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Tout ce qui a été posté par g4lly
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Vouloir le beurre, l'argent, du beurre, le cul de la crémière et le sourire du crémier ...
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A une époque ou la population vomi sont extimité sur internet ... des drones qui prennent qui poursuivent un contrevenant c'est le dernier des soucis des francais. Accessoirement les hélicopteres de la Gendarmerie servent à ca ... c'est très couteux, rare, et polluant. Un drone "reco" qui patrouille pour de bonne raison je ne suis pas sûr que ce soit mieux ou pire que le "vidéo protection avec identification faciale, qualification de l'individu et tout le tralala. L'idée panoptique n'est pas prête de d’arrêté, le gouvernement relance l'idée du fichage génétique généralisé, et la recherche systématique de parentèle dans les "cold case" ... ca émeut quelqu'un? Personne. Qui s'émeut que sa voiture le film y compris chez lui H24 pour envoyer les vidéo à Elon qui doit bien se marrer ... qui s'émeut que son téléphone l'écoute en train de chier ... La liberté qui intéresse les gens aujourd'hui c'est celle de chier sur la table ou de faire chier son voisin ... pas de disposer d'intimité, de n’être pas surveiller ...
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Vu le nombre du policiers en permanence sur la voie publique dans Paris, il y avait forcément du monde quelques part... ... au delà des motards moi je privilégierait des drones genre FPV selon le besoin, des ogivaux ou des hexacopter selon la vitesse et le stationnaire qu'on souhaite. Les ogivaux ils filent jusqu'à 400km/h on arrive à suivre une F1 pendant une qualif de GP avec ... En gros un drone c'est juste une caméra de surveillance mobile, parfait pour suivre des véhicules dans le traffic.
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J'ai aussi beaucoup de mal avec cette idée de mixité "cavalière". Il y a un probleme de fonction et un probleme de forme. Que veut on faire avec, ensuite avec quoi on le fait. L’intérêt d'un plus gros canon, c'est d'envoyer des plus gros objet plus loin. Si on arrive à avoir un débattement de l'arme de 30° par exemple, on peut envisager détruire des positions élevé en localité, les "citadelle" en Ukraine par exemple. Et ici un obus de 140 fera forcément mieux l'affaire qu'un obus de 120. Idéalement on le faisait à l'AuF1 ... On peut aussi au besoin envoyer des obus à "15 km" - le 120 allait à 12km -. Le jour ou il n'y a pas d'engin nécessitant plus qu'un autocanon pour être traité en sécurité l'engin à quand meme un role envisageable de canon d'assaut. Si on arrive à produire une munition suffit "explosive" on peut faire de la destruction d'obstacle de manière organique. Les US font ca avec leur obus HE de démolition en 120mm j'ai toujours eu un petit doute sur les effet des HE 120 mais ca démontre quand meme une capacité notable. Évidement avec une grosse flèche 140 et les moyen de détection adéquats - pour moi à minima un mat drone téthérisé permettant de servir de viseur déporté -... tu peux meme tirer à couvert. La flèche traverse une foret, un merlon, un patée de maison comme du beurre. J'aurais tendance à filer du 105 aux artilleurs, en tourelle, mais idéalement avec la possibilité d'y glisser un obus monobloc aussi - en gros on a des obus classique plus charge modulaire, mais aussi la possibilité d'avoir un coup complet en un seul fardeau rapide à glisser dedans pour les tirs nécessitant un cadence élevé, en gros le combat rapproché -. Un 105 genre G7 ... stabilisé et capable d'envoyer aussi des coup monobloc ca fait un joli canon d'assaut. Ca tape à peut prêt n'importe quel blindé du champ de bataille. Ca ne percera pas forcément le MBT mais ca fera de gros bobos à tous les accessoires. Et bien sur ca fait un travail d'artillerie à +30km.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
L'obus on sait y faire du contrôle qualité non destructif, en fin de production. On le pèse, on le mesure c'est que de la cinématique. Là ou c'est plus subtile c'est au niveau des charges de propulsion, qui vont conditionner la vitesse de l'obus et donc in fine la distance qu'il va parcourir. S'il y a trop de disparité dans la combustion des charges on va avoir une dispersion longitudinale ingérable, avec une zone d'impact de forme elliptique très élancées. Ca se corrige avec des fusée frein type Spacido mais on en utilise pas. En gros le seul contrôle qu'on a sur la vitesse initiale c'est l'homogénéité de la production des charges... pour que les coups soient reproductible les un après les autres. S'il y a des dérives entre lots peut importe, on sait corrigé après un ou deux tirs. Mais dans le même lot il faut scrupuleusement les mêmes effet. Si la qualité baisse à ce sujet et que les charge sont plus ou moins énergétique ... il faut compenser en dépensant dans l'obus, soit les fusée frein, soit un système de guidage etc. ... soit en consommant plus d'obus, donc plus de poudre, plus d'acier, plus de temps, plus de canon, plus de risque etc. Rapidement tu t'aperçois que de rogner sur la qualité de la poudre propulsive peu s'avérer couteux à terme. Rogner sur la qualité de la poudre "explosive" est un moins souci par contre, sauf si ca met en jeu la sécurité des servant. La aussi on s'apercoit que le surcout de la muratisation peut s'avérer payant. Si quand un drone tape ton Caesar le chargement n'explose pas, le truc sera probablement réparable et pourra repartir combattre. Si tu fais l'économie de muratisation tu risque de perdre le canon et les servants, ou employer des tactiques différentes - pas de munition dans le véhicule -. -
http://lemonde.fr/sciences/article/2025/10/20/comment-la-lecture-stimule-le-cerveau-favorisant-le-developpement-de-la-memoire-et-de-la-creativite_6648282_1650684.html Comment la lecture « enclenche une véritable symphonie » dans le cerveau Les neuroscientifiques ont analysé les mécanismes en œuvre et sont unanimes sur les bienfaits de la lecture sur les capacités cognitives. Ils encouragent vivement cette activité dès le plus jeune âge alors que les Français lisent de moins en moins et consacrent sans cesse plus de temps aux écrans. Trente et une minutes par jour. C’est, en 2025, le temps moyen passé par les Français à lire (ni pour le travail ni pour les études), sur format numérique ou papier. Soit trois heures quarante par semaine. A comparer aux trois heures vingt et une minutes chaque jour devant un écran (hors lecture numérique ou écoute de livres), soit vingt-trois heures vingt-sept minutes hebdomadaires ! Un écart considérable, le temps consacré à la lecture reculant tandis que celui sur écrans n’a cessé de progresser, notamment avec la généralisation des smartphones. Tel est le constat du baromètre publié en avril par le Centre national du livre (CNL), une enquête réalisée en janvier par Ipsos par téléphone, tous les deux ans, auprès d’un échantillon représentatif de 1 001 Français âgés de 15 ans et plus. « Comme pour toute enquête par sondage, ces données sont déclaratives. Nous supposons que le temps d’écran est en réalité plus important que déclaré, et celui de lecture plus faible », note le CNL. Pour la première fois depuis la création de l’étude en 2015, moins de la moitié (45 %) des Français lisent quotidiennement. Les 50-64 ans, traditionnellement plus gros lecteurs, ne sont pas épargnés non plus. Les 7-19 ans passent quant à eux dix fois plus de temps sur les écrans qu’à lire chaque jour (trois heures onze minutes, contre dix-neuf minutes de lecture…), selon une autre enquête du CNL, consacrée aux jeunes et publiée en 2024. Fait inquiétant, même quand les Français lisent, ils sont 27 % à faire autre chose en même temps : envoyer des messages, aller sur les réseaux sociaux… Un phénomène qui touche plus de la moitié (53 %) des jeunes (15-24 ans), qui disent avoir du mal à se concentrer. L’enquête sur les pratiques culturelles des Français de 15 ans et plus, menée par le ministère de la culture depuis le début des années 1970, va dans le même sens. La part de ceux qui lisent au moins un livre par an en dehors de l’école et du travail est passée de 73 % en 1988 à 62 % en 2018. Le déclin de la lecture étant essentiellement masculin. Lire la chronique (2025) | Article réservé à nos abonnés « Les Français lisent beaucoup moins, on prédit la mort de la littérature, et tout le monde s’en fiche » Le phénomène est mondial. Aux Etats-Unis, la lecture quotidienne pour le plaisir s’est effondrée de plus de 40 % en vingt ans, passant de 28 % à 16 %, selon une étude publiée en 2023, conduite par l’université de Floride et l’University College de Londres (UCL), à partir des données de quelque 236 000 Américains. Soit une érosion de 3 % par an… surtout dans les milieux défavorisés. Des signaux inquiétants « Ce constat alarmant est un drame pour la société. La lecture est menacée par l’omniprésence des écrans, l’enfermement algorithmique et la fragmentation de l’attention créés par les réseaux sociaux, alerte Régine Hatchondo, présidente du CNL. Le risque est d’aboutir à des civilisations qui n’auraient plus la maîtrise de la nuance et de la subtilité de la langue que la lecture peut développer, voire qui auraient une difficulté à penser le monde, à faire preuve d’esprit critique. » Un danger perceptible. En 2024, 13 % des jeunes participant à la Journée défense et citoyenneté présentaient des difficultés en lecture et 6 % pouvaient être considérés comme étant en situation d’illettrisme, selon une note publiée le 14 octobre par la direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance du ministère de l’éducation nationale. La France se situe en 28e position en compréhension de l’écrit dans le dernier classement PISA (Programme international pour le suivi des acquis des élèves), piloté par l’Organisation de coopération et de développement économiques, qui mesure la capacité des jeunes de 15 ans à utiliser leurs connaissances. Autant de signaux qui interpellent. Pourtant, pour beaucoup d’entre nous, lire reste « un souvenir doux », « une amitié pure et calme », écrivait Marcel Proust en 1905 dans son essai Sur la lecture, dans lequel il évoque ses lectures d’enfant. Nombre d’artistes et d’intellectuels en vantent ses vertus pour « apprivoiser leurs peurs, réparer un monde intérieur… », note l’anthropologue Michèle Petit dans Eloge de la lecture (Belin, 2002). Ou la voient comme un plaisir partagé, à l’image d’Arthur Teboul, chanteur et parolier du groupe Feu ! Chatterton, qui, adolescent, « partageait des textes de poésie avec ses copains » et manie aujourd’hui la langue avec brio. Comment expliquer de tels effets ? Que se passe-t-il dans le cerveau quand nous lisons ? Si celui-ci est prédisposé dès la naissance à accomplir certaines tâches avec un minimum d’instruction, comme reconnaître les objets ou parler, il n’en est rien pour lire. « Notre cerveau n’a pas de système inné de la lecture, c’est fascinant », relève Laurent Cohen, neurologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (AP-HP) et codirecteur de Picnic-Lab, une équipe de recherche en neurosciences cognitives, à l’Institut du cerveau à Paris. Inventée il y a un peu plus de 5 000 ans, l’écriture est récente à l’échelle de l’évolution de l’homme. Quand nous lisons un mot, la première étape consiste à reconnaître visuellement les lettres, l’ordre dans lequel elles sont rangées. Par exemple, devant le mot « piano », nous identifions P, I, A, N, O. Comme le rappelle Laurent Cohen, le neurologue français Jules Déjerine (1849-1917) a rapporté l’histoire d’un commerçant parisien qui s’était réveillé, un matin, en 1887, incapable de lire, tout en écrivant, en parlant normalement et en reconnaissant aussi bien qu’auparavant les objets et les personnes. Le A avait pour lui la forme d’un chevalet, le S d’un serpent, et ainsi de suite, sans qu’il puisse reconnaître les lettres. Il avait subi pendant la nuit un AVC dans la région arrière de son hémisphère gauche. C’est ainsi que Jules Déjerine a mis en lumière l’existence d’une aire du cerveau spécialisée dans la lecture. « Boîte aux lettres » En étudiant par imagerie d’autres cas de patients avec une tumeur ou un AVC ayant perdu l’usage de la lecture, Laurent Cohen et ses collègues Stanislas Dehaene, neuroscientifique, et Lionel Naccache, neurologue, ont mis en lumière (dans une étude parue dans Brain en 2000) une petite région particulière, spécialisée dans la reconnaissance visuelle des lettres et identique quelle que soit la langue. Située dans le sillon occipito-temporal, à l’arrière de l’hémisphère gauche, elle a été baptisée « aire de la forme visuelle des mots », ou « boîte aux lettres du cerveau », par Stanislas Dehaene. Si elle est endommagée, les personnes ne savent plus lire. Si elle n’a pas encore dévoilé tous ses mystères, la région des graphèmes, qui désignent l’écriture d’un son, décrite dans la revue PNAS, en 2019, « reste un exemple frappant de la capacité du cerveau à se modifier et à s’adapter ». Chez les enfants qui apprennent à lire, c’est cette même zone de reconnaissance des lettres qui se spécialise progressivement. Une étude publiée dans PLOS Biology, coordonnée par Ghislaine Dehaene-Lambertz, directrice de recherche au CNRS en sciences cognitives, a ainsi étudié par IRM les mêmes enfants avant, pendant et après leur entrée au CP. Avant que l’enfant ne sache lire, cette région s’active autant quand ils voient des lettres, des visages, des objets, etc. Dès le début de la lecture, elle commence à répondre de façon privilégiée aux lettres. Au départ, la lecture se fait lettre par lettre. Avec la pratique, le cerveau reconnaît de façon quasi instantanée les lettres et les mots. « Nous pouvons aussi lire aisément un mot inventé, par exemple “cliboufa”, poursuit Laurent Cohen. En gros, la lecture mobilise plusieurs zones cérébrales, celles du cortex visuel, du langage, de l’attention… et active les connexions cérébrales (la substance blanche). » Bien plus qu’un déchiffrage de mots, « la lecture développe aussi l’ensemble des fonctions cognitives : attention, mémoire, compréhension, esprit critique, imagination… et enclenche une véritable symphonie cérébrale, observe la neuropsychologue Sylvie Chokron, directrice de recherche au CNRS (Laboratoire de psychologie de la perception, université Paris-Descartes, Fondation ophtalmologique Rothschild), contributrice régulière du Monde. Lire renforce aussi la créativité, l’un des piliers de l’intelligence. Un même lecteur peut ainsi se construire une image différente à partir de la même phrase, lui permettant de changer de point de vue », poursuit la chercheuse. Par exemple, la lecture d’un roman policier active des aires spécifiques (frontales en particulier), de très haut niveau, « telles que l’anticipation, la prédiction ou encore le raisonnement, le jugement critique », comme l’écrivait Sylvie Chokron dans l’une de ses cartes blanches, en avril, en citant des chercheurs qui ont enregistré l’activité cérébrale de participants en IRM fonctionnelle pendant que ceux-ci lisaient une nouvelle à suspense, Le Marchand de sable, de E.T.A. Hoffmann (1776-1822). Lire la carte blanche de Sylvie Chokron (2025) | Article réservé à nos abonnés La lecture, une mine de bienfaits pour notre cerveau Michel Desmurget, directeur de recherche à l’Inserm, compare la lecture à une « machine à fabriquer l’intelligence » dans son livre Faites-les lire ! Pour en finir avec le crétin digital (Seuil, 2023). Un véritable cri d’alarme. A ses yeux, ses effets bénéfiques sont massifs et pourtant sous-estimés. « Une leçon d’émotions » C’est aussi une « porte d’entrée unique dans le monde des mots, elle donne accès à une quantité gigantesque d’informations, qui serait inaccessible autrement », souligne Laurent Cohen. « La langue y est bien plus riche qu’à l’oral en matière de vocabulaire, de grammaire, de conjugaisons. Des mots comme “saillant”, “hagard”, “cocasse”, “chancelant”, “ritournelle”… ou des temps comme le passé simple et le plus-que-parfait sont bien plus présents à l’écrit », rappelle Michel Desmurget. Relisez des contes d’Andersen comme Poucette ou les livres de Claude Ponti. Leur richesse lexicale et grammaticale est frappante. Plusieurs études ont montré que des livres illustrés pour enfants de 0 à 5 ans sont plus denses et plus diversifiés que tous les corpus oraux standards : discussion adulte-enfant, discussions entre adultes, films, programmes télé de divertissement, dessins animés… Ils comprennent ainsi une proportion plus importante de formes complexes et de mots rares, comme le constate le chercheur dans son livre. Extrait de la série d’autoportraits « Fantaisie impromptue », de Marie-Clémence David, réalisée en mars 2020, alors que la décision d’un confinement paraissait imminente. MARIE-CLÉMENCE DAVID/LIGHT MOTIV La lecture joue également un rôle dans la réussite scolaire. Une étude longitudinale menée par la sociologue Mariah Evans (université du Nevada) en 2010 avec des chercheurs de l’université de Los Angeles et de l’Université nationale australienne a montré, « toutes choses égales par ailleurs, qu’avoir plus de 500 livres à la maison est fortement lié à la réussite scolaire des enfants, et aussi important que le niveau d’études des parents ». Mais ce n’est pas tout : « Lire renforce aussi les compétences socioémotionnelles et l’empathie, ce que les réseaux sociaux, qui ne laissent pas le temps du jugement critique, tendent à affaiblir », constate Sylvie Chokron, qui fait partie du comité de pilotage des états généraux de la lecture pour la jeunesse lancés en juillet par les ministères de la culture et de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche. S’immerger dans un récit, s’identifier aux personnages, à leurs ressentis, à l’auteur, « c’est un peu comme une leçon d’émotions ». La fiction agit, pour Michel Desmurget, comme un véritable « simulateur social ». « Bien des activités informelles de loisir, telles qu’on peut les pratiquer en famille, structurent positivement le cerveau (musique, sport, etc.), mais je n’en ai trouvé aucune qui ait des impacts aussi profonds et décisifs que la lecture. » Lire aussi (2025) | Article réservé à nos abonnés A l’hôpital Bicêtre, un programme qui permet aux enfants dys d’apprivoiser les mots : « L’objectif est qu’ils reprennent confiance en leurs capacités » Face au déclin des pratiques de lecture, certains tirent la sonnette d’alarme. « Il y a urgence. Si rien n’est fait, nous avons toutes les raisons d’être inquiets », alerte Régine Hatchondo, qui appelle à un « réveil citoyen collectif » pour réguler les écrans, qui ont une incidence négative et néfaste sur le temps de lecture. Pour développer la lecture, désignée en 2021 « grande cause nationale » par le président de la République, le CNL parie sur des outils, comme Partir en livre, les Nuits de la lecture, du 21 au 25 janvier 2026, ou encore le « quart d’heure national », le deuxième mardi du mois de mars. Ce dernier, avec son slogan « Eteignez votre portable, allumez votre cerveau, lisez », vise à redonner le goût de la lecture, un peu sur le mode des mois sans alcool ou sans tabac. Dès le plus jeune âge L’institution soutient aussi des rencontres d’auteurs – 4 000 depuis 2022 – avec l’éducation nationale, qui interviennent dans des établissements scolaires. Et d’autres projets sont portés par des collectivités territoriales, des bibliothèques, des hôpitaux tel le projet Mots parleurs destiné aux enfants ayant des troubles du langage. Lire aussi (2025) | Article réservé à nos abonnés A l’hôpital Bicêtre, un programme qui permet aux enfants dys d’apprivoiser les mots : « L’objectif est qu’ils reprennent confiance en leurs capacités » Les états généraux de la lecture pour la jeunesse doivent rendre leurs travaux lors du Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis, qui se tient à Montreuil du 26 novembre au 1er décembre. Ils ont pour objectif de proposer des solutions pour redonner le goût du livre. C’est un véritable plaidoyer pour la lecture que lance elle aussi la neuroscientifique Maryanne Wolf, professeure à l’université de Californie à Los Angeles, dans Lecteur, reste avec nous ! (Rosie & Wolfe, 2023), préfacé par l’écrivain Joël Dicker. L’enjeu est, selon elle, d’« engager les jeunes générations à lire davantage pour leur permettre de penser par elles-mêmes ». « Quand nous scrollons, nous ne nous donnons pas le temps pour comprendre ce que nous voyons ou lisons. Le numérique nous vole du temps de réflexion », insiste Maryanne Wolf. Nombre d’initiatives sont aussi créées au niveau local par des associations, dans les établissements scolaires, dans des bibliothèques… Pour certains experts, la lecture à voix haute permettrait à celui qui écoute d’être davantage en capacité de se mettre dans la tête de celui qui écrit. Un exemple, l’association Lève les yeux a lancé en 2024 le projet Plus de livres, moins d’écrans, proposé aux enfants de 9 à 11 ans dans des centres sociaux de Marseille et animé par l’auteur Gary Ghislain. « Face aux effets néfastes des écrans, la lecture nous est apparue comme une des meilleures réponses pour recouvrer des capacités cognitives », constate Yves Marry, délégué général de Lève les yeux. Le programme va être étendu à d’autres villes. La lecture et l’écriture peuvent aussi être utilisées comme thérapeutique, avec la bibliothérapie pour apaiser notre mal-être et aller mieux. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Pour bien comprendre un texte complexe, mieux vaut le lire sur papier que sur écran… Lire avec les enfants dès le plus jeune âge semble être l’une des pistes les plus prometteuses pour enrayer cette diminution du temps de lecture. « Cela favorise non seulement le langage et l’alphabétisation, mais aussi l’empathie, le lien social, le développement affectif et la préparation à l’école », souligne Daisy Fancourt (University College de Londres) dans un communiqué de l’UCL. L’Académie américaine de pédiatrie recommande elle aussi de lire aux tout-petits « pour soutenir le développement précoce du cerveau et de l’enfant ». Pour Michel Desmurget, il est crucial d’informer les parents, et notamment ceux issus des milieux défavorisés, de « l’apport unique et massif de la lecture », car « c’est un facteur essentiel d’intégration citoyenne et de résorption des inégalités sociales ».
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Perce 4 fois plus que quoi? --- La flèche n'est pas guidée donc pas leur table ou brouillable. Elle est rapide donc pas intercepté le par les APS. Elle se tire en riposte à la hausse de combat en un clin d'œil, pas besoin de télémétrie ou quoique ce soit. Sur un autocanon on peut la tirer en rafale... --- La charge creuse est plus vulnérables aussi bien en vol qu'au moment où elle se forme... Et la capacité de perforation est au prorata du diamètre. En général autour de 6 ou 7 fois le diamètre. La pénétration de la flèche est en général presque aussi grande que la flèche elle même. Une fusée de 84mm percera autour de 500/550mm RHAeq. Une flèche de 250mm percera en gros 230mm RHAeq.
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Comment tu détectes puis détruit un simple tireur embusqué de Javelin à 3000m ?! Avant qu'il ne tire ... Je ne parle meme pas des ATGM NLOS.
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Note que le VBCI aussi aime mieux voyager sur plateau, et on le fait dès qu'on le peu pour économiser du potentiel. Franchement un tracteur routier et une remorque plateau c'est vraiment pas la mer à boire, c'est COTS le conducteur PL on en trouve ou en forme à la pelle ... et en temps de guerre ca coutera peanuts. En plus de ca en cas de conflit haute intensité la durée de vie des engins au contact est tellement courte qu'on risque de n'avoir pas tant besoin de porte char que ca. Si tu veux faire la guerre oui ... sinon non. Apres on peut vouloir faire la guerre sans blindé, les ukrainiens le font bien depuis 1 an ... et ca ne semble pas si handicapant que cela à ce point des opération. Mais oui si tu veux des chars en plus de la force "légère" ... il va falloir ajouter des engins. Les mettre sur roulette ne fera que les allourdir d'ailleurs. Mais la aussi on peut tres bien accepter de faire sans. Si on compte faire la guerre il ne va pas falloir se contenter d'une petite armée ... l'exemple ukrainien le montre trivialement. Si effectivement on compte sur d'autre pour la faire à notre place pourquoi s'emmerder à acheter des chars ?! Autant leur vendre, avec les portes chars qui vont bien. C'est la reine des hangars parce que l'AdT refuse de la déployer parce que l'AdT refuse d'organiser un budget MCO adéquate. Le Tigre et le Leclerc "pompait" une part très importante du budget MCO. Soit on ne peut pas augmenter le budget MCO et on fait comme les ukrainien sans Tigre et sans Leclerc ... soit on adapte le budget MCO et on s'arme intelligement. Mais je ne vois pas en quoi des engins tel que présenté dans MGCS par exemple seraient des investissement moins utile que des Griffon ou des Jaguar ?!!! Quelques soit le théâtre. Ca tu oublie à 12t l'essieu sur du pneu PL tout terrain classique - dans les dimensions - en tout terrain tu vas en chier sa mere. En France on a la chance d'avoir beaucoup de sol glissant mais porteur, et c'est la dessus que roule le SPRAT ... mais ailleurs ca ne va pas etre la meme musique, meme juste au niveau de traction. Ca reste une histoire de compromis, si effectivement tu acceptes un tank avec une mobilité tactique limité fonce, prend un Leclerc à 5 essieu de SPRAT ... demande à Nexter un démonstrateur, puis va te promener cette hiver en ukraine avec. C'est pas un hasard si les "autres" quand ils veulent faire du lourd à roulette par sur des trains roulant d'engin de mine.
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150mm d'épaisseur ou "d'aspect" ... parce que les flèche de 40mm percent 150mm@0° et les flèches de 57mm percent +200mm@0° - probablement 230mm - Pour qu'une épaisseur de blindage de 150mm protège contre les flèches de 57mm - et encore ce qui est présenté par les russe est particulièrement conservateur concernant la longueur modeste de la flèche - il faut l'incliner à 60°.
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Pourtant tout est parfaitement expliqué mais tu t’entête. Sur un engin de meme masse ... si tu utilise la roue tu consomme beaucoup plus de masse pour la mobilité - la chenille est la transmission secondaire du chenillé, elle joue dont deux role pour le meme prix ce qui propose une économie de masse importante par rapport à une transmission secondaire AWD d'un PL tout terrain - qu'avec un chenillé. Masse qui va cannibaliser la masse du blindage que tu peux mettre dessus. Tu vas avoir un engin bien moins mobile tactiquement, bien moins compact - l'illustration est flagrante - , et bien moins blindé... quel intérêt?!
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A quel moment un char est capable de détruire un ATGM un peu récent ?!!! Même un vulgaire Javelin ? Le drone kamikaze n'est que la version bon marché de l'ATGM ... la différence c'est que contrairement ATGM "LOS" - les moins cher - le drone est plus ou moins NLOS.
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Le souci avec les véhicules modernes c'est qu'ils semblent si faciles à prendre en main, si confortables - on est isolé de retour de la mécanique, de la direction, des suspensions -, si bien suspendu et guidé, qu'on a tendance à y aller gaîment sans ressentir les limites. En gros la marge entre zone de confort ressenti, et limite physique est comprimé, de sorte que cette marge peu facilement être dépassé si on se retrouve surpris. Autant sur une chaussée on peut rattraper le truc souvent. Sur une piste un peu vicieuse souvent quand ça part par surprise c'est déjà gentiment la loterie. Malgré toutes les qualités d'un véhicule la physique est implacable... S'il ne peut pas glisser - parce qu'il sur retrouve calé dans une ornières - et qu'il y a trop de charge transversale... Il pivote autour du bord extérieur du pneumatique et là il suffit d'un instant pour de retrouver au delà de la stabilité, l'inertie étant une belle salope. Ce qui est étonnant c'est qu'on s'en étonne encore. Certes les automobilistes qui ne pratique que la route et les voitures modernes doté de contrôle de stabilité sont peu exposé à ce risque. Sauf à taper un truc, le système va actionner les freins de manière a aligner la voiture et la vitesse transformant la charge transversale en charge longitudinale, le temps de manger la vitesse en trop. Mais en tout terrain un peu rapide ça ne fonctionne pas aussi bien. Le système n'ayant aucune conscience de la géométrie de la surface et de ses qualités avant d'y poser les roues est incapable de calculer le bon choix avec certitude. Autre petit détail. Le Jaguar n'est pas très large, et avec les suspensions en position haute pour le tout terrain l'engin est pas vraiment bas... Ça ne permet pas une stabilité transversale terrible.
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Tu me donnes n'importe quel véhicule j'arrive a te le foutre sur le toit sans trop forcer... ... C'est encore plus facile en tout terrain rapide. Une bête ornières un peu profonde et un peu inattendue peut te mettre un engin sur le toit. Sur la plupart des engins le problème est souvent entre le volant et siege du conducteur. On remarquera que seule une trappe semble ouverte. Et je doute qu'elles aient été fermées après l'accident. On peut supposer que l'engin était conduit trappe pilote et pilote fermé a minima. Les episcopes c'est pas forcément idéal pour la vision vers l'avant a vitesse importante en tout terrain.
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[OTAN/NATO]
g4lly a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Ça dépend ce que tu appelles "raison". La raison d'être de l'OTAN c'est la prise en main politique via leur intérêt militaire des pays ayant décidé de former un groupe "ouest". A partir de la disparition du PaVa l'OTAN n'avait plus vraiment d'ennemis... Mais par précaution à accueilli les fuyards de l'influence russe. C'était presque une mission humanitaire... Et puis pour continuer a avoir un sens médiatique s'est imposé comme "occupants" de l'Afghanistan par exemple. Cela aurait dû lui permettre d'assoir une nouvelle dimension universelle à l'organisation... Qui n'était plus seulement la défense de l'ouest contre l'est... Mais la défense des intérêts "occidentaux" un peu partout où ça compte. Et a ce moment les intérêts occidentaux c'était la guerre contre l'islamisme radical, du moins ceux avec lesquels on était pas pote. La guerre civile puis les différentes invasion de l'Ukraine on rebattu un peu les cartes en remettant au centre le rôle militaire. L'UE n'ayant jamais réussi a reprendre la tête sur le sujet. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Avec des amis pareil pas besoin d'ennemis... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
"Trump" pense/espère que la Russie est reconciliable... Et surtout qu'il en a besoin dans le cadre de la confrontation avec la Chine. L'autre souci c'est qu'à mon sens les USA estiment qu'ils sont trop loin et la Russie trop près pour pouvoir gagner durablement sans que cela ait un coût inapproprié avec les besoins des USA. C'était déjà la position sous Obama d'ailleurs. Pour le reste Trump et les USA n'aiment pas que leur vassaux exprime via une capacité de nuisance trop importante une possibilité de chier sur la table... Et donc régulièrement ils ressentent le besoin de montrer qu'ils brisent le bras de celui qui ne veut pas suivre leur plan. Reste que la position publique des USA a à mon sens plus à voir avec une posture médiatique qu'avec l'expression de tel ou tel plan. Dans toutes les communications de politiques étrangère une grande partie du message vise la clientèle domestique... -
Pays baltes
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Ça s'appelle, des tendances, des associations, de collisions médiatiques. Et quoi que tu en penses quand dans la même période on parle de déportation en Israël et de déportation et Lettonie, inconsciemment la plupart vont procéder a une association d'action . C'est de la neurosciences élémentaire... Et c'est probablement une faiblesse de l'esprit humain. Le fait est que c'est comme ça que l'humanité fonctionne. Tu peux trouver ça ridicule ou idiot peut importe ça s'impose a nous de fait. -
Pays baltes
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Le problème du nationalisme balte c'est qu'il risque de les couper du soutien d'une partie des Européens... C'est un calcul, gain é politique intérieure vs perte en politique extérieure. Mais au moment où Israël risque de finir lui même un état paria sur le sujet, je pense qu'il est assez maladroit pour les baltes de monter au cocotier... -
Pays baltes
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est un mouvement qui dure depuis longtemps https://www.courrierinternational.com/article/minorites-trois-mille-citoyens-russes-ages-en-instance-d-expulsion-de-la-lettonie Trois mille citoyens russes âgés en instance d’expulsion de la Lettonie Le 20 septembre, le Bureau de la citoyenneté et de la migration de Lettonie a annoncé que plus de 3 000 résidents de nationalité russe seraient prochainement officiellement informés par courrier que, “conformément à la nouvelle la loi sur l’immigration”, ils devraient quitter la république de Lettonie avant le 30 novembre 2023. Comme le rapporte le site de la chaîne publique de Lettonie LSM, ils avaient jusqu’au 1er septembre pour faire leur demande de renouvellement de carte de résident de longue durée et passer l’examen de langue lettone, obligation à laquelle ils ont dérogé. En 2022, en réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, un amendement à la loi a durci les règles de résidence en Lettonie pour les citoyens russes. La Lettonie, qui compte 1,9 million d’habitants, est limitrophe de la Russie. Une forte minorité russe habite le pays (environ 24 % de la population), dont la majorité sont des immigrants de l’ère soviétique et leurs descendants. Selon les statistiques officielles lettones, 445 600 Russes vivent en Lettonie. Près de 299 000 d’entre eux ont la nationalité lettone, environ 116 000 sont des “résidents non-citoyens” (c’est-à-dire qu’ils n’ont aucune citoyenneté depuis la perte de leur passeport soviétique, en 1991), 31 200 des citoyens d’autres États et environ 38 000 sont citoyens de la Fédération de Russie. Toujours selon le site de Riga, 13 147 citoyens russes se sont inscrits au test de langue, 11 301 s’y sont présentés, 4 400 l’ont réussi du premier coup, 6 000 ont demandé à le repasser. En tout, 25 000 personnes étaient censées se présenter à cette épreuve. Selon le site économique russe RBK, un allègement récent des règles permettait d’obtenir un maintien sur le territoire pendant deux années supplémentaires pour les personnes qui ont demandé de pouvoir repasser le test après un premier échec. Finalement, après des ajustements administratifs, selon RBK, en date du 6 octobre ce sont 3 255 personnes qui ont été averties de l’expiration de leurs droits. Les autorités lettones ont fait savoir qu’elles contrôleraient, en décembre 2023, si les personnes en situation d’infraction ont bien quitté le territoire. Si ce n’est pas le cas, elles seront alors priées de le faire “dans les trois mois”, ce délai permettant de “ne pas les bousculer”, relaie toujours RBK. “La Russie est mise devant le fait accompli” Le 6 octobre, le ministère des Affaires étrangères russe a annoncé que la Russie accueillerait les Russes de Lettonie qui seraient “déportés”, rapporte encore RBK. “Si les choses vont jusqu’au renvoi de nos compatriotes vers leur patrie d’origine, la Russie fera le maximum pour les prendre en charge”, a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères, Alexandre Glouchko. Cette situation provoque l’indignation en Russie, notamment parce que les résidents de Lettonie menacés de se retrouver à la rue sont majoritairement des personnes âgées. Pour toutes sortes de raisons liées à leur état physique ou intellectuel, ces démarches et surtout le test de langue sont hors de leur portée. “La Russie est mise devant le fait accompli : plusieurs milliers de nos compatriotes risquent d’être expulsés des lieux où ils vivent depuis des dizaines d’années”, s’insurge le site russe conservateur Vzgliad. “Les racines de cette tragédie plongent dans les événements du début des années 1990 [chute de l’URSS]”, explique Vzgliad. Un grand nombre de Russes ethniques s’étaient alors vu refuser la citoyenneté lettone, et “le statut inédit de ‘non-citoyen’ fut alors créé pour eux”. Certains ont donc adopté la citoyenneté russe tout en restant en Lettonie, avec l’accord des autorités lettones, qui leur ont délivré des permis de séjour de résident permanent. En 2022, la nouvelle loi lettone a finalement annulé les permis de séjour permanents des Russes, conditionnant leur renouvellement à la réussite du fameux examen de langue lettone. La grand-mère d’un célèbre hockeyeur letton Le drame pour ces citoyens âgés réside dans le fait que l’expiration de leur permis de séjour a automatiquement entraîné l’annulation de leurs droits, notamment celui à la sécurité sociale, mais surtout au versement de leur pension de retraite, explique toujours Vzgliad dans un autre article. “Au-delà de la menace d’expulsion, ces personnes âgées font face à une menace plus terrible – celle de mourir purement et simplement de faim sans leur pension de retraite”, s’alarme le site. Le site fait par ailleurs valoir que les retraités russes ont souvent une descendance tout à fait intégrée. Il s’émeut par exemple du sort d’une vieille dame “menacée de déportation” qui se trouve être la grand-mère d’Artur Chilov, membre de l’équipe nationale lettone de hockey sur glace, qui a pour la première fois obtenu une médaille (de bronze) lors d’une compétition internationale, le championnat du monde, en mai 2023. Chilov est pourtant l’“exemple idéal du Russe intégré – il parle couramment le letton et se considère comme un patriote letton”, commente le site. La politologue et professeur à Saint-Pétersbourg Natalia Eremina souligne, auprès du titre, les points cruciaux de la situation de ces gens : “La majorité des personnes âgées en instance d’expulsion n’ont pas de famille en Russie. Celles qui en avaient ont déjà quitté la Lettonie. Pour la plupart, elles ont vécu en Lettonie toute leur vie et sont peu familières avec les réalités de la Russie. Par ailleurs, elles ont atteint un âge où il est difficile de travailler, d’étudier, d’adopter de nouvelles habitudes.” Une “première vague” ? Natalia Eremina estime par ailleurs que ces 3 000 personnes pourraient bien ne constituer qu’une première vague. D’autres pourraient suivre. “Les autorités lettones ont commencé par les personnes qui habitent depuis toujours en Lettonie justement parce qu’elles constituent le groupe le plus vulnérable, explique-t-elle. Mais, selon les nationalistes au pouvoir, le nettoyage du pays doit se poursuivre. Après les citoyens dotés d’un passeport russe, ils s’en prendront aux non-citoyens, puis aux naturalisés. On en débat déjà publiquement.” Selon le journal Izvestia, la Russie a déjà à plusieurs reprises attiré l’attention de la communauté internationale sur les atteintes aux droits de la minorité russe en Lettonie. La question de la possible expulsion des citoyens russes a notamment été soulevée par la délégation russe au sein de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Le 16 août, la commission chargée de la société civile et des droits de l’homme auprès de la présidence russe a exhorté les structures de défense des droits humains de l’ONU, de l’OSCE et du Conseil de l’Europe à défendre les russophones de Lettonie face au risque de leur expulsion. “Mais, pour l’heure, il n’y a pas eu de réponse publique à la demande de la Russie”, constate le titre. -
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Merci de nous faire le programme de chimie du lycée Sinon la carbonatation c'est justement ce que j'expliquais juste au dessus avec production d'ion H+ et acidification. Je recolle le lien que j'ai mis juste au dessus https://en.wikipedia.org/wiki/Marine_biogenic_calcification#Chemical_processes_and_saturation_state et qui explique tout le processus. --- Pour faire simple ce sujet était mon fond de commerce dans le génie civil courant 90s à l'époque ou on essayait d'évangéliser les décideurs d’infrastructures littorales au sujet des changements climatique, et des contraintes à prendre en compte pour les construction à 60 ou 100 ans. Et de manière assez amusante ca n'a quasiment pas infusé dans le société ... de moins en moins cultivée. Résultat aux niveaux de connaissances et de la pensée, on est 30 ans plus tard au meme point, limite on a régressé sur la formalisation du systeme. Il faut dire qu'à l'époque le sujet était entierement dépassionné et donc il n'y avait pas d'idéologie mensongère dedans.- 2 375 réponses
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Et les milliers d'autre fois qu'elle y est passé depuis l'optimum climatique de l'eocene ?! par magie elle n'y aurait pas accumuler de CO2 ... ... à un moment il faut quand meme avoir une approche un minimum scientifique pour etre crédible dans le propos. Expliquer que de l'eau qui passe en surface dégazerait par magie du CO2 c'est un peu léger. Meme si la réaction de dissolution admet un équilibre qui dépend de la concentration dans les deux milieu, le fait de végéter pas loin de la surface ne suffit pas à dégazer largement, c'est pas un soda l'eau mer. C'est bien la vie marine qui séquestre le CO2 par carbonatation ... il n'y a aucune magie ici. C'est d'ailleurs comme cela que sont construite les strate géologique des les plaines, par minéralisation de cadavres marins. https://en.wikipedia.org/wiki/Marine_biogenic_calcification- 2 375 réponses
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Et une fois que l'océan est plein de CO2 le puit de CO2 s'arrête... Or il ne s'arrête jamais... Pourtant du CO2 il y en a toujours eu. Donc les océans ont eu plusieurs fois l'occasion de faire tourner la salade. Il n'y a pas a proprement parler d'enfouissement de CO2 danses eaux profondes. Il y a consommation de CO2 dans les océans via la vie qui le mange, puis qui le séquestre et cadavre, qui finissent par minéralisée posés sur le.fond. La circulation océanographique ne fait que dynamiser un peu tout ça, comme on accélère une réaction en mélangeant. D'ailleurs elle n'explique pas pourquoi les eaux profondes serait par l'opération du saint esprit dépourvues de CO2...- 2 375 réponses
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Un A400M ne fera pas Coppenhague Nuuk avec 37t ... au mieux avec 30t. Meme chose avec le C-390 il baladera au mieux 13t sur le meme trajet, voir 15t en "croisiere long distance".
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Le Danemark fait 300km sur 300km au plus ... et n'a rien de gros ou de lourd à transporter. Ils n'ont pas de vocation expéditionnaire. Et contrairement à ce que certain peuvent penser, ils considèrent toujours les USA comme un allié fiable, tout simplement parce qu'ils n'ont pas le choix.
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