
ARPA
Members-
Compteur de contenus
12 835 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par ARPA
-
Les moyens aériens de lutte contre les incendies
ARPA a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Actualités air
En France, en outre mer, les pilotes militaires sont considérés comme compétent. Évidemment, ils perdent cette compétence s'ils sont mutés en métropole... Je ne sais pas si c'est une question d'entraînement supplémentaire en outre-mer, qu'on accepte un niveau plus faible (c'est toujours mieux que rien) ou juste une question réglementaire qui fait que ce qui est possible en Polynésie ne l'est pas en France métropolitaine. -
D'ailleurs, je me suis posé la question de l'année du message. Avec l'Inde, j'ai des doute sur les dates, c'est assez constant.
-
Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
ARPA a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Euh... Le Super Frelon n'est pas si lourd par rapport aux hélicoptères modernes. Je suis d'accord, mais ce n'est pas le sujet. Sinon on pourrait aussi dire qu'il n'est plus en production donc que ça ne sert à rien d'en parler. Je crois qu'à l'époque du Super Frelon, l'ALAT se contentait du Puma et pas encore du Super Puma. Sinon, je veux bien admettre que le Super Frelon n'est pas un hélicoptère lourd... mais dans ce cas il faut arrêter de dire que la participation des EH101 danois au Sahel a montré notre manque en hélicopteres lourds. -
On parle de la Croatie et de la Serbie, 2 petit pays "pauvre". Je pense que la France a encore les épaules pour faire l'arbitre entre les 2.
-
Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
ARPA a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
L'absence de commande de l'ALAT ou de l'armée de l'air pour le SA321 me fait douter du réel besoin pour un hélicoptère lourd. Les armées n'en voulaient pas (ou elles n'en avaient pas les moyens) quand on en produisait et maintenant il faudrait en importer... -
Ah bon ? Et ? On peut espérer quoi de leur part ? Ça reste et restera un petit pays de l'UE. Je ne m'attends pas à ce qu'on ait une exclusivité comme fournisseur d'armes. Politiquement et économiquement... bah c'est un pays de l'UE qui n'hésitera à faire jouer la concurrence interne UE s'il ne choisit pas un pays hors UE. Je ne suis pas sur que notre partenariat "stratégique" nous rapporte beaucoup. Enfin, je me trompe peut-être, j'ai regardé le périmètre Rafale, j'espère que ça ne représente qu'une très petite partie des échanges France-Croatie. La Croatie prévoit de nous acheter une centrale nucléaire ? Il y a 9 ans, on a vendu des armes aux russes. Les 2 BPC nous auraient beaucoup moins rapporté que la douzaine ou vingtaine de Rafale. Et c'était risquer de faire une rupture avec bien plus de pays que la Croatie. Et surtout, je ne comprends pas pourquoi vendre à la Serbie ferait une rupture avec la Croatie. Je doute même que la Croatie puisse se le permettre...
-
Je vais être extrêmement cynique, mais il y a une clause d'exclusivité avec la Croatie ? Quand je lis que notre partenariat de défense se base sur l'OTAN, j'ai du mal à comprendre pourquoi on se priverait de faire du commerce avec la Serbie. Et puis, désolé, mais si on se limite à notre relation "Rafale" avec la Croatie, j'ai l'impression que c'est la Croatie qui devrait s'estimer heureuse qu'on ait accepté de leur vendre nos Rafale d'occasion plus que la France qui devrait se sentir redevable vis-à-vis de son plus petit client qui a juste le mérite d'être européen et le plus proche géographiquement. Maintenant je suis d'accord, vendre des armes à un de nos ennemis n'est pas forcément la meilleure idée. Mais le fait que l'on ait déjà vendu/donné des Rafale à la Croatie me semble presque hors sujet.
-
Faut dire que le pilote qui participe à un Pégase doit faire 50 heures en quelques jours rien que pour le tour du monde ... Les 200 heures, ça fait finalement très peu si on parle d'un pilote qui fait des missions longues ou contribue à une opération majeure avec un pic d'activité. Le pilote qui veut se spécialiser dans les vols de plus de 10 heures va finalement faire assez peu de vols. On se retrouve avec des OPEX à 3 ou 4 équipages par avions (presque plus de pilotes que de mecaniciens) pour qu'un maximum de pilotes puissent profiter des heures de vols OPEX. Je me demande si les 2 armées n'ont pas des raisonnement différents. L'armée de l'air veut un maximum de pilote, ça lui permet d'avoir la capacité d'assurer un pic d'activité. Si demain on décide de passer en mode guerre avec un budget illimité pour les heures de vol, nos Rafale feront 3 fois plus d'heures de vols donc ça ne fera qu'une moyenne de 450 Heures de vols par pilotes ce qui reste acceptable. Et c'est encore plus vrai si on considère que 20% (chiffre au hasard) des pilotes de Rafale ne sont pas ou plus opérationnel. Je me demande même si nos accords avec certains pays du Golfe ne prévoient pas qu'on leur fournisse des pilotes pour utiliser leurs nombreux Rafale... L'armée de l'air a une gestion des pilotes bien plus que des avions ou de la capacité immédiate que ça implique. Les pilotes de l'armée de l'air servent aussi de cadre, je me demande si les pilotes "abonnés" sont pris en compte dans cette moyenne. Suivant le point de vue, le commandant de base qui fait 50 heures de vols en fait 100 de moins que ce qu'il faudrait pour un pilote opérationnel ou 50 de trop pour son poste. Pour l'aéronavale, le problème est différent. Ce qui compte, c'est d'avoir assez de pilotes embarqué pour faire les missions. La limite du nombre d'heures de vols de Rafale embarqué est fixé par le nombre de Rafale embarqué et le nombre d'heures de mécaniciens disponibles. La limite ne concerne pas le nombre de pilotes vu qu'on a bien plus de pilotes que d'avions et que même en crise majeure à 350 heures de vols par mois par Rafale, on pourrait quasiment se contenter d'un unique pilote par Rafale. Et je doute que le CDG puisse faire 10 000 heures de vols de Rafale sur un mois même quand il embarque 30 Rafale. Pour augmenter le nombre d'heures du vol du GAN, on peut être tenté par remplacer certains pilotes par des mécaniciens et demander aux pilotes restant de faire plus d'heures de vols. Le CDG a eu un maximum de 30 Rafale, se limiter à 45 pilotes opérationnel "opexable" doit être largement suffisant. Éventuellement on peut en rajouter pour former les jeunes restés à terre, mais c'est du confort.
-
Je ne suis pas sur que l'on puisse vraiment planifier une guerre qui durera 3 ans (de 1812 à 1814). Cela voudrait aussi dire que les autres pays nous laissent tranquille. J'ai peur que Napoléon essaie quand même d'avoir une paix plus rapide quitte à prendre plus de risque. Prévoir une guerre longue va aussi impliquer une baisse du moral des troupes. Déjà qu'ils ne sont pas sur de survivre à la prochaine bataille, prévoir 3 ans de campagnes militaires (juste pour la Russie...) c'est long. J'ai aussi peur que les blessés ne puissent pas reprendre le combat. Les soins de l'époque étaient plutôt médiocre et ce n'est pas une amputation qui permet de reprendre le combat... A part ça, bonne continuation.
-
On parle de l'Irak ? C'est quasiment la même période et la même région. Bon, OK, sans les américains, on n'aurait probablement pas déclaré la guerre et assez vite reconnu la souveraineté de l'Irak sur le Koweït.
-
Il y a une autre source ? L'annonce est assez surprenante, avant de commenter, je crois que je vais attendre une autre source.
-
Il faut reconnaître que notre aéronavale était très mal équipé à l'époque. Les marins ne le reconnaîtront probablement pas, mais aucun des avions embarqués n'aurait été accepté par l'armée de l'air. Le Crusader était de la génération du Mirage III et la famille Etendard concernait presque la génération précédente limité aux avions subsonique. La comparaison F-15 (ou F14 voir Su27 et MiG31) avec le Mirage 4000 est aussi faussée parce qu'on compare des chasseurs lourds limités à la mission air-air (plus par choix opérationnel de l'utilisateur principal que du constructeur) contre un avion polyvalent. Le Mirage 4000 dès les première étude devait avoir un gros radar air-air et un "petit" radar air-sol en pod. Dans un premier temps, c'est le F-15C et non le E qui s'est vendu.
-
C'est sur que cette époque n'est pas une époque ou l'aéronavale française brille. Notre aéronavale et nos GAN n'étaient pas du tout les plus modernes. Les Aquilon sont livrés à partir de 55 et l'Arromanches n'aura sa piste oblique qu'en 58. Soit, on va dire que la marine a volontairement fait le choix d'acheter des avions embarqués (ailes repliable et crosse d'appontage) pour les baser à terre et ne pas s'en servir pendant les 5 années suivantes de "transitions" ou elle a volontairement préféré se limiter à des avions à hélices alors que c'était l'avion en service sur les PA anglais et australien. Concernant nos PA de l'époque, on parle de l'Arromanches dont des sistership ont opéré les A-4 et SuE. Pour les 2 La Fayette, il s'agissait de locations, cela peut expliquer le faible intérêt associé, mais 30 ans plus tard un de leur sister ship (le seul autre ayant eu une seconde carrière) était encore le navire amiral espagnol opérant les Matador. Ces 3 PA auraient pu être performants s'ils avaient été correctement modernisés. Pour les 2 autres, je suis d'accord qu'il ne s'agissait plus vraiment de porte-avions en 1955. Enfin on ne va pas parler du choix au début des années 50 pour des porte-avions d'occasions incapables d'opérer les premiers avions à réactions ... J'ai un doute pour les F-18G... Enfin c'est du détail. Je suis d'accord que le CDG est capable d'opérer ses 2 avions. Mais il est déjà arrivé, à d'autres époques, éventuellement dans d'autres aéronavales, que le couple PA / avions ne soit pas adapté même si l'un deux est choisi en connaissant des caractéristiques après l'achat du premier. L'hypothèse des E-2D qui seraient incapables d'opérer d'un CDG non modernisé/adapté n'est pas forcement absurde. J'espère qu'elle est fausse, mais tant qu'un E-2D ne se sera pas posé sur le CDG, ce sera dur de prouver le contraire.
-
L'Aquilon tu le classes comment ? Trop vieux, ça ne compte pas ? Vu la faible quantité de données françaises (je ne peux prendre en compte qu'un PA et 2 avions ?, ou j'ai le droit à plus?) On peut dire qu'on a 100% de réussite, un échec de l'E-2D ferait tomber à 67% de réussite et heureusement qu'on n'a pas acheté de Super Hornet. De tête, l'Argentine à acheté des avions d'occasions incapables d'opérer de son PA, le nouveau PA étant lui aussi inadapté. Et je crois qu'il y a pas un autre pas utilisateur d'un PA léger anglais qui a eu un problème de catapulte pas assez puissante. L'Italie a acheté un PA plusieurs années avant d'avoir le droit de mettre un avion dessus. Ce gag se retrouve aussi avec les 3 BPE export qui n'ont pas d'avions. Je ne sais pas comment classer le Brésil dont la marine n'avait pas le droit d'avoir des chasseurs embarqués, mais un PA. Je pense que des exemples anglais et américains pourraient aussi être intéressant. Le F-4K s'est révélé particulièrement compliqué à utiliser et limité à un nombre très réduit de PA. Je critique beaucoup le choix français pour le F-8, mais le choix anglais pour le F-4K est encore plus contestable. Il y a eu beaucoup de décisions concernant les aéronavales de différents pays qui sont très contestables.
-
Euh... on va éviter de faire une liste de tous les avions embarqués qui ont été achetés bien qu'ils soient incompatibles avec le PA qui était prévu, ou des PA achetés et qui ne peuvent pas opérer l'avion qui leur été destiné... Je n'ai pas d'exemple français de moins de 10 ans. Mais si on élargit les critères... Mais dans le doute, oui on va croire que le CDG peut opérer des E-2D.
-
Je trouve cette donnée assez pessimiste pour les AWACS modernes. Détecter un mirage ou F-16 à 400 Km, je croyais que c'était la capacité des AWACS de la guerre du golfe. Je crois qu'on est toujours à 450 km de portée, mais j'aurai estimé la cible détectée plus petite. À priori les missiles de croisière sont bien détecté, probablement pas à 450 km, mais à peine 100 km me paraît peu. Enfin, ça dépend des AWACS... je ne sais pas qui tu veux affronter équipé d'un AWACS ? PS : je n'ai pas d'informations chiffrées ni aucune source pour te contredire, c'est juste un sentiment. Et ils se protègent comment de la DCA ces 2 Rafale ? On les fait précéder par un couple de Rafale en configuration SEAD/DEAD ? À haute altitude, en configuration légère, voir peut-être même en supercroisiere, est-ce qu'on peut considérer que ces 2 Rafale sont protégés de la plupart des menaces sol-air ? Les rares dangereuses doivent pouvoir être traitées au SCALP ou MDCN. Enfin, c'est utile d'avoir des Rafale en configuration air-air ? C'est quoi la portée du meteor tiré du sol en haut subsonique vers un AWACS à haute altitude ? Les 2 Rafale en suivis de terrains peuvent tirer un missile pour faire fuir l'AWACS.
-
Et pour la Grèce, plus ils repoussent l'achat de F-35A, plus on va pouvoir leur vendre de Rafale. J'ai peur qu'une fois qu'ils auront des F-35A, il soit difficile de leur faire acheter autre chose. Même sans parler de la qualité des avions, la logique financière du F-35A (pas assez disponible, donc il en faut plus pour faire autant d'heure de vols que prévus et il faut compenser les indisponibilité pour les mise à jours...) risque de pousser à l'achat massif de F-35A. Les Rafale français font presque 2 fois plus d'heures de vols que la moyenne des F-35A et une partie des F-35A grecs seront maintenus aux USA. Les grecs seront "obligés" d'acheter beaucoup plus de F-35A que de Rafale s'ils veulent pouvoir les déployer en OPEX ou même les faire voler chez eux autant que les Rafale.
-
Mon commentaire sur le choix du E-2, c'était pour une solution "partielle" en complément des E-3 ou de leurs successeurs. Et c'est cohérent pour un unique E-2 (on parle d'un unique GlobalEye, ce qui n'est pas très cohérent) qui a juste besoin de faire des missions pour soulager la flotte des E-3. J'ai estimé les E-2 capable de faire 80% des missions des E-3F, mais si on ne parle que d'un seul avion, on ne lui demandera que de faire 20% des missions d'une future flotte de 5 "avions radars" (dont 4 E-3F) Maintenant concernant les capacités brutes des différents avions, on risque de toute manière de perdre en capacité avec un GlobalEye ou FalconEye qui ne sera pas ravitaillable contrairement aux E-3F qui font parfois des missions particulièrement longue. Enfin, je me trompe peut-être, installer un receptacle ou une perche de ravitaillement en vol n'est pas très compliqué.
-
Un des problèmes de l'E2-D pourrait être sa masse à pleine charge au catapultage qui frôlerait ou dépasserait la limite des catapultes du CDG. Mais il suffit de modifier les conditions d'emploi avec un catapultage quand le PA va un peu plus vite (par exemple si c'est actuellement possible à partir de 15 Kts, il suffira que le CDG aille à 25 kts pour qu'on puisse catapulter plus facilement) Et on a aussi la possibilité de catapulter l'E2-D sans le plein de carburant. Il s'agit d'un avion ravitaillable en vol, il suffira de le ravitailler en vol. Les MRTT soutiennent régulièrement le PA et il y a aussi les Rafale nounou qui sortent souvent pour aider lors du début des raid ou pour les appontages. Garder une tonne en plus pour un E-2D ne devrait pas être problématique, surtout que la config à 4 bidons n'est pas toujours utilisée, donc il y a de la marge. Et puis, rien n'interdit de modifier le CDG à la prochaine iPER... Est-ce qu'il serait possible de rallonger (encore) la piste oblique ? Et ça permettrait peut-être aussi de rallonger la catapulte gauche donc de passer d'une masse catapultable de 25 à 26 tonnes. On va dépenser plus d'un milliard pour les 3 E-2D, dépenser quelques dizaines voir centaines de millions pour adapter le PA (pendant une IPER facturé plus d'un milliard) ne serait pas absurde.
-
Pour le transport militaire, les Beluga ont aussi le gros défaut de ne pas avoir de soute pressurisé. Cela implique que la charge utile doit accepter une température et une pression particulièrement faible (les conditions à 10 000m) donc il faut conditionner le matériel pour (risque de gel pour le transport de véhicule par exemple) et ce n'est pas forcement plus simple que dans un "petit" A400M. Bon, avec un peu de chance si la compagnie Airbus transport s'avère rentable dans le transport de charge volumineuse et militaire, elle pourrait vouloir compléter sa flotte de Beluga par d'autre avions, comme des A400M ou des MRTT (pour éviter d'avoir des queue blanches...) et contribuer à crédibiliser le besoin pour un avion développé pour le programme SATOC.
-
J'ai du mal à comprendre la logique. Si on ne veut qu'une solution temporaire, en petite quantité qui ne servira qu'en complément des E3F puis de leur vrais successeur, bah on a la gamme des E-2C ou E-2D. Les limitations des E-2 ne les empêcheront pas de faire 80% pour des missions données aux E-3F et il restera des E-3F pour faire les autres missions une fois qu'ils auront été soulagés des missions "faciles". Ce serait une hypothèse. https://www.opex360.com/2024/07/10/le-globaleye-de-saab-tiendrait-la-corde-pour-etre-le-prochain-avion-dalerte-avancee-de-larmee-lair/ Mais j'avoue que je poserai bien la question "Pourquoi faire ?" A ma connaissance, Dassault n'a pas spécialement besoin d'être subventionné avec l'achat de 4 ou 5 Falcon 10X. En plus, il s'agit d'une entreprise qu'on "subventionne" déjà avec les achats de Rafale, Falcon 7 et 8X... Intégrer le système Erieye sur Falcon 10X permettra d'en vendre quelques un à la France et (peut-être) d'autre à l'export, mais on risque de ne parler que d'une dizaine d'exemplaire. L'entreprise Dassault risque de préférer être soutenu avec un peu plus d'achat de Rafale et pourquoi pas un Falcon 10X présidentiel. Quand aux performances de l'avion, ce n'est même pas sur que le Falcon 10X soit vraiment mieux que le Bombardier. Je doute même qu'on en profite pour demander à intégrer des spécificités militaires comme une perche de ravitaillement et des points d'emport ou une soute permettant l'emport de missiles air-air (comme certains E-3, l'emport de quelques météor et MICA IR donnerait une capacité d'autodéfense à l'AWACS)
-
Après les mirage F1, on livre des ravitailleurs. La France va devenir un des gros fournisseurs d'avions militaires pour les entreprises privées...
-
Qui volent, c'est pas sur. Mais je crois que le Pakistan est le seul pays à avoir encore des AtlantiC ou ATL2 "en service". Un ATL2 en réserve de pièces pourrait leur être utile (dans la même optique que le 4ème E2C qu'on aurait acheté)
-
L'aviation militaire française ne se limite pas à l'armée de l'air. Il faut aussi tenir compte de l'aéronavale. On a 4 E-3F et 3 E-2C. Les 3 E-2C doivent être remplacés par des E2-D qui ont déjà été commandés.
-
J'ai bien envie de dire, personne, ou en tout cas, pas ces 4 pays. Se doter d'un unique avion pour avoir une capacité PATMAR très partielle me parait compliqué. Éventuellement, le Pakistan pourrait souhaiter compléter/moderniser sa mini flotte d'Atlantic par un ATL2. Sinon, il pourrait intéresser pour pièce...