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En fait ce n'est même pas sur. Les brésiliens annule le FX-2 et commande dans la foullé 30 à 60 mirage 2000-9 sans passer par un appel d'offre. La commande de ces 2000-9 permet de conclure la vente de 74 rafale produit en France pour les EAU et la Libye. Et pour le prochain appel d’offre brésilien, il faudra un chasseur capable de tirer des missiles de croisières et si possible compatible avec les mica en stock.
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A mon avis le choix du parapluie US ou non, ne revient pas aux militaire mais aux politiques. Ce que je reproche aux militaires brésiliens (en fait à la rumeur sur un choix des militaires avec des explication n'ayant rien de militaire) c'est de ne pas faire leurs boulot. Si les industriels et les politiques ont déjà donné une note, il ne faut pas que la note militaire tienne compte des point de vue industriel et politique. Ou alors c'est qu'il s'agit d'une note globale regroupant la note purement militaire mais aussi les notes industriel et politique. Quand je vois qu’on dis que les transferts de technologie du rafale sont insuffisant par rapport à l’ambition du Brésil, c’est qui qui prétend connaître l’ambition du Brésil ? un simple militaire ? un simple industriel du secteur privé ? mais en tout cas c’est pas le chef de l’état
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J'adore, en fait les industriels préfèrent pour diverses raisons industrielle le gripen NG. Les politiques préfèrent le rafale pour diverses considération politiques. Et les militaires préfèrent le gripen NG au rafale parce que c'est l'avion préféré des industriels et le F18 parce que les américains exercent des pressions politiques. Je vais me citer En fait je pensais quand même que les militaires allaient faire un semblant d’évaluation et non se contenter de reprendre les critères politiques et industriels. Une évaluation uniquement sur le prix donnant gripen, F18 puis rafale m’aurait paru plus honnête. Si la rumeur de libé est exacte et qu'il n'y a pas d'autre explication pour justifier ce choix, les aviateurs brésiliens me paraissent vraiment incompétent.
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J’aurais tendance à dire que si. Maintenant qu’il vole il va avoir des performances, qu’elle répondront ou non au cahier des charges initial n’a pas vraiment d’importance. Il faut juste voir dans quel condition une force aérienne peut s’en accommoder. Il faudra peut-être des C130 ou des C17 américains pour effectuer les taches qu’il ne pourra pas accomplir (alors qu’il aurait du pouvoir tout faire) mais il serra quand même utile. Quand à savoir s’il est/sera un minimum rentable, si on le compare hors prix de développement (qui est déjà payé) et produit par l’industrie nationale avec une production étrangère sans compensation industrielle et dont on doit payer le développement (ou la marge de l’industriel) je pense qu’on a encore une petite marge. Ensuite l’A400M est vraiment différent de la gamme des A3XX, donc s’il interfère c’est juste en mobilisant du personnel (mais en Europe ce n’est pas le personnel disponible qui manque) ou en créant une dépense financières que le reste de la gamme devrait assumer. Mais maintenant que le développement est quasiment finit et que l’outil industriel est construit, je crois que la plupart des frais ont déjà été dépensé. L’A400M sera peut-être un succès ou un échec opérationnel et commercial mais il serra produit parce qu’il est trop tard pour abandonner sans lancer au moins une première série. Bon évidemment si on part du principe qu’airbus doit vendre les A400M au prix estimé il y a 10 ans et donc en dessous du prix de production hors frais de développement et qu’en cas d’annulation du programme les avances des pays clients ne sont pas remboursés, ça change la donne. De toute façon les pertes son déjà là, il faut plutôt voir que s’il se vend c’est un bonus. Quand à Dirlo et à Airbus, j’aurais plutôt envie de dire qu’une compagnie qui ne fait pas ce que l’état veut, ça se privatise. Ce serrait pas mal pour l’Europe de la défense qu’on commence à avoir des entreprises comme la branche militaire d’Airbus directement sous le contrôle de l’UE.
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Je dirais plutôt qu'ils ont beaucoup perdu de compétence, mais il leurs reste quand même de quoi concevoir un chasseur moderne. Ils sont passé d’une production de plus d’une centaine d’avions par ans à moins d’une dizaine. A mon avis les entreprises Tupolev, Yakolev, Mikoyan ... peuvent être considéré comme perdu mais il reste Sukhoi qui doit conserver des compétences comparable à Dassault. Pour les motoristes, ils ne doivent plus être capable de produire 4 réacteurs différents de la même génération comme à l'époque des Mig29, Su27, Mig 31 et Tu160 mais ils doivent rester capable de construire un réacteur moderne ou au moins moderniser et améliorer fortement un réacteur de la génération précédente.
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J'aurais tendance à espérer qu'une France avec 2 GAN et une flottille de Frappeur n'a pas besoin de faire partie de l'OTAN pour assurer sa défense et n'a donc pas à se plier aux injonction de l'OTAN. Si une telle France intervient ce serait uniquement à la demande de l'ONU (ou on a un droit de véto) et éventuellement à la demande de l'UE (dont la France représenterait presque la totalité de la force de frappe et pourrait donc décider et/ou facturer ses interventions) Par contre une France sans puissance militaire crédible serra obligée d’envoyer des troupes la ou nos alliés en ont besoin si on veut espérer leurs soutient quand on aura besoin d’eux. C’est vrai que notre politique étrangère n’a pas besoin de moyens supplémentaires, mais c’est parce que nos hommes politiques n’ont pas d’ambition ou juste parce qu’ils sont conscient des limites de notre armée et ne souhaitent pas augmenter le budget militaire ? Si tu demandes aux Belges ou aux Suisses, ils vont même te demander à quoi ça sert d'avoir plus d'une centaine d'avions et des sous-marins.
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Je viens de lire dans le journal « carnets de vol » que le remplacement des CF-18 canadiens par des F35A n’est pas encore décidé. En apparence, les CF-18 doivent être retiré du service en 2017, ils serraient remplacés par 65 chasseurs. Les négociations devrait commencer en 2010-2011 avec une signature en 2012 et les première livraison en 2015 et un début de capacité opérationnelle en 2017. Les candidats serraient le F35 avec en outsider les F18 et Typhoon (dans l’article on a l’impression que le rafale n’existe pas alors qu’ils rappellent que les mirage F1 et 2000 ont été étudié à l’époque du choix des CF-18) Dans l’article ils ne disent pas grand chose à part que d’après le ministère de la défense, s’ils ont investis 710M$ dans le F35 c’est juste pour un accord strictement commercial et industriel qui n’implique pas l’armée canadienne. Il y a encore une possibilité de non achat du F35 par les Canadiens , ou c’est juste un moyen de rajouter un article facile ? (il y a quand même une page A4 pour ne rien dire de plus que ce que je viens de résumer)
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Enfin cette rumeur/information doit bien être réelle, mais ça ne veut rien dire vu qu'il ne s'agit pas de test de roulage d'un appareil de série terminé qui va être mis en service après quelques vérification. Entre les premiers test de roulage du rafale A et la mise en service de la première escadrille de rafale de l'armée de l'air, il y a eu presque 20 ans. A mon avis il faudra attendre moins longtemps avant la mise en service du prochain chasseur russe, de toute façon si ce n'est pas le cas il n'y aura plus de constructeur russes crédible.
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Les Jaguar étaient inutile à coté du reste de la flotte donc irrécupérable. Pour les Alpha Jet, c'est encore pire vu que la version de combat paraîtrait encore moins utile mais surtout que la version de combat se ferait au détriment de la version école qu'on a déjà en nombre presque insuffisant. Le problème c'est aussi que ça ne fait pas moins cher pour l'Afghanistan, vu que les rafale qui y sont déployé devrait aussi voler en métropole. Et si c’est pour faire le boulot d’un drone autant utiliser du drone encore moins cher. En fait à mon avis, le seul endroit ou la France aurait besoin d’avions de combat légerpascher et peu performant serrait pour équiper des bases permanentes dans nos DOM-COM avec des escadrilles de 3 ou 4 avions, ce qui revient à un peu moins d’une vingtaine d’appareil. Sauf que des Alpha Jet sont tellement peu performant qu’il n’auraient qu’un rôle purement défensif face à une rébellion ou face à une attaque d’hélicoptères. Par rapport à des rafales doté d’un rayon d’action plus que triplé (sans parler du ravitaillement en vol) et capable d’emporter des missiles SCALP et ASMP ou des nacelles de reconnaissance, la solution d’une base aérienne purement défensive paraît peu rentable par rapport à une base aérienne stratégique nettement plus performante ou par rapport à une base vide pouvant être renforcé en cas de crise. EDIT: je viens de voir sur la page wiki de l'Alpha JEt que les Allemands sont arrivé à revendre 122 de leurs Alpha Jet sur 175, donc en comptant les pertes, les avions d'exposés dans les musés et ceux vendus en pièces détaché, il ne doit même plus en rester en réserve, ça montre bien l’intérêt de ce type d’avions pour un conflit européen.
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La dessus je suis plutôt d’accord. Un gros Scorpène avec une capacité d’emport de missile nettement plus importante pourrait convenir. Par rapport au Scorpène de série il suffit de le rallonger et il doit être possible de passer de 18 torpille lourde à 50 SCALP naval et quelques torpilles. Enfin le frappeur ne doit pas forcement patrouiller. S’il s’agit de rejoindre la zone de combat il doit pouvoir le faire comme les autres navires et rester en surface (ou plutôt en profondeur périscopique) on pourrait même dire qu’il est plus discret et moins vulnérable que les autres navires (hors sous-marins) Et une fois qu’il est sur zone, il peut se contenter de faire du surplace en restant à portée de tir. Il faudra juste qu’il remonte 2 ou 3 fois par semaines pour recharger ses batteries et renouveler son oxygène. Evidement le frappeur sera relativement vulnérable en cas de patrouille ASM ennemi, mais normalement on est les plus fort et on reste capable de détruire les avions et frégate ASM ennemi sinon on a d’autre priorité que le frappeur. Pour les SSK ennemis, vu que le frappeur serait lui aussi un SSK en embuscade, je ne crois pas qu’on ait beaucoup de risque. C’est sur qu’un SNA est plus performant qu’un SSK, mais il est aussi beaucoup plus cher. En plus le frappeur doit se ravitailler assez régulièrement dans un port, donc la propulsion conventionnelle qui pourrait permettre d’utiliser un port allié n’est pas forcement un défaut concernant le temps de transit. Pour un pays comme la France qui risque de n’avoir qu’un seul (dans le meilleur des cas) frappeur sous-marins, l’option nucléaire peut être douteuse vu qu’il faudrait s’en passer pendant les IPER alors qu’avec un navire conventionnel on pourra toujours décaler les maintenances, surtout s’il s’agit d’un navire assez peu utilisé. En fait à ce que j’ai compris sur un sous-marin le nucléaire sert à naviguer sous les glaces ou rester des mois caché en profondeur (pour les SNLE) et pour les SNA ça sert à poursuivre d’autres navires tout en restant en profondeur ou à faire des patrouilles sous-marines pour repérer d’autres sous-marins. Mais pour un frappeur sous-marins, je ne suis pas sur que le nucléaire soit indispensable. A mon avis il faut plutôt comprendre que le SSGN va tirer l’ensemble de ses MdCN en une seule fois puis qu’il va retourner faire le plein. Parce que si on se sert d’un SSGN juste pour tirer un missile toute les heures pendant une semaine, on ferrait mieux d’avoir SSGN dérivé d’un SNA avec une soute à munition énorme permettant de tirer la centaine de missile par les tubes lance missiles rechargeable et ce serrait beaucoup moins cher et plus compact. Enfin si un E-3 repère un patmar, il ne serait pas plus simple de lancer un météor (ou un ASMP reconvertis) ou la chasse plutôt que de contacter le SSGN et lui dire de lancer un missile qui est beaucoup plus complexe à lancer. Le radar Nostradamus (et les autre radar de sa catégorie) a de très gros problèmes de précision. Il permet peut-être de dire qu’on repère un furtif ou le départ d’un missile de croisière, mais il ne permet pas pour autant de guider des missiles vers ce furtif et n’indiquera qu’une zone assez vaste ou pourrait se trouver le sous-marins qui a lancé son missile. Lors d’un lancement de missile sous-marins, tous les sous-marins et frégates ASM de la région vont savoir qu’il vient d’y avoir un tir et à quel cap. Mais il ne connaîtront pas la distance donc ne pourront pas atteindre le frappeur. Et évidemment si on n’est pas capable de protéger nos sous-marins de la flotte ASM ennemie, je pense qu’on peut rentrer chez nous et qu’avant de faire un frappeur pour détruire les cibles terrestres se trouvant à l’intérieure du territoire adverse on devrait plutôt réfléchir à détruire la flotte ASM ennemie qui pourrait traquer nos SNLE.
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Le CN235 est nettement plus petit que les C-390. Il est même plus petit que les C160 eux même plus petit que les C130 que le C-390 veut remplacer, tout en étant légèrement plus gros. Par rapport au C235 le C295 est certes plus performant mais probablement aussi plus cher. Et puis juste pour des liaisons à très courtes distances avec une charge utile très réduite, on n'a pas forcement besoin de plus gros que les C235.
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Non pour ça on avait le Jaguar qui était nettement plus performant. Déjà que le jaguar faisait un peu doublons avec les mirage F1, je préfère ne pas imaginer ce qu'on aurait pu faire d'un alpha-jet de combat en plus des Jaguar et mirage F1. On pourrait éventuellement envisager de se servir de l'Alpha-jet comme d'un avion de combat économique. Il serrait en concurrence avec des turbopropulseur moins performant pour du CAS et il serrait envisageable de les déployer dans des zones ne justifiant pas la présence d'avions de combat plus cher (comme la Guyane qui se contente d'hélicoptères pour assurer des missions air-air) Sauf que dans ce cas le Jaguar légèrement supersonique et très facile d'entretien paraît encore plus adapté. Probablement, surtout s’il s’agit d’une bombe développé pour vu qu’on peut emporter une bombe nucléaire dans un sac à dos, mais on peut se demander à quoi ça servirait. On avait déjà les mirage 3E, IV, F1, les Jaguar et probablement les Vautour capable d'emporter plus d'armes nucléaires qu'on en avait, donc je ne vois pas l'intérêt de rajouter des alpha jet encore moins performant.
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Plans russe d'invasion pendant la guerre froide?
ARPA a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Histoire militaire
Si je me souvient bien, ça a justement été une des surprises lors de la publications des plans d'invasion soviétiques. L'invasion de la France ne faisait pas partie du programme et les troupes russes s'arrêtaient à la frontières française après avoir annéxé le reste de l'Europe. A croire que la neutralité française (qui ne faisait pas partie de l'OTAN et avait une dissuasion nucléaire indépendante) était souhaité avant l'invasion de l'Europe. Enfin pour les plans de 1964, il n’y avait pas encore de véritable dissuasion nucléaire française vu que le mirage IV n’a commencé à assurer la dissuasion nucléaire qu’en octobre 64 (et avec quelques bombes A) que la bombe H française date de 68 que le SNLE date de 71. -
Est il prouvé qu'il ne faille pas bruler des étapes ? Es-tu sur d'avoir le temps de ne pas bruler des étapes ? Le problème de brûler les étapes, c’est qu’on va se retrouver avec un frappeur qui n’est en réalité à peine plus discret qu’un porte-conteneurs. Pour son prix, il serra de toute façon explosé par le prix des SCALP. L’économie apporté par une grande série me paraît assez utopique. Par rapport aux prévisions initiales, on est déjà passé de 200 exemplaires (plus ceux pour sous-marins, plus ceux en version aérienne, plus ceux pour l’export) à une petite centaine. La commande d’un frappeur équipé de 300 SCALP ne fera que doubler les prévisions initiales pour navire de surface et encore moins si on compte l’ensemble de la production en missile de croisières. Il serrait même probable qu’on décide de n’équiper ce frappeur que d’un nombre réduit de missile (pour faire des économies) et il n’aura donc (ainsi que le reste de la flotte) que 50% de ses silos équipés de missile. On va donc se retrouver avec un GAN doté de seulement 200 SCALP alors qu’avec les prévisions actuels, on aurait déjà de la place pour 200 SCALP dans notre flotte donc le gain opérationnel serrait nulle. En fait avec des mini frappeur d’intégré à nos FREEM et à nos SNA, le frappeur ne sera utile que pour des bombardements massif et en concurrence avec les bombardiers lourd. Et dans ce cas la solution de l’A400M lance-palette de SCALP (ou bombardier issus des A330MRTT) devient de plus en plus pertinente. Par rapport aux frappeurs les bombardiers permettent le tir à haute altitude donc l’utilisation de missile moins cher, ils sont plus vite déployé (instantanément si les ravitailleurs sont en nombre suffisant) et aussi performant vu que 50 A400M capable de lancer 10 SCALP remplacent un frappeur de 500 SCALP en étant plus polyvalent. La solution du frappeur me paraît un peu trop être une solution pour remplacer la première vague de bombardier lourd de l’armée de l’air dans un contexte de concurrence entre l’USAF et l’USNavy.
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Le frappeur me paraît tellement indissociable du GAN, qu’il serrait probablement plus économique de l’intégrer aux navires du GAN. J’ai de plus en plus de mal à voir l’intérêt d’un navire supplémentaire embarquant les MdCN de la flotte. Les américains ont l’air de trouver que des SSGN capable de faire SNA et frappeur sont utiles et méritent d’être remplacé. Le coût du SSGN doit dans ce cas être comparé avec celui des SNA et paraît donc un peu moins excessif. Les soviétiques avaient besoin d’un frappeur pour compléter la puissance de frappe de leur aviation embarquée, un peu trop limité aux missions air-air, donc il y a presque un frappeur d’intégré au PA. Si l’on se place dans quelques années avec un GAN composé du PA de 5 ou 6 FREEM et de 2 SNA barracuda, on aura déjà l’équivalent d’un petit frappeur doté d’une cinquantaine de missile de croisière. Et s’il s’agit de faire une grosse opération militaire ponctuelle (type Malouines) on aura plutôt 4 SNA et 8 FREEM ce qui correspondrait plutôt à un frappeur doté d’une centaine de MdCN. Au fait il faut combien de temps pour recharger un navire en missile de croisière ? Parce que plutôt qu’un frappeur, un BPC ou un pétrolier rempli de MdCN servant à ravitailler les frégates et SNA pouvant les tirer serrait presque aussi efficace et plus polyvalent.
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Tu es sur de ça ? pour moi on donne une fois le code complet (5 lettres) puis seulement la première (Fox pour un avion français) et les 2 dernières. De toutes façons les 2 premières sont souvent identiques quand on a 2 appareil du même modèle.
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C'est quoi la différence opérationnelle entre une grosse base et une micro base ? Pour l’USAF qui a une centaine de bombardiers lourds et plusieurs centaines de ravitailleurs ou avions de transport lourd je suis d’accord, mais pour la France qui n’a que des chasseurs léger et moins d’une vingtaine de gros porteurs j’ai du mal. Même sur une micro base on peut installer nos bombardiers stratégiques rafales B et on pourra aussi y installer nos avions de transport stratégique A400M. On aura peut-être du mal à y déployer nos ravitailleurs A330MRTT mais s’il s’agit aussi d’un aéroport utilisé par des civils, ça ne devrait pas poser de problèmes. Sur une grosse base, on aura en permanence un nombre plus important d’avions (donc des coût plus élevé) des réserves de munition plus importantes (ou plus stratégique, on ne pourra pas stocker d’arme nucléaire ou même de SCALP si on confie la protection de nos dépôts de munition à nos alliés locaux), éventuellement des bunkers et des batterie de DCA. Il y aura aussi une réserve de carburant assez importante, mais ça pourrait aussi être le cas pour un aéroport civil avec un trafic assez important et dont des subvention militaire ont permis d’augmenter significativement les réserves de carburants. En cas de besoin après quelques semaines de préparation, une maxi base permettra d’abriter nos 70 chasseurs contractuellement déployables ainsi que notre dizaine de ravitailleurs et nos avions de transport associé. Sur une micro base, on pourra probablement déployer très rapidement une vingtaine de rafale et les ravitailleurs et avions de transport d’accompagnement. Une micro base renforcé répond déjà à 30% de nos objectifs et se trouvera plus proche (donc plus performante) que la grosse base la plus proche (vu qu’on peut avoir plus de micro base que de grosse base) Opérationnellement je dirais qu’il vaut mieux avoir trois petites bases qu’une grosse. Financièrement pour entretenir la grosse base, il faut quand même y baser une escadrille qui permettra de renouveler les stock de munition et de carburants et donc tout le personnel associée. Pour une mini base installé sur un aéroport civil, on a juste besoin d’effectifs extrêmement réduit pour surveiller et entretenir les bâtiments vides qui ne serviront que lors d’une montée en puissance de la base. Les réserves de carburant seront régulièrement renouvelé par la consommation normale de l’aéroport civil (qui aura presque 6 mois de réserve au lieu de 2 semaines) Je ne suis pas que d’installer 3 micro bases sur des aéroport civils (ou sur une base militaire allié) soit plus cher que d’en installer une grosse au milieu de nulle part. Après ça dépend aussi des forces en présence. Pour un conflit au moyen Orient, il faudra caser nos 70 chasseurs mais aussi ceux de nos alliés. Il y aura probablement plus d’un millier d’avions alliés, il faudra donc plusieurs grosses bases ou un nombre vraiment très élevé de petites bases. Pour un conflit en Afrique on n’aura besoin de déployer qu’une dizaine de rafale et des ravitailleurs une micro base me paraît largement suffisante. Pour la défense de nos DOM-COM, ou pour toute opération militaire effectué en solo ou en dehors du cadre de l’OTAN, une micro base doublé d’un GAN devrait être suffisante et la présence d’une deuxième micro base pas trop loin devrait être plus rassurante qu’une seule grosse base éloigné.
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Avec un peu de chance si le journaliste mentionne les F16 et Typhoon c'est juste que tous ces avions ont fait partis de l'excercice/démonstration/campagne de pub qui a vu le rafale affronter les F22. Et encore on a eu de la chance quelqu'un a du relire l'article et vu que les mirage 2000, les Mig21 et les F22 ne sont pas en vente on n'en parle pas, mais on failli voir le F22 en concurrence avec des Mig21 pour le marché du rafale. :lol:
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Pour la satellisation, même un largage à mach 5 et 100 000 m d'altitude n'apporterait pas grand chose. La vitesse de satellisation correspond approximativement à mach 36 (enfin on ne parle pas de mach en orbite) donc qu'on parte d'une vitesse nulle ou de 10% de la vitesse à atteindre ne change pas grand chose en terme de dépense énergétique. Mais juste pour un vol suborbitale, il s'agit juste d'atteindre une altitude élevé donc on n'a pas besoin de beaucoup d'énergie. Avec une vitesse de mach 3 à 20 000 m on pourrait presque atteindre l'espace sans poussée supplémentaire juste en convertissant la vitesse en altitude. Après on peut aussi dire qu'un largage à haute altitude permet d'éviter les basses couches dense de l'atmosphère et donc permet de moins faire attention à l'aérodynamique du vaisseau. Et éventuellement on peut aussi utiliser des moteur non adapté aux basses couches de l'atmosphère et aux basses vitesses. En fait je ne suis pas sur du tout que la technologie nécessaire aux vol suborbitaux soit comparable à la technologie nécessaire au vols spatiaux. Le cas de Mercury 3 montre plus une mise en orbite raté qu’un engin suborbitale pouvant évoluer vers un vaisseau spatial. La seule solution permettant d’envisager des mises en orbite grâce à vaisseaux suborbitaux serrait d’avoir une station en orbite sur laquelle on pourrait accrocher la navette orbitale au moment ou ils se trouvent au même endroit. Sauf que ça impose une station beaucoup plus grosse pour qu’elle ne soit pas désatellisé par la mise en orbite d’une navette à vitesse presque nulle et il faut aussi trouver un système pour que la navette n’ai pas une accélération excessive suite à l’accrochage à la station.
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Je ne veux pas être méchant, mais je crois que les militaire brésiliens se moquent un peu du choix de l'avion, de toute façon ils seront très content et agréablement surpris. Ils ont déjà été très contents de leurs 12 vieux mirages aux systèmes d’armes obsolètes qui leurs ont permis de gagner une génération. S’il peuvent les remplacer par 36 avions plus modernes, ils n’auront pas à se plaindre même s’il ne s’agit que de gripen d’ancienne génération et d’occasion.
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Enfin ce n'est qu'une perche de ravitaillement, pas un aérofrein. Même une bombinette de 125 kg doit trainer beaucoup plus. Et il est même possible que les moustiques collés sur le pare-brise après 2000 en haut subsonique à trés basse altitude aient plus d'influence que cette perche beaucoup plus plus petite et légère que les perches mobiles.
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Pour les scenarii actuel (avant l'arrivée du PA, des alliés ou l'autorisation d'utiliser une autre base), on doit probablement pouvoir se contenter d'un nombre très réduit de raid composé d'un nombre assez réduit de rafale emportant des SCALP. L'utilisation des SCALP permet de rajouter 400km de portée, des CFT permettrait aussi d'augmenter l'autonomie. Même sans ravitailleur, une portée de tir de presque 3000 km avec des CFT et des bidons largués dés qu'ils sont consommé et des SCALP envoyé à 400km de la cible me paraît assez crédible. Avec des ravitailleurs A400M basés sur des pistes sommaires ou des A330MRTT à très long rayon d'action, on doit pouvoir avoir une portée de plus de 5 000 km. La particularité du rafale, c'est aussi qu'il s'agit d'un avion polyvalent déjà déployé un peu partout. En cas de besoin s'il fallait effectuer un tir d'ASMP sur l'Inde ou sur le Pakistan, je ne suis pas sur qu'on envisagerait pas d'utiliser nos rafale présent en Afghanistan. S'il ne s'agit que d'effectuer une unique mission stratégique, on ne demandera pas forcement l'autorisation au pays d'accueil (on lui demandera plutôt pardon) donc on peut compter sur nos bases permanentes aux EAU ou à Djibouti et pour les 2 à 5 prochaines années on doit aussi pouvoir compter sur nos bases quasi permanente en Afghanistan et au Tchad. Si on rajoute des déploiements de possible dans certains de nos DOM-COM comme la Guyane, la Réunion ou la Nouvelle-Calédonie, l'armée de l'air peut couvrir une très grande zone (surtout s'il s'agit juste de tir de SCALP ou ASMP-A après plusieurs ravitaillements)
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Théoriquement oui, en pratique non. Je m'explique, les bidons furtifs de grande capacité seront toujours moins furtif que des bidons largués et il traineront beaucoup plus donc il faudra vraiment qu'il soit de grande capacité. Ce serrait à vérifier, mais il est probable qu'un gros bidon furtif ne soit pas plus performant qu'un petit bidon pas cher qu'on pourrait larguer une fois vide. Sinon en bidon furtif non largable (de toute façon vu le prix probable d'un bidon furtif, je doute qu'on s'amuse à les larguer) on a les CFT du rafale qui en plus on une trainée assez réduite. Les CFT permettent de rajouter 2250 L sans augmenter significativement la SER ou la trainée ce qui permet d'augmenter de 50% notre autonomie "en lisse". Le rafale est vendu pour 1000 NM (et 10 à 15 minutes sur zone) sans CFT et avec 3 tonnes de munitions donc probablement avec seulement 2 gros bidons.