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http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a95e5d56e-f736-44da-b6e0-8eb6b820d7b7 Sen. Dan Inouye (D-Hawaii) has told the Japanese government that a fleet of 40 Raptors – desensitized for foreign military sales – would cost about $11.6 billion with deliveries of combat-ready stealth fighters beginning in 2014. But while congressional support for the F-22 is creating a lot of political interest and support, aerospace industry analysts say it’s all just rhetoric unless someone in the executive branch – preferably from the White House -- steps up to support extended Raptor production and export of the stealthy, 5th generation fighter. So far, that has not happened. However, some very heavy hitters are supporting both continued production and sales to Japan, in particular. Sen. Dan Inouye (D-Hawaii) and Rep. John Murtha (D-Pa.) are pushing both in public and behind the scene. The cost of preparing the F-22 for export was detailed in a letter from Inouye, chairman of the Senate Appropriations Committee, to Ichiro Fujisake, Japan’s Ambassador to Washington. Starting with the assumption of a letter of agreement in early 2010, major development would take “approximately four years, followed by ground and flight testing,” the letter says. Procurement of long-lead materials would begin in 2011 with production to begin in mid-2014, The first mission capable aircraft could be delivered to Japan in 2017. “The estimate for non-recurring development and manufacturing cost is $2.3 billion,” the letter continues. “The actual cost to produce forty aircraft is approximately $9.3 billion, bringing the total to $11.6 billion. Spreading that cost over an estimated forty aircraft leads to an average aircraft cost of $290 million.” An associated letter to Defense Secretary Robert Gates said the figures were calculated using “information which was provided by the Air Force,” Inoyue’s second letter says. “I believe the Government of Japan is likely to be interested in purchasing the aircraft even at the relatively high price which has been estimated.” The Pentagon is paying $142.5 million per aircraft as part of a multi-year contract. Aerospace industry analysts say that any break in F-22 production would add extra costs. Meanwhile, the White House’s Office of Management and Budget was drawing a number of lines in the sand marking disagreements with the House passage of the National Defense Authorization Act for Fiscal 2010. A Statement of Administration Policy contends that OMB will recommend a veto of the proposed legislation if it includes $369 million in advanced procurement funds for F-22s in Fiscal 2011 or addition of $603 million for an alternative engine program for the F-35 Joint Strike Fighter. “This is nothing unusual,” says the industry analyst. “It happens every time” there is new defense legislation. There were other points of contention without the veto threat attached: Restrictions on the Missile Defense Agency limiting U.S. engagements with NATO and European allies regarding missile defense. The need to add proposals to build the capacity of partner nation special and conventional forces in order to improve and increase coalition participation in Afghanistan and Iraq. Requirements to maintain the strategic airlift fleet at 316 aircraft and restrictions on retiring C-5s. Restrictions on the Futenma Replacement Facility in Okinawa that would broach agreements reached with Japan and put the international agreement on the facility at risk. Restrictions on accelerated aircraft retirement by the U.S. Air Force. Reduction of $163 million in funding for the Army’s Extended Range Multi-Purpose UAV which would result in a 50% cut in systems planned for Fiscal 2010.
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CMN 1400 CL 78 CMN 1400 CL 78 A l'occasion de la mise à flot de la corvette Baynunah, plus grand navire militaire réalisé par les Constructions Mécaniques de Normandie, nous revenons aujourd'hui sur les produits et les ambitions de l'industriel cherbourgeois. Spécialiste des superstructures en aluminium et de l'intégration de multiples senseurs et systèmes d'armes sur des plateformes de petite taille, les CMN, dans le domaine naval, se positionnent sur deux segments. Le premier, à l'image de la célèbre famille des Combattante et aujourd'hui de la Baynunah, est celui des navires rapides, furtifs et puissamment armés, capables de porter des coups dissuasifs à l'ennemi. Le constructeur, qui a également développé une gamme d'intercepteurs rapides, se positionne fortement sur les bâtiments de souveraineté. De taille moyenne, ces unités doivent être économiques et disposer d'une solide endurance. Dans cette catégorie, les patrouilleurs du type P400 de la Marine nationale, opèrent depuis plus de 20 ans dans les espaces océaniques. Sur cette base, les CMN ont développé la famille des Vigilantes. Sur ce segment, un nouveau navire, la Vigilante 1400 CL 78, devrait servir de base aux CMN pour se positionner sur le remplacement des patrouilleurs de la Marine nationale. Cette dernière commence à voir le retrait du service des P400 (une série de 10 unités), à commencer par La Fougueuse, récemment rentrée à Brest pour être désarmée. La capacité sur ce type de bâtiment sera provisoirement maintenue par le reclassement des 9 avisos du type A 69 en patrouilleurs de haute mer. Mais, à partir de 2017, la loi de programmation militaire (LPM) prévoit la livraison du premier d'une nouvelle série de « patrouilleurs hauturiers ». Pour remplacer les Audacieuse «(54 mètres, 480 tonnes en charge), les marins souhaitent des bateaux plus importants. Il s'agit, en effet, de disposer d'unités offrant une meilleure tenue à la mer, une plus grande autonomie et une capacité d'emport d'hélicoptère. Ces bateaux doivent, dans le même temps, être simples et robustes, tout en présentant un coût de fonctionnement et d'entretien limité, notamment via une maintenance allégée et un équipage réduit. Ils doivent aussi répondre aux besoins en matière de lutte contre le narcotrafic, la piraterie et le terrorisme. Suivant cette idée générale, les CMN proposent un premier projet : La Vigilante 1400 CL 78. Du type Ocean Patrol Vessel (OPV), ce bateau de 79 mètres de long et 13.4 mètres de large aurait un déplacement de 1400 tonnes. Doté d'une puissance propulsive de 18 MW, il pourrait atteindre la vitesse de 24.5 noeuds et disposerait d'une autonomie conséquente, de l'ordre de 6000 nautiques à 12 noeuds (30 jours d'opérations). Disposant d'une plateforme et d'un hangar pour un hélicoptère (ou des drones), ce bateau pourrait accueillir une cinquantaine de personnes, pour moitié en équipage. Des logements sont en effet prévus pour héberger une unité de commandos, des embarcations rapides étant logées de part et d'autre du navire. Outre la Marine nationale, on estime aux CMN que ce concept pourrait intéresser d'autres flottes, soucieuses de renforcer leurs capacités de surveillance maritime hauturière. Baynunah : Le haut de gamme des CMN Les CMN fondent également beaucoup d'espoir dans leur gamme de navires de combat de 40 à 70 mètres. A Cherbourg, l'industriel travaille actuellement sur la première des six corvettes commandées en 2003 et 2005 par les Emirats Arabes Unis. Du type Baynunah (Combattante BR 71), ce navire, mis à flot aujourd'hui, sera livré en 2011 après la phase d'intégration et d'essais. Long de 72 mètres pour une largeur de 11 mètres et un déplacement de près de 800 tonnes en charge, ce bâtiment est particulièrement armé pour une unité de cette catégorie. Il embarquera, en effet, 8 missiles antinavire Exocet MM40 Block3, 2 systèmes de lancement vertical pour 8 missiles surface-air ESSM, un système surface-air RAM, une tourelle de 76 mm, deux canons de 30 mm, et disposera d'un hangar et d'une plateforme pour un hélicoptère. Outre les Baynunah, le constructeur français propose toute une gamme de patrouilleurs armés de la famille Combattante, comme les BR42 réalisés entre 1998 et 2000 pour le Koweït. Longs de 42 mètres pour un déplacement de 250 tonnes en charge, ces bâtiments disposent de quatre missiles antinavire Sea Skua, 1 canon de 40 mm, deux canons de 20 mm et une mitrailleuse de 12.7 mm. Les 8 bateaux Koweïtiens font actuellement l'objet d'un programme de remise à niveau, portant notamment sur la propulsion et le traitement des obsolescences. Patrouilleurs furtifs Les CMN se positionne également sur le marché des patrouilleurs furtifs. Un projet, baptisé Combattante BR 62S, donne une bonne idée des solutions proposées. L'armement est, notamment, totalement intégré aux superstructures, qu'il s'agisse de cellules à lancement vertical pour les missiles antimissiles, ou de logements intégrés à la coque pour les missiles antinavire. Le Combattante BR 62S dispose, en outre, d'une mâture unique regroupant les radars de veille et les moyens de guerre électronique. A l'instar de la Visby norvégienne, elle pourrait être dotée d'un canon dont l'affut, lorsqu'il ne sert pas, est encastré dans la tourelle de manière à limiter la surface équivalente radar. CMN place de grands espoirs dans cette nouvelle génération de navires. Le groupe pourrait d'ailleurs, prochainement, annoncer la signature d'un important contrat pour la réalisation de patrouilleurs novateurs inspirés de ce concept. Une gamme complète d'OPV En attendant la commande éventuelle d'un navire comme la Vigilante 1400 CL 78, les CMN ont déjà remporté, ces dernières années, plusieurs succès à l'export sur le segment des patrouilleurs du type Ocean Patrol Vessels (OPV). Ces unités hauturières, peu armées, doivent être capables de mener de longues missions de surveillance maritime et de répondre aux nouveaux besoins, comme la lutte contre la piraterie ou le narcotrafic. A cet effet, la famille des Vigilante a déjà été vendue à plusieurs pays. Le Brésil a notamment acquis deux unités du type Vigilante 400 CL54. Dérivés des patrouilleurs P400 de la Marine nationale, ces bateaux de 52 mètres et 500 tonnes, armés d'un canon de 40 mm et deux mitrailleuses de 12.7, sont réalisés en transfert de technologie par Industria Naval Do Ceara (INACE) aux chantiers Fortaleza. Les CMN apportent un soutien technique pour ce programme, en marge duquel elles ont signé en avril 2005 un accord de coopération avec Empresa Generencial de Projectos Navais, société en charge de la promotion et du développement de l'industrie brésilienne de défense. L'industriel français a, d'ailleurs, vendu une licence à EMGEPRON pour la réalisation de quatre patrouilleurs supplémentaires. Malgré cette présence au Brésil et la vente, précédemment, de trois Vigilante à l'Uruguay et six autres au Pérou (classe Velarde - PR 72), le groupe français semble faire face à des débouchés limités en Amérique latine. L'Afrique et la région du Golfe restent donc, pour CMN, la région la plus prometteuse. Face aux besoins croissants de surveillance maritime (immigration, piraterie, drogue, contre-terrorisme), le constructeur espère bien vendre de nouveaux patrouilleurs de surveillance. Enfin, on doit également au groupe français la famille des Intercepteur, petites unités de 15 mètres capables de filer 50 noeuds et dotés d'une artillerie légère. Reprises en 1992 par les frères franco-libanais Iskandar et Akram Safa, les CMN emploient 450 personnes, principalement dans le Cotentin, et ont vendu en 40 ans quelques 129 patrouilleurs et corvettes dans une vingtaine de pays. A Cherbourg, CMN s'étale sur quelques 150.000 m2, dont un tiers de surface couverte. Le chantier, spécialistes des structures en aluminium, dispose d'un système de mise à l'eau Synchrolift de 90 mètres de long pour 27 mètres de large (capacité 3500 tonnes). Outre les navires militaires, les Constructions Mécaniques de Normandie sont également présentes sur le segment des yachts, achevant cette année deux unités de 60 mètres, les Slipstream et Cloud 9.
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http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=110655 Ce jeudi restera comme une date historique pour les Constructions Mécaniques de Normandie. La Baynunah, première d'une série de six corvettes lance-missiles commandées par les Emirats Arabes Unis, est lancée aujourd'hui. Long de 71 mètres pour un déplacement en charge de 915 tonnes, il s'agit du plus grand et du plus puissant bâtiment militaire réalisé jusqu'ici par les CMN. Du type Combattante BR 71, la Baynunah dispose d'une coque en acier et de superstructures en aluminium. Elle a été entièrement conçue et sera achevée par les CMN de Cherbourg. Avant de rejoindre le golfe Persique, elle restera en France ces deux prochaines années pour effectuer des essais. L'industriel normand présente, en effet, la spécificité de ne pas disposer de plateforme d'intégration à terre. La mise au point des équipements est donc réalisée lorsque les bateaux sont à flot. Ce sera notamment le cas du système de combat, conçu par Celex, filiale du groupe italien Finmeccanica, qui en assurera l'intégration. On notera à ce propos que la Baynunah est le premier navire des CMN à disposer d'un véritable système de combat. Un incroyable condensé d'équipements sur une telle plateforme Cet équipement, complexe, permettra de gérer les senseurs et l'armement, particulièrement nombreux sur ce navire. La Baynunah disposera notamment d'une conduite de tir, un radar de veille tridimensionnel Sea Giraffe et des moyens de guerre électronique. La corvette embarquera 8 missiles antinavire Exocet MM40 Block3, deux systèmes de lancement vertical pour 8 missiles surface-air ESSM, un système surface-air RAM, une tourelle de 76 mm et deux canons de 30 mm. Elle disposera, en outre, d'un hangar et d'une plateforme pour un hélicoptère de 4.5 tonnes. En somme, elle regroupe l'armement d'une frégate moyenne, sur un navire qui déplacera moins de 1000 tonnes en charge. Il s'agit là de l'une des grandes spécialités du constructeur cherbourgeois, qui parvient à rassembler et faire cohabiter de très nombreux systèmes sur des plateformes de petite taille. Cette intégration de senseurs et de systèmes d'armes, poussée à l'extrême, pose des contraintes d'intégration physiques et d'environnement en matière de fonctionnement dans des espaces restreints. Pour simplifier, plus les équipements sont rapprochés, plus le degré de perturbation entre ces équipements est fort. Sur un bâtiment comme la Baynunah, le challenge est donc très important. Au fil des années, les CMN ont acquis un important savoir-faire dans ce domaine. Côté propulsion, quatre moteurs diesels MTU et deux hydrojets Kamewa (+ un booster) permettront au navire d'atteindre les 30 noeuds en vitesse de pointe. L'autonomie sera de 2000 nautiques à 15 noeuds. Six corvettes, dont cinq construites à Abu Dhabi Le programme des nouvelles corvettes des EAU a été signé fin 2003. Initialement, il portait sur la commande de quatre navires, avec une option pour deux unités supplémentaires. Ces dernières ont été confirmées en juillet 2005. Destinés à remplacer les six patrouilleurs de 140 tonnes de la classe Ardhana, mis en service en 1975 et 1976, les nouveaux bâtiments doivnt être tous livrés d'ici 2016. Selon le schéma industriel retenu, Cherbourg ne réalise que la tête de série, traditionnellement la plus complexe car nécessitant une longue période de mise au point, inhérente à tout prototype. Les cinq sisterships de la Baynunah seront construits aux Emirats Arabes Unis, dans les chantiers navals de la société Abu Dhabi Ship Building. ADSB est, d'ailleurs, titulaire du contrat, sous la supervision technique des CMN. Ces dernières assureront le transfert de technologie et le soutien logistique intégré (ILS), ainsi que différentes prestations de formation permettant aux chantiers d'Abu Dhabi de mener à bien le projet. La Baynunah à Abu Dhabi en 2011 A l'issue de son achèvement, de la mise au point des systèmes et des essais en mer, la corvette Baynunah rejoindra la marine émiratie et le port militaire d'Abu Dhabi en 2011. Les principales missions qui lui seront attribuées incluent la surveillance maritime, le mouillage de mines, l'interception de forces ennemies, ainsi que des opérations militaires antinavire et anti-aérienne dans les eaux territoriales et la zone économique exclusive (ZEE) des émirats. Ces derniers, qui ont récemment renforcé leur coopération militaire avec la France, sont situés dans l'une des zones les plus stratégiques du globe, au bord du détroit d'Ormuz, face à l'Iran.
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http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/06/le-gign-le-haut-du-spectre-du-contreterrorisme.html Belle démonstration du GIGN devant les fidèles et les amis de cette prestigieuse unité, conviés cet après-midi à Satory. Le GIGN est en train de réussir sa profonde mutation, engagée en 2007. C'est désormais un unité de 400 gendarmes, un outil taillé pour la "très haute intensité", comme l'explique son chef, le général Denis Favier. "Nous occupons le haut du spectre en matière de contre-terrorisme". Mais, pour cela, le Groupe doit travailler "au quoditien dans la moyenne intensité", avec une centaine d'interventions par an. La menace ? Les prises d'otages massives et multiples, comme on en a vu en Russie et plus récemment en Inde. Les otages d'aujourd'hui étaient les 150 invités du GIGN sagement assis dans le cinéma de la "ville de Nexter". Après l'arrivée des méchants du groupe "Abou Hamzi", ils ont pu suivre, sur l'écran, la montée en puissance d'une intervention, puis assister in vivo à l'assaut de leurs libérateurs. Les missions de "sécurité/protection" leur ont ensuite été présentées. Le GIGN a repris les fonctions de l'ancien EPIGN et ses hommes sont engagés sur des terrains difficiles, comme Bagdad, pour assurer la protection des diplomates. Quant à la mission "observation/recherche", elle est toujours aussi spectaculaire... surtout quand un gendarme sort du buisson autour duquel les spectateurs étaient rassemblés. Les 400 hommes du GIGN peuvent bénéficier de l'appui du Groupement interarmées d'hélicoptères, capable de projet 25 hommes à 400 kilomètres à partir de Villacoublay ainsi que des blindés et des experts de la lutte NRBC du goupement blindé de Satory. Le GIGN vient par ailleurs d'ouvrir un nouveau site internet particulièrement réussi. On y accède en cliquant ici.
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Euh ... tu pourrais etre plus explicite? Le choix s'était porté un temps sur le Viking il me semble, mais la selection du Warthog par les anglais n'est pas anodine ... d'autant que STK proposerait a court terme une version avec propulsion hybride, une transmission différentielle et remorque autonome ... En plus de l'avantage fonctionnel, la motorisation hybrude pourrait venir a bout des probleme de consomation de ce genre de vehicule en répartissant au mieux la puissance sur les 4 moteurs inclus dans les 4 barbotins. La remorque disposant d'un petit kit de baterrie - ou d'une APU ne option - devient déplacable a faible vitesse de maniere autonome un peu comme les TRF1. Le tracteur équipé d'une "transmission" différentielle peut tourner sans la remorque ... et donc etre utilisé seul avec ses 6pax et sa mitrailleuse, pendant que la remorque et sont MO120 fait sont boulot a l'abri, tout en pouvant se déplacer un peu par elle meme.
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27 coups standard plus 2 coups long - munitions guidées et autre mine longue - At Eurosatory 2006 Rheinmetall Defence presented its new networked reconnaissance/mortar system consisting of several variants of the air-transportable Wiesel 2 tracked armoured vehicle. At the heart of the system is the Wiesel 2 120-mm self-propelled mortar now in the final stages of development for the German Army's rapid reaction forces. The smoothbore mortar can be loaded and fired with the crew of three remaining under armour and NBC protection. Externally mounted on the rear of the vehicle the mortar is pivoted and lowered into the horizontal position so that it can be manually muzzle loaded from inside the vehicle. A computerised fire control system adjusts the mortar before each round is fired. A burst of three rounds can be fired in 20 seconds and the system can sustain a rate of six rounds/rain for three minutes. The vehicle has a crew of three and carries 25 rounds of standard ammunition and two smart rounds. The Wiesel 2 weighs 4100 kg, which enables it to be carried either internally or slung beneath the army's CH-53G heavy lift helicopter. The army is expected to order a pre-series batch of vehicles in 2009, followed by a production of 74 vehicles by 2010, with all deliveries completed by 2011. Rheinmetall is also developing a new family of 120-mm mortar ammunition that includes HE, smoke/obscurant and IR illumination rounds. Trial rounds were delivered to the army for evaluation in 2006 and serial production is expected to begin sometime between 2009 and 2010 to coincide with the fielding of the Wiesel 2 mortar. At Eurosatory the mortar vehicle was digitally linked to a Wiesel 2 C4I vehicle and a Joint Fires Support Team (JFST JFST Junk Fax Stock Tracker (website) ) consisting of two Wiesel 2 vehicles configured for the fire control mission. Rheinmetall is reportedly also looking into a GPS-guided round being developed by Diehl. http://www.thefreelibrary.com/Fast+moving+120mm+mortars:+the+120-mm+mortar+is+the+largest+indirect...-a0171018005 The defense budget approved by the Bundestag, the German parliament, on 17 June includes funding for the Bundeswehr's Mortar Combat System. Rheinmetall announced today that it has been awarded a 54-million euro contract to supply eight armored mortars mounted on the Wiesel 2 weapons carrier, with an option for two command and fire control vehicles for a further 7.5 million euros. The delivery date of 2011 announced by Rheinmetall is one year later than the German Ministry of Defense gave last week. In any case, the Armored Mortar System will replace the Bundeswehr's 40-year-old Tampella towed 120 mm mortars and the Ministry of Defense said the procurement of further Mortar Combat Systems is planned. The eight armored mortars ordered will equip a mortar platoon to support the Bundeswehr in Afghanistan. The Ministry of Defense has decided not to deploy the much heavier PzH 2000 armored howitzer to Afghanistan. The system has a range of around eight kilometers using new Rheinmetall 120 mm mortar ammunition. It is designed to be ready to fire in 60 seconds, shoot three rounds in 20 seconds and then scoot 15 seconds later. It can be airlifted by CH-53 helicopter and C-160 aircraft. http-~~-//www.youtube.com/watch?v=Qln3hVoe8qA
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Euh parce qu'on est dans le topic de l'appel d'offre ;) et que c t po tclair.
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L'Italie, l'autre pays industriel hélicoptèriste
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Euh la PLA ... se vante ouvertement de coopérer dans un version militarisé du 175 pour remplacer tout sa flotte d'helico léger/moyen ... c'est d'ailleurs un des principaux objectif de cette coopération coté chinois, leur production commencant normalement bien plus tard que les modele civile deja en precommande devant etre produit a Marignane. Apres on parle d'helico de manoeuvre, un peu armé, dont les techniques de militarisation sont des secret de polichinelle. Je n'envisageais pas une coopération dans les développement ou l'intégration d'équipeme nt ASW par exemple. De toute facon coopération ou pas les chinois aurait fait une copie en a peine plus de temps ... donc autant coopérer ua moins sur la cellule et les moteur. -
Le pire c'est qu'il y a un gaucher sur la photo !
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Tu a activé l'option de compatibilité dans IE8 comme je t'ai dis ? J'ai essayé et j'ai eu le meme souci que toi dans les champ de text multiligne. Mais une fois l'option de compatibilité coché ... tout redevient normal. Donc tu ouvre une page air-defense ... avec IE8 ... puis tu va dans le menu "page" d'IE8 et la tu selectionne "affichage de compatibilité" ... normalement ca marche. Pour vérifié que c bien enregistré tu peux aller dans "parametre de compatibilité" et normalement air-défense doit etre dans la liste du bas. -
Avant de commander ... il faudrait se décider sur un constructeur, un modele et les adaptation qu'on y demande, et ca visiblement on y est pas encore :lol:
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Mk48mod0 et Mag ... n'ont pas du tout le meme usage ... la Mk48 est destiné quasi exclusivement aux combattant débarqué, donc légere, la Mag est surtout destiné a un usage en poste fixe et sur vehicule ... donc lourde. Mk48mod1 18.8" 18.64lbs M240E6 titanium 18.8" 23.6lbs bipied M240B 18.8" 27.5lbs bipied M240H 23.6" 26.3lbs affut ou tripod. http://www.fnhusa.com/mil/products/firearms/group.asp?gid=FNG008&cid=FNC01 Si on en croit l'appel d'offre http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php/topic,6227.msg378046.html#msg378046 les Mk48 sont en dehors de la cible.
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Tu as tjrs les pb avec IE8 ??? -
"Wiesel 2" porte mortier 120mm http://www.rheinmetall-defence.com/index.php?fid=3727&lang=3 Combining various Wiesel 2 ("weasel") armoured reconnaissance and C4I vehicles with a lightweight mortar track, this pioneering concept is Rheinmetall's response to the technological challenges of the new global security situation. In every respect – from strategic and tactical mobility and operational flexibility to reconnaissance and command capabilities and battlefield lethality – the system is totally oriented to the altered mission requirements of the modern military. Linked by a digital command and control network, this integrated combat system consists of a lightweight Wiesel 2 mortar track – which provides fire support for infantry formations and fires specially developed new mortar ammunition – coupled with command and fire control vehicles as well as a Joint Fires Support Team (Wiesel 2 vehicles equipped with integrated observation sensors and laser target designators). Welding the individual vehicles into a single information network ensures a constant exchange of operationally relevant data: information is analyzed on a teamwork basis, appropriate action decided, fire control data generated, and targets engaged with the lightweight track-mounted mortar. Consisting of two Wiesel 2 vehicles packed with communications equipment, the Joint Fires Support Team (JFST) is equipped with an extendable surveillance system comprising a high-resolution CCD camera, a 3rd-generation thermal imaging device, a laser pointer and a laser rangefinder for tactical reconnaissance operations. Via integrated command and fire control systems, details of autonomously detected targets are transmitted to other members of the multiple-vehicle system as well as to units outside the network and other components of the armed forces. To enable engagement of high-value targets while simultaneously minimizing collateral damage, the JFST's forward air controller component is equipped with a laser target designator for controlling laser guided ammunitions. A state-of-the-art lightweight mortar-track furnishes the network's firepower. Armed with a computer-controlled 120 mm mortar, the vehicle features a hybrid navigation system and advanced fire control technology, meaning that it can be ready for action very quickly. With newly developed Rheinmetall Defence mortar rounds, it can engage targets up to 8 km away with pinpoint accuracy. Also envisaged is the future use of end-phase guided munitions. Thus, Rheinmetall Defence's new Airborne Mortar Combat System is more than just a means of making mortar fire more effective: it is a fully networked system for future combat scenarios, ensuring high mobility and an excellent shoot-and-scoot capability in a networked-enabled, joint operations environment. Selected data: Lightweight Wiesel 2 Mortar Track * 120 mm mortar with recoil system attains ranges of up to 8 km (5 miles) * Fires standard mortar rounds as well as new 8 km ammunition and smart projectiles (max. length 1,000 mm) * Weapon is operated from inside the armoured fighting compartment, protecting the crew from NBC threats and enemy fire * Quick attainment of firing readiness due to constant computation of its three dimensional position and heading * Rapid rate of fire due to automatic weapon laying and instantaneous barrel correction after each shot * Air-transportable in / underneath CH 53 helicopter * Excellent off-road capabilities and manoeuvrability even in terrain inaccessible to larger and heavier vehicles.
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L'Italie, l'autre pays industriel hélicoptèriste
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Eurocopter devrait faire le meme genre d'infographie 3D sur base EC-175 ... juste pour les faire chier. -
Pas taper ;) C'est meme pas moi qui le dit, c'est le commisaire ! "Le but de l'UTEQ, explique le commissaire Jaffuel, c'est de travailler au quotidien et de faire en sorte que le lien entre la population et la police soit le meilleur possible. C'est une police de proximité."
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Oh putainnnnng le retrour de la police de proximité !!! Je croyais que c'était un truc de bolcho ca ?
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http://www.corlobe.tk/article14830.html La Royal Navy fait face à la perspective de nouvelles, profondes et douloureuses réductions de ses capacités cette année, dans le cadre d’une large initiative du ministère britannique de la défense pour équilibrer le budget. Selon différentes sources ayant connaissance des discutions, la Royal Navy et la Royal Air Force envisagent ensemble de supprimer la force commune de Harrier, pendant que la Navy pourrait désarmer par anticipation certains de ses destroyers du Type 42 et retarder la mise en service des Future Surface Combatant (FSC) de près de 20 ans. Chaque armée devrait faire des sacrifices drastiques afin de d’atteindre la réduction de 2 milliards £ (2,33 milliards €) programmée dans le budget de la défense de l’an prochain. Mais la Royal Navy serait plus plus grande perdante. Le ministère de la défense a refusé de faire des commentaires sur les discutions en cours et tout n’est que spéculation actuellement. Supprimer complètement la force des Harrier serait une décision drastique et marquante mais cela semble improbable à ce stade, à moins que le ministère ne prévoit aussi de supprimer du budget les 2 porte-avions. Sans les Harrier, les 2 porte-avions devraient attendre 2018 pour recevoir des avions, lorsque le Joint Strike Fighter entrera en service. Désarmer quelques destroyers du Type 42 est une possibilité, mais les désarmer tous dans les toutes prochaines années est aussi improbable. Les destroyers du Type 45 entrent lentement en service. Un désarmement total des Type 42 laisserait la Navy avec un trou capacitaire important pendant environ 5 ans. Comme compromis, la Navy pourrait accepter d’avancer la date de désarmement d’un ou 2 navires. Des retards pour la mise en service du Joint Strike Fighter semblent actuellement le plus probable. Le ministère a toujours refusé de donner des détails sur le calendrier et la quantité des Joint Strike Fighter. On ignore aussi ce qu’ils veulent réellement pour remplacer les frégates Type 22 et 23, et combien ils en auront besoin. Les ministres ont dit que les décisions seront prises dans les prochaines années, et ils évitent les questions des parlementaires sur le sujet. Par conséquent, les frégates Type 22 et 23 seront prolongées, ce qui pourrait être plus couteux à long terme, à cause des modernisations et de la maintenance accrue pour les maintenir opérationnels.
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[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La suite : http://www.defense.gouv.fr/marine/base/breves/toulon_campagne_de_prelevement_dans_la_rade C’est la première opération de cette ampleur réalisée à Toulon. Du 22 au 26 juin une campagne de prélèvement des sédiments marins appelé « carottage », a lieu dans la rade en partenariat avec l’Université du Sud Toulon-Var (USTV) et Toulon Provence Méditerranée (TPM). Dans le cadre du Contrat de baie*, le bâtiment de soutient région (BSR) Chevreuil effectuera les carottages dans la rade militaire et civile. Les 70 « carottes » permettront chacune de générer 20 à 40 échantillons, qui seront ensuite analysés au sein du LASEM de la base navale (laboratoire d’analyses, de surveillance et d’expertise de la Marine). Ces analyses permettront d’établir un état de référence des fonds sous-marins et de dresser un historique des pollutions chimiques remontant jusqu’à une centaine d’années. Ces pollutions, qui sont en majorité métalliques ou organiques, ont pu être causées par une multitude de facteurs, allant de l’activité industrielle dans la baie au lessivage naturel des sols lors des averses. Le carottage permet par forage le prélèvement d’échantillons du sous-sol marin pour en faire l’analyse. Il est effectué avec un tube plastique d’un mètre de long en moyenne que l’on fait pénétrer dans la zone. Récupéré, le tube est ensuite découpé à l’azote pour retirer les sédiments et les conserver à l’air ambiant sans en altérer la composition. Contrat de baie* : Signé en 2002, c’est un programme d’actions environnemental en 5 ans pour restaurer et gérer la qualité des eaux et des milieux aquatiques de la rade de Toulon et de son bassin versant. Il est mené avec L’Etat, les collectivités territoriales, les chambres consulaires et les associations. -
Bien au dela ... a priori il encaisse tout sauf le 120 de face ... le blindage de toit est tres renforcé par rapport a toit de tourelle de Merk4 ... sur les flanc pareil que le Merk4. http://www.israeli-weapons.com/weapons/vehicles/armored_personnel_carriers/namera/Namera.htm
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two hundred and ninety four ... nan nan ils disent bien la meme chose. apres c'est thirty eight ... le nombre de commande a l'époque de Rafale M ... [dailymotion=600,380]x9ma8h[/dailymotion]
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[dailymotion=600,380]x9lzxs[/dailymotion] Pour les video tout marche comme avant juste qu'il faut ecrire a la main, j'ai expliqué par ici http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php/topic,9300.msg382058.html#msg382058
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PRP4-M exact ;)
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En matière d’avions de combat, difficile de savoir à quel saint se vouer. D’un côté, l’hyperactif Président Nicolas Sarkozy sillonne au pas de course les pays du Golfe en cherchant à placer le Rafale contre vents et marées. Et l’optimisme est de rigueur. Ainsi, à en croire la presse internationale, le ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis (EAU), cheikh Abdallah ben Zayed Al-Nahyane, aurait fait état de «progrès» dans les négociations sur l'éventuel achat par son pays de l'avion Rafale. Nicolas Sarkozy ayant, par ailleurs, déclaré que les discussions avec le Koweït, pour l'acquisition éventuelle par cet émirat de 14 à 28 avions Rafale, pourraient aboutir avant la fin 2009. D’un autre côté, ni les EAU, ni le Koweït, ni Oman ne voient les choses de façon aussi limpide. Dans le cas des EAU, la diplomatie proactive du Président Sarkozy pousse le processus vers l’avant, mais pas nécessairement dans la bonne direction. En effet, les autorités émiraties ne souhaitent pas de package et entendent négocier tranche par tranche. Disposant déjà de 80 avions F16 Block 60 et de 60 Mirage 2000-9, ils souhaitent pouvoir se mettre d’accord sur la reprise des Mirage (pour quel coût et sur quel budget ?) avec un transfert de leurs armements (Storm Shadow, Mica, voire le Meteor qui pourrait intégrer le Rafale) et un nouveau radar vers les futurs Rafale. Une autre tranche de négociations concernerait la motorisation à propos de laquelle le Président s’est engagé. Mais aucune signature de contrat n’aura lieu sans un compromis sur chaque tranche. Pour le Koweït, la situation est plus contradictoire car, malgré la visite du chef de l’Etat français et quelques articles de presse enthousiastes, les autorités koweïtiennes auraient informé la France qu’elles n’étaient pas décidées à prendre du Rafale. Le Koweït dispose actuellement de 32 F/A-18 Hornet et de 8 F/A-18D ainsi que de 14 Mirage F1. Enfin, à Oman, c’est le casse-tête. Comment expliquer que le Président de la République propose aux autorités d’opter pour le Rafale en remplacement de leur 18 Jaguar (sans compter les Tornado et F16), alors que l’Elysée savait que Mascate penchait en faveur de l’Eurofighter ? L’état-major de la Présidence de la République étant au courant du fait que l’armée de l’air omanaise aurait sélectionné l’avion de combat européen. Un pied-de-nez à l’Eurofighter qui n’avait pas besoin de cela. En effet, selon nos informations, l’avion européen connaît quelques soucis, notamment en matière de logiciel. A Berlin, les autorités évitent le sujet. Dans les semaines qui viennent, les députés allemands doivent donner leur accord pour l’achat de 31 appareils supplémentaires. Après ce vote, qui passe pour être assuré, l’Allemagne aura commandé 143 appareils fermes sur les 180 annoncés. Mais il n’est pas sûr qu’elle commande le reste. Etant donné la crise et l’accroissement des déficits publics, personne ne sait si l’Allemagne aura la volonté et les moyens de se payer les 37 appareils restants, au grand dam de Franz-Josef Jung, le ministre de la Défense. L’Allemagne a prévu de réduire sa flotte de chasse, de plus de 450 avions en 2003, à 270 en 2017 (180 Eurofighter et 90 Tornado). Elle dispose actuellement de 340 avions, dont 53 Eurofighter en service ou en passe de l’être. Dans la Luftwaffe, on regarde encore de loin cette querelle politique et budgétaire. Les escadrons de chasse ont, en effet, bien d’autres problèmes avec… l’Eurofighter, notamment sur les logiciels embarqués, qui ont conduit, à plusieurs reprises, à des pannes d’instruments de navigation en plein vol. Pour ne pas casser ces bijoux de près de 93 millions d’euros, les escadrons déjà équipés confirment donc ne faire voler que des pilotes expérimentés, capables de rentrer seuls à la maison. L’Otan prescrit, en principe, 180 heures de vol par an aux pilotes «agréés». Sur l’Eurofighter, les pilotes allemands en effectuent actuellement entre 80 et 100 par an, le minimum pour recevoir l’autorisation de décoller étant de 70 heures annuelles.
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Pourquoi USV puisqu'on y parle aussi de sous marin ?!