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Tout ce qui a été posté par g4lly
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C'est un chassi russe ... genre BMD nan ? Erf nan c 'est pire c'est un chassis de T-34 :lol:
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Ceci est un topic générique sur le positionnement satellitaire et le GPS Pour aborder les différents systemes individuellement se référer au topic associé ;) [*]GLONASS http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=10056.0 [*]Galileo http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=1111.35 [*]Beidou http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=7386.0 Pas sur que le signal "military grade" soit nécessaire vu la durée du vol le GPS du missile peut fonctionner en mode différentiel par rapport a celui de l'avion, a supposer que l'avion soit positionné aussi précisément que le GPS militaire - la fusion des donnée INS GPS suivi de terrain doivent permettre un positionnenement décimétrique meme avec le GPS dégradé -. D'ailleurs un signal GPS de bonne qualité - 5 a 7 satellites - n'est pas disponible partout, de plus pas mal d'incertitude sont possible a cause de tout plein d'incertitude sur la propagation des onde EM. En principe la centrale inertielle sur un si court trajet doit pas trop dériver et permettre un tir précis. Apres s'il faut un tir metrique sans GPS avec un objectif au positionnement incertain ... la version IIR est la pour ca.
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Batellerie et engin & moyens de débarquement
g4lly a répondu à un(e) sujet de Fusilier dans Divers marine
Pour faire revenir fufu ! je met une grosse photo de ZUBR ! -
Hybride d'helicoptère et d'avion
g4lly a répondu à un(e) sujet de Gran Capitan dans Hélicoptères militaires
http-~~-//www.youtube.com/watch?v=hwusQWZBXjg [youtube=400,300]http-~~-//www.youtube.com/watch?v=hwusQWZBXjg[/youtube] -
Euh ... Pour le départ missile le radar de bord donnera la distance si c'est dans le range ... Sinon dans le cas d'un petit flotte une triangulation a deux ou trois navire donnera une bonne idée de la distance - la traine sonar peu suffire les missiles etant tiré souvent a profondeur périscopique -. Dans le cas d'un GAN l'E2 de veille donnera aussi le point de sortie missile... Enfin pour une menace connue identifié l'évaluation de la distance peut se faire grace a la perte de signal sur le parcours. Pour les menace a moins de 40km c'est jouable ... au dela de toute facon c'est hors de portée de la solution MILAS/ASROC/SIZZLER... D'ailleurs les US du temps de la menace rouge avait le projet sea lance bien avancé, le renouvellement du SUBROC qui permettait d'envoyer une torpille depuis un sous marin via un missile de croisiere vers un autre sous marin, discrétion et vitesse ... La menace n'étant plus ce qu'elle est SUBROC a été retiré et SEA LANCE stoppé ... seul ASROC a été upradé pour etre tiré des VLS. Preuvent que la solution les US y croient. D'ailleurs nous aussi étions partenaire MILAS du temps des rouges.
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Le croisement systématique de fichier a lieu en amont ... en l'absence de suspect. A postériori - une fois qu'on a des suspect vraiment suspect - il a peu d'interet puisque que la recherche sur plusieurs fichiers peut etre déjà faite. Le probleme des fichier de fichier c'est qu'ils cumule aussi les incertitudes desdits fichiers qui sont truffé d'erreurs, et qu'il balay tellement large qu'il y a forcément quelqu'un qui rentre dans les criteres. Les anglais on envoyer des tas de gens en prisons comme ca, les mecs étant libéré des année plus tard quand par hasard on est tombé sur le vrai coupable. Le second probleme des méta fichiers c'est a quoi ils servent effectivement ... Parce que si on veut gagner du temps y a une solution simple ... on fait comme avec les cheveaux on oblige chacun a se ballader aves un puce radio fréquence bien enfoncé dans le corps ... et la les enquetes vont aller vite :lol: plus besoin d'interpel de Gav et autre fichier ... a chaque instant on sait qui est ou et ce qu'il fait :) lovely. Connaissant un peut le principe du datamining ... je suis tres tres tres dubitatif sur la pertinence de le généralisé version "mass surveillance" vu que le systeme est tres tres facilement détournable et peut aboutir a tout et n'importe quoi. C'est d'ailleurs la raison d'etre des limitations légales des systeme de collecte d'information personnel, a savoir qu'une fois dématérialisé informatiquement la donnée peuvent bien attérrir n'(importe ou et servir a n'importe quoi. Et que le moyen de s'en prémunir est tout simplement de ne pas les collectionner, ou du moins de faire en sortes de collectionner que le strictement indispensable avec tres grande prudence. Ce qui par manque de volonté et un peu de moyen n'est rigoureusement jamais fait. Les données personnelles de n'importe qui et n'importe quoi s'égare tous les jour y compris des donnée tres sensibles, par négligence, inconscience, hasard, nécessité et autres. Alors je concois bien qu'on dans une société ou l'intime ne compte plus pour grand chose... que tout le monde reve de montrer son cul a la télé et de raconter sa vie moisie a n'importe qui sur internet ... de faire coucou a la video surveillance d'avoir un truc techno dans les fesse qui fait bip bip pour pas se perdre etc. Néammoins pas mal de c'est état de fait ne sont pas réversible.
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Dans le clapot littoral
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[Forces spéciales] Leur place dans nos armées
g4lly a répondu à un(e) sujet de max dans Forces spéciales et clandestines
http://lemamouth.blogspot.com/2009/07/la-frnace-en-misison-speciale-pour.html Le commandement des opérations spéciales (COS), dirigé par l'Amiral Pierre Martinez, est depuis minuit le patron de la composante "forces spéciales" de la Nato response force (NRF) 13, pour une durée d'un peu plus de six mois, à la suite des Italiens. Le COS engage 485 de ses quelques 3.000 opérateurs dans ce mandat inédit (1) qui couvre un spectre de missions très précises, allant de l'expertise initiale de théâtre, à la libération d'otages, en passant par les évacuations de ressortissants. Hervé Morin s'était fait présenter le portage, en décembre dernier. Presque toutes les unités du COS sont mises à contribution, qu'il s'agisse des commandos, des hélicoptères (seul le DAOS fournit) et des ATT (Poitou). Deux SOTG (special operations task group) terrestre, un SOTG Air et un SOTG maritime, comptant chacun un peu moins d'une centaine de personnels figurent dans les capacités-clé de la NRF13. Les Danois fournissent un tiers du SOTG maritime, et les Polonais alignent à eux seuls un SOTG terrestres. Au total, la composante FS de la NRF comporte un squelette de 596 spécialistes de l'OTAN, qui pourraient, en cas d'urgence, être renforcés. Pour le COS, la NRF13 a représenté un effort herculéen pour la traduction opérationnelle des procédures OTAN, effectué par un petit carré d'officiers de l'Etat-major de Villacoublay. Il représente aussi, d'ores et déjà un effort consquent puisqu'un membre du COS sur six (et deux ATT sur cinq) est donc "pré-empté" en quelque sorte pour l'alerte NRF, qui ne sera peut-être (et sans doute pas) activée puisque la NRF n'a servi que deux fois, et à chaque fois, pour des missions humanitaires, donc sans déploiement de FS. Certains expliquent même que cette pré-emption explique en partie l'impossibilité d'envoyer nos commandos en Afghanistan, mais c'est sans doute du mauvais esprit. D'autres -qui ont du sel dans les cheveux- voient d'ailleurs dans les actions de piraterie menées au large de la Somalie une chance peut-être historique de déclencher la NRF. Ce qui n'arive qu'avec l'accord du plus haut niveau de l'OTAN. Mais chacun est, comme dit l'adage, "prêt à..., en mesure de..." (1) Le décompte des postes, unité par unité se trouve dans le numéro 276 de RAIDS. Le hors-série "Opex 2008" de RAIDS comprenant, pour sa part, un éclairage sur les mandats 12 et 13. Témoignant comme souvent d'un avant gardisme certain et d'une réelle adaptation aux procédures OTAN, l'armée de l'Air a en effet déjà pris deux tours de la composannte 3D de la NRF, la 5 (général Jean-Patrick Gaviard) et la 12 (général Gilles Desclaux). -
Je ne suis sur de rien mais Rafael vend ca comme ca ... fire observe update ... Tout juste s'il y a pas une voilure pour faire du loitering. De plus pour la trajectoire NLOS précité il est possible d'utiliser une trajectoire lobbé très ballistique laissant porbablement pas loin de 10 seconde de prise de vue aérienne. Les vues sont bien sur enregistré dans le poste de tir ... on peut les visionner/analyser meme quand le missile est planté :) Pour le risque de dommage ... a priori en l'absence de cible il suffit de guider le missile vers un terrain vide, une charge HEAT en tir fichant va faire un trou dans le sol pas grand chose de plus. C'est pas une bombe de 250 non plus ;) Pour le cout effectivement, c'est cher si on constate pas de menace ... mais si on découvre une embuscade il est probable que les quelques dizaine de milliers d'euros soit une réelle économie a défaut de moyen d'observation alternatif disponible. Combien coute une mission de reco en jet ou helo? pas forcément infiniment moins cher. Apres si on dispo un petit drone qui peut faire pareil pour moins cher pas de probleme mais visiblement actuellement on a beaucoup plus de poste ATGM que de drone tactique niveau compagnie :) D'ailleurs visiblement les troupes engagé en Astan se privent pas d'user leur ATGM MILAN Javelin et autre pour faire de l'apers ... alors pourquoi pas pour faire de la reco avec quand le risque est grand et qu'on a pas d'alternative. A Uzbeen un petit coup de Sike LR aurait peut etre permis de lever - ou au contraire de porter - le doute sur l'opposition supposée... Apres si on m'assure que quand le nouveau missile sera en dotation toutes les compagnie disposeront de moyen d'observation aérien quand elle le voudront ... pas de probleme. ... en attendant le Spike LR pourrait dépanner.
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Sauf si c'est pour de la riposte... En gros tu detecte un tir de missile depuis un sous marin - ouverture de tube, chasse et mise a feu sont detectable et localisable assez voire tres précisément - ... trop tard, il fait mauvais temps ou ton hélico et en panne pas pret, bingo fuel ... enfin la seule solution pour gagner du temps et menacer le sous marin ... c'est des Sizzler/MILAS/ASROC. Meme si la torpille fait pas mouche le sous marin sera surpris par la rentrée a proximité - il est pas évident qu'il detecte le tir et le vol - et devra adopter brutalement une posture défensive voire l'envoie de contre mesure qui l'obligeront a rompre l'attaque. Il suffit de gagner 5 minutes pour replacer tes navires convenablement ... mettre un helico en l'air ... un VDS a l'eau etc. Effectivement ca n'évitera pas la premiere salve de missile ou le premier lot de torpille ... mais ca évitera que le sous marin assaillant se sente des ailes et remette le couvert ou disparaisse tranquillement dans le fond :) Avec une torpille - ou plusieurs on peut quadriller une zone en balancant 8 torpille - et son sonar actif au cul sa liberté de mouvement risque d'etre limité.
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En meme temps il est difficile de réduire le nombre de policier et gendarme ... et d'augmenter massivement les effectifs de la police scientifique - qui coutent encore plus cher car plus qualifier qu'un gardien de la paix ... - . Si on veut maintenir un semblant de présence policiere sur la voie publique ... il faut faire des concession ailleurs.
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[Russie] Marine Russe - VMF (sujet général)
g4lly a répondu à un(e) sujet de Francois5 v2.1 dans Asie / Océanie
http://img528.imageshack.us/img528/5107/02221022nq8.jpg http://navsource.narod.ru/photos/09/300/09300001.jpg -
Nope c'est plutot typé flotte cotiere ... et embuscade sur fond de littoral. JE pense que le camo doit se perdre facilement dans la ligne de cote des rivage ou est sensé opérer l'engin. La flotte cotiere russe a des camo dans le mem genre Alors que la flotte bleu est grise classique
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Je voulais dire de moyen d'observation aéroportée de fortune. Un drone jetable si tu préfere :) Bon ok ca faire cher la prise de vu ... m'enfin si ca peut éviter de se jeter dans la gueule du loup quand on a pas du tout de moyen d'observation déporté pourquoi pas. Le lanceur spike LR/MR dispose de sa propre optique IIR aussi. De plus les fantassin félin disposeront d'un viseur IR pour les tireur 600m et de jumelle IR chef de groupe, plus une refroidi pour le chef de section. Donc en plus de l'imagerie IR du lanceur le missile LR - et le missile MR en option - dispose d'uune liaison de donnée bidirectionnelle avec le missile permettant de voir sur la poste de tir ce que film l'autodirecteur du missile ... et de piloter le missile. En gros lui réassigner une trajectoire, un mode d'attaque ou un cible. Je suppose que meme en trajectoire lobée le temps de vol et pas tres long et que le temps de prise de vue efficace doit etre réduit ... néammoins on compte visiblement plusieurs grosse grosse seconde voir une bonne dizaine, vu de dessus avec un grand champ et une optique IR refroidi de bonne qualité, ca doit quand meme donner une idée de la menace. Je doute qu'une concentration de personnel supérieure a un GC puisse passé inapercu ... sauf a se cacher spécifiquement a ce moment là d'une observation IR.
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La police scientifique c'est cher tres cher - plusieurs dizaine de millier d'euro le mois d'écoute GSM, plusieurs centaine d'euros pour une analyse d'ADN légale etc. sans parler des année nécessaire a constituer l'expérience du métier des labos, voir la collection de piece automobile des labos de police - . Police et justice ayant déjà peu de moyen financier, et la recherche et le renseignement criminel étant la derniere roue du carrosse, il est peu probleme que des moyen supplémentaire soit dispo c'est plutot l'inverse ne pratique, sauf cas exceptionnel. Un autre écueil l'absence de formation spécifique. Les policier scientifique francais .. sont souvent des scientifique employé de la police. Les seule formations spécifiques - au sens CSI - sont Lausanne et Galsgow et ce pour toute l'Europe au sens large ... Enfin la police scientifique n'est qu'un outil de plus dans la panoplie policiere pour abonder les éléments de l'enquete pas une fin en soit ... meme si c'est sexy a la télé IRL c'est nettement plus complexe :)
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Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Ca n'explique pas cette logique d'intimidation. Soit c'est un manque de controle de Tasahal sur ses sous fifre et c'est grave. Soit c'est délibéré et je comprends encore moins l'interet ... De ce qu'on m'en a dit il s'agit plutot d'un probleme de controle de Tsahal sur les appelés ... dont pas mal issus des colonies ne résistent pas a l'envie de faire un carton. M'enfin si c'est vrai, c'est pas bon signe un tel manque de discipline. D'ailleurs on ne trouve pas cette meme logique d'intimidation quand il s'agit de citoyen juif Israelien qui font pareil... -
http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a7da98eaa-e8e2-4127-b02e-2f549a8d4415 Left-of-center think-tank the Institute for Public Policy Research (IPPR) is the latest body to lend its weight to the Greek chorus calling for a UK defense review – or in the case of the IPPR a “Strategic Review of Security.” It’s final report resulting from its “Commission on National Security in the 21st Century” includes a raft of recommendations over and above a security review, many of which are contentious. The report is given weight – however – by those involved, including co-chair George Robertson, a former Sec. Gen. of NATO, and a previous UK Secretary of State for Defense. Gen. Charles Guthrie, a former chief of the defense staff, and David Omand, a former security and intelligence coordinator in the Cabinet Office. Robertson was the government’s senior defense minister during the 1998 Strategic Defense Review. The IPPR suggests considering swathing cuts in navy procurement, while also casting open the question of a replacement for the Trident strategic nuclear deterrent. The report also echoes several of the arguments made last week by Gen. David Richards, the British Army’s next chief of the general staff. “The UK government has been clear in recent defence documents that it would only envisage engaging in major combat operations as part of a coalition operation most likely led by the United States,” states the report. “If savings are needed, and they are, we should therefore look to make them in areas where we are members of an alliance that already possesses the relevant capabilities in abundance, relative to any potential adversary, and where additional UK capability would therefore be adding little of extra value to the overall alliance effort.” blog post photo With this in mind it suggests: “This analysis and approach puts certain capabilities in the frame for reconsideration. For illustrative rather than comprehensive purposes, these might be said to include: The Future Carrier Program… The F-35 Joint Strike Fighter……The Type 45 Destroyer… The delayed Astute class hunter-killer submarines.” Elsewhere in the report the IPPR argues the UK should bolster European defense and security cooperation. The ability for naval power projection, however, is a distinct European weakness – both in terms of carrier capability, and fleet air defense. Even if just for “illustrative…purposes” those in dark blue (the Royal Navy) ought to feel rather picked upon. Those “capabilities in the frame for reconsideration” form the heart of the navy’s re-equipment program, and are a key element of the UK’s envisaged force projection and expeditionary warfare capability. It also adds; the “Government should look to explore the options for retiring some other already existing capabilities early. In this category, there is a case for focusing on: reductions in the number of our Challenger 2 Main Battle Tanks… Quicker reductions in the number of Tornado fighter and ground attack aircraft, especially given the recent decision to buy Tranche 3 of the Typhoon (Eurofighter), reductions in anti-submarine warfare capability, reductions in the scale of our air defences.” In the case of the Tornado F3s air defense aircraft, the last of these will be withdrawn from service by March 2011, although the GR4 strike variant is presently due to remain in service until 2025. Were, as the IPPR suggests, the F-35 procurement to be reconsidered - and no alternative acquired - then this could leave the air force with the Typhoon as its only manned air combat platform in the medium term. The Harrier GR9 is presently due to be withdrawn from service in 2018. The UK Tranche 3 decision also amounted to a total – in reality – of 16 aircraft, not the full commitment of 88. Out of the 40 listed as part of the UK’s Tranche 3A off-take, 24 were actually a carry-over from Tranche 2 aircraft diverted to Saudi Arabia. In terms of alliance relationships the commission considered a number of options, but favors the UK pursuing: “a major strengthening of European defence and security cooperation, not as an alternative to NATO but as a route to reducing absolute dependence on the United States while continuing to build more effective multilateral institutions as a longer-term project.” Procurement areas worthy of more funding according to the IPPR include: “tactical air to ground support, especially helicopters, intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance assets…heavy lift aircraft,” as well as possibly increasing the size of the army.
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http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a7da98eaa-e8e2-4127-b02e-2f549a8d4415 Left-of-center think-tank the Institute for Public Policy Research (IPPR) is the latest body to lend its weight to the Greek chorus calling for a UK defense review – or in the case of the IPPR a “Strategic Review of Security.” It’s final report resulting from its “Commission on National Security in the 21st Century” includes a raft of recommendations over and above a security review, many of which are contentious. The report is given weight – however – by those involved, including co-chair George Robertson, a former Sec. Gen. of NATO, and a previous UK Secretary of State for Defense. Gen. Charles Guthrie, a former chief of the defense staff, and David Omand, a former security and intelligence coordinator in the Cabinet Office. Robertson was the government’s senior defense minister during the 1998 Strategic Defense Review. The IPPR suggests considering swathing cuts in navy procurement, while also casting open the question of a replacement for the Trident strategic nuclear deterrent. The report also echoes several of the arguments made last week by Gen. David Richards, the British Army’s next chief of the general staff. “The UK government has been clear in recent defence documents that it would only envisage engaging in major combat operations as part of a coalition operation most likely led by the United States,” states the report. “If savings are needed, and they are, we should therefore look to make them in areas where we are members of an alliance that already possesses the relevant capabilities in abundance, relative to any potential adversary, and where additional UK capability would therefore be adding little of extra value to the overall alliance effort.” blog post photo With this in mind it suggests: “This analysis and approach puts certain capabilities in the frame for reconsideration. For illustrative rather than comprehensive purposes, these might be said to include: The Future Carrier Program… The F-35 Joint Strike Fighter……The Type 45 Destroyer… The delayed Astute class hunter-killer submarines.” Elsewhere in the report the IPPR argues the UK should bolster European defense and security cooperation. The ability for naval power projection, however, is a distinct European weakness – both in terms of carrier capability, and fleet air defense. Even if just for “illustrative…purposes” those in dark blue (the Royal Navy) ought to feel rather picked upon. Those “capabilities in the frame for reconsideration” form the heart of the navy’s re-equipment program, and are a key element of the UK’s envisaged force projection and expeditionary warfare capability. It also adds; the “Government should look to explore the options for retiring some other already existing capabilities early. In this category, there is a case for focusing on: reductions in the number of our Challenger 2 Main Battle Tanks… Quicker reductions in the number of Tornado fighter and ground attack aircraft, especially given the recent decision to buy Tranche 3 of the Typhoon (Eurofighter), reductions in anti-submarine warfare capability, reductions in the scale of our air defences.” In the case of the Tornado F3s air defense aircraft, the last of these will be withdrawn from service by March 2011, although the GR4 strike variant is presently due to remain in service until 2025. Were, as the IPPR suggests, the F-35 procurement to be reconsidered - and no alternative acquired - then this could leave the air force with the Typhoon as its only manned air combat platform in the medium term. The Harrier GR9 is presently due to be withdrawn from service in 2018. The UK Tranche 3 decision also amounted to a total – in reality – of 16 aircraft, not the full commitment of 88. Out of the 40 listed as part of the UK’s Tranche 3A off-take, 24 were actually a carry-over from Tranche 2 aircraft diverted to Saudi Arabia. In terms of alliance relationships the commission considered a number of options, but favors the UK pursuing: “a major strengthening of European defence and security cooperation, not as an alternative to NATO but as a route to reducing absolute dependence on the United States while continuing to build more effective multilateral institutions as a longer-term project.” Procurement areas worthy of more funding according to the IPPR include: “tactical air to ground support, especially helicopters, intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance assets…heavy lift aircraft,” as well as possibly increasing the size of the army.
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http://www.wired.com/dangerroom/2009/06/navy-seeks-unblinking-eye-for-battlefield-surveillance/ Imagine you had the ultimate surveillance system: A network of sensors on the ground and hovering overhead. All that spying power is useless, however, if you don’t know where to point your cameras. That seems to be the idea behind Persistent Surveillance Automation, an effort by the Office of Naval Research to automate sensor networks to give commanders a better understanding of a battlespace. ONR last week issued a broad area announcement seeking concepts for the system, which would task surveillance assets so they focus autonomously on areas of interest. The idea of “persistent stare” is not new: Think of the JLENS (pictured here), a sophisticated camera system that can be perched on towers or on blimps to provide wide area surveillance. But as unmanned surveillance systems proliferate, commanders will be faced with an overwhelming amount of data. A more autonomous sensor network would — in theory — help provide a more integrated and coherent picture. It would also do more with less. According to the ONR solicitation, this system would use a combination of hardware and software to “optimize the information within a region constrained by mission and resources, automatically analyze sensor data and associate this data to entities for further classification. It is desired that the system communicate using a simple and specific tasking language allowing the integration of multiple disparate sensors and platforms.” At stake is an initial $750,000 in research funds for Fiscal Year 2010; ONR may issue up to two awards. Concept papers are due on August 7.
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http://www.wired.com/dangerroom/2009/06/mine-vs-cannon-vs-torpedo-in-high-speed-underwater-arms-race/ Multibillion-dollar carriers are still at risk from thousand-dollar weapons. The Navy’s newest defense: clever hydrodynamic bullets, traveling through the water are super speed. Mines are the forgotten threat of naval warfare — simple low-tech floating bombs that destroyed and damaged more ships in the 20th century than gunfire, torpedoes and air attack combined. A tethered mine is invisible from the surface, a few fathoms down where it will hole a ship below the waterline. These mines are exported by twenty nations (including China) and can be dropped from a simple fishing boat to wait for their target. Some view them as the maritime version of IEDs, an asymmetric threat to the big navies. The most modern warships are vulnerable — during Operation Desert storm the USS Princeton and USS Tripoli were damaged by mines within a few hours of each other. (Mines go way back, too. When Farragut issued his famous order “Damn the torpedoes, full speed ahead!” during the Civil War, the “torpedoes” were tethered mines.) Tackling mines is a time-consuming business. Minesweepers can cut the tethering cable; the mine floats free - and is easy to spot on the surface and destroy with gunfire. But this is a dangerous game. Otherwise, mines can be destroyed in situ, either by divers or by a Mine Neutralization System (MNS), which uses a remote-controlled robot to place destructive charges. The Navy only has 28 of the systems to cover the world, and the process of destroying a single mine can take hours. In the latest Popular Mechanics, I take a look at a faster alternative being developed by Northrop Grumman: the Rapid Airborne Mine Clearance System (RAMICS). Mounted on a helicopter, it combines a sensor to see through water with a 30mm cannon, which can take out a mine with a single shot. The difference is in the ammunition. When a RAMICS round strikes the water, the pressure wave from blunt tip produces a bubble which surrounds the projectile. This reduces friction so, unlike other projectiles, the bullet keeps its velocity underwater. This “supercavitating” technology has been used before. The Russians were the first to develop supercavitating weapons, notably the VA-111 Shkval. This is an underwater rocket with a maximum speed of two hundred knots — four times the speed of a conventional torpedo German company Diehl announced their own demonstrator, the Barracuda, in 2004 and Iranian work on a supposedly supercavitating torpedo was leaked in 2006. These superfast torpedoes are a new type of challenge. The initial version of the Shkval was unguided and realtively easy to evade. But later versions (and the Barracuda) can home in on the target. Even defenses still under development, like the Navy’s Common Very Light Weight torpedo may have trouble against such a fast opponent. However, the success of RAMICS in tests suggests another alternative. If you can have a Phalanx gatling gun on the deck of a ship to defend against missiles, why not have something similar to destroy incoming torpedoes? RAMICS shows that it’s possible to detect a torpedo underwater using a laser-based sensor, and a 30mm supercavitating round which can destroy a mine can certainly destroy a smaller, think-skinned torpedo. The main question would be accuracy – but RAMICS has proved more accurate than expected in tests, and only needs one shot. In fact, this is exactly the approach taken by Darpa’s Very High Speed Torpedo Defense project. Testing of the sensor, targeting mechanism and projectiles are being carried out this year in a variety of sea states. (Elsewhere, it’s been suggested that an underwater gun pod, firing supercavitating rounds may be used rather than one above the water). So a supercavitating projectile is not only the answer to one of the oldest threats to warships, it may be the answer to one of the newest threats, too. Le 91RE2 c'est un missile ballistique ... il y a un partie a mach 2 effectivement ca va assez vite pour les 40 ou 50km :lol:
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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Mariton (UMP) a proposé l'emprunt obligatoire :lol: j'en parlais quelques message avant ... bien sur balayé d'un revers de la main par NS. A savoir que si emprunt "spécial" il y a ... l'essentiel des fond proviendra d'investisseur institutionnel type banque et assurance, la part particuliere représentera une portion congrue, l'épargne des particuliers étant placé en emprunt d'état via les placement banquaire type FCP, Sicav, fond diverse, et autre produit structuré intégré ou non a de l'assurance vie et autre enveloppe fiscale avantageuse. Quoiqu'il en soit rien avant 2010 ... donc on est surtout dans l'annonce d'une politique de dépense et en contrepartie de rigueur qui ne dit pas son nom. La question c'est quel vont etre les hausse d'imposition afférante et comment vont elle etre camouflée :lol: - rien que pour payer les interet de l'emprunt - -
Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Sans parler des intimidations a coup de 5.56 dans la plaque du pare balle envers certain journaliste. Pas mal de chose ont dégénérer avec l'intifada quand le MO dans les territoire et au abord a été refilé surtout a des appelé pour gonfler les effectifs, alors que pendant longtemps c'était quasi exclusivement le boulot des "professionnel". Pareil pour les gardes frontieres. -
Liste des principaux fichiers nationaux de police et gendarmerie AGADIR (Direction générale des finances publiques, contrôle fiscal) AGDREF (application de gestion des dossiers des ressortissants étrangers en France) AGRIPPA (Application nationale de gestion du répertoire informatisé des propriétaires et possesseurs d'armes) ANACRIM (logiciel d'analyse criminelle) ARAMIS (suivi des titres de circulation délivrés aux personnes) BB2000 (Bureautique Brigade 2000) CIBLE (comparaison et d'identification balistique par localisation des empreintes) COG-RENS (centres opérationnels et de renseignement de la gendarmerie) DELPHINE (premier traitement de données biométriques à visée administrative en France) FAC (automatisé des casinos et salles de jeux) FAED (empreintes digitales) FAR (alphabétique des renseignements) FBS (brigades spécialisées) FCA (central des automobiles) FDST (direction de la surveillance du territoire, christina) FICOBA (Comptes Bancaires et Assimilés) FICP (national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers) FIJAIS (judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles) FIP (centre national d'analyse d'images pédopornographiques) FIT (informatisé du terrorisme) FNAEG (empreintes génétiques) FNCI (national des cartes d'identité) FNFM (faux monnayage) FNI (national des immatriculations) FNPC (national des permis de conduire) FNPE (personnes nées à l'étranger) FNT (national trans-frontières) FOS (objets signalés) FPIS (personnes interdites de stade) FPR (personnes recherchées) FRG (renseignements généraux, EDVIRSP, ex-Edvige) FS-PORA (suivi des personnes faisant l'objet d'une rétention administrative) FSCP (Service Centrale des Prélèvements biologiques) FTIVV (traitement des images des véhicules volés) FTPJ (travail de la police judiciaire) FVVS (véhicules volés et signalés) GERFAUT (Gestion électronique des reconduites à la frontière audiencées en urgence par les tribunaux) HOPSY (internements psychiatriques) INSEE (Répertoire national d'identification des personnes physiques) JUDEX (Système de traitement des infractions constatées de la gendarmerie nationale) PULS@R (projet Andromede gendarmerie) RMV 2 (réseau mondial des visas 2) SALVAC (système d'analyse des liens de la violence associée aux crimes) SCPPB (service central de préservation des prélèvements biologiques) SDRF (suivi des titres de circulation délivrés aux personnes sans domicile ni résidence fixe) SIS (système d'information Schengen, France) STIC (système de traitement des infractions constatées de la police nationale) RAPACE (Répertoire Automatisé Pour l'Analyse des Contrefaçons de l'Euro) http://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/06/29/le-fichier-pericles-grand-mix-de-donnees-personnelles_1213151_651865.html Le fichier Périclès, grand mix de données personnelles Le projet de loi Loppsi 2, qui sera débattu dans les prochaines semaines, devrait s'imposer comme le super-outil de filtrage et de traçage du Net. Au coeur de ce dispositif de lutte contre la criminalité, Périclès, une plateforme névralgique pour les données personnelles. Apparue et adoptée en 2002, la première loi Loppsi prévoyait un arsenal juridique destiné à endiguer l'accroissement de la délinquance et de la criminalité. Sa première mise en application, la loi sur la sécurité intérieure, votée en 2003, concernait plus spécifiquement la criminalité "classique". Depuis, il fallait prendre en compte la formidable montée en puissance des réseaux - et la montée, liée, de la cyberdélinquance - mais aussi les avantages d'une quasi-totale informatisation des données concernant les citoyens. La Loppsi, 2e du nom, et ses "super-fichiers" croisés ont alors été pensés. Selon les informations obtenues par le Figaro, le fonctionnement et le champ de recoupement de Périclès, devenu récemment AJDRCDS (Application judiciaire dédiée à la révélation des crimes et délits en série), a été précisé. Seuls les magistrats et gendarmes ou policiers habilités judiciairement et formés à Périclès auront la possiblité de travailler sur la plate-forme, qui ne sera accessible que par une combinaison de code et mot de passe nominatifs. Une fois identifié, l'utilisateur pourra à loisir taper sa requête en précisant le ou les fichiers à interroger. RECOUPEMENTS À LA CARTE A la palette des quarante-cinq fichiers (référencés dans le nouveau rapport Bauer - décembre 2008, voir encadré) d'ores et déjà disponibles au ministère de l'intérieur, tels les fichiers d'antécédents judiciaires et traitement des infractions constatées (STIC, Judex) ou bases de permis de conduire ou cartes grises, pourront s'ajouter - sur demande des enquêteurs et par réquisition accélérée - certains autres fichiers administratifs comme ceux des douanes, du fisc ou de la Sécurité sociale par exemple. A noter au passage que de 34 en 2006, ces fichiers sont passés à 45 en 2008, et seront bientôt augmentés d'une douzaine supplémentaire "en cours de préparation" selon le rapport Bauer, vraisemblablement pour 2010. Dernière nouveauté en date, l'adjonction dans les possibilités de croisement des éléments visibles sur la Toile - dits "sources ouvertes" - que chaque internaute peut laisser - parfois sans s'en rendre compte - sur les sites de socialisation (tels Facebook ou MySpace), mais aussi pages personnelles ou blogs (accessibles par simples requêtes sur moteurs de recherche classiques comme Google). A l'image de l'expérimentation du fichier Herisson (Habile Extraction du Renseignement d'Intérêt Stratégique à partir de Sources Ouvertes Numérisées) par la Direction générale de l'armement, une masse non négligeable d'informations peut être collectée légalement par ce moteur de recherche "super-renifleur" qui dresse un portrait-robot numérique de chaque individu. FACEBOOK ET GOOGLE EN COMPLÉMENT Et les recoupements ne s'arrêteraient pas là. Toujours sur demande et pour les besoins de l'enquête, il sera alors possible - ce qui est déjà le cas pour certaines affaires - de demander aux opérateurs de téléphonie les numéros d'identification des portables se trouvant dans une zone précise et ayant passé une communication à un moment donné. Idem pour le GIE Cartes bancaires, qui fournirait les listes de retraits d'argent par Carte bleue dans un périmètre déterminé. Ces demandes ne sont pas nouvelles, mais la possibilité de recoupements d'identités grâce à Périclès l'est. La convergence des données augmente les chances de réussite d'une identification. Une seule limite à tout ce futur arsenal, son utilisation qui serait limitée aux délits passibles d'au moins 5 ans d'emprisonnement, le tout afin "d'étendre l'utilisation des fichiers de police judiciaire à la lutte contre la délinquance la plus nombreuse et la plus répétée pour permettre aux officiers de police judiciaire de bénéficier des nouvelles capacités de rapprochement et de traitement de la sérialité", comme le décrit le projet en préambule. Et déjà, ça et là, quelques initiatives tentent de résister à ce fichage massif.
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http://lemamouth.blogspot.com/2009/06/la-gbu-49-debarque-sur-mirage-2000d.html La GBU-49 débarque sur Mirage 2000D La bombe guidée GBU-49 (ou E-Paveway 2, guidage mixte laser et GPS) commence sa phase d'intégration sur les Mirage 2000D de l'armée de l'Air. C'est le CEV, à Cazaux, et le CEAM qui sont chargés des essais, à partir du mois de juillet. Le Mirage 2000D qui était exposé au salon du Bourget, sur le stand du ministère sera utilisé dans ce but. Les éléments de conduite de tir étaient d'ailleurs visibles dans le cockpit de l'appareil. La configuration doit être opérationnelle à la fin de l'automne, avant d'être déployée en Afghanistan. Ce sont les Marins de la 17F qui avaient tiré les premières GBU-49 "bonnes de guerre" lors de leur déploiement à Kandahar, à l'été 2008. Ces munitions moins coûteuses que l'AASM s'étaient avérées particulièrement efficaces. La plupart des tirs étaient effectuées sur le mode GPS, et un tir au moins a été piloté sur un mode mixte. Un peu moins d'une vingtaine de GBU-49 avaient alors été tirées en trois mois.
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http://lemamouth.blogspot.com/2009/06/favier-prone-un-regroupement-de.html Favier prône un "regroupement de compétences" Le général Denis Favier (GIGN), a effectué ce matin un plaidoyer pour un regroupement de compétences en matière de contre-terrorisme. Il y a une "nécessité absolue regrouper nos compétences" a-t-il plaidé au colloque de Défense et Stratégie, à l'assemblée nationale. "Considérer qu'on peut gérer les prises d'otages massives avec les seules unités spécialisées, c'est courir à l'échec" a-t-il ajouté, reprenant un des retours d'expérience de l'exercice Paris Lyon Marseille (PLM) de décembre 2008. Dont on attend toujours la suite, d'ailleurs, que MAM avait annoncé au début de... 2009, sans que rien ne suive. Selon nos sources, l'autre leçon, un nécessaire surcroît de coordination, et l'émergence d'un leadership dans la conduite des opérations, n'ont pas non plus été suivis d'effets, et ce dossier massif du contre-terrorisme figure vraisemblablement en bonne place sur la liste des dossiers urgents, laissés en jachère, que Brice Hortefeux va devoir gérer assez rapidement. Ce matin, le propre coordinateur du renseignement, Bernard Bajolet, s'est félicité de la révolution silencieuse qu'ont initiés les services de renseignement pour se rapprocher, tout en constatant que le risque statistique d'un attentat était bel et bien là. Mobilisation générale pour Balbuzard Noir Le général Favier a rappelé, à l'appui de sa position, que les forces spéciales avaient toujours bénéficié d'un important appui des forces conventionnelles, notamment pour l'environnement. C'était le cas, par exemple, lors de l'opération Balbuzard Noir -auquel Favier avait participé-, qui avait mobilisé une quarantaine d'hélicoptères de l'ALAT, deux TCD et un porte-avions, pour libérer des militaires français retenus en otage par les Serbes. Le dard de forces spéciales, plus de 90 spécialistes, comprenait notamment la quasi-totalité du GIGN, ainsi que des commandos marine et du 1er RPIMa. Les débats de légitimités ne s'était pas posés, on avait seulement pris les meilleurs pour une mission particulièrement risquée, une des premières PROM, en fait, et on avait mis les questions de chapelles de côté (là c'est moi qui commente). C'était encore le cas pour intervenir sur l'Airbus de Marignane. Et c'est encore le cas, aujourd'hui, avec le groupe interarmées d'hélicoptères (GIH), soutien aéromobile du GIGN, même si ce dernier dépend du COS. L'expérience démontre que les PROM de demain devront mettre en oeuvre un grand nombre de forces spéciales, qui encore aujourd'hui, ne s'entraînent quasiment jamais ensemble. Les forces spéciales militaires n'étant quant à elles jamais associés aux exercices, ne participant qu'à celles sur lesquelles elles sont missionées, comme c'est le cas par exemple pour le contre-terrorisme maritime (CTM).