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Un exemple qui pourrait reprendre une bonne partie des missions https://en.wikipedia.org/wiki/Korean_Air_KUS-FS
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[Union Européenne] nos projets, son futur
g4lly a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/11/13/devoir-de-vigilance-le-parlement-europeen-sabre-la-directive_6653337_3234.html Devoir de vigilance des entreprises : au Parlement européen, droite et extrême droite s’unissent pour vider la directive de sa substance Les députés européens ont notamment largement réduit le nombre de sociétés concernées par cette loi qui les oblige à prévenir les violations de droits humains et les dommages environnementaux tout au long de leurs chaînes de valeur. Ensemble, la droite et l’extrême droite européennes ont fait tomber un totem, jeudi 13 novembre. Elles se sont alliées au Parlement européen pour vider de sa substance la directive sur le devoir de vigilance des entreprises. Si cette majorité avait déjà montré ses muscles, elle s’était jusqu’ici contentée de le faire, pour l’essentiel, sur des textes non contraignants. Cette fois, le Parti populaire européen (PPE) a, de manière aussi réfléchie qu’assumée, passé le cap et œuvré avec les nationalistes de tous horizons – du Rassemblement national (RN) français à Fratelli d’Italia, le parti post-fasciste de Giorgia Meloni, en passant par le Fidesz hongrois – pour arriver à ses fins. Par 382 voix contre 249, le Parlement européen a largement réduit le nombre d’entreprises concernées par cette loi qui les oblige à prévenir les violations de droits humains (travail des enfants, travail forcé, sécurité…) comme les dommages environnementaux tout au long de leurs chaînes de valeur. Elles doivent désormais compter plus de 5 000 salariés (contre 1 000) et afficher un chiffre d’affaires supérieur à 1,5 milliard d’euros (contre 450 millions). Les eurodéputés ont aussi supprimé l’obligation faite aux entreprises d’adopter un plan de transition pour être en ligne avec la limite de 1,5 °C de réchauffement climatique fixée par l’accord de Paris. Enfin, ils sont revenus sur les sanctions et le régime de responsabilité civile européenne qui pouvait leur être opposé si elles ne respectaient pas leur devoir de vigilance. Jeudi, le Parlement européen s’en est aussi pris, avec le même jeu d’alliance, à une directive sur le devoir de reporting socio-environnemental des entreprises, dont il a réduit le champ d’application. Virage pro-business Il y a un an et demi, avant les élections européennes qui ont consacré la percée de l’extrême droite, le PPE avait dû se résoudre à l’adoption de cette directive sur le devoir de vigilance qu’il n’a eu de cesse de critiquer. Après l’effondrement, en avril 2013, du Rana Plaza – un immeuble abritant un atelier de confection au Bangladesh – qui avait fait plus de 1 000 morts, l’Union européenne (UE) espérait ainsi éviter qu’une telle catastrophe se reproduise. La majorité du groupe de Manfred Weber avait voté contre, le 24 avril 2024, mais les alliés traditionnels du PPE – les sociaux-démocrates (S&D) et les libéraux (Renew) – avaient trouvé assez de voix à gauche de l’Hémicycle pour compenser les défections à droite. Un épisode douloureux pour le PPE, que le scrutin de jeudi lui permettra d’oublier partiellement. Que s’est-il passé pour qu’en quelques mois, une directive soit adoptée puis détricotée ? Sans conteste, les élections européennes de juin 2024 ont changé la donne. Elles ont conforté le PPE comme première force politique de l’UE. Plus que jamais, elles l’ont installé au centre du jeu en lui offrant la possibilité inédite de constituer une majorité avec l’extrême droite, en lieu et place de la majorité pro-européenne qu’il forme avec les S&D et Renew depuis 2019 pour soutenir l’action de la Commission. Dans les capitales, où les souverainistes sont aussi plus présents, le curseur s’est également déplacé. Face au protectionnisme de Donald Trump à la Maison blanche, à l’offensive commerciale sans précédent de la Chine et au décrochage économique du Vieux Continent, l’UE a pris un virage plus conservateur et pro-business, reléguant au second plan les sujets environnementaux et sociaux. Dans ce contexte, pour obtenir un second mandat à la tête de la Commision, Ursula von der Leyen a promis de s’attaquer aux excès de la bureaucratie européenne. Très vite après sa reconduction, à l’été 2024, les appels à supprimer la directive sur le devoir de vigilance se sont multipliés, venant de Manfred Weber à Strasbourg, du chancelier conservateur Friedrich Merz à Berlin, du président français Emmanuel Macron à Paris, de Donald Trump à Washington et même du Qatar, qui menaçait de réduire ses livraisons de gaz si le texte devait être maintenu, ou encore des géants de l’énergie. « Asphyxie normative » Le 26 février, la Commission avait fini par proposer de la simplifier, tout en reportant d’un an son entrée en application, de 2027 à 2028. Dès lors que les colégislateurs devaient donc à nouveau être consultés, l’occasion était trop belle pour le PPE de revenir sur l’épisode du 24 avril 2024. Jeudi, l’eurodéputé français (Les Républicains) François-Xavier Bellamy se félicitait que « le PPE [ait] gagné une bataille déterminante pour sauver nos entreprises de l’asphyxie normative », quand son collègue du RN Jordan Bardella se réjouissait d’avoir « fait plier Ursula von der Leyen ». La loi est « largement vidée de son contenu », déplorait pour sa part l’eurodéputé (Renew) Pascal Canfin. L’alliance entre le PPE et les nationalistes est « la matérialisation de l’union des droites à l’échelle européenne. Est-ce une nouvelle normalité ? Je n’en sais rien. Mais en tout état de cause, une digue a sauté », poursuit-il. « Une autre majorité est possible », « ce n’est qu’un début », a de son côté lancé le groupe politique des Patriotes pour l’Europe, que préside Jordan Bardella. D’autres rapprochements entre le PPE et les nationalistes sont imaginables sur des sujets environnementaux ou migratoires. Ils pourront aussi se matérialiser sur les multiples propositions législatives pour simplifier la vie des entreprises que la Commission a déjà mises sur la table ou qu’elle s’apprête à présenter. Mais il semble peu probable que cette alliance puisse se réaliser sur des législations constructives pour l’UE, comme le budget communautaire, où les deux camps ne partagent pas la même vision. Ceci étant dit, l’affaire de la directive sur le devoir de vigilance n’incitera pas les alliés traditionnels du PPE à lui faire confiance, à commencer par les sociaux-démocrates avec qui les relations sont déjà extrêmement tendues. Terry Reintke, la présidente des Verts, proches de la majorité Von der Leyen, évoque un risque de « situation paralysante, qui affaiblira le Parlement européen » et pourrait représenter « un problème massif pour Ursula von der Leyen ». La loi sur la fin des voitures thermiques dans le viseur A n’en pas douter, la présidente de la Commission, qui a déjà fait l’objet de trois motions de censure au Parlement européen, s’inquiète de la solidité de sa majorité. Lorsqu’elle prépare des propositions législatives, « elle intègre déjà cette situation, elle va le faire encore plus », commente un diplomate européen. De ce point de vue, la proposition de révision, le 10 décembre, de la loi interdisant la vente de voitures neuves à moteur thermique à compter de 2035, un autre objet à abattre pour le PPE, sera instructive. Cette même source se demande par ailleurs dans quelle mesure « le désordre du Parlement européen va contaminer » l’autre législateur que sont les Etats membres. On saura vite ce qu’il en est sur le devoir de vigilance, dès lors que des négociations sur un compromis final vont désormais s’engager entre le Parlement européen et le conseil de l’UE, dont la position est aujourd’hui moins radicale. Jeudi, le Parlement européen a également voté sur l’objectif de réduction (par rapport à 1990) des émissions de CO2 d’ici à 2040, qui doit emmener les Vingt-Sept vers la neutralité carbone en 2050. Fixé à 90 %, il sauve l’ambition européenne même s’il est assorti de flexibilités qui en atténuent la portée. Mais, en l’espèce, le PPE n’a pas fait sécession et s’est rallié aux voix pro-européennes de l’Hémicycle. En pleine COP30 à Belem (Brésil), les messages venant de Bruxelles sont pour le moins brouillés. -
Quel rapport entre la qualification et le paiement en temps ?! Les personnes susceptible de servir la nation ne seraient en rien qualifié ni qualifiable ?!! Drole de vision de la société française ...
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Il me semble que c'est un des cas documenté, mais pas que ce soit systématique. Un des souci c'est la charge militaire des drones FPV, qui n'est qu'une petite charge militaire AC, contre laquelle normalement les chars sont plus ou moins immunisé, du moins de face. En gros un char meme ancien devrait supporter un PG7V de face sans trop trop de bobo. C'est 250mmRHA ... Ceux avec des PG7VL - c'est presque 500g plus lourd - perce normalement 500mm RHA. Dans le cas des variation de la RKG-3 c'est meme moins qu'un PG7V on doit etre au mieux à 220mm RHA - pour la plus lourde -, mais la munition et un petit peu plus légère, 1kg à 1.7kg selon les modèles. Donc si on empêche la charge de fonction de manière idéale aux endroits vulnérable, par le dessus, l’arrière ou sur les flanc très en bas ... il est possible que le "dard" qui se forme soit assez inefficace, meme contre des zones un peu molle d'un tank. --- On pourrait penser que les ukrainiens n'ont qu'à emporter une mine AC sous un FPV puis planté le FPV juste devant le trajet du char pour un "mobility kill" bien suffisant ... mais les mines semble trop lourde pour les FPV. On est dans les 7 à 10kg ... alors que la charge utile du PG7VL doit faire ~2kg - 2.6kg moins <400g de la partie fusée moins <400g de la partie canon sans recul -, donc 4 à 5 fois plus lourd, et beaucoup moins polyvalent.
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Jusqu’à demain ... puis après demain on a déjà plusieurs partis qui parle d'un service national obligatoire mais pas uniquement militaire etc. A l'heure ou on a à la fois besoin de lever l’impôt - en nature c'est aussi de l’impôt - et des armées ... ca tombe bien.
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Oooooh quelle surprise
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Guerre de l'information et propagande
g4lly a répondu à un(e) sujet de Bat dans Divers non-conventionnel
https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/11/24/hugo-touzet-sociologue-les-sondages-refletent-ce-qui-interesse-le-media-qui-les-commande_6654585_3232.html Hugo Touzet, sociologue : « Les sondages reflètent ce qui intéresse le média qui les commande » L’auteur de « Produire l’opinion », une enquête en immersion dans un institut de sondage, analyse, dans un entretien au « Monde », la façon dont les pressions économiques affectent la qualité des études d’opinion et leurs usages dans les médias. Coauteur de Sociologie de l’opinion publique (PUF, 2020) et de Votes populaires ! Les bases sociales de la polarisation électorale en 2017 (Ed. du Croquant, 2022), le sociologue Hugo Touzet vient de publier Produire l’opinion. Une enquête sur le travail des sondeurs (Ed. de l’EHESS, 312 pages, 17 euros). Pour écrire ce nouveau livre, il a notamment passé plusieurs mois à enquêter dans un institut de sondage. Vous êtes le premier chercheur à être entré dans la « boîte noire » des instituts de sondage. L’accès a-t-il été difficile ? J’ai eu de la chance : le directeur du département Opinion d’un institut, intéressé par mon travail, a accepté que j’observe « de l’intérieur » la fabrique des sondages. Mais, en échange, je devais prêter main-forte au département, qui manquait de bras. La difficulté a été qu’à mon arrivée, mes collègues se sont montrés méfiants : mon accès au réseau informatique était restreint, et les plaisanteries fusaient à mon sujet – « Attention, c’est un espion », ai-je pu entendre. Si aucun sociologue n’avait encore franchi le seuil d’un institut, c’est pour une raison : les sondeurs nous voient d’un mauvais œil. Heureusement, la distance du début s’est peu à peu estompée. A la fois parce que nous avions des profils similaires (âge, parcours universitaire, centres d’intérêt) et parce que je participais activement à la vie du département. Cette immersion a-t-elle changé votre regard sur les sondeurs ? Oui. Contrairement à certaines idées reçues, les sondeurs ont envie de produire ce qu’ils nomment de « beaux sondages », robustes scientifiquement. Ils sont très diplômés. J’ai envoyé un questionnaire dans les départements Opinion de huit instituts : 33 % des répondants sont diplômés d’un Institut d’études politiques, 59 % d’une université, dont une large part de cursus en sciences humaines et sociales. Ils connaissent donc les critiques méthodologiques qui sont adressées à leur travail. Pour autant, dans les faits, ils doivent parfois se résoudre à faire du « sale boulot », c’est-à-dire des sondages de piètre qualité. Et pour cause : leur bonne volonté se heurte aux contraintes commerciales d’un univers très concurrentiel. Il ne faut pas oublier que les instituts de sondage sont des entreprises privées. Les professionnels du secteur travaillent à flux tendu, ils sont soumis aux demandes des clients et leur budget est limité. D’autant qu’il y a peu de différences de « savoir-faire » entre les différents instituts qui, pour arracher des contrats, jouent donc particulièrement sur la variable prix, entraînant une spirale à la baisse… Lorsqu’un sondeur propose un questionnaire rigoureux, le commanditaire peut le refuser soit parce qu’il souhaite obtenir des résultats plus « cash », soit parce qu’il veut que le sondage coûte moins cher. C’est ce tiraillement professionnel permanent des sondeurs qui m’a intéressé. Avez-vous pu découvrir comment s’effectuent concrètement les fameux redressements des sondages d’intentions de vote ? Pas exactement. En réalité, ces sondages – très controversés et très scrutés – font l’objet de trois redressements. D’abord, un redressement « socio-démographique » : comme pour tout sondage, si l’échantillon est imparfait, il faut le corriger – par exemple lorsqu’il compte 50 % de femmes, au lieu de 52 %. Ensuite, un redressement « sur vote antérieur » : si un électorat a été sous-évalué par le passé, les intentions de vote sont corrigées d’autant. Dans les deux cas, il s’agit d’un processus standardisé, sans enjeu : c’est de l’arithmétique. En revanche, le dernier redressement, dit « politique », est nettement plus opaque – opacité garantie par la Commission des sondages elle-même, au nom de la protection du secret industriel. Je n’ai pas pu observer cette étape, mais la plupart des sondeurs non plus ! C’est le pré carré des directeurs de département, et c’est une compétence professionnelle rare, acquise sur le tas. Cette opacité donne à la chose une dimension quasi mystique. Plus prosaïquement, certains sondeurs parlent de « trifouillage », de « bidouillage », « d’arbitrage hautement subjectif ». Mais il faut relativiser : cette intervention a un impact limité, faisant généralement varier le chiffre final de 0,5 à 1 point. Vous expliquez dans votre livre que les sondages – quand ils sont bien réalisés – sont des outils utiles pour mesurer les représentations. En revanche, vous critiquez l’usage immodéré qu’en font certains médias, notamment les chaînes d’info en continu… Oui, les chaînes d’info en continu sont – elles aussi – soumises à de très fortes contraintes économiques. Peu onéreux, les sondages permettent d’alimenter à moindres frais des débats télévisés : ils sont commentés pendant des heures par des éditorialistes et des chroniqueurs de tout poil. C’est plus rentable qu’un reportage ! Conséquence néfaste : ils remplacent alors des enquêtes journalistiques plus poussées, au lieu de les compléter. On accuse souvent les sondages de manipuler l’opinion. Est-ce une critique légitime ? Oui. Les sondages reflètent ce qui intéresse le média qui les commande : ils peuvent devenir des outils au service d’une ligne éditoriale. Et le problème, c’est que les propriétaires de certains médias, comme Vincent Bolloré, défendent ouvertement un projet idéologique. Si bien qu’on entend davantage parler des sondages sur l’immigration que de ceux sur la précarité. Dès les années 1970, le sociologue Pierre Bourdieu reprochait aux sondages d’imposer les questions des dominants dans le débat public. C’est toujours d’actualité, mais pour des raisons différentes. A l’époque, il n’y avait que trois instituts de sondage, et c’était un travail long et très coûteux. Aujourd’hui, tout le monde, ou presque, peut en commander ; en revanche, tout le monde n’a pas la capacité de lui donner une même force de frappe.- 803 réponses
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Un mélange de "toutes" si tu as le temps. En fonction de la conjoncture la "vérité" peut largement varier, certaines "lag" pas mal aussi. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Pendant ce temps là : Stepnohirsk, les russes sont en train d'encercler la citadelle à la fois par l'ouest et par l'est. La manoeuvre est déjà bien avancé, et le couloir de sorti déjà étroit. 2000m au plus. Orikhiv, les russes sont entrés dans Novodanylivka - dans la moitié sud du village -. Ils sont déjà dans Mala Tokmachka - le village semble etre à 90% occupé par les russes -. Pokrovsk, les russes ont continué à prendre des petits village, ils sont désormais à moins de 5km de la ville depuis l'est et le sud. Huliaipole, les russes continuent à consolider les positions autour de la ville, et à essayer de couper la logistique vers le nord - sur la T-04-01 - il pourrait la couper rapidement. Pokrovsk. Les russes - selon eux - semblent avoir réalisé l'encerclement de la poche, en prenant la route T-05-15 qui relie Rodynske à Pokrovsk. Avec confirmation vidéo pour partie. Les ukrainiens - selon eux - auraient réussi une grosse contre attaque reprenant tout l'ouest de la ville - Pokrovsk -. Sans confirmation vidéo. Rodynske. Les ukrainiens continuent à publier des vidéo ou leurs dronistes attaquent les russes dans la ville. La situation semble toujours plus ou moins la même, l'est et le sud semble tenu par les russes - on les voit sur les images - , l'ouest et le nord probablement par les ukrainiens - puisque qu'ils ne bombardent que les autres zones -. Shakhove. Les russes ont lancé l'assaut sur le village encerclé. Et revendiquent l'occuper dorénavant. On suppose que les ukrainiens n'ayant pas moyen de le défendre - petit village encerclé n'ayant plus d’intérêt tactique -sont partis. Lyman<->Siversk. La route serait coupé en plusieurs endroits. Notamment au sud de Yampil que les russes occupent. Siversk, pas d'infos nouvelles mais les deux camps s'accordent sur le fait que les russes sont entrés dans la ville ... elle serait encore tenue à moitié par les ukrainiens. -
Moi non plus ... d'autant que j'ai du mal à comprendre pour quel régiment ? Des régiment sur VBCI avec des Griffon PC c'est assez cavalier ... sauf à tendre le cul pour se faire battre. A mon qu'il y ait nécessairement des Griffon "combat" dans les GTIA "centré" VBCI ?! De sorte que ca dilluerait les PC dans les Griffon apc/combat.
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https://www.fptindustrial.com/fr/engines/Off-Road/Construction/V20 Mais c'est trop lourd. Même là on est encore trop lourd https://www.fptindustrial.com/fr/engines/Off-Road/Construction/CURSOR-16 850ch 16L 1350kg ... Exemple pour le MTU du Leclerc https://en.wikipedia.org/wiki/EuroPowerPack 1800kg
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Moi j'ai du mal à penser que les Russe souhaite que les choses s’arrêtent de la sorte. Et donc je suppose qu'ils ont tout fait pour que le plan ne produise rien. -
Europe de la Défense ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arme_nucléaire_tactique J'ai toujours trouvé ce niveau de pudeur ridicule... -
Europe de la Défense ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Techniquement si c'est construit strictement comme une arme tactique. Tout le reste est du verbiage... Toute armes qui mérite être utilisé efficacement sur le champ de bataille est tactique. Ça ne lui enlève pas une capacité stratégique d'ailleurs. Ça signifie juste qu'elle peut être utilement employé sur le champ de bataille - ou contre des objectifs militaire - -
Europe de la Défense ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Pourtant on en a possédé du nucléaire tactique domestique et on en possède encore. Au hasard, Pluton, Hades, ASMP... -
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Crashs et accidents d'appareils militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Actualités air
g loss of consciousness Mais ici visiblement il manoeuvre jusqu'au bout ... -
Les laser UV ont un taux d'absorption très élevé sur les matériaux courant ... via photolyse. En gros ca ne détruit pas par chauffage comme les laser IR via thermolyse. Mais la photolyse détruit la matiere aussi surement que les thermolyse. La question c'est l'effet militaire. Il est fort possible que faire un joli trou, sans chauffage, via photolyse ne soit pas un effet recherché.
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[Ministère des Armées, MINARM]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Je chipote sur : "Il est entendable qu'un citoyen se batte pour sa citoyenneté, la nation etc. Chez nous, c'est un choix librement consenti." En fait ce n'est pas librement consenti du tout. Juste parce que si on part de l’hypothèse que tu es francais et que la France est en guerre ... alors de fait tu es en guerre ... quelques soit ton avis. Et dans ce cas tu peux être plus ou moins actif au profit de la France ou plus ou moins actif au profit de l'ennemi ... mais pour les deux états tu seras à la fois "en guerre" et "dans un des camps". -
[Ministère des Armées, MINARM]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Ce n'est pas ma vision ... c'est la "règle" ... vu de l'ennemi. Et c'est communément admis entre tous les ennemis. C'est ce qu'il faut expliquer à ce qui peuvent feindre d'ignorer cette "règle dans la guerre". La guerre est quelques choses de particulierement clivant ... tu es avec moi ou contre moi. Quand les état A et B sont en guerre ... les citoyen de A sont soient en guerre contre B soit les traitres à A. Alors certes on peut faire la guerre à A - de fait - en faisant autant profil bas que possible ... néanmoins même en faisant profil aussi bas que possible soit on est dans le camp A soit dans le camp B. Et si on est dans le camp A on est potentiel la cible du camp B et inversement. Il n'y a pas de camp C qui permet d'éviter de risquer de prendre les coups de A ou de B. -
[Ministère des Armées, MINARM]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Si le peuple veux la paix ... et que collectivement il se met d'accord pour un arrangement permettant la paix, pourquoi pas. Je ne juge pas. Ce qui me gene c'est que certain puissent croire que la guerre est à géométrie variable. Alors que concrètement c'est tout ou rien. Tout les francais sont en guerre ou aucun francais est en guerre, il n'y a pas de situation intermédiaire. Qu'on soit pacifiste ou qu'on émigre ... à partir du moment ou l'on est citoyen francais on est lié irrémédiablement à la France, et quand celle ci est en guerre, on est en guerre. Et donc nécessairement tout ce qu'on fait participe ou nuit à la guerre. Je sais bien, et c'est d'ailleurs volontairement entretenu par le politique et certains militaires notament depuis la suspension du service nationale. La guerre serait l'affaire des "mercenaires" payer pour ca ... et le gentil petit francais qui sert de commanditaire serait bien loin de tout ca de fait. C'est cette escroquerie qu'on a propagé pendant des année ... qui nous met dans une situation de merde aujourd'hui. --- C'était avantageux pour l’exécutif ... ca lui permettait de faire la guerre comme il le voulait ou il le voulait en projetant le sentiment de ne pas impliquer les francais non militaire. En gros d'avoir politiquement les mains libre. Sauf que cette facilité à saboté l'avenir. -
Europe de la Défense ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai l'impression que c'est une proposition commerciale ... Airbus DS doit être au bord du gouffre pour chercher à se faire financer tout et n'importe quoi de la sorte. -
[Union Européenne] nos projets, son futur
g4lly a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
Parce que concernant le sujet ... l'intime, Trump n'est pas une menace pour les conservateurs, mais au contraire une bénédiction. Le modele MAGA a quantité de sympathisant en pratique ou du moins une MFGA ... c'est un simple modèle conservateur/traditionnaliste qui propose qu'on "retrouve" l'age d'or du roman national. Et ca ca fait rêver de plus en plus de monde. --- C'est passé un peu inaperçu en France, mais le PPE qui pourrait à terme fusionner avec tout un tas de partis "natio" européen, le rêve de l'union des droites ... devrait être un indice. Le mouvement conservateur gagne du terrain et du pouvoir. -
[Union Européenne] nos projets, son futur
g4lly a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
Les structures sociales sont bien plus profondément ancré qu'on ne le pense, et leur changement beaucoup plus déstabilisante pour le systeme qu'on ne le pense. C'est par exemple la raison qui fait que Trump soit au pouvoir, il propose que les choses ne changent pas ... et malgré l'immense quantité de casserole qu'il a au cul, se simple projet suffit à le faire élire ... ... tu peux forcer le systeme à changer par la force, mais ca finit toujours par se payer. C'est le principe de la psychanalyse. Ce genre de trauma traverse les générations, et une population peut décompenser tout ou partie après 3 ou 4 générations. -
[Ministère des Armées, MINARM]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
En pratique pas tout à fait. Quant la France est en guerre, ce sont tout les francais qui sont en guerre. Même ceux qui ne font pas la guerre et qui continue à enseigner la musique au college de trifouilli les oies. D'ailleurs rien ne garantit qu'il ne soit pas la cible de l'ennemi dans cette guerre, comme le sont des civils ukrainiens en Ukraine par exemple. Laisser croire que ne pas être militaire, permet de se tenir en dehors de la guerre dans laquelle est engagé l'état dont on est citoyen est un erreur grave. Ca a été rappelé maintes fois pas le CEMA Lecointre par exemple. --- L'intéret du "petit mot" de l'actuel CEMA c'est de remettre le sujet des citoyens en guerre, sur le devant de la scene et que la population y réfléchisse sérieusement. Peut importe les cris d'orfraies. Au moins on libère la parole sur le sujet et on remet l'église à milieu du village. La France en guerre, ce sont tous les francais en guerre ... rien de moins. Personne ne peut dire "pouce" ...