Alberas
Members-
Compteur de contenus
3 095 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par Alberas
-
Je trouve que cette excuse de mauvais ébavurage est dérisoire. ... ou alors c'est généralisé et y a rien qui tient!
-
7.5 KN ... 8.3 KN ...9KN ... Je crois que @Picdelamirand-oil a écrit que le M88 pouvait être poussé à 8.3 KN avec une "légère " modifiction du circuit d'admission et que le passage à 9KN nécessitait de modifier la chambre de combustion pour augmenter la température de sortie des gaz (plus autre modifs dues à ce Delta T) Par ailleurs, à partir de F 4.3, la cellule va subir les modifs liées au cablage en fibres optiques et aux évolutions de Spectra et du radar. Le F 4.3 sera donc nativement prêt au combat collaboratif, avions entre eux d'abord puis ultérieurement avec Neurons. Pour le F5, sauf erreur de ma part, on ne sait pas encore, hors le T-REX, quelles seront les autres améliorations, en particulier liées à la furtivité passive, ou à l'autonomie. Mais si le F 4.3 est déjà modifié pour l'augmentation du débit d'air nécessaire au T Rex, Peut-on en déduire qu'il pourra être rétrofité avec ce nouveau moteur? voire avec d'autres caractéristiques du F5? PS Désolé si d'autres posts ont déjà répondu à cette question et Joyeux Noel à tous J'ai même une question subsidaire: Le T-Rex pourrait il être installé dans des F3R sans modif de conduit d'admission ? Toute la flotte aurait ainsi peu à peu le même moteur!
-
Ca parait pourtant assez clair. On va vers un système du type SCAF basé sur l'évolution du Rafale et du Neuron avec des bureaux d'étude qui savent qu'ils ne travaillent pas pour du vent pendant les 10 années qui viennent. Ca s'appelle un programme ambitieux mais réaliste. Quand au SCAF, il va vivre sa vie au gré des péripéties politiques en apportant des financements . S'il finit pas se faire, il prendra peu à peu la suite du programme Rafale. Sinon, la France aura une base solide pour avancer encore.
-
Je n'en ai aucune idée. Je ne sais pas traduire en pensée cartésienne la mission de ce comité. Cela fera bientôt 20 ans que l'IAF et le Gvnt indien remplissent des dossiers sur le remplacement des Bisons et de leurs autres vieux coucous. On va vers un nouvel appel d'offre du type de ceucelui pour les soum, ie en association avec un fabricant local?
-
Oui, ça veut dire que le transfert de propriété est fait en France. L'avion est Grec.
- 1 110 réponses
-
- rafale
- production
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Finalement, c'est le concept d'avion "omnirole" que tu critiques! Parce que, depuis qu'il existe, on n'a plus besoin de dessiner autant d'avions spécialisés sur chaque mission comme on le faisait avant. Et, cerise sur le gateau, Dassault a conçu le Rafale avec son logiciel miracle et il l'a fait quasiment parfait. Il a suffi jusqu'à présent de faire évoluer ses capteurs et ses armements pour le garder au top de la concurrence. Le mouton à 5 pattes, c'est le Rafale! Mais si l'AAE considère qu'il ne sera plus apte à remplir son role de porteur de l'ASN4G et qu'il faut le remotoriser (plus le Neuron, ...) dont acte. Et t'inquiète pas, il trouvera sa clientèle.
-
Entre une France affaiblie et l'arrivée de Trump, sauveur ou fossoyeur, le KSA a surtout intérêt à attendre l'évolution de la situation politique.
-
Ah oui, quand même! Les Suisses ont vraiment eu un prix d'ami
-
OK En gros, si tu pilotes avec le 90 kn exactement comme avec le 75kn, hormis les conséquences de l'excédent de poids, tu ne consommeras pas plus! Mais je suppose quand même que si tu augmentes la puissance de ton moteur ... c'est pour t'en servir. On a suffisamment évoqué les demandes répétées des EAU d'un moteur plus puissant pour fonctionner en atmosphère très chaude, ou en altitude pour les Indiens. Mais je reconnais que ce n'est pas le seul paramètre et que le profil de la mision a probablement un effet sur la consommation plus important que l'augmentation de puissance.
-
Il est pleinement opérationnel le Tejas Mk1 ?
-
Il est pleinement opérationnel le Tejas Mk1 ?
-
Oui, ton analyse était très intéresante et semble être confirmée. Mais quid de l'élévation de la consommation et de sa conséquence. Est il préférable d'accepter une réduction du rayon d'action, d'augmenter les ravitaillements ou d'adapter des réservoirs conformes?
-
Le pire c'est qu'on avait un avion airbus qui aurait pu convenir aux Allemands, aux Italiens, aux Espagnols et aux Français. Et chacun y mettait le système qu'il veut.
-
Et si on faisait un achat groupé?
-
Ce que pensent les membres du forum ne sert qu'à flatter notre amour propre. Pour l'instant nos dirigeants continuent de faire du "en même temps" (qui est une autre appellation de ".plan B"). La question est donc : Quel est le plan B pour les Allemands et pour les Espagnols?
-
Ne nous excitons pas sur l'avenir du SCAF. Nous sommes partis pour une longue période d'instabilité gouvernementale et les allemands n'auront pas de gouvernement avant plusieurs mois. Ca, ça vaut pour le SCAF. Alors imagine le Tempest avec un programme avec 5 pays, voire plus ...
-
Allez, pour se faire plaisir. Et c'est pas du ChatGPT https://aeromorning.com/lundis-de-lihedn-lepopee-du-rafale-lavion-de-combat-supreme/ Lundis de l’IHEDN – L’épopée du Rafale, l’avion de combat suprême En 1983, la France lançait le programme d’un aéronef révolutionnaire, utilisé par ses armées depuis 2002 avant de connaître le succès à l’export. Focus sur l’histoire et les caractéristiques de ce fleuron évolutif avec les éclairages d’un pilote, d’un ancien ingénieur de Dassault Aviation et du général Philippe Lavigne, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace de 2018 à 2021. En 2024, le Rafale met tout le monde d’accord. Cet avion peut tout faire – il est « omnirôle » selon le terme de son concepteur, Dassault Aviation. Ses pilotes et mécaniciens dans la Marine nationale et l’armée de l’Air et de l’Espace l’adorent, comme ceux de cinq armées étrangères, et bientôt trois autres. Les aviateurs des autres forces aériennes l’admirent. Pourtant, quand sa conception a débuté en 1983, les alliés européens de la France, sceptiques ou pas intéressés par les ambitions affichées, l’avaient laissée seule, partant développer en commun un autre aéronef. Il faut dire que le Rafale a été pensé pour assurer les missions remplies jusque-là par… sept avions différents. Tel était le « brief » des généraux, des ingénieurs de l’armement et du gouvernement français à l’industriel Marcel Dassault : concevoir un avion supersonique bimoteur devant servir dans l’armée de l’Air mais aussi dans l’aéronavale de la Marine, capable à la fois d’assurer la défense aérienne, la supériorité aérienne et la police du ciel ; la reconnaissance ; la dissuasion nucléaire ; des frappes air-sol de précision et des missions d’interdiction ; un appui-feu rapproché ; la lutte antinavires ; le ravitaillement en vol de chasseur à chasseur. Tout en pouvant décoller de et atterrir sur un porte-avions, bien évidemment. AVANT LE RAFALE, SEPT AVIONS REMPLISSAIENT LES MÊMES MISSIONS Au début des années 80, toutes ces missions étaient confiées par les armées françaises à plusieurs appareils : Jaguar, F-8 Crusader, Mirage F1, Mirage 2000, Mirage IV, Étendard IV et Super-Étendard. « Les autres pays n’étaient pas intéressés par les dimensions porte-avions et ASMP », relate l’ingénieur mécanique François Lemainque, entré au bureau d’étude avant-projets de Dassault Aviation début 1983. En mars de cette année, le programme ACX (futur Rafale) débutait, et l’ASMP (« air-sol moyenne portée ») en constituait un aspect central, ce missile de croisière étant l’un des vecteurs de l’arme nucléaire, et donc de la politique française de dissuasion. D’où ce « schisme » avec le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie qui développeront ensemble l’Eurofighter Typhoon. Au regard du profane, ce dernier ressemble beaucoup au Rafale, avec ses ailes delta et ses plans canard (les ailerons mobiles sous le cockpit). « Ils sont en fait très différents », explique François Lemainque, retraité depuis 2020 après une carrière entière chez Dassault. « Le Typhoon est très bon pour l’interception, le combat aérien et la supériorité aérienne. » Mais cet avion n’est pas performant en reconnaissance et ne peut tirer de missile de croisière, par exemple. Véritablement « multirôle », le Rafale excelle « dans toutes ses missions », résume l’ingénieur ayant œuvré à sa conception : « Air-air, air-terre, reconnaissance, attaque au sol, tir de missile de croisière, tir ASMP… » Plus important, « il est capable de changer de rôle pendant un même vol », ajoute François Lemainque, qui a précisément travaillé sur la « cellule » (géométrie, masse, carburant, train d’atterrissage, aérodynamique, emport). LES TROIS VERSIONS PARTAGENT JUSQU’À 85% DE LEURS PIÈCES Autre atout du Rafale, sa compacité. « À l’époque, à la Direction générale de l’armement et chez Dassault, nous avions ce dicton : un avion se vend au poids », se souvient l’ingénieur. Avant sa mort en 1986, Marcel Dassault exige donc de ses équipes un amaigrissement de l’avion, qui passe de 10 tonnes pour le Rafale A à 9 tonnes (à vide), et perd 80 centimètres. Depuis l’origine, les trois versions du Rafale (monoplace, biplace et Marine) partagent les mêmes proportions. Avec là encore de nombreux avantages, qu’énumère François Lemainque : « Mêmes centre de gravité, aérodynamique, commandes de vol, et donc mêmes évolutions de standards au fil des années. » Les trois versions partagent ainsi 80 à 85% de leurs pièces, contre 60 à 65% pour les appareils concurrents. « La mise en œuvre de l’ensemble logistique est beaucoup plus simple et légère », résume l’ingénieur. Un seul gros porteur A400M suffit à transporter le matériel, quand trois ou quatre sont nécessaires pour d’autres avions. Les mécanos apprécient le changement très rapide des moteurs, et ceux du porte-avions Charles-de-Gaulle que cette opération se fasse à la verticale, ce qui économise 5 à 6 mètres d’espace derrière l’appareil. Trois ans et demi seulement après le début du programme, le premier vol d’essai a lieu en juillet 1986. « Notre bureau d’étude « Proto » était conçu pour sortir un avion tous les 1 an, 1 an ½ », se souvient François Lemainque : « Nous étions 150, dont quelques surdoués qui avaient tout connu depuis le Mirage III », un avion des années 1950, le premier européen à avoir dépassé la vitesse de Mach 2. « Ils venaient de finir le Mirage 4000, ils sont restés sur leur cadence. Ces gens étaient capables de concevoir un avion en dormant. » Les premiers Rafale opérationnels entrent en service en 2002 dans la Marine nationale puis en 2006 dans l’armée de l’Air. Mais à l’époque, le fleuron tricolore ne se vend pas à l’étranger. Plusieurs raisons à cela, selon François Lemainque, à la fois commerciales et géopolitiques : « Nous fabriquions au même moment pour la France et pour l’export des Mirage 2000, un avion déjà bien éprouvé. » « COMME SI JE RÉCUPÉRAIS D’UN COUP LA TÉLÉ EN COULEUR », DIT UN PILOTE La concurrence du F-35 du constructeur américain Lockheed Martin, financé par une dizaine de pays de l’OTAN, joue déjà, même s’il ne sera en partie opérationnel qu’en 2007. Et depuis 1989, la chute du mur de Berlin a ouvert la période des « dividendes de la paix », provoquant une dégringolade des budgets de défense dans le monde entier. Tout va progressivement changer avec les engagements du Rafale à l’étranger, sous le regard des alliés de la France, et parfois en interopérabilité avec eux. En Afghanistan à partir de 2007, les seules missions air-sol ne permettent pas encore de montrer la complétude de l’avion. Le 19 mars 2011, les Rafale sont les premiers avions à survoler le territoire libyen dans le cadre de l’intervention militaire internationale décidée par les Nations unies, avec des Mirage 2000. « On a bien mesuré le bond technologique et capacitaire engendré par le Rafale », se souvient le capitaine Grégory. Breveté pilote en 2006, cet officier de la base aérienne 113 de Saint-Dizier-Robinson (Haute-Marne) a d’abord volé sur Mirage 2000N avant de passer au Rafale depuis 2011 (sauf quatre ans au sein de la Patrouille de France, sur AlphaJet donc) : « C’était comme si je récupérais d’un coup la télé en couleur ! Ce sont vraiment deux prismes opérationnels différents, celui du XXe siècle et celui du XXIe siècle. Le Mirage 2000, on l’exploitait à 110, 120% de ses capacités, on le connaissait par cœur. Le Rafale, on l’exploite très bien, mais il est plus fort que l’Homme, il est trop puissant. » Le 13 janvier 2013, dans le cadre de l’opération Serval menée par la France contre des djihadistes sahéliens à la demande du gouvernement malien, quatre Rafale décollent de Saint-Dizier, survolent l’Espagne, le Maroc et le Sénégal, bombardent des infrastructures d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) au Mali avant de se poser à N’Djamena, au Tchad. Soit près de 6000 kilomètres parcourus en 9h35 de vol (avec 5 ravitaillements), la plus longue mission de l’armée de l’Air française en opération. « En Rafale, ce n’est pas parce que je décolle pour une mission d’attaque au sol que je ne peux pas faire du combat aérien ensuite », relate le capitaine. « En Mirage, il me faudrait plusieurs avions différents. » GÉNÉRAL LAVIGNE : « CE QUI EST INCROYABLE, C’EST QU’IL EST NATIVEMENT MULTIRÔLE » Chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace de 2018 à 2021, le général d’armée aérienne Philippe Lavigne était aux premières loges d’un exercice trilatéral avec les États-Unis et le Royaume-Uni, Atlantic-Trident, au printemps 2021 à Mont-de-Marsan (Landes) puis à Langley (Virginie). Les deux autres armées volaient sur Lockheed Martin F-35 et Eurofighter Typhoon. « Nos alliés sont bluffés par cet avion complet et agile, par ses capacités multirôle, ses commandes de vol exceptionnelles », raconte le général, qui s’amuse d’une vérité connue des pilotes : « Quand un avion est beau, il est bon. Le Rafale, avec sa forme, son équilibre, sa taille, son allure générale, les gens le ressentent. Ce qui est incroyable, c’est qu’il est nativement mutlirôle. »
-
Italie
Alberas a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui, mais ce sont surtout ces exemples négatifs qui nous intéressent. Parce quela concurrence économique est permanente et chacun profite des faiblesses de l'autre. Ce qui n'empèche pas des coopérations par ailleurs. Mais pour moi, le dernier exemple est celui de l'industrie spatiale. Thales et Airbus sont en difficulté. Qui cherche à en profiter? ... Leonardo ... qui se voit bien comme fédérateur, ou leader, d'une industrie spatiale européenne. Tout le monde est d'accord? Dans un autre domaine, j'aimerais bien comprendre ce qui se trame dans Stellantis., ou le patron de l'ex PSA vient de se faire virer brutalement, alors qu'ion l'encensait mondialement. Qi va en profiter ? Probablement la partie italienne , qui se plaignait d'être délaissée ... -
Italie
Alberas a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
UE ou pas UE, tous les pays sont concurrents en tout. Donc quand ton voisin est embourbé dans la m ...e, tu l'aides pas. Tu l'enfonces et tu lui passes devant. Et tu lui fais un doigt au passage.