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Tout ce qui a été posté par Delbareth
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui tu as raison j'ai oublié un peu vite cette aide "de terrain". Disons que l'autre aspect est tellement publique et critique qu'il éclipse le reste. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Rien à voir ! Je parle du fait que l'essence de leur saintes voitures coute moins d'un euro le litre, alors même que leurs revenus sont plus élevés que les nôtres. Le différentiel est donc encore plus important. D'où le "pov'chou" parce que ça va monter. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Fusillade dans une salle de concert à Moscou : au moins 40 morts, la diplomatie russe dénonce «un attentat terroriste sanglant» https://www.liberation.fr/international/europe/fusillade-dans-une-salle-de-concert-a-moscou-20240322_BTMLFNQKOVDRTKCTSIQB7DGZF4/ [...] Selon des témoins, des personnes en tenue de camouflage ont fait irruption dans les locaux de Crocus City Hall et ont commencé à tirer à l’arme automatique, d’abord dans le hall d’entrée, puis dans la salle de spectacle. Les assaillants auraient ensuite mis le feu aux fauteuils. Sur les vidéos qui tournent en boucle sur les réseaux, on entend des coups de feu dans la salle et voit des spectateurs paniqués se jettent au sol. Dans le hall, des corps inanimés jonchent le sol, maculés de sang. Sur une autre vidéo, des hommes armés traversent le hall et s’acharnent à bout portant sur des gens qui cherchent refuge dans un coin. Le bâtiment est en feu. Selon les agences russes, le feu s’est déclaré après que les assaillants ont lancé une grenade ou une bombe incendiaire. Des témoins oculaires rapportent que le toit est en train de s’effondrer. Des personnes seraient bloquées à l’intérieur du bâtiment. La superficie de l’incendie pourrait atteindre 3 000 mètres carrés. [...] J'espère très très fort que ça n'a rien à voir avec l'Ukraine ! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Oh les pov'chou ! On touche à leur saint pétrole ? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Pardon mais... au point où en est l'aide US, pourquoi les Ukrainiens leur ferait ce cadeau ? (entendu qu'ils n'utilisent pas d'armes américaine of course) -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Laisse, il ne doit pas connaitre le principe de démocratie représentative... -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Delbareth a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
"Deux réacteurs par an": le pari très ambitieux d'EDF pour relancer le nucléaire https://information.tv5monde.com/economie/deux-reacteurs-par-le-pari-tres-ambitieux-dedf-pour-relancer-le-nucleaire-2714997 Porté par un regain d'intérêt pour l'atome, EDF compte déployer des réacteurs de 3e génération (EPR) en France et en Europe à une échelle "industrielle", un pari ambitieux compte tenu de ses dérapages de coûts et de délais à répétition, incarnés par l'EPR de Flamanville censé démarrer cette année. Après avoir fixé en novembre le cap à "1 voire 1,5 (réacteur EPR2) par an" en Europe dès la prochaine décennie, le PDG Luc Rémont a revu en hausse l'ambition du groupe à "deux réacteurs par an" dans un entretien accordé à Contexte, publié vendredi. [...] "Tenir ses coûts et le calendrier" Encore en janvier, EDF annonçait que son chantier à Hinkley Point pourrait connaître jusqu'à six ans de retard et un quasi doublement du coût. Et un scénario similaire se dessine pour le programme de six EPR2 porté par le gouvernement français, dont la facture provisoire aurait déjà augmenté de 30% (67,4 milliards au lieu des 51,7 milliards annoncés), selon le journal Les Echos. Une inflation du programme que refuse de confirmer Luc Rémont à ce stade: "Pour l'instant, il n'y a pas de coût évalué", a-t-il déclaré à Contexte, arguant que ce travail est "en cours". Néanmoins, ce nouveau chiffrage a ravivé les doutes sur la capacité de l'électricien à livrer ses chantiers dans les clous budgétaires et temporels, au point d'agacer le ministre de l'Economie Bruno Le Maire: "EDF doit apprendre à tenir ses coûts et son calendrier". Le groupe se dit lui pleinement mobilisé pour parvenir à un modèle d'EPR2 optimisé et standardisé, tenant compte des pièges du passé. "Il faut simplifier la construction (...) standardiser le nombre et le type d'équipements", a expliqué Joël Barre, délégué interministériel au nouveau nucléaire, au Sénat le 8 février. Pour EDF, l'objectif est d'atteindre un "effet de série", donc construire des réacteurs de manière industrielle pour être plus compétitif. Le groupe est en discussion avec les Pays-Bas, en Slovénie, Pologne, Finlande et Suède, au moment où l'atome retrouve la cote, à la faveur de l'impératif climatique de sortir des énergies fossiles et d'une plus grande indépendance vis-à-vis à de la Russie, plus grand exportateur de centrales. En République tchèque, EDF est présélectionné avec son concurrent sud-coréen Kepco dans un appel d'offres pour quatre réacteurs. "Mais pour le consultant Mycle Schneider, coordinateur d'un rapport annuel critique sur l'atome, le World Nuclear Industry Status Report, la "faisabilité" même de l'EPR est mise en doute, alors que toute l'Europe fait déjà face au défi "extraordinaire" de l'entretien et du démantèlement des centrales vieillissantes. Selon lui, "il ne suffit pas de lancer un appel politique et de simplifier les procédures administratives pour rebâtir une industrie" nucléaire, qui est devant un mur de recrutements avec, en France par exemple, 100.000 personnes à trouver et à former sur 10 ans". Selon le délégué interministériel au nouveau nucléaire, c'est au bout du "5e et 6e réacteur" que le programme français parviendra à un modèle "compétitif en délais", soit à l'horizon 2042-2043. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Tiens j'avais raté qu'on avait soutenu aveuglément. Je croyais naïvement qu'on les critiquait, faisait pression pour faire des pauses, livrait de l'aide humanitaire... Mais ça devait être un faux reflet puisqu'en fait on soutient aveuglément. Tu n'avais pas répondu la dernière fois, alors je repose ma question. Comme tu es l'une des rares personnes (voire la seule en fait) que je connaisse qui utilise ce mot, que je ne trouve rien sur internet qui spécifierait "les américains", j'aimerai savoir si dans ta définition personnelle tu utilises ce mot comme un équivalent US de termes comme fritz, rital, bougnoule, youpin... Et un beau yakafokon pour finir ! Donc les bisbilles entre les US et les Israëliens, Netanyahou qui se vante de résister à tous les présidents américains, tout ça, tu n'es pas au courant ? Sinon tu as lu le billet de Goya que j'ai posté il y a quelques pages ? La fin te concerne directement. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Il est vrai que ça a commencé à augmenter dés fin 2021, mais ça s'emballe fortement avec la guerre. "contrairement à ce qu'on essaye de nous faire croire", c'est surtout que c'est pas les sanctions qi sont responsable de cette augmentation. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Hey @gustave et @herciv, on peut se tutoyer ? Vous êtes lourds ! ... Et merde... ! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Bien sûr tu as raison dans l'absolu. Mais d'une part tu lui fais un procès d'intention sur son "beaucoup de monde", d'autre part j'ai moi-même été dans ce cas. J'étais farouchement anti-américain, ne supportant pas leur impérialisme économique et culturel. J'étais même pour la réelection de Trump, parce que c'était (est) un vrai boulet qui faisait ouvertement les pressions qui d'habitude se font en douce. Le monde entier pouvait voir l'hégémon que sont les US. Qui plus est, il n'était pas si dangereux eu égard à son "pacifisme" (pas de réplique militaire contre l'Iran pour le drone, etc.). Je me désolais de voir qu'on avait pas réussi à s'entendre entre Allemagne, Russie et France pour construire un contre-poids efficace, et que la Russie était partie dans sa dérive autoritaire anti-occidentale. Mais en 2022 tout change. Normalement on réalise qu'entre deux maux il faut choisir le moindre. Sinon ce n'est pas des opinions rationnels, c'est de l'idéologie. La Russie est une menace claire contre nos intérêts, bien plus que les US ne l'ont été (sur Alstom , ITAR ou leur saloperie d'extraterritorialité). Je suis toujours anti-américain, mais bien plus anti-russe. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Tout ceci devient absolument grotesque... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
J'avais raté cet essai de Michel Goya au sujet du "on ne peut rien exclure", et je ne crois pas l'avoir vu passer : Napoléon Solo : https://lavoiedelepee.wordpress.com/2024/02/28/paroles-et-musique-asynchrone/ Ainsi donc à l’issue d’une conférence de soutien à l’Ukraine le président de la République a dit « qu’il n’y avait pas pour l’instant de consensus parmi les participants, mais qu’« en dynamique » (?) on ne pouvait pas exclure à l’avenir l’envoi de soldats en Ukraine, pour préciser ensuite qu’il s’agissait éventuellement de missions d’appui arrière, pour la formation ou le déminage. [...] Oui, mais si les discours de ce genre visent d’abord un public prioritaire, sans doute l’Ukraine dans le cas de la sortie d’Emmanuel Macron où peut-être la Russie, ils en touchent aussi nécessairement d’autres et les effets peuvent être au bout du compte parfaitement contradictoires. Quand Joe Biden parle en février 2022, il ne veut pas rassurer Poutine, mais son opinion publique. Mais un peu plus tard dans la guerre, il menacera aussi la Russie de rétorsions militaires, donc la guerre, si celle-ci utilisait l’arme nucléaire et il mobilisera son opinion sur ce sujet. Quand Donald Trump, possible président des États-Unis en 2025 déclare que rien ne justifierait de sacrifier des vies ou de l’argent en Europe et qu’il envisage de quitter l’OTAN, il rassure peut-être son électorat mais effraie les Européens dépendants du protectorat américain. Les discours de crises tournent finalement toujours autour de trois idées : menacer, rassurer et mobiliser et toujours plusieurs publics comme l’ennemi, en temps de guerre, ou l’adversaire, en temps de confrontation, mais aussi les alliés et son opinion publique. C’est donc un art subtil qui demande des dosages fins. Or, notre président parle beaucoup mais n’est pas forcément le plus subtil. Si cette fameuse phrase est en soi parfaitement logique face à l’adversaire et doit satisfaire les Ukrainiens, elle a placé aussi les alliés dans l’embarras et au bout du compte brouillé le message de cette conférence importante. On aurait dû retenir la volonté ferme des Européens à endosser fermement la confrontation avec la Russie et l’aide à l’Ukraine sur la longue durée dans les deux cas et ce sans forcément l’aide américaine. On ne retient finalement que cette petite phrase, qui pousse les autres alliés à se positionner à leur tour et pour le coup en excluant tout engagement même modeste et sans risque, d’hommes en uniformes en Ukraine, autant de cartes jetées dans le pot pour rien. Au bout du compte, Poutine doit se trouver plutôt rassuré par cet empressement au non-agir. On notera au passage avec malice la réaction du Premier ministre grec outré d’une telle perspective mais oubliant que la Grèce avait bien apprécié que la France déploie des navires et des avions de combat pour la soutenir dans sa confrontation avec la Turquie en 2020. Bref, en termes de stratégie déclaratoire le bilan collectif est plutôt maigre. Alors qu’il engageait finalement aussi ses alliés sur un sujet important, il aurait sans doute été opportun pour le président d’avoir leur aval avant d’évoquer ce sujet. On maintient aussi l’ « ambigüité stratégique » en ne disant rien du tout. Et puis il y a l’opinion publique nationale, où tous les Don Quichotte ont, sur ordre ou par conviction, évidemment enfourché leurs chevaux pour briser des lances sur des moulins à vent. Il n’a jamais été question évidement d’entrer en guerre avec la Russie mais on fait comme si. Ça peut toujours servir pour au moins se montrer et en tout cas continuer à saper le soutien à l’Ukraine « au nom de la paix » lorsqu’on ne veut pas avouer que c’est « au nom de Moscou ». Il fut un temps où c’était l’extrême gauche qui soutenait Moscou, il faut y ajouter maintenant une bonne proportion de l’extrême-droite, étrange retournement de l’histoire. Entre les deux et selon le principe du levier décrit par le très russophile Vladimir Volkoff dans Le montage, on trouve aussi les « agents » apparemment neutres ou même hostiles à Moscou mais l’aidant discrètement à partir de points d’influence. Plusieurs ouvrages et articles viennent de révéler quelques noms du passé. Il faudra sans doute attendre quelques années et la fin de la peur des procès pour dénoncer ceux d’aujourd’hui. Bref, beaucoup de monde qui par anti-macronisme, anti-américanisme, anticapitalisme ou autres « anti » viennent toujours à la rescousse d’un camp qui doit être forcément être bien puisqu’il est hostile à ce que l’on croit être mal. [...] Je trouve tout ça particulièrement pertinent (et rudement bien écrit). -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est louable à toi d'essayer de concilier ces deux points de vue. Et tel que tu les cites c'est exact. Mais tu as oublié un bout de la citation de Casoucasou : "Les théories du complot, c'est comme les chasseurs, il y a les bonnes et les mauvaises XD. La solution la plus plausible reste quand même la plus simple : Poutine est très populaire par ce qu'il a stabilisé la Russie et lui as permis de renouer avec sa grandeur historique aux yeux de son peuple." Traiter de théorie du complot les enquêtes journalistiques et les opposants politiques, c'est grave. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
J'allais dire que tu caricatures, mais en fait même pas (par contre je suis sûr que c'était pas intentionnel). J'aime le débat contradictoire quand j'ai pas l'impression d'être pris pour un crétin avec quelqu'un qui défend l'indéfendable. Auquel cas il n'y a aucun débat. Dire que les élections russes (en général) ne sont pas truquées, c'est aller à l'encontre d'un tombereau d'enquête journalistiques et de preuves statistiques. Et ces élections sont encore plus grotesques que les précédentes. De plus c'est aussi insultant pour les opposants qui sont tués par le régime et/ou ne peuvent pas se présenter face à ton champion Poutine. Merci d'aller rejoindre wallaby au pays de ceux que je ne lit pas. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est une blague n'est-ce-pas ? La solution la plus simple : Poutine est un dictateur, les dictateurs trichent aux élections, Poutine triche aux élections. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
J'adorerai qu'on envoie une demande officielle, en disant qu'on a beaucoup à apprendre d'eux : - comment font-ils pour cacher leurs montagnes de morts ? - comment font-ils pour réprimer aussi efficacement toute opposition ? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Les dictateurs ont leur fierté que veux-tu. Je pense plus sérieusement que le hic aurait été du côté de la participation. Si tu es élu avec 80% de 50% des votants alors que tout le monde sait qu'il n'y a pas de vraie opposition, ça la fout mal. Alors que 87% de 75% des votants, ça a la classe ! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Pardon mais peux-tu expliciter ton calcul ? Parcequ'en raisonnant grosse maille (je n'ai pas les chiffres), avec disons 110 M de personnes en âge de voter, 75% de participation et 87% pour Poutine, ça ne lui fait "que" 72 M de bulletins pour lui. Donc il pourrait y en avoir la moitié de faux. Ah merde, j'ai fait le calcul jusqu'au bout et je tombe bien sur 80% (pour info si on enlève 30M de bulletin Poutine : 72M/(110M*75%) = 87%, mais (72M-30M)/(110M*75%-30M) = 80%) -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Il n'en reste pas moins que Guilda est pour la plupart du temps plutôt bien informée, oui ... Elle panosse dans les couloirs des bons étages. Mais tout ce qui n'est pas officiel étant officieux, donc pas forcément marqué dans le marbre mais pas non plus écrit sur du sable pour autant. La question est de savoir : quand c'est employé, est-ce que c'est pour parler d'une rumeur ou d'une source intérieure bien placée. C'est juste radicalement différent. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
La méthode Shpilkin, ou comment les maths révèlent la fraude électorale en Russie https://www.france24.com/fr/europe/20240319-methode-shpilkin-mathematiques-fraude-electorale-en-russie-poutine Les premières estimations des médias indépendants quant à l’ampleur de la manipulation des votes lors de la présidentielle russe viennent d’être publiées. Elles reposent toutes sur la méthode Shpilkin qui, depuis plus de dix ans, cherche à quantifier le bourrage des urnes en Russie. Vingt millions de bulletins falsifiés ? Trente millions ? Les premières estimations de médias russes indépendants concernant l’ampleur de la fraude électorale lors de la présidentielle qui s’est déroulée du vendredi 15 mars au dimanche 17 mars, commencent à tomber. [...] Le but est de déterminer quels sont les bureaux de vote où cette participation n’apparaît pas anormalement élevée. Ils pourront servir de référence pour avoir une idée de la répartition réelle des voix entre les différents candidats. En théorie, la proportion des scrutins en faveur de chacun des candidats ne change pas - ou alors seulement à la marge - selon le taux de participation. Autrement dit, la méthode Shpilkin a pu déterminer qu’en Russie, le candidat A a toujours en moyenne X % des voix et le candidat B environ Y %, qu’il y ait 100, 200 ou plus de votants dans un bureau de vote "honnête". Problème : là où les taux de participation explosent, "on s’est rendu compte que cette évolution proportionnelle de la répartition des votes disparaît complètement et que Vladimir Poutine est le principal bénéficiaire des scrutins supplémentaires exprimés", souligne Alexander Shen, mathématicien et statisticien au Laboratoire d'informatique, de robotique et de microélectronique de Montpellier (LIRMM) du CNRS. Pour quantifier la fraude, il suffit de comparer le score de Vladimir Poutine avec ce qu'aurait été le résultat si la répartition des scrutins avait été du même ordre que dans un bureau de vote "honnête". La différence avec son score officiel donne une idée de l’ampleur de la manipulation des résultats en sa faveur [...] -
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Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
"Guida" est un nom de code sur ce forum pour parler d'une source interne bien informée. Ah bon ? -
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Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai mis un upvote sur ton post, mais ce passage particulièrement mais semble plus être le fruit de tes réflexions que s'appuyer sur des faits avérés. En clair, tu affirmes (encore) des choses qui ne sont que des suppositions. Quant aux simulations, ça dépend beaucoup des inputs. Pour reprendre les arguments de certains contradicteurs ici, si tu met que Poutine s'arrête à l'Ukraine, militairement parlant OSEF ! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Il y a des sujets où seul le résultat compte. "Désolé les gars, la prochaine fois peut-être", ça va pas être très convaincant. Il se trouve que l'Europe a affirmé soutenir l'Ukraine contre les Russes, pas vraiment les 180 pays du monde, surtout l'Europe et les US. Résultat deux-trois ans plus tard, défaite stratégique de l'Europe. Les US aussi mais c'est leur problème. Tout le monde a vu nos faiblesses et nos dissensions, plus personne ne nous respectera (je ne parle pas de terroriser le monde entier, mais la puissance militaire ça compte, surtout quand on s'en prend à tes soit-disant amis). Nous avons une occasion HISTORIQUE de redonner à la France un peu de grandeur qu'elle a perdue en 1940. Que ce soit réalisable ou pas est une autre question, mais ne pas considérer que c'est l'INTERÊT de la France d'étudier la question me laisse pantois sur un forum miliaire. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Delbareth a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Alors les raisons ont déjà été mille fois présentées à j'en ai ma claque de les répéter. Mais j'en ai quand même une autre, qui il me semble n'a jamais été évoquée : ON S'EST ENGAGÉ À SOUTENIR L'UKRAINE ! Je sais pas si ça vous évoque quelque chose, ou si le fait de passer collectivement pour des minables lâcheurs ne vous émeut pas, mais la France s'est engagée. On peut le déplorer, on peut dire qu'on aurait dû rien dire dés le début, et s'en foutre comme du yemen ou des ouïghour, mais c'est pas le cas. Donc si on (la France ou l'Europe) laisse tomber l'Ukraine, on sera des sent-la-pisse pour les 50 ans qui viennent.