Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Alexis

Members
  • Compteur de contenus

    16 767
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    275

Tout ce qui a été posté par Alexis

  1. Je pense que ce commentaire mérite une récompense (voir plus bas) Mais avant, je précise mon point de vue : tu n'as pas vraiment tort. Et une analyse plus "identitaire" (quelque sens qu'on donne à "identité", et on est d'accord que les formes n'en sont pas toujours stables sur période longue) ne serait pas vraiment fausse non plus. C'est que personnellement - et j'admets prendre le risque de caricaturer ton point de vue - si d'aucuns ont une analyse "de droite" en terme de chocs des civilisations, des peuples et des religions, si d'autres ont une analyse "de gauche" en termes d'inégalités et de luttes économiques, le plus raisonnable à mon sens est de tenter de prendre en compte et l'une et l'autre. Ça ne force pas à être centriste, hein ! C'est juste que les motivations en termes économiques, tout autant que les motivations en termes identitaires, me semblent des clés indispensables pour tenter de comprendre ce qui se passe. Indispensables et indépendantes. Il n'y en a pas une qui serait le soubassement de l'autre. Et négliger les unes, tout comme négliger les autres serait fermer un œil, et on verrait moins bien. Bon, mon petit cadeau maintenant : l'Internationale, avec tous les couplets. Enjoy !
  2. Pendant ce temps, dans le monde réel, la démographie de la Turquie ressemble à ça : Bleu fécondité < 2 enfant par femme ; Vert 2-3 enfants ; Jaune 3-4 enfants ; Rouge > 4 enfants par femme Ce qui a trois conséquences : - Le nombre des Turcs qui en fait sont des Turcs plafonne, en attendant de baisser - Le nombre des Turcs qui en fait sont des Kurdes - oh elle est jolie l'exponentielle - L'Erdogan, il panique grave Bien sûr, dans ce genre de situation, d'aucuns iraient jusqu'à conseiller de négocier avec les partis kurdes modérés, reconnaître des droits notamment linguistiques (langue kurde) et religieux (l'islam alévi), et avoir une stratégie de développement prioritaire de l'Est afin de réduire les inégalités économiques et à terme la surnatalité kurde. En somme, plier pour ne pas rompre, et une mission d'étude en Espagne pour y prendre quelques idées. Rien que des agitateurs anti-turcs, évidemment ! Heureusement que Erdogan est là pour nous en protéger.
  3. A trois semaines du jour J, les sondages restent très partagés. Tout comme en avril, au mois de mai le nombre de sondages donnant Leave gagnant (7) a été proche du nombre donnant Remain gagnant (10) avec 2 sondages donnant l'égalité. Sinon, une petite vidéo historique, celle de Margaret Thatcher au Parlement britannique, avec son triple "No !" D'un côté, les Britanniques ont conservé la gestion de leur monnaie, ils ont conservé le contrôle de leurs frontières - avec le recul difficile de nier qu'ils ont eu raison. De l'autre, il reste que leur Parlement, tout comme les Parlements des autres pays de l'UE, a bel et bien perdu une partie importante de ses pouvoirs et de son influence. Si on laisse de côté les arguments de court terme, presque négligeables par comparaison - tel ou tel choix fera gagner ou perdre quelques milliards, suivant qui vous écoutez, et autres questions relativement secondaires, pour peu qu'on veuille bien prendre un peu de hauteur - le rôle et les pouvoirs du Parlement me semble bien la question de fond que les Britanniques sont appelés à trancher ce 23 juin. La Grande-Bretagne est fière de sa tradition parlementaire, c'est sans doute le premier pays européen où le Parlement a pris le pouvoir de préférence à une institution non élue, comme par exemple un roi pourvu d'un rôle autre que symbolique. Cette tradition, comme celle des autres pays européens anciennement démocratiques, est bien sûr très mal en point puisque une très grande partie de la législation est en fait dérivée directement du droit européen, créé par la Commission, tout aussi peu élue que l'étaient les rois souverains, et que tout parlement d'un pays membre de l'UE est par traité obligé de le voter. En contradiction avec traditions et chartes fondatrices de la démocratie, par exemple dans le cas de la France la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen imposée en 1789 à Louis, en ses articles 3 et 6. Les avantages du maintien dans l'UE sont-ils suffisants pour justifier de continuer à souffrir cela ? Les Britanniques répondront bientôt, en ce qui les concerne.
  4. C'est ce qui s'appellerait brûler ses vaisseaux. Et oui, cela peut être un facteur.
  5. En tout cas, personne n'inhalera. Bill ne l'a jamais fait après tout. Il l'a dit, y a pas de raison de ne pas le croire
  6. Si ces deux oiseaux étaient les deux seuls candidats à la mairie de ma (relativement petite) ville, je crois que j'essaierais de monter un mouvement, trouver des soutiens, présenter quelqu'un, je sais pas moi, pour offrir tout de même une alternative. Mais bon, après tout il ne s'agit que des Etats-Unis d'Amérique, donc c'est moins grave. Edit : à y repenser, je viens tout à coup de comprendre pourquoi les profs américains notent très relax les élèves, et surtout pour ne pas traumatiser les pauvres petits bouts d'chou. Ils tiennent à la vie, tout simplement.
  7. Quoi ? La famille de Trump, un argument ? Sa fille Ivanka, en particulier ? Euh... @Shorr Kan - Bon maintenant tu peux l'avouer ouvertement. T'en fais pas, tout le monde a déjà deviné de toute façon. Au cas où The Donald se retrouverait à la Maison Blanche, tu es déjà en train d'étudier quelle photo d'Ivanka tu choisiras comme avatar !
  8. Ouais ben de ce côté pas de problème pour Bernie ! Ça a bien été dit d'ailleurs dans les débats... j'comprends pas trop comment t'as pu le manquer
  9. Quelques réflexions intéressantes sur le phénomène Trump, sa signification et son impact possible. NB : il faut mettre de côté le présupposé de l'auteur comme quoi - je caricature à peine - "tout ce qui va mal est de la faute d'Obama", qui est évidemment n'importe quoi. C'est le reste des remarques qui sont assez bien vues. Certains des articles que cet auteur cite sont d'ailleurs très à gauche - ce genre de constat n'est pas affaire d'orientation politique. La fin me paraît particulièrement intéressante. De fait, Trump - je pars de ce que me dit mon intuition, c'est-à-dire qu'il écrasera Clinton - sera probablement très vite dépassé par les conséquences de son élection. Réinstaller un système d'exploitation infecté peut être une bonne idée... mais Trump est-il en mesure de le faire ? N'est pas Hercule aux écuries d'Augias qui veut. Je le vois assez rapidement perdre le contrôle face aux impacts de ses décisions. Y en a un autre qui a tenté de rebooter un système. C'était il y a une trentaine d'années, les slogans étaient bons - restructuration, transparence - on allait repartir du bon pied à partir des vraies idées du fondateur. Mais ça ne s'est pas exactement terminé comme Gorbachev l'imaginait... Sans penser à un parallèle parfait naturellement, ce que je veux souligner est que les réformateurs tendance dynamite prennent quelques risques. Avant tout le risque que le résultat final soit vraiment différent de leurs projets de départ.
  10. Tsk, tsk... tu n'y es pas. Il y a eu geste humanitaire envers Savtchenko de la part de Moscou. Et geste humanitaire envers Erofeïev et Alexandrov de la part de Kiev. Rien d'autre. On te l'expliquera en Russie comme en Ukraine. Tes interprétations, hein...
  11. Ça me rappelle un souvenir ... Au tout début des années 1990, Chevènement avait semble-t-il proposé à Mitterrand d'agir pour que France et Grande-Bretagne installent des armes nucléaires sous double clé sur le territoire polonais. Dans le cas de la France, ça aurait été les missiles Hadès - que Chirac n'avait pas encore pu démanteler - et que Chevènement semble-t-il aimait d'amour Attention, ce n'était pas sans contrepartie... l'idée était que cette protection soit une alternative à l'extension de l'OTAN à la Pologne. Ça aurait été soit l'un, soit l'autre ! Et de fait, il y aurait eu une certaine logique : - sécuriser clairement la Pologne, - sans inquiéter la Russie - qui se serait bien douté que Paris et Londres ne se lanceraient jamais dans une guerre d'agression à l'Est, tandis qu'avec Washington la chose est moins assurée - tout en contribuant au passage à autonomiser l'Europe devenant moins dépendante des Etats-Unis pour sa protection Je ne sais pas si Mitterrand aurait pu réussir à convaincre les autres. Quoi qu'il en soit il n'a pas essayé, tout ça est maintenant du domaine de l'uchronie... et pour Varsovie, c'est OTAN et un point c'est tout. Fromage ou dessert. Sinon, c'est de la gourmandise
  12. Oui enfin si - ce qui n'arrivera évidemment pas - un tel référendum était organisé en France, m'est avis que dans le camp "Rester" on entendrait pas mal de prédictions à côté desquelles les saillies des politiques pro-oui en 2005 feraient pâle figure ... Selon toute probabilité, même Saint Jean avec son best-seller L'Apocalypse serait enfoncé !
  13. Il est en effet malsain de conseiller un choix, non pour ses qualités intrinsèques, mais en prévenant que l'enfer se déchaînera en cas de choix opposé. D'autant plus s'agissant d'une décision liée à l'appartenance ! Ce qui implique un lien avec l'identité la manière dont on se voit soi-même, et ne peut être bien basé que sur un sentiment d'affection. L'affectio societatis, pour utiliser un mot compliqué, la "volonté commune entre plusieurs personnes physiques ou morales de s'associer" Dire que "on n'a pas le choix on est bien obligés de rester", car "pauvres petites choses on serait tout perdus sans l'UE", et appeler ça une bonne propagande pour le Remain, c'est d'ailleurs s'exposer à quelques risques. Car enfin les Britanniques ne sont pas historiquement connus pour un manque de fierté. Et d'ailleurs, devant une menace d'être le "mouton noir", on en a vu d'autres qui n'ont guère été impressionnés... Et le plus beau de tous que j'ai gardé pour la fin (soit dit en passant, à supposer que j'aie été juif - je ne le suis pas - et que j'aie rencontré Monsieur Cavada après cette sortie, son nez s'en serait souvenu) Bon, à la décharge des propagandistes britanniques du Remain, ils n'en sont pas (encore ?) descendus à un niveau cavadien.
  14. Bon, moi quoi que les Brits décident je suis paré. Suivant leur choix, je passerai la musique qui s'impose ou Je confesse une petite préférence... artistique et politique à la fois. M'enfin c'est eux qui décideront, hein.
  15. Sur la version anglaise du Spiegel allemand, l'OTAN a du mal à se remettre d'années de coupes budgétaires Avec une carte intéressante pour les ordres de grandeur
  16. Laisse-moi essayer de deviner... tu as utilisé ce lien n'est-ce pas ? Hmmm une technique avancée je dois avouer...
  17. De fait, une contribution intelligente, puisqu'elle résout une question qui me turlupinait depuis assez longtemps. Je sais maintenant quelle marque de lunettes porte DSK. La Sacra Congregatio de Propaganda Fide c'est-à-dire pour la propagation de la foi n'a en effet eu longtemps que des connotations positives... son objectif étant l'évangélisation. Jean-Paul II a changé son nom en Congregatio pro Gentium Evangelisatione, Congrégation pour l'évangélisation des peuples, en 1982. Il est permis de penser que la tonalité négative acquise par le mot "propagande" n'y est pas étrangère. Et oui, cette tonalité n'est pas nécessairement sans rapport avec les agissements de MM. Adolphe H. et Joseph S.
  18. Dialogue irano-américain. Ayatollah Khamenei : "Nous avons des élections libres, mais c'est moi qui choisis les candidats" L'âne du parti démocrate : "T'es un superdélégué ?"
  19. 'Vois pas l'problème. Shorr Kan, tu parlais bien de ça, non ? Bon, cela dit, cette activité est quand même bien différente du judo... Et puis je le connais pas, moi, Teddy Riner. Donc aller lui proposer de danser sur "Viens poupoule viens poupoule vieennnns !" je le sens pas trop j'avoue... Tu es vraiment anti-bière Shorr Kan ? Un petit Cognac peut-être ?
  20. SINON, les mecs, s'agissant d'un pari - et le mot est bien dans le titre du fil - qu'est-ce que vous diriez d'intéresser un peu la chose ? Je veux dire, il faut un enjeu, non ? Nan parce que moi, c'est la bière. Je veux dire que s'il y a des Franciliens qui ont voté sur ce fil - une hypothèse, comme ça - on pourrait imaginer un plan beuverie pot entre forumeurs dans quelque taverne parisienne la soirée du 23 juin. Bien sûr, vu le nombre respectif des parieurs "les Brits se dégonflent" vs "les Brits en ont", si le résultat est "Remain" les gagnants auront droit à une seule bière, et s'il y a Brexit eh bien les gagnants seront totalement murgés et il faudra les ramasser à la petite cuillère ! Qu'est-ce que vous en penseriez ?
  21. Je me souviens du texte de Lamers en 1994, paru à l'époque in extenso dans Le Monde, si ma mémoire est bonne. Il faut reconnaître à Lamers le grand mérite de dire les choses, non telles qu'elles sont, mais telles que beaucoup les conçoivent, en Allemagne singulièrement certes, mais dans bien d'autres pays européens également, et en France aussi. En somme, il expose avec clarté et franchise le fond de la pensée européiste, avec son ressort fondamental "seule la taille permet la véritable souveraineté" et sa dimension TINA pour utiliser le sigle anglais c'est-à-dire "il n'y a pas d'alternative", menant à une véritable incompréhension des oppositions lorsqu'elles viennent de personnes que l'on ne peut rejeter du revers de la main comme imbécile, inculte ou fanatique. Le slogan TINA, sans être exactement du marxisme bien sûr, lui est largement parallèle et pour tout dire son frère jumeau, en ce qu'il imagine que le déterminant fondamental du gouvernement et du devenir des sociétés humaines est économique. C'est là une position idéologique et rien de plus bien sûr, oubliant l'histoire, les langues, les différences anthropologiques - voir Emmanuel Todd par exemple pour les détails, etc. Mais cette position idéologique mène au même genre de certitude que les marxistes entretenaient au sujet du "processus" historique, qui ne pouvait que se dérouler suivant leur théorie. L'Union Politique tenant dans ce cadre un rôle un peu analogue à celui du Grand Soir. Ou en plus direct, que la semaine des quatre jeudis. J'aime bien la formule. "Merveille moderne de bureaucratie" Mais le projet n'est pas occulte du tout ! C'est l'objectif déclaré tout à fait officiellement, dès le préambule du Traité de Rome instituant la CEE en 1957 : "DÉTERMINÉS à établir les fondements d'une union sans cesse plus étroite entre les peuples européens" Sur la guerre, Malraux disait déjà : "Votre Europe, si elle voit le jour, commencera par une guerre de sécession" Et je suis d'accord pour dire que dans un certain sens, cette guerre a lieu en ce moment même. Les moyens n'en sont "que" économiques certes, mais comme tu le dis il y a un élément punitif, peut-être déjà à la politique économique imposée par le Centre - quoique on pourrait aussi la dire simplement doloriste, à coup sûr au traitement infligé à la Grèce suite à sa tentative de révolte en juillet 2015, et on pourrait aussi parler en plus léger des réactions furieuses aux décisions du gouvernement polonais régulièrement élu. Le plus impressionnant à mes yeux est le sens stratégique absolument lamentable exhibé par la structure centrale européiste : se coupant d'alliés potentiels qu'ils voient comme des adversaires insupportables, ils contribuent puissamment à renforcer leurs véritables adversaires. C'est-à-dire les gens qui s'ils arrivent au pouvoir traiteront les institutions centrales de l'UE de la même manière que l'institution royale a été traitée après 1792, la violence envers des personnes en moins. Comme les responsables de la structure centrale sont tout sauf des idiots, je ne peux interpréter leur aveuglement aux conséquences de leurs choix que comme l'impossibilité de vraiment imaginer que l'on puisse faire "sans" l'UE. Ils croient vraiment à leur idéologie, et ce genre de faute peut pousser l'homme le plus intelligent à se comporter comme un imbécile. Le passé du conditionnel... est un temps pour l'uchronie. En somme, pour l'irréalité, excuse-moi d'être brutal. L'Histoire est la fiction que nous inventons pour nous persuader que connaître les événements est possible et que la vie a ordre et direction Les "systèmes trans-nationaux" ne sont pas nouveaux. Les banques internationales sont nées vers la fin du Moyen-Age. Déjà aux 14ème / 15ème siècles les plus grands financiers étaient plus puissants que bien des souverains. Sinon, tu as déjà entendu parler de l'Eglise Catholique, de la Papauté aux grands ordres religieux ? La faiblesse de l'argument "on ne peut plus" dans ce cas, c'est qu'à chaque fois qu'on vérifie d'un peu près ce qui est censé avoir changé de manière si fondamentale que le système des Etats-nations serait devenu invalide... on découvre qu'en réalité la chose existait déjà - sous des formes certes variées - depuis des siècles. Sinon, concernant l'échelle qui ne serait pas la bonne dans certains cas, il faut noter que la coopération internationale existe elle aussi depuis des siècles. Va falloir l'expliquer aux Suisses, aux Suédois ou aux Finlandais alors. Les pauvres pensent encore pouvoir se défendre en se basant d'abord sur leurs propres forces, ils doivent être bien naïfs. Faudra aussi l'expliquer aux Français d'ailleurs. Encore des gros naïfs. D'ailleurs, on pourra aussi demander aux plus grandes puissances, des Etats-Unis à la Chine comment ils s'y prendraient au juste pour conquérir la France ou pour la détruire. Je veux dire, d'une manière qui soit à l'avantage de l'Etat agresseur... Quant à l'économie, la dernière fois que j'ai regardé, Brésil, Corée du Sud, Inde, Canada, Thaïlande, Malaisie, Japon, Russie, Afrique du Sud, etc. etc. prenaient leurs décisions économiques tout seuls comme des grands. Et pourtant à la seule exception du Japon tous ces pays ont des économies de même taille que les plus grandes économies européennes, ou plus petit. Quelle bande de naïfs, j'vous jure ! Ne savent-ils pas que l'Etat-nation est en déliquescence et que la souveraineté nationale c'est du passé ?
  22. Article intéressant d'Infoguerre sur : - le statut actuel de l'Antarctique avec exploitation et revendications territoriales suspendues jusqu'en 2048, - l'activisme de certains pays en premier lieu la Russie pour préparer une éventuelle exploitation des ressources, - le risque d'éclatement du statut actuel avant l'heure, notamment en vue de perspectives ressources en hydrocarbure Les enjeux énergétiques en Antarctique
  23. Jacques Brel a quelque chose à en dire... https://youtu.be/zXBPeQiYxeI
  24. Je pense que l'intitulé du sujet numéro 2 n'est pas suffisamment clair. J'ai bien compris que la question ne porte pas sur la peine à leur appliquer, mais sur le mode d'exécution. Cependant un élève un peu inattentif pourrait assez facilement imaginer que tu remets en question le fait qu'il méritent couic couic. Je sais bien que c'est ridicule - et surtout ne va pas croire que je t'insulte hein ! - mais c'est dire à quel point l'intitulé est ambigu. Non, de même qu'on ne commence pas un repas par le dessert.
  25. Sur le site du Noeud Gordien, une rencontre avec Paul Jorion autour de son dernier livre
×
×
  • Créer...