le recyclage des pétrodollars prend fin et que des milliers de milliards de dollars reviennent aux États-Unis, il y aura un événement inflationniste inimaginable. L’Arabie saoudite négocie activement avec la Chine pour accepter le yuan chinois pour le pétrole. Le deuxième pilier du plan Arabie saoudite 2030 est de faire croître et de diversifier son économie. La Chine est le plus gros client de l’Arabie saoudite et achète près de 2 millions de barils par jour de pétrole saoudien. Avant que l’Arabie saoudite puisse déplacer le commerce du pétrole du dollar vers le yuan, cela se produirait probablement lentement parce que l’Arabie saoudite a encore d’importants investissements basés sur le dollar. L’Arabie saoudite s’éloignera lentement du dollar, mais elle s’éloigne. L’Arabie saoudite ne veut pas devenir l’Irak. Saddam Hussein a changé le commerce du pétrole en euros en 2001. Des accusations d’armes de destruction massive sont venues contre lui, et les États-Unis ont envahi l’Irak. Il semble que l’Arabie saoudite se dirige vers la dédollarisation. En deux ans, l’Arabie saoudite a réduit ses bons du Trésor américain de 35,2 %. En 2020, l’Arabie saoudite détenait pour 184,4 milliards de dollars de bons du Trésor américain. En janvier 2022, l’Arabie saoudite ne détenait que 119,4 milliards de dollars. La dédollarisation des BRICS représente l’une des plus grandes menaces pour le dollar. Toutes les infrastructures sont en cours de construction pour dédollariser l’économie mondiale. Le journal du Parti communiste chinois appelle à repousser l’hégémonie du dollar. Les BRICS construisent activement une monnaie et ont déjà ouvert plusieurs banques. La Russie a déjà rattaché sa monnaie à l’or. De multiples panneaux indiquent un avenir sombre pour le dollar, et en effet, il y aura une économie mondiale divisée ou une violence incroyable pour maintenir la structure économique actuelle ensemble. Les BRICS se protègent du danger du dollar et construisent leurs alliances avec l’or physique et l’énergie. L’Afrique du Sud fait partie des BRICS non pas parce que c’est une grande économie. Il a juste beaucoup d’or. La décision d’acheter de l’or est simple. Si le dollar va se renforcer, acheter de l’or n’a pas de sens. Si le dollar va s’affaiblir, que devriez-vous faire? Vous avez une décision importante à prendre. Sans vouloir fâcher personne il vient d'où notre pétrole et note gaz alternatif ? USA, Norvège et ??? Arabie Saoudite, Algérie. En Europe on est copain avec ces gens là ? Non parce que si l'envi leur prend de vouloir rentrer dans les BRICS il se passe quoi exactement sur nos ressources énergétiques ?
  10. La nouvelle monnaie des BRICS de Poutine pourrait bénéficier à l’or et au Bitcoin - analystes https://www.kitco.com/news/2022-08-25/Putin-s-BRICS-new-currency-could-benefit-gold-and-Bitcoin-analysts.html Anna Golubova jeudi 25 août 2022 13:22 Nouvelles de Kitco Partagez cet article : (Kitco Nouvelles) Avec l’accélération de la tendance mondiale à la dédollarisation, les deux actifs qui pourraient en bénéficier sont l’or et l’espace cryptographique, selon les analystes. Plus tôt cet été, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud (BRICS) développaient une nouvelle monnaie de réserve basée sur un panier. « La question de la création d’une monnaie de réserve internationale basée sur un panier de devises de nos pays est en cours d’élaboration », a déclaré M. Poutine lors du forum d’affaires des BRICS à la fin du mois de juin. « Nous sommes prêts à travailler ouvertement avec tous les partenaires équitables. » Les cinq pays tentent également de créer un mécanisme alternatif pour les paiements internationaux, a-t-il ajouté. Les BRICS pourraient également voir leurs membres s’élargir, la Turquie, l’Égypte et l’Arabie saoudite envisageant de rejoindre le groupe. Ce n’est pas la première fois que quelque chose comme ça est mentionné, les pays BRICS commençant déjà à incorporer plus de monnaies locales pour les paiements dans les échanges mutuels. Au cours de l’été, l’Inde et la Russie ont tenu des discussions pour accepter les systèmes de paiement locaux RuPay et Mir de l’autre, selon le Deccan Herald. Les analystes considèrent cette nouvelle proposition de monnaie de réserve des BRICS comme une alternative au dollar américain et à la monnaie des droits de tirage spéciaux (DTS) du Fonds monétaire international (FMI). « On ne peut que penser qu’il s’agit d’une mesure visant à remédier à l’hégémonie perçue des États-Unis du FMI et permettra aux BRICS de construire leur propre sphère d’influence et unité monétaire dans cette sphère », a déclaré Chris Turner, responsable mondial des marchés chez ING. Les efforts de dédollarisation de la Russie sont loin d’être nouveaux, mais ils ont été accélérés à la suite des sanctions occidentales imposées à la Russie après son invasion de l’Ukraine à la fin du mois de février. « La rapidité avec laquelle les pays occidentaux et leurs alliés ont sanctionné les réserves de change russes (gelant environ la moitié) a sans aucun doute choqué les autorités russes. La Banque centrale de Russie l’a effectivement admis et il ne fait aucun doute que certains pays des BRICS – en particulier la Chine – ont pris note de la rapidité et de la furtivité avec lesquelles le Trésor américain a agi », a souligné Turner. « Les pays des BRICS peuvent donc sentir qu’ils ont besoin d’une monnaie de réserve alternative pour correspondre à quelque chose comme les DTS du FMI. » Les DTS du FMI ne sont pas une monnaie en soi. Au lieu de cela, il s’agit d’un panier de créances sur les principales monnaies de réserve telles que le dollar, l’euro, la livre, le yen et le renminbi, a expliqué Turner. La sécurité, la liquidité et le rendement constituent une excellente monnaie de réserve, c’est pourquoi les BRICS pourraient potentiellement se tourner vers l’or, a-t-il ajouté. « Nous doutons que les nations mercantilistes impliquées dans les BRICS veuillent transférer de précieuses réserves de change dans cette sphère d’influence plus locale. S’ils s’inquiètent de la voie des sanctions et de la militarisation croissante du dollar, ils pourraient, comme la Russie, préférer passer à l’or », a déclaré Turner. Un autre actif qui pourrait bénéficier d’un mouvement de dédollarisation plus important est Bitcoin, a déclaré John LaForge, responsable de la stratégie des actifs réels de Wells Fargo. « Si cela fonctionne et que vous regardez dans 20 ans, vous auriez une influence occidentale dollar-euro. Et de l’autre côté, vous auriez le rouble yuan-Russie de la Chine, ou quelle que soit cette combinaison. Et puis vous auriez la troisième option appelée Bitcoin, qui est la option intermédiaire qui n’est pas basée sur les pays mais basée sur des individus disant qu’ils ne veulent pas voter avec un bloc particulier, préférant une monnaie mondiale qui n’est contrôlée par personne », a-t-il déclaré à Kitco News. « Ces deux blocs qui se battent pourraient ouvrir des opportunités pour que quelque chose d’autre [comme Bitcoin] apparaisse plus tard. » Impact sur le dollar Entre-temps, le billet vert a bondi, l’indice du dollar américain se négociant près de ses plus hauts niveaux en 20 ans avant le symposium très attendu de Jackson Hole. Au cours de l’été, le dollar est devenu la valeur refuge populaire alors que d’autres économies sont aux prises avec des problèmes d’inflation et de croissance plus problématiques. Et le dollar américain pourrait conserver sa force pendant les six prochains mois, selon LaForge. « Notre scénario de base est que les États-Unis entreront en récession quelque part en octobre ou en novembre, qui durera jusqu’au milieu de l’année prochaine. En règle générale, le dollar perd de sa force lorsque les signaux indiquent que les États-Unis sortent de la récession. Donc, si notre scénario de base est correct, vous pourriez voir le dollar commencer à agir plus faiblement au T1 de l’année prochaine en prévision de cela », a-t-il décrit. D’ici là, le dollar continuera d’agir comme cet actif défensif. En outre, la proposition des BRICS de créer leur propre monnaie de réserve devrait avoir un impact limité sur le dollar américain à court terme. Cependant, si la tendance à la dédollarisation continue de s’accélérer, elle laissera une marque sur le billet vert, a déclaré LaForge. « Si vous regardez les réserves de change en dollars détenues par les banques centrales à l’échelle mondiale, cela diminue un peu. Ils commencent à ramasser plus de devises alternatives. Cela dure depuis 15 ans – le vent lent qui s’éloigne du dollar », a-t-il souligné. « L’impact à long terme n’est pas une chose majeure. Mais cette combinaison de [grands acteurs comme] la Chine et la Russie qui se réunissent pour former leur nouveau bloc monétaire est réelle. »
  11. herciv

    L'armée de Terre Française

    Nouvelle chaussure pour l'armée française et retour de la mi botte pour la marine. http://www.opex360.com/2022/10/09/le-commissariat-des-armees-devoile-la-nouvelle-chaussure-de-combat-zone-temperee/ Ainsi, selon la description qui en est faite, le modèle retenu est « totalement étanche et particulièrement robuste », tout en promettant un « confort renforcé ». En outre, il est « adapté l’aéro-cordage et au saut en parachute » ainsi qu’aux marches quotidiennes de plus de dix kilomètres et à celles, « exceptionnelles », de cinquante kilomètres. L’accent a été mis sur le confort « thermique » puisque, explique le Commissariat des Armées, le but est et de « garder le pied au sec, même après une journée passée sur des terrains humides, boueux ou enneigés », voire de « dépasser les 72 heures de port ininterrompues, en cas de nécessité opérationnelle ». Ces chaussures de combat pour milieu tempéré, au coloris « coyote », seront distribuées par Haix [60%] et Meindl [40%]. En tout cas, elles ne s’inspirent pas du « Brodequin de marche à jambière attenante » [ou Rangers], qui ont disparu du paquetage à partir de 2008… En revanche, pour la Marine nationale, le CIEC est revenu aux sources en relançant la production des « mythiques mi-bottes » du marin.
  12. Ce que tu évoques c'est des capacités de productions pour lesquels il faudrait avoir investi. Pas de commandes pas de moyens de productions. Il y a des commandes de munitions aux US et en France et donc en Espagne d'après ton post. ET je le redis heureusement qu'il n'y a qu'un conflit haute intensité actuellement. Ce va donner le temps pour reconvertir nos industries. EN 14-18 ce sont surtout les industries automobiles qui avaient réorientés leur capacités de production pas les industrie militaires.
  13. D'un autre côté la Pologne est en train de réveiller ses vieux démons et je comprends que çà pose des questions à l'Allemagne. Sans même aller jusqu'à là la volonté d'armement de la Pologne peut inquièter. La Pologne est un pays aussi gros que l'Espagne. La France est très isolé en Europe, Macron parle beaucoup sans être entendu. La Pologne va tâcher de capitaliser sur le conflit Ukrainien pour gagner en influence. Alors peut-être qu'il y a quelque chose à faire. Reformer une unité franco-allemande par exemple. Mais il va falloir parler projet commun, stratégie commune, moyen commun, partage de ressources ... Et pour l'instant la notion de solidarité n'a même pas été mise en oeuvre pour les ressources énergétiques.
  14. Sur la base de vos calculs à tous ca veut dire 13000 munitions fabriquées en deux mois et consommées en deux jours. Va falloir augmenter un peu les cadences ...
  15. Dans le cas d'une offensive tu est obligé de planifier une consommation largement en amont. Si cette consommation a déjà atteint son max il est normal qu'on voit des avertissements venant des US.
  16. Oui dans l'ordre du plus gros problème au plus petit c'est javelin, himars, 155. 5000 himars par an çà permet déjà d'avoir de quoi faire quand le sol dur sera revenu. Le 155 par contrBref e même si on ne sait pas vraiment la cadence de tir, 6000 çà peut paraitre beaucoup ou pas ..... ET entre les 880 000 donné par les US plus les 200000 donné par ailleurs j'ai un peu l'impression que les avertissement ne sont pas que en l'air.
  17. Ca pourrait. Mais ce n'est pas le premier article sur le sujet, ni la seule source d'informations là-dessus ... Et ce n'est pas comme si avant la guerre la réorganisation des armées US n'avait donné lieu à une certaines méfiances (de même en europe) en cas de pépin.
  18. Complètement d'accord avec toutes ces questions. Tu peux rajouter aussi qu'une offensive est potentiellement plus consommatrice en munition qu'une défense. Bref il y a des hauts, il y a des bas et il y a des capacité de prod qui ne sont pas suffisante à l'heure actuelle. Les ukrainiens nous fournissnet du temps pour réorganiser notre industrie (mais aura-t'on la capacité pour le faire avec le coût de l'énergie actuel ?)
  19. J'en convient. Je conviens également que je peux me tromper. Mais là on a un article et des sources US haut placées qui disent : "L'armée américaine ne pourra bientôt plus fournir à l'Ukraine les équipements de pointe qu'elle lui a donnés jusqu'ici, ses réserves arrivant à leurs limites notamment en termes de munitions, selon les responsables et des experts américains. " En raisonnant autrement je pose la question quel impact sur l'offensive en cours ? Zéro impact ?
  20. Au contraire. Mais il y a les capacités avant la guerre sur lesquelles les stocks actuels ont été fait, les capacités actuelles qui résulte de commande urgente mais qui n'ont pas encore profités de la réorganisation des industriels et les capacités à venir qui vont prendre de plus en plus d'importantce.
  21. EH ben heureusement que tu précises. Je n'avais pas du tout cette signification en tête. Pour moi leadership n'a pas cette signification. Il signifie plutôt action menée sous commandement d'un pays avec une coalition autour de lui. Dans ces conditions il y aura un leadership assumée par une seule nation en permanence ou leadership tournant. Je ne pense pas qu'il puisse y avoir autre chose qu'un leadership tournant comme par exemple avec l'OTAN. oui mais çà restera insuffisant, le passage de la France au Mali ne lui a pas permis d'assoir un quelconque leadership. Et d'ailleur je ne pense pas qu'il y ait une volonté là-dessus en France. La France cherche plutôt un leadership tournant réparti entre toute les nations les unes après les autres. Ca je ne le savais pas et c'est intéressant. Je pense que l'Allemagne est dans une attitude de contrôle sur les volontés polonaises par rapport à l'Ukraine. @Patrick tu vas adorer ce post à propos de KMW
  22. Ben c'est sûr qu'elle accélère l'article en donne des détails d'ailleurs : "Or Lockheed Martin ne produit actuellement que 5.000 de ces roquettes de haute précision par an, et même si le gouvernement américain a débloqué des fonds pour accélérer cette production, les Etats-Unis mettront plusieurs années à reconstituer leurs stocks, ajoute-t-il. Washington a livré à Kiev quelque 8.500 missiles pour Javelin, mais la production annuelle de cet armement symbole de la résistance ukrainienne n'est que de 1.000 missiles." Ca veut dire Qu'en avril de l'année prochaine une nouvelle campagne HIMARS pourra commencer, mais que pour le Javelin çà va être plus compliqué. Reste les 155 qui seront peut-être livré au fil de l'eau ... Bref "accélérer" la production ne dit rien des livraisons actuelles. Reste que l'article de base prévient que les US vonr devoir faire une pause dans leur livraison et je ne vois pas comment çà n'aura pas de conséquence sur le front. Plus exactement on est dans le cas où les stocks US ne peuvent aller plus bas et ou les ukrainiens vont devoir se battre non plus sur la stocks mais sur la production. Soit 5000 HIMARS/ an et 1000 javelin /an et je n'ai pas la prod de 155. Ca veut dire qu'aucune de ces munitions ne pourra plus être tirée ave la même intensité et sur une aussi longue période que jusqu'à maintenant. Quand tu est général et que tu planifies une offensive tu planifies les moyens qui vont avec. ET là on te dis que ces moyens ne seront plus les mêmes ni en quantité ni même en nature ... sauf si tu reconstitue tes propres stocks. Quand je lis un article de cette nature j'intègre également d'autres marqueur qui me permette d'en comprendre la portée. Il a été dit que le volume de feu des ukrainiens était de 6000 coups d'artillerie/ jours. Ca veut dire que les 850000 obus fournis par les US cité dans l'article était consommés en 140 jours plus les stock européens on arrive grosso merdo au 6 mois actuels. Est-ce que les ukrainiens sont capables de trouver 6000 obus par jour et les amener jusqu'à eux ? C'est possibles mais il va falloir travailler un peu l'organisation log et trouver de gentils fournisseurs capable de fournir 6000 obus / jour. Désolé la réalité des chiffres donnent peu de chance au scénario de Koffman de la poursuite de l'offensive pendant très lontemps. Koffman dit attendre l'huvers pour voir la fin de l'offensive moi je dis que çà sera la raspoutiza voir avant.
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