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On pourrait aussi rajouter que l'armée de l'air étant presque incapable de compléter sa flotte de E3F, si les E2C ont encore du potentiel, une fin de carrière dans l'armée de l'air (ou à effectuer des missions de l'armée de l'air) pourrait être envisagé. Passer de 7 à 10 AWACS ne nous ferait pas de mal. Commander plus vite des E2D permet de repousser le remplacement des E3F...
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Avec une petite caméra pour zoomer sur les cocardes ? Histoire de faire la différence pour un modèle d'avions utilisé par les 2 camps ?
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Plusieurs PAN et plusieurs GAN... donc plus d'avions, plus de frégates, plus de SNA, plus de pétroliers, plus de marins... à Bercy ou dans les autres armées ils ne vont pas être content. Le passage à 2% du PIB risque d'être insuffisant.
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La marine s'est décidée très tardivement pour le E2C. Un choix beaucoup plus précoce aurait évité de devoir rallonger la piste après avoir vérifié qu'elle était trop courte pour les E2C. Le choix du Rafale est presque indépendant du choix de notre porte-avions. On a d'ailleurs un Rafale assez inadapté. Des ailes repliables auraient permis d'avoir 2 avions par ascenseurs (ce qui permettra d'utiliser leurs 36 tonnes d'emports) et d'augmenter le nombre d'avions qu'on peut parquer sur le pont ce qui permettrait de passer à 40 comme prévus initialement. Mais heureusement qu'on a eu du Rafale, une uchronie avec l'abandon du Rafale pour un Super Hornet ou pire pour un Super Tomcat, on risquerait de se retrouver avec un porte-avions aux catapultes trop petites donc encore incapable d'opérer les chasseurs à plus de 25 tonnes ce qui limiterait très fortement leurs performances. Bon, les anglais ont fait la même chose. Des gros porte-avions capables d'opérer des avions performants ou des AWACS, mais équipé avec des STOVL qui pourraient opérer depuis des frégates. La dessus, je suis parfaitement d'accord. Si on a un seul et unique porte-avions, c'est avant tout par choix.
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On peut avoir un gros AWACS (type E3F ou équivalent) ravitaillable en vol qui arrive donc à maintenir une permanence de la détection dans la zone du PA léger. Le PA ne pourra pas maintenir un avion en vol, mais il peut le maintenir en alerte. Si on fait une analogie avec la PO, on pourrait avoir un Rafale capable en moins de 5 minutes (ou 100 km à mach 1) de décoller et d'intercepter un intrus. C'est moins performant que d'avoir 3 ou 4 E2C et une vingtaine de chasseurs, mais ça reste une capacité non négligeable. Les avions ne se limitent pas à du travail de missiles de croisière. En plus de la PO, il y a les missions de reconnaissances. Et même pour le bombardement, le Rafale M va détruire sa cible quelques minutes après avoir lancé son missile. La frégate située beaucoup plus loin risque de perdre des dizaines de minutes. Et 10 frappes par jour, c'est moins qu'une patrouille de 2 Rafale M avec 6 AASM chacun, donc largement à la portée d'un porte-avions léger (même si c'était à peine à la portée d'un Clemenceau)
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Surtout ils n'ont pas de B61 (même en prêt) donc ils n'ont pas besoin de pouvoir les utiliser. Ils ont retiré leurs bombes nucléaires (100% anglaises) depuis quelques années/décennies.
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Si on regarde les avions récents, le Rafale est un des avions les plus petits. Il est plus petits que les Typhoon, F18, F35 et même MiG29. Il ne serait pas absurde de s'en servir comme chasseurs léger disponible en grand nombre. Les chasseurs plus légers (F16, gripen, Tejas...) sont soit plus vieux et en fin de carrière soit nettement moins performant. En plus la "menace" chinoise et/ou pakistanaise avec des J10 ou FC1 légers et (relativement ? ) performants risque d'imploser un chasseur performant et nombreux.
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Entre un Rafale neuf et deux vieux Jaguar modernisés... Même "seulement" 56 Jaguar à moderniser, ça paraît trop.
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En fait, les Rafale de 2019 (et encore plus de 2025) seront déployés à la vitesse des A330MRTT et A400M alors que les F100 ou jaguar des années 70 l'était à la vitesse des Noratlas. La différence avec le PA est évidente, la différence avec les années 70 est aussi assez importante. A l'époque avec seulement 11 C135FR, on devait avoir du mal à trouver un ravitailleur de disponible pour le convoyage (et si on parle de convoyer les 15 ou 20 avions des années 70 comparables la puissance aérienne de 4 à 6 Rafale, il faudrait bien plus qu'un C135FR et je pense que ça sert pas à grand chose de réfléchir aux capacités du C160) et pour le transport du personnel technique et de la logistique associé à un détachement d'une vingtaine de chasseurs (et non juste de 6 Rafale) utiliser des Noratlas (ou Transall) sera beaucoup plus long qu'utiliser des A400M surtout si on parle d'un déploiement à plusieurs milliers de km. La différence sera assez réduite si on veut se déployer en corse, mais si on parle d'un déploiement à plus de 10 000 km, ce sera significatif. Si on a une base déjà prête (une piste, des hangars, un minimum de carburant...) on peut avoir un déploiement très rapide. On a juste besoin d'envoyer quelques techniciens et quelques bombes.
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Le Brésil décide d'une opération militaire contre la Guyane Française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Neuron dans Conflits probables
Déjà qu'en 2004 le Brésil avait du mal à tenir 2 mois... Maintenant le Brésil n'a plus de mirage 2000, plus de porte-avions et la France est passé au Rafale, à l'A400M, à l'A330MRTT... Là je vois juste une attaque surprise brésilienne qui nous coûtera cher (en vie humaine et en destruction de matériel) mais on va riposter et je plains les brésiliens... -
Les dorsaux :) Presque depuis le début du Rafale, on a des photos avec CFT et ils ne sont toujours pas intégrés. Le besoin reste réduit vu qu'on a 5 autres points d'emport lourds humides. Et puis si on rajoute plus de 2 tonnes à la configuration lourde, on va avoir un avion sous-motorisé donc on aura besoin d'un réacteur plus puissant qui va consommer ce qu'on a rajouté. Il n'y a pas de véritable complexité technique. Il y a juste un coût et d'autres priorités.
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Succession du CHARLES DE GAULLE : construction de porte-avions/drones légers?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Salverius dans Divers marine
C'est un argument tout à fait valable qui doit expliquer la préférence pour les pistes divergentes. On peut aussi rajouter que la piste oblique (de l'exemple) va vers la droite contrairement à tous les PA en service. Une configuration inversée avec le château à bâbord serait déjà plus crédible. En atténuation du risque, je vois la "solution" de réduire fortement l'activité aéronautique. Voir à la limiter à des pilotes expérimentés. Cette configuration n'est "utile" que si on veut un mini porte-avions (de moins de 200m). On se retrouve avec un équipage aéronautique réduit, des réserves en carburant/pièces détachés réduites et presque la même activité hélicoptère que sur un PA plus gros donc je doute qu'on puisse espérer plus que quelques mouvements quotidiens de chasseurs. À mon avis, on est très loin d'un dessin idéal pour un porte-avions, mais c'était juste pour montrer que des solutions techniques peuvent être envisageables. Si on veut faire un PA de moins de 200m capable de rivaliser avec les CVN américains, c'est impossible. Mais si on réfléchit à un porte-avions léger de moins de 250m capable de rivaliser avec un BPE ou un Cavour équipé de moins d'une dizaine de F35B, l'exigence n'est plus du tout la même. -
C'est ce qui me paraît le plus visible, pas le plus important (et de loin) mais le plus visible. Et ça fait depuis plus de 15 ans qu'on aurait pu utiliser les CFT pour certaines configurations nounou. Les autres "lacunes" du Rafale n'ont pas 15 ans ou sont prévus d'être corrigées.
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Succession du CHARLES DE GAULLE : construction de porte-avions/drones légers?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Salverius dans Divers marine
Je ne suis pas sur que le CdG soit vraiment un porte-avions léger. Du point de vue capacitaire, il est plus proche des CVN américains que de nos anciens porte-avions ou de la classe Invincible. Je pense qu'on a fait le choix (et pas pour question financière) d'avoir un unique porte-avions lourd comparable au 10 autres de l'OTAN plutôt que d'avoir une classe de porte-avions français. Si on réfléchit au niveau de l'OTAN, c'est cohérent, la permanence à la mer étant assurée par les CVN alliés. Le remplaçant du CdG pourrait très bien être un Ford, ce serait presque plus cohérent que 2 Clemenceau incapables d'opérer la prochaine génération de chasseurs (et de drones, catapulter des drones de 5 ou 6 tonnes avec une catapulte dimensionné pour des chasseurs de plus de 35 tonnes ne sera pas forcément évident) La France a plus besoin d'un porte-avions lourd ou au moins moyen que d'un porte-avions léger. Avec une piste d'appontage inversée, un PA CATOBAR de moins de 200m reste envisageable. Cela a été évoqué (avec d'autres liens) page 202 dans le remplaçant du CdG. Techniquement, ça pourrait probablement être optimisé avec un tremplin sur la gauche et une piste oblique qui dépasse un peu plus sur la droite. Évidemment on obtient juste un porte-avions léger. Il ne faudra pas espérer faire des raids d'une dizaine de chasseurs, mais on se retrouve avec une capacité comparable aux bases aériennes avancées en OPEX (sans ravitailleurs) et cela permettrait d'avoir un PA2 pour la formation et/ou pour assurer un minimum de permanence à la mer en l'absence de notre porte-avions principal. À l'export, ça offre une alternative au F35B pour les porte-avions léger. -
Dans 10 ou 15 ans, le Rafale sera au moins aussi crédible que ne l'est le F16. Personnellement je ne suis même pas convaincu qu'un F4 phantom modernisé avec radar AESA, équivalent de SPECTRA, réacteur moderne ... ne serait pas aussi crédible que la plupart des chasseurs actuellement en service. Actuellement (hors Rafale) les "meilleurs" avions de combat en service sont des dérivés des F15, F16 ou Su27 d'il y a 40 ans. Un des défauts de Dassault (et de la France) est de changer trop souvent d'avions donc de ne pas exploiter pleinement leur potentiel. Le Rafale est loin d'utiliser 100% de son potentiel. À titre d'exemple, il reste encore 4 points d'emport à ouvrir.
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Ce n'est pas incohérent. Déjà, il n'a jamais été prétendu qu'on pouvait bombarder à 10 000 km de notre base la plus proche. On prétend qu'on pourra se déployer rapidement à l'autre bout de la terre. Ça veut dire que si on a une base prepositionnées on peut en quelques heures y déployer des Rafale qui effectueront un bombardement avant de se poser. Même quand on opère à proximité, on essaie d'économiser les km grâce aux bases avancées. Pour Harmattan, on est passé de St Dizier à Solenzara juste pour économiser quelques heures de vols. Vu la vitesse de déploiement de nos Rafale, on pourrait même avoir une base avancée avec juste une piste et sans avions. Il suffirait d'organiser quelques exercices de déploiement pour être sûr que la base avancée reste utilisable.
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J'ai déjà lu 1852 km de rayon d'action pour le Rafale... pour ce type d'informations, il n'est pas crédible de préciser plus que le premier chiffre. 62 voudrait dire entre 61 et 63, on aurait une précision de 1,5 %. 100, ça veut dire entre 50 et 150 (voir presque entre 10 et 199) donc on a une précision de 50%. On ne fait presque jamais de calculs de marge d'erreurs, mais on arrive parfois à des résultats qui rendent la donnée presque inutile.
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C'est toujours valable depuis l'augmentation de la cadence ? Bon, ça ne doit pas changer grand chose, mais un passage à 2 ans ou 2 ans et demi reste envisageable. Et accessoirement rester quelques mois sans livraisons (de Rafale) ne devrait pas trop perturber l'armée de l'air indienne. Ce qui doit les intéresser, c'est plutôt le volume de livraison global.
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J'ai utilisé le passé. À l'époque où il y avait 2 escadrons, plus petits que la norme française. Bon, je crois que ça n'a pas duré longtemps, surtout qu'avec 37 avions (moins l'attrition, les maintenances...) il n'était plus possible d'en déployer en permanence aux EAU ou à Djibouti et d'en garder 30 "en ligne" en métropole.
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Non, c'est juste qu'on a sous-traité le travail aux USA... Bon je ne suis pas sur qu'on récupère tout le Retex, mais on doit plus facilement avoir des infos sur les MiG et Su que les chinois en ont sur nos mirage.
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Avec l'exception des -5F qui étaient à 15, des mirage IV à 4 puis 6, des flottilles de 14 (actuellement revenus à 12). Bref, à part les américains à 24, je ne suis pas du tout convaincu que la "norme" soit des multiples de 12.
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On peut aussi se dire que la base est tellement pourrie qu'aucun allié, même pas les locaux ne veut s'en servir...
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Parce que ce n'est pas le cas ? 36 Rafale pour 2 escadrons en Inde donc 18 par escadrons...
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En plus du problème de former les pilotes à l'appontage, de trouver des catapultes pour faire décoller nos avions, il faudrait aussi trouver des brins d'arrêt. Pour rappel, avec les AAG du Ford, on est quand même à 10 échecs pour 763 tentatives. Et l'objectif était de 1 toutes les 16 500 tentatives. Si un système d'appontage automatique associé à des brins d'arrêt arrive à avoir une fiabilité comparable aux brins d'arrêt actuels, il deviendrait réaliste de s'en servir.
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Pour l'ATAR 9K50, j'ai 786 mm comme les autres ATAR. A part pour l'ATAR, j'ai les même valeur que toi. Maintenant, ce n'est pas parce qu'ils ont réussit à remotoriser un prototype que c'est représentatif d'un avion réel. Dassault avait déjà remotorisé le mirage F1 avec le M53 (plus gros que le RD33) et les israéliens ont refait des Mirage III / KFIR avec des J79 de 975 mm.