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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Du coté politique, la tendance actuelle aux Pays-Bas c'est un une ambition d'au minimum 5 GWe et jusqu'à 10 GWe installés en nouveau nucléaire sur 2 à 3 sites... Par contre on commence a réaliser que ce sera probablement pas avant 2040. Le hasard faisant bien les choses, 3 paires d'EPR c'est pile 10 GW...
  2. https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/03/19/nucleaire-l-armee-francaise-et-edf-vont-collaborer-pour-produire-du-tritium-indispensable-aux-armes-de-dissuasion_6222845_3244.html L’armée française et EDF vont collaborer pour produire du tritium, indispensable aux armes de dissuasion nucléaire Les réacteurs de la centrale de Civaux, dans la Vienne, seront utilisés pour produire ce gaz rare nécessaire à la fabrication d’armes de dissuasion nucléaire. Ce projet s’inscrit dans une planification de longue date, assure le ministère des armées.
  3. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Le bâtiment amphibie Johan de Witt participe à l'exercice Joint Viking en Norvège.
  4. C'est un sondage parmi les spectateurs de CNN qui ont pris la peine d'aller voter sur un site internet ... on a vu plus représentatif du peuple américain EDIT : pardon j'ai confondu avec un autre "sondage CNN" ... c'est les 4% qui m'ont induit en erreur
  5. Titus K

    Guerre des mines

    La France rejoint le programme belgo-néerlandais de lutte contre les mines https://marineschepen.nl/nieuws/Frankrijk-sluit-aan-bij-mijnenbestrijdingsprogramma-030325.html La Belgique, les Pays-Bas et la France signent un accord pour ajuster le navire rMCM aux besoins français https://www.navalnews.com/naval-news/2025/02/belgian-dutch-and-french-ink-agreement-to-adjust-rmcm-vessel-to-french-needs/ Naval News croit savoir que la principale différence entre les navires sera le « système de manutention de la boîte à outils » : Alors que le programme rMCM s'appuie sur des systèmes principalement conçus et produits (en Belgique) par la société française Exail (anciennement ECA Group), les navires français déploieront des systèmes sans pilote conçus et produits par la société française Thales dans le cadre du programme SLAMF. Les USV sont différents, les UUV sont différents et les ROV sont différents. L'un des domaines d'intérêt est le système de lancement et de récupération (LARS) : Alors que le mât de l'Inspector 125 USV d'Exail peut se replier, l'USV Halcyon de Thales et L3Harris (anciennement connu sous le nom d'ASV Ltd) est doté d'un mât fixe. Thales a travaillé à l'adaptation du mât pour que l'USV puisse s'adapter à la fois au LARS et au navire-mère. Naval Group a confirmé à Naval News avoir déjà adapté le LARS pour qu'il puisse accueillir l'USV Halcyon. En outre, les BGDM français seront probablement dotés d'une coque plus longue que celle des navires-mères des MMCR. Les 3,60 mètres supplémentaires requis par la marine française permettraient d'accueillir une chambre de décompression ainsi que des modules de mission de guerre des fonds marins. Contrairement aux navires belges et néerlandais, les navires-mères français seront également chargés de mener des missions de guerre des fonds marins. Nous avons d'ailleurs évoqué l'idée de l'OTAN d'une approche par « modules de mission » pour fournir une capacité de guerre des fonds marins.
  6. Eric Lombard sonne la mobilisation pour une économie de guerre https://www.latribune.fr/economie/france/eric-lombard-sonne-la-mobilisation-pour-une-economie-de-guerre-1019625.html Le ministre de l'Economie Eric Lombard doit présenter le 20 mars prochain à Bercy, avec le ministre des Armées Sébastien Lecornu, un plan de bataille pour mobiliser les investisseurs et les banques afin de soutenir l'industrie de l'armement. Le ministre de l'Economie, Eric Lombard, a appelé samedi l'Union européenne à "retrouver une totale autonomie" en matière de défense, disant vouloir mobiliser davantage l'investissement privé vers ce secteur. "L'objectif doit être une autonomie stratégique européenne à l'intérieur de l'Otan, dont le rôle n'a pas été remis en cause par le président Trump", a déclaré M. Lombard dans une interview publiée sur le site internet du Parisien. "L'Union européenne doit investir davantage dans sa défense. Aujourd'hui, les États-Unis gardent un droit de regard sur les armes, d'où la nécessité de retrouver une totale autonomie", a-t-il ajouté, après la vive altercation entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche, qu'il a qualifiée de "bascule historique". Un événement le 20 mars "Le 20 mars, à Bercy, avec Sébastien Lecornu (ministre des Armées, NDLR), nous rendrons compte publiquement de notre action visant à mobiliser les banques, les investisseurs français afin de développer la base industrielle et technologique de défense. C'est par l'action que nous répondrons aux anxiétés et que nous nous protégerons", a-t-il ajouté. Interrogé par l'AFP, le ministère de l'Economie et des Finances a précisé qu'il s'agissait d'un événement visant à permettre de faciliter l'investissement privé dans les structures industrielles et technologiques de défense. A la question de savoir si la situation était celle d'une "économie de guerre", il a répondu: "On n'y est pas mais il le faut". Mobilisation de l'épargne Lors d'échanges avec des internautes en février, le président Emmanuel Macron n'avait pas exclu de "lancer des produits d'épargne" pour soutenir le financement de programmes de défense, estimant que la France devrait "monter" la part de son PIB qu'elle y consacre, d'environ 2% aujourd'hui. Le Premier ministre François Bayrou avait dit jeudi souhaiter que les dépenses militaires soient exclues des règles européennes qui plafonnent le déficit public à 3% du PIB. Selon le ministre de l'Economie, "c'est techniquement possible, mais il faut maîtriser notre dette. D'autres pays européens ont plus de marges de manoeuvre", alors que la France affiche l'un des déficit public les plus élevés de la zone euro. La cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbocka, a quant à elle jugé urgent samedi que l'Allemagne et l'UE assouplissent leurs règles budgétaires afin de dégager des moyens supplémentaires pour renforcer leur défense et aider l'Ukraine.
  7. Quelle drôle d'idée de faire ce débat très important à l'Assemblée Nationale un jour de piscine ... https://www.youtube.com/watch?v=0BEK0WoSrXo
  8. Un peu trop tôt pour l'A321 MPA ... https://www.navalnews.com/naval-news/2025/03/singapore-plans-procurement-of-2-more-submarines-new-maritime-patrol-aircraft/ Dr. Ng also announced that the Republic of Singapore Air Force is now evaluating replacements for its Fokker 50 maritime patrol aircraft, as the Fokkers are now due for replacement after 32 years in service. He said that the RSAF was evaluating Boeing’s P-8 Poseidon and Airbus’ C-295 as possible choices for the role.
  9. Titus K

    Marine Norvegienne

    Laissez tomber les États-Unis et Trump - achetez des frégates en Europe https://www.tu.no/artikler/dump-usa-og-trump-kjop-fregatt-i-europa/556135 Pour des raisons militaires, économiques et, pour la première fois, politiques, la Norvège devrait choisir l'Allemagne comme pays de production de cinq nouvelles frégates norvégiennes. Le gouvernement décidera bientôt d'acheter un minimum de cinq nouvelles frégates au Royaume-Uni, à l'Allemagne, à la France ou aux États-Unis. Ces quatre pays ont été choisis parmi 11 soumissionnaires. Le ministère de la défense a maintenant reçu des réponses à un certain nombre de questions détaillées de la part des quatre fabricants et peut lancer une procédure d'appel d'offres, qui aboutira à une décision dans le courant de l'année. En tant qu'alliés les plus importants de la Norvège depuis la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis et l'OTAN ont été une garantie de sécurité pour la Norvège en tant que poste frontière vers le Grand Nord et la Russie. Avec Donald Trump comme « canon lâche » dans le fauteuil présidentiel, l'incertitude a surgi autour de la pierre angulaire de toute l'alliance, l'article 5. Le plus grand marché public de Norvège C'est pourquoi plusieurs sources ont déclaré à TU que nous devrions resserrer nos liens avec l'Europe et acheter davantage à nos alliés sur notre propre continent. « Un accord d'achat avec Trump comme président est irréaliste. Il veut juste vendre. Aucun accord de ce type n'a été conclu pour l'achat de 52 avions de combat. Mais heureusement, le groupe Kongsberg est un leader mondial dans le domaine des missiles et a eu l'occasion d'apporter sa contribution avec le Joint Strike Missile. À long terme, cela pourrait générer des milliards de revenus. L'investissement dans les frégates sera la plus importante acquisition de la Norvège, avec un prix de plus de 100 milliards de couronnes norvégiennes. D'importantes ressources sont utilisées pour accélérer le processus. Pour la marine norvégienne, il est urgent de lancer la construction, car l'objectif est d'avoir au moins une nouvelle frégate en service d'ici 2029. Ce n'est pas réaliste pour au moins deux des candidats. La classe américaine Constellation risque d'être retardée de plus de trois ans. La première frégate de l'US Navy est en cours de construction sur le chantier naval italien Fincantieri Marinette Marine, dans le Wisconsin. Le fait que Sylvi Listhaug, leader du Frp, ait récemment déclaré à TU que la Norvège devrait choisir la classe Constellation parce que les frégates peuvent être construites à Vard Langsten, qui a le même propriétaire italien que le chantier naval qui construit actuellement les frégates américaines, n'aide donc pas. Elle nous demande de réfléchir à nos relations avec les États-Unis dans une perspective à plus long terme. Le même chantier naval qui construit les sous-marins L'autre candidate, la frégate allemande F127, est un peu plus petite que la gigantesque F126 et n'a pas encore été mise en chantier. Le chantier naval Thyssenkrupp Marine Systems (TKMS) s'est rendu à Oslo au début du mois de février pour montrer ce qu'il pouvait offrir. Le directeur du chantier naval, Oliver Burkhard, a déclaré au Forum norvégien de la défense que la première frégate pourrait être prête d'ici 2031-2032. C'est deux à trois ans trop tard par rapport aux souhaits du ministère de la défense. En contrepartie, M. Burkhard a déclaré qu'un accord avec l'Allemagne pourrait permettre de construire certaines parties de la frégate en Norvège. Un autre avantage du choix de TKMS est que le même chantier naval, en collaboration avec le fabricant d'armes Atlas Elektronik, construit actuellement six nouveaux sous-marins pour la marine norvégienne. Les deux entreprises ont créé une coentreprise avec Kongsberg Defence & Aerospace, KTA Naval Systems, qui fournira les systèmes de combat. Des accords d'un montant total de 8,2 milliards de couronnes norvégiennes ont été signés en 2021, et le partenariat industriel durera au moins 20 ans. Visite française Le 16 janvier, le ministre français de la défense s'est également rendu à la forteresse d'Akershus pour présenter son concept de frégate, FDI, au ministre de la défense de l'époque, Bjørn Arild Gram (Sp), et au PDG de Kongsberg-Gruppen, Geir Håøy. M. Håøy estime que la condition préalable au choix de la frégate construite en France est que Kongsberg puisse livrer des systèmes d'armes à la défense française et éventuellement à d'autres pays qui achèteraient la frégate, comme la Grèce. L'avantage de la FDI est que la première frégate a déjà été produite, qu'elle est la plus petite des candidates, qu'elle a un équipage réduit et qu'elle est donc moins chère à exploiter. Elle est bien adaptée à la lutte anti-sous-marine, dispose d'une défense aérienne et d'une étrave inversée pour une plus grande vitesse. Si le coût de cinq frégates peut être réduit, la FD envisagera d'investir dans six frégates. Le scandale du NH90, dans lequel la société française Airbus était l'une des trois sociétés responsables de la fabrication des hélicoptères, est un gros point négatif pour la France. Le contrat avec la Norvège a été annulé lorsque l'entreprise n'a pas livré plus de 8 des 14 hélicoptères sur une période de 20 ans. Et les huit machines ont passé plus de temps dans les ateliers que dans les airs. Un candidat britannique La semaine dernière, le nouveau ministre norvégien de la défense, Tore O. Sandvik (Ap), a signé un accord de coopération global avec son homologue britannique John Healey, portant principalement sur la coopération et la formation conjointe dans le Grand Nord. La frégate britannique de type 26 a également été achetée par l'Australie et le Canada et est spécialement équipée pour chasser des sous-marins. Elle a un déplacement de 7 600 tonnes et est très silencieuse. Il dispose également d'un grand hangar flexible qui est relié au hangar à hélicoptères et peut accueillir jusqu'à quatre semi-rigides de 12 mètres ou 11 conteneurs de 20 pieds et des drones dans l'eau et dans l'air. Il est actuellement en construction, mais l'Angleterre disposera de huit frégates, le Canada de 15 et l'Australie de six. Où se situe donc la livraison urgente de la Norvège dans cette liste ? Écouter les experts Plus récemment, lors de la présentation de l'« Analyse de la défense 2025 », le chef de la défense, Eirik Kristoffersen, a déclaré que les nouveaux équipements devraient être standardisés. « La guerre en Ukraine montre à quel point il est difficile de faire fonctionner efficacement des équipements provenant de différents pays. Un plus grand nombre de produits « prêts à l'emploi » permet un accès plus rapide à l'équipement et à l'expertise. En ce qui concerne la conception pour la navigabilité, la fonctionnalité et la performance des armes de combat et de la défense aérienne, l'avis des experts est clair. Le chercheur Tor Ivar Strømmen de l'Académie navale norvégienne explique à TU qu'on ne peut plus faire confiance aux États-Unis depuis l'accession de Donald Trump à la présidence. M. Strømmen souligne que la technologie des frégates américaines n'a pas été entièrement développée et que les capacités de construction sont insuffisantes. Elles sont conçues pour un équipage plus important que les frégates norvégiennes actuelles et coûteront plus cher. - Une situation terriblement vulnérable M. Strømmen estime qu'il est clair que les capacités essentielles des services de renseignement et de l'armée de l'air sont déjà très étroitement liées aux États-Unis. - Si nous devions lier l'une des deux armes principales de la marine directement aux États-Unis, nous serions dans une situation terriblement vulnérable. Notre marge de manœuvre serait particulièrement limitée par les souhaits de Washington », ajoute-t-il. M. Strømmen est soutenu par son collègue Ståle Ulriksen. - En matière de politique de sécurité, la Norvège devrait en fait se couvrir un peu. Nous avons déjà beaucoup acheté aux États-Unis et à l'Allemagne. Mais il y a aussi les Français et les Britanniques, avec lesquels nous n'avons pratiquement pas échangé. D'un point de vue stratégique, il serait préférable d'acheter une frégate à l'un d'entre eux », explique-t-il. Comportement turbulent L'ancien chef de la défense, Sverre Diesen, aujourd'hui chercheur à l'Institut norvégien de recherche sur la défense (FFI), estime que le Constellation est construit pour être le meilleur et le plus grand de sa catégorie, mais qu'il sera très coûteux à exploiter. - « Il est complètement naïf de penser que nous pouvons apaiser les Américains en achetant des frégates américaines. Cela ne fait qu'encourager Trump à poursuivre le même comportement d'intimidation », explique Diesen à Nettavisen. Diesen se montre critique à l'égard d'une commande de la France en raison des barrières linguistiques et de la faiblesse des échanges commerciaux. « Comme nous avons beaucoup commercé avec l'Allemagne dans le passé, il pense que la frégate britannique sera un bon choix. « Il est facile de coopérer avec les Britanniques, tant sur le plan opérationnel que culturel. Gram enthousiaste à l'égard de l'Allemagne Les critères et les exigences qui serviront de base au choix qui sera fait dans le courant de l'année ne sont pas connus. Il est probable qu'il y aura une nouvelle réduction de quatre à deux candidats avant la procédure d'appel d'offres. Dans ce cas, il y a lieu de croire que le choix se portera sur la frégate allemande et la frégate britannique. La question qui se pose alors est de savoir combien les deux candidats représentent pour l'industrie norvégienne. L'ancien ministre de la défense, Bjørn Arild Gram, a exprimé son enthousiasme pour la collaboration avec l'Allemagne et le chantier naval TKMS dans l'acquisition de sous-marins. - C'est un modèle pour la façon dont nous envisageons les nouvelles frégates », a-t-il déclaré. Beaucoup de choses ont été dites, mais rien n'a été décidé.
  10. Si on veut vraiment être indépendant des US ne pas oublier des choses comme le Renseignement et le Cyber par exemple
  11. Rutte ne se sentais deja pas européen quand il était Premier ... alors maintenant qu'il est secrétaire général de l'OTAN
  12. Je sais pas si vous avez vu le début de la réunion à Lancaster House, mais j'étais surpris de voir qu'en place d'honneur c'était Macron|Starmer|Zelensky. J'imagine que VDL n'a pas du être ravie qu'il n'y ait pas de siège de présidente de l'Europe à la place de Macron
  13. Quelques infos --> https://www.lefigaro.fr/societes/epr-de-flamanville-une-facture-colossale-de-23-7-milliards-d-euros-selon-la-cour-des-comptes-20250114 Le coût de construction hors coût du capital de trois paires d’EPR2 est passé de 51,7 milliards à 67,4 milliards d’euros 2020 (soit 79,9 milliards d’euros 2023, avec l’inflation), soit une augmentation de 30% à conditions économiques inchangées et hors effet de l’inflation», rappelle Pierre Moscovici, le président de la Cour des comptes. ajoutant, avec les frais financiers c’est 100 milliards. Dans le détail les 67 milliards d'euros 2020 : - 8,7 milliards seraient dévolus au développement de ce nouveau programme, dit «palier EPR 2», - 23,6 milliards à la construction de deux réacteurs à Penly - les premiers de la série - - 18,1 milliards pour ceux de Gravelines - 16,9 milliards au Bugey.
  14. Les équipages des SNA servent de vivier à ceux de nos SNLE. Donc apprendre sur un SNA est plus propice que sur un SSK pour ensuite exceller sur un SNLE. Ensuite il y a la typologie des missions et les avantages immense de la propulsion nucléaire sur la vitesse l'autonomie la discrétion etc. J'avais oublié de poser la question ... bon j'insiste sur le fait que je pars du postulat qu'il n'est pas possible de commander 2 Suffren supplémentaires ... Je comprend bien qu'un SSK n'est pas capable d'escorter un GAN par exemple... mais en est-ce que quelques SSK ne pourraient pas apporter un peu d'air au SNA sur des missions moins demandantes ? Minage, déploiement de drones et de planeurs ? Déploiement force spéciales (16 couchettes supplémentaires) ? Escorte de bâtiments lents, par exemple un PHA ou un BRF en transit vers le GAN ? Entrainement des jeunes justement avant passage sur SNA puis passage sur SNLE ? Aussi, dans un contexte ou il va falloir plus coopérer entre européens, les 6 SNA français sont déjà très sollicités par la FOST et le GAN. Est-ce que 3-4 SSK ça ne permettrait pas de justement faire plus d'exercices avec des pays tels que la Grèce, Norvège, Pays-Bas, l'Italie … sans avoir a impliquer les précieux SNA. Un dernière question sur la protection de la FOST justement, avant l'arrivée des Rubis elle était bien assurée par des SSK ?
  15. C'est vrai que l'Égypte avait urgemment besoin de 2 Mistral
  16. Haltbakk Bunkers, une importante compagnie pétrolière norvégienne, a annoncé qu'à la suite de ce qu'elle décrit comme « le plus grand spectacle de merde jamais présenté en direct à la télévision par l'actuel président américain et son vice-président », elle a décidé de cesser immédiatement de fournir du carburant aux navires de la marine américaine et à d'autres forces américaines en Norvège. Ils appellent également les autres entreprises norvégiennes et européennes à suivre leur exemple. Le propriétaire de Haltbakk Bunkers, Gunnar Gran, a déclaré plus tard à Kystens Næringsliv que « pas un litre de carburant ne sera livré tant que Trump n'aura pas fini ». https://x.com/sentdefender/status/1895922910977466764
  17. @Patrick De fait la france considère qu'elle a bel et bien des slots disponibles entre 2030 et 2040, puisqu'elle cherche activement a remporter le contrats en Pologne (3), en Argentine (3) et au Canada (jusqu'a 12) ... Et il me semble que pour les 3 contrat que je mentionné, l'assemblage se ferait à Cherbourg ... Pour l'argentine va voir sur le fil ad hoc, les allemands sont bien placés dans la course ... Quand je rêvait sous le ton de la boutade de 2 Orka supplémentaires au NL et 3-6 barracuda conventionnels en France, je pensais évidement a une prolongation de la série originelle de 4 Orka, donc après 2035... La production des 6 SNA Suffren ne serait pas impactés par cette décision. Normalement les 4 Orka doivent être livré en 2033/2034/2036/2037. Si je me prend à rêver d'un réarmement européen, un tel calendrier ne semblerait pas complètement irréaliste avec de la volonté politique : 2033 —> NL 1 2034 —> NL 2 2035 —> FR 1 2036 —> NL 3 2037 —> NL 4 2038 —> FR 2 2039 —> FR 3 2040 —> NL 5 2041 —> NL 6 Par ailleurs il me semble que la prolongation de la série Orka apres 2035 aurait un impact bien moindre sur la livraison à temps des SNLE3G que la commande de 2 Suffren supplémentaires. Juste un exemple, 2 SNA supplémentaire c'est demander a Technicatome de fournir 2 K15 supplémentaires ... et ce alors que la production des chaufferies de SNLE3G et des K22 du PANG commence ... ce serait produire en parallèle 3 types de réacteurs différents entre 2030 et 2035. Et c'est sans parler de la relance de l'industrie nucléaire civile (d'EDF au Startup) qui va aussi mettre de la pression sur la main d'oeuvre qualifiée. je sais bien tout ca ... je répondais "ah bon" à propos de info sur une livraison a la Grèce Niveau sous-marins la France ne produira que 2 Scorpène pour la Grèce à brève échéanc De toute façon il me semble qu'à la fois la MN et plusieurs experts sur le forum ont des doutes sur la pertinence de SSK pour la France ... je reposerait la question dans le fil approprié plus tard !
  18. Notre dissuasion nucléaire est française, et elle le restera : de la conception et la production de nos armes, jusqu’à leur mise en œuvre sur décision du Président de la République. Elle protège les intérêts vitaux de la France, que le chef de l’Etat est seul à définir : c’est d’ailleurs aussi pour cela que le général de Gaulle a voulu l’élection du Président de la République au suffrage universel direct. Depuis 1962, les chefs d’Etat successifs ont tous répondu à la question de savoir si nos intérêts vitaux se limitaient strictement au territoire national. - Le Général de Gaulle en 1964 dans une instruction aux armées précisait que la France devrait « se sentir menacée dès que les territoires de l’Allemagne fédérale et du Benelux seraient violés ». - Le Président Mitterrand en 1992 disait que la dissuasion nucléaire serait « une des questions majeures de la construction d’une défense européenne commune ». - Le Président Chirac en 1996 disait : « la dimension européenne apparaît également dans notre dissuasion nucléaire ». - Le Président Hollande en 2015 : « La définition de nos intérêts vitaux ne saurait être limitée à la seule échelle nationale, parce que la France ne conçoit pas sa stratégie de défense de manière isolée, même dans le domaine nucléaire » EmmanuelMacron s’inscrit dans cette continuité lorsqu’il exprime que nos intérêts vitaux comportent une « dimension européenne ». Donc oui : nous devons répondre aux questions de nos partenaires européens sur ce qu’est notre dissuasion, sur ce qu’elle peut signifier pour eux, et ce qu’elle restera. Revenir à l’approche gaullienne, en somme. Ce sujet mérite sérieux, rigueur et précision, à hauteur de la gravité du moment que nous vivons. Et du rôle de la France
  19. Un contrat signé c'est un prospect douteux ? Dans "les slots qui semblent encore être disponibles pour des prospect douteux sur lesquels la France s'obstine", je parlais par exemple de l'Argentine ou de la Pologne ... voir le Canada. Argentine --> https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/sous-marins-scorpene-les-espoirs-de-naval-group-en-argentine-au-bresil-et-au-chili-1011538.html Canada (même sous-marin qu'aux NL livré avant 2035, demande directe de Macron) --> https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/naval-group-propose-le-sous-marin-barracuda-conventionnel-au-canada-1018537.html De toute façon je me fais pas d'illusion, je ne pense pas que la France commandera des sous-marins dont 100% du workshare n'est pas francais En revanche j'espère tout de même que les NL vont réaliser qu'il pourrait être pertinent de commander 2 SM supplémentaires pour 2038/40 ... Ah bon ?
  20. J'ose espérer que pour dans un tel scénario, les NL et la France auraient la priorité face aux prospects douteux sur lesquels la France semble s'obstiner ...
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