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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Concurrencé par Rolls-Royce, GE Hitachi et Westinghouse, EDF revoit la copie de son SMR Nuward https://www.usinenouvelle.com/article/concurrence-par-rolls-royce-ge-hitachi-et-westinghouse-edf-revoit-la-copie-de-son-smr-nuward.N2215526 Dans une course aux mini-réacteurs nucléaires (SMR) qui s’accélère en Europe, pressée de remplacer ses centrales à charbon, le projet d’EDF Nuward ne convainc pas. Pour tenter de le maintenir en piste, décision a été prise d’en simplifier le design. Pour ses projets de SMR, le suédois Vattenfall a présélectionné Rolls-Royce SMR (image) et GE Hitachi Nuclear Energy, mais pas Nuward « La décision porte la marque de Luc Rémont », avance un bon connaisseur du dossier. Fin juin, EDF a confirmé une information dévoilée par le journal L’informé. Alors que le projet de SMR Nuward venait de décrocher l’autorisation de Bruxelles pour nouvelle une aide d’État de 300 millions d’euros et entrait en phase d’avant-projet détaillé, dans laquelle les équipes d’ingénierie commencent à dessiner les plans, décision a été prise d'en simplifier le design. Fini les générateurs de vapeurs à plaques imaginés par TechnicAtome et la chaudière nucléaire intégrée semi-enterrée, des technologies de rupture non maitrisées qu’il faudrait trop de temps à faire valider par les autorités de sûreté, dont six d’entre elles, première en Europe, avaient commencé à étudier ensemble le dossier. Retour à des technologies « exclusivement éprouvées », explique EDF, sans donner davantage de détails à ce stade. Derrière cette décision, plusieurs revers. Notamment l'annonce, en juin, que Vattenfall n'avait pas pré-sélectionné Nuward pour ses projets de SMR. Le groupe énergétique suédois lui a préféré le britannique Rolls-Royce et l’américain GE Hitachi Nuclear Energy, malgré des déclarations prometteuses du premier ministre Suédois. De quoi passablement énerver le PDG d’EDF. D’autant que la Suède n’est pas un cas isolé. En mai, Rolls-Royce SMR annonçait être proche d’une autorisation de principe en Pologne pour la construction de trois SMR. Et malgré l’abandon du projet en Idaho, la Roumanie continuerait de faire confiance à l’américain Nuscale. En Slovaquie, l'EPR de 1200 mégawatts (MW) d'EDF fait face à une version 300 MW de l'AP 1000 de Westinghouse. Nuward se base, lui, sur une technologie différente. Un désavantage industriel, commercial et en termes de sûreté. « C’est une décision courageuse et saine. Le réacteur n’était pas prêt pour répondre au marché et aux demandes des prospects européens », confirme Ludovic Dupin, directeur de l’information de la Société française d'énergie nucléaire (Sfen). Selon lui, « revenir à un modèle plus simple de chaudière classique va dérisquer le projet et faire gagner du temps plus tard ». Une décision courageuse Reste à savoir s’il est vraiment encore temps de changer son fusil d’épaule. Chez EDF on assure que « sur les SMR, personne n’est en retard, car personne n’a démarré » et que c’était « le bon moment pour prendre cette décision-là ». D’ailleurs, pointe-t-on chez l'énergéticien, « Nuscale montre que l’on peut avoir des aléas », sans sortir complètement du jeu. Or, la course aux SMR s’accélère en Europe, où nombre de pays sont de plus en plus pressés de remplacer leurs centrales à charbon en passant au nouveau nucléaire. Même la Norvège, qui déborde pourtant d’hydroélectricité, y réfléchit. Or Nuward n’est jamais en lice. De plus, certaines start-up portant des projets de mini-réacteurs nucléaires de 4e génération, ou avancés (AMR) – dont certains pourraient concurrencer les acteurs historiques pour le remplacement des centrales thermiques – affichent des feuilles de route très agressives. C’est le cas notamment de l’américain Terra Power, du canadien Terrestrial Energy et de l’européen Newcleo. Le CEA, qui teste pour Nuward la technologie de sureté passive à Cadarache, n’a pas souhaité commenter la décision d’EDF. Les travaux sur la boucle d’essai ne devraient pour autant pas être interrompus. Rappel de ce qu'étaient les technologies non éprouvées de Nuward -->
  2. @Picdelamirand-oilQuand Thales en avril 2022 annonçait produire ses équipements Rafale à cadence 2.5, est-ce que ca comprend aussi une partie (peut être 0,5 ?) de piece de rechange / upgrade ? https://www.usinenouvelle.com/article/les-usines-du-rafale-en-france-montent-en-cadence.N1799907 "Thales envisage de produire jusqu'à une cadence de 4,5 équipements par mois, contre 2,5 actuellement."
  3. Les chercheurs du MIT ont commandé et combiné des parties du virus de la grippe pandémique de 1918. Ont-ils révélé une faille de sécurité ? https://thebulletin.org/2024/06/mit-researchers-ordered-and-combined-parts-of-the-1918-pandemic-influenza-virus-did-they-expose-a-security-flaw/ "The team sent in orders for small fragments of the hazardous genetic sequences to many synthesis companies, thereby splitting the orders to evade detection. In some cases, they “camouflaged” sequences by appending unrelated genetic code to concerning fragments. In other cases, they both camouflaged and mutated the fragments to further conceal the ordered sequences. And the team succeeded—receiving orders 88 to 100 percent of the time in various test categories." Je vous laisse lire le reste
  4. Titus K

    [Rafale]

    Un petit détour par la Colombie au retour ?
  5. Après 6 mois de travaux, et plus de 140 personnes entendues, la commission d’enquête du Sénat sur l’électricité fait des propositions concrètes pour le pouvoir d’achat des Français, en baissant le prix et en le rendant plus stable à l’avenir. Produire une électricité compétitive pour nos entreprises et accessible à nos concitoyens est essentiel. UNE BAISSE DE 40% DE LA FACTURE Une baisse ciblée de la fiscalité Une baisse générale et indifférenciée de la TVA serait très coûteuse pour nos finances publiques et particulièrement injuste. La commission propose à l’inverse une baisse ciblée de la fiscalité sur l’électricité. Celle-ci nécessite de définir une "consommation de base" : moyenne des volumes consommés par un ménage pour une surface de logement de 80 m2, soit 4,5 MWh/an sans chauffage électrique et 6 MWh/an avec chauffage électrique. Pour cette « "consommation de bas" la TVA serait abaissée de 20 % à 5,5 %, l’accise sur l’électricité passerait de 21 euros actuellement à 9,5 euros le MWh et la Contribution Tarifaire d’Acheminement (CTA) serait supprimée. Ces propositions entraîneraient à elles seules une baisse de 18 % du prix. Au-dessus de la « consommation de base », le taux de TVA resterait de 20 % et l’accise serait plus élevée en fonction du volume consommé. Un prix de l’électricité plus bas et stable dans le temps L’"accord" État/EDF de novembre 2023 ne garantit ni des prix acceptables pour les consommateurs ni des revenus suffisants pour EDF. La commission d’enquête propose de lui substituer un contrat pour différence (CfD) fixé entre 60 et 65 euros le MWh pour éviter les variations erratiques de prix. Cela permettra de corréler les prix de l’électricité aux coûts de production et les détacher de ceux du gaz. Cette proposition entrainerait une baisse complémentaire du prix de 22%. L’ensemble des propositions de la commission d’enquête du Sénat offre donc la perspective d’une baisse significative des factures des Français dès le début de l’année 2025, baisse qui pourrait atteindre plus de 40% pour la "consommation de base". Soit : près de 7 000 euros sur la facture annuelle d’un boulanger qui consomme en moyenne 99 MWh par an ; plus de 600 euros sur la facture annuelle d’un ménage qui consomme en moyenne 6 MWh par an. La consommation électrique va progresser significativement du fait de l’électrification des usages. La commission d’enquête considère comme le plus probable un scenario à 615 TWh en 2035, soit 38% d’augmentation, puis environ 700 TWh en 2050, soit 57% d’augmentation par rapport à la situation actuelle. UNE PRODUCTION ÉLECTRIQUE SUFFISANTE A PRIX COMPETITIF GARANTI Une prolongation optimisée du parc nucléaire À l’horizon 2035, la prolongation optimisée du parc nucléaire devra accompagner un essor raisonnable des moyens de production renouvelables. Cela permettrait d’aboutir à un scénario de mix de production composé à 60 % par la filière nucléaire couvrant l’augmentation de la consommation avec une marge suffisante. Le développement de l’énergie hydraulique, énergie maîtrisée, rentable et décarbonée, exige la résolution rapide du conflit, qui dure depuis plus de 15 ans, avec la Commission européenne. À l’horizon 2050, il sera nécessaire de prolonger les centrales actuelles au-delà de 60 ans et de construire 14 nouveaux réacteurs EPR2, projet qui exigera une maîtrise industrielle renforcée et un système de financement optimisé que la commission précise. En fonction du nombre de réacteurs qui pourront être prolongés au-delà de 60 ans et du calendrier de déploiement du programme de nouveau nucléaire, le mix de production national résultant des scénarios étudiés par la commission d’enquête produirait entre 700 et 850 TWh en 2050. De 52 % à 61 % seraient assurés par des moyens nucléaires. Préparer l’avenir et relancer la recherche sur les réacteurs à neutrons rapides (RNR) La commission d’enquête alerte sur le risque, trop peu évoqué, de raréfaction de l’uranium naturel à une échéance assez rapprochée. Selon les hypothèses de déploiement de l’énergie nucléaire civile dans le monde, qui doit être massif pour permettre la décarbonation, l’uranium peut se raréfier autour des années 2060. Aussi est-il impératif de relancer au plus vite la recherche sur les réacteurs à neutrons rapides (RNR), qui produisent moins de déchets ultimes et permettraient à la France de disposer d’une énergie nucléaire 100 % souveraine pour des centaines d’années en recyclant nos propres déchets ! Être vigilant sur les coûts du système électrique En prenant en compte la totalité des coûts des différentes filières, notamment les réseaux, la commission d’enquête constate que plus les mix électriques comportent une part significative d’éolien et de photovoltaïque, plus le coût de production moyen du système est élevé. Ces modes de production diffus supposent en effet des investissements importants dans les infrastructures d’acheminement. Dans ce cadre, elle appelle à une expertise rigoureuse des programmes colossaux d’investissements dans les réseaux présentés par Enedis et RTE, pour l’instant évalués à 200 milliards d’euros d’ici à 2040, et ce pour éviter que le tarif d’utilisation du réseau public d’électricité (TURPE), répercuté sur les tarifs payés par les consommateurs, n’explose. En finir avec les discriminations de l’union européenne à l’égard du nucléaire Alors qu’elle dispose d’un mix électrique déjà très largement décarboné, les efforts demandés par l’Union européenne à la France sont proportionnellement plus importants que pour d’autres pays. Cette inégalité doit cesser. Les textes européens qui vont l’encontre du principe de neutralité technologique, établi par l’article 194 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui garantit à chaque État le droit de décider de son bouquet énergétique, sont contraires aux traités et doivent être révisés ! Ainsi faut-il mettre fin à toute discrimination de l’énergie nucléaire au sein de l’Union européenne. Les liens importants : Communiqué de presse --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/CP_2024_03_07_conf_presse.pdf L'essentiel --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/Essentiel-CE_pour_transmission_communication_03-07.pdf Les 33 recommandations --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/Les_recommandations_de_la_CE.pdf Les infographies --> https://www.senat.fr/fileadmin/Structures_temporaires/commissions_d_enquete/CE_Electricite/infog_elect_v6.pdf
  6. Titus K

    L'artillerie de demain

    Deux images de la video de Naval News pour montrer le lanceur potentiel du futur LCM Lanceur tres compact comparé au système americain
  7. Exactement, je pensais que ca venait d'une brochure Thales, d'un post Linkedin ou quelque chose du genre ... je pense que je suis pas le seul.
  8. Ce serait bien de préciser que c'est du chatGPT non ?
  9. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Je sais pas si tu parles du contact NL ? Dans ce cas l'indépendant contractor agrement, le mémorandum d'entente et le contract sont tous prêts à être signés ... il s'agit juste d'attendre le verdict de la plainte de TKMS pour mi Juillet ... sachant le ces contacts sont valables jusqu'au 28 juillet 2024. Et de toute façon vu que la marine a besoin d'une livraison en 2034, il faudra signer en 2024 dans tout les cas. Naval Group assure pouvoir livrer en 10 ans apres signature du contract, pas moins.
  10. Je n'arrive pas a voir ton image, mais juste pour préciser que d'après Dassault ce serait 20 Rafales de la tranche 5 livrés entre 2027 et 2030 ... donc les 22 restants pour 2031/32/33... For Dassault Aviation, the LPM provides for the ongoing deliveries of the Rafale program fourth batch, the coming into force of the 42 aircraft of the fifth batch (20 of which are to be delivered from 2027 to 2030), the completion by 2027 of the Rafale Standard F4, the negotiation and beginning of Rafale Standard F5 which should come along with the development of a combat drone.
  11. Tu a vu la dernière phrase du communiqué ? In particular, the future joint venture - headquartered in Italy - will be the Lead System Integrator, prime - contractor and system integrator, in both the Italian programs (MBT and AICS) and will define the roadmap for the participation in the future European Main Ground Combat System (MGCS)
  12. À la vue de ce graphique j'ose a peine imaginer ce que font les 15-20% des professeurs français qui votent RN en salle des profs
  13. JointVenture 50/50 entre Rheinmetall et Leonardo pour le lynx et le nouveau MBT (Panter?) ... à l'image de KNDS (KMW/Nexter) Rheinmetall avait déjà sa place dans le MGCS ... il faudra donc faire de la place a Leonardo (celle de Thales ?) Leonardo and Rheinmetall have signed today a Memorandum of Understanding (MoU) to establish a new 50:50 joint venture aimed at developing a European industrial and technological approach in the field of land defense systems. The objective of the agreement is the industrial development and subsequent commercialization of the new Main Battle Tank (MBT) and the new Lynx Platform for the Armoured Infantry Combat System (AICS), within the Italian Army’s ground systems programs. In particular, the future joint venture - headquartered in Italy - will be the Lead System Integrator, prime - contractor and system integrator, in both the Italian programs (MBT and AICS) and will define the roadmap for the participation in the future European Main Ground Combat System (MGCS)
  14. La culture war ne m'interresse guère mais je remarque que c'est le monsieur de "Africa won the World Cup" ... chacun son obsession.
  15. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Le travail de sape continue ... Soupçon de corruption Thales dans la vente de sous-marins français au Brésil et en Malaisie. Perquisitions aux Pays-Bas, en France, en Espagne. Thales confirme les perquisitions, mais dit également que Thales Pays-Bas eux-mêmes ne font pas l'objet d'une enquête.
  16. new cleo reaches a key milestone in the accelerated licensing process set up by the French nuclear safety authorities for its innovative reactor and fuel manufacturing plant. https://assets.ctfassets.net/26ep875sz1dl/5kT6PW9YrpPjr1ly2DENpX/ddb31ba767b4ee63b4cf2c4666866ed8/2024.07.02_Press_release_-_newcleo_-_licensing.pdf L'examen réglementaire français du SMR de Newcleo progresse https://www.world-nuclear-news.org/Articles/French-regulatory-review-of-Newcleo-SMR-progresses Le développeur de réacteurs innovants Newcleo a annoncé avoir achevé l'étape préparatoire mise en place par les autorités françaises pour les développeurs de projets de petits réacteurs modulaires afin de faciliter, sécuriser et accélérer l'examen des demandes d'autorisation. Représentation du réacteur LFR AS-30 (Image : Newcleo) La première étape de la feuille de route de Newcleo, dont le siège est à Londres, sera la conception et la construction du premier réacteur rapide refroidi au plomb (LFR) de 30 MWe, qui sera déployé en France d'ici 2030, suivi d'une unité commerciale de 200 MWe au Royaume-Uni d'ici 2033. Parallèlement, Newcleo investira directement dans une usine d'oxyde mixte d'uranium et de plutonium (MOX) pour alimenter ses réacteurs. En juin 2022, Newcleo a annoncé qu'elle avait passé un contrat avec la société française Orano pour la réalisation d'études de faisabilité sur l'établissement d'une usine de production de MOX. Newcleo a déclaré qu'au cours de la phase préparatoire, l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) ont évalué la maturité de son projet et ont discuté de toutes les options de sûreté pour ses projets LFR et l'usine de fabrication de combustible nucléaire associée. La conclusion de cette phase préparatoire fait suite à de nombreuses réunions techniques auxquelles ont participé une vingtaine d'experts spécialisés des autorités, ainsi qu'à l'élaboration d'une série de documents préparatoires couvrant divers sujets techniques. L'achèvement de la phase préparatoire le 26 juin sera suivi de la présentation des options techniques officielles pour le LFR et l'usine de fabrication de MOX. Les autorités françaises établiront alors un avis écrit qui, avec d'autres considérations issues des discussions de la phase préparatoire, permettra d'accélérer le processus d'octroi des décrets d'autorisation nécessaires à Newcleo. "Nous sommes tous ravis que notre projet ait franchi cette étape clé dans le processus rigoureux qui conduit Newcleo à obtenir les autorisations requises pour le lancement de ce nouveau secteur nucléaire durable", a déclaré Stéphane Calpena, directeur mondial des licences de Newcleo. "Les discussions constructives que nous avons eues avec les experts des autorités françaises ont été inestimables, nous permettant d'orienter nos choix de conception et les exigences de sécurité associées pour répondre aux normes exceptionnellement élevées pour lesquelles l'énergie nucléaire française est connue." En janvier, Newcleo a annoncé un partenariat stratégique et industriel avec le développeur français de microréacteurs Naarea, destiné à "soutenir tous les acteurs dans leur développement industriel, technologique, scientifique et réglementaire" des réacteurs à neutrons rapides de génération IV. Les entreprises ont précisé que ce partenariat serait ouvert à d'autres acteurs et qu'il se concentrerait sur des domaines clés présentant des intérêts communs, tels que l'accès au combustible nucléaire usé provenant de réacteurs nucléaires conventionnels que leurs réacteurs de quatrième génération sont conçus pour utiliser dans le cadre de leurs efforts visant à fermer le cycle du combustible. Newcleo a remporté l'appel à projets "Réacteurs nucléaires innovants" dans le cadre du plan d'investissement "France 2030" mis en œuvre par Bpifrance et financé par l'Union européenne - Next Generation EU dans le cadre du plan de relance économique de la France (Plan France Relance). Newcleo a déclaré que la conception de son réacteur LFR AS-30 a été optimisée au cours des 20 dernières années, aboutissant au concept d'un module ultra-compact et transportable de 200 MWe avec des améliorations de la densité énergétique par rapport à d'autres technologies. Les coûts sont maintenus bas grâce à la simplicité, la compacité, la modularité, le fonctionnement à pression atmosphérique et la température de sortie élevée. Afin de préparer au mieux les éventuelles demandes d'autorisation de construire des projets SMR, et en vue de mobiliser des ressources proportionnelles au niveau de maturité de chaque projet, un cadre progressif d'échanges techniques en quatre phases a été mis en place. --> Le LFR de Newcleo fait partie de la dizaine de projets de SMR en cours d'évaluation par l'ASN et l'IRSN : 4 fournisseurs sont dans la phase initiale, dite de veille prospective --> Blue Capsule, Hexana, Out et Stellaria 4 fournisseur sont dans la phase 2, dite d'examen preparatoire --> Newcleo, Naarea, Calogena et Thorizon Nuward est dans la 3ème étape de pré-construction où l'ASN rendra un avis sur les principales options de sûreté à retenir pour la conception de son SMR --> ...... ? Jimmy est dans l'étape 4 où il a demandé à l'ASN un "décret d'autorisation de création" pour construire un SMR destiné à fournir de la chaleur industrielle à une usine du groupe Cristal Union implantée sur le site de Bazancourt. --> Il y a aussi deux projets de Fusion qui reçoivent une aide au financement : Renaissance fusion et GenF Pour un bon récapitulatif des techno Gen4 il y a cette page qui simplifie bien --> https://www.uarga.org/nucleaire/reacteurs_generation_4.php Projets SMR/AMR :
  17. La V-Shorad c'est forcement des missiles ? Je pensais que l'artillerie sol-air c'en était aussi
  18. Dans le communiqué de presse que j’avais posté c’est écrit « manage V-SHORAD assets », c’est pas déjà de la LAD ?
  19. Il y a aussi l'exocet de défense aérienne vers 4:40
  20. Au risque de sabotage par des compétiteurs. Je comprend que c'est un problème presque impossible a résoudre mais franchement ce parking n'a pas l'air très protégé, ne serais ce que des regards indiscrets, voire pire ... j'ai pas envie de donner des exemples sur le forum mais bon ... Je pense a cette audition de Lecornu d'il y a quelque jours (écoute à 12:50), où il explique que le sabotage s'intensifie sur la BITD française, pour l'instant moins que chez certains de nos voisins certes, mais quand même... 50 intrusions physiques en 2023.
  21. Tir direct mis en avant dans l'infographie du mindef estonien https://x.com/MoD_Estonia/status/1807796176382484925 Looking back at a summer highlight: Estonia inks a landmark deal with France for Caesar howitzers, boosting its indirect fire capability and bolstering defence ties. The first deliveries are set for this year. Livraison de 6 Caesar en 2024 --> https://www.kaitseministeerium.ee/en/news/minister-defence-pevkur-first-caesar-howitzers-will-arrive-estonia-year Development of a wheeled self-propelled artillery battalion is one of the urgent priorities of the Estonian current Estonian National Defence Development Plan. We are glad that French industry is able to provide 6 howitzers already this year and the accompanying package of necessary training and spare parts to within the timeframe that suits Estonia’s urgent capability development timelines. Confirmation d'un achat groupé France/Estonie/Croatie --> https://www.kaitseinvesteeringud.ee/en/estonia-to-purchase-12-wheeled-caesar-self-propelled-howitzers-from-france/ Estonia to Purchase 12 Wheeled CAESAR Self-Propelled Howitzers from France Estonian Centre for Defence Investments (ECDI) has signed contracts with the French Defence Procurement Agency (DGA) and the defence company KNDS for the procurement of 12 wheeled self-propelled howitzers CAESAR, with the option to purchase additional howitzers in the future. The contracts were signed at one of the world’s largest defence industry exhibitions, “Eurosatory 2024,” in Paris. “France is a strong ally of Estonia in NATO and the European Union, with whom we share a long-term, trustworthy cooperation in defence procurement. French companies play a significant role in terms of capabilities, quality, and production volumes in the supply chain of Estonia’s national defence and in the European defence industry as a whole,” said ECDI’s Director General Magnus-Valdemar Saar. “Wheeled artillery is a key capability for an efficient fire support and the CAESAR is probably the most advanced solution available. This joint acquisition between Estonia, Croatia and France will enhance the interoperability between the Land Forces of EU countries,” stated General Gaël Diaz De Tuesta, the French National Armaments Director (Direction générale de l’armement, DGA). The 6×6 chassis CAESAR-type 155 mm calibre self-propelled howitzers produced by the French defence giant KNDS will be integrated into the newly established third self-propelled artillery battalion, which will operate directly under the Estonian division, explained Project Officer Major Rauno Viitman. “Considering the reliability and effectiveness of the CAESARs in various armed conflicts, including the war in Ukraine, we can say that we have obtained the best possible solution. For us, cooperation with France in developing indirect fire capability is important, as well as the fact that we will receive the systems quickly and be able to integrate them with the domestic fire support system TOORU,” commented ECDI Strategic Category Manager (Armament) Ramil Lipp. The first CAESARs will be delivered to Estonia at the end of 2024, with deliveries continuing until mid-2025. “Thanks to the reinforced production line of KNDS France, the first howitzers will be delivered at the end of this year,” added General Emeric Wininger, Director for Central and Eastern Europe, Latin America at DGA.
  22. Quand la fréquence avec laquelle les navires de type BPC sont utilisés par la marine pour participer à des exercise interalliés et forger des alliances ... je suis pas sur que réduire le nombre de navire de ce type soit la bonne chose à faire ... Ou alors il faudrait 2 BPC STOBAR de 30 000 tonnes et 2 BPC classiques de 20 000 Tonnes ... mais bon ca commence a faire cher.
  23. Suis le seul a penser au sabotage quand je vois ce genre d'images ?
  24. Il vont peut être faire quelque chose de similaire au SMR de Rolls-Royce ? Un simple REP de 300-500 MW avec un maximum d'éléments construits en serie en usine ... mais avec un rendement par m2 de foncier très mediocre face à un EPR ... A part être européen c'est quoi la plus value face aux autres concepts tres similaires ? Je rappelle que c'est un produit destiné aux voisins européens , qui n'en n'ont pas grand chose a faire de la souveraineté européenne ... Mini-réacteur nucléaire : EDF change ses plans pour son projet Nuward https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/mini-reacteur-nucleaire-edf-change-ses-plans-pour-son-projet-nuward-2105042 Compte tenu des nombreux défis techniques, EDF annonce la remise à plat du design de son projet de réacteur SMR. Désormais il n'utilisera que des « briques technologiques » déjà « éprouvées ». EDF a bénéficié de 300 millions d'euros du programme France 2030 pour son projet Nuward. (NUWARD™, EDF) Dans la course aux mini-réacteurs, EDF ne fait décidément pas la course en tête.Son projet phare, mené en collaboration avec TechnicAtome, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), Framatome et Naval Group rencontre des difficultés techniques telles qu'il doit être « profondément réorienté », indique une source chez EDF qui confirme des informations publiées par « l'Informé ». « Un certain nombre de briques technologiques ne sont pas assez éprouvées. Nous devons utiliser davantage de solutions sur étagères, voire nouer des partenariats, pour être en mesure de tenir les délais et les budgets », explique une autre source. Un design qui doit évoluer « Le groupe EDF a décidé de faire évoluer le design de son SMR », confirme le groupe public aux « Echos ». Conçu pour remplacer les centrales à charbon vieillissantes dans de nombreux pays, le petit réacteur d'EDF est en réalité un poids lourd dans la catégorie des nouveaux réacteurs modulaires (SMR ou AMR). D'une puissance de 170 mégawatts (soit 340 mégawatts pour une centrale type qui doit associer deux réacteurs), il mise pour cela sur des innovations majeures, notamment la conception de générateurs de vapeur à plaques qui doivent permettre de miniaturiser les équipements. Or, ces dernières n'existent pas à ce jour sur le marché et présentent de nombreux défis de conception. Initialement, EDF annonçait un coût prévisionnel de développement de l'ordre du milliard d'euros pour ce projet et une mise sur le marché à l'horizon 2035-2040. La construction d'un démonstrateur sur le site du CEA à Marcoule a aussi été envisagée par les pouvoirs publics, sans toutefois se concrétiser. Stopper la fuite en avant Lauréat du programme de subvention «France 2030», le projet Nuward a été doté de façon bien plus massive par l'Etat que ses concurrents qui visent également la mise sur le marché de mini-réacteurs. Dans le détail, Nuward doit bénéficier d'une aide de 300 millions d'euros contre 25 millions d'euros pour Naarea et Newcleo. Contrairement à ses concurrents , EDF a par ailleurs déjà engagé un processus de « pre-licencing » de son réacteur Nuward avec l'Autorité de sûreté. En décembre 2023, le groupe lui a remis son dossier d'options de sûreté. Mais toutes les cartes semblent rebattues désormais. Ce revirement intervient quelques mois après la prolongation en interne chez EDF des études sur le coût et les délais des six EPR2 que l'Etat a demandé à l'énergéticien. Alors que la facture de ce programme ne cesse d'enfler, le groupe a décidé de prendre plus de temps pour cette fois tomber juste. Autrement dit, EDF veut rompre avec la stratégie de fuite en avant qui, pour les précédents EPR, lui a été beaucoup reprochée.
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