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Alexis

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Tout ce qui a été posté par Alexis

  1. Oui, mais le titre de Marianne est un peu putaclic sur ce coup. Parce qu'en fait ce cabinet ne pilote pas "la stratégie de dépistage" de la France comme dit dans le titre, mais le "développement des capacités de production nationale de tests" comme dit dans le texte. Ce qui est nettement plus limité. En pratique, ce que décrivent les participants aux 3 réunions dont on parle, c'est « On nous demande nos capacités de production, de quoi on a besoin en termes d'approvisionnement. C'est pragmatique » Bref, on parle de coordination de réunion pour établir un état des capacités et des besoins de façon à détecter les goulots d'étranglement et recommander sur quoi agir pour améliorer le résultat. C'est un rôle important, mais qui ne ressort pas de la définition de la stratégie. La seule chose qui me chiffonne, c'est comme dit dans l'article que je me demande pourquoi au juste il n'y a personne dans l'administration qui soit capable de faire quelque chose... d'aussi simple, en fait ??? Et confirmer un peu plus l'impuissance de l'Etat à exercer ses missions… L'arrière-pensée est évidemment commerciale. Il s'agit de se positionner pour d'éventuels futurs contrats, un geste commercial destiné à démontrer une capacité et à donner envie pour davantage. Le principe de l'échantillon gratuit. Rien de secret là-dedans :-)
  2. « Et alors la bedite marmotte, elle change la variable dans le papier de l'éguation » ...
  3. Il faut un effort certain pour descendre à mon niveau. Félicitations pour ton succès :-)
  4. Aération sociale ? Hat mich jemand erwähnt ? ("Quelqu'un a parlé de moi ?") Nan, ta gu.... retournes-y :-( Il s'appelle Thibaut ? Comme Thibaut mon fils ? Nan... même pô honte
  5. Ça va être violent oui, mais ne pas oublier non plus que Boeing était déjà en très mauvaise posture avant le covid-19 avec l'affaire du Boeing 737 MaxDemmerdes, si bien qu'on en était à dire que non Airbus ne peut pas remplacer au pied levé Boeing dans ses parts de marché il n'a pas l'outil industriel dimensionné pour. Il est possible que l'ajustement inévitable soit assez largement adouci par la réduction de la place de Boeing dans ce qu'il restera du marché des avions de ligne. Certaines choses vont sans dire :-) Notamment le fait que ça ne peut pas être immédiat, il faut s'allier à la Russie d'abord Un principe très sain dont je ne peux que te féliciter. George HW Bush est ton ami :-) "I stand for anti-bigotry, anti-Semitism, and anti-racism"
  6. Que nenni. Etre en avion par temps d'orage n'a rien pour inquiéter :-) 1. C'est une situation standard, déjà prévue et pour laquelle l'avion a été conçu et les pilotes formés. Pas le genre de choses qui n'arrive que tous les cent ans 2. Les pilotes, sachant que le facteur temps est important, réagissent en temps et en heure. Pas une semaine trop tard voire plusieurs 3. Les pilotes, sachant que l'avion vole dans le monde réel, lequel n'en a pas grand chose à fiche de leurs préférences individuelles mais en revanche peut être compris au moins en partie par la science, se basent sur des facteurs scientifiques et techniques pour leurs décisions. Pas sur des facteurs politiques, ni en cherchant la facilité, ou ce qui ne dérangera pas trop Pierre Paul ou Jacques Ce qui fait déjà trois différences importantes avec la crise du coronavirus. Face aux multiples dangers imaginables, pensables, potentiels, actuels, etc. etc. il me semble qu'il y a deux impératifs : - Savoir négliger un risque qui est négligeable - Savoir ne pas négliger un risque qui ne l'est pas Evidemment, faire le distinguo n'est pas simple... ce n'est pas une science exacte ! Et il n'y a rien d'étonnant sur le fond à ce que des gens différents aient des opinions différentes sur le sujet. Disons que de mon point de vue nous sommes et nous restons dans le deuxième cas. La deuxième vague est très probable, plus probablement à partir de juin qu'à partir de l'automne. Ce qui m'intéresse à ce stade, ce sont les leçons que nous saurons tirer du fait de son arrivée. Notamment pour faire mieux la prochaine fois. J'aimerais bien voir la gueule de cette "demande motivée" à ton admin :-D
  7. J'hésite pour ma part entre le calva et le cidre :-) ... Mais pour les cas graves, c'est le premier qui s'impose. Et il est vrai que les grands groupes pharmaceutiques sont vent debout contre ces médicaments. Il faut dire que ce sont des solutions pas chères, éprouvées, ce n'est pas avec ça qu'ils augmenteront leurs profits. D'ailleurs la médecine officielle aussi refuse de prescrire du calvados contre le Covid-19... ils savent bien qui beurre leur tartine, allez !
  8. Attention, ce cas est à l'évidence positif, mais "une hirondelle ne fait pas le printemps". Voir cet entretien un peu plus détaillé avec le PDG Grâce à notre stock, nous avons pu livrer 150 hôpitaux et cliniques. Ils ont reçu 400.000 ampoules. Nous avons lancé une prochaine production de 200.000 ampoules qui devrait arriver le 15 mai et on se bat pour la faire avancer au début mai. Les délais de production sont de l’ordre d’un mois et demi. La matière première est fabriquée en Espagne et en Italie et le médicament est donc fabriqué en Slovaquie, en Lettonie et en Espagne. C’est un savoir-faire européen. Les lois européennes ont un impact négatif sur les brevets et par conséquent sur la fabrication en Europe des médicaments. C’est de cette façon que l’externalisation est plus avantageuse pour beaucoup d’acteurs du secteur. Je le dis depuis des années, au moment où on parle de faire revenir les industries stratégiques en France. Pour le générique, c’est trop tard, il n’y a plus de gros médicaments qui arrivent sur le marché. Aujourd’hui, avec nos savoirs technologiques, nous ne sommes pas plus chers que les Chinois ou les Indiens. Il y a environ 3 000 établissements de soins en France, entre public et privé. Cette entreprise de l'Eure-et-Loir produit en n'utilisant que des matières premières produites en Europe, oui... mais elle ne fournit qu'au plus environ 5% des besoins français en Rocuronium, Cisatracurium et Attracurium - c'est-à-dire, en supposant que les 150 établissements qu'elle a livré n'ont pas d'autres fournisseurs supplémentaires pour les mêmes produits. L'article que je citais précédemment cite cinq produits en tension Il s'agit des formes injectables de deux hypnotiques (Midazolam, propofol) et trois curares (atracurium, cisatracurium, rocuronium) La pénurie est mondiale, provoquée par une pandémie qui dévore à vitesse accélérée ces molécules, la plupart du temps produites en Inde ou en Chine. Dans le lien que tu cites, je lis : On estime que 80% des principes actifs des génériques sont maintenant faits en Chine et en Inde, contre 50% pour les princeps. Il s’agit d’un changement majeur survenu au cours des vingt dernières années", explique David Simonnet, directeur général du groupe français Axyntis, un industriel fabriquant des principes actifs en France, dans l’édition du Parisien de ce lundi. En juin 2011, l'Académie nationale de Pharmacie et les industriels fournisseurs de matières premières de médicaments avaient déjà tiré le signal d'alarme. Il est grand temps de les entendre…
  9. Juste, j'ai été trop rapide. Les situations sont en fait à peu près équivalentes dans les jours précédant le déconfinement en Allemagne le 20 avril et en France le 11 mai. - Dans la semaine précédant le 20 avril soit entre le 13 et le 20 l'Allemagne a compté 4404 - 2799 = 1605 morts - Dans la semaine du 2 au 9 mai la France a compté 26310 - 24760 = 1550 morts Il est possible que le chiffre entre 4 et 11 mai celui qui permettrait une comparaison terme à terme soit inférieur à 1550 morts, mais d'un autre côté la population française est inférieure à l'allemande de presque 20%. On peut donc considérer que l'état de l'épidémie en Allemagne et en France au moment du déconfinement est grosso modo équivalent. Il me semble plus important de comparer l'état de l'épidémie au moment du déconfinement dans l'un et l'autre pays.
  10. Le déconfinement allemand est moins précipité que le nôtre : le rythme des morts outre-Rhin avait nettement plus diminué avant le démarrage du déconfinement le 20 avril qu'à ce jour en France, d’autre part ils ne sont jamais montés au même niveau que chez nous. Cela n’a pas certes empêché leur virologue vedette Christian Drosten de dire que tout cela semblait trop précipité et bien imprudent, mais enfin ils ont quand même été nettement plus prudents que nous. Et que croyez-vous qu’il arrivât ? L’Institut Robert Koch estime le nombre de reproduction R à 1,1 Rappelons que le taux de reproduction du virus R doit être inférieur à 1, et de préférence assez nettement, pour que l’épidémie soit en train de s’éteindre. Si le taux remonte à un niveau plus élevé que 1, c’est la propagation qui repart. Quant à l’Institut Robert Koch, c’est peu ou prou l’équivalent local de l’Institut Pasteur chez nous. Mercredi, l’Institut Robert Koch indiquait encore un R de 0,65. Depuis lors, le taux de reproduction n’a cessé d’augmenter. Vendredi, la valeur a été estimée à 0,83. (…) Selon l’IRK, la valeur R est actuellement de 1,1 – mais avec une probabilité de 95 % dans l’intervalle de 0,90 à 1,34. Eh oui, moins de trois semaines après le début de son déconfinement progressif, l’Allemagne voit déjà les prémices de la deuxième vague. D’ailleurs à propos de voir quelque chose, dans le bulletin de situation du 9 mai de l’Institut Robert Koch en haut de la page 9 on trouve un graphique temporel du nombre des contaminations du jour donnant lieu à maladie plus tard – cas asymptomatiques exclus donc. Les données des premières jours de mai sont encore assez incertaines, mais… une tendance commence déjà à se dessiner. En abscisse : Date de début de la maladie En ordonnée : Nombre de nouveaux cas Ah oui, sinon, il y a eu de grands rassemblements dans un certain nombre de villes pour protester parce que le déconfinement ne progresse pas assez vite. La manifestation de Munich avait bien été enregistrée, mais pour 80 personnes… il y en a eu 3 000. Et toutes ne respectaient pas les règles de distanciation, rassurez-vous. Sinon, on commence à parler en France de rationnement des médicaments nécessaires à la réanimation. On n’y est pas encore, mais il y a de premières « tensions » sur les approvisionnements. Ben oui, la demande mondiale est actuellement énorme. Sans compter que ces médicaments ne sont plus produits qu’en Chine et en Inde (désindustrialisation, tout ça…), pays auxquels il serait difficile de reprocher de donner la priorité à leurs propres citoyens en cas de pénurie, tandis que la capacité de surenchère monétaire (dollars fraîchement issus de la planche à billets) et géopolitique (« vous allez voir ce que vous allez voir ! ») des Etats-Unis est probablement sans égal… Ce n’est vraiment pas le moment d’avoir une deuxième vague, parce que s’il faut rationner les réanimations, une partie de ceux qu’il aurait été possible de sauver de cette manière… ne seront pas sauvés. Je ne sais pas pourquoi, mais je le sens de plus en plus mal ce déconfinement en France…
  11. Sinon, quelqu'un t'a déjà fait une remarque quand au moment de chanter l'hymne national tu entonnes "Dieu sauve notre Roi gracieux..." :-) ?
  12. Pour bien s'adapter à la pandémie, il est utile d'écouter SOS Médecins. Je veux dire, pour apprendre à bien mettre son slip ... pardon son masque.
  13. Si tu veux te rassurer, il suffit de poser une seule question. "L'énergie embarquée ?" :-) Terminator était un film réaliste. Du moins dans le sens où une réponse était fournie à cette question : le robot embarquait un réacteur nucléaire miniature. Une réponse bien entendu du genre science-fictionnesque, mais... au moins il y en avait une, de réponse. Mais bien sûr les réacteurs nucléaires de cette taille ça n'existe pas en fait. Que se passerait-il si tel coureur poursuivi par le robot se contentait de simplement continuer à courir comme il l'entend... et vérifier si le robot peut le suivre sur une course de fond :-) ? La discussion n'est pas inintéressante, et certaines remarques sont de bon sens. Mais je ne peux résister à réagir à cette énormité de Jean-Louis Bourlanges :-D ! On se cotise pour offrir à Jean-Louis un bouquin sur l'histoire allemande ?
  14. Il faut voir le verre à moitié plein. Certes ils se contaminent au covid-19 exprès "pour être protégés ensuite" mais ils pourraient en même temps s'injecter de l'eau de Javel en intraveineuse "pour s'en débarrasser". Je veux dire, il est toujours possible d'être encore plus c..
  15. Pas forcément de grand scoop dans cette petite vidéo de 2 minutes, même si elle contient quelques "pépites" qui m'avaient échappé, mais une synthèse utile Une synthèse qui se termine par un grand "Merci !". Car il faut reconnaître le mérite là où il est :-)
  16. Le lapin lunaire concoctant l'élixir de longue vie sur la lune (mythologie orientale) Je dis que l'Australie n'est plus très loin. Encore un petit effort ! En temps de crise, peut-être plus encore qu'en temps ordinaire, il ne faut pas faire "n'importe quoi". Les vérifications et la rigueur sont encore plus importantes que d'habitude, quand les conséquences d'un potentiel échec ne sont pas simplement la perte d'un peu d'argent de temps et de prestige, mais un certain nombre de morts directs - si un traitement potentiel s'avère ne serait-ce que très légèrement nocif - et indirects - parce que les efforts investis dans les traitements avec un produit qui ne fonctionne pas le sont au détriment d'autres produits candidats dont l'un peut-être aurait fonctionné. Dans le monde réel, les ressources sont toujours limitées, et le coût d'opportunité d'une erreur est potentiellement important. La rigueur des essais cliniques est nécessaire en temps ordinaire, encore plus en temps de pandémie. Faire plus vite en conservant la même rigueur, si c'est possible alors oui bien sûr ! Faire plus vite au détriment de la rigueur serait un mauvais calcul. Et faire n'importe quoi, je n'en parle pas. Et si elle n'a pas pris la peine de leur répondre... il y a peut-être des raisons :-) ? La quoi ?
  17. @Zalmox répondra en ce qui le concerne, mais permets moi de partager mon intuition : personne sur le forum ne "roule pour" un quelconque parti ni gouvernement. Nous avons tous des opinons évidemment, et encore heureux, mais je ne crois pas qu'aucun d'entre nous soit une "taupe" ni un "bot" de qui que ce soit. Enfin, sauf @Henri K. naturellement, dont les facultés de documentation en profondeur font trop penser à une IA pour qu'il puisse faire illusion bien longtemps. Mais je crois que tout le monde avait compris que c'est à la version chinoise de HAL 9000 que nous avons affaire :-)
  18. Il ne s'agit que de la période de l'état d'urgence sanitaire, établi dans la loi du 23 mars. Rien de ce qui a pu se passer avant n'est touché par cette loi. Et c'est bien la période avant la mise en place du confinement qui a été cruciale pour déterminer que la France aurait des dizaines de milliers de morts du coronavirus, plutôt que des milliers voire moins. C'est sur cette période que porteront les enquêtes judiciaires. Mais pas maintenant encore. Ce n'est pas le moment. La notion de négligence criminelle n'est pas à ma connaissance une importation du droit anglo-saxon.
  19. @Cool Hand @Wallaby Ne connaissant pas Malhuret, je me suis intéressé à son historique de déclarations concernant le coronavirus. Ce genre de recherches peut être véritablement ravageur pour la crédibilité de certains de ceux qui l'ouvrent très large sur la crise actuelle :-) ... J'ai trouvé cette intervention le 4 mars au Sénat, avec notamment Deuxième réflexion : depuis la chute des bourses et la baisse du taux directeur de la Fed, tout le monde a compris que la crise économique viendra accompagner l'épidémie. Mais celle-ci a rappelé que nous dépendons entièrement, notamment pour les médicaments, de la Chine. L'an passé, mon groupe avait créé au Sénat une mission d'information sur la pénurie de médicaments : il est suicidaire de ne dépendre que d'un seul fournisseur. L'aspect positif de cette crise est de révéler qu'il est temps d'agir. Les changements seront difficiles, il faut les préparer. (...) Médecin épidémiologique ayant commencé ma carrière en Inde dans la campagne d'éradication de la variole, laissez-moi vous rappeler que son virus a été rayé de la surface de la terre. C'est un nouveau combat qu'il faut gagner aujourd'hui. Cet entretien le 19 mars, avec notamment On a tenté d’éradiquer la variole, et ça a réussi, parce qu’à votre âge, vous n’avez plus la cicatrice gaufrée que tous les gens de ma génération, et même celle de ceux qui ont aujourd’hui 50 ans, ont sur le bras, qui était la vaccination anti-variolique. En France, c’est beaucoup plus supportable. C’est dur, contraignant, mais en tant que médecin, et épidémiologiste, je peux affirmer que ce sont des mesures absolument nécessaires si on veut se débarrasser du virus dans un temps pas trop éloigné. (...) Après, il y a plusieurs solutions. Regardez ce qu’il s’est passé en 1914-1918, ça a été suivi par les années folles, la deuxième guerre a été suivie par les Trente glorieuses, mais si vous réfléchissez bien, après 45, malgré la guerre froide, il y a eu la création de l’Onu, l’arrêt total de confrontation entre les grandes puissances… On a quand même tiré des leçons. Demain, les leçons que l’on risque de tirer, ce sont plutôt des leçons qui émergeaient déjà, comme le développement durable, le changement de modes de consommation. Et notamment le fait que l’on dépendait de deux pays au monde, la Chine et l’Inde, pour tous nos médicaments. Et encore cette remarque de bon sens le 24 mars Claude Malhuret: "Un essai sur 24 malades ne permet pas de recommander la chloroquine à tout le monde" Un bilan largement positif, de mon point de vue. Qu'on soit d'accord avec telle ou telle de ses interventions, Malhuret n'est en tout cas ni un bonimenteur, ni un type qui prétend tout savoir juste après être tombé de l'armoire, tout en replaçant la situation dans une perspective historique, en donnant le bon objectif l'éradication du virus, en appelant à tirer des leçons de la pandémie une fois qu'elle aura été vaincue et après avoir alerté à l'avance sur au moins une vulnérabilité de la France que la pandémie covid-19 met à jour notre dangereuse dépendance à l'Asie pour la fabrication de médicaments. Il est crédible - encore une fois qu'on soit d'accord ou pas avec telle ou telle de ses positions.
  20. Juste. Et je l'avais manqué, comme j'imagine pas mal d'autres. Prendre les bonnes habitudes, c'est dur. Faut du métier, comme le rappelait il y a quelques semaines @Akhilleus entre autres...
  21. Issue du site du Figaro. En voici une autre Le masque est fabriqué par Lemaskfrancais. Et la dynamique de l'épidémie est nettement plus rapide au RU qu'en Italie : - Près de 4 400 décès dans la semaine du 26 avril au 3 mai outre-Manche - Un peu plus de 2 200 décès dans la même période de l'autre côté des Alpes Ce sont les pays anglo-saxons qui se débrouillent le plus mal face au coronavirus. Et les Etats-Unis menacent encore pire qu'au Royaume-Uni. Je ne sais pas bien dire pourquoi. Et je ne pense pas que la réponse soit purement idéologique type "Johnson et Trump sont des imbéciles", même si certes aucun des deux n'a aidé et surtout pas le second. Il doit y avoir d'autres raisons, pas entièrement claires à mes yeux.
  22. Cet homme a la solution Le président du Conseil des ministres italien Giuseppe Conte En Italie, pas de réouverture des écoles, collèges et lycées avant septembre
  23. Emmanuel Macron s'est exprimé à la télévision après avoir visité une école, muni d'un masque noir Je dois dire que l'image m'a rappelé celle-là :-) ... ... Et oui, il est heureux que Macron n'ait pas choisi un masque avec effigie :-P !
  24. Mais tout le monde est absolument légitime à donner son opinion sur n'importe quoi ! Plus sérieusement, j'apprécie la descente de Dédé qui est un vrai pilier de bar comme moi, mais il devait en avoir déjà éclusé quelques-unes avant de sortir tout ça Une civilisation est en train de naître, qui fait de la santé la valeur suprême. Voyez cette boutade de Voltaire: «J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé.» Auparavant, la santé était un moyen pour atteindre le bonheur. Aujourd’hui, on en fait la fin suprême, dont le bonheur ne serait qu’un moyen! Mec, va lire dans les bouquins d'Histoire à quoi ça ressemblait il y a quelques petites générations quand un enfant sur cinq mourait avant l'âge d'un an, quand on ne connaissait pas l'hygiène, ni les antibiotiques, et que mourir en couches faisait partir pour les dames de l'ordinaire de la vie... Puis reviens nous en parler. Je ne suis pas prêt à sacrifier ma liberté sur l’autel de la santé! "Sacrifier ta liberté", hein ? Tout ça parce que tu dois rester chez toi pendant deux ou trois mois ? Non, n'ouvre pas ce bouquin ! Qu'allais-tu faire, malheureux, c'est l'Histoire de la Résistance, et de gens qui ont fait de véritables sacrifices. Et ne touche pas à celui-là non plus enfin, on y parle des poilus ! Voyons, si une petite nature personne sensible comme toi lit ce genre de choses, il en sera traumatisé à vie... Nous ne pouvons accepter l’assignation à résidence – ce qu’est en réalité le confinement – que si elle est de courte durée. Je crains que l’ordre sanitaire ne remplace «l’ordre moral», comme on disait du temps du maccarthysme. Dédé, tu peux mieux faire. Tu parles du maccarthysme ? Voyons, mais le communisme enfin ! Le nazisme ! Tiens, je te ressers et tu nous la refais. Tu dis ? Pétain ? Ah c'est déjà mieux. Mais... j'y pense... c'est pas Didier qui te l'a soufflé, au moins ?
  25. Oui, mais en haut à gauche... "Ce deal n'est malheureusement plus d'actualité" :-( !!!
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