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Soucis d'accès sur le forum
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Remarques et idées
Je regarde ça ... mais a priori, la tout de suite j'ai pas de solution ... Enfin si j'en ai une ... mais bon c'est crade :lol: Dis max il te plait ton avatar? ;) Sinon je doute pouvoir régler ça tant que j'arrive pas a avoir les clefs de la boutique ... désolé. -
La verrière commence au niveau de l'assise des sièges ... et je ne suis pas du tout sure qu'elle encaisse de la doucette ...
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Hybride d'helicoptère et d'avion
g4lly a répondu à un(e) sujet de Gran Capitan dans Hélicoptères militaires
Apres le "twin tilt rotor", le "twin tilt rotor stop/fold" ... "pliant" http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3aea5a76a7-386c-4a07-9c38-a7c4c6d16d3e -
Hein?!!! jamais de la vie la verrière du tigre encaisse du 20mm, et elle descend très bas sur les flanc. Pour le reste de la cellule ... je suis dubitatif ... Je poste ici les spec de verriere composite verre+polycarbonate, y a les détail des masse et d'épaisseur ... regarde l'épaisseur de la verriere du tigre et déduis en toi meme la résistance ;) http://www.osg.co.il/category/osgarmorproducts
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Baaaah on emprunte pour rembourser ... et on paye que les encours, on fait ca depuis des année, ca nous coute selon les taux de 50 a 60M€ l'an ... une paille :lol: Ce qui est rassurant c'est que l'on remboursera le "capital" dès 2011 avec le retour de la croissance ... c'est promis il a dit :lol: L'avantage c'est que c'est consensuel ... pas d'austérité, pas de rigueur, pas d'augmentation d'impôt, et un nouveau plan de relance financé par magie de l'endettement et des transferts de charges.
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Accessoirement le Bronco du Warthog monte très au delà, on va chercher autour de 18t ... ca tient meme pas sous un CH53K Le VBMR "heavy" devrait être au même niveau de masse au moins ... même punition. -
http-~~-//www.youtube.com/watch?v=YK4CcvW3I3M o
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Sig556 10" le second ;)
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Estrosi n'est pas loin de proposer une solution semblable dans son escalde vers le ministere de l'intérieur :lol: http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/06/17/lessor-de-la-police-municipale/ Le maire de Franconville, dans le Val-d’Oise, veut pourchasser les dealers et pour cela il souhaite que sa police soit équipée de Flash-ball. Cette volonté affichée d’empiéter sur le domaine de la police nationale amène à s’interroger sur les missions de la police municipale et sur son armement. Traditionnellement (loi du 5 avril 1884) le maire est chargé d’une mission de police administrative qui vise à assurer le « bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques ». Les agents de la police municipale (PM) possèdent donc des pouvoirs de prévention et de surveillance. Ils sont également chargés de veiller à la bonne exécution des arrêtés du maire. Mais leurs missions ont évolué ces dernières années, notamment en leur attribuant de nouvelles compétences en matière de police judiciaire afin de lutter contre la petite délinquance. Celle qui est palpable au quotidien. En mettant sur le terrain une police physiquement présente, le maire tente donc de créer un facteur de sécurisation ou du moins « de diminution du sentiment d’insécurité ». Ce qui répond à une demande de sécurité de plus en plus forte de la part des administrés et vient sans doute combler un vide laissé par la police ou la gendarmerie. Ces agents municipaux, longtemps toisés de haut par leurs collègues nationaux, ont à présent le vent en poupe, avec une volonté affichée de gommer au plus vite les différences. Pour exemple la guéguerre sur l’uniforme : Alors que le ministre de l’Intérieur souhaitait qu’il soit vert, afin de le distinguer du bleu de la police nationale, les syndicats ont insisté pour qu’il soit bleu, « symbole de l’autorité ». Et quoique cela soit en contradiction avec l’esprit de la loi qui voulait justement éviter toute confusion, ils ont obtenu gain de cause. Rappelons que les agents de la PM sont nommés par le maire et doivent être agréés par le préfet (police administrative) et le procureur de la République (police judiciaire). Ils sont compétents sur le ressort de leur commune ou, éventuellement, des communes limitrophes. Même si l’expression « policiers intercommunaux » n’est pas encore consacrée, une police comptétente sur plusieurs communes est sans doute pour demain. Les policiers municipaux ont le pouvoir de verbaliser dans divers domaines (arrêtés du maire, contrôles routiers, chien dangereux…) et ils peuvent alors recueillir l’identité du contrevenant. En cas de refus de ce dernier, ils en informent un OPJ, seul compétent pour effectuer un véritable contrôle d’identité. C’est un décret du 24 mars 2000 qui a défini les conditions d’armement des agents de la PM, mettant fin à la possibilité pour ceux-ci d’acquérir et de détenir une arme pour « les besoins du service ». Différents textes lui ont succédé. Aujourd’hui, l’autorisation de porter une arme est accordée par le préfet sur demande (motivée) du maire. Il faut deux conditions : l’existence d’une convention de coordination qui fixe en quelques sortes les règles d’interventions entre la PM, la police et la gendarmerie ; et une justification en fonction des missions attribuées à l’agent. Car cette autorisation est nominative. Elle s’applique à des armes de 4°, 6° ou 7° catégorie : revolver 38 spécial ou pistolet 7,65, bâton de défense ou tonfa, générateur aérosol… Un décret de 2007 a renforcé les conditions d’entraînement au maniement de l’arme. À noter que les policiers municipaux ne sont autorisés à porter une arme que dans l’exercice de leurs fonctions. À la fin du service, celle-ci doit réintégrer un coffre-fort ou une armoire forte du poste de police municipale. Alors pour en revenir à la décision de Francis Delattre, le maire (UMP) de Franconville, de pourchasser les dealers, on peut se poser deux questions : 1) S’agit-il d’une mission de police municipale ? 2) Le Flash-ball est-il adapté aux policiers municipaux ? À la lecture des textes, on peut dire qu’aujourd’hui encore il appartient à la police nationale ou à la gendarmerie de faire des enquêtes ou des surveillances dans le but d’interpeller des délinquants. Ce n’est donc pas dans les cordes de la PM et le maire de Franconville se fourvoie lorsqu’il décide de s’attaquer aux dealers – à moins qu’il ne fasse de la provoc pour obtenir des effectifs supplémentaires de la part du ministère de l’Intérieur… Quant au Flash-ball, il faut reconnaître que sa dotation en PM semblerait plus justifiée que le Taser. Car il s’agit d’une arme de défense qui peut permettre à un agent municipal de se sortir sans trop de risque d’une mauvaise passe. Ce n’est pas le cas du Taser. En effet, ce pistolet électrique n’est pas réellement une arme mais plutôt un « outil » destiné à neutraliser un individu dangereux avant son arrestation. Ce qui n’entre pas dans les missions habituelles de la PM. Pour extrapoler sur cette requête de la commune de Franconville, puisque l’arme est liée à la mission, si le préfet accorde l’autorisation du Flash-ball, il entérine du même coup l’action du maire et il fait donc évoluer la police municipale (dans son ensemble) vers de nouvelles missions… Ce qui est peut-être un objectif à moyen terme, avec en ligne de mire une diminution des effectifs de la police et de la gendarmerie. Dans un bilan, je crois qu’on appelle ça un transfert de charges.
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[AF-447] Disparition d'un avion Air France au large du Brésil
g4lly a répondu à un(e) sujet de canadianboy dans Aviation de ligne, d'affaire...
Un faible signal pouvant être celui d'une boite noir aurait été détecté par un bâtiment de la marine nationale, il situerait l'émetteur par 5000m de fond. http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/06/23/les-boites-noires-de-l-airbus-rio-paris-reperees_1210102_3224.html Le sous-marin de poche Nautile de l'Ifremer a plongé, lundi 22 juin, pour tenter de localiser les boîtes noires de l'Airbus A330 d'Air France disparu le 1er juin dans l'Atlantique sud. Il s'est guidé sur le signal très faible émis par les balises de ces boîtes qui a été capté par les bâtiments de la Marine française. Visiblement c'était un faux positif http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=110636 -
Etonnant qu'on arrive pas dans un poids raisonnable a installer des protection optiquement satisfaisante a base de polycarbonate par exemple ... Bon je viens de réviser mes classique Du blindage optique, stanag niveau 3 ... c'est 240kg/m2 et 10cm d'épaisseur - pour info niveau 2 140kg/m2, pour le niveau 4 on doit etre autour de 17cm d'épaisseur et donc de 360kg/m2 ... - Par comparaison en céramique on a, toujours en stanag, "niveau 3" 70kg/m2 30mm, et "niveau 4" 100kg/m2 40mm ...
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Comme dans les jeux video ?
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Vous avez noté comme moi :" ... la dette je m'en cogne ... les banquiers je les emmerde ... et s'il veulent pas me préter a bon compte ... je lancerai moi meme une souscription obligataire pour les particulier ... " qui suis-je ? La question c'est combien et pour quoi ...
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http://www.spyworld-actu.com/spip.php?article11042 Mis au point par la gendarmerie, cet outil permettra aux enquêteurs de puiser rapidement dans un vaste ensemble de données, depuis les fichiers de police jusqu’à Google ou Facebook. L’enjeu est de taille. Pour faire grimper son taux de réussite - c’est-à-dire sa capacité à retrouver les auteurs des crimes et délits -, la gendarmerie travaille en éclaireur à la réalisation d’un outil informatique d’un nouveau genre qui, s’il voit le jour, sera aussi utilisé par la police. Ce système, baptisé « Périclès » en référence au stratège athénien, a, comme sa lointaine cousine, la base de données Edvige, changé de nom en cours d’élaboration pour répondre à l’acronyme imprononçable d’AJDRCDS (Application judiciaire dédiée à la révélation des crimes et délits en série). Son principe est simple : utiliser la capacité de recoupement instantané des ordinateurs pour débusquer les suspects, en alimentant la machine avec toutes les informations légalement utilisables. Pour cela, la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, va faire voter un article spécial dans sa loi d’orientation pour la sécurité, dite « Lopsi 2 », bientôt présentée au Parlement. Il autorisera l’usage de cette nouvelle forme d’enquête assistée par ordinateur pour tous les crimes et délits passibles d’au moins cinq ans de prison. Même si la gendarmerie regrette que le seuil ne soit pas encore abaissé, pour pouvoir traiter « la délinquance de proximité, qui reste impunie huit fois sur dix ». De l’arrachage de sac au vol d’autoradio. L’information en un clic Le nouveau Périclès croisera donc les traditionnels outils de police, comme les fichiers d’antécédents judiciaires Stic et Judex (bientôt refondus dans Ariane), avec des éléments complémentaires d’abord puisés dans les procédures judiciaires. Tout ce qui sera saisi dans les dossiers (lieux, moyens de transport, objets, personnes, signalements) fera l’objet d’une indexation précise dans Ariane. Pour pouvoir retrouver l’information en un clic. Puis Périclès, moteur de recherche élaboré, se chargera de détecter les éléments qui peuvent avoir un lien entre eux, qui traduisent une répétition, une série. « Un gendarme de Brive-la-Gaillarde enquêtant sur deux agressions violentes pourra ainsi demander à l’ordinateur si, dans d’autres affaires de même nature commises en France, il y a des similitudes avec les faits qui le mobilisent, en termes de mode opératoire », explique un expert. C’est l’application qui cherchera les points communs dans la supermémoire informatique des services. « Alors qu’avant l’enquêteur devait éplucher chaque fichier, chaque dossier, quasiment manuellement », affirme notre interlocuteur. Périclès ira jusqu’à croiser les fichiers de police avec les bases de données d’autres administrations, mais aussi avec les systèmes d’informations des opérateurs privés de téléphonie ou des banques, grâce à un système de réquisition judiciaire accélérée. « Nous n’aurons plus à attendre deux semaines qu’un opérateur de téléphonie daigne nous transmettre les éléments », se réjouit un commissaire de police très au fait du dossier. « Sources ouvertes au public » L’un des promoteurs du projet, Place Beauvau, l’assure : « Grâce à cet outil intelligent, il ressortira, par exemple, que telle ou telle personne, à laquelle nous n’avions pas prêté attention, se trouvait sur les lieux de plusieurs crimes ou délits, dans des villes ou des quartiers différents ». Parce que, dit-il, « l’ordinateur aura fait remonter que, dans le périmètre de ces affaires sans rapport apparent, des agents avaient relevé la plaque d’immatriculation de sa voiture ». Le superprogramme des gendarmes va plus loin. Dans un document auquel Le Figaro a eu accès, il est très clairement indiqué que Périclès pourra être « enrichi » d’informations puisées dans les « sources ouvertes au public ». À commencer par tout ce qui remonte via Google ou Facebook, le réseau social à la mode qui révéla en un éclair les noms des « amis » du trader Jérôme Kerviel. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/06/20/01016-20090620ARTFIG00643-le-logiciel-pericles-permettra-de-recouper-tous-les-fichiers-existants-.php ANALYSE - Ce puissant programme, qui suscite l'inquiétude de certains professionnels, sera mis en œuvre dans le cadre d'enquêtes judiciaires par des agents habilités. La gestion centralisée du nouveau Périclès serait assurée par la gendarmerie, à Rosny-sous-Bois. Ses utilisateurs, gendarmes ou policiers, devraient exercer dans une unité de recherche, être habilités judiciairement, formés à l'utilisation du logiciel. Les magistrats y auraient également accès. Tous s'identifieraient avec un code et un mot de passe. L'agent ouvrirait un dossier de traitement, comme on crée un fichier Word ou un tableau Excel. À l'écran apparaîtraient des champs et des cases à remplir, comme pour une requête avancée sur un moteur de recherche d'Internet. Il suffirait de cocher les fichiers de police à croiser. Ceux des antécédents judiciaires, tout d'abord, mais aussi ceux des permis, des cartes grises. Le ministère de l'Intérieur en gère une quarantaine à lui seul. Mais d'autres administrations pourraient ouvrir leurs bases sur requête. Reste à déterminer lesquelles, comme les douanes, le fisc ou la Sécu. Ces administrations pourraient répondre à des demandes des enquêteurs. Le procédé se veut «révolutionnaire». Un gendarme de la Creuse enquête, par exemple, sur une série d'attaques contre des personnes âgées dans des villes différentes. Mais il n'a pas de nom ni d'élément d'identification pour démarrer ses investigations. Les criminels trahis par leur signature technique Il demande donc aux opérateurs de téléphonie, sous contrôle des magistrats, la liste des numéros d'identification de tous les mobiles qui ont activé les bornes des lieux de ces agressions, dans l'heure où elles ont été commises. Si un même numéro sort, c'est un début prometteur. Il pourrait s'agir également des numéros des cartes bancaires qui ont servi à effectuer des retraits à proximité. L'auteur est alors trahi par sa signature technique lorsqu'elle se répète. Mais il peut aussi l'être par son signalement, recueilli auprès des témoins dans des procédures différentes. Plus Périclès intègre de fichiers «interopérables» et plus les chances de voir surgir des éléments communs sont élevées. Si en plus il devient possible d'ajouter à tout ce que la police inscrit dans sa propre mémoire ce que d'autres administrations ou opérateurs privés détiennent, mais aussi ce que les individus révèlent de leur vie spontanément sur Internet, les chances d'aboutir à des convergences deviennent encore plus fortes. «La méthode sérielle crée des coïncidences là où il n'y avait que des hasards», explique le criminologue Alain Bauer. Toute la question est de savoir si elle est acceptable dans des affaires de moindre importance. Car l'intrusion dans la vie privée peut aller loin. Les fichiers de police concernés intègrent, à eux seuls, des informations sur les auteurs, mais aussi sur les victimes. Majeurs comme mineurs. Jusqu'où aller dans la désignation de suspects par ordinateur ? Une approche trop systématique ne risque-t-elle pas de déresponsabiliser l'enquêteur, qui se retrancherait derrière la machine pour justifier ses choix ? Un policier ose poser la question : «Que donnerait Périclès s'il devait être employé par un gendarme Roussel contrôlé par un juge Burgaud ?»
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Soucis d'accès sur le forum
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Remarques et idées
Effectivement c'est un beau bordel les textarea dans IE8 ... :lol: Euh un conseil utilise opéra ou firefox http://www.opera.com/ http://www.mozilla-europe.org/fr/firefox/ Sinon il faut que tu selectionne affichage de compatibilité dans le menu principal de IE8 quand tu navigue sur air-défonce ;) -
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Les bateaux rejette tout plein de produits chimiques utilisé comme antifooling peinture détergent etc. etc. En mer ca se dillue dans l'immensité ... dans un port ca se dépose gentillement au fond et ca s'accumule avec le reste des sédiments - pas assez de mouvement d'eau par rapport au sédiment trop lourd ... -. Jusque là tout va bien ... on a un gros dépotoire bien posé au fond tranquille :lol: Néammoins parfois on manque de tirant d'eau ... a cause de l'accumulation, a cause de la taille des bateau etc. et la il faut une campagne de draguage. Donc on aspire les sédiments ... avec tout les reste chimique accumulé dedans ... dont la peinture chargé comme virenque de tout plein de saloperie genre métaux lourd benzene j'en passe des meilleurs. Et ces boues une fois aspiré il faut bien les mettre quelques part. Il y a plusieurs solution, soit on les débartque a terre pour retraitement et/ou stockage ... c'est le moins pire environnementalement mais le plus cher. On peut s'en débarrasser au large ... plus c'est loin plus le transit est long, donc plus c'est cher. Le probleme c'est que plus on décharge proche plus la mer ramene les sédiment vite ... pour bien faire il faut faire des étude hydrographique et environeme,tale pour savoir ou décharger sans que ca nous reviennent dans les dents soit directement, soit pas l'intermédiaire des poissons peché ... J'ai posté ca ici ... parce que c'est un des soucis du projet PA2 ... l'aménagement de Toulon, notament le draguage du chenal et du quai. -
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
http://www.corlobe.tk/article14818.html Du 22 au 26 juin, une campagne de carottages dans la rade de Toulon sera réalisée par le laboratoire d’analyse de surveillance et d’expertise de la marine (LASEM). Cette campagne, faisant partie des actions du contrat de baie, est mandatée par Toulon Provence Méditerranée avec la coopération avec l’université de Toulon sud Provence. Elle permettra d’avoir un état chimique zéro du fond de la rade. Une trentaine de carottages seront réalisés à partir du bâtiment de soutien région (BSR) Chevreuil dans divers points de la rade aussi bien côté port militaire que port civil. Ces prélèvements d’un mètre de long maximum seront effectués par les techniciens du LASEM. Les analyses seront réalisées par le LASEM, des prestataires privés et l’université Toulon Sud Provence. -
VertRep sur A-69 Le chien jaune, directeur du pont d’envol, guide par gestes le pilote, et coordonne l’action des équipiers chargés d’accrocher et de décrocher la charge. C’est à un véritable travail de précision que se livrent le pilote d’un Puma de l’armée de terre et le “ chien jaune ” d’un aviso de la marine nationale, lors d’un exercice de “ Vertrep ”. Un hélicoptère Puma de l’aviation légère de l’armée de terre (Alat) se livre à un exercice de Vertrep (vertical replenishment) ou ravitaillement vertical, avec l’aviso escorteur Premier Maître L’Her, au large de Djibouti. Pendant une heure, l’hélico enlève une charge de 300 kg fixée au bout d’une élingue grâce à un treuil, s’éloigne de l’aviso, puis revient se positionner pour la déposer sur la plage arrière du bâtiment. La maœuvre est dirigée par le « chien jaune » : le directeur du pont d’envol, qui guide le pilote par gestes. Le chien jaune coordonne aussi l’action des deux équipiers PON-EV (placés sur le pont d’envol), chargés d’accrocher et de décrocher la charge. Le pilote de l’hélicoptère doit agir en permanence sur les commandes pour rester en vol stationnaire au-dessus de l’aviso, qui avance à 12 nœuds (environ 25 km/h). Il doit tenir compte de la vitesse et de la direction du vent relatif, c’est-à-dire de la « somme » du vent réel et du vent provoqué par le déplacement du navire. Pour l’exercice, le bâtiment de la marine nationale garde un cap de configuration « vent relatif à 11 h » (à l’avant bâbord). L’hélicoptère arrive face au vent, ce qui l’aide à se stabiliser, et repart dans la même direction mais en sens opposé, ce qui facilite son éloignement au moment de s’élever dans les airs. Une précision extrême est requise de la part du pilote et du chien jaune, car l’aviso est un petit bâtiment de 80 mètres de long. Sa plage arrière n’excède pas 30 m2. Durant la manœuvre et les manipulations de la charge, le Puma s’approche à moins de 10 mètres des superstructures. Cynthia Glock http://www.defense.gouv.fr/le_bourget/breves/ravitaillement_vertical_en_haute_mer
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http-~~-//www.youtube.com/watch?v=T2lKt70NUfc
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
@BPCs L'avenir c'est plus format "Bronco", VBMR, Caesar etc. c'est cela qui m'étonne dans les spec. Pareil pour les 66 pax équipés!!! J'ai pas la date objectif pour l'entrée en service du HTL mais il y a fort a parier qu'il cotoira plus des VBMR que des VAB dans sa carriere. Bon apres y a toujours "mon" option du "VBMR light" type AVXL qui correspondrait au spec HTL :) Pour l'artillerie 155mm si l'ambition c'est de bouger du Caeasar ou des "VBMR POLE120" ... il va falloir du gros ou se contenter de saut de puce :) Apres il y a encore la problématique de la soufflante ... je vois mal un posé d'assaut sur une crete afghane avec un Mi26 ... Meme pour le CH53K ca doit etre limite ... d'ou l'interet du CH47 dans ce role purement tactique. -
:) Les impots - on va prendre le terme au sens larges des divers prélévement obligatoires - augmentent ... mais tu ne dois pas en payer pour ne pas le savoir :lol: Le taux de prélévement obligatoire n'a pas cessé d'augmenter avec les derniers gouvernement de droite sous Chirac puis Sarko. Quant aux économies ... le probleme n'est pas de virer les fonctionnaires ... le probleme est de faire rentrer des sous dans les caisses, et ca les fonctionnaire savent faire aussi :) Pour l'évasion fiscale ... le probleme est toujours amusant. Quelques que soit le niveau de l'impôt l'évasion fiscale sert d'argument, il y a effectivement toujours ailleurs ou c'est moins cher. Mais ce qui importe c'est le rapport prix/prestation ... et quand on est suffisamment riche pour s'évader ce qu'on recherche avant tout c'est la prestation. Évertuons nous a être attractif tout court avant d'être attractif fiscalement ...
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Euh je sais pas si on peut assurer la synchro avec la centrale inertielle de bord a 15 bombes simultanément ... Si un signal GPS propre est dispo pas de souci a priori les AASM se recaleront en vol. Sinon en mode inertiel pur il faut assurer une bonne synchronisation avec la centrale et je sais pas si c'est possible pour 15 bombes avec une séquence de larguage tres courte. Apres meme si l'enveloppe des AASM est assez étendue grace a leur propulsion ... il faut quand meme avoir programmé 15 cibles assez proches pour avoir a tout tirer consécutivement! 15 cibles distincte qui nécessite seulement du 250kg ... ca me laisse dubitatif :lol: Soit c'est un gros objectif ponctuel et on lui colle des AASM 1000, avec 3 par avions ca va déjà faire son petit effet ... soit c'est une succession de petit objectif et là on va avoir un peu de délai entre les séquences de tir. Je pense que la config avec 4 tribombe et un bidon a été envisagé ... reste a voire si le pilote aura le temps de faire la désignation pour les 12 pralines ... je sais pas s'il y a des mode automatisé qui permettent de définir un périmetre ou un alignement et qui répartissent automatique les x munitions dessus ... un peut comme les mode MRSI mais a l'envers :)
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Les AASM 250 sont sur des pylone triple ... donc lourd. Il n'y a que 5 point lourd dispos ... et il est quasi indispensable de décoller avec un ou deux bidons que kero, sauf a combattre tres proche de notre terrain de départ. Pour le moteur aucun souci ... doit meme y avoir moyen de faire voler ca avec 1 seul 75kN :)