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Alexis

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Tout ce qui a été posté par Alexis

  1. "I fart in your general direction" Les Monty Python avaient tout compris... Frenchman: I don't want to talk to you no more, you empty-headed animal food trough wiper! I fart in your general direction! Your mother was a hamster and your father smelt of elderberries! Sir Galahad: Is there someone else up there we can talk to? Frenchman: No, now go away or I shall taunt you a second time!
  2. Pour illustrer ce que je disais sur l'agiotage, voici un extrait du penseur libéral du XIXème Frédéric Bastiat L'ensemble de cet extrait est intéressant, mais je pointe le fait que Bastiat liste l'agiotage parmi les autres pratiques malhonnêtes et détournements... Il faut savoir que l'essentiel des pratiques de la "nouvelle finance" dérégulée qui a progressivement pris son essort à partir des années 1980, et n'a pas cessé de prendre de l'importance depuis... ressortissent de l'agiotage.
  3. Il ne s'agit pas du passé de faire table rase. Ce n'est pas le texte de l'Internationale ! :lol: Il ne s'agit pas non plus de laisser "le système" s'effondrer. Qu'est-ce que le "système" ? Des mines, des champs, des entreprises, des transports, des Etats, des monnaies, des moyens d'épargne... Il s'agit bien de protéger tout cela, c'est-à-dire d'empêcher un effondrement économique, parce que les réformes ou transformations nécessaires ne pourront de toutes façons être entreprises qu'à condition de préserver une certaine stabilité : on ne réforme pas en plein chaos, quelle que soit la nature des réformes. C'est une impressionnante victoire de la part des lobbyistes bancaires et de leurs relais d'avoir réussi à convaincre tant de gens que si un secteur d'activité financière, ou une grande banque, ou même un grand nombre de grandes banques mettent la clé sous la porte, alors le système économique tout entier s'effondrera. Au point que très peu de gens tout comptes faits contestent avoir à payer par leurs impôts (à coup de dizaines ou de centaines de milliards suivant les pays) la facture des pertes essuyées par plus d'une grande institution financière, qui si elle avait été une entreprise normale aurait tout simplement mis la clé sous la porte. Privatisation des profits, collectivisation des pertes, à échelle gargantuesque. En réalité, il existe des moyens de préserver les monnaies et les comptes bancaires de M. et Mme tout le monde même lorsque de grandes banques font faillite, ceci à coût zéro pour l'Etat. Voir par exemple la méthode Dinkic. Voir aussi les banques islandaises mises en faillite sans que leurs pertes ne soient remboursées par la collectivité. En réalité, c'est la préservation du système qui exige que les pertes cessent d'être collectivisées. A toujours renflouer et à compenser les pertes du secteur financier, on a mis en danger à la fois la solvabilité des Etats (dette publique augmentant en flèche) et la solidité des monnaies (assouplissement quantitatif c'est à dire planche à billets) tandis que les comptes bancaires de la plupart des gens restent garantis avant tout par les Etats c'est-à-dire en définitive par eux-mêmes (!) au lieu de l'être par les actifs des banques en question. Comme le jeu "pile je gagne face tu perds" continue encore et encore, les financiers se sentent de plus en plus assurés de toujours gagner, ils sont incités à prendre des risques de plus en plus importants... ce qui signifie que la ou les crises financières qui se préparent seront encore plus graves que celle de 2008-09. Au final, c'est bien les Etats et les monnaies qui sont en danger... et là, c'est vraiment le système qui risque de s'effondrer. Des banques qui font faillite, des comptes bancaires sécurisés par l'Etat en utilisant les actifs des banques déchues, des activités spéculatives qui s'effondrent, ça n'empêche ni les échanges économiques, ni l'ordre public. Evidemment il faut compter sur une récession, mais l'essentiel tient. Des Etats faillis incapables de faire face à leurs responsabilités, des échanges économiques rendus impraticables par hyperinflation de la monnaie, cela signifie des troubles prolongés sur les approvisionnements et circuits logistiques, fort possiblement l'effondrement de circuits économiques entiers, rendant impossibles de nombreuses industries et activités, plus l'ordre public dans les toilettes, plus la pauvreté prolongée sans filet de sécurité étatique, plus l'explosion de la criminalité. Impossible de prévoir le détail des conséquences, mais le parallèle avec l'effondrement de l'économie soviétique pourrait être pertinent. C'est bien l'interruption des circuits économiques et l'hyperinflation qui dans le cas post-soviétique ont mené à la destruction et pillage des entreprises, à l'effondrement de l'ordre public et à la criminalité généralisée. Sauver le crédit de l'Etat, sauver la monnaie. Alors le système tient. Et que les banques fassent de leur mieux pour survivre, ce qui signifie que les plus saines survivront et étendront ensuite leur activité pour remplacer celles qui auront failli. Sauver pour quelque temps encore le système financier dans son ensemble et la possibilité de continuer les paris aux risques de la collectivité, par idéologie, par incompréhension, ou plus simplement par intérêt égoïste bien compris, en mettant à risque solvabilité des Etats et stabilité des monnaies. Alors le système pourrait bien s'effondrer en effet. Et ce qui serait reconstruit plus tard serait fort probablement pire, voire peut-être même dangereux. L'Etat a tous les moyens qu'il faut pour inciter les acteurs financiers à la prudence. Une méthode simple pourrait être de conditionner la garantie offerte par l'Etat sur les comptes bancaires des particuliers et des entreprises à un certain nombre d'interdictions sur la nature des activités de la banque bénéficiant de ces comptes. Notamment : - Absence totale d'opérations dans les dark pools - Aucune vente ni achat à découvert, c'est-à-dire de paris sur quelque prix que ce soit, ce qui s'appelait autrefois l'agiotage. La spéculation restant permise, sachant que spéculer suppose d'acheter un actif au préalable si l'on souhaite pouvoir le vendre. Les penseurs libéraux du XIXème siècle défendaient la spéculation, mais pas l'agiotage Comme la plupart des gens ne souhaitent pas placer l'essentiel de leur épargne dans des activités d'agiotage, les banques qui choisiraient de se priver de la garantie d'Etat sur les comptes bancaires se priveraient également d'une grande partie de leurs actifs. Ce qui assurerait en pratique que l'essentiel du secteur financier abandonne les opérations les plus risquées et déconnectées de l'économie réelle. En même temps, un secteur dédié à l'agiotage continuerait à exister. Mais seuls des gens tout à fait conscients des risques encourus s'y aventureraient, des gens qui auraient à l'avance accepté le risque de perte de leur épargne. Si quelqu'un est attiré par le discours de qui lui propose des gains mirobolants pour peu qu'il entre dans le casino, pourquoi l'en empêcher ? Ce genre de secteur financier se retrouverait placé pas loin de la "rue en pente"... des bars louches... et des endroits où l'on peut se procurer des substances ébouriffantes et pas trop légales. Qui irait s'y encanailler ne pourrait qu'être conscient de ce qu'il fait, et peu y risqueraient leur épargne retraite. Il faut seulement mais c'est indispensable que l'épargne de M. et Mme Tout le monde, la monnaie qu'ils utilisent, et le crédit des Etats qui assurent leur sécurité ne soient plus pris en otage et utilisés comme garantie aux tables des casinos !
  4. P..ain, ça m'était sorti de l'esprit. Effectivement, Hollande s'était couché devant les Otaniens et Américains lui demandant de continuer à impliquer la France après le retrait de l'essentiel du dispositif en 2012-13, au temps pour moi. Nous risquons donc encore de sacrifier inutilement des vies françaises pour continuer cette criminelle stupidité mission otanienne.
  5. Al Manar est une chaîne libanaise contrôlée par le Hezbollah. Mon avis est que les hezbollahis ont décrit là leur souhaits les plus fous... qui ne correspondent pas forcément à la réalité :) Personnellement je ne doute pas que la Russie riposte aux attentats de Volgograd. Mais désigner nommément l'Arabie ? Et passer par le Conseil de sécurité ! Ça n'est guère crédible... J'imagine plutôt de "malheureux accidents" dans les prochains mois, frappant des financiers et soutiens du terrorisme... qui pourraient bien être saoudiens en effet. Peut-être des empoisonnements au polonium qui sait :lol: ? Le moyen de s'assurer que nul n'ignore qui est derrière les malencontreux accidents et maladies imprévisibles... et que le "message" passe bien. Edit : rien pour l'instant dans le Net russe sur ce sujet...
  6. Juste un petit mouvement d'étonnement de ma part en voyant que ce fil "Afghanistan" reste si actif. L'Afghanistan... keskonena-afout' ? La mission Afghanistan, ça a été pour l'armée française la mort de presque une centaine de soldats, des dizaines de grands blessés handicapés à vie, le meurtre d'un nombre indéterminé de civils afghans, la dépense d'un demi-milliard annuel au plus fort de la période. Tout cela pour l'honneur et l'avantage d'apporter notre écot au projet d'occupation et de mise sous contrôle indéfinie par les Etats-Unis et l'OTAN suiviste d'un pays connu pour opposer une résistance de long terme farouche à ses occupants successifs. Projet qui s'achève naturellement, comme le projet précédent de l'Union soviétique dans le même pays s'était achevé. Honorons nos morts et nos blessés qui se sont sacrifiés pour appliquer la politique de défense du pays - ce sacrifice est encore plus aride lorsque ladite politique est stupide - pansons nos plaies et retenons la leçon quant aux éventuelles futures guerres de l'OTAN (*) Mais pour le reste, l'Afghanistan est un malheureux pays affligé de nombreux problèmes... et dont l'intérêt stratégique est minimal. Quelle importance à ce qui s'y passe désormais, sinon pour les Afghans eux-mêmes ? (*) "Si tu me trompes une fois, honte à toi. Si tu me trompes deux fois, honte à moi !"
  7. Plus de détails sur le modèle social appliqué au Pirée, en conformité non avec la loi chinoise mais bien avec la loi grecque, appliquant les souhaits non seulement ni même d'abord des investisseurs chinois mais aussi et en premier lieu de la Troïka Commission - BCE - FMI. Il s'agit d'une expérience d'avant-garde sur le futur modèle social européen tel que voulu par la Commission Européenne et autres instances dirigeantes européennes. Heureusement que nous avons l'Union européenne !
  8. Ce fil est envahi dernièrement de commentaires qui auraient plus leur place dans le fil "UE" du forum Politique étrangère... :lol: Pour revenir au sujet, voici les prédictions pour 2014 de Dmitry Orlov (*) C'est drôle, et ça donne à penser... (malheureusement c'est en anglais, et j'ai la flemme de traduire le tout...) (*) l'auteur de la première comparaison datant de 2006 entre l'effondrement soviétique et le futur effondrement américain (qui se trouve là en français pour qui l'aurait manquée)
  9. ... Malheureusement ce n'est pas Jules César qui commande à Washington, et la comédie peut très bien recommencer. Qui vivra verra !
  10. La facture énergétique française augmente parce que le prix du pétrole a été multiplié par 2,5 depuis les années 2004-2005, de 30 à 75 euros le baril environ. Mais tu as raison, la consommation de pétrole française est très raisonnable par rapport à la taille de notre économie : environ 2% de la production pétrolière mondiale quand la taille de notre économie frôle les 4% de l'économie mondiale. Ce sont avant tout les Etats-Unis et encore plus la Chine dont la facture pétrolière est démesurée par rapport à leur économie. Europe et Japon sont beaucoup plus raisonnables dans leur addiction à l'or noir. Nous sommes effectivement proches du début d'une nouvelle ère de l'énergie : celle de l'énergie chère puis de la pénurie. Ça a déjà commencé, voir l'évolution du prix du pétrole dans les dix dernières années, qui joue le rôle de frein puissant sur la croissance mondiale et a probablement été indirectement un déclencheur de la crise économico-financière 2007-2xxx. Ça sent le roussi c'est vrai, pour pas mal d'acteurs internationaux, mais les pays pétroliers du Golfe sont loin d'être les plus menacés étant donné qu'ils concentrent 60%+ des réserves de pétrole exploitable, une part supérieure à leur part actuelle dans la production mondiale de pétrole. Leur part dans cette production va donc en tendance augmenter à l'avenir, au moment même où la contrainte sur les carburants liquides va se manifester de plus en plus durement. Le risque pour eux est stratégique et militaire, il n'est pas économique.
  11. Sinon, sur un sujet d'histoire qui n'a rien, mais alors vraiment rien à voir. Le budget de la défense soviétique a continué d'augmenter vigoureusement jusqu'en 1988, même dans une économie alors stagnante voire déclinante dont le véritable état était dissimulé par des chiffres outrageusement maquillés. Jusqu'en 1990 inclus il est resté aux alentours du niveau déjà très élevé atteint en 1987. Moi je dis ça, je ne dis rien.
  12. Attends, tu as oublié de fournir la traduction du bureaucratique au français. :) Je m'y colle :
  13. Intéressant, mais à creuser, car cette interprétation est contestée et pourrait être basée sur un malentendu... Voir cet article selon lequel le code mis à 00000000 n'était pas celui permettant la détonation des bombes et ne suffisait donc pas à lui seul à commencer une guerre nucléaire.
  14. Tout cela est vrai. Cependant, il y a tout de même un peu de responsabilité des Français en général, je pense. Il ne faut pas l'oublier. En 2012, il y avait dix candidats à l'élection présidentielle. Collectivement, nous avons choisi les deux candidats UMP et PS. Comme nous l'avions fait la fois précédente. Ces deux-là, en négligeant (pratiquement parlant) les huit autres. Le vote a des conséquences.
  15. Au-delà des différentes interprétations possibles des événements en Ukraine, ce qui m'impressionne personnellement est l'influence en politique étrangère qui découle de la capacité à sortir le chéquier. C'est-à-dire d'une part de l'existence de marges de manœuvre financières, d'autre part de la volonté de les utiliser pour des buts de politique étrangère cohérents. Il y a cet exemple de la Russie vis-à-vis de l'Ukraine. Il y a peu, nous avons vu aussi l'Arabie Saoudite décider du gouvernement de l'Egypte - et de la fin de Morsi - au moyen d'un chèque de 12 milliards de dollars pour soutenir l'économie du pays et écarter le spectre de la famine. Certes, la diplomatie du carnet de chèques ne date pas d'hier. Mais elle est plus puissante lorsque de plus en plus de pays se trouvent en situation difficile. L'arme du carnet de chèques n'est pas dans les mains du bloc américano-occidental : - Les Etats-Unis soutenaient Morsi. Ils ont été rétamés par l'AS (le Qatar soutenait les FM en Egypte, mais c'est un petit carnet de chèques) - L'Union européenne soutient Klitschko. Elle est en train de se faire étaler par la Russie Qui paie décide. Et aux EU comme en UE, les caisses sont vides...
  16. Répondant à la question que tu poses C'était le Qatar. Quant à l'AS, voir sur la même page, c'est largement pire.
  17. Si on prend ces déclarations au premier degré, cela fait irrésistiblement penser au titre de ce livre de Dupont-Aignan: Maintenant, je ne suis pas certain que Merkel ne soit tout simplement en train de justifier les réticences allemandes au sujet du contenu à donner à l' "Union bancaire"... proposer quelque chose qui sera refusé afin de ne pas apparaître comme celle qui dit non.
  18. Ben, ça en fait quand même 1599 de plus que n'en avait Jean Dujardin :lol: !
  19. +10 ! Le fonds du problème est en effet celui-là. Quant à la manière de le soigner... pas simple... Je ne crois pas à une solution en force : l'AS est "protégée" par l'armée la plus puissante au monde. Elle a même été protégée contre la possible colère de la population américaine suite aux attentats de 2001. Peut-être une solution de force serait-elle envisageable en ce qui concerne les projections de force saoudiennes et plus généralement des pays du Golfe dans la direction de l'Europe et/ou de l'Afrique : un discours et une politique du type "toute tentative de projection de force dans cette direction donnera lieu à amputation sans anesthésie". L'amputation en question se faisant au niveau des financiers, idéologues et opérateurs, et probablement essentiellement de manière "discrète" (enfin, pas trop...) de même que l'action de ces agents saoudiens et golfiques se fait de manière discrète. Mais ce n'est qu'un rêve, du moins pour l'instant. Nous sommes actuellement fort loin d'une telle politique.
  20. Article intéressant de Evans-Pritchard sur l'éloignement progressif de la France et de l'Allemagne, et sur ce qu'il interprète comme des signes d'une libération de la parole à Paris envers Berlin. La conclusion est particulièrement intéressante, et Evans-Pritchard finit par rhabiller pour l'hiver à la fois les Europhiles et les Eurosceptiques. Avant tout les partisans britanniques de la sortie ou du maintien du RU dans l'UE, une question dont il considère qu'elle appartient au passé car "l'UE n'existe plus dans son ancienne forme" En somme, cet Eurosceptique de toujours considère que la question est déjà tranchée, les nations se réaffirment progressivement, et il n'y a plus d'intérêt pour la Grande-Bretagne à sortir. Discutable, mais donnant à penser.
  21. Impopulaire, mais éminemment raisonnable. Le stoïcisme apparent des Britanniques m'a rappelé ce dessin...
  22. G4lly, Rob1, Skw, Je crois que vous surinterprétez ce que j'ai écrit ;) , c'est-à-dire : "l'origine de l'humanité actuelle en un seul couple, sans être prouvée scientifiquement, est un scénario parmi d'autres qui n'est nullement exclu, voir la question de l' "Eve mitochondriale" et de l' "Adam du chromosome Y", et est quoi qu'il en soit une question scientifique, non un sujet de raillerie" Je n'ignore pas que ce n'est qu'un scénario parmi d'autres. J'insiste sur le fait que c'est une question scientifique, et non autre chose, notamment pas un intermède comique. Quant à la manière dont une espèce nettement différenciée peut apparaître en un temps géologiquement très court sans échelons intermédiaires discernables, c'est une question qui se pose non seulement pour l'émergence de l'espèce humaine actuelle depuis l'espèce homo antérieure, mais bien plus encore pour de nombreuses autres transitions biologiques passées. Voir la théorie de l'équilibre ponctué de Stephen Jay Gould pour une tentative d'explication de ce paradoxe, qui n'est d'ailleurs pas sans générer d'autres paradoxes. Je ne crois pas qu'une théorie sur les mœurs d’Ève, si Ève il y a eu, apporte quoi que ce soit à la question... même si elle serait peut-être distrayante :lol: ! Fin du HS en ce qui me concerne. Si quelqu'un souhaitait continuer la discussion sur l'évolution et l'émergence de l'homme, Tancrède a raison, c'est sur un autre forum qu'il faudrait aller ^_^
  23. Sans verser trop dans le HS... les deux propositions ci-dessus, pour peu qu'on les comprenne bien, ne sont pas nécessairement contradictoires ;) Il y a un certain simplisme littéraliste dans l'interprétation biblique dont on se moque justement, et le sondage cité par Carl est affligeant (40% d'Américains qui croient que la Terre a moins de dix mille ans !). Il y a aussi un certain simplisme darwinien dont on est revenu (l'évolution naturelle ayant un rôle aussi déterminant dans l'existence humaine que dans celle des animaux et plantes... tiens salut Adolf, ça boume ?). Sans compter que l'origine de l'humanité actuelle en un seul couple, sans être prouvée scientifiquement, est un scénario parmi d'autres qui n'est nullement exclu, voir la question de l' "Eve mitochondriale" et de l' "Adam du chromosome Y", et est quoi qu'il en soit une question scientifique, non un sujet de raillerie.
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