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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    [Femmes soldats] Archive

    Je vais pourrir un peu le topic :lol: http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/04/17/je-n-ai-jamais-rencontre-une-soldate-heureuse_1181997_3224.html Hypokâgne, khâgne, Sciences Po... et l'armée. Engagée à 22 ans, reçue à Saint-Cyr, Marine Baron a démissionné deux ans plus tard, révoltée par le machisme ordinaire des militaires. Elle relate son expérience dans "Lieutenante" Vous vous êtes engagée dans l'armée à 22 ans, vous l'avez quittée à 24 et vous avez écrit un témoignage dans lequel vous dites, dès le début : "Je ne suis pas faite pour l'armée." Auriez-vous fait tout un livre pour ce simple constat ? Certainement pas. J'ai le sentiment que ce que j'ai vécu et ce que je peux en dire dépasse mon cas personnel. Il m'a été naturel d'écrire. Mon rôle dans l'armée était déjà d'écrire, j'étais officier de communication, je devais donner une bonne image de l'institution. En parallèle, il y avait ce que je vivais, et ce qu'il m'a été donné de voir chez certaines femmes militaires - il y en avait peu dans mon unité. Je me suis dit que si je ne disais pas ce que j'avais vu et expérimenté, personne ne le dirait à ma place. A quel moment de votre vie avez-vous eu ce désir de devenir militaire ? Dès l'adolescence. Je n'ai jamais rêvé d'un autre métier. Mais je ne le formulais pas vraiment, je restais assez fidèle à mon milieu bourgeois, intellectuel. J'ai fait les études qu'on attendait de moi, hypokhâgne, khâgne et Sciences Po. Je me suis mariée à 18 ans et j'ai divorcé à 21 ans. J'avais quitté ma famille pour me marier, puis mon autre famille en divorçant. Je n'avais plus d'attaches ou de comptes à rendre, je pouvais donc consentir à mon désir. Mais pourquoi ce désir d'armée et pourquoi la marine ? Sur la marine, on a beaucoup plaisanté, comme si je voulais me conformer à mon prénom, Marine... Mais la marine m'a toujours fascinée... Des voyages au long cours, une certaine idée de la liberté. Le désir d'armée ? Peut-être parce que je n'ai pas eu de vrai modèle d'autorité. Ma mère, qui m'a élevée, était... je dirais, un peu bobo soixante-huitarde, même si c'est réducteur. Mes parents étaient divorcés, et mon père n'a pas été très présent dans mon éducation. Venant d'une famille éclatée, je voulais retrouver quelque chose d'uni. C'était certainement aussi un geste de révolte contre ma mère, antimilitariste. Et un désir d'idéal - servir une cause. Vous citez une phrase, une sorte de maxime de l'armée : "Il n'y a pas de sexes dans l'armée, il n'y a que des militaires." Est-ce la réalité ? Il y a un seul sexe, le masculin. On le sait d'emblée quand on est une femme : on entre dans l'armée avec le fantasme de s'abstraire du féminin. On a le désir de se fondre dans cette collectivité unisexe. On essaie de faire oublier qu'on est une femme, mais on est toujours rappelée à l'ordre, ramenée et réduite à son sexe. Jamais je ne me suis autant sentie désignée comme femme. Si je faisais une bourde, c'était parce que j'étais une femme. Si on faisait un exercice difficile et que je serrais les dents pour ne rien dire alors que les hommes, eux, se plaignaient, c'est tout de même moi que l'instructeur réprimandait. A suivre votre parcours, à lire les portraits de femmes que vous faites, on a le sentiment qu'aucune femme ne peut être heureuse dans l'armée. Pourtant les femmes continuent de s'engager et toutes ne partent pas au bout de deux ans... Il y en a aussi qui partent bien avant. Mais je suis persuadée que dans certaines unités où il y a suffisamment de femmes, leur condition est meilleure. Dans la marine, il y a entre 12 % et 15 % de femmes mais dans mon unité, c'était 2 %, voire 1 %. Je pense que certaines femmes militaires ne se sont pas reconnues dans mon discours. Mais je n'ai eu aucune réaction de leur part. En revanche, j'ai reçu des témoignages de femmes qui, contrairement à moi, sont restées dans l'armée et qui m'ont remerciée d'avoir brisé le silence, d'avoir raconté mon expérience dans laquelle elles se sont retrouvées. Un de vos supérieurs vous a dit : "Ici, les femmes ont la condition qu'elles méritent." Avez-vous quelque chose à lui répondre ? Je connais ce discours. Si on morfle, c'est qu'on l'a cherché. En fait, on est venue dans l'armée seulement pour se trouver un homme. C'est stupide. Dans mon unité, certains étaient furieux de voir arriver une femme. D'autres étaient contents, mais pour de mauvaises raisons, parce qu'ils ne voient les femmes que comme des objets de désir. Vous citez des propos qui semblent d'un autre âge, le moindre étant de désigner toujours une femme comme "la miss". Mais n'est-ce pas le fait d'une minorité ? Chacun a plus ou moins un discours sexiste. Même si seule une grosse minorité est ouvertement misogyne, c'est en fait toléré par tous, ou presque tous. Et c'est cela qui est grave : la plupart laissent faire, comme ils le font avec les propos racistes. Les misogynes et les racistes, ce sont les mêmes ? Ce serait trop simple. J'ai vu des misogynes carabinés se révolter contre des propos racistes. Et inversement, des racistes ont parfois pris ma défense. On ne peut pas s'en tenir aux idées reçues. Vous n'avez pas donné les véritables identités des officiers de votre unité. Mais ils ne pouvaient pas ne pas se reconnaître. Ont-ils réagi ? Pas officiellement. Et une fois encore, je n'ai eu que les réactions positives. Ceux qui ont détesté mon propos ne se sont pas manifestés. Curieusement, c'est quand vous entrez à Saint-Cyr Coëtquidan, qui apparaît comme la voie royale, que vous craquez. Saint-Cyr, c'était la concrétisation de mon intégration dans l'armée. Dans la marine, j'étais "volontaire officier aspirant". C'était une situation précaire. J'ai passé le concours de Saint-Cyr dans l'enthousiasme, pour faire carrière. J'y tenais. Ma passion pour l'armée était réelle. Je voulais qu'on m'y accepte. Je ne voulais pas admettre que j'étais usée par les deux années que je venais de vivre. Je suis arrivée à Saint-Cyr, persuadée que j'allais signer pour quinze ans minimum. J'avais quelques semaines pour me dédire. J'ai soudain réalisé que je ne tiendrais pas, et je suis partie. Vous n'avez pas tenu, mais y a-t-il vraiment un problème de fond, qui toucherait toutes les femmes ? Je le crois. Certes, j'étais dans une unité très masculine. Et j'ai sûrement fait des erreurs. Mais pour les quatre femmes qui ont été dans cette unité, ça s'est mal passé. Il est impossible qu'elles aient toutes été anormalement faibles et fragiles. Il y a des difficultés pour les femmes dans toutes les entreprises. Certainement, mais, dans l'armée, il n'y a aucune acceptation de la mixité. Dès que les hommes ont peur, ils sont traités de gonzesses. Cela existe dans le civil aussi. Peut-être. Mais, dans l'armée, tant qu'il y aura, accolée au féminin, une image de faiblesse qui est l'antimodèle absolu de la ligne de conduite militaire, la situation des femmes ne sera pas bonne. Il y a pourtant des soldates heureuses. Je n'en ai pas rencontré. Maintenant que je parle avec d'anciennes militaires, je vois que certaines ont su trouver leur espace. Mais quand j'y étais, je n'ai pas rencontré une seule femme qui me dise "c'est super, l'armée". Avez-vous des regrets ? Passé le soulagement, oui, car j'ai toujours un attachement à cette idée de servir la France, et surtout de défendre la démocratie. Je suis attachée à mon pays. D'ailleurs, combien y a-t-il de pays où j'aurais pu écrire un livre critique sur l'armée sans être inquiétée ? Et puis, bien sûr, il y a des choses qui me manquent dans la vie civile. Des rapports humains très forts, où, même dans les affrontements, on se sent vivre. A-t-on essayé de vous retenir ? Une copine de chambrée m'a dit : "Ne pars pas, tu vas à nouveau dépendre d'un homme !" Comme si, dans l'armée, on dépendait d'autre chose que des hommes...
  2. g4lly

    [Rafale] *archive*

    Pour le moment la raison invoqué n'est pas l'avion lui meme ... "... la société (Dassault Aviation) n'a pas rempli tous les critères requis."
  3. Pour rebondir sur le post de Zamorana ... Un tres interessant billet sur le blog policetcetera. C'est quoi le terrorisme ? http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/04/17/petit-essai-sur-le-terrorisme/ Les uns après les autres les journaux reviennent sur l’affaire de Tarnac pour dénoncer le décalage entre une éventuelle tentative de dégradation de lignes SNCF et la procédure exceptionnelle utilisée, visant une organisation terroriste. Et la ministre de l’Intérieur fait front, affirmant que « ce ne sont pas les journaux qui rendent la justice ». Certes, mais si la presse en l’occurrence n’est pas dans son rôle, il faut biffer Zola des manuels scolaires. Il est vrai qu’après son fameux « J’accuse ! », l’écrivain-journaliste a été obligé de s’exiler… mais ses cendres sont au Panthéon. Ces jeunes gens du plateau de Millevaches n’ont pas le profil d’un Carlos ou d’un Rouillan. On n’y peut rien. Alors, terroristes ou pas ? Mais juridiquement, c’est quoi le terrorisme ? Oserais-je dire que juridiquement le terrorisme n’existe pas ! Il y a des règles internationales, européennes, mais pas une définition unique, claire et précise. La Convention de Strasbourg de 1977 envisage : « tout acte grave de violence dirigé contre la vie, l’intégrité corporelle ou la liberté des personnes et tout acte grave contre les biens lorsqu’il a créé un danger collectif pour les personnes ». En France, l’article 421-1 du Code pénal1 reprend certains des mots de cette convention, mais le sens du texte diffère assez nettement. Et l’expression « acte grave » est remplacée par l’énumération des infractions concernées. À part les excès de vitesse (là, je fais du mauvais esprit), tout y est : les atteintes à la vie, les armes, les explosifs, les vols, les extorsions de fonds, les destructions, les dégradations et détériorations, l’informatique, le recel, le blanchiment d’argent, le délit d’initié, etc. Le législateur n’a pas voulu créer d’infractions spécifiques. Il a préféré une notion subjective appliquée à des crimes et des délits déjà existants. Il appartient donc aux autorités judiciaires de déterminer au cas par cas si tel acte délictueux est considéré comme un acte terroriste. Ce qui change à la fois les conditions de l’enquête (garde à vue, surveillances, juridictions…) mais aussi les peines encourues. Si les faits incriminés sont inscrits dans le tableau des infractions ciblées, le juge n’a qu’une question à se poser : l’auteur de l’acte revendique-t-il un caractère politique ? La France n’est pas une exception. La plupart les États ont fait du terrorisme un acte criminel de droit commun, en se dotant d’un arsenal juridique hors du commun. Lors de la discussion des lois antiterroristes, certains députés ont rappelé que sous l’Occupation les résistants étaient qualifiés de terroristes. Tant il peut s’avérer difficile de distinguer le terrorisme d’une lutte pour la libération ! Et personne ne s’est mis d’accord, ni chez nous ni ailleurs, sur une définition. Dans la Revue de science criminelle, David Cumin, Maître de conférences à l’université Jean-Moulin, Lyon-III, estime qu’il est impossible de parvenir à une définition objective du terrorisme, mais il en donne l’approche criminologique suivante : « Relève du terrorisme l’acte isolé et sporadique de violence armée commis dans un but politique en temps de paix contre des personnes ou biens protégés. Est terroriste l’auteur d’un tel acte, quelles que soient la composition du groupe auquel il appartient et l’idéologie qui l’anime ». Cette définition s’applique-t-elle à Coupat et à ses acolytes ? On peut en douter. N’est-on pas en train de « banaliser » le terrorisme ? Supposons que ces bandes de banlieues qui font si peur à Monsieur Sarkozy deviennent plus virulentes, plus dangereuses pour la société, ne pourrait-on pas dénicher derrière leur action une volonté politique qui en ferait des terroristes ? Et la procédure exceptionnelle deviendrait alors le tout-venant. Toujours dans la Revue de science criminelle, Philippe Mary, professeur ordinaire à l’École des sciences criminologiques de l’Université Libre de Bruxelles, se pose la question de la différence entre le terrorisme et la délinquance urbaine. Pour lui, le terrorisme se caractérise par son aspect « grande criminalité » (des malveillances contre la SNCF ?). Mais ce qui rapproche ces deux types de criminalité, c’est que dans les deux cas, il s’agit de phénomènes indéfinis. Traités le plus souvent dans l’urgence, ils génèrent une politique de gestion des risques, dans laquelle la sécurité apparaît comme une fin en soi. « Une telle évolution de la notion de sécurité est le signe de passage d’un État social à un État sécuritaire », affirme-t-il. Sur 57 propositions en matière de lutte contre le terrorisme présentées au sommet de l’Union européenne tenu à Bruxelles, en mars 2004, plus de la moitié n’avait que peu ou rien à voir avec le terrorisme. Dans un récent rapport au Sénat2, Robert Badinter déclare : « Nous n’avons pas été, à ce jour, capables d’avoir une définition internationale du terrorisme. Ceci pour des raisons éminemment politiques. Si on regarde les textes existants, on trouve des définitions faites par « raccroc » (…) Quand on regarde de très près les textes et notamment le texte fondateur de la Cour pénale internationale, on trouve une définition du terrorisme qui paraît acceptable : on considère comme crime contre l’humanité les actions décidées par un groupement organisé, pas nécessairement un État, ayant pour finalité de semer la terreur, dans des populations civiles, pour des motifs idéologiques. Les attentats du 11 septembre 2001 constituent une de ces actions… » Dans une résolution du 14 janvier 2009, le Parlement européen « se préoccupe du fait que la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme a souvent abouti à une baisse du niveau de protection des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, notamment du droit fondamental au respect de la vie privée, à la protection des données à caractère personnel et à la nondiscrimination (…) ». En France, une loi du 13 février 2008 autorise la ratification d’une convention du Conseil de l’Europe pour la prévention du terrorisme. Elle oblige les États à incriminer certains actes perçus comme pouvant conduire à la commission d’infractions terroristes, même si l’acte terroriste n’est pas commis. Il en va ainsi du recrutement et de l’entraînement de futurs terroristes, ou encore de la provocation à commettre des infractions terroristes. Certains pays doivent donc adapter leur législation. Pour nous, c’est inutile, on est à la pointe du combat, puisqu’on en est à poursuivre une bande d’anars3 qui auraient eu l’intention de tenter de détruire des caténaires de la SNCF. Coluche, tu nous manques !
  4. C'est quoi le terrorisme ? http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/04/17/petit-essai-sur-le-terrorisme/ Les uns après les autres les journaux reviennent sur l’affaire de Tarnac pour dénoncer le décalage entre une éventuelle tentative de dégradation de lignes SNCF et la procédure exceptionnelle utilisée, visant une organisation terroriste. Et la ministre de l’Intérieur fait front, affirmant que « ce ne sont pas les journaux qui rendent la justice ». Certes, mais si la presse en l’occurrence n’est pas dans son rôle, il faut biffer Zola des manuels scolaires. Il est vrai qu’après son fameux « J’accuse ! », l’écrivain-journaliste a été obligé de s’exiler… mais ses cendres sont au Panthéon. Ces jeunes gens du plateau de Millevaches n’ont pas le profil d’un Carlos ou d’un Rouillan. On n’y peut rien. Alors, terroristes ou pas ? Mais juridiquement, c’est quoi le terrorisme ? Oserais-je dire que juridiquement le terrorisme n’existe pas ! Il y a des règles internationales, européennes, mais pas une définition unique, claire et précise. La Convention de Strasbourg de 1977 envisage : « tout acte grave de violence dirigé contre la vie, l’intégrité corporelle ou la liberté des personnes et tout acte grave contre les biens lorsqu’il a créé un danger collectif pour les personnes ». ... La suite tres interessante par ici http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/04/17/petit-essai-sur-le-terrorisme/
  5. Je pense qu'il s'agit de Sherpa 3 SpecOps ... donc l'équivalent des Serval en plus lourd, ou du VLRA sas en moins lourd. http://www.renault-trucks-defense.com/J46PAYS/web/ImageServlet?imageCode=142768&codeSite=J46RTDEFENSE&etat=1
  6. g4lly

    [Quizz] Char / Archive

    C'est un BRDM-1 quelques chose ... Je tente 9P110
  7. Furtivité EM ... le raccordement des ailes et du fuselage est un des point délicat. Il semble qu'il se serve de ce volume pour loger le train principal. Dans l'article il parle du fait que l'épaisseur permettrait une structure plus solide permettant d'encaisser facilement les atterissage sur porte avion...
  8. Eyl est une ville d'au moins 20 000 habitants...
  9. L'index droit ne doit pas etre sur la détente .. tendu le long du receveur. On met le doigt sur la détente seulement quand on a l'itention de tirer et que l'arme ne pointe pas nulle part ou n'importe ou ... en gros on ne pose le doigt sur la détente que quand l'arme pointe la cible ... genre dans les guibolle du collegue comme sur la premiere photo. La base de l'ISTC 1) Une arme doit toujours être considérée comme chargée. 2) Ne jamais pointer ou laisser pointer le canon d'une arme sur quelque chose que l'on ne veut pas détruire. 3) Garder l'indexe hors de la queue de détente tant que les organes de visé ne sont pas sur l'objectif. 4) Etre sûr de son objectif.
  10. Ca met surtout en lumiere les limite du pilotage tout auto ... la fusion de senseur ne semble pas suffisament abouti ou l'IA pas suffisament fine pour interpreter comme telle un défaut d'un senseur.
  11. D'ailleurs c'est pas vraiment une évolution l'option est prévu depuis le début sur tous les modeles de la gamme, en gros il n'y a pas d'étude a faire ou quoi que ce soit de compliqué, il suffit d'installer tout est prévu pour.
  12. A défaut d'antinavire supersonique :) Ca se trouve contre cible naval qui evolue lentement sous faible facteur de charge a niveau zero on a une portée de plus de 37km avec un belle trajectoire ballistique :lol:
  13. Quand on sera riche et qu'on aura décidé qu'on veut.doit faire la guerre. Pour le moment on rame pour installer des 30mm recyclé sur les deux premier.
  14. g4lly

    Budget de la défense 2009

    http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/04/budget-des-rece.html Budget : des recettes "ni au montant, ni au moment" Pour financer le budget 2009 de la Défense, le ministère des Finances a imposé la mécanique des recettes extrabudgétaires. En clair, on vend les bijoux de famille pour financer les dépenses ordinaires... Le ministère de la Défense a longuement expliqué tout le bien qu'il pensait de ces pratiques, qui devait lui assurer 1,6 milliards de recettes cette année. Publiquement au moins, car en privé c'est plutôt la soupe à la grimace. "Ce ne sont pas des recettes virtuelles, mais nous ne les aurons ni au montant, ni au moment prévu" assure une source proche du dossier. Les "bijoux de famille" sont de deux types : les fréquences radio et l'immobilier parisien. Les fréquences intéressent notamment les opérateurs de téléphonie mobile. Mais, comme nous le révélions ici début février, les 600 millions attendus ne seront pas au rendez-vous en 2009. Les fréquences ne devraient pas être attribuées avant le début de l'année prochaine et il est impossible de savoir à quel prix elles seront réellement vendues. Le chiffre de 600 millions est un simple affichage politique. Même chose pour l'immobilier parisien, dont le ministère attendait environ 970 millions d'euros en 2009. La crise financière et l'état du marché immobilier n'incitent pas les opérateurs à vendre ou à acheter des biens aussi prestigieux que l'îlot Saint-Germain. Conscient du problème, la Défense avait cru trouver la solution en créant une société de portage, filiale de la Caisse des dépôts et de la Sovafim. Cette société aurait racheté immédiatement l'ensemble des immeubles à vendre, à charge pour elle de les revaloriser et des remettre sur le marché ultérieurement. Une bonne idée a priori, sauf qu'elle a bien du mal à se concrétiser. Les discussions avec Bercy durent depuis six mois, sans aboutir, sur fond de dissensions entre les Finances et la Caisse des dépôts.
  15. Tu penses que la piraterie n'est pas du pur banditisme mais n'est qu'un moyen d'alimenter le terrorisme?
  16. Les eco warrior ont été tres surveillé au UK par exemple ... ou les autorité s'inquiétaient d'attaque a l'atgm contre des centrale nucléaire par exemple ... des laché d'animaux de labo infecté avec des patogene dangereux pour l'homme etc. En pratique il semble que meme les plus radicaux ne soit jamais passé a un mode terroriste de masse. Et que leur action "violente" se limite surtout a des cambriolage/vol/occupation et genes diverses. Les attentats ou execution non plus ne semble pas avoir fait recette, je ne suis pas sur d'ailleurs qu'il y ait des cas avéré. Il y a eu des cas de terrorisme "moral", avec des obstétricien executé aux état unis par exemple, et des clinique vistime d'attentat a la bombe. On a eu aussi le cas d'execution d'employer de l'industrie petroliere en amerique du sud, ou du traitement de l'eau en afrique du sud par exemple. Mais la aussi rien de tres ideologique, mais essentiellement la defence d'un territoire ou d'un acces a l'eau.
  17. g4lly

    Armée de l'air Russe

    C'est pas nouveau, je crois que le but est de pouvoir fournir un appui feu en plus de fournir du ravito. En gros une passe pour faire un carton une passe pour larguer des munitions a basse altitude ou en touch & go. C'est pas plus bete qu'autre chose. Ca permet de se passer d'escorte Su-24 - qui n'aurait d'ailleurs pas forcément l'allonge - pour ravitailler pres d'un front sans défense AA sérieuse. Les HdC ne pouvant accompagner les avion de transport a reaction, niveau vitesse et allonge non plus.
  18. Exactement il faut laisser le temps au temps, laisser le temps au gens de changer a leur rythme tout en leur faisant comprendre qu'il s'agit quand meme d'eviter de nous casser les couilles chez nous ou d'en etre complice. S'il veulent, et on des projet de developpement compatible avec les notre on peut bien sur les aider... mais il faut que l'initiative viennent d'eux. C'est le BA-B-A d'une coopération saine. Proposer, se mettre d'accord sur un projet commun ... les laisser décider, puis les aider s'il le demande effectivement. Pour le moment on a décidé de tout, sous couvert de pseudo démocratie dont il n'ont rien a foutre. La seule chose a laquelle ils adhere c'est l'ANA, il semble qu'il y ait un début de sentiment Afghan issu d'une armée commune... pour le reste c'est plutot le néant. Le plus simple serait de continuer a capitaliser la dessus, a valoriser l'ANA en la mettant sur le devant de la scene, et en se mettant nous en retrait, au moins au yeux des gens. On aurait moins l'air occupant, et plus l'air alliés de l'ANA, ca nous éviterait probablement une partie des combat avec les insurgés nationalistes, et permettrait peut etre a l'ANA de s'attirait la sympathie de la population et d'avoir du rens plus facilement.
  19. C'est a peu pret ca ... la survit de la pseudo classe moyenne en dépend :)
  20. http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/04/mon-opinion-sur.html Mon opinion sur l'affaire du Tanit : polémiques désolantes et révélatrices Halte au feu ! Les polémiques sur l'affaire du Tanit, lancées par le créateur du GIGN Christian Prouteau et alimentées par de nombreuses conversations, sont à la fois désolantes et révélatrices. Désolantes, parce qu'elles s'apparentent au jeu du (passez-moi l'expression) "qui a la plus grosse ?" On est en droit d'attendre un plus de tenue de la part des commentateurs, qui s'époumonent sur le thème : "le GIGN sont des surhommes. Non, c'est pas vrai, les commandos sont plus forts..." Cela rappelera des souvenirs à quelques uns - ces remarques couramment entendues dans les régiments sur les "warriors de la 3" contre "les tarlouzes de la 2". A 20 ans, niveau 00, cela fait rire. Au delà... On est quand même rassuré de voir que ni le général du GIGN, ni l'amiral des fusiliers marins-commandos (alfusco) n'alimentent cette vaine polémique. Faut-il rappeller qu'ils commandent, tous les deux, des unités et des hommes que le monde entier considèrent avec respect et parfois envie. Des unités très professionnelles qui se connaissent et s'apprécient, au delà de quelques frictions de caractère. Je peux en témoigner personnellement pour y avoir entendu - de part et d'autre - beaucoup d'éloges et de respect sur la maison d'à côté. Révélatrices, ces polémiques le sont, pourtant, d'un malaise peut-être plus profond qu'on ne l'imagine. Au GIGN d'abord : comme l'ensemble de la gendarmerie, le GI vit mal son départ du ministère de la Défense. Les officiers et sous-officiers du groupe sont de culture souvent très "mili". Par ailleurs, les relations avec la police sont mauvaises et la collaboration avec le Raid, disons, chaotique. Lors de son arrivée à l'Elysée, le président de la République, de culture policière, s'est brutalement séparé des gendarmes qui assuraient sa protection au sein du GSPR (une unité soeur du GIGN d'alors). L'affaire s'est passé sur le trottoir devant le Fouquet's... Enfin, la profonde et indispenable restructuration du GIGN s'est faite dans la douleur avec la fusion des anciens GI et EPIGN. Chez les commandos-marine, comme dans l'ensemble des forces spéciales, ensuite. Nous l'avons écrit hier sur ce blog : le COS traverse une période d'incertitude. Les forces spéciales vivent mal leur non-emploi en Afghanistan, où leurs camarades anglo-saxons s'illustrent. Par ailleurs, elles ne peuvent être employés à la manière des hommes du service Action (DGSE) qui sont de véritables "spéciaux", agissant clandestinement dans des endroits où ils ne sont pas censés être. Les forces spéciales, dont l'emploi est toujours un signal politico-militaire fort, sont en quelque sorte coincées entre l'élite des unités classiques (GCP, GCM, CPA 20 et 30, voire commandos marine dans leur emploi hors COS, etc.) aujourd'hui largement mise à contribution et le Service action. Ces hommes, qui se sont beaucoup bagarrés pour intégrer ces unités prestigieuses et exigeantes, comprennent mal le fait d'être moins employés qu'ils estiment, à tort ou à raison, devoir l'être. Du coup, chacun se bat pour pouvoir faire telle ou telle mission. Avec le risque, au passage, de dire du mal des petits copains. Humain, ce phénomène n'est pas très sain. Il n'est d'ailleurs pas limité aux forces spéciales. Un seul exemple de cette guerre des boutons : les récentes polémiques entre aviateurs et marins sur l'utilisation d'un Caracal (air) pour des missions de sauvetage en mer à partir de Lanvéoc-Poulmic. De tous ces problèmes, il faut que les responsables politiques et militaires se préoccupent. Mais en attendant, halte au feu, svp.
  21. euh ... les vehicule allant lentement et toit assez vite ... t 'es obligé de tourné en rond ou en huit ou en triangle ... enfin il faut se promener deci dela, et effectivement pour avoir les yeux partout dans cette config avec le viseur de toit c'est moins pratique qu'avec le visueur de mat pour le 360 et moins pratique que le viseur de nez pour le bas. Apres si tu doit etre a 1km derriere le convoi pour voir les abord du convoi et faire des expece de haricot sur le secteur arriere du convoi pour le tenir a l'oeil c'est moins évident qu'avec un viseur de nez par exemple. M'enfin je doute que la gazelle soit infiniment plus pratique que le tigre pour reconnaitre la route autour d'un convoi...
  22. Pare éclat c'était les veste légère qu'il n'arrtait pas vraiement les balles du moins moins y avais rien de garantie. En général on ajoute des plaque métallique, céramique ou composite pour transformé une ceste par eclat en pare balle. Mais pare éclat est un ancien terme qu'on utilise plus trop car le matériel militaire est systématique pare balle aujourd hui enfin dans les armées modernes. Ca vient je pense de flak jacket les veste que porté les naviguant dans les année 40 et qui etait censé les protéger des schrapnel de la flak. C'était en nylon avec des petite plaquette métallique légere cousu dedans. Je doute que l'efficacité fut bonne ... meme si c'était encore utilisé au viet nam. Body-armor c'est un terme générique pour gilet pare balle ... on trouve au Ballistic vest, Bulletproof vest etc. Selon les modele la veste souple protege des munition de pistolets et des éclats ... contre les munition de guerre il faut glisser dedans les plaque de blindage rigide. Pour la protection les flak jacket, puis les pare éclats etaient en général encombrant et pas vraiment efficace... Depuis on se concentre sur la protection maxi des seules partie "vitale" ... en gros le centre du thorax, de maniere a le blinder contre toute munition jusqu'a la mitrailleuse 7.62, en abandonnant les autre partie "consommable" pour limiter l'encombrement et la masse. On se retrouver donc pour les personnel mobile et avoluant a pieds avec l'option de ne porter qu'un 'plate carrier', en gros une veste ballistique qui permet juste de glisser dedans les plaque de blindage face et dos. Seule sans plaque elle ne protage que contre les arme de point classique et les éclat pas trop véloce. plate carrier c'est en quelques sorte la version basique de "gilet pare balle", qui luiu comprend de multiple accessoires modulables qui protége le cou, les épaules, les flancs ... le bas ventre ... parfois meme les cuisses tout ca plein de plaque de blindage ... qui pese un ane mort, et qu'on prefere réserver au personnel n'ayant pas trop a se balader a pieds, mais néammoins tres exposé.
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