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Tout ce qui a été posté par Alexis
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ZX nous écrit la chronique "Vie sentimentale" des vedettes :lol: ... Un extrait de Paris Match ? :P
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Crise financière mondiale [info only]
Alexis a répondu à un(e) sujet de debonneguerre dans Economie et défense
Je pense que Serge parle du point de vue de l'investisseur. Auquel cas il a raison bien sûr - à forte volatilité, forts différentiels à la hausse comme à la baisse. Mais Drakène ne parlait-il pas du point de vue de l'intermédiaire ? ;) Car dans ce cas... Oui, volatilité, encore de la volatilité, et beaucoup d'ordres sur le marché ! A chaque fois que ça vend ou que ça achète, moi je palpe ! :lol: -
Le Non de 2005 était composite (tout comme d'ailleurs le Oui), et il est bien entendu que les eurosceptiques ne représentaient pas 55% de la population française en 2005. Ce qui conforte les opposants à l'UE dans leurs convictions, et peut provoquer des doutes chez ses partisans, c'est plutôt l'annulation du double Non de 2005 (France et Pays-Bas) non par un nouveau référendum sur un texte différent, mais par un vote au parlement seulement sur un texte très semblable. Là est le déni de démocratie : annulation d'un référendum par un truc.
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Crise financière mondiale [info only]
Alexis a répondu à un(e) sujet de debonneguerre dans Economie et défense
Toute une époque... :) -
Non. Il faut attendre la sortie de l'eurozone et la dévaluation, et laisser passer la période initiale chaotique. Ensuite, il devrait y avoir des opportunités d'investissement. Pourquoi n'y en aurait-il pas ? Ce dont je parle, ce n'est pas la question économique. C'est la question démocratique. Manipulation et agression économique ont été utilisés pour tenter de faire peur aux Grecs et leur mettre le couteau sous la gorge. Quoi que l'on pense du partage des responsabilités de ce fiasco entre Grèce et Troïka - et les Grecs ont évidemment une part importante - ces méthodes sont scandaleuses en elle-même. Monsieur Draghi mériterait de répondre de ses actes devant un tribunal. Les Grecs étaient soumis à un stress intense. Et pourtant, ils n'ont pas cédé. Indépendamment, encore une fois, de ce que l'on pense de leurs erreurs, il faut du moins les féliciter de cela.
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La BCE avec soutien de l'Eurogroupe aligné sur la position allemande a organisé la fermeture des banques et le début de paralysie de l'économie grecque la semaine dernière afin d'inciter les Grecs à "bien" voter. Raté.
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Ah oui, j'avais oublié... Oui, avec toutes ces informations en permanence... ces discussions très intéressantes que nous avons ici... on en oublie ce qui est pourtant le minimum. Les Grecs étaient soumis à un ultimatum par une puissance extérieure menaçant de provoquer l'effondrement de leur système financier et la fin de quelque chose à quoi ils tiennent en l'occurrence l'euro. Malgré le chantage évident, ils n'ont pas cédé à la peur, mais ont répondu Non à 61%+... Ζήτω η Ελλάδα ! (*) (*) Vive la Grèce ! :)
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Pareil de mon côté. Les Grecs n'en veulent pas, comment les en convaincre ? Peut-être serait-il possible théoriquement de jouer un coup du type "sortie de l'euro en douceur" contre "restructuration importante de la dette". L'avantage par rapport à l'option où tout le monde se fâche étant précisément d'arriver au même résultat... avec moins de fâcheries et un peu moins de désordres. Mais qui y serait prêt politiquement ? Chez les créanciers, les uns sont prêts à une restructuration, mais c'est parce qu'ils veulent que la zone euro reste inchangée, les autres sont prêts à une sortie de la Grèce mais refusent toute restructuration (position soit dit en passant contradictoire : une Grèce sortie de l'euro et ayant dévalué serait encore plus incapable de faire face à sa dette) Nous n'avons pas de leçon à recevoir d'eux c'est parfaitement exact. Cela dit, je ne crois pas qu'il convienne d'être trop critique envers eux. La réalité est que l'existence de l'euro oblige tous les pays membres à des compromis désagréables et crée pas mal d'inconfort. Il est vrai que l'Allemagne a eu largement plus de succès que les autres à faire de l'euro sa chose, mais même pour elle la situation est inquiétante et inconfortable. Ce qui explique largement les rigueurs et les dérives des uns et des autres. (*) Tous les pays membres sont au minimum gênés aux entournures par la monnaie unique et ses contraintes. Même ceux qui semblent avoir le fouet en main. (*) même celles des Français, mais chut ! ;) La Grèce est isolée alors qu'elle ne l'était pas il y a six mois pour une raison très simple : son changement de gouvernement le 25 janvier. Que le gouvernement espagnol tombe demain devant Podemos, et on verra si la Grèce reste isolée :lol: ! La Grèce est à la fois le premier pays à avoir rencontré des difficultés graves sur sa dette souveraine et être passé sous la tutelle des Institutions, et le premier pays à avoir porté au pouvoir un gouvernement anti- "austérité". Ceci expliquant probablement cela. On va dans le mur oui, mais cela ne veut pas dire nécessairement que ce soit crétin. Cela peut être une décision réfléchie, avec pour objectif d'expulser ce pelé, ce galeux, d'où vient tout le mal. Une fois entre nous, entre gens bien et responsables, tout ira mieux, peut-être ?
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Surprenant... - Est-ce le mot "terrorisme" qui est mal passé y compris du point de vue de Tsipras ? - Est-ce le signal que Tsipras veut donner d'être prêt à la discussion, d'une part avec l'objectif d'y inviter les autres Européens, d'autre part avec l'objectif de pouvoir dire "j'avais vraiment tout fait"... si les choses tournent au vinaigre ? - Est-ce que Varoufakis le partisan de l'euro a fait son temps à Syriza, et Tsipras a besoin d'un ministre plus flexible pour le cas où... d'autres scénarios devraient être envisagés ? En tout cas voilà comment le principal intéressé présente les choses
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Oui, l'Italie a dit clairement que les négociations doivent reprendre, le gouvernement français aussi. Macron a été jusqu'à suggérer que les responsabilités sont partagées entre groupe des créanciers et Grèce. Les Reps sont plutôt sur la tonalité allemande. En Allemagne, ce qui m'impressionne est que le SPD semble totalement aligné sur la position dure qui était celle de Schaüble. Sigmar Gabriel a dit que "les négociations sont très difficiles à imaginer", que Tsipras "mène les Grecs sur un chemin de (désespoir)" et qu'il a "rompu les derniers ponts". Je serais Draghi, je me garderais bien de couper les vivres au système bancaire grec dès demain matin. Pour ça, mieux vaut attendre d'être couvert ! Le "dîner de travail" de Hollande et Merkel à l'Elysée demain soir risque d'être véritablement crucial. Si Merkel est soutenue par Hollande, elle devrait pouvoir résister aux pressions des Européens favorables à la poursuite des négociations, et donner le feu vert à Draghi pour déclencher le Grexit. Au contraire, si Hollande tient une position ferme comme Renzi sur la ligne décrite par Macron, il sera très difficile à Merkel de défendre à l'international une décision de Grexit forcé, et alors elle pourra peut-être utiliser cette isolation de l'Allemagne comme argument pour convaincre un Parlement allemand qui sera vent debout contre Athènes de donner son accord à la reprise des négociations. Alors est-ce Hollande contre toute attente qui détient en réalité la clef de la décision sur le dossier grec ? Dites, quelqu'un aurait pas un lien vers un serveur de la NSA ? Nan, parce que j'aimerais bien avoir un compte-rendu complet de la conversation d'Angela et François... :P
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Quand l'Europe fait pression ? Ça mousse ! :lol: Quant à faire peur ? Euh... ça eut marché Exactement. Et je ne suis pas seul à me compter du nombre des impies. Tout-à-fait. C'est la pilule rouge. Les conséquences finales sont nébuleuses, car le Non des Grecs force à consulter d'autres démocraties, l'allemande notamment. On reste au Pays des Merveilles. Et on descend avec le lapin blanc au fond du gouffre...
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Et maintenant ?
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Oui Athènes est vraiment énorme par rapport à la taille du pays. Mais on en est à 60,75% pour les 30,61% premiers. Pour que le Oui gagne d'extrême justesse, il faudrait qu'il soit majoritaire à 54,72% dans le 69,69% restants... Et au fur et à mesure que les résultats arrivent, le Non a plutôt tendance à progresser. A mon avis il restera au-dessus de la barre des 60%. La Grèce a choisi la pilule rouge...
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Le Non pourrait être massif. Le dépouillement est reporté en temps réel sur le site du Ministère de l'Intérieur grec. Après 16,85% du dépouillement, le Non mène avec 60,34%. Comme rappelé par Tancrède, les grandes villes devraient reporter les dernières, et il est possible qu'elles votent davantage pour le Oui. Mais même avec cette hypothèse, l'avance du Non semble irrattrapable.
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François et Angela prendront un ouzo une bière ensemble lundi soir à l'Elysée pour discuter le bout de gras.
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Exasstement. Des enquêtes dont la publication était jusqu'ici bloquée pour cause de trop grande proximité du scrutin.
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Fortes indications... cependant toujours pas de certitude. Avec une réserve de taille :
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Mais y en a pour tous les goûts :lol: ! Voici L'Immonde Opinion Polls sur le sujet Bon, cela dit, on n'aura de confirmation vraiment définitive que d'ici quelques heures. Sauf vague inattendue pro-Non ou pro-Oui bien sûr.
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Premières indications (sujettes à forte caution donc)... όχι ? Les sondages de sortie des urnes indiqueraient une avance de 4 à 8% pour le Non. Cependant, il ne s'agit que des votants du matin
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Gentlemen ! Laissez-moi vous aider de la meilleure manière qui soit, en vous proposant les outils pour votre discussion : Quoi... me taper, moi ? Pas possible .... J'suis partiiiiiiiiiii ! ;)
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Sur le site du Nœud Gordien, un point complet Crise grecque, les suites du référendum. Que peut-il se passer maintenant Référendum en Grèce, journées décisives, menaces, conséquences et suites possibles – que peut-il se passer maintenant ? Un point complet, en dix-sept questions et un résumé Y a même une version PDF pour qui veut ! :) Comme on le dit d'ordinaire : "je ne suis pas en désaccord avec cet auteur" ;)
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Il doit y avoir deux conséquences en sens inverse : - Colère contre les Institutions et l'Union Européenne ---> tentation de vote Non - Peur des conséquences si les Institutions mettent leur menace à exécution ---> tentation de vote Oui Le résultat de dimanche est vraiment indiscernable. Je peux imaginer aussi bien un résultat serré, qu'un Non franc et massif ou un Oui franc et massif.
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«une décote de 30% de la dette grecque» et «une période de grâce de 20 ans» Autant le pourcentage de la décote me paraîtrait un peu juste à lui seul pour assurer la viabilité de la dette publique grecque... autant pour la période de grâce de 20 ans - c'est-à-dire sans paiement aucun j'imagine :D et les intérêts bloqués par-dessus le marché ? - il me semble que Tsipras est dans la lettre au Père Noël. Faut pas pousser grand'mère, quand même... Le calcul précis dépendra des hypothèses sur l'inflation dans les 20 ans à venir, mais à vue de nez je dirais que décote 30% + grâce 20 ans doivent dépasser l'équivalent d'une décote de 50% dans à peu près tous les cas réalistes. Par exemple, si on imagine 2% d'inflation sur 20 ans, les 70% restant à payer équivaudraient à 70% / 1,02^20 = 47% à peu près, soit une décote de 53%, sans même compter les intérêts qui n'ont pas couru pendant ce temps. Puis, imaginer un taux moyen d'inflation à 2% sur les 20 ans à venir, vu l'orgie de création monétaire des banques centrales ces sept dernières années... comment dire... c'est pas le plus réaliste :lol: ! Cela dit, un Eurogroupe qui ferait un boulot sérieux prendrait cette demande comme une proposition initiale du gouvernement grec, appelée à être sérieusement amendée mais suffisante pour initier la discussion. C'est moi, ou ce que tu viens de dire sent fortement le vécu ? :D Une expérience traumatisante lors de vacances en Tunisie ? ;)
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Pour le président du Parlement européen Martin Schulz, en cas de victoire du Oui, le gouvernement Tsipras devrait démissionner, suite à quoi un "gouvernement de technocrates" devrait être désigné, "pour que nous puissions continuer à négocier". Ce serait ainsi "la fin de l'ère Syriza" Le scénario ne me semble pas invraisemblable. De fait, après un vote Oui, le gouvernement Tsipras serait fort affaibli. Le soutien populaire lui ayant été refusé, il n'aurait rien à opposer à un ultimatum franc (bien sûr non public) d'avoir à démissionner sous peine que la Grèce soit quand même expulsée de l'euro - en pratique, que les banques ne puissent rouvrir, entraînant la poursuite de l'effondrement économique. Il me semble qu'il lui serait difficile de résister à une telle injonction des Institutions. Pour le président du Parlement européen, renverser le gouvernement grec est la priorité Philippe Séguin (R.I.P.) l'annonçait de façon prémonitoire dans un discours à l'Assemblée Nationale le 5 mai 1992 lors de la campagne pour le référendum sur le traité de Maastricht : ce traité était littéralement l'anti-1789 Toute ressemblance avec des événements en cours... serait tout sauf fortuite.
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Je ne vois pas le rapport. Qu'est-ce que ce ministre de l'économie italien a fait qui soit comparable aux "exploits" des Draghi (complicité de tromperie et mensonge direct au parlement européen) ou Lagarde ("négligence" à 300 millions) ?
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