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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. https://en.wikipedia.org/wiki/Integrated_Air_and_Missile_Defense_Battle_Command_System
  2. Techniquement ce sont pas des Sparrow qui sont des engins cible destiné a l'entraînement des moyens ABM, mais un dérivé équipé d'une charge militaire appelé ROCKS.
  3. C'est peut être justement parce qu'il y avait un problème grave que le législateur s'est senti obligé de sévir. La ou il n'y a pas de problème pas besoin de sévir gratuitement...
  4. g4lly

    Armées européennes nordiques

    Ils ont mis le moteur en position centrale comme sur le VAB ... c'est culotté. Meme si c'est presque indispensable pour avoir un bon éguilibre avant arriere pour les phase de "flottaison" ce n'est pas si courant comme config. https://www.patriagroup.com/download/patria-trackx-brochurepdf https://pbs.twimg.com/media/G0gk1gwX0AAK64L?format=jpg&name=large
  5. Ce n'est pas moi qui le dit ce sont les américains eux meme ... c'est théorisé comme cela. Tout est patiemment expliqué dans l'article Wikipédia avec les références historiques etc. https://en.wikipedia.org/wiki/Targeted_killing Targeted killing is a form of assassination carried out by governments outside a judicial procedure or a battlefield.[1][2][3][4] Since the late 20th century, the legal status of targeted killing has become a subject of contention within and between various nations. Historically, at least since the mid-eighteenth century, Western thinking has generally considered the use of assassination as a tool of statecraft to be illegal.[5] Some academics, military personnel and officials[6] describe targeted killing as legitimate within the context of self-defense, when employed against terrorists or combatants engaged in asymmetrical warfare. They argue that unmanned combat aerial vehicles (drones) are more humane and more accurate than manned vehicles.[7][8] ... Il y a meme un joli paragraphe sourcé qui explique en quoi légalement c'est illégal meme aux USA... On a meme droit à un rapport de l'ONU sur le sujet qui explique que cela viole les lois internationales etc. etc. Et la page discussion de l'article n'est pas très fournie de sorte que d'évidence il n'y a pas vraiment source à débat sur le contenu.
  6. A mon sens le plus simple c'est souvent d'etre déjà là. Surtout quand le moyen en question est vraiment peu couteux et facile à prépositionner. Plutôt que de s'emmerder dans un champ de bataille transparent, à faire des transit arrière vers avant circonstantiel ... et donc en réaction. Il serait à mon sens préférable de loin d'occuper le terrain massivement et bien en avance sur l'ennemi, via des solutions de minage moderne, mobile, et "intelligente". Des drones mines potentiellement mobile, prépositionné très en amont. On avait déjà l'idée là en 2000 avec les missiles en petit conteneur abandonné sur le champ de bataille, et activable à distance à la demande. Si l'objet ne bouge pas sur le champ de bataille et qu'il ressemble à n'importe quel objet qui pourrait être là il n'attire pas l'attention des éléments de reconnaissance. Du moins jusqu'à ce qu'ils n'aient le nez dessus, et c'est trop tard boom. De la meme manière qu'on sait déployer à la demande des champs de mines par fusée, on sait très bien déployer des drones plus intelligent qui veillerait le terrain ou ils auraient été prédisposé. Près à intervenir en un instant sans avoir à révéler un point de départ de l'organisation de renfort par exemple. --- Pour le quad copter bombardier, j'ai un peu du mal à voir la plus-value par rapport au quad copter kamikaze avec la meme charge utile. Dans l'exemple la charge utile doit couteux 10 fois le prix du porteur.
  7. Mais si tu n'as rien à te reprocher tu n'as rien à craindre voyons ?! Au contraire ... ne plus acheter américain serait comme se mettre à courrir quand tu vois la police ... ca serait montrer avec évidence qu'on a pas la conscience tranquille. Donc achetez américain ... sinon tonton Donald il aura des doutes comme sur le Qatar.
  8. Pourtant c'est la définition bête et méchante ... En droit français, l'assassinat est défini par l'article 221-3[8] du code pénal comme un meurtre prévu et préparé par son auteur. Il suppose donc la préméditation, c'est-à-dire la prise de décision de tuer autrui et la réflexion sur la mise en œuvre de cette décision. Et vu que tu as du mal avec le vocabulaire je te donne aussi la définition de meurtre. En France, le meurtre est défini à l'article 221-1 du code pénal[2]. Il s'agit du « fait de donner volontairement la mort à autrui » et est puni de trente ans de réclusion criminelle. Il est puni de la réclusion à perpétuité lorsqu'il est commis dans une des circonstances aggravantes prévues à l'article 221-4 du code pénal[3]. Mais visiblement utiliser les vrais mots pour qualifier le réel ca semble te poser probleme ... --- Accessoirement les américains ne se prive pas de parler d'assassinat dans les cas de target killing auxquels ils ont eu largement recours... visiblement il n'y a que toi que ca choque. https://en.wikipedia.org/wiki/Targeted_killing Targeted killing is a form of assassination carried out by governments outside a judicial procedure or a battlefield.[1][2][3][4] Since the late 20th century, the legal status of targeted killing has become a subject of contention within and between various nations. Historically, at least since the mid-eighteenth century, Western thinking has generally considered the use of assassination as a tool of statecraft to be illegal.[5] Some academics, military personnel and officials[6] describe targeted killing as legitimate within the context of self-defense, when employed against terrorists or combatants engaged in asymmetrical warfare. They argue that unmanned combat aerial vehicles (drones) are more humane and more accurate than manned vehicles.[7][8]
  9. A mon sens la seule protection contre les "drones" c'est l'obfuscation du champ de bataille via des obus fumigènes... Ça nivelle le combat au 50m de l'ennemi... Et donc ça empêche toute défense additionnel de ce mettre en place. Si tes cible sont fixe le brouillard ne te gêne pas... Donc pour prendre d'assaut des bâtiments et autre retranchements normalement ce n'est pas gênant ça général essentiellement le défenseur.
  10. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/09/10/frappes-israeliennes-sur-le-hamas-au-qatar-doha-confronte-au-lachage-de-son-protecteur-americain_6640274_3210.html Frappes israéliennes sur le Hamas au Qatar : Doha confronté au lâchage de son protecteur américain Le fait que la Maison blanche ne se soit pas opposée aux plans de l’Etat hébreu et n’ait pas formellement condamné l’opération constitue une rupture majeure du pacte liant depuis des décennies la monarchie du Golfe aux Etats-Unis. Les frappes israéliennes contre Doha, mardi 9 septembre, ont plongé la population du minuscule émirat du Golfe dans un état de stupeur généralisé. Des ouvriers asiatiques aux cols blancs occidentaux en passant par les Qataris eux-mêmes, qui représentent environ 10 % des 2,5 millions d’habitants de la péninsule, tous ont été choqués par les explosions, qui ont visé des responsables du Hamas palestinien, rompant brutalement la luxueuse routine à laquelle la monarchie est habituée. « J’ai compté jusqu’à sept déflagrations, mon corps entier s’est mis à trembler, l’espace de quelques secondes, je me suis cru à Gaza », raconte le journaliste palestinien Montaser Marai, cadre de la chaîne de télévision Al-Jazira, qui prenait un café non loin du lieu touché. La villa détruite par les tirs israéliens se situe dans le district culturel de Katara, haut lieu de loisir, à proximité du quartier diplomatique et du lycée français Voltaire. De nombreux enfants d’expatriés, ainsi qu’une partie de la progéniture du cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani, le souverain du Qatar, sont scolarisés dans cet établissement. « Ma fille, qui était en cours au moment de l’attaque, a eu le sentiment que le plafond de sa classe allait s’écrouler », témoigne Laurent Lambert, un universitaire français qui enseigne à Doha. Manquement au pacte Doha-Washington A la fin du mois de juin, des missiles avaient déjà zébré le ciel de Doha. Il s’agissait de projectiles tirés par Téhéran en direction de l’immense base d’Al-Udeid, quartier général des opérations américaines au Moyen-Orient, implantée dans le désert qatari. Mais l’opération, menée en représailles aux bombardements des sites nucléaires iraniens ordonnés par Donald Trump, avait été soigneusement chorégraphiée. La république islamique avait prévenu son voisin du Golfe plusieurs heures en amont, lui permettant d’intercepter en vol la quasi-totalité des missiles. Rien de tel dans le cas israélien. A supposer, comme la Maison blanche le soutient, que Doha ait été informé à l’avance du raid anti-Hamas – ce que l’émirat dément, le coup de téléphone de Washington est arrivé trop tard pour que le Qatar prépare sa défense. Dans tous les cas, le fait que l’administration américaine n’ait pas cru bon de s’opposer au plan israélien et qu’elle n’ait pas explicitement condamné l’attaque constitue un manquement majeur au pacte Doha-Washington. Les efforts du président Trump, dans les heures qui ont suivi, pour signifier son mécontentement à son allié israélien, sont peu susceptibles de rassurer les Golfiens. « Ce qui s’est passé est un désastre pour les relations entre le Qatar et les Etats-Unis, estime le politologue Andreas Krieg, familier des coulisses de la cité-Etat de la péninsule Arabique. Il n’y a peut-être pas eu de feu vert américain, mais il y a eu au moins un feu orange. » Les Qataris peaufinent pourtant, depuis des décennies, leur posture d’allié sans faille de la première puissance mondiale. Non contents d’avoir ouvert aux entreprises américaines comme ExxonMobil ses prolifiques champs de gaz offshore, ils ont rempli sans rechigner les missions de bons offices que leur a assignées le département d’Etat. C’est à sa demande expresse que Doha a ouvert des canaux de communication avec de nombreux moutons noirs, comme le Hamas palestinien et les talibans afghans. Tout en entretenant un dialogue à peine secret avec Israël et en parlant ouvertement avec l’Iran, autre paria international. Rôle de médiateur Cette diplomatie du grand écart permanent a causé à l’émirat de nombreux soucis. Entre 2017 et 2021, furieux que celui-ci refuse de s’aligner sur leur ligne anti-Iran et anti-islamiste, Riyad et Abou Dhabi l’ont placé sous embargo. Mais le Qatar n’a jamais dévié de son tropisme de médiateur, persuadé que rendre service aux grandes capitales constitue, pour le micro-Etat qu’il est, la meilleure des polices d’assurance. Ce positionnement a longtemps payé. En 2022, sous la présidence de Joe Biden, les Etats-Unis ont reconnu à Doha le statut d’« allié majeur non-membre de l’OTAN », un cran de plus dans la coopération stratégique entre les deux pays. Après l’attaque terroriste contre Israël par le Hamas, le 7 octobre 2023, la présence de responsables du mouvement islamiste sur le sol qatari a exposé le pays à un regain de critiques, principalement de la part de l’Etat hébreu et des conservateurs américains. Sommée d’expulser les islamistes palestiniens, la monarchie a su déjouer ces pressions et conserver son rôle d’intermédiaire incontournable dans la guerre de Gaza. La lecture de ce contenu est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur tiers qui l’héberge. 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Les Qataris réalisent que l’argent ne suffit pas à assurer leur protection, qu’avoir une base américaine sur son sol ne constitue pas une assurance-vie, et qu’à la fin leur sort ne dépend que d’eux-mêmes. » En conférence de presse, le premier ministre de l’émirat, Mohammed Ben Abderrahmane Al Thani, rasséréné par les messages de soutien des capitales arabes et européennes, a assuré que le Qatar poursuivrait ses efforts de médiation concernant Gaza. Mais, pour de nombreux experts, l’émirat ne pourra pas faire l’économie d’une introspection. « On assiste à l’effondrement du vieil ordre mondial, fondé sur le multilatéralisme, argumente M. Krieg. Le Qatar, qui a toujours joué cette carte, risque de pâtir de la recomposition en cours. »
  11. En fait les silos ne sont pas "rond" ... un silos c'est un vide. Le souci c'est que les A70 sont conçus exclusivement pour y glisser des conteneurs ronds, c'est un probleme de calles et de "connectique" avec le plenum en bas. En gros il y a la place physiquement pour un conteneur carré ... mais il y serait mal calé priori et la section carré connecte pas avec la conduite forcée du plénum qui est en bas - il faudrait intégré un adaptateur carré vers rond, on installer un autre plenum -. L'autre souci c'est qu'à priori le boitier de commande du bloc et celui des missiles n'est pas conçu pour piloter l’envoi d'autre chose que les MdCN. https://www.defence-point.gr/wp-content/uploads/2024/06/SylverNavalGroup.jpg
  12. https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/09/10/l-usine-americaine-geante-de-hyundai-et-lg-sous-le-choc-apres-l-arrestation-musclee-de-travailleurs_6640297_3234.html L’usine américaine géante de Hyundai et LG sous le choc après l’arrestation musclée de travailleurs Située en Géorgie, la « metaplant » des industriels sud-coréens a fait l’objet, jeudi 4 septembre, de la plus grande descente des services fédéraux de l’immigration, qui y ont raflé 475 personnes. Les deux priorités du président américain, Donald Trump, la lutte contre l’immigration clandestine et la réindustrialisation des Etats-Unis, sont entrées en collision, jeudi 4 septembre, près de Savannah, en Géorgie, et les conséquences sont encore difficiles à mesurer. La perquisition menée sur un site du constructeur automobile Hyundai, qui a conduit à l’arrestation de 475 personnes, dont 300 Sud-Coréens, est considérée par la police des frontières comme « la plus grande descente » de son histoire. Pour la Corée du Sud, dont le président, Lee Jae‑myung, a promis, dans le bureau Ovale, fin août, 350 milliards de dollars (299 milliards d’euros) d’investissements aux Etats-Unis, c’est un humiliant retour de manivelle. L’inquiétude est encore palpable ce lundi 8 septembre, aux abords du site industriel. « Je suis revenu ce matin, mais on ne sait pas ce qu’on va faire dans les jours qui viennent, si on doit rentrer chez nous ou rester », explique l’un des employés venu de Séoul, qui tient à garder l’anonymat, même s’il assure « être en règle ». Les salariés se souviendront longtemps de cette journée de jeudi. Les 400 agents fédéraux masqués qui débarquent sur le site, l’hélicoptère qui survole la zone, les véhicules blindés, les cris, les collègues menottés et emmenés dans des bus… Selon les différents récits des témoins et le compte rendu de Margaret Heap, la procureure du district sud de la Géorgie, plusieurs personnes ont fui vers un bassin d’épuration, tandis que d’autres ont tenté de se cacher dans des conduits d’aération. La police fédérale de l’immigration (ICE) a publié des vidéos de l’opération, baptisée ironiquement « low voltage » (« basse tension »). Un de ces « raids » que la police a pris l’habitude de mettre en scène. « L’opportunité d’une génération » Le site visé est loin d’être anodin. La « Metaplant America », située à proximité du port de Savannah, est un partenariat entre les deux géants sud-coréens, Hyundai Motor Group et le fabricant de batteries LG Energy Solution (LGES), pour faire sortir de terre un complexe pharaonique capable de produire, à terme, 500 000 voitures électriques par an. Le site s’étale sur 12 kilomètres carrés, soit la taille d’une petite ville qui a émergé à grande vitesse depuis 2022, au beau milieu de la plaine côtière atlantique. Les premiers modèles de SUV ont été produits en octobre 2024, mais des bâtiments sont encore en construction. C’est le cas de l’entité perquisitionnée jeudi, qui appartient à la succursale HL-GA Battery. Les travaux ne reprendront qu’« une fois la situation stabilisée », selon un responsable de LGES contacté par Le Monde. Avec des locaux ultramodernes, des panneaux solaires et des routes flambant neuves baptisées en l’honneur des différentes marques coréennes, la « Metaplant » incarne parfaitement le récit trumpien d’une Amérique redevenue un eldorado économique. A un défaut près : le projet a vu le jour sous le mandat du démocrate Joe Biden, grâce aux subventions pour les véhicules électriques auxquelles le nouveau pouvoir a mis fin. L’investissement coréen se chiffre à 7,6 milliards de dollars, le plus grand jamais réalisé en Géorgie. Cet Etat du Vieux Sud des Etats-Unis, qui cultive son image « business friendly », a été qualifié par le PDG de Hyundai Motor Company, José Muñoz, de « deuxième maison ». Le gouverneur républicain, Brian Kemp, parle, lui, de l’« opportunité d’une génération ». Vendredi, un de ses porte-parole a commenté a minima, affirmant que « toutes les entreprises opérant dans l’Etat doivent respecter les lois de la Géorgie et de notre nation ». Hyundai a assuré dans un communiqué qu’aucun de ses employés n’était directement concerné, que l’entreprise se conformait à la loi et qu’elle attendait la même chose de ses sous-traitants. Contacté par Le Monde, LGES se focalise sur le sort de ses 47 salariés détenus : « Pour le moment, notre priorité absolue est d’assurer la sécurité et le bien-être gré de nos employés et de nos partenaires, et nous allons consacrer nos efforts à leur assurer un retour sûr et rapide. » Zone grise entre travail et formation L’affaire a pris rapidement un virage diplomatique. La présidence de Corée du Sud s’est mobilisée pour faire sortir ses 300 ressortissants. Ceux-ci devraient être renvoyés « volontairement » dans les jours à venir, une procédure qui évite la « déportation », synonyme d’interdiction de territoire pendant cinq ans. Le ministre sud-coréen des affaires étrangères, Cho Hyun, s’est rendu aux Etats-Unis, lundi, pour accélérer le processus. Le sort des 175 autres détenus est plus incertain. Selon Steven Schrank, agent spécial de l’ICE d’Atlanta, qui a vanté dans une conférence de presse le succès d’une enquête « de plusieurs mois », certaines personnes arrêtées ont pénétré illégalement sur le territoire quand d’autres ont dépassé la date limite de leur séjour ou ont travaillé alors qu’elles ne bénéficient pas d’un visa adéquat. Le problème est largement connu en Géorgie. Ces investissements massifs charrient la promesse d’embauches locales. Mais les compétences pour mener à bien ces gigantesques chantiers font défaut aux Etats-Unis. Les constructions d’usine sont nombreuses, la main-d’œuvre, limitée, et la restriction drastique de l’immigration depuis le retour au pouvoir de Donald Trump pèse sur le secteur. La présence de Hyundai en Géorgie s’est déjà accompagnée de l’arrivée – légale – de nombreux travailleurs hautement qualifiés en provenance du siège, à Séoul. La plupart se sont installés à Pooler, dans la banlieue de Savannah, où les restaurants coréens se sont multipliés. Mais la Corée du Sud ne bénéficie pas de quotas de visas réservés, à la différence d’autres pays. Certaines entreprises font donc venir régulièrement des consultants qui effectuent des rotations, afin d’encadrer les travailleurs américains ou d’accomplir des missions ponctuelles, dans une forme de zone grise entre travail et formation. D’après les éléments recueillis par Le Monde, plusieurs des personnes arrêtées étaient dans ce cas de figure. Donald Trump, prompt à allumer la mèche, a été inhabituellement mesuré, dimanche, sur son réseau Truth social : « Nous vous encourageons à amener LÉGALEMENT vos personnes très intelligentes, avec de grands talents techniques, et nous ferons en sorte que vous puissiez le faire rapidement et légalement. Ce que nous demandons en retour, c’est que vous embauchiez et formiez des travailleurs américains. » Quelles traces cet épisode laissera-t-il sur les relations économiques entre les deux pays ? Les enjeux financiers sont importants pour la Géorgie et au-delà. La veille du raid de l’ICE, le gouverneur se réjouissait dans un communiqué de la construction d’une usine d’aimants de terres rares. Bâti par la filiale américaine d’une société de biotechnologie sud-coréenne, JS Link, le complexe représente un nouvel afflux de 223 millions de dollars. De leur côté, Hyundai et LGES ont respectivement 26 milliards et 25 milliards de dollars d’investissements prévus aux Etats-Unis sur les trois prochaines années. Dans leurs communiqués, les deux entreprises n’oublient pas de rappeler qu’elles créent des milliers d’emplois dans le pays.
  13. https://www.lemonde.fr/international/live/2025/09/10/en-direct-frappes-d-israel-au-qatar-la-turquie-et-l-egypte-ont-averti-les-dirigeants-du-hamas-des-semaines-avant-l-attaque_6638986_3210.html La Turquie et l’Egypte ont averti les dirigeants du Hamas des semaines avant l’attaque de Doha La direction politique du Hamas avait été prévenue par l’Egypte et la Turquie au cours des semaines précédant l’attaque israélienne à Doha mardi qu’elle devait renforcer la sécurité autour de ses réunions, rapporte The Wall Street Journal, citant des entretiens avec des responsables israéliens, américains, qataris et d’autres pays arabes. Selon le quotidien dix avions de combat ont tiré des missiles de l’extérieur de l’espace aérien qatari et n’ont pas non plus violé ceux de l’Arabie saoudite et des Emirats arabes unis. Des responsables américains ont fait savoir au quotidien qu’Israël avait informé les Etats-Unis de l’attaque quelques minutes seulement avant le lancement, sans révéler la cible.
  14. Il serviront d'engrais ou d'intrants pour une central à biomasse? Pour le moment le projet est ouvertement de chasser les Palestinien d'Israel - version Grand Israel - ... en quoi ca laisse de la place aux palestiniens ? Tu veux qu'ils viennent en vacances dans la Riviera Donald Trump ?
  15. g4lly

    L'artillerie de demain

    La question c'est pourquoi vouloir vendre une catégorie à part ... C'est juste un missile de croisiere meilleur marché ... qui en fait à peine moins que les missiles de croisiere plus cher. En meme temps le machin est deux fois moins lourd, qu'il aille deux fois moins loin n'est pas très étonnant.
  16. g4lly

    L'artillerie de demain

    Il y a nécessairement une centrale inertielle il y en a dans tout les drones, la qualité varie certes, mais il y en a forcément une c'est elle qui gere la stabilité du vol. GNSS et DSMAC ne font que la recaler. A priori il y a une caméra dedans ... donc on peut recaler DSMAC ... mais on peut aussi viser submétrique en terminal, si le systeme qui pilote le bidule est suffisament réactif, mais il n'y a pas de raison aujourd'hui ca n'a rien de compliqué un systeme de controle de vol de ce genre d'engin, on en trouve des très bon en aéromodelisme.
  17. g4lly

    L'artillerie de demain

    Quel différence conceptuelle entre un one way effector qui ressemble a un TacTom et un TacTom? Il n'y en a mad seul le vocabulaire des marketteux s'adapte au marché. Hier c'était des armes absolument stratégiques qu'on ne tirerai que pour envoyer un message fort et donc qu'on pouvait acheter vraiment très cher en quantité échantillons aires. Et brutalement avec la guerre c'est devenu un vulgaire objet tactique consommable comme de la 5.56 C'est beau la guerre... Cesta puissance du réel... Révéler trivialement les bêtises qu'on nous a racontés/vendues.
  18. On parle du truc qui devait etre livré il y a 10 ans? Le machin à fait sont premier vol en 2009 ... et ne marche toujours pas ... à un moment c'est qu'il y a un "petit souci", au delà de simple "mise au point".
  19. Le niveau de richesse ou le niveau de revenu des salariés ? Parce que comme partout en Norvège il y a toujours eu des gens avec du patrimoine, et des gens sans patrimoine. Les entrepreneur de pêche qui envoient les bateau en Tasmanie - il n'y en a pas qu'un ou deux et ca ne date pas d'hier - , ont toujours eu un patrimoine professionnel très important par exemple, alors que la plupart des salariés étaient au mieux propriétaire de leur petite résidence principale et d'une "cabane".
  20. g4lly

    L'artillerie de demain

    Pourquoi le guidage du MdCN serait il plus intelligent?
  21. g4lly

    L'artillerie de demain

    Je suppose que c'est une proposition pour le MdCT ... le MdCN n'est plus tout jeune, et très couteux ... pas sur qu'il soit utile de le produire tel quel en version terrestre.
  22. Le Qatar se réserve le droit de répondre à l’attaque israélienne, affirme son premier ministre Le premier ministre du Qatar a affirmé que son pays se réservait le droit de répondre à l’attaque israélienne sur son sol, en parlant d’un « moment charnière » pour le Moyen-Orient. Le Qatar « se réserve le droit de riposter à cette attaque flagrante », a déclaré Mohammed Ben Abderrahmane Al Thani. « Nous pensons qu’aujourd’hui nous sommes arrivés à un moment charnière. Il doit y avoir une réponse de toute la région », a-t-il ajouté.
  23. Seulement si est prépositionné au dessus du champ de bataille a vagabonder, ou s'il est en embuscade au a proximité de l'itinéraire de l'engin. Si tu dois l'envoyer a la débotté depuis l'arrière pour taper un assaut ennemi tu risque d'arriver en retard. Et c'est typiquement ce qu'il se passe en Ukraine. Dans les zones d'interdiction ou patrouille tout le temps des droned le time on target est très court et les engins n'ont aucune liberté d'action dans être engagé. Dans les autres zone... Ou l'infanterie sert de sonette régulièrement la position est déjà prises quand les drones arrivent en appui. 7km à 100km/h c'est 5 minutes.
  24. Le fait est que pour l'instant "ca marche" ... au moins pour le F-35I.
  25. On sait plein de chose ... pour ceux qui s'y intéresse un peu. C'est l'ancien royaume Zahidite. https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_mutawakkilite_du_Yémen Le Royaume a été lâché par l'Arabie au profit de Saleh ... https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohammed_al-Badr#Couronnement_et_guerre_civile Et pour l'unification du Yémen et la tricardisation des chiites c'est par ici https://fr.wikipedia.org/wiki/Unification_du_Yémen
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