g4lly

Le souci c'est qu'on enlève quelques trucs mais qu'on en ajoute pas mal d'autre issues de l'éclosion ou du retour en grâce de menace un peu mise de côté. Les CGN depoté à 150m depuis n'importe quelle direction c'est un vrai souci qu'il est difficile d'adresser avec un APS du moins pas les actuels. On retrouve le souci avee.retour en grâce du minage hors route, du minage classique, des CGN sur "parachute" dispersé par obus ou fusée. Vu les très gros dégâts faits pas des CGN en Irak ... Même a bonne distance - parfois 250m - c'est une menace puissante qui oblige a un blindage en dur. C'est moins qu'une flèche moderne mais pas ridicule du tout. Le boulet transmet facilement l'énergie aux différentes couches. On a vu aussi les performance des autocanons bien mené... Qui visent lez zones fragiles, comme le bas de la caisse, mes éléments de mobilité, ma jointure tourelle caisse, l'arrière ou ou orifice GMP. Ce qui me surprend le plus c'est limpensé de l'obscur ossements du champ de bataille. Pendant longtemps éclairer ou obscurcir c'était la base du combat. Et a priori un véhicule dédié était prévu dans ce rôle... Aider a voir ou empêcher de voir. Pourquoi aujourd'hui cela semble abandonné ?! On voir un léger retour en grâce des obus fumigène en Ukraine chez les Russes. Certes l'écran n'est pas très dense et très entretenu mais il perturbe pas mal me cible aussi bien artillerie qu'ATGM. Or d'évidence c'est bien l'artillerie qui inflige le plus de dommage au blindé russe lors des assaut mécanisés.

Le mat télescopique a l'avantage de porter une charge importante, On peut y coller facilement 100kg. C'est simple, assez robuste. Souci... C'est un peut encombrant. Pas forcément très discret. Et ça oblige le porteur a être statique. Effectivemnet un drone ma ombiliqué pourrait avantageusement le remplcer si la charge utile est modeste. L'avantage du mat drone c'est qu'on peut l'utiliser en mobilité tant que rien n'interfère avec l'ombilic. Le drone peut suivre automatiquement et facilement me porteur par exemple. Mais pour les charges utiles "lourdes" pas sûr que le drone soit la meilleure solution.

A juste titre ou pas ... c'est ça la vraie question ... ... tu préférerais surement qu'on laisse les israéliens tranquillement se défaire du problème palestinien en paix et en silence? Pour le "pédigrée" de la dame ... https://fr.wikipedia.org/wiki/Francesca_Albanese

Le secteur industriel alerte le gouvernement sur le brouillard stratégique et politique actuel Mardi 10 septembre, Emmanuel Macron a inauguré la nouvelle usine du groupe pharmaceutique français Sanofi, à Neuville-sur-Saône, en région lyonnaise. Entièrement « modulable », celle-ci est capable de fabriquer plusieurs vaccins en même temps. L’occasion pour le chef de l’Etat de rappeler l’importance de l’« attractivité industrielle française », qui « sert notre besoin de souveraineté ». Quelques jours auparavant, la centrale EPR de Flamanville, dans la Manche, a enfin démarré son activité, avec douze années de retard pour ce chantier nucléaire. Dans le même temps, le laboratoire Servier a renoncé – pour le moment – à la vente de sa filiale Biogaran, le leader des médicaments génériques en France. Ces différentes nouvelles sont-elles le signe d’un regain de dynamisme pour l’industrie française ? Pas si sûr. Malgré les annonces, les difficultés semblent, au contraire, s’accumuler depuis plusieurs mois, mettant en péril le début de réindustrialisation enclenché en 2021 dans la foulée de la crise due au Covid-19. Pour la première fois en trois ans, le solde de créations d’usines sur le territoire est redevenu négatif depuis le mois d’avril, et les emplois industriels ont chuté en juin et juillet. En un an, la production industrielle manufacturière a reculé de 3 %, affaiblie entre autres par les mauvais résultats dans l’automobile et dans la construction, selon une note de l’Insee publiée le 6 septembre. Le nombre de défaillances d’entreprises atteint des records, la demande de biens d’équipement plonge, les capacités d’investissement sont réduites par le niveau des taux d’intérêt, et le coût de l’énergie a dégradé de nombreux secteurs. La crise gouvernementale de cet été ne fait qu’ajouter à la confusion. Au point que de nombreuses filières industrielles alertent le nouveau premier ministre, Michel Barnier, sur l’urgence de la situation. Toutes mettent la pression sur le futur gouvernement et appellent à la poursuite des aides publiques et à une plus grande visibilité sur la politique industrielle de la France, au moment où l’ancien gouverneur de la BCE, Mario Draghi, exhorte, dans un rapport l’Union européenne, à investir massivement pour ne pas décrocher par rapport aux Etats-Unis et à l’Asie. Le nouveau chef du gouvernement français a certes mis en avant la « réindustrialisation des territoires » dès sa prise de fonctions, mais M. Barnier a d’ores et déjà annoncé qu’il n’y aura « pas de miracle » et que la « première des priorités » de son gouvernement sera de réduire le déficit public. https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/09/16/le-secteur-industriel-alerte-le-gouvernement-sur-le-brouillard-strategique-et-politique-actuel_6319632_3234.html

https://www.lemonde.fr/international/article/2024/09/16/en-iran-le-president-promet-d-empecher-la-police-des-m-urs-de-deranger-les-femmes_6320434_3210.html En Iran, le président promet d’empêcher la police des mœurs de « déranger » les femmes Massoud Pezeshkian, élu en juillet, a tenu ces propos deux ans après la mort en détention de Mahsa Amini, arrêtée pour non-respect du code vestimentaire imposé aux femmes en Iran. Au cours de sa campagne électorale, M. Pezeshkian avait promis de retirer la police des mœurs des rues. Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a promis, lundi 16 septembre, d’œuvrer à ce que la police des mœurs ne « dérange » pas les femmes ne portant pas le voile obligatoire en public, à l’occasion de sa première conférence de presse depuis son élection en juillet. « La police des mœurs n’est pas censée affronter [les femmes], je veillerai à ce qu’elle ne [les] dérange pas », a promis le président réformiste, devant les médias à Téhéran. M. Pezeshkian a tenu ces propos deux ans après la mort, le 16 septembre 2022, de Mahsa Amini, une jeune Kurde iranienne de 22 ans arrêtée par la police des mœurs pour non-respect du code vestimentaire strict imposé aux femmes en Iran. « Même le procureur général avait déclaré qu’ils n’avaient pas le droit d’affronter » les femmes, a ajouté le président. Lors de sa campagne, M. Pezeshkian avait déjà affirmé que son « gouvernement s’opposera[it] à la police des mœurs » et qu’il s’opposait « fermement à toute forme de coercition à l’encontre d’un être humain ; nous n’avons pas le droit de contraindre les femmes et les jeunes filles, et j’ai honte de ces comportements à leur égard ». Il avait aussi promis de retirer de la rue cette police des mœurs, l’unité chargée de surveiller le port du voile obligatoire pour les femmes. Allègement des restrictions sur Internet et sur les réseaux sociaux La mort de Mahsa Amini avait déclenché, en 2022, un vaste mouvement de contestation en Iran, qui a fait plusieurs centaines de morts et a provoqué l’arrestation de milliers de personnes. Les autorités ont décrit les manifestations comme des « émeutes » orchestrées par les pays occidentaux. M. Pezeshkian, député du Parlement iranien à l’époque, avait vivement critiqué, en septembre 2022, la police pour la mort en détention de Mahsa Amini. Lundi, le président iranien a également déclaré que son gouvernement s’efforçait d’alléger les restrictions draconiennes imposées sur Internet, notamment sur les réseaux sociaux. Lors des manifestations de 2022, l’Iran a bloqué Instagram et WhatsApp, les applications les plus utilisées depuis le blocage, ces dernières années, des plates-formes YouTube, Facebook, Telegram, Twitter et TikTok. Toutefois, le nouveau président n’a que très peu de marge de manœuvre, alors que la justice et le Parlement sont aux mains des plus durs, comme tous les autres centres du pouvoir, dont les gardiens de la révolution (l’armée idéologique du pays). Tous ses prédécesseurs qui n’ont pas appartenu à l’aile dure ont été entravés dans leurs politiques internes et externes. « A l’intérieur, Massoud Pezeshkian peut négocier avec le noyau dur du pouvoir certaines revendications de la population qui ne sont pas considérées comme des lignes rouges, touchant aux libertés sociales, expliquait au Monde Meysam Sharifi, membre de la campagne électorale du président élu, relativement optimiste. Sans être radical, il a la capacité d’interagir avec le pouvoir et de se faire entendre. » « Il est possible que l’Iran et la Russie aient coopéré militairement dans le passé » Lors de sa conférence lundi, M. Pezeshkian a aussi évoqué les relations avec les Etats-Unis, ainsi que la coopération militaire de la République islamique avec son allié la Russie. « Nous ne nous battons pas avec l’Amérique si elle respecte nos droits, nous ne nous battons avec personne ; nous voulons progresser en toute sécurité », a déclaré le président iranien. « Nous ne recherchons pas d’armes nucléaires, nous avons respecté le cadre de l’accord » conclu en 2015 entre l’Iran et les puissances mondiales pour encadrer le programme nucléaire du pays, a-t-il ajouté. « Nous cherchons toujours à maintenir ce cadre », a assuré M. Pezeshkian, précisant que les Américains avaient rompu l’accord, les « forçant » ainsi à prendre des mesures en représailles. Depuis le départ fracassant des Américains de cet accord, décidé par l’ancien président républicain Donald Trump en 2018, la République islamique s’est affranchie progressivement de ses engagements. Le président a également critiqué les Occidentaux pour avoir annoncé récemment de nouvelles sanctions contre l’Iran, accusant Téhéran d’avoir livré des missiles balistiques à la Russie pour frapper l’Ukraine. « Il est possible que l’Iran et la Russie aient coopéré militairement dans le passé car il n’y avait pas d’interdiction à l’époque », a-t-il défendu, disant trouver injuste le « boycott » occidental. L’Iran avait rejeté les accusations et menacé de prendre des « mesures » en réponse aux sanctions. Les représentants diplomatiques britannique, néerlandais, français et allemand avaient d’ailleurs été convoqués. M. Pezeshkian a aussi insisté sur le droit du pays à maintenir son programme de missiles au nom de sa stratégie de dissuasion contre Israël, son ennemi juré, engagé dans une guerre dans la bande de Gaza contre le mouvement islamiste palestinien Hamas, que Téhéran soutient. « Ils [les Occidentaux] veulent que nous n’ayons pas de missiles ; c’est bien, mais il faut d’abord désarmer Israël », a-t-il dit. Sinon, « ils [les Israéliens] peuvent larguer des bombes sur nous quand ils le veulent, comme à Gaza ».

Israël pourrait devenir un « paria » pour le « génocide » perpétré dans la bande de Gaza, selon des experts de l’ONU Israël risque de devenir un Etat « paria », ont mis en garde lundi des experts indépendants des Nations unies, qui suggèrent de réfléchir à son adhésion à l’ONU au regard du « génocide » commis, selon eux, dans la bande de Gaza par les forces israéliennes. « Je pense qu’il est inévitable qu’Israël devienne un paria compte tenu de son agression continue et incessante contre les Nations Unies [et] les Palestiniens », a lancé Francesca Albanese, la rapporteuse spéciale de l’ONU sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés, lors d’un point de presse à Genève. Mme Albanese a accusé à plusieurs reprises Israël de commettre un « génocide » à Gaza depuis le début de la guerre. La juriste italienne – qui, comme ses collègues, est mandatée par le Conseil des droits de l’homme mais ne parle pas au nom de l’ONU – est l’une des critiques les plus virulentes d’Israël. Ce dernier a demandé son renvoi de son poste. Répondant aux journalistes par visioconférence, Mme Albanese s’est demandé « s’il ne faudrait pas s’interroger sur l’adhésion » à l’ONU d’Israël, « pour laquelle [il] semble n’avoir aucun respect ». Mme Albanese et plusieurs de ses collègues experts ont dénoncé ce qu’ils considèrent comme l’escalade de la violence et des violations des droits humains par Israël à Gaza mais aussi en Cisjordanie, le mépris d’Israël pour les décisions des tribunaux internationaux et ses attaques verbales contre l’ONU elle-même. Les rapporteurs ont également fustigé le « deux poids, deux mesures » des pays occidentaux et insisté sur le fait qu’Israël devait faire face aux conséquences de ses actes. https://www.lemonde.fr/international/article/2024/09/16/le-point-sur-la-situation-au-proche-orient-le-hamas-se-dit-pret-pour-une-longue-guerre-d-usure-benyamin-netanyahou-demande-un-changement-radical-a-la-frontiere-libanaise_6320641_3210.html

Ton lien l'amene nulle part ...

Tu pourrais nous expliciter ce que la Russie vise qu'on sache vraiment de quoi tu parles ? Gagner quoi ? C'est pareil il n'y a rien de plus vague que ce terme ... ... et on ne sait toujours pas quels sont les objectifs ? Tu pourrais nous les expliciter. Une fois qu'on est d'accord sur les objectif ... on pourrait commencer à décider comment convaincre qu'ils sont inutile pas ou plus indispensable parce que la situation a changé par exemple.

Il vise quoi au juste tu nous explique? renoncera ... peut être parce que c'est trop couteux ET pas indispensable, mais pour ça il faut convaincre que ce n'est pas indispensable.

Oui sauf les deux petites séquence en plan rapproché peut être.

Les "mp" pour les lire il faut être connecté ... donc s'ils n'arrivent pas à se connecter ...

Je peux basculer le mode d'authentification vers le "pseudo" ou meme mettre les deux modes "couriel" et "pseudo". Juste que comme les "pseudos" sont publics c'est une vulnérabilité d'attaque, donc ca ne devrait plus etre utilisé comme méthode. Ce qu'on peut faire c'est basculer en mode "pseudo" ou "courriel" pendant une période de transition ... mais combien de temps ?

A priori un missile Arrow à engagé le missile mais sans l'endomager ou pas suffisament ... https://www.timesofisrael.com/ballistic-missile-fired-from-yemen-triggers-sirens-across-central-israel/ Ballistic missile fired from Yemen triggers sirens across central Israel A surface-to-surface ballistic missile was fired at central Israel from Yemen by the Iran-backed Houthis early on Sunday morning. The missile attack set off sirens across central Israel at 6:32 a.m., with alerts heard from the east of Tel Aviv to Modiin. According to an Israeli Air Force probe, the Houthi missile was hit by an interceptor missile, although it did not manage to completely destroy the target. The missile had been identified upon launch from northwestern Yemen at around 6:21 a.m., and the Arrow long-range defense system was activated to intercept it. Several interceptor missiles were launched at the target in attempts to down it. At least one of the Arrow interceptors hit the missile, but did not destroy it, the probe found. Instead, the interceptor caused the Houthi missile to break apart in the air, and the warhead, as well as other pieces, fell to the ground. Smoke rises from a fire in central Israel after a missile fired from Yemen landed in an open area, according to the Israeli army, on Sunday, Sept. 15, 2024. (AP/Ohad Zwigenberg) Shrapnel from the missile and the interceptors impacted open areas in the Ben Shemen forest, close to the community of Kfar Daniel — a few kilometers southeast of Ben Gurion Airport — sparking a fire. The military also attempted to shoot down the falling shrapnel using the Iron Dome, which is usually used for shorter-range attacks. Shrapnel from an interceptor also caused slight damage at a train station on the outskirts of Modiin, some 25 kilometers (18 miles) east of Tel Aviv. The IAF found that the missile, which had a trajectory and did not maneuver in flight, was not a hypersonic projectile as the Houthis have claimed. The intended target of the attack was not immediately known. Police said they were additionally searching for potential shrapnel that may have fallen in areas east of Tel Aviv. Employees sweep shards of glass from an escalator damaged from the impact of a missile fired from Yemen, inside a train station near Modiin on September 15, 2024. (GIL COHEN-MAGEN / AFP) Houthis threaten more attacks In a short televised speech, Houthi military spokesman Yahya Saree claimed responsibility for the ballistic missile attack. Saree said a hypersonic missile was launched at an unspecified military target in the Tel Aviv area, boasting that the projectile eluded the gauntlet of American and Israeli aerial defense systems, and caused “fear and panic” in Israel. “It forced more than two million Zionists to run to shelters for the first time in the enemy’s history,” he said. He warned that Israelis could expect more attacks and “quality operations” in the lead-up to the anniversary of the Hamas terror group’s October 7 massacre, including a response to Israel’s July bombing of the Hodeida port in Yemen, a lifeline for the terror group, and in order to perform the Houthis’ “religious and moral duty” to support Palestinians, he said. As sirens went off, passengers ran to take shelter at Ben Gurion Airport, and lay down on the floor of trains. A worker at the Modiin train station told the Walla news site that she heard a large blast shortly after she reached the bomb shelter. “We ran to the protected area and then when we heard the large explosion, we realized it was here,” the unnamed woman said. The Magen David Adom rescue service said it treated nine people for minor injuries sustained as they ran for shelter when the sirens went off. The IDF said that there was no change to Home Front Command instructions for civilians, with schools and kindergartens open as usual in central Israel. A fire near Kfar Daniel following a ballistic missile attack from Yemen, September 15, 2024. (Yossi Aloni/Flash90) Houthi official Nasr al-Din Amer said that the attack showed Israel was completely exposed to aerial assault. “The [Israeli] defense systems failed and the Yemeni missile arrived thanks to Allah. The depths of the enemy are now completely exposed to us. In the past it was UAVs and now the missiles, and all arrived without interception. The future holds many things,” he said, according to the Kan public broadcaster. A second senior Houthi official posted on X in Hebrew saying the group’s leader would deliver an address later on Sunday. “Whether in your underground shelters or outside of them, it would behoove you to listen with close attention this afternoon to what is said by” Abdul-Malik al-Houthi, wrote Hezam al-Asad, a member of the Iran-backed group’s politburo, above a picture of their leader. Netanyahu says Israel will exact heavy price Prime Minister Benjamin Netanyahu issued a threat to the Houthis after the attack. “The Houthis should have known by now that we exact a heavy price for any attempt to harm us,” he said at the beginning of the weekly cabinet meeting. “Those who need a reminder are welcome to visit the port of Hodeida.” Israel launched an attack on the main harbor controlled by the Houthis on July 20 after a drone launched by the group struck Tel Aviv, killing a man and injuring four others. Firefighters battle a blaze following a ballistic missile attack from Yemen, near Kfar Daniel, September 15, 2024. (Yossi Aloni/Flash90) Yemen’s Houthis have fired over 220 ballistic missiles, cruise missiles and drones at Israel over the past 11 months — mostly toward the southernmost city of Eilat — saying that it is in solidarity with Palestinians in the Gaza Strip, where Israel is battling Hamas. The vast majority of the Iran-backed Yemeni group’s projectiles have been intercepted by US forces stationed in the Red Sea and Israeli air defenses and fighter jets, or have missed their target. However, the IDF has long warned that Israel’s air defenses are not “hermetic.” In July, a drone launched by the Houthis hit Tel Aviv, killing 50-year-old Yevgeny Ferder. The Iranian-made UAV traveled more than 2,600 kilometers (1,600 miles) to reach Israel, according to an Israeli Air Force probe. The modified Iranian-made Samad-3 took a non-direct flight path, which may have contributed to it not being classified as a threat by air defense troops, which resulted in it not being intercepted and striking the residential building. Israel responded to the July drone attack with strikes against the Houthi-controlled port of Hodeida in western Yemen. The strikes, carried out by dozens of Israeli aircraft, targeted fuel depots and energy infrastructure at the port, in addition to the cranes. Oil tanks burn at the Houthi-held port in Hodeidah, Yemen after Israeli strikes, July 20, 2024 (AP Photo) It was the first time Israel responded to the attacks, preferring that a United States-led coalition continue to strike the Houthis, mostly in response to the Iran-backed group’s attacks on commercial and military ships in the Red Sea. A Houthi official vowed at the time to “meet escalation with escalation” and a statement last month from the rebel group affirmed “once again that the Yemeni response is definitely coming.” Before the July attack on Tel Aviv, only one Houthi projectile, a cruise missile, had successfully struck Israel, hitting an open area near Eilat in March. Agencies contributed to this report.

La question c'est surtout ... à qui est destiné le message ... https://www.arabnews.com/node/2571432/middle-east Houthis claim to have attacked Tel Aviv with ‘new hypersonic’ ballistic missile AL-MUKALLA: Yemen’s Houthi militia claims to have fired a ballistic missile at the capital of Israel and vowed to continue firing rockets at Israel as well as attacking its ships in support of the Palestinian people. In a televised statement, Houthi military spokesman Yahya Sarea said on Sunday that Houthi forces fired a hypersonic missile at a military location in Tel Aviv, which traveled 2,040 kilometers and evaded US and Israeli air defenses. “The Israeli enemy should expect more strikes and qualitative operations to come,” Sarea said, adding that the attack on Tel Aviv was also retaliation for Israel’s airstrikes on Yemen’s western city of Hodeidah on July 20. Thousands of Israelis rushed to shelters in Tel Aviv on Sunday, and large explosions rocked the city as Israeli defenses tried to intercept a Houthi missile that landed in the city center. After the Houthi rocket attack, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu threatened to launch a new wave of strikes on Yemen, similar to the attacks on Hodeidah. “The Houthis should have known by now that we are charging a heavy price for any attempt to harm us. Those who need a reminder — are welcome to visit Hodeida port,” Netanyahu said at his Cabinet meeting. Speaking to large crowds of followers in areas under his control, Houthi leader Abdul Malik Al-Houthi also vowed on Sunday to continue the campaign against international ships in the Red Sea and other waters, as well as firing missiles at Israel until it ends its war in Gaza. “Our forces continue their successful and highly effective sea operations against ships linked to the Israeli, American and British adversaries,” Al-Houthi said. Since November, the Houthis have fired more than 100 ballistic missiles, drones and drone boats at commercial and navy ships in international shipping lanes, as well as rockets and drones at Israel, claiming that they are acting in support of the Palestinian people. Critics say the Houthis are using Yemen’s widespread outrage over Israel’s devastating operation in Gaza to recruit fighters, boost their dwindling public support, and mobilize forces to attack opponents in Yemen. Meanwhile, the EU naval mission in the Red Sea, known as EUNAVFOR Aspides, said on Sunday that the salvage operation of the burning oil tanker Sounion is underway, raising hopes of averting a disaster for the Red Sea ecosystem and shipping. “The salvage of the MV Sounion is a complex operation and consists of various phases. The tugboats have successfully connected to the vessel and the towing of the MV Sounion to a safe location is in progress,” the EU mission said on X, adding that its navy ships are providing protection to rescue vessels. The Sounion, carrying nearly a million barrels of crude oil, has been burning and deserted in the Red Sea since late last month, after being repeatedly attacked by the Houthis. The EU mission said earlier this month that the tugboats that arrived at the site of the burning oil tanker discovered that the ship was too dangerous to be moved to another location to neutralise the threat, forcing rescuers to consider other options. On Sunday, a government official in Aden, the interim capital of Yemen, told Arab News that the rescuers were able to tow the ship after the arrival of a new tugboat sent by the Sounion’s owner. Marine experts, who had previously warned of a major environmental disaster in the Red Sea if the ship exploded or leaked oil, reacted positively to the news of the towing. “With naval protection around it, the MV Sounion is now being towed to a safe location for salvaging, that would prevent an environmental disaster in the Red Sea after the ship was rigged with explosives by the Houthis and burning for weeks,” Wim Zwijnenburg of the Humanitarian Disarmament Project at the Dutch peace organization PAX said in a post on X. Meanwhile, a Yemeni government officer was killed on Sunday in clashes with the Houthis in the southern province of Dhale, the latest in a series of Houthi attacks on government troops in the province. Mohammed Al-Naqeeb, a military spokesperson for the Southern Transitional Council, told Arab News that the Houthis used drones and thermal missiles to attack their forces in Dhale’s Qatabah district on Sunday, sparking clashes that killed field commander Mohammed Ali Al-Humaidi. Dozens of Yemeni government troops have been killed in Houthi attacks in Dhale, Marib, Taiz, and other contested areas during the past two years, despite a significant drop in hostilities since a UN-brokered truce went into effect in 2022.

Pour quelles raisons? Besoins? Usages?

Ca arrive souvent ... souvent pour t'inscrire sur les forum tu utilises une adresse jetable par exemple pour éviter d’être spammé. Tu y colle rarement un adresse perso durable, ou une adresse pro, qui elle meme risque de changer à chaque changement de taf ...

Appui lumière et appui fumigène ... je suis surpris, on sais pourquoi cela a été complétement abandonné?

Comme d'autres pays européens, l'Allemagne a subi une flambée des prix du gaz et de l'électricité. Cette hausse des prix est due au mécanisme européen de fixation des prix de l'énergie. Factuellement c'est faux... Les tarifs spot sur l'électricité ne concerne que moins de 5% des consommations... Et sur les autres énergies les contrats long termes dominent largement. La.hausse de prix est lié essentiellement à la hausse des coûts de production et a été largement mitigé par la baisse de consommation lié à la crise économique et au budget contenu des ménages.

https://florida-invest.com/actualite-immobilier-usa/analyses/point-inflation-americaine-mois-mai-2024/

Les russes sont repartis à l'attaque de la mine de charbon au nord de Vuhledar avec succes. Il sont déjà fermement installé dans la partie est de la mine de charbon de l'est de Vuhledar. Les russes sont en train d'encercler le terril d'Ukrainsk. Coté saillant Koursk les choses avancent vite les russes ont pris le controle de "Darino", des retenue et de Tostiy Lug ...

Les russes sont repartis à l'attaque de la mine de charbon au nord de Vuhledar avec succes. Il sont déjà fermement installé dans la partie est de la mine de charbon de l'est de Vuhledar. Les russes sont en train d'encercler le terril d'Ukrainsk. Coté saillant Koursk les choses avancent vite les russes ont pris le controle de "Darino" et des retenue au sud est de Tostiy Lug ...

Guerre en Ukraine : « A Kharkiv, tout le monde a un cousin en Russie » Dans cette ville de l’est de l’Ukraine, où une frappe russe a fait cinq morts le 30 août, nombreux sont ceux qui ont des parents de l’autre côté de la frontière, située à quelques dizaines de kilomètres. Certains sont brouillés, d’autres maintiennent un lien, mais la blessure est profonde et les familles se déchirent. Les esprits ne bégaient pas une seconde, les index se tendent sans hésiter. « De ce côté », « Derrière les arbres, là », « Vers là-bas »… Pour montrer où se trouve la Russie, personne, dans cette cour d’immeubles, n’a de problème d’orientation. Il était 15 h 10, vendredi 30 août, quand une « bombe guidée » a explosé sur l’immeuble 2D du quartier Industrialnyi, à Kharkiv, la deuxième ville d’Ukraine. A la question de savoir d’où venait cet engin, bien plus précis qu’un missile air-sol, tous, dans la cour du 2D, indiquent la même direction : l’est. La frontière est à 35 kilomètres à vol d’oiseau, à vol d’obus. Au moment où la frappe trouait le soleil de l’après-midi et décapitait un immeuble entier à quelques blocs de chez eux, Tetyana se trouvait dans la « cour », comme on appelle ici les squares entourés de bâtiments d’habitation, et son mari, Mykola, pas loin. « Notre propre immeuble a bougé, raconte ce gardien de lycée de 50 ans, la paume sur une de ses oreilles, bourdonnante depuis la déflagration. J’ai pensé à ma mère, qui vit chez nous, tout là-haut, et j’ai monté quatre à quatre les escaliers pour vérifier qu’elle allait bien. » Ce jour-là, seul le 2D, à 150 mètres de leur immeuble, est en flammes. Tetyana, employée au dépôt de livres de Vivat, l’une des grandes maisons d’édition de Kharkiv, s’est empressée de rassurer la famille avant que les réseaux sociaux annoncent la nouvelle. Elle a prévenu tout le monde, sauf sa cousine Angelina, à Moscou. Angelina a grandi dans le même quartier qu’elle ; elle a aussi fréquenté la même école, la « 119 », avant de partir s’installer chez le voisin russe avec son mari. Mais, au printemps 2022, quand l’armée de Poutine a tenté de « prendre » Kharviv, que les missiles pleuvaient sur cette agglomération de 1,5 million d’habitants et que Tetyana a envoyé les photos des chars et des destructions à Angelina, celle-ci a rigolé : évidemment des images « bidonnées ». « Elle m’écrivait : “On va vous protéger”, poursuit Tetyana. Depuis, pour moi, c’est fini. J’ai arrêté WhatsApp et Viber avec elle. La télé russe et les chaînes Telegram lui ont bouffé le cerveau en un rien de temps. » Le couple note avec ironie que l’appartement conservé par cette même cousine dans les quartiers nord, les plus exposés, n’a jamais été touché en deux ans et demi de conflit. « Tout le monde ici a un cousin en Russie », dit Mykola, le mari. Kharkiv est la plus grande cité russophone hors des frontières de la Russie, et la cour de l’immeuble 2D, semblable à tant d’autres dans l’espace postsoviétique, en témoigne. Cette cour, c’est aussi une petite Ukraine de l’Est en miniature, un précipité de ces régions où les histoires de famille, d’un côté et de l’autre des lignes de front, créent des situations plus marquées encore qu’ailleurs en Ukraine – brouilles, déchirements, solidarités particulières. Certains continuent à se parler, mais pour ne rien se dire, ou alors des banalités lourdes de sous-entendus : « Dis bonjour autour de toi », « Embrasse la famille », « Comment va la santé ? », « Prenez soin de vous tous »… D’autres ont rompu le fil. https://www.lemonde.fr/international/article/2024/09/13/guerre-en-ukraine-a-kharkiv-tout-le-monde-a-un-cousin-en-russie_6315597_3211.html

L'opération ukrainienne en direction de la zone industrielle de Niu-York était bien une opération de sauvetage, les ukrainiens ont quitté leur position dans Niu-York depuis. A Toretsk les russes continue d'avancer le long du chemin de fer depuis la prison. Dans le saillant "Koursk" l'offensive est->ouest russe se consolide ... avec comme effet le risque de couper littéralement le dispositif ukrainien en deux et d'isoler nombre d'élément au nord de la route 38K.

Les la solution MBDA ... on l'appelle "MBDA VL Mica shipboard container" je ne sais pas s'il y a un nom spécifique. Le machin sert de "tout", aussi bien conteneur pour le transport que systeme de lancement vertical. https://www.seaforces.org/wpnsys/SURFACE/MICA-SAM.htm

Une mise a jour... Je suppose qu'elle intègre la bascule twitter vers X