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Tout ce qui a été posté par Titus K
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(S’il y a confusion, les FS-NG c’est juste les future Gowind outre-mer) C'est pas si enorme que ca, c’est 2 FDA en plus et 1 FDI en plus ... c’est aussi comparable a la Marina Militare de ~2035. Italie --> 2 FDA & 2 DDX + 12 FREMM + 7 PPA France --> 4 FDA-NG + 8 FREMM & 6 FDI + 6 FS-NG Mais attendez confirmation de scarabé je vais pas parler a sa place ... et je trouve plus le message
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Sauf que le partenariat que recherchent les Norvégiens c’est pas avec l’Australie ou le Canada ? D’ailleurs ils veulent un produit sur etagere, avec une configuration similaire au partenaire choisi. Si la type 26 est choisie, rien qu'au vue des délais de livraisons, ce sera de la type 26 britannique prise sur la chaine britannique et puis c’est tout ... D’ailleurs la premiere livraison de Hunter australienne c’est pour 2032, et c’est plus ou moins pareil pour les canadiennes ... sans trop me mouiller, on peut s’attendre a des retards dans les deux cas ... En revanche la FDI « Grecque » (les ministres grecs eux-mêmes disent FDI) , sont produites et mises a l'eau en ce moment, avec RAM et 32 VLS... c’est la version pas à la ramasse dont je parlais.
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Il me semble que @Scarabé avait évoqué quelque chose comme ca : 4 FDA-NG + 8 FREMM + 6 FDI + 6 FS-NG
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je pense aussi que ce serait la meilleure solution mais bon ... En plus de soucis RH, a mon avis ils ont compris qu’industriellement c’était trop tard pour ca, NG passe au SNLE et au Blacksword ... Cherbourg va pas assembler 3 classes en même temps, ou relancer la production de Suffren après une interruption de 10 ans pour seulement 1/2 soums. Pareil pour technicatome qui passe au K22 et au K15 "amélioré" des SNLE -
Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
@Ciders qui casse le combo ... -
Point de vue AAW les Type 26 sont un peu a la ramasse par rapport au constellation et au FDI non ? La FDI a quand même un bon coup a jouer Niveau délais de livraison c’est la meilleure Elle est plus polyvalente que la T26 L’equipage est réduit à 125 (contre 157 pour la T26 et 200 pour les constellation) ... la Norvège c’est 5.5 M Habitants Elle est moins chère ... sachant qu’il hésitent entre 5 ou 6 fregates ca peut aider.
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Finlande
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
@ksimodo C’est quoi XT ? Sinon tu balayes d’un revers de la main le fait qu’un vraquier fasse des tours sur lui même en plein milieu de la baltique, juste au dessus d’un câble au moment ou il est sectionné, ou simplement l'intentionnalité ? -
Ca avance, les retenus : France --> FDI Allemagne --> MEKO / F-126 ? UK --> Type 26 US --> Constellation C’est mort pour l’Espagne les Pays-Bas et l’Italie (sauf s’ils ont partie de l’offre US) ... La Norvège invite la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et les États-Unis à des discussions sur un partenariat stratégique pour de nouvelles frégates destinées à la marine royale norvégienne https://www.regjeringen.no/en/aktuelt/norway-to-invite-france-germany-uk-and-us-to-discussions-on-strategic-partnership-for-new-frigates-for-the-royal-norwegian-navy/id3075260/ Le ministère norvégien de la défense a annoncé aujourd'hui son intention d'inviter les gouvernements français, allemand, britannique et américain à entamer des discussions concernant un éventuel partenariat stratégique pour la livraison de nouvelles frégates destinées à remplacer les navires actuels de la classe Fridtjof Nansen de la marine royale norvégienne. Les nouvelles frégates représentent la plus importante acquisition prévue pour les forces armées norvégiennes dans les années à venir. La Norvège est une nation maritime importante au sein de l'OTAN, et grâce à cet investissement maritime et à d'autres, nous renforcerons la sécurité nationale et celle des alliés », a déclaré le ministre norvégien de la défense, M. Bjørn Arild Gram. En juin 2024, le Parlement norvégien a adopté le nouveau plan à long terme pour les forces armées norvégiennes, qui prévoit l'acquisition d'un minimum de cinq, voire de six nouvelles frégates anti-sous-marines avec des hélicoptères anti-sous-marins embarqués. Le plan souligne que les nouvelles frégates ne doivent pas être acquises en tant que navires autonomes, mais dans le cadre d'un partenariat stratégique à long terme et mutuellement bénéfique avec un allié proche dont les intérêts stratégiques sont étroitement alignés sur ceux de la Norvège. Ce partenariat stratégique doit inclure l'acquisition, l'exploitation, la maintenance, le développement continu et la modernisation des nouvelles frégates tout au long de leur durée de vie. Afin de limiter les besoins de modernisation de la classe Fridtjof Nansen, la Norvège cherche également à accélérer l'acquisition en rejoignant une chaîne de production existante pour ce type de navires. Une coopération solide et prévisible en matière de politique de sécurité et de défense sera au cœur du partenariat stratégique que nous envisageons, qui englobera tout, de la constitution de forces aux opérations, en passant par le développement conjoint de nouvelles capacités. Il est donc essentiel que nos partenaires et nous-mêmes ayons les mêmes intérêts à long terme », a déclaré le ministre norvégien de la défense, M. Bjørn Arlid Gram. Le gouvernement norvégien a l'intention de prendre sa décision finale concernant un futur partenaire stratégique au cours de l'année 2025. Dans le cadre du processus de sélection à venir, le ministre de la défense souligne l'importance d'identifier les opportunités industrielles potentielles. L'objectif du gouvernement norvégien est que les investissements maritimes prévus contribuent à créer des emplois et des opportunités dans tout le pays. La capacité de la technologie et de l'industrie norvégiennes à contribuer au développement et à l'entretien de nos futures frégates et de celles du partenaire stratégique choisi sera donc un élément clé », a déclaré le ministre norvégien de la défense, M. Bjørn Arild Gram.
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Propos liminaire d’un document du Bundestag dont j’ai déjà posté un extrait sur le fil rafale --> https://dserver.bundestag.de/btd/20/121/2012192.pdf Le développement du programme franco-germano-espagnol Next Generation Weapon System dans un Future Combat Air System (NGWS/FCAS) se trouve actuellement dans la phase 1B du démonstrateur. Pour l'année 2024, il est prévu d'établir une offre pour l'entrée dans la phase de démonstrateur 2 (développement de démonstrateurs capables de voler) et d'entrer dans cette phase. Le projet européen d'armement NGWS/FCAS a pour objectif de développer un réseau d'information et d'action complet. En tant que noyau d'un futur FCAS, il se compose du New Generation Fighter (NGF), un aéronef de sixième génération, d'un ou de plusieurs Remote Carriers (RC) en fonction de la mission ou de la tâche, c'est-à-dire d'aéronefs sans pilote de différentes classes de taille avec un éventail de tâches variées, qui interagissent avec l'avion de combat, ainsi que de l'Air Combat Cloud (ACC), un système informatique protégé qui met en réseau l'avion de combat et les composants sans pilote. Tous les composants doivent tenir compte de l'idée de conception de systèmes de systèmes. Au niveau national, le FCAS doit intégrer les systèmes déjà existants (par ex. EUROFIGHTER, A400M, satellites) et d'autres nouveaux développements en cours de planification et de mise en œuvre, tels que l'EURODROHNE, dans un réseau commun d'informations et d'effets avec le NGWS. Entre les nations partenaires et les entreprises industrielles qui leur sont respectivement attribuées, l'architecture du projet est divisée en sept champs de développement, appelés « piliers ». Chacun d'entre eux est attribué à un développeur principal et à des partenaires impliqués. Les champs de développement sont le NEXT GENERATION FIGHTER (NGF), le moteur, le REMOTE CARRIER (RC), l'AIR COMBAT CLOUD (ACC), l'environnement de simulation, les capteurs et la furtivité. Selon les informations fournies par l'association professionnelle « Bundesverband der Deutschen Luftund Raumfahrtindustrie » (BDLI) en juin 2021, l'industrie aérospatiale allemande a répondu au nom du gouvernement fédéral par lettre du ministère fédéral de la Défense du 4 juillet 2024. L'imprimé contient en outre - en caractères plus petits - le texte de la question. L'industrie allemande est leader dans les domaines de développement ACC et RC et est le partenaire principal de l'industrie française leader dans le domaine de développement NGF et le partenaire principal de l'industrie espagnole leader dans le domaine de développement Sensorik. Pour le domaine de développement des moteurs, une joint-venture entre les industries française et allemande a donc été créée par les entreprises MTU et Safran. Pour le domaine de développement des tâches de simulation, une direction commune des trois partenaires contractuels a été convenue. En ce qui concerne les principes de coopération, il a été établi que les industries décident en commun et qu'en cas de désaccord insoluble, la décision revient en dernière instance aux nations. Enfin, il ne doit pas y avoir de boîtes noires dans le développement technologique, sauf dans les domaines sensibles. Un point essentiel du projet NGWS/FCAS est donc la gestion des droits de propriété intellectuelle (DPI). Cela dépend par exemple de la manière dont l'utilisation des différents composants est organisée, si la maintenance et la réparation ne peuvent être effectuées que par le fabricant principal ou si elles sont garanties par l'accès aux enregistrements correspondants, de sorte qu'elles puissent également être effectuées par l'industrie nationale. En outre, ce point est décisif pour les adaptations et les développements tels que l'intégration de nouveaux systèmes d'armes ou d'avionique. Ces derniers temps, les médias ont publié plusieurs rapports et informations qui remettent en question l'avenir du projet européen d'armement NGWS/FCAS ou qui modifient en profondeur son cadre actuel. Premièrement, de nombreux articles de presse ont indiqué que la Belgique souhaitait également adhérer au projet NGWS/FCAS en tant qu'observateur dans un premier temps. D'ici le début de la prochaine étape du programme (phase 2 du démonstrateur), le pays devrait devenir un membre à part entière aux côtés de l'Allemagne, de la France et de l’Espagne. Selon le BDLI, la Belgique est principalement intéressée par une participation en dessous du niveau « Main Partner ». Deuxièmement, selon la presse, la France et l'Inde ont signé un accord de coopération dans le domaine des technologies aéronautiques avancées pour le développement d'un système de combat aérien commun pour l'avenir. Troisièmement, d'autres projets français présentent également des similitudes avec le projet FCAS. Ainsi, la Direction générale de l'armement (DGA) française a commencé à développer des programmes actifs pour l'introduction de drones français « loyal wingman ». Ces aéronefs sans pilote doivent en premier lieu interagir avec les avions de combat Rafale, sur la base d'un échange de données (cf. chez FCAS : ACC). L'armée de l'air française teste et évalue en outre des véhicules aériens armés sans pilote (UCAV) de fabrication française pour la mission « moyenne altitude longue endurance » (MALE). Dans le cadre du projet multinational NGWS/FCAS, tous ces domaines relèvent de la compétence des entreprises allemandes qui assurent la direction du développement. De plus, le ministre français de la Défense, Sébastien Lecornu, est fermement convaincu de la nécessité d'une coopération entre la France, l'Inde, les Émirats arabes unis et l'Indonésie pour le développement du Rafale F5 standard. Il estime également que la conception et la construction d'une éventuelle variante du Rafale F6 standard à partir du milieu des années 2030 est envisageable entre les Etats. -> posté dans le fil export rafale Quatrièmement, la Grande-Bretagne, l'Italie et le Japon ont lancé la conception et le développement communs du Global Combat Air Program (GCAP) par le biais d'un accord de coopération. Il s'agit, comme pour le FCAS, d'un système de combat aérien global centré sur un avion de combat de sixième génération. Le futur jet remplacera à long terme les EUROFIGHTER en Grande-Bretagne et en Italie. Contrairement au FCAS, le GCAP devrait pouvoir être produit en série cinq ans plus tôt. Cinquièmement, il a été annoncé que les avions de combat américains F-35A commandés par le gouvernement fédéral constitueront le premier élément du système FCAS, comme l'a précisé le colonel Jörg Rauber, chef d'unité au ministère fédéral de la Défense (BMVg) et responsable du FCAS. En outre, selon lui, les EUROFIGHTER de l'armée de l'air devraient recevoir une mise à niveau correspondante pour la conduite intégrée et en réseau des opérations, afin d'être compatibles avec d'autres avions de combat, en particulier le F-35A. Sixièmement, à la connaissance des auteurs de la question, les durées des différents piliers de développement sont différentes pour la phase 1B. Or, la phase 2 doit démarrer en grande partie en même temps pour les piliers. Pour plusieurs piliers, il en résulte des pauses dans le déroulement du projet et donc des lacunes dans les mandats pour l'industrie. Il en va de même pour les commandes nationales de FCAS/NGWS entre les phases 1 et 2, en raison des retards largement observés dans la commande par l'Office fédéral de l'équipement, des technologies de l'information et de l'utilisation de la Bundeswehr (BAAINBw). Septièmement, de très nombreux partenaires industriels collaborent au FCAS et doivent développer ensemble les systèmes, y compris au niveau transfrontalier. De l'avis des auteurs de la question, un point essentiel est ici la gestion des droits de propriété intellectuelle. L'esprit de concurrence et les efforts visant à protéger les DPI pourraient nuire à l'innovation, à la coopération constructive et à l'efficacité des projets.
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Trouvé dans un document du Bundestag, Scoop ? https://dserver.bundestag.de/btd/20/121/2012192.pdf De plus, le ministre français de la Défense, Sébastien Lecornu, est fermement convaincu de la nécessité d'une coopération entre la France, l'Inde, les Émirats arabes unis et l'Indonésie pour le développement du Rafale F5 standard. Il estime également que la conception et la construction d'une éventuelle variante du Rafale F6 standard à partir du milieu des années 2030 est envisageable entre ces Etats.
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Finlande
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://x.com/NavyLookout/status/1858841426387157038 Strong circumstantial evidence that Chinese-flagged cargo ship Yi Peng was responsible for breaking two underwater telecoms cables in the Baltic Sea (17-18th November). CLion1 connecting Finland and Germany and BSC connecting Sweden and Lithuania severed. -
Brouilleur Virgilius sur une FDI, l’emplacement n’est pas dangereux pour l’équipage juste en dessous ? https://x.com/D__Mitch/status/1858791905812680870
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Et puis de toute façon NG ne va pas remporter tous les contrats ... aujourd’hui la charge industrielle est assurée pour un bon moment ... rien qu'avec 8 sous marins a sortir de Cherbourg dans les 12 prochaines années pour ~45 000 tonnes ( 1 SNLE + 3 SNA + 4 Orka ) Ils peuvent se concentrer sur remporter des bons contrats, comme par exemple l’Indonésie, un pays en pleine croissance à cheval sur l’indien, le pacifique et la mer de chine méridionale ... ou l’Inde, le Brésil et Pays-Bas. Il y a aussi le chili qui va vouloir remplacer ses 2 type 209 et qui semble satisfaite de ses 2 scorpènes ... bref il y aura d’autres prospect pour le scorpène. -
Enlève pas tout non plus ... laisse leur une chiotte et une petite cuisine à nos marins quand même
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pour les VLS ce serait rajouter une section de quelques mètres. Pour le passage à 6 TLT ce serait changer la proue du sous-marin (si je comprend bien) -
As-tu évoqué les AASM et leur résistance au brouillage ?
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
@HK As-tu le timestamp ? EDIT --> 6:45 Ca va couter une fortune non ? Ce serait un super nouvelle (surtout les 6 TLT pour les MDCN) -
https://x.com/AirbusPRESS/status/1858507253038366969 SIRTAP franchit une nouvelle étape, s'orientant vers la production du premier prototype. La chaîne de montage finale des deux prototypes de SIRTAP a été mise en service dans les installations d'Airbus à Getafe, près de Madrid. L'achèvement de l'assemblage final du premier prototype est prévu pour le printemps 2025. Une fois assemblée, la campagne d'essai au sol commencera chez Airbus à Getafe, donnant place à la campagne d'essai en vol, qui devrait commencer avant la fin de 2025. SIRTAP renforcera les capacités tactiques des forces armées espagnoles, qui auront un total de neuf systèmes, chacun composé de trois véhicules aériens sans pilote et d'une station de contrôle au sol. La conception, le développement et la fabrication de ce véhicule piloté à distance donne à l'Espagne une souveraineté nationale dans les domaines technologique, industriel et tactique.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://x.com/navalgroup/status/1858541957846335733 Un an après le Duguay-Trouin, Naval Group livre le SNA Tourville à la DGA Il va pouvoir débuter ses essais opérationnels en vue de son admission au service actif au sein de la MarineNationale 3 des 6 SNAs type Suffren ont désormais été livrés, en l’espace de 4 ans. ©MN -
Un site qui regroupe toute les options pour l’appel d’offre, avec un article par option. Le point noir est comme toujours l’absence de quad pack sur Sylver par rapport au couple ESSM/MK41... L’Aster 15 continue d’être comparé à l’ESSM alors qu’on a eu echo d’une interception de missile balistique houthi par un Aster 15 Pour l’instant les norvégiens n’ont que 8 cellules et 32 ESSM sur leurs frégates... donc dans tout les cas ils vont faire un saut soit qualitatif, soit quantitatif. --> https://www.nyefregatter.no/ FDI - Naval Group La France va acquérir 5 frégates FDI et la Grèce 3-4. La première sera livrée à la marine grecque dès 2025. La FDI est considérée comme une frégate de taille moyenne et a un déplacement inférieur à celui des navires des autres fabricants. Naval Group souligne qu'il s'agit d'un navire multirôle doté de bonnes capacités à la fois au-dessus et au-dessous de l'eau. Propriétés anti-sous-marines Naval Group souligne que le navire sera bien adapté aux besoins de la marine en matière de lutte anti-sous-marine. Le FDI est équipé d'un sonar d'étrave et d'un sonar remorqué compact Captas 4 de Thales. Il est également équipé de torpilles anti-sous-marines MU-90. La particularité du FDI par rapport à ses concurrents est qu'il est conçu avec une étrave inversée. Les avantages d'une proue inversée sont une traînée plus faible (bonne hydrodynamique), une meilleure économie de carburant et une vitesse plus élevée. En outre, elle devrait également offrir une meilleure stabilité. En outre, elle réduit la signature acoustique, ce qui est important pour la chasse aux sous-marins. Les inconvénients sont une flottabilité moindre et le fait que la proue plonge davantage dans les vagues, ce qui provoque plus d'embruns sur le pont. C'est ce que montre la vidéo des essais en mer de la première frégate FDI livrée à la marine française, l'Amiral Ronarc'h. Voir la vidéo plus bas dans l'article. Défense aérienne La technologie des drones et des missiles avancés s'est développée rapidement ces dernières années. Cela signifie que la défense aérienne est devenue plus importante. Il est souligné que la frégate dispose d'une très bonne capacité de « défense aérienne de zone ». Les Français affirment que le navire peut protéger les villes, les infrastructures critiques sur terre et les îles. La FDI est équipée d'un radar Thales Sea Fire ASEA à panneaux plats. Les informations concernant sa portée sont contradictoires. Thales a indiqué 300 et 500 kilomètres. Naval Group indique également que le radar et les systèmes électroniques ont une couverture totale de 360 degrés et qu'aucune structure sur le navire ne gêne les capteurs. La frégate peut être équipée de missiles de défense aérienne Aster 15 et Aster 30. L'Aster 15 a une portée de plus de 30 kilomètres et l'Aster 30 de plus de 100 kilomètres. Les missiles Aster se sont également révélés très efficaces contre les drones et les missiles de croisière des Houthis en mer Rouge. La Grèce a choisi un meilleur armement pour ses frégates que la France. Au lieu de 16 cellules pour les missiles, elle a opté pour 32 cellules divisées en quatre modules de 8 cellules (Sylver VLS développé par Naval Group). Chaque cellule peut transporter un missile. En outre, la Grèce a choisi le missile rolling airframe de Raytheon, qui se présente sous la forme d'une unité de lancement pouvant transporter 21 missiles. Ce système est spécialement conçu pour la défense contre les missiles anti-navires. Le nombre de cellules de missiles et le nombre de missiles antiaériens qu'un navire de guerre peut transporter ont récemment fait l'objet d'un débat dans divers médias et forums militaires. Le contexte est, entre autres, les attaques de drones et de missiles des Houthis en mer Rouge. En outre, comme nous l'avons mentionné, la technologie des missiles et des drones s'est développée rapidement au cours des dernières années. Les cellules de missiles Sylver proposées aux frégates FDI peuvent recevoir un missile par cellule. En d'autres termes, si vous avez 32 cellules, vous avez 32 missiles. Le système américain Mk 41, quant à lui, embarque 4 missiles de défense aérienne Evolved Sea Sparrow (ESSM) par cellule. L'ESSM présente des caractéristiques similaires à celles de l'Aster 15. L'ESSM et l'Aster 15 sont destinés à des portées courtes et moyennes. Si des missiles de défense aérienne à longue portée doivent être utilisés dans le système Mk 41, il ne peut y avoir qu'un seul missile par cellule. Naval Group a indiqué que la Norvège recevra une version FDI similaire à celle livrée à la France ou à la Grèce. Cela signifie qu'elle sera équipée du système VLS Sylver et de missiles Aster 15 et éventuellement Aster 30. La Norvège a beaucoup investi dans le système Sea Sparrow et utilise actuellement le système VLS MK41. Nous pensons que la marine norvégienne continuera à utiliser à la fois le Sea Sparrow évolué et le MK41. Cela va donc à l'encontre des frégates FDI. Nous avons demandé à Naval Group si le MK41 pouvait être intégré sur les FDI, mais il n'a pas répondu à notre demande. D'autre part, la Norvège va investir dans deux systèmes de défense aérienne à longue portée. L'un des systèmes en question est le système SAMP/T de MBDA/Eurosam, qui utilise des missiles Aster 30. Si la marine norvégienne choisit les frégates FDI et, en plus, la défense aérienne de zone avec des missiles Aster 30, il pourrait y avoir des synergies entre la marine et l'armée de l'air en matière de défense aérienne à longue portée puisque le même missile sera utilisé. La frégate dispose également d'un espace pour un grand Camcopter de Schiebel ou un drone VSR 700 d'Airbus. La photo montre l'Airbus VSR 700 Un centre de commandement dédié aux menaces hybrides Outre le centre d'information de combat habituel, la classe FDI dispose de son propre centre d'opérations pour les menaces hybrides telles que les drones, les petites embarcations rapides, etc. Le centre dispose d'une vue panoramique à 360 degrés, de jour comme de nuit, grâce aux capteurs électro-optiques installés sur le mât radar. Différents types d'armes, létales ou non létales, comme la lumière et le son, sont contrôlés par ce centre d'opérations. Redondance numérique avec deux centres de données Naval Group souligne qu'il a créé une infrastructure numérique entièrement nouvelle sur le navire, y compris deux centres de données complètement séparés. Si l'un des centres de données est détruit ou tombe en panne, l'autre prend le relais en toute transparence. Ils l'appellent également la première frégate « numérique ». Traditionnellement, l'électronique des différents systèmes était logée dans des armoires séparées, mais celles-ci ont été fusionnées dans des centres de données. Peu de risques et livraison rapide Nous avons l'impression que les Français ont eu peu de problèmes avec leur programme de construction navale et qu'ils ont livré les navires dans les délais et le budget prévus. Ils livrent également les frégates grecques FDI relativement rapidement. Ces éléments plaident en faveur d'un risque faible lié à la livraison et aux coûts.
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Je trouve que vous allez un peu vite en besogne ... on va peu être attendre une confirmation de BulgarianMilitary et EurasianTimes non ?
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Franchement c’est triste ... https://x.com/NavyLookout/status/1857764119052439869/photo/3
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@Bechar06 La fiche que Gally avait partage en page 108 https://www.netmarine.net/aero/aeronefs/atlantic/caracter.htm
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C’est un commande groupée 54 KSA + 12 Irak ... sans oublier + 36 Qatar + 18 Egypte ... 120 avions et ligne d’assemblage en KSA. #IntelligenceOnWine