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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Oui FLF sont remplacées par FDI, c'est assez clair dans la LPM
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https://x.com/VincentLamigeon/status/1802684260748231102 Et voila le projet de missile de croisière terrestre LCM (Land Cruise Missile) de MBDA MDCN terrestre ?
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Le site de Naval Group à Cherbourg est-il devenu trop petit pour y construire tous ses sous-marins ? https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/le-site-de-naval-group-a-cherbourg-est-il-devenu-trop-petit-pour-y-construire-tous-ses-sous-marins_61201473.html L'activité de Naval Group à Cherbourg (Manche) va grimper ces prochaines années. Problème, la place manque sur le site qui cherche des solutions pour adapter son outil industriel. Le site Naval Group à Cherbourg (Manche) va devoir renforcer son outil industriel et ses surfaces de production avec la fin du programme Barracuda et la montée en puissance du projet SNLE 3G. Sans oublier l’ajout de contrats à l’export, comme celui en passe d’être signé avec les Pays-Bas pour quatre sous-marins La question est de plus en plus brûlante. Naval Group est-il trop à l’étroit sur son site de Cherbourg (Manche) ? Après les succès commerciaux récemment remportés à l’export, le point d’interrogation est d’ailleurs de trop. Avec ses 50 hectares de superficie, le site cherbourgeois, engoncé au sein de la base navale, aura clairement du mal à absorber, en l’état, un tel plan de charge. Explications. 1. Le contexte La période est plutôt faste pour Naval Group. À Cherbourg, les sous-marins se succèdent dans les nefs. Lancé en 2002, le projet Barracuda, qui consistait à remplacer les six sous-marins nucléaires d’attaque de classe Rubis pour près de 10 milliards d’euros, accapare les équipes de l’industriel depuis de nombreuses années. Celui-ci est désormais dans la dernière ligne droite avec plus de 80 % du programme déjà réalisé. Deux bâtiments, le Suffren et le Duguay-Trouin, ont été admis au service actif, respectivement en juin 2022 et en avril 2024. Le troisième, le Tourville, se prépare à effectuer ses premiers essais en mer cet été, après avoir réalisé sa divergence. Enfin, les trois autres – le De Grasse, le Rubis et le Casabianca – suivront tous les deux ans avec une ultime livraison à la Marine nationale programmée en 2029. Sans se le cacher, la page Barracuda est donc presque tournée. À la pointe du Cotentin, les forces vives sont désormais affectées, petit à petit, sur le projet de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de 3egénération. Ce programme d’une tout autre dimension – estimé à plusieurs dizaines de milliards d’euros – va accaparer le chantier cherbourgeois jusqu’en 2050, au moins. Quatre bateaux ultramodernes de 150 mètres environ – les plus gros jamais réalisés par la France – doivent venir remplacer, à partir de 2035, les quatre unités de la classe Triomphant, longues de 136 mètres. Déjà bien occupé par des programmes nationaux qui l’obligent à pousser les murs, le site cherbourgeois risque cependant de vivre la crise du logement avec les bonnes nouvelles venues de l’international. Il y a tout d’abord les Pays-Bas pour un deal (en très bonne voie) de quatre sous-marins de type Barracuda, à propulsion conventionnelle. Si ce contrat est bel et bien signé dans les prochaines semaines, ce sont quatre nouveaux sous-marins que les équipes cotentinoises vont devoir assemblées. Ces dernières seront également sur le pont pour les deux sous-marins Scorpène Evolved vendus à l’Indonésie, même si ceux-ci seront construits en Asie. Sans compter les nombreuses campagnes à l’exportation en cours qui pourraient se concrétiser. Enfin, Cherbourg effectuera une petite infidélité aux sous-marins en participant à la construction du PANG (porte-avions nouvelle génération) et de ses enceintes de confinement des deux chaufferies nucléaires. 2. Les solutions Elles sont identifiées. Elles ont déjà été en partie effectuées. Depuis 2020, Naval Group a investi pas moins de 100 millions d’euros pour mettre à niveau ses moyens industriels et ses infrastructures comme le bâtiment Legris et le chantier Laubeuf. Un redimensionnement indispensable dans le cadre du programme SNLE 3G alors que le dernier SNLE de classe Triomphant, le Terrible, a été lancé en mars 2008. Un gouffre en termes de technologies. Il s’agit évidemment d’un premier défi pour le chantier cherbourgeois, alors que le projet SNLE 3G a été lancé officiellement en 2021 et démarre à peine avec notamment la découpe de la première tôle en mars 2024. Un second défi pointe à l’horizon, celui d’intégrer la production des quatre futurs sous-marins néerlandais qui ne pourront pas être intercalés entre chaque SNLE 3G, de même que d’autres produits à l’export. Pour cela, c’est tout un nouveau chantier qui doit sortir de terre, avec deux nouvelles nefs pour la préconstruction et l’assemblage, à l’instar des bâtiments Legris et Laubeuf. 3. Les contraintes Elles sont concrètes. D’ailleurs, Naval Group demeure discret sur ces évolutions infrastructurelles. « Plusieurs scénarios sont à l’étude en prenant en compte le plan de charge du site mais il est encore trop tôt pour en parler à ce stade », évoque brièvement l’industriel. Seulement, certains évoquent déjà un site à l’étroit dans le cadre unique du programme SNLE 3G. Il faut dire que le paysage cherbourgeois a largement évolué depuis la fin de la construction des SNLE 2G. Le chantier naval a perdu du foncier, au profit de la base navale. Des emprises qui manquent désormais. En 2020, Naval Group s’était d’ailleurs positionné sur l’ancien bâtiment d’OpenHydro sur le terre-plein des Mielles, pour des travaux d’assemblage, avant de renoncer. L’industriel a donc un réel besoin d’augmenter ses surfaces de production, en particulier à l’heure d’imaginer un nouveau chantier pour l’export. Si Naval Group travaille bien sur le dossier, les écueils ne manquent pas. Entre le manque de place et une localisation au plus près de la mer pour limiter la problématique de la mise à l’eau, le casse-tête est bien réel. Qui plus est, dans un temps imparti limité. Avec un premier sous-marin à livrer dans les dix ans suivant la signature du contrat néerlandais, il y a urgence pour ériger des bâtiments qui ne seront pas de simples hangars vides. Plusieurs scénarios sont à l’étude en prenant en compte le plan de charge du site mais il est encore trop tôt pour en parler à ce stade. Naval Group qui préfère, à l’heure actuelle, rester discret sur ses intentions et les futurs aménagements programmés sur son site de Cherbourg Vous l’aurez compris, à Cherbourg, les projets ne manquent pas. C’est moins le cas pour la place mais aussi pour les bras. Car, en plus de devoir agrandir la maison, il va falloir trouver du monde pour l’habiter. Et ce ne sera pas une mince affaire. Bien que toujours attractif, Naval Group est confronté, comme l’ensemble du bassin du Cotentin, a des difficultés de recrutement, alors qu’il va lui falloir recruter en masse. Ses futurs (nombreux) projets en dépendent. -
C'est une réserve de munitions supplémentaires dans le placard entre la cabine et le canon ?
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
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Un gros plan sur l'armement "coax" Plein de photos de par meumeu --> https://x.com/meumeu03/status/1802647966223663232
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https://x.com/Marsattaqueblog/status/1802556765889830989 22 munitions en tourelle 1 coaxiale de 20x102mm (avec 300 coups environ) 1 tto mixant 30x113mm (avec 150 coups environ) et 7,62mm 6 aps anti uas radars 4 laser warning detectors Distributed ApS concept 22 counter mesure launchers Tirs en mouvement prévu en 2025
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