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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Ils n'ont pas le droit évidemment par rapport au traité de non prolifération. Les iraniens vont rendre caduque ce traité et il va éclater et quelque part çà va arranger beaucoup de monde (dont les Allemands et les Australiens).
  2. Il veut que les négo entre les ministères se fassent non pas sur le budget mais sur les besoins. c'est ce que signifie "le plus besoin". Quelque part il affirme ainsi la prééminence des armées dans les choix qui vont venir. Parce que je vois mal Bercy discuter des besoins militaires à la place du CEMA. Pas sûr que çà ce soit si mal passé pour le CEMA.
  3. Le groupe Mars publie dans la Tribune : https://www.latribune.fr/opinions/l-avenir-de-la-defense-de-la-france-a-tout-a-perdre-dans-le-scaf-2-2-936113.html L'avenir de la défense de la France a tout à perdre dans le SCAF (2/2) Après le premier volet, le groupe de réflexions MARS publie le deuxième et dernier volet de son analyse sur la relation franco-allemande. Après avoir abordé la question ukrainienne, il décline dans ce volet l'échec de la coopération franco-allemande. "Le seul problème est l'aveuglement et le déni français", estime le groupe MARS. Le groupe de réflexions Mars (*) 11 Oct 2022, 8:00 Entendons-nous bien. Notre propos n'est pas de dénoncer un quelconque complot. Non, c'est tout au contraire une politique de longue haleine qui est tout sauf secrète. C'est le droit des Allemands de vouloir en quelque sorte « venger Keitel » en prenant leur revanche dans la défense après leur renaissance économique et la réunification. (Crédits : Dassault Aviation / Pierre Barut) En dehors des terroristes islamistes, notre pays n'a, à ce jour, pas d'ennemi. Pour autant, il convient d'être lucides. Ce n'est pas parce que nous sommes satisfaits et pacifiques que les autres le sont aussi. En fait, peu de pays au monde sont aussi satisfaits et pacifiques que la France. Nous avons ainsi longtemps vécu dans le déni de la menace terroriste d'inspiration salafiste : entre les attentats du RER B et ceux de Charlie Hebdo, vingt ans ont passé. Aujourd'hui le djihadisme est justement dénoncé et identifié. Il a fallu 20 ans pour admettre qu'il existait une menace intérieure. Nous sommes en 2022, vingt ans après l'entrée dans l'euro. Il est peut-être temps de comprendre qu'une autre guerre nous a été alors déclarée, cette fois une menace intérieure à l'Union européenne. Si les modes d'actions (non violents) sont heureusement différents, ses motivations partagent les mêmes ressorts du ressentiment. A l'origine du couple franco-allemand Il faut remonter au 8 mai 1945 pour comprendre la cause du ressentiment de certains Allemands. Quand Staline apprend le 7 mai au soir que la capitulation du IIIe Reich a été signée par le maréchal Jodl au QG d'Eisenhower installé dans un collège de Reims, il est furieux et exige une nouvelle cérémonie à Berlin au QG du maréchal Joukov. Contrairement à ce qui est souvent dit, ce n'est pas l'arrêt des combats sur le front ouest qui est signé à Reims et sur le front est le lendemain à Berlin, c'est la capitulation sans condition des armées allemandes sur tous les fronts qui est signée une première fois à Reims et une seconde fois à Berlin, à la demande de Staline, le texte de la seconde abrogeant la première. Or, si la France est absente à Reims (quelle ironie !), sinon en tant que témoin via un modeste représentant du général de Gaulle, le général de Lattre de Tassigny, commandant la 1e armée française, impose sa présence sur l'acte définitif, au grand désespoir du maréchal Keitel (qui sera condamné à mort à Nuremberg) et à la surprise des trois représentants des grands vainqueurs. La France devient ainsi le 4e vainqueur de la guerre « sur tapis vert ». Même si l'alliance signée l'année précédente avec de Gaulle permet de la justifier, la manœuvre de Staline (sans l'accord de qui de Lattre n'aurait pu accéder au QG de Joukov) tient moins à l'amour de la France (trahie en 1939 et non invitée à Yalta) qu'à sa volonté de diviser les Occidentaux. C'est à cet extraordinaire retournement de l'histoire, appuyée à la conférence de San Francisco par la Grande-Bretagne d'Attlee, que la France doit aujourd'hui de siéger en tant que membre permanent du conseil de sécurité des Nations unies (P5). Les Allemands ont longtemps accepté cette situation, la prédominance politique de la France en Europe justifiant en miroir la reconquête de leur prédominance économique, qui était loin d'être acquise jusque dans les années 1980. Cet équilibre vertueux est illustré par le couple Mitterrand-Kohl, immortalisé dans une inoubliable posture à Verdun près de 70 ans après l'effroyable bataille. Pour Helmut Kohl, l'Allemagne réunifiée ne se concevait ni comme une puissance dominante en Europe, ni contre la France. Angela Merkel, parvenue au pouvoir après avoir évincé son mentor, n'en gardait pas moins le même logiciel. Entre les deux, la parenthèse Schröder était parvenue à maintenir un équilibre dynamique avec la France de la cohabitation. Aujourd'hui, ce qui restera sans doute comme la parenthèse Scholz, avant le retour des conservateurs, ignore ostensiblement une France affaiblie par vingt ans de déficits dus avant tout aux conditions défavorables d'entrée dans l'euro. S'en est fini de cette époque heureuse d'échanges et de jumelages ouverte par le traité de l'Élysée de 1963. L'UE ? Une guerre en dentelle mais une guerre Dès lors, les Allemands, qui ne parlent même plus de tandem franco-allemand là où Paris croit encore dans son « couple » avec Berlin, considèrent qu'il est temps de secouer le joug politico-militaire imposé par les vainqueurs de 1945. Il en résulte un nouveau discours allemand (explicité très clairement par le Chancelier Scholz dans son discours de Prague) qui revendique son émancipation et son primat en Europe au prétexte de la défense de l'Ukraine. Le pilier de l'OTAN en Europe, c'est la Bundeswehr, point. Les autres sont les bienvenus en tant que supplétifs. Que la France aille barboter et s'enliser ailleurs, c'est très bien ; Bismarck aurait applaudi. Mais la haute intensité en Europe, c'est désormais l'Allemagne, seule. Le problème n'est pas que les autres soient ingrats ou méchants ; ils ne font que travailler en fonction de leurs intérêts. Le problème est purement français. Comme en 1940, notre pays vit dans l'illusion, non d'une ligne Maginot, mais d'une « Europe puissance qui protège », sans se rendre compte que notre naïveté permet à nos partenaires de manœuvrer pour leurs intérêts contre les nôtres. L'UE, c'est la guerre, économique interne. Une guerre en dentelle, mais une guerre. L'UE ne préserve la paix en Europe qu'à condition d'organiser la compétition entre États membres. L'UE n'est qu'un marché, mais ce marché est le champ de bataille sur lequel les nations européennes policent leurs rivalités en les transformant en affrontement économique. Mais, comme on disait jusqu'en 1998, le football, c'est simple : c'est un ballon, un arbitre, onze joueurs de chaque côté, et à la fin, c'est l'Allemagne qui gagne. On peut y croire, ou pas. UE : tuer les champions de la défense français L'euro fort fait partie de cette stratégie de puissance, non pas de l'Europe (l'euro a échoué à concurrencer le dollar en dépit du différentiel de PIB), mais de l'Allemagne. En négociant favorablement les parités (un mark sous-évalué quand le franc et la lire étaient surévalués) à une époque où il fallait aider l'Allemagne à absorber les Länder de l'Est, l'économie allemande a bénéficié d'une rente qui ne fait que s'accroître année après année. Encore une fois, le problème est français. Le Trésor se félicitait de limiter ainsi l'inflation importée tout en incitant les entreprises exportatrices à tenir leurs coûts pour préserver leurs marges. Il en a résulté une baisse tendancielle du pouvoir d'achat (concomitant au passage aux 35 heures) et une désindustrialisation qui fait aujourd'hui de la France l'un des pays de l'UE où la part de l'industrie dans le PIB est la plus faible. Simultanément, il fallait neutraliser le principal avantage concurrentiel de la France en Europe : les bas coûts de l'électricité produite alors à 80% par le parc électronucléaire d'EDF. L'UE a alors inventé, au nom de la libre concurrence, l'usine à gaz (sans jeu de mots) des marchés de l'énergie. Parallèlement, la France sabordait Areva, vendait (à l'instigation des États-Unis) Alstom à l'encan et saignait EDF. C'est toujours au nom de la libre concurrence sur le marché de l'armement (véritable oxymore) que la Commission européenne s'emploie depuis près de vingt ans à démanteler les champions européens du secteur, au profit d'une « union européenne de défense plus inclusive », où la défense n'est pas comprise comme un enjeu vital de sécurité, mais un banal secteur économique. Cela s'entend dès lors que l'on admet que l'UE n'est qu'un marché et que la défense de l'Europe est garantie par l'OTAN. Encore une fois, il faut être Français pour croire que l'UE de la taxonomie (1) puisse parvenir un jour à défendre les Européens. Coopérations : illusions perdues Bien entendu, il n'est question d'inclusivité que pour l'industrie de défense. On peine à trouver l'équivalent dans d'autres secteurs, où prévalent quelques champions et un tissu de partenaires et sous-traitants dans les pays à bas coûts de main d'œuvre ; l'inclusivité est alors verticale. Avec la PESCO et le FEDEF, la France a vainement tenté de promouvoir une logique de puissance à l'échelle européenne. Les coopérations structurées permanentes en matière de défense, fonctionnant selon une logique intergouvernementale, sont un échec, de l'aveu même du secrétariat PESCO dans son dernier rapport remis au comité politique et de sécurité de l'UE (COPS). Quant au fonds européen de défense, l'affaire HYDEF (2) montre que l'outil a déjà perdu sa pertinence, et la Commission sa crédibilité. Reste à la France l'illusion des coopérations bilatérales. On peut reprocher beaucoup de choses au premier quinquennat Macron, mais pas d'avoir négligé la dimension franco-allemande. Cinq ans plus tard, il ne reste rien des grands projets de l'été 2017 (3). La liste des acronymes, comme autant d'illusions perdues, est connue : MGCS, CIFS, MAWS, Tigre Mark3, RPAS, SCAF. Berlin a renié sa parole sur tous ces projets, sauf pour l'Eurodrone (lancé avant 2017) dont le pilotage lui a été confié. Il en résulte un programme qui arrivera avec dix ans de retard et fournira une solution qui ne répond pas au besoin militaire français. Pour la rénovation du Tigre et l'avenir de la patrouille maritime, la Bundeswehr achètera finalement américain. L'artillerie du futur est reportée sine die. Après avoir obtenu le contrôle de Nexter, l'Allemagne a imposé Rheinmetall dans le programme de système de combat terrestre futur ; normal, c'est Berlin qui pilote. En échange de quoi, les Français avaient obtenu en 2017 le pilotage du projet SCAF ; pourtant cette fois, tout est négociable et chaque compromis est renégocié. Cinq ans plus tard, à force de passer au laminoir des exigences allemandes, la part française est tombée à 33% et cette part est encore en train d'être renégociée. Cela fait 18 mois que le projet n'avance plus, la partie allemande n'étant toujours pas satisfaite d'un partage pourtant déjà très éloigné du deal initial. Il y a 18 mois, le groupe MARS titrait « SCAF, faut-il persévérer dans l'erreur » (4). La réponse est non. Il n'est que trop clair que le « but de guerre » de la partie allemande est moins de « nourrir Manching » (donner de la charge de travail aux héritiers de Messerschmidt en Bavière) que de tuer cette avance technologique française qui permet au vainqueur inattendu de 1945 de continuer à légitimer son siège au P5 en pérennisant la composante aérienne de sa force de dissuasion, dont les principaux maître d'œuvre industriels sont Dassault et MBDA. Comme par hasard, Composante que les Britanniques ont eux-mêmes abandonné. Tuer Ariane 6 La politique spatiale de l'Allemagne n'a pas d'autre but. Après avoir concurrencé Airbus et Thales dans le secteur des satellites, au mépris du partage des tâches convenu, Berlin s'attaque aux lanceurs. Son « but de guerre » est de tuer Ariane 6, d'un côté en récupérant la fabrication du moteur, d'un autre côté en soutenant une industrie du petit lanceur et en confiant ses lancements institutionnels à la concurrence américaine. Parce qu'en tuant Ariane 6, c'est le modèle économique d'ArianeGroup qui sera anéanti, et donc la pérennité de la composante océanique de la dissuasion française. Et l'on s'étonne de la haine mortelle que vouent les chantiers de Kiel à Naval Group, au point d'orchestrer une guerre de l'information aux antipodes, afin de préparer le retournement des Australiens (5). Entendons-nous bien. Notre propos n'est pas de dénoncer un quelconque complot. Non, c'est tout au contraire une politique de longue haleine qui est tout sauf secrète. C'est le droit des Allemands de vouloir en quelque sorte « venger Keitel » en prenant leur revanche dans la défense après leur renaissance économique et la réunification. Comme le chantait autrefois Jean-Jacques Goldman à une époque où le couple franco-allemand était une réalité : « aurais-je été meilleur ou pire que ces gens, si j'avais été Allemand ? » Le seul problème est l'aveuglement et le déni français. La France a tout à perdre dans le SCAF Alors, lorsqu'un ministre assure que « le SCAF se fera », on voudrait être sûr qu'il ait tout cela à l'esprit. La France a besoin de pérenniser la composante aérienne de sa dissuasion. Ce faisant, elle renouvellera son parc d'avions de combat pour toutes les autres missions de combat aérien qu'une armée de « première division » doit pouvoir remplir, y compris la guerre navale. Pour cela, il faut d'abord un avion d'arme piloté, au centre d'un système de combat comprenant des drones armés, des drones de mission et des munitions autonomes pour l'accompagner. Cet appareil doit rester assez léger pour être catapulté d'un porte-avions et assez manœuvrant en combat aérien. Est-ce le besoin allemand ? Non, puisque les missions nucléaires et aéronavales ont été sorties d'emblée des spécifications initiales du programme (high level requirements). Dès lors, à quoi bon continuer dans une coopération bilatérale sans finalité opérationnelle ? L'expérience de l'A400M, avec un partage industriel aux conséquences désastreuses, et de l'Eurodrone, qui arrivera trop tard sans satisfaire le besoin français, devrait nous alerter. Encore ne s'agit-il pas d'outils de combat destinés à délivrer l'ultime avertissement aux ordres du chef des armées. L'avenir de la défense de la France a tout à perdre dans le SCAF. Laissons le projet mourir, attendons l'échec de Tempest, et reprenons avec les Britanniques, voire avec les Suédois, les Italiens, les Néerlandais, les Belges, les Suisses, les Grecs et même les Allemands et les Espagnols, une coopération gagnant-gagnant sur le modèle du nEUROn ! Mais restons fermes sur la défense de nos intérêts vitaux. A terme, c'est l'équilibre de la construction européenne qui est en jeu, et la pérennité d'une Europe en paix.
  4. En gros la court des comptes demande une planification et une planification votable, une LPM ... On va enfin avoir le fond de l'âme des allemands concernant les coopérations avec les Français. Fini les votes avec une vision à court terme. Mi-Novembre on saura pour le MGCS et le FCAS. Ca c'est un début de réponse sur les débâts en cour concernant cette LPM et ce qu'elle pourrait contenir concernant le FCAS et le MGCS.
  5. herciv

    Armée de l'Air hellénique

    On ne part pas de rien non plus. Les compétences et les filières existent. Le Rafale en Europe n'est plus une alternative. Par contre en Indo-Pacifique si.
  6. Je te répond ici. Oui il va falloir choisir. Les US commencent à tordre le bras de ceux qui ne veulent pas choisir. Cf les saouds. Travailler avec nos alliés veux dire qu'il faudra communiquer avec eux. Quid du f-35 et du Rafale ? Quid de l'interopérabilité de SCORPION ? Et contrairement aux apparences la réponse des US n'est pas aisées. Si tu suis regardes ce fil, tu sais que la France affiche un positionnement critique que LEMAIRE a encore repris hier. L'ouverture des protocole du f-35 va être scrutée de très prêt pour savoir à quel point on s'impliquera dans l'alliance autour des US. Si les US ne le font pas il n'est pas impossible que la France affiche une communauté de vue avec l'Inde et revoie son positionnement stratégique en conséquence. Pourquoi les US nous ferait une fleur : parce que pour l'instant on a la seul force cohérente et prête à être engagée en Europe et surtout à l'autre bout du monde. Le reste de l'OTAN va avoir du taf en arctique. Il ne faudrait pas oublier que toute les commandes de F-35 ne vont pas être honorée du jour au lendemain et que si les US ont besoin d'aide dans le pacifique elle viendra difficilement d'Europe. Dans le Pacifique le Rafale est bien plus présent qu'en Europe. Les US peuvent difficilement faire l'impasse sur la force qu'il représente là-bas.
  7. Le producteur Norvègien Vår Energi contraint de baisser sa production de pétrole et de gaz : ZONEBOURSE Vår Energi revoit à la baisse ses perspectives de production pour l'exercice 22, alors que la production du troisième trimestre chute en raison de problèmes opérationnels. 11/10/2022 | 07:23 (MT Newswires) -- Vår Energi (VAR.OL) a abaissé mardi ses prévisions de production pour l'ensemble de l'année après que sa production au troisième trimestre ait chuté de 11 % par rapport à l'année précédente en raison de problèmes opérationnels sur les champs exploités par ses partenaires et par la société. Au cours du troisième trimestre, la production nette de pétrole, de liquides et de gaz naturel de Vår Energi s'est élevée en moyenne à 215 000 barils équivalent pétrole par jour, contre 242 000 boepd l'année précédente. Le prix moyen réalisé pour le troisième trimestre a atteint 139 $ par baril d'équivalent pétrole dans un contexte de prix des matières premières élevés. En conséquence, la compagnie pétrolière et gazière norvégienne prévoit maintenant que la production pour l'ensemble de l'année se situera entre 220 000 boepd et 225 000 boepd, en baisse par rapport à la prévision précédente de 230 000 boepd à 245 000 boepd. Vår Energi a baissé d'environ 2 % à la clôture de lundi.
  8. Zonebourse : L'Iran s'active pour accroître l'enrichissement de son uranium, selon l'AIEA 11/10/2022 | 00:13 VIENNE, 11 octobre (Reuters) - L'Iran s'active pour mener à bien une expansion programmée de l'enrichissement de son uranium via des centrifugeuses de pointe situées dans son site souterrain de Natanz et prévoit désormais d'aller encore plus loin dans cette démarche, a déclaré lundi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) dans un rapport confidentiel que Reuters a pu consulter. Un tiers des trois cascades de centrifugeuses de pointe IR-6 récemment installées à Natanz est désormais opérationnel, est-il indiqué dans le document transmis aux pays membres. L'agence onusienne ajoute avoir été informée par l'Iran d'un projet de trois cascades supplémentaires de centrifugeuses IR-2m sur ce même site, en plus des 12 qui devaient déjà y être installées. (Reportage Francois Murphy; rédigé par le bureau de Paris)
  9. En effet Oui mais les deux ont besoin d'un parrainage qui se faisait jusqu'à récemment par les US. Là çà devient l'Inde. Parce que l'Inde va devenir le chef de file des non alignés. Mais elle doit assumer cette position . Et compte tenu de la réaction US sur l'Arabie Saoudite l'Inde va devoir sortir du bois maintenant. Sinon il n'y aura que deux alternative le camp des US et le camp de la Chine. Ben c'est tout l'enjeu autour des indiens justement. Beaucoup voudrait se passer du soutien US sans avoir à choisir la Chine et regardent vers L'Inde. L'Inde a bien affirmer son attachement à ne pas s'aligné plusieurs fois depuis el début de la guerre. Mais elle n'a pas encore affirmer de lead sur le groupe des non alignés. Zonebourse : La nouvelle stratégie arctique de Biden prévoit une compétition avec la Russie et la Chine 11/10/2022 | 04:08 Les États-Unis ont dévoilé vendredi une nouvelle stratégie pour l'Arctique qui prévoit une concurrence accrue avec la Russie et la Chine dans cette région stratégique. "Nous exercerons la présence du gouvernement américain nécessaire pour protéger le peuple américain et défendre notre territoire souverain", indique une fiche d'information sur la nouvelle stratégie publiée par la Maison Blanche. La Russie a rouvert des centaines de sites militaires de l'ère soviétique dans la région, a déclaré en août le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, ajoutant que les capacités russes dans cette région constituent un défi stratégique pour l'alliance de 30 nations. La Chine, qui se décrit comme un État "proche de l'Arctique", a également des ambitions dans la région et a déclaré vouloir construire une "route de la soie polaire". La Chine a l'œil sur les ressources minérales et les nouvelles routes de navigation à mesure que les calottes glaciaires reculent avec la hausse des températures. La nouvelle stratégie américaine, une mise à jour de sa prédécesseur de 2013, indique que les États-Unis recherchent une région arctique "pacifique, stable, prospère et coopérative." Elle aborde le changement climatique avec plus d'urgence et dirige de nouveaux investissements dans le développement durable afin d'améliorer les moyens de subsistance des résidents de l'Arctique, tout en préservant l'environnement. La stratégie "tient également compte de la concurrence stratégique croissante dans l'Arctique, exacerbée par la guerre non provoquée de la Russie en Ukraine et les efforts accrus de la République populaire de Chine pour gagner en influence dans la région, et cherche à positionner les États-Unis pour à la fois rivaliser efficacement et gérer les tensions", a déclaré la Maison Blanche. La Maison Blanche a déclaré que les États-Unis "dissuaderont les menaces contre la patrie américaine et nos alliés en renforçant les capacités nécessaires pour défendre nos intérêts dans l'Arctique, tout en coordonnant les approches partagées de la sécurité avec les alliés et les partenaires et en atténuant les risques d'escalade involontaire". (Cette histoire a été corrigée pour corriger les fautes d'orthographe dans les deux premiers paragraphes)
  10. Je n'avais pas çà en tête ... Mais ils plannent tellement. J'imagine que le prochain messie ne peut être que Américain ?
  11. On est rentré dans une nouvelle guerre. Le général fera en sorte que les attaques se continuent et les défenses anti aérienne ukrainiennes vont être très sollicitées. Jusqu'à maintenant nos points de repère était 14-18 là çà va devenir 39-45.
  12. Ca fait des mois que le Gvt US vide ses réserves stratégiques pour calmer les prix de l'essence à la pompe. Les US se demande même s'ils ne doivent pas interdire les exports d'essence. Ce qui serait un comble pour des libéraliste. Ils vont finir par le faire et c'est bien ce qui me fait dire que le libéralisme est mis entre parenthèse en ce moment. Les saouds ont besoins d'un intermédiaires (d'un parrain) pour discuter avec les israéliens. Jusqu'à maintenant c'était les US. Mais les US ne sont pas un grand client du pétrole saoud aux contraires des indiens et des chinois. Perdre les saouds et les accords concernant l'obligation d'achat de pétrole en dollar va faire très mal aux US.
  13. Je pense que les israéliens se sont rapprochés à dessein des indiens avec cet objectif en vue. Garder cette miscibilité malgré les rapports compliqué entre les Saouds et sammy.
  14. Je pense que le libéralisme a été mis entre parenthèse pour un bon moment. Les US montrant la voie avec un interventionnisme de plus en plus visible sur leur économie. C'est sûrement le cas mais la tectonique des plaques diplomatiques fait que l'AS semble s'écarter des US et clairement çà fait réagir au sommet de l'état.
  15. Le monde change. Et là on parle du pétrodollar quand même. L'AS est un dossier ultra chaud pour les US. Le risque c'est la déconnexion de l'achat obligatoire du pétrole en dollar ...
  16. C'est un appel à la solidarité entre allié. Il met les US devant leur responsabilité et prends les autres à témoin.
  17. Ca c'est en fait un message à tous les pays des BRICS et de l'OPEP. L'Inde va devoir se positionner de manière ferme. Modi va devoir exprimer ses intentions stratégiques. Accrochez-vous. Zonebourse Un sénateur américain de haut rang souhaite un "gel" de la coopération saoudienne et critique Riyad. 10/10/2022 | 23:26 Le président démocrate de la commission des affaires étrangères du Sénat américain a appelé lundi à un gel de la coopération avec l'Arabie saoudite, y compris de la plupart des ventes d'armes, accusant le royaume d'aider à financer la guerre russe contre l'Ukraine après que l'OPEP+ a annoncé la semaine dernière qu'elle réduirait la production de pétrole. "Les États-Unis doivent immédiatement geler tous les aspects de leur coopération avec l'Arabie saoudite, y compris toute vente d'armes et toute coopération en matière de sécurité au-delà de ce qui est absolument nécessaire pour défendre le personnel et les intérêts américains", a déclaré le sénateur Bob Menendez dans un communiqué. "En tant que président de la commission sénatoriale des relations extérieures, je ne donnerai mon feu vert à aucune coopération avec Riyad tant que le royaume n'aura pas réévalué sa position à l'égard de la guerre en Ukraine. Trop, c'est trop", a déclaré M. Menendez. Menendez a déclaré qu'il était horrifié par les attaques sur les infrastructures civiles en Ukraine. "Il n'y a tout simplement pas de place pour jouer les deux côtés de ce conflit - soit vous soutenez le reste du monde libre en essayant d'empêcher un criminel de guerre de rayer violemment un pays entier de la carte, soit vous le soutenez", a déclaré Menendez dans une référence apparente au président russe Vladimir Poutine. "Le Royaume d'Arabie saoudite a choisi cette dernière option dans une terrible décision motivée par son intérêt économique." L'ambassade saoudienne à Washington n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire. Le cartel de l'OPEP+ dirigé par l'Arabie saoudite a accepté de réduire fortement la production de pétrole mercredi, freinant l'offre dans un marché tendu et soulevant la possibilité d'une hausse des prix de l'essence au moment même où Washington cherche à limiter les revenus énergétiques de la Russie en raison de la guerre en Ukraine. La décision a suscité une réponse acerbe du président Joe Biden, qui a été déçu par la réduction "à courte vue" du cartel, a déclaré la Maison Blanche, soulignant le fossé croissant entre les États-Unis et l'Arabie saoudite en matière de politique énergétique. Des prix élevés interviendraient également juste avant les élections américaines de mi-mandat du 8 novembre, lorsque les démocrates de M. Biden défendront leur contrôle du Congrès. Les dirigeants des commissions des relations extérieures du Sénat et des affaires étrangères de la Chambre des représentants examinent les grands contrats d'armement internationaux, qui ne sont généralement pas conclus sans leur approbation. L'Arabie saoudite est le plus grand client d'équipements militaires fabriqués aux États-Unis.
  18. Oui je confirme. regarde la video de rumble elle montre l'ampleur des cibles visées sur tout le territoire Ukrainien. https://rumble.com/v1ndqt2-ukraine.-military-summary-and-analysis-10.10.2022.html Regarde aussi ce lien on verra comment le systéme électrique Français va encaisser. Pour moi il n'y aura pas de problème. ON n'importait que 10 % de notre production. Je pense par contre qu'on va devoir prendre le relai pour fournir une partie de l'Europe ca va être visible ici : https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Et quand les Ukrainiens auront remis en route leur réseau on repartira sur un achat d'électricité Ukrainienne j'imagine pour aider leur économie. Le coût de fil d'aujourd'hui entre Macron et Zelensky c'était surtout pour passer le flambeau temporairement. Et çà va ralentir franchement le rythme des opérations. Parce que pour remplir des réservoir il faut des pompes. ET les pompes ont besoin d'électricité. Même si il y a des générateurs. On est passer a une guerre totale sur les infra. Ca n'est pas nucléaire mais c'est pas bon pour autant.
  19. On parle d'une vingtaine de jours. Mais par contre j'ai maintenant un explication du pourquoi la France est importatrice d'électricité à hauteur de 3 à 6 MH alors que ses centrales pourrait s'en passer. C'est du troc électricité contre armement. Je confirme est-ce que Poutine compte remettre çà ?
  20. Sur Rumble on voit mieux le détail des attaques d'aujourd'hui et peut-être un shéma tactique qui serait de disperser, à mon sens, les moyens de défenses anti-aérien en attaquant tous le noeuds électriques dans chaque oblast. Si ces noeuds on été réellement touché on peut aussi pensé que la logistique ukrainienne va être plus difficile pendant quelques jours le temps des réparations. https://rumble.com/v1ndqt2-ukraine.-military-summary-and-analysis-10.10.2022.html
  21. herciv

    Luftwaffe

    Je suis sceptique sur le détour. Les deux villes sont situé très au nord de l'Allemagne et donc de l'ALsace. AH OK
  22. J'ai deux remarque : dans des terrains ouverts comme les champs les drones peuvent s'en donner à coeur joie. Ils voient tout de loin mais avec des voie optiques très sensibles à la qualité de la météo. On a l'impression que le ciel en est rempli et que les russes sont comme avec des mouches et arrivent avec une guerre de retard sans solution. Celui qui amènera une ou des solutions contre ces drones fera la joie de beaucoup d'armée. Solution courte distance pour traiter à coup de fusil de chasse le drone qui survol Solution à moyenne distance pour traiter les drone un peu plus velu capable de voir et désigner à plusieurs kilomètres comme les barraktyar) Solution contre les MALE et HALE beaucoup plus haut Solution contre les satellites
  23. herciv

    Tchéquie

    Ce qui amène à se poser la question du poids stratégique de la France en Europe et la même chose en indo pacifique ou grâce à ses précédentes ventes elle est bien plus attendue. Ca fait se poser des questions.
  24. herciv

    Gripen

    Li çà ! Cà va te plaire : Pollux est journaliste pour deux revus militaires en France, dont une ou il est rédacteur en chef adjoint : @Stark_Contrast celui-là est encore mieux :
  25. Pour l'instant il n'y a pas de retards annoncés et je suis çà comme le lait sur le feu tous les jours sur le site de RTE pour voir les puissances appelées. https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Cà remonte doucement on a presque atteint les valeurs de début mai pour la prod nucléaire soit 30 MW mais on est encore loin des 50 MW de février. On continue à importer mais très graduellement de moins en moins. Dun autre côté la production nucléaire représente toujours 60% à 75% de la totalité de l'électricité produite quotidiennement. Le gaz et l'hydraulique sont utilisé dans des proportions équivalente et des pompages sont organisés assez souvent pour être relâché un peu plus tard dans la journée. Aujourd'hui l'originalité c'était une productions solaires et éoliennes très moyennes.
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