
ARPA
Members-
Compteur de contenus
13 214 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par ARPA
-
Le temps qu'il faudra. On parle quand même d'un pays qui dispose d'assez de bunker pour protéger plus de 95% de sa population et dont les forces armées (milice incluse) utilisent plus de munitions de petits calibre que les forces armées française. Du point de vue aérien, oui très vite les Suisses risqueront de ne plus contrôler grand chose, mais il faudra encore du temps avant de les réduire au silence. Les gripen étant assez petit et pouvant opérer de presque n'importe ou, on risque de devoir attendre très longtemps avant d'être sur que plus aucun gripen ne peut décoller.
-
L'avantage de la compétition au Canada, c'est qu'elle devrait être traduite en Français (québécois) ce qui fait que ça permet à Dassault de faire de la pub pour le rafale indirectement/discrètement à destination du publique français et donc de le légitimer.
-
De l'utilité des troupes parachutistes
ARPA a répondu à un(e) sujet de Saladin dans Histoire militaire
+1La formation "para" peut être très utile pour de nombreuses missions qui ne commencent pas par un parachutage. Le parachutage n'est pas du tout ce qu'il y a de plus compliqué dans la mission. Et dans la formation ça ne doit pas non plus être ce qui est le plus cher ou le plus long (enfin sauf s'il y a de la casse) -
Vu qu'il y a très peu de chances de vendre de rafale au Canada, le but ne devient plus de faire du commerce et de gagner de l'argent sur une vente de rafale mais juste de faire de la pub. Soit le rafale va se vendre et les bénéfices risquent d'être proche de 0, mais le rafale sera ensuite plus facile à exporter (surtout face au F35) et surtout il aura plus de chances d'évoluer. Soit le rafale ne va pas se vendre, mais les industriels américains feront un peu moins de bénéfices (donc moins de recherches pour leurs avions ou drones en concurrences avec les nôtres) et on aura la "chance" d'avoir une évaluation qui classe très bien le rafale (mais pas assez politiquement ou financièrement à cause des pénalités associé à un non choix du F35) Le Canada a l'avantage d'être très proche des USA, ce qui fait qu'ils sont même trop proches pour qu'on leur en veuillent longtemps s'ils commandent des rafale. Suite à un concourt de circonstance, il est peut-être possible que par "accident" le rafale soit choisit plutôt qu'un avion US.
-
D'ailleurs vu toutes les missions envisageables, j'ai peur que 50 (si on les a un jour), ça fasse peu. Même avec quelques casa et des A330MRTT pour les compléter. Il reste à espérer qu'on aura une bonne disponibilité et qu'on acceptera d'avoir un nombre élevé d'heures annuelles par avions.
- 7 429 réponses
-
- a400m
- airbus military
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
De l'utilité des troupes parachutistes
ARPA a répondu à un(e) sujet de Saladin dans Histoire militaire
Nos avions de transport tactique (A400M inclus) sont quand même équipés de système défensif et peuvent faire du suivi de terrain en basse altitude. Si on rajoute du vol de nuit, ça limite quand même fortement la vulnérabilité. Même pour un conflit de haute intensité, ça me parait plus facile d'escorter un A400M que des hélicoptères. Enfin la grosse différence, c'est que si on décide d'envoyer des parachutistes, on est obligé de gagner. Autant on peut envisager de renvoyer des hélicoptères chercher nos troupes héliportés, autant ce sera vraiment dur de rapatrier nos troupes parachutés Maintenant je ne me permettrais pas d'estimer nos besoins en unités parachutistes. C'est vraiment variables. Déjà je crois qu'on souhaite en avoir en permanence de disponibles pour pouvoir les larguer à l’improviste. Il faut donc prévoir presque 3 fois plus de troupes que ce qu'on souhaite utiliser pour une opération improvisé ou secrète. Ensuite on va aussi demander à nos unités parachutistes d'être polyvalentes et on risque donc de s'en servir pour d'autres missions qui ne les verront pas sauter en parachute. Il faudra donc augmenter d'autant le nombre d'unité parachutistes (par exemple 2 en repos, une en alerte, 2 en opération, donc si on veut pouvoir en larguer 200 au coup de sifflet, il en faut 1 000) Sinon on a aussi beaucoup d'opérations "humanitaire" qui consistent à protéger nos ressortissants ou à envoyer une force d'interposition. Des parachutistes devraient pouvoir arriver sans se faire trop remarquer (de nuit) et c'est le seul moyen pour déployer rapidement (quelques heures, moins d'une journée) des centaines de soldats à plusieurs milliers de km sans avoir besoin d'utiliser un aéroport. En plus on parle de missions ou ils ne devraient pas se faire tirer dessus dès leur arrivée. De toute façon, financièrement ça ne coûte pas très cher. Il ne s'agit que d'allouer quelques vols (de CN235 ou de C160 plutôt que de C130 ou d'A400M) à une compagnie. Il ne faudra que quelques vols de moins d'une heure pour former de 30 (pour le CN235) à 87 (pour le C160) ou même jusqu'à 117 parachutistes pour l'A400M. Dans "quelques" années avec une flotte de 10 A400M d'opérationnels, on pourra envisager d'effectuer un parachutage massif de 1 000 personnes à plus de 3000 km (sans ravitaillement et au minimum 4 500km avec un ravitaillement) cela pourrait permettre de déployer en moins d'une journée (7 heures de vols) plus de 1 000 soldats pour renforcer la défense de St pierre et Miquelon dont l'aéroport aurait été pris d’assaut par des troupes québécoises. Bon on peut aussi envisager de faire plusieurs parachutages de quelques centaines de militaires pour prendre simultanément tous les aérodromes d'une région. Il doit aussi être possible de combiner un raid aérien (rafale avec SCALP et AASM) et du parachutage. Les rafale détruisent les radars et la DCA tout en vérifiant qu'aucun chasseur ne décolle, les parachutistes prennent le contrôle des aérodromes, les rafale finissent par se poser sur des aérodromes qui viennent d'être pris ... Si un rafale se fait abattre, on parachute une section pour protéger puis évacuer à pied le pilote le temps que la région soit contrôlé. -
doctrine aéronavale française des années 60
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Histoire militaire
Le F1 ne pouvait pas être mis en service en 64 donc c'est un peu fausser le débat ... Maintenant pour faire un avion embarqué, il aurait probablement fallu l'étudier dès le début. Le mirage F1 a été étudié par Dassault sans attendre une demande de l'armée de l'air ou de la marine. Ce n'est que quand l'armée de l'air s'est rendu compte qu'elle n'avait plus de prototypes crédibles qu'elle s'est intéressée au mirage F1. Pour la marine s'est pareil, c'est quand ses protos ont été annulé qu'elle s'est renseignée sur le mirage F1 (déjà bien développé) ou sur le Jaguar. Si on regarde le mirage IVM, il s'agit quand même d'un avion aux caractéristiques assez prometteuses. D'après ce site http://www.mirage4p.com/ (et je met les caractéristique wiki du crusader entre parentaise) En mars 1957, on annonce les caractéristiques et performances suivantes : 2 ATAR 9 de 6000 kgp (F8: 1 seul J57 de 80 KN) Envergure : 11.75 m (F8: 10,87m) Longueur: 19.35 m (16.30 m replié) (F8: 16,61m) Hauteur : 5.30 m (5 m replié) (F8: 4,80) Surface alaire : 70 m2 Poids à vide équipé : 9.5 t (F8: 9t) Poids maximum de catapultage : 16.5 t (F8: 15,4 t) Poids à I’appontage : de 9.7 à 10.5 t Mach max. : 2 (F8: 1,72) Plafond : 20500 m (F8: 18000m) Temps de montée à 12000 m : 1’57 Bon c'est ce que vendait Dassault en 57, ça ne veut pas dire qu'il y serrait arrivé pour 64, mais s'il n'avait pas eu à se concentrer sur un avion beaucoup plus lourd et moins maniable cela aurait peut-être été possible. Il faut aussi relativiser la qualité de l'exploit du mirage IVM comparé au F8, on parle d'un avion probablement plus cher (2 ATAR) mais surtout plus récent (en 57 le Crusader est en service alors que le mirage IVM n'est qu'une étude théorique répondant à une demande de la marine) Il y a aussi quelques données que je ne connais pas comme l'autonomie ou la charge utile ... Les caractéristiques de ce mirage IVM me paraissent assez proche de celle du F8 pour permettre son usage depuis les Clemenceau bien que wiki indique le contraire. En fait il est assez proche en taille et en masse du Crusader. Sinon en novembre 1968, le mirage G a réacteur TF306 effectue son premier vol et d'après aviation légendaire : Le mirage G utilisait un réacteur étranger, donc en effet on peut se demander si la France aurait pu construire un avion aussi performant sans ce moteur. Mais je pense qu'il aurait suffit d'adapter la taille de l'avion aux réacteurs français (donc plus petit pour accepter un ATAR ou plus gros pour en accepter 2) A mon avis, si on avait voulu s'en donner les moyens (financier, mais aussi industriel/intellectuel) on aurait pu se doter d'un avion embarqué de conception national aussi performant que le Crusader. -
doctrine aéronavale française des années 60
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Histoire militaire
J'ai finit par trouver plus d'info. Concernant l'Arromanches, il s'agissait d'une modernisation à minima devant lui permettre d'opérer quelques avions à réaction et devenir un PA d'entraînement sans toucher à la catapulte. A l'époque il était encore prévu de s'équiper de 4 vrai PA (classe Clémenceau ou mieux) donc il n'a pas été estimé utile de financer un changement de catapulte. Le PA de sa classe qui ont pu opérer des avions plus gros ont bénéficier d'un changement de catapulte assez couteux. L'Argentine a fait encore pire que nous en s'équipant de l'Indépendencia qui n'avait pas eu de changement de catapulte ce qui l'a empêché d'opérer les F9 acheté pour l'occasion. Concernant le chasseur embarqué et donc le choix de la catapulte de 15 tonnes/50 m des Clemenceau, il s'agit d'un choix par défaut suite à une succession d’échec techniques concernant des chasseurs embarqué français de 15 tonnes ou moins. Le plus connu concerne le mirage IVM. Le mirage IV a commencé son développement comme chasseur lourd et aurait donc pu s'adapter à un usage sur PA (il avait en tout cas la puissance suffisante) mais finalement à la demande des politiques Dassault s'est appliqué à en faire un bombardier de plus en plus lourd donc de moins en moins compatible avec une version navale. Vu qu'en plus il fallait livrer rapidement le mirage IVA, Dassault ne pouvait plus laisser une équipe d'ingénieurs travailler sur la version navale. On est au début de l'ère du supersonique, la France ne pouvait pas développer aussi facilement un chasseur embarqué performant. Du point de vue industriel, la marine a beaucoup fait travailler l'industrie française (pour les navires) donc elle pouvait se "permettre" d'importer quelques avions étrangers. En résumé, c'est la création de la dissuasion nucléaire qui nous a empêché d'avoir une excellente aéronavale 100% française (moins de PA à cause des SNLE et pas de chasseurs à cause du bombardier FAS) -
De l'utilité des troupes parachutistes
ARPA a répondu à un(e) sujet de Saladin dans Histoire militaire
Pour compléter, fin janvier 2013 la France a largué 200 parachutistes sur Tombouctou. Les parachutistes ont l'avantage de pouvoir être largué bien plus loin et plus rapidement que des troupes héliportées. On pourrait aussi rajouter en bien plus grand nombre. Pour avoir un ordre d'idée, un A400M peut transporter 5 à 6 fois plus de parachutistes 3 fois plus vite et 3 fois plus loin qu'un NH90 ne transportera de commando. Même si on considère que le NH90 est 5 fois moins cher que l'A400M, pour le transport à grande distance/en grande quantité il faudra privilégier des opérations de parachutage à des opérations héliportés. Mais il reste aussi possible de combiner les deux. Le parachutage peut aussi concerner du fret. On peut parachuter du ravitaillement en assez grande quantité sans prendre trop de risque et de façon bien plus discrète qu'un ravitaillement par hélicoptère. Si c'est assez dangereux de parachuter des hommes (il y a toujours des risques de blessures à l'atterrissage) ça l'est beaucoup moins de parachuter du fret. -
Il n'y a pas vraiment de prix pour la mise en orbite de micro satellites et si on parle de micro satellites vraiment petit et produits en "grande" série, le prix de production des satellites deviendra assez réduit. Concernant la mise en orbite, il faut juste trouver des "sponsors" qui acceptent de prendre à leur charge une partie du coût du lancement. Pour les sponsors, il pourrait y avoir Arianespace qui financera les études nécessaires pour les calculs de trajectoires. Son but serait juste de pouvoir faire de la pub et mettre en orbite plus de satellites que ces concurrents. Cela lui permet aussi d'avoir des retex et améliorer ses compétences pour pas très cher. Le deuxième sponsor qui fournira la quasitotalité du prix du transport sera un industriel qui a décidé de faire mettre un de ses propres satellites en orbite par une fusée Ariane. Vu que les fusées Ariane sont des fusées produites en "série", la charge utile mise en orbite ne correspondra presque jamais aux caractéristiques exactes des satellites "payant". Il sera donc possible de compléter la charge utile avec des micro satellites. En pratique le client "payant" d'Arianespace va juste payer le même prix avec ou sans passager sauf qu'il pourra en plus se faire de la pub. Dans l'absolu, on ne parle que de 225 kg (pour 150L) de satellites. C'est très très peu. Et vu qu'il s'agit en plus de satellites "indépendant", on peut effectuer plusieurs lancement utilisant des fusées différentes. En sponsor, j'ai expliqué pourquoi un industriel dont le but c'est de faire du profit pourrait vouloir financer la mise en orbite, donc ce sera encore plus facile de trouver des sponsor institutionnel. La Coréé du Nord devrait apprécier de pouvoir assurer cette mise en orbite. Cela lui permettrait de s'entrainer à des tir de missiles "mirvés" (à plusieurs charges)
-
+1 J'ai relu mon premier message ... Je disais juste que la Pologne aurait intérêt à s'équiper de vecteurs potentiels de la B61, donc de F15, F16 ou F35 et que dans cette optique le rafale est le moins mal placé des avions non américains. J'ai moi aussi beaucoup de mal à voir le rapport avec une exportation d'ASMP ou un programme autonome d'armes nucléaires polonais. Pour répondre à ta question, je pense que s'est exactement la même réponse que pour l'usage d'armes nucléaire tactique en RFA.
-
Pour l'Inde, le rafale a été comparé au Mig29/35 (qui faisait partie de la compétition) mais aussi au Su27/30 (qui bien que ne faisant pas partie de la compétition pouvait parfaitement être choisis vu qu'il équipe déjà l'IAF) Pour l'instant la comparaison avec les avions chinois se limite à les envisager comme hostile. Le rafale doit juste être une réponse "adaptée" à une aviation équipé d'avions chinois.
-
Le problème, ce n'est pas qu'on a du mal à être livré, c'est juste qu'on "veut" avoir moins d'équipements que d'avions. Le coup des OSF en nombre insuffisant pour équiper les rafale n'est que l'exemple le plus publique. Il y a quelques temps (mois) l'armée avait moins de sièges éjectables que d'avions ... Un avion est un système complexe et tous ses composants n'ont pas la même durée de vie qui n'est pas non plus compté de la même façon (nombre de vols, d'heures de vols, d'années depuis la construction/la dernière maintenance ...) et on parle aussi de composants dont certains peuvent devenir obsolètes plus ou moins rapidement. Contrairement aux apparences une bonne gestion financière n'implique pas forcement d'avoir de quoi faire voler tous les avions. On peut aussi décider de maintenir des équipements volontairement hors d'état de vol et attendre d'en avoir vraiment besoin (donc de devoir faire voler beaucoup d'avions) pour se décider de les réviser.
-
Pour le F1M sans post combustion, tu as un lien ? Dans le lien que j'ai mis (qui me parait être assez sérieux) ils parlent quand même d'un mirage F1M doté d'un M53 de 8,5 tonnes de poussée et capable de voler à mach 2. Pour moi cela veut dire un M53 avec post combustion.
-
Désolé je ressuscite ce poste suite à la découverte de ce document : http://www.3af.fr/sites/default/files/comaero_10.1_bonnet_avions_militaires_i.pdf On y trouve en particulier page 182 : Le cahier des charge de la marine : Le "choix" de l'armée de l'air : Je me permet de me poser la question du bien fondé pour la marine d'un cahier des charges aussi exigeant. La marine refuse tout avion n'ayant pas ses performances alors qu'elle se contente d'un crusader limité à mach 1,7 (donc incapable d'atteindre mach 2 en moins de 7 minutes et je ne suis pas sur qu'il monte beaucoup plus vite que le F1) Le gouvernement avait déjà pris la décision d'imposer le F1 à l'armée de l'air, il aurait pu continuer sur sa lancée et dire à la marine de se contenter d'un avion pas plus performant que ceux de l'armée de l'air. On aurait donc pu voir un mirage F1M équipé d'un classique ATAR. Bon plus loin dans le document, il est expliqué que ce sera très dur de réduire la vitesse d'approche. (140 noeuds pour le F1, 90 pour le Crusader, 122 pour le SuE) Je ne suis pas sur que la marine puisse accepter un avion aussi rapide.
-
doctrine aéronavale française des années 60
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Histoire militaire
Pour compléter, l'armée de l'air française a reçu 113 Skyraider en 59 et les a retiré du service en 1978 pour les derniers exemplaires. Il ne s'agissait pas vraiment d'un avion de la marine (donc devant avoir une place sur ses PA) mais il s'agissait quand même d'un avion embarqué qui aurait pu assez rapidement opérer depuis les PA de la marine en cas de besoin.Je ne suis pas sur qu'il aurait pu opérer depuis l'Arromanches sans modification (il avait une vieille catapultes hydraulique et se contentait de catapulter des Alizé 3 tonnes plus léger) mais c'est probable. Jusqu'à l'arrivé des Jaguar et mirage F1 ravitaillable en vol (ce qui coïncide avec son retrait de service), il s'agissait de l'avion de l'armée de l'air le plus déployé en OPEX. Le Skyraider a aussi servi de chasseur pour nos "DOM/TOM". Avec des déploiement outre-mer (Algérie, Djibouti, Madagascar, Réunion ...) Bon, malgré ses qualités, le Skyraider sera perçu en France comme un avion de "seconde" ligne limité aux missions de "police". Ils ont été acheté d'occasion (récupéré dans une casse ?) pour une mission assez spécifique (COIN en Algérie) qui a disparu avant la dernière livraison. Je ne suis pas sur que l'armée de l'air y ait attaché beaucoup d'importance au coté des mirage III et IV. L'armée de l'air et l'Aéronavale auraient pu (du ?) commencer à collaborer sur des procédures permettant à l'armée de l'air d'utiliser les porte-avions. Cela aurait pu faciliter les détachements lointains. Rien qu'avec des avions pouvant utiliser un PA comme transport d'avions ou escale aérienne (on a un PA3 en "sureffectif") cela aurait pu accélérer les déploiements et éviter de demander une autorisation de survol et/ou d'escale d'un pays étranger. -
On a bien des études montrant que les rafale Air coûtent 3 fois plus cher à l'heure de vol que des rafales Marine, alors trouver des gripen 3 fois moins cher que des rafale ne doit pas être bien compliqué. Bon en cherchant bien, on doit aussi pouvoir trouver des rafale trois fois moins cher que des gripen...
-
Pour l'Espagne, il faudrait vraiment qu'on discute avec eux, ça permettrait d'être sur que les anglais ne vont pas nous attaquer par le Sud Ouest.Et pour les Argentins, ils pourraient nous servir de diversion si les anglais essaient de riposter. Dans tous les cas, c'est un moyens d'avoir des soutiens politiques "internationaux" et donc de légitimer notre prise de guerre. Et à l'ONU, on va proposer que l'Inde récupère la place permanente au CS du RU.
-
doctrine aéronavale française des années 60
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Histoire militaire
Les Crusader étaient de très bon avions en 1962, malheureusement vu qu'il s'agissait d'avions étranger, leurs modernisation ont été très complexe et cher pour des performances minimales.Si le constructeur avait été français, on aurait eu les plans de l'avion et donc la possibilité de le modifier complètement. Mais la, on parle d'un avion qu'on connaissait assez peu (livré déjà monté, on ne les a même pas assemblé) donc quand les USA ne s'en sont plus servi, il a été très dur de faire développer de nouvelles mise à jours. A long terme, c'est très risqué de s'équiper d'un avion étranger qui ne sert que dans un seul pays. Si le pays en question retire du service son avion, on va être obligé de faire de même. Il est très loin des performances des E2C ou même des E1. Mais théoriquement il reste capable de détecter des avions en vol. -
Encore faut il que l'avion ait assez d'autonomie...
-
Je ne suis même pas sur que ce soit une donnée intéressante concernant le rafale. Si on utilise des rafale pour pièces, ça veut juste dire qu'on a une armée de l'air trop pauvre pour disposer d'assez de pièces détachées. Cette donnée est peut-être associée au fait que depuis plusieurs années le nombre d'avions commandés répond plus aux besoins du constructeur qu'à ceux de l'armée donc qu'on réduit sur le budget des pièces détaché. Mais ça veut dire qu'avec un budget illimité (ou une très bonne préparation) on doit pouvoir disposer d'une très bonne disponibilité.
-
Le gros de la préparation consiste en une mobilisation du personnel pour une mission un week-end. (d'ailleurs s'il s'agissait d'attaquer la Suisse, on aurait jusqu'au lundi 8H00 pour se préparer) Un bon gros défilé du 14 juillet peut être une excellente excuse. (4 000 soldats pour un 14 juillet classique) D'ailleurs c'est depuis le mois de Mai qu'on prépare cette opération. Pour commémorer le 60eme anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale, on a effectué une petite cérémonie à Paris et on a décider d'y installer pour l'occasion un SAMP/T (permettant de protéger les différents chefs d'Etat) Ensuite pour commémorer le 61eme anniversaire du débarquement du 6 juin 44, notre président a voulu assister à un exercice (diffusé en direct) de débarquement sur les côtes normandes de l'armée française. C'est l'occasion de roder nos procédures et de déployer du matériel sur place. Cette exercice voit aussi l’installation de radar permettant de couvrir la Normandie (c'est plus facile pour le défilé aérien associé) et d'un SAMP/T qui doit aussi servir pour le 18 juin (pas celui de Paris qui restera en place jusqu'au 14 juillet) La commémoration du 18 juin consiste en un grand défilé militaire (Surtout des blindés vu que c'est l'arme de De Gaule) et le déploiement d'un site de DCA. La cérémonie est assez longue et les militaires doivent rentrer chez eux seulement le samedi 20 juin dans la mâtiné ... On rajoute le défilé du 14 juillet qui demande à tous les concernés (presque 10 000 soldats dont aucun n'a participé au défilé du 18 juin) de se réunir le samedi 20 juin au matin. Suite aux différentes commémoration/exercice du mois de juin puis la préparation du 14 juillet, il a été décidé de déployer en permanence des rafales et mirage 2000-5F sur des bases plus proches de la Normande. Comme on a un gouvernement nationaliste, on a quelques risque d'avoir des troubles politique et il a été demandé d'augmenter le nombre de CRS et de gendarmes mobiles. Surtout il est demandé à ce qu'ils soient très rapidement disponible et en grand nombre. Presque 10 000 seront disponible le 20 juin au matin sans avoir être prévenu à l'avance. Et en dernier bonus, on est en fin d'année scolaire. Dans toutes les école militaires, on se prépare pour une cérémonie de remise de baptême de promotion. Si on prend tous les sous-off ou officier en école ou à peine sortis, on doit arriver à presque 5 000. Le 20 juin, on pourrait déjà avoir nos SAMP/T de déployés (un au large des îles, un pour Paris et 5 pour nos bases nucléaires, il faudrait juste un prétexte pour que le 8eme soit installé autour de Brest pour couvrir les SNLE et la base de Landivisiau des rafales M) On a un gros détachement militaire en Normandie (avec du matériel lourd) et un second gros détachement se trouve disponible samedi matin prés d'un aéroport (à l'origine s'était pour s'entraîner à défiler sur la piste, mais ce sera pour embarquer) Des navires de débarquement avec un équipage bien formé attendent en Normandie. Des rafales et 2000-5 sont en très petit nombre basés sur des bases du Nord Ouest, mais ils ont déjà l'infrastructure nécessaire à un détachement plus gros. Et on a 25 000 hommes de disponibles qui doivent officiellement faire autre chose. Il reste juste à organiser des exercices ou à avoir des compagnies de l'armée de terre d'astreinte le week-end (la légion ?) pour compléter les effectifs et avoir plus de 30 000 hommes. C'est une donnée à prendre en compte. Mais c'est justement pour ça qu'on a décidé d'intervenir monsieur le représentant de l'ONU. Nous avons les preuves que ces banques servent à financer le terrorismes international et que les anglais sont complices. C'est à cause de cette île et de sa gestion laxiste par le RU qu'il y a la crise financière mondiale!!! Et en plus c'est un complot des anglophones, on a eu quelques info de la part des derniers honnêtes citoyens francophones de l'île mais leur vie est à présent en danger et ça impose notre intervention. Et pour info nos chars sont devant la banque et on la contrôle, donc si vous voulez revoir un jour vos avoir ça ne sert à rien d'essayer de faire pression sur nous, on risquerait de faire une faute de frappe et modifier votre numéro de compte Accessoirement, je ne suis pas sur que ça change grand chose de se retrouver juste face à l’Angleterre ou face à toute la planète. Il faudra évidement qu'on couvre nos autres frontières contre une attaque aérienne, mais nos avions sont déjà sur le pied de guerre et prépositionné vers l'Est. Même pour l'Espagne ou l'Italie, on a nos bases du Sud qui sont bien placés. Et puis militairement, ils ne vont pas oser nous attaquer alors qu'on a des ASMP presque en vol.
-
doctrine aéronavale française des années 60
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Histoire militaire
C'est en partie ce qui me choque. Comment ça se fait qu'on ne réfléchisse à la question du chasseur embarqué qu'une fois qu'on a reçu le porte-avions de nouvelle génération ? Le Crusader a été commandé en 1963, mais son choix comme chasseur embarqué était déjà fait en 1957. En 1963, on a juste pris la décision de se doter d'une chasse embarqué. Dans les années 80, il avait était estimé qu'il "suffisait" de changer les déflecteurs de jets et les catapultes pour utiliser des F18 (de 24 tonnes ?) et que ça ne représentait que le prix d'un F18. J'ai donc tendance à penser qu'il aurait été possible d'adapter les Clemenceau pour l'emport du F4 (qui pourra opérer depuis des PA anglais plus petit) Vu qu'il y a un décalage de plus de 20 ans, le coût de la modification aurait probablement été plus élevé, mais pas forcement impossible. Bon en pratique je crois que c'est jusque qu'en 1956, on a juste voulu adapter l'Arromanches aux nouveaux avions de combat à réaction avec une petite piste oblique. Ensuite en 1958, on a voulu se doter des Clemenceau pour opérer un bombardier léger sans aucune vocation air-air, l'Etendard IVM. En 63, on a finit par se rendre compte que même si l’Étendard est performant face à des Super Mystère, il est obsolète face à des avions modernes (mig 21 ou mirage III) et qu'il faut commander en urgence des supersonique. Je crois qu'il ne s'agit que des meilleures décisions qui ont été prises quand elles ont été prises, c'est juste qu'il n'y avait aucune vision à long terme. Mais ce qui est bien c'est que la marine a finit par s'adapter ... en 70 elle ne participe pas au programme des mirage G, F1, 2000, Jaguar ni même à l'Alpha jet (pourtant remplaçant de G91 qui sont issu du même programme de chasseur léger que l'Etendard) et commande un Super Etendard. Elle attendra aussi que l'USNavy refuse l'Alpha jet pour réfléchir au remplacement du zéphyr. Suite à la mise en service en 72 de l'AN52 la marine attendra 78 pour que un de ces PA puisse l'emporter ... A la fin du 20eme siècle, la marine n'envisagera pas d'adapter ses PA au rafale (si c'était possible pour le prix d'un F18 dans les années 80, ça devait encore l'être 10/20 ans plus tard) ce qui aboutira à la solution actuelle ou on n'a pas de PA2 (alors qu'un Foch capable d'opérer des rafale aurait suffit) et qu'on s'est débrouillé pour créer une aéronavale étrangère incompatible avec notre rafale. Dès fois je me demande si la marine française souhaite vraiment disposer d'une aéronavale. Peut-être que c'est la filière des "cancres" de la marine (comme l'est le transport aérien dans l'Armée de l'air) -
On va supposer qu'il y a un prétexte suffisamment valable pour que la question de la légitimité de l'opération puisse se poser à l'ONU. (Sinon on va se retrouver avec une simple conquête territoriale d'un territoire d'une puissance nucléaire donc ça va se finir par du nucléaire ou la défaite française face à l'ONU) Ce prétexte ou détail de procédure permet à tous les pays le souhaitant de ne pas prendre part au conflit et donc de laisser les anglais se démerder (presque) tout seul. Les îles anglo-normandes ont une population de presque 160 000 habitants, c'est presque 50 fois plus que les Malouines, on passe à une autre échelle. Déjà il faudra arriver à prendre le contrôle des îles. Cela risque d'être assez compliqué, il faudra probablement déployer des CRS et la gendarmerie mobile en plus des militaires pour contrôler les principaux moyens de communication avec l'extérieur (ports, aéroport) ainsi que les principaux bâtiment administratif (banque, hôtel de ville, poste de police ...) Le déploiement de ces forces "civiles" pourrait aussi être en rapport avec le prétexte de l'invasion. On va probablement prétexter que le Royaume Unis ne respecte pas les droits des citoyens francophones qui ont besoin d'une meilleure protection. Pour réduire les besoins en effectifs, il faudrait aussi un minimum de soutient de certains locaux. Pour Jersey, on pourrait peut-être jouer sur l'annonce du financement par la France de la construction d'un pont (ou d'un tunnel, les 2 sont étudiés) reliant l'île à la France. Pendant la seconde guerre mondiale alors qu'il y avait beaucoup moins d'habitants, les Allemand ont déployé 40 000 soldats pour défendre les îles. Au Malouines, il y avait plus de 10 000 soldats. Il faudrait probablement déployer entre 10 et 40 000 soldats pour que l'occupation française soit incontestable. Les CRS et la gendarmerie mobile ne représente "que" 30 000 personnes qui ont d'autres missions, donc je doute qu'on puisse en déployer plus de 10 000. Dès le début (publique) de l'opération il faudra proposer à tous les policiers et gendarmes en service (et les réserviste) en France de se déployer dans "nos" îles anglo normandes pour relever les militaires. Il faudrait aussi bénéficier d'un effet de surprise. Pour maquiller les préparatifs, on pourra dire qu'il s'agit de préparatif pour le gigantesque (c'est un gouvernement nationaliste) défilé du 14 juillet qui devait réunir plus de 10 000 hommes, contre 4 000 habituellement. Avec ces 10 000 hommes de disponibles, plus la réquisition des CRS et de la gendarmerie mobile ainsi que quelques régiments de l'armée de terre, on devrait réunir assez facilement presque 30 000 hommes. Pour permettre le débarquement de toutes ces troupes dans les îles, il faudra probablement réquisitionner quelques avions d'Air France (et/ou d'une autre compagnie) mais ça devrait permettre de débarquer très rapidement les effectifs suffisant. Enfin rien qu'avec les 5 A310/A340 de l'Esterel, on doit pouvoir débarquer entre 1100 et 1500 personnes à chaque rotation (toutes les heures ?) Pour livrer le fret (armement lourd, véhicule blindé principalement), on pourra aussi utiliser nos C130, C160, CN235 et même A400M. Les bases aériennes d'Evreux, de Creil et d'Orléans sont assez proche de la zone d'opération donc les avions de transport pourront bénéficier d'une assez bonne disponibilité (on demande juste à l'avion de tenir pour un vol d'une heure et en plus il s'agit d'une opération de guerre donc on peut enfreindre la réglementation aérienne) On parle de trajet très court donc presque à vide, ces avions auront tous une grosse charge utile (16 tonnes pour le transall, plus de 20 pour les C130 et au moins 37 pour l'A400M) ce qui permettra même avec une relativement mauvaise disponibilité, de déployer rapidement de "grande" quantité de matériel et assez volumineux. On pourrait au cours de la première heure de l'invasion voir apparaitre plus d'une dizaine de blindés (pas des Leclerc, mais le VBCI peut entrer dans un A400M et il reste les AMX10, les ERC-90, les VAB, les VRBG de la gendarmerie ... qui font moins de 20 tonnes) qui dissuaderont toutes tentatives de s'opposer à l'arrivée des avions de lignes devant débarquer les "forces d'occupation". Ensuite on pourra utiliser des navires de débarquement (même pas besoin des BPC, juste de leurs chaland de débarquement) ainsi que des ferries réquisitionné (tout ceux allant vers l'Angleterre) pour transporter du matériel vraiment lourd (Leclerc, même si ça sert à rien, juste pour les photos) ou en grande quantité (rien que les camions pour assurer la logistique du personnel débarqué à l'aéroport) Je pense qu'avec ce débarquement massif, on mettra les anglais devant le fait accompli et on sera relativement à l'abri d'une riposte (on aura quand même des chars sur place) qui devra être trop massive pour avoir des chances de réussite. A partir de 6H01 les premiers avions se poseront sur les îles (d'abord les C130/C160) et débarqueront des militaires avec leurs chars. A 6H30 les aéroports seront devenus français et les avions de ligne commenceront leurs rotation. En même temps des navires de la marine française assureront un blocus des côtes et les navires de débarquement commenceront à débarquer les blindés. Avant la fin de journée, on devrait avoir déployé presque 30 000 hommes ce qui nous permettra de commencer à contrôler une partie des île. Ce débarquement massif devrait être suffisamment dissuasif pour qu'il n'y ait pas de mort à déplorer. Pour éviter toute tentative de reprise de l'île ou de riposte, il faudra maintenir en permanence un (2 ?) E3F ou E2C en l'air pour surveiller nos frontières maritime. Pour que cette situation soit durable, il faudra rapidement déployer le maximum de radar terrestre (ANGD, Griraffe ...) et maritime (donc faire revenir nos frégates AA) pour couvrir nos frontières. Un régiment de SAMP/T sera aussi déployé soit sur une des îles soit à proximité sur nos côtes. Il serait peut-être bien d'en déployer un autre pour couvrir Paris, quoique ça doit être prévu pour le 14 juillet donc le 20 juin ce sera déjà en phase d'installation. Il faudra aussi maintenir en permanence quelques chasseurs en l'air pour patrouiller autour de la frontière et d'autre en alerte. Notre aviation de chasse couvre assez mal le Nord Ouest, (à part Landivisiau) je pense qu'il faudra déployer des détachements de 2000-5 ou de rafale sur les bases d'Evreux, de Creil, de Chateaudun, d'Avord, de Tours ... Certaines de ces bases seront peut-être déjà équipées dans le cadre des préparatif du défilé. Quand nos SAMP/T seront tous déployés, que notre réseau de radar sera plus complet et que nos chasseurs seront en alerte sur des bases à proximité des anglais (une question de jours ou de semaines suivant la préparation en amont) on pourra réduire le dispositif aérien et se contenter d'un nombre assez restreint d'avions en l'air (2 patrouilles ?) vu que les renfort arriveront en quelques minutes. Si on a réduit au maximum les préparatifs pour éviter tous risque de fuites, il faudra compter presque une semaine. Il faudra aussi se préparer à l'escalade militaire. Nos forces nucléaires devront être en alerte. Nos 2000N devront se préparer et le faire savoir (pas les rafale, on aura besoin d'eux pour les missions air-air), avec comme cible principale les sites nucléaire (donc la base de SNLE et les bases aériennes européennes abritant les B61 de l'USAFE) Visuellement, on les verra se déployer sur toutes les bases pouvant abriter nos ASMP/A (et n'ayant pas de rafales, pour St Dizier et Mont de Marsan, ce sera quand même des rafales) nos SNLE seront le plus souvent possible en mer. Pendant ce temps, nos SNA, nos frégates ASM, nos hélico ASM et nos ATL2 essaieront de trouver les SNLE anglais. Le but serait d'être capable de détruire presque simultanément tous les SNLE anglais (couler celui ou ceux qui sont en mer et faire un raid aérien éventuellement nucléaire pour détruire ceux à quai) et suivant la réaction situation politique du moment (les anglais vont accepter l'invasion ou ils vont vouloir s'engager dans un conflit armé avec des risques d'usage du nucléaire) prendre la décision (ou non) de détruire la dissuasion nucléaire anglaise. Il faudra aussi demander à nos service de renseignement de surveiller les anglais et la position de leur troupes. Il ne faut pas qu'ils puissent s'attaquer à un de nos DOM par exemple. Il faudra s'attendre à devoir déployer des détachements de rafale (seul vecteur anti navire et anti aérien performant) dans nos DOM si la situation devient risqué. (mais avec un gouvernement guerrier et nationaliste, on devrait avoir étudié la protection de chaque DOM et le moyen de renforcer) A mon avis les Anglais ne pourront presque plus rien faire seul. Ils vont envoyer un navire ou un avion pour reprendre l'île mais nos navires ou avions assureront un blocus et ils seront obligés de faire demi tour devant notre supériorité numérique. Je pense que tout le week-end ils vont se contenter de porter plainte à l'ONU et de mobiliser leur troupes (comme nous sauf qu'on aura commencé dès le vendredi matin à sensibiliser nos militaires comme quoi ils peuvent se faire appeler le week-end) On assistera peut-être à une bataille aérienne dès le samedi matin, les quelques typhoon et tornado d'alerte iront escorter un avion gouvernemental (un C17 avec 77 tonnes de militaires armés ?) mais finiront par faire demi tour après des pertes plus ou moins importantes vu que les forces française en alertes seront plus nombreuses. Dans le courant de la semaine, on risque d'assister à un second passage en force ou la RN essayera de forcer le blocus pour rejoindre une des îles avec un fort soutient de la RAF. La DCA française récemment installée devrait permettre à la France de gagner la bataille aérienne. De toute façon même s'ils peuvent bénéficier d'un léger effet de surprise, ils n'ont pas plus de chasseurs que nous et je ne crois pas qu'ils soient plus performant donc on devrait s'en sortir. Les navires de la RN seront accueilli par un raid de SEM et de 2000D (les autres sont occupé par la RAF) qui complèteront les batteries terrestres. Si les anglais insistent et ne font pas demi tour rapidement, il risque d'y avoir beaucoup de morts au court de cet affrontement. Suite à ce deuxième rapport de force, les anglais sont obligés de se trouver des alliés ou de ruser s'ils ne veulent pas capituler ...