Paschi
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Cela chauffe en Centrafrique.
Paschi a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
Y'a pas à dire, la formation dispensée par Wagner c'est le top En République centrafricaine, la garde présidentielle ouvre le feu sur un convoi de casques bleus. Dix militaires égyptiens appartenant à la mission des Nations unies dans le pays ont été blessés, lundi, par des tirs devant la résidence du président centrafricain, à Bangui. L’ONU condamne « une attaque délibérée et inqualifiable ». https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/11/03/en-centrafrique-la-garde-presidentielle-ouvre-le-feu-sur-un-convoi-de-casques-bleus_6100720_3212.html Centrafrique : l’ONU réclame une enquête après l’attaque contre des casques bleus à Bangui. Lundi, la garde du président de la République centrafricaine, Faustin-Archange Touadéra, avait ouvert le feu sur des casques bleus égyptiens. Dix d’entre eux ont été blessés et un civil a été tué. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/11/04/centrafrique-l-onu-reclame-une-enquete-apres-l-attaque-contre-des-casques-bleus-a-bangui_6100987_3212.html -
Ethiopie : neuf groupes rebelles s’allient contre le gouvernement, les Etats-Unis appellent leurs ressortissants à quitter le pays « dès que possible » https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/11/05/ethiopie-neuf-groupes-rebelles-s-allient-contre-le-gouvernement-les-etats-unis-appellent-leurs-ressortissants-a-quitter-le-pays-des-que-possible_6101106_3212.html Alors qu'elle était sur une voie de développement économique avec les investissement Chinois massifs, tient je me demande command ils vous réagir eux, l'Ethiopie est sur la bonne voie pour être le prochain candidat à la crise humanitaire majeure.
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Opérations au Mali
Paschi a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Qu'ils viennent pas nous dire qu'ils les ont confondus avec un GAT ! Des soldats maliens ont tiré sur une patrouille allemande de la MINUSMA près de Gao. Le 3 novembre, des soldats allemands de la Mission des Nations unies au Malo [MINUSMA] ont riposté après avoir été la cible de tirs provenant d’une position tenue par les Forces armées maliennes [FAMa], alors qu’ils s’approchaient du Camp Castor [Gao] après avoir mené une patrouille dans les environs. http://www.opex360.com/2021/11/05/des-soldats-maliens-ont-tire-sur-une-patrouille-allemande-de-la-minusma-pres-de-gao/ -
Australie
Paschi a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Là, je ne suis pas trop d'accord. La Chine devrait encore franchir toute la ligne d'îles représentée par l'Indonésie, La Papouasie Nouvelle-Guinée. Et tous ces passages entre les îles représentent de formidable points de défense qui peuvent être verrouillés par des sous-marins. A cela il faut rajouter la problématique de l'équipage. Les Australiens n'ont pas de spécialistes de la propulsion nucléaires et je doute que les US en aient assez de leur côté pour pouvoir en prêter deux douzaines aux Australiens. Une partie de la réponse se trouve là http://www.opex360.com/2021/11/03/sous-marins-australie-evoquant-mers-el-kebir-lamiral-vandier-appelle-a-ne-pas-se-tromper-de-cible/ "En attendant, sur le plan pratique, cette affaire n’est évidemment pas sans conséquences. « L’officier australien qui avait intégré mon état-major quittera ses fonctions l’été prochain et ne sera pas remplacé. De plus, nous avons suspendu la coopération de nos forces sous-marines avec l’Australie. Enfin, nous avons annulé l’embarquement d’un cadet australien pour la campagne Jeanne d’Arc 2022, ainsi que l’envoi d’un ancien commandant de SNA [sous-marin nucléaire d’attaque, ndlr] à l’Académie militaire d’Australie », a détaillé le CEMM. Cela étant, quelques coopérations sont maintenues. « Nous conserverons les points d’escale que nous partageons avec l’Australie pour ravitailler la base antarctique de Dumont d’Urville. Nous aurons aussi l’occasion de croiser les Australiens lors d’exercices multinationaux dans l’océan Indien et dans le Pacifique », a expliqué l’amiral Vandier. « Encore une fois, ne nous trompons pas d’ennemi », a-t-il insisté." -
Ma remarque était juste un clin d'oeil sur le débat qu'il y a eu sur la possibilité de rajouter 16 cellules aux Constellation et qui a été clos lorsque les "vieux loups de mer" ont démontré à force de schémas que cela n'était pas aussi trivial que ça
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C'est con, pour un mètre et des poussières de plus, comme la Classe Horizon, ils auraient pu rajouter cette fameuse rangée supplémentaire aux FFG Constellation "fingers in the nose"
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Deux Bushmaster Mk 46 Mod 2 de 30mm, c'est tout. Tous deux situés au dessus du hangar hélicos. Donc incapables de couvrir le secteur avant
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Australie
Paschi a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Tu as tout à fait raison en citant la capacité de Chinois à le faire. Mon propos concerne l'autre sens au vu des capacités réduites de l'Australie et d'une volonté non expansionniste contrairement aux Chinois. C'est une question pour les stratèges : au vu des capacités militaires réduites de l'Australie ne ferait-elle pas mieux de concentrer ses capacités sur une posture plus défensive plutôt que de vouloir envoyer des SNA en mer des Philippines en appui des USA ? -
Il était question d'équiper les Zumwalt de missiles hypersoniques. En fait, il a été décidé des virer les 155mm inutiles (la navy ayant renoncer à acheter les munitions car trop chères) pour les remplacer par des VLS pour missiles hypersoniques. La marine américaine a annoncé qu'elle prévoyait de commencer à convertir le premier de ses destroyers de classe Zumwalt pour qu'il puisse tirer les futures armes hypersoniques conventionnelles de frappe rapide à portée intermédiaire, ou IRCPS, au cours de l'année fiscale 2024. Les lanceurs de ces missiles, qui seront chargés à l'intérieur de lanceurs triples, remplaceront les systèmes de canon avancés de 155 mm sur ces destroyers furtifs. En 2016, la marine a décidé de ne pas acheter de munitions pour ces canons en raison de la flambée des coûts, ce qui en a fait un poids mort et a suscité des discussions sur la possibilité d'installer d'autres armes à leur place. https://www.thedrive.com/the-war-zone/42963/the-navys-stealth-destroyers-will-have-their-deck-guns-replaced-with-hypersonic-missiles Selon l'article il y aurait deux lanceurs triples à la place de chaque canon, soit un total de 12 missiles et pas de VLS traditionnels supplémentaires. Il n'est non plus fait mention de vouloir installer un autre canon à la proue des navires. Même pas un petit 57 mm pour faire de l'anti-aérien/anti-missile.
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La navy n'est pas prête à faire face à la menace croissante des sous-marins diesel. Et ce n'est pas une déclaration d'un amiral qui vient quémander des milliards pour financer des joujoux dispendieux mais un chasseur de sous-marins chevronné. Combattre un sous-marin diesel est potentiellement facile, mais assurément difficile. Vous n'aimez pas la contradiction ? Tant pis ! Bienvenue dans la guerre anti-sous-marine, ou ASW. Le diesel ! Il est très intéressant de voir la couverture médiatique de la menace des sous-marins diesel et de l'impossibilité de repérer les sous-marins à propulsion indépendante de l'air (PIA). C'est comme si nous avions été ramenés aux jours sombres du début de 1942, lorsque les U-boote nazis ont commencé à opérer au large de la côte Est des États-Unis et du golfe du Mexique. L'un de mes titres alarmistes préférés est le suivant : L'OTAN appelle ce sous-marin russe le "trou noir" pour une raison terrifiante. Il ne fait aucun doute que la détection d'un sous-marin diesel fonctionnant sur batteries est très difficile, en raison de la nature de sa signature (ou, pour la plupart, de sa non-signature). J'ai été opérateur de capteurs (SENSO) sur des Vikings S-3 à partir du milieu des années 1980, et j'ai passé beaucoup de temps à rechercher des sous-marins de toutes sortes. À bord d'un porte-avions, le premier maître de mon escadron de Vikings aimait rappeler à tous ceux qui se trouvaient dans notre salle de préparation, lampe de poche à la main, le défi auquel nous étions confrontés lorsque nous étions sur le point de participer à un exercice majeur de chasse aux sous-marins incluant des bateaux diesel, ce qui était un événement extrêmement rare. En l'allumant, il a dit : "Voilà à quoi ressemble le bruit d'un sous-marin diesel." Le silence produit par l'appareil et son commentaire était assourdissant. Cependant, le silence d'un sous-marin diesel n'est pas assourdissant. Je suis étonné de voir combien d'entre nous oublient que deux guerres mondiales ont été menées avec succès contre des sous-marins diesel. Puis, au cours de la première décennie de la guerre froide, nous avons réappris à lutter contre les avancées technologiques du sous-marin diesel - à savoir, le schnorchel et le carénage hydrodynamique. Remarquez que j'ai dit "signature" ci-dessus, ce qui implique que quelqu'un essaie de suivre un sous-marin diesel avec des bouées acoustiques passives. Les premières bouées acoustiques, introduites au cours des dernières années de la Seconde Guerre mondiale, ont relativement bien réussi, jusque dans les années 1950, à suivre les bruits d'hélice des bateaux diesel lorsque l'opérateur remontait les bouées successives et écoutait celle dont le bruit d'hélice était le plus fort. Au fur et à mesure que les bateaux diesel sont devenus plus aérodynamiques et que la technologie des pales d'hélice a progressé, le largage de bouées passives après la submersion d'une cible n'a plus donné d'aussi bons résultats. En fait, les meilleurs bateaux se déplaçaient plus vite que les avions de l'OTAN et les navires ASW ne pouvaient larguer, régler et écouter les bouées. Heureusement, la technologie des bouées acoustiques actives venait tout juste d'arriver à maturité, et nous étions de retour dans le jeu. En plus des bouées acoustiques actives, la technologie des sonars trempés d'hélicoptères s'est révélée être un atout, et une nouvelle équipe de chasseurs-tueurs à voilure fixe et à voilure tournante a vu le jour. Sur le plan opérationnel, personne, au milieu et à la fin de la guerre froide, n'a tenté de suivre passivement un sous-marin diesel immergé (où les hydrophones écoutent sans l'aide d'impulsions de sonar actif). Cette non-utilisation peut contribuer à la crainte que nous éprouvons aujourd'hui à l'égard des sous-marins diesel. Suivre un sous-marin nucléaire peut être relativement facile, en fonction de son niveau de bruit. Comme le montrent de nombreuses sources ouvertes, les navires nucléaires sont toujours équipés d'une machinerie. La marine américaine et ses alliés ont appris très tôt à quel point un tel sous-marin peut être bruyant. Une belle histoire raconte la facilité avec laquelle SOSUS - le vaste réseau de sonars sous-marins des États-Unis - a détecté et suivi le premier sous-marin à propulsion nucléaire du monde, l'USS Nautilus (SSN-571), lors de sa première traversée de l'Atlantique. La Marine a été stupéfaite. Dès lors, le service a travaillé dur pour mettre au point des techniques de réduction du bruit qui feraient de ses bateaux les plus silencieux du monde. Les Soviétiques, quant à eux, ont mis beaucoup trop de temps à comprendre la nécessité du silence, se concentrant plutôt sur le perfectionnement de leurs réacteurs en difficulté. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) L'article dans sa totalité https://www.thedrive.com/the-war-zone/42900/the-truth-about-the-growing-diesel-submarine-threat-from-a-veteran-sub-hunter (si je trouve le temps ce week-end, je le traduirais dans sa totalité)
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Taiwan
Paschi a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Politique etrangère / Relations internationales
On va voir comment la Chine va réagir en dehors des déclarations officielles : Première visite d'une délégation du Parlement européen à Taïwan Taïwan accueille pour la première fois, mercredi, une délégation officielle du Parlement européen. L’UE cherche à établir des liens plus étroits avec l’île démocratique, malgré les mises en garde de la Chine. Le groupe de sept membres dirigé par l'eurodéputé français Raphaël Glucksmann doit rencontrer la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et d'autres hauts responsables au cours de ce voyage de trois jours, a indiqué le ministère des Affaires étrangères de l'île. Celui-ci décrit cette visite comme la première d'une délégation "officielle" du Parlement européen. "Nous attendons avec impatience des discussions fructueuses sur la défense de la démocratie, de la liberté, de l'Etat de droit et du respect des droits de l'homme avec nos partenaires européens partageant les mêmes idées", ajoute le communiqué. La suite de l'article : https://www.rts.ch/info/monde/12614765-premiere-visite-dune-delegation-du-parlement-europeen-a-taiwan.html -
Australie
Paschi a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Quand je regarde une carte, que je vois la distance entre l'Australie et la Chine et ce qu'il se trouve entre les deux, je me demande quelle mouche à piqué l'Australie de vouloir aller challenger la Chine (mis à part les ingérences Chinoises dans la vie politique et publique de l'Australie et surtout de vouloir plaire au maître). Ils devraient plutôt s'entendre avec l'Indonésie et s'équiper en conséquence pour la soutenir en cas d'agression Chinoise tout en veillant à verrouiller les différents détroits en mer de Banda et mer de Coraille. -
En complément de ce qui vent de mettre @Wallaby Une enquête de l'ONU confirme des crimes contre l'humanité en Ethiopie. Des violations équivalentes à des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre ont été perpétrés au Tigré, selon l'enquête menée par l'ONU et la Commission éthiopienne des droits de l'homme. Toutes les parties sont responsables d'abus, conclut son rapport publié mercredi. Le conflit au Tigré est marqué par une "brutalité extrême", a dénoncé mercredi la Haute-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, en présentant l'enquête menée conjointement avec la Commission éthiopienne des droits de l'homme. "La gravité des violations et des atteintes que nous avons recensées souligne la nécessité de tenir leurs auteurs responsables, quel que soit leur camp", a estimé Michelle Bachelet à Genève. la suite de l'article : https://www.rts.ch/info/monde/12614121-une-enquete-de-lonu-confirme-des-crimes-contre-lhumanite-en-ethiopie.html
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[Afghanistan]
Paschi a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
La situation humanitaire ne s'améliore pas, au contraire. Désespérés, des Afghans marient leurs fillettes contre de l'argent, La situation humanitaire en Afghanistan est précaire. Depuis que les talibans ont pris le pouvoir, de nombreux Afghans souffrent de la faim. certains sont si désespérés qu'ils vendent leurs filles. Parwana, neuf ans, est l'une d'entre elles. https://www.blick.ch/fr/news/monde/je-dois-vendre-ma-fille-desesperes-des-afghans-marient-leurs-filles-contre-de-largent-id16956239.html -
https://www.blick.ch/fr/news/suisse/lockheed-martin-sous-pression-linitiative-du-gssa-contre-les-f-35-aide-leconomie-suisse-id16958127.html L'initiative du GSsA contre les F-35 aide l'économie suisse. Lockheed Martin s'est engagé auprès du Conseil fédéral à confier des mandats à des entreprises suisses en échange de l'achat des avions de combat F-35 à la Suisse. La menace du référendum du GSsA pousse le constructeur américain à signer ces contrats plus rapidement. La ministre de la Défense Viola Amherd ne manque pas une occasion de promouvoir l’avion américain, disant à qui veut bien l’entendre que l’avion furtif F-35 que la Suisse veut acheter est non seulement le meilleur avion de combat, mais aussi le moins cher. De manière plus timide cependant, elle vient d’annoncer que le constructeur Lockheed Martin fait moins bien que la concurrence dans les affaires dites de compensation. Ces accords sont censés garantir des commandes à l’économie suisse, et donc des emplois et des recettes fiscales. Or, l’entreprise américaine a perdu du terrain et devrait se dépêcher de reprendre la tête. Elle a une épée de Damoclès au-dessus de la tête: l’initiative «Stop F-35». Mauvaises expériences dans d’autres pays La Suisse est-elle confrontée à une faille similaire à celle d’autres pays? Par le passé, Lockheed Martin n’a pas toujours brillé lorsqu’elle a dû s’acquitter des accords de contre-échange garantis par contrat. L’entreprise américaine n’a par exemple absolument pas répondu aux attentes belges. Elle a imposé à plusieurs reprises de nouvelles conditions. Les médias nationaux n’ont pas été tendres et n’ont pas hésité à sous-entendre que la Belgique avait été «naïve» en achetant le F-35. Quant à la Pologne, sa situation semble être encore pire: au début de l’année, le ministère polonais de la Défense a décidé de renoncer complètement aux affaires compensatoires convenues. Devant les questions des médias, les responsables ont affirmé que «les propositions américaines n’étaient pas satisfaisantes», La Pologne n’avait obtenu aucun «moyen de maintenance ou de production convenable» pour le F-35. Armasuisse se montre optimiste Face à ces exemples, en Suisse, l’Office fédéral de l’armement, Armasuisse, se montre pourtant optimiste. L’accord de 6 milliards d’euros «garantirait plusieurs milliers d’emplois hautement qualifiés au cours des prochaines décennies», affirme-t-il avec conviction. Lockheed Martin doit compenser 60% du prix d’achat en passant des commandes en Suisse, soit environ 3,6 milliards de francs suisses. L’Association suisse de l’industrie des machines, des équipements électriques et des métaux (Swissmem) se dit également «confiante», souligne son porte-parole Jonas Lang. Néanmoins, il faudra aller vite. La pétition pour un référendum a été lancée en août dernier par le groupe Suisse sans armée (GSsA), le PS et les Verts. Cette initiative semble aider directement l’économie suisse: en raison de la votation imminente, Lockheed Martin est sous pression pour conclure rapidement des contrats avec des entreprises locales. Lockheed Martin pas déstabilisé «L’objectif est connu et nous l’atteindrons», déclare sans ambages Patrick Nyfeler, directeur général de Lockheed Martin Suisse. Divers projets sont déjà en cours. Il souligne, par exemple, l’accord conclu avec Mecaplex AG, qui a déjà été pré-approuvé par le Conseil fédéral. La société basée à Granges s’est vue attribuer un important contrat portant sur un total de 800 panneaux de vitrage de cockpit et 400 auvents de cockpit complets, ce qui représente pour la région des investissements de plusieurs centaines de millions de francs et une centaine d’emplois. L’entreprise tessinoise Nozomi Networks et Kudelski, spécialisée dans les systèmes de sécurité numérique, devraient également profiter de ces affaires compensatoires. «Une couche de sécurité supplémentaire pour les données et les systèmes est créée spécialement pour la Suisse, car la sécurité y est très importante», souligne Patrick Nyfeler. Cela permettrait de créer des emplois supplémentaires au Tessin et en Suisse romande. Pour l’instant, au moins une lettre d’intention a été signée. Un manquement à cette règle peut entraîner une lourde amende. Un autre contrat devrait encore être conclu, poursuit le directeur général, avec Ruag à Stans et SR Techniques à Kloten. Les moteurs seront entretenus par Ruag à Stans et SR Techniques à Kloten ZH. Cependant, Lockheed Martin ne peut ou ne veut pas donner une évaluation provisoire des exigences stipulées dans le contrat pour le moment. Mais l’initiative populaire n’est pas la seule épée de Damoclès qui pèse au-dessus de l’avionneur américain. Si l’entreprise n’est pas en mesure de présenter des transactions compensatoires suffisantes dans le délai imparti, elle s’expose à une lourde amende d’au moins 5% de la part non remplie. Mais elle ne devrait pas trop s’inquiéter de cette condition: le Conseil fédéral lui a donné pour les conclure jusqu’à quatre ans après la livraison du dernier jet, soit en 2034. Le GSsA (Groupement pour une Suisse sans armée) n'est au final par si mal que ça
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« La mine, c’est une munition qui coûte quelques milliers d’euros et qui peut provoquer des dégâts de plusieurs millions d’euros. » La mine, munition historique, menace moderne. Chaque année, ce sont plus de 2000 munitions qui sont détectées, classifiées, neutralisées et détruites par les plongeurs-démineurs, les marins spécialistes de la guerre des mines. Si les mines ne permettent pas de gagner des conflits, elles peuvent les faire perdre et le CV Eric Lavault, porte-parole de la Marine nationale et ancien commandant du Groupe de Plongeurs-Démineurs Méditerranée, vous explique pourquoi !
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Certainement mais dans un concours où le temps est chronométré il y a certainement un avantage à l'équipage de 4. C'était pas dans ce message de @Kerloas ?
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Un article de "The war zone" sur la nécessaire révision complète qui est faite tous les 9 ans : https://www.thedrive.com/the-war-zone/42909/check-out-this-super-grimy-b-2-spirit-stealth-bomber-awaiting-a-deep-overhaul Avec de belles vues du ciel de l'appareil sans sa peinture
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Je ne connais pas la valeur réelle de telles exercices surtout s'ils ne prennent pas en compte la spécificité de certains chars. Il y avait eut dans le passé (peut être qu'il est toujours d'actualité) un exercice de sauvetage ou dépannage qui clairement désavantageait le Le Clerc qui a un équipage de 3 hommes contre 4 pour le Léo et l' Abrams. Mais il me semble que certains exercices sont quant même pertinents. Là, c'est aux mécas de répondre.
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Tu nous fais une fixation là dessus et pour paraphraser @FAFA "intervention vraiment digne du caniveaux" qui n'apporte rien au débat. Digne de certains commentaires que l'on peut lire sur opex360 ou Le Figaro. Le pire c'est que tu dois être convaincu d'être drôle
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L'accent étant mis sur les US Marines, je le mets ici : UNITAS est le plus ancien exercice maritime du monde. Accueilli cette année par le Pérou, il réunit des groupes multinationaux de vingt pays et comprend 29 navires, quatre sous-marins et vingt aéronefs qui effectuent des opérations au large des côtes de Lima et dans la jungle d'Iquitos. L'exercice forme le personnel à soutenir les opérations maritimes conjointes et se concentre sur le renforcement des partenariats. L'interopérabilité et la capacité entre les navires et les caisses marines participants sont accrues. (Vidéo du US Marine Corps)
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Le char Leopard 2 et le véhicule de combat d’infanterie CV-90 dominent la compétition « Iron Spear » de l’Otan http://www.opex360.com/2021/10/30/le-char-leopard-2-et-le-vehicule-de-combat-dinfanterie-cv-90-dominent-la-competition-iron-spear-de-lotan/
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Maintenance prédictive pour le Leclerc
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La conception des réacteurs nucléaires du futur porte-avions « soulève des enjeux technologiques et industriels importants » Actuellement, la propulsion du porte-avions Charles de Gaulle et des quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins [SNLE] de la classe « Le Triomphant » repose sur le réacteur nucléaire K-15, d’une puissance d’environ 150 mégawatts thermiques. Et une version améliorée de ce modèle a été retenue pour les sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de la classe « Suffren » et les futurs SNLE3G. Seulement, si deux réacteurs K-15 sont suffisants pour permettre au porte-avions Charles de Gaulle de naviguer à la vitesse de 27 noeuds, ce ne sera pas le cas pour son successeur, qui affichera un déplacement de l’ordre de 75’000 tonnes. En outre, ce dernier aura des besoins en énergie beaucoup plus importants, notamment pour faire fonctionner les catapultes électromagnétiques [EMAL] dont il sera équipé. D’où la nécessité de mettre au point un nouveau type de chaufferie nucléaire, à savoir la K-22, laquelle aura une puissance de 220 à 230 mégawatts. la suite de l'article : http://www.opex360.com/2021/10/31/la-conception-des-reacteurs-nucleaires-du-futur-porte-avions-souleve-des-enjeux-technologiques-et-industriels-importants/