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Tout ce qui a été posté par g4lly
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http://www.panhard.fr/francais/docnews/LivraisondespremiersERC90remotorises.pdf Au début de l‘année 2007, un escadron d‘un régiment blindé va être projeté en opération extérieure, avec des ERC 90 « Sagaie » équipés d‘une nouvelle motorisation. Ces chars légers, réalisés par Panhard, ont connu une intense vie opérationnelle, depuis leur livraison au cours des années 1980. Constamment utilisés comme moyen rapide d‘intervention, les ERC 90 ont été de presque tous les engagements de l‘armée de Terre, en Bosnie et en Afrique. Armés d‘un canon de 90 mm pour un poids total de moins de dix tonnes, les ERC 90 représentent un excellent compromis entre la masse et la puissance de feu. Pour conserver cette capacité de projection rapide d‘une unité blindée, l‘armée de Terre a lancé en 2000 un programme visant à remotoriser le parc des ERC 90. Cette revalorisation qui porte sur 160 engins, concerne principalement la motorisation : les ERC 90 échangent ainsi leur moteur essence PRV de 130 chevaux pour un diesel Mercedes-Benz de 170 CV équipé d‘une boîte automatique Renk. Ces modifications n‘entraînent aucun changement de la silhouette du blindé, mais elles se traduisent par un surpoids de 400 kg environ. Les ERC 90 perdent de ce fait leur capacité amphibie, mais les équipages, qui ont pu commencer la formation, se sont rendus compte du net avantage de la nouvelle motorisation en terme de mobilité. Le couple moteur des ERC 90 revalorisés est trois fois supérieur à celui des engins de la précédente génération et l‘autonomie est portée de 700 à 900 kilomètres. A la fin 2006, conformément aux planifications, Panhard aura livré 35 ERC 90 remotorisés à l‘armée de Terre et la production devrait s‘élever à 55 véhicules en 2007. Cette valorisation va permettre de faire vivre le parc ERC 90 Sagaie au-delà des années 2020 Sinon le Cavalier Blindé n°12 est assez clair sur la réduction du volume des force de cavalerie chenille mais encore plus roue ... http://www.abc.terre.defense.gouv.fr/sites/abc.terre.defense.gouv.fr/IMG/pdf/cavaliers-blindes-12.pdf
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
J'ai l'impression qu'on cherche surtout a remplacer le transall plutôt qu'autre chose avec ce projet ... -
En même temps vu la surface de verrière de plusieurs mètres carré et le devis de masse y a pas 50 solutions. Soit c'est blindé tres léger ... soit c'est une enclume. Blindage vitré STANAG niveau 3 ... donc 7.62AP 230kg/m2 ... a vu de nez y a 6m2 de verriere. ca donne 1400kg, ... le double pour du niveau 4 ...
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C'était 160 remotorisés ... je sais pas su le programme est arrivé a terme.
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Une interception sans radar du tout ... je suis très dubitatif, surtout sur un mode défensif. Les mistral sur le tigre c'est surtout a destination des autres helicos et aéronefs lents ou drones... pas pour taper du jet même des jet d'attaque qui détecteront le tigre bien avant que le tigre n'ai conscience de leur présence. Et vu le prix du missile ... pas sur que ca ait un intérêt ops.
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C'est un classique des HdC ... les ailes servent la portance comme les aileron de queue regle l'assiette, en croisiere seulement. Le gros du probleme n'etant jamais la portance en croisiere mais le controle de l'helico au faible allure, quand le rotor de queue encaisse tout le contre couple et que le rotor principal doit porter tres verticalement le flux d'air - qui fait une sorte de S en vol normal - avec les risque de réingestion et autre comportement aerodynamique pas catholique. Exemple avec un AH-64 ... et le profil de l'ailette. C'est moins clair sur les photos du tigre a cause de la géométrie avec cassure de plan ... mais elle a bien le profil d'une aile.
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Edito : L’intelligence économique sur la sellette
g4lly a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Economie et défense
http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20090625trib000392170/exclusif-3.000-entreprises-francaises-victimes-d-espionnage-economique-en-trois-ans.html Selon une note de la DCRI, Direction centrale du renseignement intérieur, que s’est procuré latribune.fr, les attaques contre les entreprises sont d’abord financières. La comparaison avec un précédent document montre un accroissement du nombre des agressions. Près de 3000 firmes françaises ont été victimes de très nombreuses "actions d’ingérences économiques", destinées à leur voler leurs secrets de fabrication, à déstabiliser leur direction ou à gêner le lancement de nouveaux produits. Très exactement, 2963 entreprises ou laboratoires ont été visés depuis janvier 2006 et jusqu’à fin 2008, selon une "note blanche" de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) que latribune.fr s’est procurée. Sollicité, le service de renseignement n’a pas donné suite à nos demandes d’entretien. Selon cette note, 71 % de ces entreprises emploient moins de 500 salariés, des PME qui négligent leur sécurité, ou ne disposent pas des moyens indispensables pour se protéger, à la différence des entreprises de plus grande taille. Cependant, ces dernières ne réussissent pas si bien que cela à empêcher les intrusions. Les firmes de plus de 500 salariés représentent tout de même 29 % des entreprises victimes. Depuis janvier 2006, selon la DCRI, les 2963 entreprises visées ont été victimes de 4765 agressions. Ce qui signifie que nombre d’entre elles ont été victimes de plusieurs attaques au cours de la période. Omettant d’améliorer leur protection après une première effraction. Le service de renseignement intérieur a détecté 3719 "auteurs, commanditaires, bénéficiaires ou complices identifiés" de 90 nationalités différentes. Ils mettent en oeuvre des "modes opératoires légaux dans l’immense majorité" des cas, note la DCRI. Parmi eux, figurent en première ligne les "risques financiers", qui représentent 33,51 % des attaques. Ils sont de nature très diverses, depuis le paiement trop tardif jusqu’à la prise de contrôle. Les attaques par "visiteurs autorisés et intrusions consenties" représentent 16,95 % des attaques, suivis par les atteintes aux savoir-faire (11,8 %), les risques informatiques (10,72 %), les atteintes physiques sur sites (10,53 %), les désorganisations et fragilisations orchestrées (6,54 %), les atteintes à la réputation (5,26 %) et l’exploitation des vulnérabilités humaines (4,57 %). Dans les dernières années, le nombre d’entreprises visées s’est accru, ainsi que le nombre de nationalités dont sont originaires les agresseurs. C’est ce que montre la comparaison de cette note avec une précédente portant sur le même sujet pour l’année 2006, que latribune.fr avait publiée le 15 décembre 2006. Ce document, rédigée par feu la Direction centrale des renseignements généraux, dont la DCRI est l’héritière, recensait 888 entreprises victimes pour la seule année 2006. Les agresseurs étant originaires de 34 nationalités. Un calcul simple montre que le nombre d’attaque s’est accru ainsi que le nombre d’entreprises visées. La comparaison entre ces deux études souligne donc un durcissement de la compétition économique et de la mondialisation. -
http://securite.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-les-directives-nationales-de-securite-ce-secret-s-applique-t-il-a-votre-systeme-d-information-20396-page-3.html Des organisations privées et publiques si elles ont un rôle stratégique en France peuvent se voir forcées d'appliquer des directives nationales de sécurité (DNS). Les DNS impactent l'informatique. Et il n'est pas simple de les appliquer car elles sont classifiées. Le 25 juin, le Cercle Européen de la Sécurité et des Systèmes d'Information a consacré son séminaire mensuel aux directives nationales de sécurité (DNS) dont certaines dispositions ont des impacts sur l'informatique. A ce jour, les services gouvernementaux ont identifié 234 opérateurs dans 12 secteurs d'activité comme étant concernés. Ils sont présents aussi bien dans l'industrie que dans les établissements publics. Mais les considérations liées au Secret Défense compliquent légèrement les choses. En effet, ces informations sont classifiées, c'est à dire que l'on ne peut pas en parler librement. Pierre Lasbordes, député spécialiste des questions de sécurité, a tout d'abord rappelé ce que sont les DNS. Celles-ci concernent les infrastructures critiques dans un secteur d'activité vital, autrement dit des services nécessaires pour répondre aux besoins essentiels du pays ou de la population. La définition est assez large pour inclure aussi bien les hôpitaux que la SNCF. L'objet des DNS est de préserver la sécurité de ces infrastructures afin de garantir leur fonctionnement continu. Chaque secteur vital est rattaché à un ministère coordinateur qui rédige les directives nationales de sécurité (DNS) sous la coordination du secrétariat général du Gouvernement. Les DNS sont ensuite adressées à tous les opérateurs « d'importance vitale » qui ont l'obligation de les appliquer à leurs frais. Si le sujet visé par l'une ou l'autre de ces DNS est externalisé, l'opérateur est responsable de la bonne exécution des consignes par son sous-traitant. Bien entendu, l'Etat se réserve le droit d'auditer les dits opérateurs pour vérifier l'application des DNS. Le RSSI de la SNCF concerné témoigne « Les DNS comprennent trois grandes familles de directives » a témoigné Sylvain Thiry, RSSI de la SNCF. Il détaille ainsi : « On trouve tout d'abord, la gouvernance des risques externes. La démarche est très proche de l'ISO 27000, avec une analyse de risques, une politique de sécurité et des moyens à mettre en oeuvre. Ensuite, il y a les points d'importance vitale à protéger. Enfin, il y a les consignes Vigipirate qui sont très opérationnelles mais peuvent arriver à tout moment y compris en dehors des horaires ouvrés, ce qui implique de mettre en oeuvre une astreinte. » Pour les systèmes d'information, les DNS concernent autant les risques logiques que physiques. « Il y a un accent sur la ToIP car celle-ci est moins fiable et moins sûre que la téléphonie classique mais, en revanche, l'accès à Internet ne semble pas avoir été pris en compte alors que beaucoup d'entreprises sont incapables de fonctionner sans celui-ci » prévient Sylvain Thiry. Il en déduit logiquement : « Les DNS sont une faible part de la sécurité et ce serait une grosse erreur que de construire sa politique de sécurité en se basant sur celles-ci. Il faut juste intégrer les DNS à sa politique. Et le RSSI est évidemment le responsable pour tout ce qui concerne l'informatique. » Il y a cependant un vrai problème avec ces DNS : elles sont classifiées. Ce qui signifie que l'on ne doit pas en parler. Pour Sylvain Thiry, « il n'est pas simple d'organiser le travail sans donner à ses collaborateurs les tenants et aboutissants. Et les habilitations, qui mettent de 4 à 6 mois à être délivrées, ne concernent que ce qui est strictement nécessaire au regard de sa fonction. » Un effet secondaire, c'est que personne dans le grand public ou parmi les professionnels ne sait exactement quelles entreprises ou organisations sont concernées, sauf les responsables de celles-ci, et quelles sont les consignes données (puisqu'elles sont classifiées), même vaguement. Les DNS ne peuvent donc pas servir de référentiel ou de bonnes pratiques qui pourraient être appliquées volontairement par d'autres structures. Selon Pierre Lasbordes, « Les DNS, comme les certifications ISO, apportent un plus aux organisations qui les appliquent. Ce ne sont pas que des contraintes. » Il ne reste pas moins que seulement 10% de l'objectif est aujourd'hui atteint en terme d'identification des opérateurs et des risques ainsi que de conception des DNS. Les prochaines Assises de la Sécurité y seront largement consacrées et un travail en commun avec le Cigref est prévu sur plusieurs années.
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http://www.spyworld-actu.com/spip.php?article11079 La Commission nationale Internet et liberté vient officiellement de rendre un « avis favorable » concernant les dispositifs biométriques basés sur la « reconnaissance du réseau veineux ». Une technologie dite « sans trace » qui serait, par conséquent, moins risquée. Une bonne nouvelle, puisque, malgré leur succès grandissant, les systèmes de sécurité biométriques ne sont pas « révocables ». L'avis de la Commission (article 50) a été publié au Journal Officiel, le 21 juin 2009. Il stipule que la Cnil « autorise la mise en œuvre de dispositifs biométriques reposant sur la reconnaissance du réseau veineux des doigts de la main ayant pour finalité le contrôle de l'accès aux locaux sur les lieux de travail ». Début mai, après la délibération, un formulaire de déclaration a d'ailleurs été mis en ligne. Contrairement aux empreintes digitales qui peuvent être captées à l'insu de leur propriétaire (sur une poignée de porte, par exemple) puis reproduites dans du silicone, le réseau veineux de la main, situé « à l'intérieur » du corps, ne pourrait-être ni capté ni reproduit. Reste que la doctrine de la Cnil mentionne tout de même un défaut majeur des identités biométriques : leur irrévocabilité. En cas de défaillance (usurpation d'identité), elles deviennent inutilisables par leurs propriétaire d'origine. Réseau veneux Dans son combat, la Cnil tente également de limiter le recours aux bases de données centrales réservées à des organismes stratégiques et « légitimes » (centrales nucléaires, par exemple). Dans tous les autres cas, on privilégiera le droit de chacun à « contrôler » l'usage de ses données personnelles (stockées sur un support individuel utilisé par un terminal de lecture-comparaison, entre autres).
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[Forces spéciales] Leur place dans nos armées
g4lly a répondu à un(e) sujet de max dans Forces spéciales et clandestines
http://lemamouth.blogspot.com/2009/06/defile-des-forces-speciales-y-aller-ou.html Le respect de l'anonymat des unités de forces spéciales, qui pourrait présenter quelques évidents soucis pratiques lors du défilé du 14-juillet a "été pris en compte" explique-t-on au cabinet du gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Dary. Les FS défileront à visage découvert, et non, comme certains avaient pu l'évoquer, grimés. Cela aurait pu donner une coloration nouvelle au défilé, qui n'aurait sans doute pas déplu au président de la République, mais ce n'est pas le portage qui a été retenu. "Ceux qui pour diverses raisons ne peuvent pas s'exposer ne défileront pas, tout simplement" explique-t-on. Dans la liste des défilants, on trouve cette année le Commando de Penfentenyo, dont les bilans récents sont particulièrement nourris, et le 1er RPIMa, qui défilera avec l'essentiel de ses véhicules Patsas (VPS et VLRA). Le problème est évidemment moins ténu pour les équipages des unités aéromobiles spéciales -le DAOS de Pau et l'ESH de Cazaux-, ainsi que le Poitou. Décret à géométrie variable Un décret pris par MAM -par ailleurs marraine du 1er RPIMa- avait renforcé la protection de l'anonymat des membres des unités spéciales, avec la production d'une liste très précises d'unités, et de sanctions pour les contrevenants (quelques milliers d'euros, donc pas très dissuasif). Ce décret avait été pris après quelques douloureuses expériences opposant nos commandos à la presse écrite, notamment la diffusion par Paris-Match de photos des commandos français, mais aussi anglais et américains à Spin Boldak (Afghanistan) pendant la mission Arès. Le décret visait la seule protection des personnels en opérations, afin d'éviter des mesures de rétorsion. Mais pour qui sait lire sur une poitrine gauche, il n'est pas forcément difficile de retracer les itinéraires opérationnels d'un commando en grande tenue. "Difficile de décliner une invitation du président de la République" constate un anonyme. "Le fait de défiler à visage découvert ne compromet pas cet anonymat" répète-t-on. Ce qui risque à la fois d'engendrer une "dangereuse jurisprudence", estiment certains. Car régulièrement, déjà, les commandos eux-mêmes estiment que ce décret reste mal respecté, et souvent, d'ailleurs, par la presse... interne du ministère, en premier lieu. Le décret, on le voit dans ce cas concret, reste aussi sousmis à une foultitude d'interprétations, qui appelle à une reformulation, ou tout au moins, à une nouvelle édition. Les conventionnels aussi La LOPPSI2, écrite par... MAM, vient d'ailleurs de renforcer la protection de l'anonymat des personnels chargés du renseignement à l'Intérieur. Il en coûte désormais cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende, portés à 7 ans et 100.000 euros d'amende si cette révélation a causé des coups et blessures aux membres de la famille d'un agent de renseignement. D'aucuns estiment que leurs homologues de la Défense, forces spéciales comprises, mériteraient un texte identique. D'autant plus que, sujet connexe, les unités conventionnelles s'estiment aussi, parfois, à peine mieux loties. Une affaire symptomatique a généré beaucoup de souffle, il y a quelques mois, d'autant plus qu'elle n'était pas la conséquence du travail d'un journaliste. Mais d'un...médecin de réserve -par ailleurs élu UMP de la banlieue parisienne- engagé en Afghanistan qui avait diffusé sur internet le film de son vol en Caracal, et le briefing qui l'avait précédé. Une diffusion logiquement mal vécue par certains personnels du DETHELICO, qui y voyaient une compromission et une atteinte au droit à l'image, mais qui n'a pas, à notre connaissance, fait l'objet de la moindre suite. Le général Elrick Irastorza, CEMAT -par note-, et le général Stéphane Abrial, CEMAA -avec les bulletins de solde de juillet- ont seulement et fermement rappelé, dans le courant de l'été, leurs ouailles à leurs obligations. Signifiant ainsi que tout ne pouvait pas se retrouver sur des blogs, ou des des fora. Particulièrement des données ayant trait à l'activité opérationnelle et à la sécurité des personnels. -
http://lemamouth.blogspot.com/2009/06/gign-quatre-femmes.html La force d'observation-recherche (FOR) du GIGN, compte désormais quatre femmes, un niveau historiquement haut, et qui a doublé seulement en quelques mois. Ce qui confirme la place que peuvent prendre des femmes dans des missions de ce type, même si le GIGN reste masculin de façon écrasante. Le RAID avait ouvert la voie, en engageant deux femmes dans la traque d'Yvan Colonna, en 2003. C'est toutefois l'escadron para (EPIGN, intégré au GIGN depuis mi-2007) qui avait été le premier à pressentir l'intérêt de l'apport, et avait effectué les premières détections de jeunes femmes, pour intégrer son fameux GOR -groupe observation recherche-. Le cursus est tellement sélectif que peu d'élues ont réussi à arriver au terme du stage de formation. Les résultats de la FOR restent par nature discrets, mais son emploi semble régulier, au profit des sections (SR) et brigades de recherche (BR) pour les affaires requerrant une approche particulièrement discrète. Ou plus évidemment encore, au profit du GIGN lui-même. La FOR travaillle en interaction avec la force d'appui opérationnel (FAO), qui met notamment en oeuvre des capteurs développés très souvent pour elle et avec elle avec des PME ingénieuses. L'une des spécialités de ces experts réside (notamment) dans l'intégration de capteurs (écoute, optique, infrarouge...) dans les contenants les plus inattendus.
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Y a les spec ici http://fr.wikipedia.org/wiki/Landing_catamaran Les maquette ici http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php/topic,9184.msg343389.html#msg343389 L'article de M&M sur toute la gamme Lcat Lcat2 MPC MPC2 et MPV http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=108703
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Pour décapsuler un fourgon de transport de fond n'importe quoi suffit. A priori les copie Yougo sont un peu supérieures au LAW ... T'as les spec ici http://en.wikipedia.org/wiki/RPG-18 en suivant les lien tu auras celle des LAW et M-80 M-80 http://web.archive.org/web/20020422060337/http://www.naoruzanje.paracin.co.yu/zolja.html
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Dans le DSI-T n°17 il y a le détail des ajout de blindage tel qu'il sera déployé en Astan : - plancher renforcé 14.5mm - façade frontale et latéral du poste de pilotage ... probablement 14.5 aussi ... on parle pas de la verrière là. - siège protégé contre le la 7.62 ... donc la des panneau latéraux du siège niveau verrière ... auxquels s'ajouteront des panneaux au niveau de la tête escamotable. Donc cette putain de verrière résiste a un pigeon ... pas plus. Bon en même temps vu la finesse du "plexi" ca ,'étonnera personne. Rien a voir avec les petit vitrage blindé de 12cm d'épaisseur des Ka50 JE vais vous résumer quelques truc du DSI pour la peine. Le viseur écran frontale permet des tir efficace des 2200m, la meilleure précision étant obtenu a 1500m. De plus on peut effectuer des tir de saturation jusqu'a 4000m. Le viseur de casque est moins précis que l'écran ... forcément y a pas le zoom et l'optique :) mais suffit a faire de la saturation a 1000m. Meme punition avec les rocket ... précis - 10m - via le Stryx a 2000m et saturation jusqu'a 4000m. Je vous raconte pas tout le DSI mais le Tigre devrait pouvoir voler en condition estivale afghane et en altitude avec pas mal d'armement et suffisament longtemps pour remplir largement ses mission classique.
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L'Italie, l'autre pays industriel hélicoptèriste
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Ouaip m'enfin elle est vachement jolie cette maquette :) :lol: -
C'est des copies yougo ... M-80 Zolja :) Pour l'encombrement c'est 80cm et 3kg ... emballé dans du papier kraft ... ça passe absolument inaperçu, comme une simple colis genre affiche de cinéma, ou piètement ... Il y a des "copies" soviétique genre RPG-18 aussi encore plus petite.
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MPC et MPV dispose de la même plateforme mobile qui permet a la fois le chargement/déchargement et le passage d'une carène cata a une carène chaland.
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Le probleme c'est qu'on ne peut pas se permettre de balader 70 soldat dans un gros cercueil volant ... On parle d'un engin de combat pas d'un transporteur stratégique... l'objectif c'est de délivrer troupe et armement sur la ligne de front ou pas loin ... voire au delà. -
Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Ce qu'il faut comprendre c'est qu'en opération : - NH90 c'est 14/16pax équipé - CH47 30pax équipé - CH53 37pax équipé Donc sauf a multiplier les équipages ... 2 pilotes et 2/3 commando de l'air ... c'est moins "cher" en personnel d'utiliser 4 CH53E/K que 10 NH90 pour bouger une compagnie. D'autant que les CH53 pourra en plus porter un bon cargo sous élingue en plus de la troupaille qui prend de la place mais ne pèse pas très lourd. Un CH53K pourrait transporter 40pax lourdement équipé pour 5t ... resterait 8t de fret dispo pour une mission de combat "réelle" a 110nm... -
http://www.thefirearmblog.com/blog/2009/06/23/remington-modular-sniper-rifle-msr/ Remington’s entry into the Precision Sniper Rifle (PSR) competition is the Remington Modular Sniper Rifle (MSR). The first thing you notice when looking at the rifle is the striking stock design. The butt stock is adjustable every-which-way and can fold for easy transport. The pistol grip is AR-15 compatible, just like the new Savage bolt action Model 10 BAS, so it can be swapped out for something the operator is more comfortable with. The free-floating handguard features rails at 3, 6, 9, 10:30 and 12 ‘o clock positions. Remington have taken no chances and have designed the rifle to be compatible with all of top contenders for selection as the next US Military long range sniper cartridge. The MSR can be easily switch between calibers by changing the barrel, bolt face and magazine. At the moment it is compatible with .338 Lapua Magnum, .338 Norma Magnum, .300 Winchester Magnum and 7.62mm NATO. The fluted barrels are available in 20, 22, 24 and 27 inches in length and can be swapped out in minutes. Accuracy is 1 MOA at 1500 meters. It weights 13 lbs with 22” barrel and loaded 5 round magazine and 17 lbs with 22” barrel, scope, bipod, loaded 5 round magazine, and AAC Titan suppressor. Overall this rifle seems to meet, and in many cases exceed, the SOCOM Precision Sniper Rifle (PSR) requirements. It is good to see Remington MPD (Military Products Division) innovating. They have not introduced new military hardware for quite a long time (aside from the Remington ACR, which they did not design). Stock folded. 20″ barrel. Interesting that the bolt is lock closed, but trigger is accessible. http-~~-//www.youtube.com/watch?v=ILHhWUhrGh0
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Nos soldats en Afghanistan
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Vidéos et Photos
Le 22 juin 2009, une centaine de soldats de l'armée nationale afghane et plus de 300 militaires du bataillon français du 1er régiment d’infanterie de Sarrebourg ont mené une opération conjointe de sécurisation en vallée d'Uzbin. Après un héliportage à l’aube sur les crêtes des montagnes afghanes, les militaires afghans et français ont sécurisé la zone jusqu’au village de Sper Kunday. Depuis dix mois, les opérations successives menées en vallée d’Uzbin ont interdit aux insurgés de bénéficier de sanctuaires dans cette région. Le général Stollsteiner, commandant le RC-C (Regional Command – Capital) et le général Zamraï, commandant la 3ème brigade du 201ème corps de l’armée afghane ont pris part à cette opération qui s’est achevée par une shura. A cette occasion, le général Stollsteiner a présenté les projets de développement programmés dans la région. -
[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
http-~~-//www.youtube.com/watch?v=tfU-MiOEy3c o -
Bah si tu veux déplacer un Leclerc par la route meme en lui démontant ses jupettes il dépasse du gabarit :) Pareil pour le train ... sinon ça croise pas etc. Les Israeliens ont pas trop de souci dans le genre vu la taille du pays et sa platitude et leur bonne habitude de filer tout droit a coup de D9 :lol: Un MBT c'est 4m de large et 10m de long ... Alors qu'un VBCI par exemple c'est 2.98 de large et 7.60 de long. Résultat le VBCI peut circuler librement sur les routes ... mais pas le Leclerc. @Wolfmoy Effectivement une APU bien concu c'est absolument inaudible a 30m, thermiquement c'est forcément infiniment moins pire que le gros moteur diesel a l'avant :), d'autant que le refroidissement souffle vers l'arriere.
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
C'est bien ce que je ne comprends pas dans les spec ... ca ressemble a un fourre tout. -
Je poursuis sur la mobilité légere ... http://www.testquad.be/test_kimpex.php Yamaha Rhino chenillé souple en test... 11000e le rhino, 5000€ le kit chenille ... 1h de travail pour la conversion.