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Bah peut-être mais de toute façon la concurrence est aussi cher. Surtout si on réfléchit pour dans 10 à 20 ans, les typhoon et F35 seront aussi cher que des rafale. En plus pour un pays européen il faut (faudra plus éxactement) un avion compatible avec les autres armées de l'air européenne et pouvant éventuellement servir aux OPEX de l'UE. Un avion obsolète de type Mig21 ne servira à rien pour la défense aérienne de l'UE. Même actuellement les F16, F18, typhoon et gripen sont aussi cher que le rafale donc à moins d'envisager du matériel d'occasion, l'argument du prix n'est pas suffisant pour refuser le rafale.
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Ils ont aussi de bonne relation avec les chinois
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Ils ont aussi la possibilité d'abandonner leur projet de SNA, de commander un SNA russe, chinois ou indiens, d'avoir l'aide d'un autre pays, vu qu’ils s'occupent du nucléaire même l'Allemagne pourrait les aider. Ensuite pour la prochaine commande de frégate, ils pourront préférer les FREEM italiennes aux FREEM française. Et évidemment pour leurs futurs PA, ils vont choisir autre chose qu’un CdG à propulsion conventionnel. On a peut-être des moyens de pressions, mais eux aussi. Tout dépend ce qu’on accepte de faire, si on accepte de les aider à faire une flotte de SNA/SNLE et qu’on leur permet de devenir une grande puissance militaire indépendante, ou qu’on accepte juste de les aider à s’équiper à prix quelques navires de prestige (PA/SNA) sans réelle valeur opérationnel, ce n’est pas la même chose. Si on exagère et qu’on leur propose des rafale vraiment trop cher, ils sont peut-être en train de se dire qu’on est pas fiable et qu’on risque de les voler et qu’ils ont tout intérêt à ne pas dépendre que de la France pour leur armement.
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Le Brésil a quand même envie de conserver une aéronavale, d’ici 2020 et la livraison du CVF2 il est probable que le Brésil puisse se permettre de l’acheter. Les clients pour un navire de prestige type PA ne manquent pas, il serra peut-être trop cher si les Anglais veulent faire des bénéfices mais s’ils veulent s’en débarrasser ils y arriveront. Et évidemment il serra plus facile de le vendre terminé et en promo en 2020 qu’en 2012 sur plan avec des risques de surcoûts. Quand on voit que même la Thaïlande s’est équipé d’un PA, de très nombreux pays pourrait faire de même. Avec le Japon, la Corée du Sud, l’Inde, l’Australie et le Brésil cela fait déjà pas mal de clients potentiels quasiment déclaré et on pourrait probablement rajouter d’autre pays comme le Pakistan (pour concurrencer l’Inde) ou l’Allemagne (qui en a les moyen et pourrait en avoir l’envie en 2020) sans parler de tous les pays qui n’ont aucune raison de s’en équiper mais pourrait quand même être intéressé (cela c’est bien produit pour la Thaïlande) Si les Anglais restent dans l’optique d’un unique GAN, leur second PA n’a aucune raison d’être aussi performant que le premier. Le CVF étant à propulsion conventionnelle, il serra toujours rapidement disponible (sauf pendant la refonte à mi vie) donc un PA2 ne servirait qu’en cas de crise pour assurer un remplacement provisoire ou pour gérer un second front de faible intensité. Plutôt qu’un CVF, ils feraient mieux de se doter d’un BPE (suffisant pour les F35B et nettement moins cher) pour cette mission.
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Bah non, en plus de la Suisse, on peut le caser partout tant que ni le typhoon ni le gripen ni le F35 n'est choisi. En fait sur les 27 pays de l'UE, il y en as plus de la moitié qui n'ont pas encore choisis. A cours termes seule la Belgique me paraît potentiellement intéressé, mais à plus long terme il y aura tout les petit pays comme la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie... à équiper. Et avec un peu de chance Saab aura fait faillite et le typhoon souffrira de son manque de polyvalence et le F35 serra trop américain.
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Aucun accord militaire n'est définitif. On peut toujours dire qu'on a l'impression que les brésiliens veulent faire un SNLE donc on abandonne toute coopération militaire sur les SNA. On n'a même pas besoin que ce soit écrit, je pense que c’est évident que si les Brésiliens nous considère comme de simples marchands d’armes, on va aussi les considéré comme de simple clients qui doivent nous faire gagner des bénéfices et non comme un partenaire stratégique avec lequel on peut développer notre industrie stratégique. Et puis plutôt que de se fâcher sur la perte d’un contrat de 6 milliard pour 36 rafales, autant augmenter d’autant la facture sur le SNA. Cela paraît peut-être beaucoup comme ça, mais les russes ont bien plus que triplé le prix du PA qu’ils vendent aux Indiens (tout en repoussant la livraison du PA d’occasion qui serra vieux avant sa mise en service, a tel point qu'une remise à niveau du clem leur aurait peut-être mieux convenu)
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pour résumé si la question du SNLE/SSGN se pose, c'est à cause des anglais qui risquent de donner une excuse à certains politique pour remettre en cause le 4eme SNLE (quand on remplacera les SNLE NG) ou pour mettre en réserve de longue durée un de nos SNLE. Avec seulement 3 lot de missiles M51, on risque vite de se retrouver à 3 SNLE d’opérationnel et 1 en réserve de longue durée ce qui en pratique voudra juste dire 3 SNLE vu que le 4eme serra plus long à mettre en service que d’accélérer une sortie d’IPER. Pour le 4eme SNLE, je crois que le préfère en SSGN avec 2 M51 et 196 SCALP que à quai en train de rouiller et sans équipage. Si on considère qu’il ne faut que quelques mois pour créer un site terrestre permettant le tir de M51 et qu’on se rappelle qu’on a des ASMP pouvant atteindre des cibles à plus de 5 000 km de la piste française (ou occupé par des français) la plus proche, j’ai du mal à reconnaître le besoin impératif de 3 SNLE d’opérationnels. Surtout quand je vois qu’on vient de passer plus d’un ans avec seulement 2 SNLE. Mais c’est vrai qu’un SNLE avec seulement 112 SCALP (224 si on trouve le moyen de recharger) risque de ne pas apporter grand chose par rapport au reste de la flotte. Il serrait probablement possible d’équiper nos BPC (ou tout autre gros navire) de quelques silo rechargeable permettant le tir de SCALP et d’une soute permettant d’embarquer plusieurs centaines de SCALP (légèrement moins cher que ceux à changement de milieu des SNA) -
Quel avenir pour l'Iraqi Air Force ???
ARPA a répondu à un(e) sujet de lacatapulte dans Asie / Océanie
Pour des militaires français, pourris, coûtant trop cher et demandant trop de temps à entretenir surtout pour un potentiel militaire quasi nul. Pour des militaire Irakiens, excellent par rapport au Mig 21 qu'ils viennent de récupérer ou même au F16 de première génération que les USA proposent, surtout que les F1 modernisé avec MICA permettent le BVR. S'il reste un potentiel de disons 1 000 heures de vols, cela ne laisse que quelques mois en cas d'utilisation massive par la France (lors de périodes de pointes en OPEX, certains de nos avions dépassent la centaine d'heures de vol mensuel) ou quelques années (à presque 300H par ans) Mais pour l’Iraq on risque d’avoir moins de pilotes que d’avions (en France on serrait entre 1,4 et 1,6 pilote par avions) et plutôt 20 heures par ans et non 180 comme pour la norme OTAN. Et en période de guerre, la durée de vie des avions iraquiens risquent de se compter en minutes plus qu’en dizaines d’heures. Je crois que les cellules française de mirage F1 sont offertes (ou presque) à ceux qui peuvent se payer une modernisation française et que la modernisation avec la capacité de tir de mica coûte autour de 15M€ par appareils. Les Iraquiens essaient probablement de négocier plutôt qu’un remboursement une livraison de 651M€ de matériel militaire aéronautique. Et cela peut correspondre à 24 mirage F1 modernisés avec un stock de munitions et de pièces détachés. Pour info selon certaines sources les Libyens négocierait la livraison de nos mirage F1 retiré du service en complément de quelques rafales neuf donc nos F1 doivent encore avoir un certains potentiel. -
Enfin vendre sans amortir le développement, c'est toujours plus rentable économiquement que de faire comme les américains et de vendre en dessous du prix de production. Sinon la vente permet de financer de nouvelles recherches (comme les 2000-5 ou -9) de faire travailler nos entreprises qui même si elle ne font pas de bénéfices, on a XXX employés qui peuvent vivre grace aux clients export. Et je ne parle même pas des retombés politique (puis souvent économiques) d'une vente d'arme.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Sur ce point je ne suis pas vraiment d'accord. Si on convertis provisoirement un SNLE en SSGN et qu'on le perd (ce qui n'est déjà pas trés courant) on conservera toujours 3 SNLE. Si on a besoin de faire une IPER (ce qui risque d'arriver lors des 6 ans que va durer la construction en urgence d'un nouveau SNLE) on conservera toujours 2 SNLE, ce qui reste suffisant pour avoir une dissuasion nucléaire crédible. En plus en temps de crise avec un budget quasiment illimité, l'IPER ne va durer que quelques mois. En cas d'accident sur un des SNLE (ce qui n'est arrivé qu'une fois en 40 ans) on se retrouve dans le cas de l'IPER avec 2 SNLE d'opérationnel pour assurer la dissuasion de manière crédible. Si on doit assurer simultanément une IPER ou une réparation de 2 de nos 3 SNLE restant (ce qui reste très peu probable) il nous restera un SNLE à la mer capable d'assurer la dissuasion sauf pendant quelques jours tous les 2 mois. Pendant ses jours de crise l'armée de l'air pourra déployer des rafale avec ASMP et A330MRTT en Guyane, à la Réunion et maintenir en permanence un ravitailleur en l'air au dessus du territoire métropolitain et des rafale avec ASMP en alerte moteur démarré, ce qui nous permettrait de conserver un rayon d’action crédible et une capacité de seconde frappe. Et évidement le CdG embarquera des ASMP et il est probable qu'on puisse aussi s'équiper de MdCN à tête nucléaire (soit un ASMP modifié soit un SCALP à tête nucléaire) Evidement en cas de pertes du SSGN, cela nous coûtera très cher entre la construction d’un nouveau SNLE et l’amélioration de nos autres composante nucléaires, mais cela voudrait aussi dire qu’on est en guerre ou qu’on vient d’en perdre une ce qui permettrait de justifier sans trop de problèmes un doublement du budget militaire. Et puis on avait bien prévu de passer à 3 SNLE pendant plus de 2 ans et la pertes d’un des 3 SNLE n’a pas entraîné de crash programme pour augmenter nos capacités nucléaires. En plus on s’est retrouvé dans le pire des cas envisageable ou notre plus proche allié nucléaire était lui aussi affecté par une perte de capacité. -
Projet Constellation de la NASA "Go back to the moon !"
ARPA a répondu à un(e) sujet de Neowens dans Engins spatiaux, Espace...
D’ici 2020, je ne suis même pas sur qu’Obama s’attende à ce qu’une entreprise privée (non intégralement financé par l’état) soit capable d’amener des passagers vers l’hôtel orbital que serra l’ISS. Quand à être plus fiable et moins cher que les Soyouz russes qui vont probablement être amélioré d’ici là, c’est carrément utopique. Bah en fait si on arrive à atteindre l’orbite terrestre, on a fait le plus gros du trajet pour un vol vers la lune ou n’importe quel point du système solaire. Il suffirait de pouvoir se ravitailler sur la station en orbite pour pouvoir aller beaucoup plus loin, si on rajoute des systèmes de catapultages ou des remorqueurs spatiaux doté de moteur à très haut rendement, le plus dur c’est vraiment la mise en orbite basse. Au contraire ça serrait peut-être plus rentable de se limiter à une maîtrise du vol vers l’orbite basse que directement à un vol vers la lune. D’ailleurs le programme Apollo à peut-être permis la maîtrise des alunissage suivis d’une remise en orbite, mais je ne suis pas sur que ce soit plus utile pour un vol vers Mars que la maîtrise des vols de très longue durées et la construction de vaisseaux géants en orbite. -
Cela n'a pas déjà été proposé et refusé ? Le marché brésilien a déjà éliminé le Su35 et le typhoon, je ne m'en souvient plus pour les F16, F15, Mig35 ou J10 mais ils ont probablement été étudiés.
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Je présume que les personnels de l'AdA te remercie de considérer qu'ils sont inutiles pour 50% d'entre eux.
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Surtout que pour les critiques, on parle ici de la location/du prêt d’un PA anglais. Donc d’un PA conventionnel qui ne serra pas équipé d’arme nucléaire. Il pourrait éventuellement servir à un raid nucléaire avec un rafale M équipé d’un ASMP qui y apponterait avant de faire le plein pour effectuer sa mission. Mais les CVN US en sont aussi capable, de même que n’importe quel base allié. Ensuite il s’agit du 2eme PA anglais donc en cas de perte au combat, il restera un PAN français (probablement en IPER) et un PA anglais pour continuer le combat. C’est vrai qu’il y a 30 ans, on a refusé de prêter un PA (un GAN complet en fait avec probablement 2 PA, 70 avions… et ce GAN aurait du assurer la quasi-totalité des missions aériennes de la flotte franco-britannique de reconquête des Malouines) un PA qui à l’époque embarquait systématiquement des armes nucléaires, d’ailleurs les américains aussi ont refusé de participer. Mais ce n’est pas comparable à la situation actuelle. On fait partis de l’OTAN, les anglais font partie de l’UE (c’était assez récent à l’époque des Malouines et l’UE était encore moins militaire qu’actuellement) et la situation politique internationale est beaucoup moins explosive, on risque beaucoup moins de faire dégénérer le conflit en troisième guerre mondiale. En plus la France n’intervient vraiment pas souvent en dehors de l’ONU, l’OTAN ou l’UE et s’il s’agit d’une opération purement national, c’est qu’il s’agit probablement d’une guerre qui pourrait nous permettre de demander l’aide de nos alliés ou d’une opération qu’on peut reporter de quelques mois le temps que le CdG soit de nouveau disponible. En plus on peut très bien louer le PA anglais avec une grande partie de son équipage et se retrouver dans une situation comparable au déploiement d’escadrilles française sur une base étrangère. Nos pilotes déjà tous anglophones n’auront pas de problèmes pour s’intégrer et même pour le reste de l’équipage ça ne devrait pas poser trop de problèmes, les mécaniciens aéro pourront continuer de parler français entre eux, ça ne posera problèmes qu’au mess.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Avec un SNLE qu'on pourrait en cas de besoin configurer en SSGN en un mois pour lancer une grosse centaines de MdCN (la quasi totalité du stock) on reste capable de mener une opération militaire d'envergure face à un pays qu'on a besoin d'affaiblir par une première vague de missile de croisières avant de commencer le conflit. C'est sur que ça ne vaut pas un (et encore moins 3) SSGN en plus des SNLE avec 3 équipages capable en plus des missions de bombardement d'effectuer des missions de reconnaissances, de dépose de commando ou même des missions anti-navires. Mais ce n'est pas le même coût. De même personne ne prétend qu'un SNLE reconfigurable en SSGN soit plus performant que 2 ou 3 drone sous-marins lance missiles capable de lancer plusieurs centaines de SCALP, mais rien qu'avec les MdCN supplémentaires on arrive probablement à un prix plus élevé. Le gros argument du SNLE reconfigurable en SSGN, c'est justement son prix qui peut se réduire à quelques tubes permettant le tir de SCALP et éventuellement à une modernisation de 1 ou 2 de nos SNLE pour leurs permettre cette configuration. Le cout d'entretien serra nul vu qu'il s'agit d'un SNLE et d'un équipage servant pour une autre mission. -
PA2 vu par Thales, Hervé Couteau-Bégarie et l'académie de marine
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Sauf que l’UE n’a rien à faire dans l’Océan Pacifique. A la rigueur la France se doit d’être présente dans le pacifique pour défendre la Polynésie française, mais on ne peut quand même pas demander à l’Europe de prendre à sa charge la défense de la Polynésie Française (qui risque de demander son indépendance) Pour se déployer en Afrique, au Moyen Orient (ou n’importe ou dans la zone d’influence européenne), le PA n’est pas forcement la meilleure solution pour l’Union Européenne (qui dispose probablement de la première force aérienne mondiale en nombre de chasseur tactique pouvant occuper une multitude de bases prépositionnées) Je ne sais pas comment il faut le comprendre. On pourrait interpréter que la France se doit de commander un PA2 et 2 E2C éventuellement au détriment des rafales M et encourager très fortement les autres pays de l’Union de s’équiper de F35B/C, F18E/F (donc de matériel américains), rafale M (on va encore dire qu’on fait ça pour empêcher les ventes de typhoon) ou Sea gripen (c’est pas forcement très crédible mais c’est une solution à peu prés européenne et non française) Si ça marche c’est soit qu’un F35B/C est plus performant que le F35A, soit que c’est une solution pour qu’un pays comme l’Allemagne s’équipe de rafale sans reconnaître officiellement que le Typhoon est une daube. Et il a aussi l’hypothèse hautement improbable, que le Sea Gripen devienne la référence pour l’équipement des forces aériennes des petits pays européens. -
C'est marrant, d'après tous les articles de journaux il n'y a que 2 ou 3 avions embarqués d'envisageables. Mais ce ne sont jamais les mêmes. Le F35B est toujours signalé, le F35C plus rarement (pourtant il ne s'agit que d'un choix militaire sans véritable conséquences industrielle) ensuite suivant les périodes on a des Rafale ou des F18E/F de proposé. Mais le plus comique c'est que BAe (une entreprise britannique) participe quand même au développement et à la commercialisation du gripen donc du Sea Gripen qui serrait probablement plus performant et moins cher que les F35B. En plus le Sea Gripen pourrait presque se contenter des vielles catapultes britannique de 50m. Entre le F35B, le F35C, les F18E/F, le rafale ou le Sea Gripen, je ne suis pas sur du tout que la RN puisse choisir le rafale. Pour les industriels le F35B permet de participer au programme du F35, le F35C permet de participer presque aussi efficacement à ce programme (sauf que la version C risque d’être annulé) le Sea Gripen serrait produit presque intégralement en Angleterre et pourrait presque devenir un succès à l’export (pour remplacer les Sea harrier plus efficacement qu’un STOVL de 25 tonnes et 3 fois plus cher) Le F18 permet de ne pas se fâcher avec les USA (suite à l’annulation des commandes du F35B) d’utiliser des munitions à bas prix et d’être parfaitement compatible avec l’USNavy. Le rafale n’offre aucune contrepartie industriel, l’armement serra rarement le même (les Météor et SCALP me paraissent plus être l’exception) et en plus cela permettrait des comparaisons objectives avec le typhoon risquant d’être contre-productive (surtout que je vois mal la RN faire exprès de perdre face à la RAF) Cela pourrait peut-être pu être envisagé si la France achète un PA anglais en échange, mais je n’y crois plus. Bref j’y crois pas du tout au rafale anglais, il y a 4 (et même 5 avec les F18 biplace) autres appareils plus crédible et si aucun de ses 4 autres appareils n’est choisis l’abandon de l’aéronavale me parait au moins aussi crédible que l’achat de rafale.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je suis parfaitement d'accord, mais avec malgré tout quelques limites. Sans risque à condition qu'on ait un GAN sur place et qu'on soit donc relativement maître de la zone. Si on veut se servir du SSGN pour remplacer le GAN qu'on n'a pas de disponible ce serra beaucoup plus risqué. Peu coûteux, tout dépend comment on compte. Si on compte un stock de 200 missiles qu'on ne va pas tirer ça devient assez cher. Mais si on estime que ces missiles servent aussi aux SNA, ça devient beaucoup moins cher. Et pour le rapide, par rapport à 20 palettes de 10 SCALP pouvant être largué depuis un A400M standard (ou tout autre concept de bombardier), j’ai des doutes. -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Dans le principe je suis d’accord, mais je doute que nos politiques ou dirigeants militaires soient vraiment de cet avis. Déjà on est resté un an à 2 SNLE (plus un en réparation, un en construction et d’autres à la casse) et il n’y a pas eu de crash programme pour (re)mettre en service rapidement un troisième SNLE. Alors 3 à la mer en cas de crise grave, je n’y crois pas du tout. A la rigueur passer de 1 comme actuellement à 2 en permanence à la mer en position de tir en cas de crise grave, mais 3 en permanence à la mer ce n’est même pas envisageable (surtout avec seulement 3 jeu de missiles) Ensuite avec seulement 3 SNLE, même si on en perd (encore) un et qu’on se retrouve avec seulement 2 SNLE pour 6 ans, on conserve notre composante aéroporté nous permettant de faire une frappe sans dévoiler notre unique SNLE restant. Et en cas de crise il ne faudrait que quelques mois pour équiper nos SNA Barracuda de SCALP à tête nucléaire (dérivée de celle des ASMP) ce qui permettrait de compenser partiellement la faiblesse de nos SNLE. Et puis si les Britanniques peuvent compter sur les USA, les Français devraient pouvoir aussi compter sur les Anglais (si on envisage qu’aucun des 7/8 SNLE/SSGN européens ne soient capable de tirer, autant commencer tout de suite les cours de russe). A priori si Paris se fait atomiser et que nos SNLE ont été détruit, les Anglais devraient pouvoir nous venger, sinon ils mériteraient bien un tir d’ASMP. -
Collision entre Le Triomphant et HMS Vanguard
ARPA a répondu à un(e) sujet de Sidewinder dans Europe
En apparence le Triomphant va bientôt reprendre du service, mais pour le Vanguard c'est moins évident. Donc je ne suis pas sur que ce soit la dissuasion française qui ait le plus perdu en crédibilité. Enfin c'est vrai que je ne suis pas sur de bien comprendre la dissuasion anglaise. -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
J'avoue qu'à l'origine j'ai écrit ce post pour le fil du frappeur, mais c’est quand même plus orienté SNLE/SSGN que frappeur. Je ne demande pas de réduire le nombre de SNLE, je suis même contre une modification définitive du SSGN (pour les Français, pour les Anglais c'est un autre problème), mais je pense qu’opérationnellement ce serrait plus simple d’avoir toujours le même SNLE de configuré en SSGN. Cela permettrait de gagner du temps en évitant de déplacer les M51 à chaque escale et surtout en évitant d’installer et désinstaller les conteneur lance SCALP, opération qui pourrait peut-être durer plusieurs semaines. Et pour l’équipage, je verrais bien le SSGN comme une sorte de transition entre les SNA et les SNLE. -
Enfin je ne suis pas sur qu'il y ait eu beaucoup d'observateurs des affrontements F22/Rafale et encore moins qu'ils sachent quelles étaient les tactiques prévues et finalement utilisées. Entre un radar éteint et un radar à puissance réduite n'éclairant que dans la direction du rafale (en tout cas pas vers le sol et les recepteurs des observateurs étrangers) il n'y a pas beaucoup de différence. De même entre 6 rafale radar allumé à fond et 6 rafale dont un seul avec le radar à puissance réduite, il n'y a beaucoup de différences.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Dans le fil de discussion sur la marine britannique il est dit que le SNLE Vanguard risque de ne pas être réparé. Je me demandait s’il n’était pas envisageable d’en profiter pour convertir (définitivement ou non) un SNLE en SSGN (et ça permet aussi d'avoir une sorte de frappeur). Pour le SNLE Anglais, je pense plutôt à une modification définitive vu qu’il risque de ne plus servir de SNLE. Mais pour les SNLE français, je verrais plutôt une modification provisoire avec par exemple des conteneurs lance missiles de croisière à la place des M51. Les SNLE français serraient plus adaptés à une modification provisoire vu que nos M51 sont plus large que les tridents (donc on a plus de place pour les conteneurs) Mais si on décide de modifier nos SNLE en SSGN, le premier serra probablement disponible largement avant 2017 et l’arrivé du Suffren et de ses SCALP Naval donc je me demande si on ne risque pas d’avoir du mal à trouver les MdCN a installer dans le SSGN (parce que un SSGN sans MdCN c’est ridicule) La version sans changement de milieu (pour les FREMM) devrait être disponible pour 2013. Si on décide de modifier la commande de SCALP Naval en remplaçant des SCALP tirés depuis les FREMM par des SCALP tiré depuis le SSGN, cela nous permettrait probablement de disposer d’un SSGN à partir de 2015. Ce SSGN (à 112 SCALP) remplacera 7 FREMM (à 16 SCALP) en capacité de tir de SCALP et les FREMM pourraient s’équiper d’Aster 30 supplémentaires (ou tout autre armement) et donc augmenter leur puissance défensive. Je me trompe peut-être, mais vu qu’on va avoir 4 SNLE NG assez récent (13 ans pour le plus vieux pour une durée de vie pouvant atteindre les 40 ans si elle est comme celle prévue pour les Suffren) pour seulement 3 jeu de missiles M51 et qu’on commence à admettre que 3 SNLE ça suffit (on est même passé à 2 sans chercher à remettre en service l’inflexible retiré du service depuis moins de 2 ans) on aurait peut-être plus besoin d’un SSGN que d’un 4eme SNLE (surtout si ce n’est pas une transformation définitive) En plus nos 6 SNA rubis commencent à être vraiment vieux et nos 6 SNA Suffren se font attendre (les rubis auront 35 ans quand ils se feront remplacé et non 25 comme prévu initialement) donc un SSGN pouvant les compléter pour des missions conventionnelles serrait peut-être un plus non négligeable. Pour la crédibilité de la dissuasion, s’il ne s’agit pas d’une transformation définitive (s’il ne faut que quelques mois pour le remettre en configuration SNLE) cela nous permettrait de disposer assez rapidement d’un 4eme SNLE en cas d’accident sur un de nos 3 SNLE en service. Et évidemment on pourrait aussi conserver quelques M51 sur ce SSGN qui n’aura pas du tout les mêmes zones de patrouille que les autres SNLE. Quand au coût financier du SSGN, il est assez restreint vu que le SNLE est déjà construit et sa transformation, même si elle coûte assez cher, coûtera bien moins cher qu’un SNA de la classe Barracuda à peine plus adapté à nos besoins. Si on ne compte pas le prix des SCALP (qui remplacent ceux des FREMM et des SNA) et qu’on a un coût d’entretien nul (vu qu’il remplace un SNLE) il ne reste à payer que la modification d’un SNLE (voire 2 si on veut conserver un SSGN même pendant les IPER) et 16 (ou moins si on conserve des M51) conteneurs lance SCALP remplaçant les M51. -
Même si je vois mal les Américains participer à une guerre en infériorité numérique, il est probable que ce soit le cas pour les Russes. En cas de conflit entre l'UE et la Russie on aura bien un rapport de 1 contre 4 au détriment des Russes, même en comptant quelques Su35.