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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Pas a ma connaissance. La copis STK du MP7 était destiné a équiper la police et une partie de l'armée singapourienne. Le prototype est en 9 para ... mais il sembler que d'autres calibres soit prévu ... L'étonnant c'est qu'ils n'est pas été jusqu'a copier la poingnée escamotable.
  2. http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/07/querelles-dallemands-dans-les-forces-sp%C3%A9ciales.html L'affaire de la libération de la Tanit avait donné lieu, on s'en souvient, à un début de polémique entre le GIGN et les commandos-marine. Comparé à ce qu'il se passe de l'autre côté du Rhin, c'est une aimable plaisanterie, comme nous le raconte le magazine Raids dans son dernier numéro. A lire impérativement pour tous ceux qui pensent que la querelle est une spécialté gauloise... En avril dernier, des pirates somaliens capturent un porte-conteneurs allemand, le Hansa-Stavanger. Berlin songe alors à une opération de vive force pour le reprendre. Et là, la guerre des boutons éclate entre le GSG-9 et le KSK. Au final, l'opération fut annulée... Le GSG-9, ce sont des policiers (Bundespolizei), anciennement des "gardes-frontières". C'est une unité antiterroriste très réputée, comparable au GIGN. Beaucoup d'anciens militaires y servent. Le KSK (Kommando Spezialkräfte), ce sont les forces spéciales de l'armée de terre, dont le bilan en Afghanistan est assez modeste. Les deux unités veulent intervenir dans la libération des otages à l'étranger et se tirent dans les pattes. Reste une toisième unité, les forces spéciales de la Marine avec les Kampfschwimmer (nageurs de combat) et la Boarding Kompanie, qui aimeraient bien avoir aussi leur part du gâteau. C'est sans compter avec les lourdeurs administratives et la pusillanimité politique des autorités fédérales. Au point qu'à Berlin, on vante désormais l'efficacité du modèle français.
  3. g4lly

    Navires modernes et blindages

    D'autant que l'ennemi sovietique avait comme glaive des missile avec une charge militaire version XXL. En gros contre un missile qui mettrait hors combat un cuirassé ... forcément on évite de blinder les frégate et on se concentre sur l'actif et le brouillage.
  4. http://www.corlobe.tk/article14988.html Saft, spécialiste mondial dans la conception et la fabrication de batteries industrielles de haute technologie a livré un système batterie lithium ion (Li-ion) offrant une amélioration significative des performances et de fiabilité pour un véhicule sousmarin avec pilote, propulsé électriquement, opéré par les Forces Spéciales françaises. Les forces spéciales utilisent des véhicules sous-marins avec pilote afin de transférer d’un point, comme un sous-marin, vers une autre position sur une côte, à l’arrivée de laquelle les pilotes sortent le véhicule hors de l’eau. Le remplacement de la batterie actuelle par un système batterie Li-ion a permis d’obtenir une amélioration significative de la performance en terme de vitesse, d’autonomie, de son rayon d’action tout en offrant un mode sans maintenance et une durée de vie plus longue. “Le succès de ce projet consolide la position de Saft en tant que principal développeur et fournisseur de systèmes batteries Li-ion offrant des performances et une grande fiabilité, même dans les applications militaires les plus complexes" a déclaré Philippe Jehanno, directeur général de la Division Défense et Espace, Saft. "L’utilisation de la technologie Li-ion est en pleine expansion dans de petites applications telles que les véhicules sous-marins avec ou sans pilote, et cette expérience est inestimable pour la fourniture de solutions pour des projets plus importants, tels que les sous-marins”. Pour le véhicule en question, Saft a livré un ensemble complet comprenant la batterie Li-ion et son chargeur. Le système batterie permet de fournir plus de 20 kWh d’énergie sous 200 V. Les accumulateurs VL45E cylindriques, utilisée pour cette batterie sont conçus spécialement pour des applications avec de grands cycles de charge / décharge tout en étant sans maintenance et permettent une réduction significative du poids et du volume.
  5. http://www.3news.co.nz/News/InternationalNews/France-back-in-good-books-following-dramatic-warship-rescue/tabid/417/articleID/111028/cat/782/Default.aspx The French military has had a chequered history in New Zealand, but they have more than redeemed themselves in the eye of one Auckland family. The Bradfield family's yacht was crippled by a storm, as they sailed from Tonga to Auckland. When they sent out a mayday, it was a French patrol boat that came to save them. Charles Bradfield, his partner Joy and their six children had spent a helpless night in two metre swells after their mast snapped and ropes got tangled in the rudder. This morning, as the French Navy brought them home, it was hard to imagine the ocean so hostile. Unless you were 13-year-old Tom, who was on watch when the mast snapped. “I kind of thought we were going to sink instantly. I ran up, opened up the hatch and yelled ‘everybody up the mast had snapped’. Every body looked at me as if I was mad,” says Tom. Just after that it became clear they had to abandon the vessel. But thankfully French Navy ship ‘La Glorieuse’ was only 80 nautical miles away. Within hours the captain spotted the ship from the bridge. It was too dangerous to take the Bradfields on board that night, so the French circled the Kiwis until dawn. But the rescue still posed one problem. “We couldn't leave the vessel. This is the other emotional thing. We couldn't leave the vessel just lying afloat, and a decision was made to scupper the vessel, that's the skipper's job - my job,” says Charles Bradfield. At a time when the French were looking distinctly un- glorieuse, this has done more than any apology could for Kiwi-French relations. The Bradfield family's yacht was crippled by a storm, as they sailed from Tonga to Auckland. When they sent out a mayday, it was a French patrol boat that came to save them. Charles Bradfield, his partner Joy and their six children had spent a helpless night in two metre swells after their mast snapped and ropes got tangled in the rudder. This morning, as the French Navy brought them home, it was hard to imagine the ocean so hostile. Unless you were 13-year-old Tom, who was on watch when the mast snapped. “I kind of thought we were going to sink instantly. I ran up, opened up the hatch and yelled ‘everybody up the mast had snapped’. Every body looked at me as if I was mad,” says Tom. Just after that it became clear they had to abandon the vessel. But thankfully French Navy ship ‘La Glorieuse’ was only 80 nautical miles away. Within hours the captain spotted the ship from the bridge. It was too dangerous to take the Bradfields on board that night, so the French circled the Kiwis until dawn. But the rescue still posed one problem. “We couldn't leave the vessel. This is the other emotional thing. We couldn't leave the vessel just lying afloat, and a decision was made to scupper the vessel, that's the skipper's job - my job,” says Charles Bradfield. At a time when the French were looking distinctly un- glorieuse, this has done more than any apology could for Kiwi-French relations.
  6. g4lly

    [Tigre]

    http://lemamouth.blogspot.com/2009/07/la-masse-de-75-tigre-pour-en-deployer.html Le déploiement des trois Tigre français en Afghanistan, imminent, représente un fret de 450 tonnes ! Soit 25 fois la masse conjuguée des trois appareils en question, ou, dans l'absolu, de 75 hélicoptères (d'où notre titre). Ce chiffre peut sembler incroyable mais le déploiement d'un appareil aussi technologique comprend des shelters pour le MCO intégré, des rechanges aéronautiques (pneus, turbines, etc), des modules de préparation de mission, des munitions (30 mm, roquettes) et évidemment, l'environnement des équipages et des mécaniciens. C'est cette variable, entre autres, qui avait retenu les Australiens de déployer les premiers des Tigre, en Afghanistan. Et évidemment, la peur d'essuyer les plâtres. Le déploiement du double d'appareils ne génèrerait d'ailleurs pas un fret double, puisque le lot de déploiement peut alimenter plus d'hélicoptères, ouvrant donc la possibilité d'un renforcement, si les premiers résultats sont intéressants.
  7. http://lemamouth.blogspot.com/2009/07/lemhm-dissoute-aujourdhui.html Comme le CNAM, l'EHM a durement payé son "M". L'escadrille ALAT formant au vol en montagne à Gap a été dissoute aujourd'hui. Elle employait cinq Gazelle, mais surtout, constituait un apport évident (comme le CNAM) aux opérations en Afghanistan où on trouve quelques reliefs. L'excellence de l'action des Gazelle Viviane sur place tient aussi à l'enseignement prodigué à l'EHM. Le vol en montagne a ses règles, et les Tchèques étaient venus, à deux reprises, prendre des leçons en France, avant de déployer leurs Mi-17 en Afghanistan. C'est d'ailleurs à l'EHM qu'avait été organisé l'exercice GAP 2009, regroupant des hélicoptères frnaçais, tchèques, bulgares, espagnols et belges. La contribution de l'ALAT aux restructurations ne s'arête pas là, puisque la BAM va être démantelée, et les régiments seront actionnés via un centre de mise en oeuvre (CMO) logé au CFT de Lille. Par contre, le COMALAT va grossir, pour atteindre un peu moins d'une centaine de militaires.
  8. Euh bah si ... mais seulement a plouc les bains. En pratique ce qui dérange c'est les trouble a l'ordre publique ... pas le traffic de drogue ... Le traffic de drogue ne dérange pas dans les beaux quartiers, chez les notables artistes et autres politiques... D'ailleurs l'économie souterraine est un facteur stabilisant pour des populations sans ressources classiques, et un facteur de developpement comme un autre pour l'économie locale. Privé les locaux de cette ressource n'est tout simplement pas envisageable tant elle font vivre de nombreuses familles. Ce qui chagrine l'état c'est quand cette ressource sort du systeme classique de dilulution dans tout un tas d'intermédiaire, et est capté par un organisme a "vocation" moins local. Quant a la lutte contre la délinquance ... ce n'est pas une fin en soit ... et elle ne doit etre subit par le quidam que tres excpeptionnellement. Si la lutte contre la délinquance est pour tout un chacun plus dérangeante que la délinquance elle meme ... on imagine le tableau.
  9. Dans un monde globalisé les logiques de containement geographique sont assez cavalieres. Quand a l'islamisme tout le monde s'en fout ... sinon on aurait carbonisé les saoudiens pas les irakiens. L'islamisme moderne n'a rien de nouveau ca remonte aussi loin que le sionnisme, et on l'a toujours laissé filé tranquille rapport a un ennemi commun ... l'ennemi étant parti on se partage les reste. Le fond du probleme c'est l'imposition du modele libéral capitaliste occidental comme seul viable, ou du moins utltra dominant. La mise a terre du communisme soviétique n'a pas suffit ... et le vide laissé a fait de la place pour d'autre modele, le capitalisme marxiste en Chine et l'islamisme dans le "tiers monde" mulsuman. L'islamisme s'essaye deci dela avec plus ou moins de reussite mais le projet fait son chemin ... confrontant les "valeurs" occidentale a la réalité du terrain ... de maniere a les rendre tout de suite moins universelles :)
  10. g4lly

    Eurofighter

    Les Harrier sont ultra adapté au theatre afghan ... est aussi une bonne explication.
  11. The U.S. military has faced a particularly hard slog in Afghanistan’s Korengal Valley, where NBC’s Richard Engel recently visited the soldiers of Viper Company. Engel’s series of reports gives viewers an intimate look at life on Firebase Restrepo, a remote outpost in some of Afghanistan’s more unforgiving terrain. Conditions at Restrepo, Engel notes, have gotten better over the past several months. The firefights are less frequent, and soldiers have seen a few improvements to their outpost: Security cameras, a new guard tower, better food. They even have a microwave and a morale phone. Still, the work is dangerous, and the casualties are high: Of the original 20 soldiers Engel met from one platoon when he last visited, only about half were still on Restrepo. The others had been killed, injured, or evacuated because of illness. La vidéo http://www.wired.com/dangerroom/2009/07/essential-viewing-live-from-the-korengal-valley/
  12. Brigadier General Michael Brogan, the Marine Corps program officer for MRAP said this afternoon that he expects Oshkosh to deliver all 5,244 MRAP All Terrain Vehicles (M-ATV) by the end of March, 2010. The $1 billion contract for the tactical vehicle, envisioned as a replacement for the lighter-armored Humvee in Afghanistan, was awarded yesterday to Oshkosh, and Brogan said that the company is slated to deliver the first 10 vehicles by the end of July. After that, the manufacturing process will increase quickly, with the company expected to be able to produce 1,000 vehicles per month by December. The first vehicles should be on the g round in Afghanistan by September or October. Speaking on a conference call this afternoon, Gen, Brogan said that “survivability was the ascendant criteria” in the competition, and that “the Oshkosh vehicle proved to be the most survivable platform,” and that “at the end of the day, Oshkosh was superior in technical, superior in production [capability], and second in cost.” When asked about the possibility of a protest by one of the losing bidders, the general commented that “I don’t believe that it’s in the best interest of the warfighter, and I don’t believe that a protest will prevail.” Getting the trucks to Afghanistan promises its share of headaches however. Gen. Brogan said that with the additional soldiers and Marines deploying to theater this summer and fall as part of the additional 17,000 troop commitment that president Obama has mandated, “the air bridge to Afghanistan is full,” so “we’re going to have to shoehorn” the vehicles into the theater, which is a “significant transportation challenge.” The plan calls for the first trucks to be flown in, the Pentagon hopes to transition to surface transport as soon as it can.
  13. http://www.foreignpolicy.com/articles/2009/06/30/call_in_the_calvary?new As American troops in Afghanistan seek to rebuild a flagging campaign, they might do well to read up on the lessons of another troubled Afghan project, the Anglo-Afghan Wars -- and specifically, the lessons of one Captain Charles Trower, a British cavalry officer who deployed to India in the 1830s. His 1845 memoir, Hints on Irregular Cavalry, says pretty much all there is to say about one of the most complicated problems in Afghanistan today: the training and oversight of local defense forces. Last October, the Los Angeles Times reported that Pentagon leaders had authorized American commanders in Afghanistan to aggressively mobilize and mentor village-based self-defense forces. Made up largely of Pashtun tribesmen and recruited through tribal leaders, such units are expected to provide security in areas where Afghan government forces have failed to stem Taliban encroachment. This shift in strategy is not surprising given the success of similar initiatives in Iraq and the growth of the insurgency across southern Afghanistan. Results of the late 2008 decision are now seeping into the press: American reporters recently covered the graduation and deployment of 80 members of the Afghan Public Protection force, otherwise known as "Guardians." But the fielding of these units entails great risks: lack of government oversight and empowerment of warlords, just to state the obvious. The "Guardians" are the direct descendents of Trower's "Native Horse," a contingent of British-commanded irregular cavalry. The units were exotic, to put it mildly, drawn from tribes throughout present day India, Pakistan, and Afghanistan. "A Mahomedan, a Rajpoot, a Mahratta ... a Seik" - as Trower put it -- all served under him. Among Trower's horsemen was a troop known as the "Khandahar Horse" -- Pashtun recruits from modern-day Afghanistan and Pakistan, the direct ancestors of today's "Guardians." Recruited in cooperation with tribal chiefs, the Native Horse were not loyal to any form of government outside their British minders. Trower writes extensively on how to properly manage and maintain the support of these units, the members of which he describes as "generally illiterate, haughty and turbulent: but they are gallant and true, hard-working and zealous." Of their martial skills, they were "first in excellence." One hundred and fifty-five years later, the U.S. officer now charged with overseeing Afghan self-defense forces has more to learn from Trower than you might think. Trower's treatise on advisory missions -- the first of its kind -- expounds on three main themes that are useful to this day. 1. Incentivize -- Raising tribal forces is often confused with the purchase of mercenaries, part-time allies loyal only as long as the money lasts. Trower agreed: Simply lavishing gold on tribes was short-sighted. It was better to incentivize participation through a methodical, society-wide approach. This involved consultation with tribal leaders, targeted recruitment, the promotion of local elites, and a pay scale that rewarded good conduct and active participation. Thus, Trower's indigenous unit became an attractive home for Pashtun males who enjoyed the military life but also fiercely guarded their independence. The outreach effort served a broader purpose as more Pashtun leaders were convinced to participate, slimming the population of renegades. Trower deemed the system a method "by which a considerable body of turbulent Patans [Pashtuns] can be converted from disaffected idlers with no occupation, into well-disposed servants of the state." 2. Live and let live -- The relationship forged through the incentive system led some British officers to believe they could Westernize Pashtun fighters. To Trower, this was arrogance of the worst sort. Pashtuns were fiercely independent, and any effort to treat them as "property" would be disastrous. Trower's colleagues were advised to ignore any impulse to "civilize" such units: "There is nothing as distasteful to the majority of natives as change of any kind, above all any change affecting their purse or prejudices." To drive his point home, Captain Trower tells the story of a Colonel Davis who had interfered with the "purse and prejudices" of his men. They later killed him. Play it safe and avoid non-military discussion, offers Trower: "Have nothing to say to their private and domestic affairs if you can avoid it." Others advocated integrating indigenous units into official government formations. That would be a mistake, warns Trower. His irregulars were uncomfortable with external control: "There are very few situations under our government which their ancient prejudices and pride will suffer them to accept." Although there was a danger that indigenous forces would end up fighting official units, Trower felt such risks could be managed through close monitoring by British officers. 3. Go native -- Educated by years of living in the tribal areas of Pakistan and India, Trower argues that British officers should make every effort to blend in with their native recruits. This recommendation will ring familiar to American military advisors, particularly U.S. Special Forces. Officers attached to irregular groups should have "very considerable knowledge" of the native culture, and should rapidly learn their languages. Trower expounds on the importance of treating native troopers with the utmost respect: "It is the treatment they receive which will make then either cheerful or zealous soldiers or useless rabble." Since Pashtuns were particularly sensitive to the opinion of their own "Khel or Zye (subtribes)," tribal leaders were to be treated as allies, not subjects. At all opportunities, Trower advises British officers to "enter into the amusements of your men" and "be prepared to receive their visits of ceremony." Trower's work is not entirely relevant, of course -- at one point, the reader is reminded to avoid "useless glitter" when clothing irregular horsemen. Additionally, the cogent tribal structure that facilitated Trower's recruitment activity is now a shadow of its former self, degradation that will complicate similar American efforts. Regardless, the seemingly archaic history of the British colonial experience has enjoyed a renaissance of sorts within the U.S. military: Marine generals read Gertrude Bell and Special Forces study Roger's "Rules of Ranging," a pamphlet on irregular warfare written in 1757. It's time to make room for Captain Trower.
  14. http://www.opex360.com/2009/06/30/malaise-au-mossad/ Nommé en 2002 à la tête du Mossad, les services secrets israéliens, puis reconduit à ce poste par Ehud Olmert en 2008, le général Meïr Dagan a été maintenu une année supplémentaire dans ses fonctions par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le 21 juin dernier. Cet ancien officier des commandos, âgé de 64 ans, a su gagner la confiance des dirigeants politiques. Sous sa responsabilité, plusieurs opérations aussi délicates que sensibles ont été menées. Parmi celles-ci, on peut compter l’assassinat, en Syrie, d’Imad Moughieh, le chef militaire du Hezbollah libanais, à l’origine de nombreux d’enlèvements et d’attentats, dont celui qui avait visé l’immeuble Drakkar, le 23 octobre 1983, dans lequel 58 parachutistes français avaient perdu la vie. Selon toute vraisemblance, le Mossad aurait recueilli des renseignements de première importance concernant les installations nucléaires secrètes syriennes, bombardées en septembre 2007 par l’aviation israélienne et au sujet desquelles une enquête de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est en cours. La Syrie étant en état de guerre contre Israël, Meïr Dagan avait prédit que Damas ne réagirait pas au raid israélien. Et c’est ce qu’il s’est effectivement passé : les risques du défaite militaire aurait sans doute signifié la fin du régime de Bachar al-Assad, ou du moins le faire vaciller. Fin analyste, le chef du Mossad avait aussi prévenu son Premier ministre, Ehud Olmert, que les raids aériens menés par Israël au Liban, à l’été 2006, contre le Hezbollah ne permettrait pas de détruire l’appareil militaire de l’organisation politico-terroriste chiite. Une fois de plus, les faits lui ont donné raison. Mais ce qui justifie sans doute son maintien à la tête du Mossad est sa position à l’égard du nucléaire iranien, qu’il considère être la première menace à laquelle doit faire face l’Etat hébreu. On le dit même partisan d’une intervention militaire contre Téhéran, ce qui pourrait être une option probable en cas d’échecs des négociations internationales et des sanctions prises à l’égard de la république islamique. D’ailleurs, les forces aériennes israéliennes (IAF) ont mené un exercice de grande ampleur, en juin 2008, au-dessus de la Méditerranée orientale, impliquant des appareils F15, F16 ainsi que des avions ravitailleurs. A l’époque, ces manoeuvres ont été présentés comme une répétition générale avant une possible attaque des sites nucléaires iraniens, à l’image du raid qui, en 1981, avait été conduit en Irak pour détruire la centrale d’Osirak. Cela étant, les raisons pour maintenir Meïr Dagan à son poste ne manquent pas. Et pourtant, cette décision suscite quelques remous au sein du Mossad. En effet, elle a été le prétexte de la démission du directeur adjoint des services secrets israéliens, dont l’identité reste confidentielle. Surnommé “Taf”, ce qui correspond à la première lettre hébraïque de son nom, il serait un ancien membre d’une unité d’élite. Il est, en outre, le responsable de plusieurs opérations du Mossad. Ce n’est pas la première fois qu’un dirigeant du service isralien démissionne pour ce que l’on pourrait qualifier d’une incompatiblité d’humeur avec Meïr Dagan. L’ancien responsable de l’unité Kidon du Mossad, Hagai Hadas, avait quitté ses fonctions pour cette raison.
  15. Effectivement le spike LR est vendu comme faisant aussi le "battle damage assessement" en gros jusqu'au dernier instant on film et donc on sais grosso modo ou a été le missile ce qu'il y avait devant jusqu'a l'impact. Normalement ca suffit a valider si la cible a été atteinte ou pas. Mais effectivement ca peu servir aussi de contenu médiatique pour valider la pertinence d'un tir aupres du grand publique en plus de valider le tir aupres des militaires eux meme.
  16. La dissuasion Iranienne est a se prix aussi ... c'est comme si tu disais que le luxembourg peu se permettre une attaque nucléaire contre la Russie par que les Russe oserons jamais se venger de peur d'abimer la frontiere Néerlandaise Allemande Belge et France :lol: La dissuasion dissuade si tout le monde est persuadé qu'elle va servir quoiqu'il en soit ... pas autrement.
  17. Nope ... et tout le probleme est là ... disposer d'une bombe ne suffit pas. Encore faut il pouvoir l'amener sur place et la tirer. Tout l'art est là ... garder une libverté suffisante pour faire effectivement exploser la bombe chez l'autre quoiqu'il arrive. Et ca c'est pas donné a tout le monde. Israel est relativement dissuassif vis a vis des etat constitué voisin non nucléaire. A priori tirer un nuke contre ses voisins est possible meme en seconde frappe, du moins la menace est crédible et les parades des voisins sont assez minces. Maintenant contre un voisin nuke - supposition - tel que l'Iran ... Israel est nettement moins dissuasif. Techniquement il est pas évident évident que les coup porte d'un coté comme de l'autre, et vu sa petit taille ... Le risque de se faire nuker est trop grand pour ISrael qui s'en remettrait tres difficielement. L'Iran par contre pourrait encaisser quelques explosions sans se trouver irrémédiablement a genou. C'est d'ailleurs la la terreur d'ISrael ... ne plus etre suffisament dissuasif car avec l'IRan l'équilibre classique nuke vs nuke est pas si équilibré.
  18. g4lly

    A-69/Floréal/patrouilleurs

    Depuis le 30 juin, deux bâtiments français, la frégate anti-sous-marine Primauguet , et l’aviso Lieutenant de Vaisseau Le Hénaff , ont pris la mer depuis la base navale de Brest en compagnie de la western Fleet indienne dans le cadre de l'exercice Varuna 09. En Atlantique pour la première fois depuis sa création, cet exercice vise à renforcer la coopération des marines françaises et indiennes, notamment en matière de lutte anti sous-marine. Durant cet exercice le sous-marin nucléaire d’attaque Casabianca sert de "gibier". De nombreux ateliers se tiennent jusqu'au 4 juillet entre les bâtiments participants avec l'appui d'aéronefs, hélicoptères embarqués français, avions de patrouille maritime Atlantique 2 , avions de chasse Rafale Marine du groupe aérien embarqué et Super Etendard Modernisé de l’aéronautique navale. La western Fleet indienne regroupe le destroyer lance-missiles Delhi, les frégates Brahmaputra et Beas, le pétrolier ravitailleur Aditya, ainsi que leurs hélicoptères embarqués. Elle est placée sous le commandement du Rear Admiral SPS Cheema et effectue un déploiement de trois mois sur la façade atlantique avant de retrouver les côtes indiennes courant août.
  19. Bof il peut tjrs y avoir un accident nulcéaire au dessus de Jerusalem :lol: ca réglerait le probleme du moins quelques dizaine d'année le temps que la contamination baisse suffisament ha haha hahaha !
  20. C'est pas un probleme d'aimer ou pas. Si la voiture a l'air en mauvaise etat d'apparence cela peut motiver un controle ... au moins du controle technique. La voiture en mauvaise état apparent, ou ancienne est un fait objectif associé a un risque suffisant de sécurité. Peu de gens te diront que c'est dégradant de vérifier le controle technique d'une voiture devant apparement est muni dudit controle. D'ailleurs y a plein de pas pauvre qui roule dans des voiture pas toute neuve du tout. Mélanger des fait objectifs légaux motivant un controle et explicable au controlé, et des controle au "hasard", mais tres tres ciblé "minorité visible", est malhonnete, d'autant que cette raison n'est jamais explicité lors du controle. Les joies de la justice expéditive http://maitre-eolas.fr/2009/06/30/1462-une-terrible-lecon
  21. La question c'est que si les noir sont plus délinquant que les blanc ... pourquoi ne pas le dire carrément. Et pourquoi ne pas faire une loi qui permettent explicitement de motiver le controle d'identité sur le groupe éthnique supposé, ou un signe religieux, un code vestimentaire etc. Pour le moment c'est interdit de baser les controles, pseudo aléatoire, sur la race la religion et quelques autres élément, sauf si c'est particuliement motivé. Si le signalement du voleur spécifie que c'est un noir par exemple. C'est interdit ... c'est aussi simple que ca. Et il y a probablement une raison a cela, pas juste de casser les couille :) Donc pourquoi cette hypocrisie et cette illégalité ... le débat est là. Pourquoi refuse-t-on d'en parler sérieusement.
  22. A Paris, une réunion entre préfet de police, maire, procureur et recteur, s'est tenue mardi sur le plan d'action 2009-2012 contre les bandes. La préfecture a relevé que "le déferrement systématique (des auteurs devant la justice) semble être le seul mode de gestion possible". "On va attaquer cette question arrondissement par arrondissement", a promis le préfet de police Michel Gaudin en recevant le matin même le ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux. M. Gaudin a estimé à 27 le nombre de bandes "structurées" et à 51 celles qui le sont moins, agissant dans la capitale. Depuis le début de l'année, a-t-il précisé, 1 400 interpellations ont eu lieu dans ce cadre. Waouh ... les mecs se sont décider a bosser ... putain MAM va devoir engager du personnel et trouvers des places en maison d'arret :lol: trop dur...
  23. Je crois surtout que le tenant du "nous allons gagné" on du mal avec eux. Eux c'est n'importe qui la bas ... en gros pour qu'il y ait plus de eux du tout il faudrait tuer la moitier des afghans ... une partie des pakistanais, pas mal d'ouzbek et autres jihadiste ex soviet. Puis étanchéiffier les frontieres :lol: pour que les jihadiste du monde entiers y aille pas comme on va a disneyland. On aura le meme probleme en Somalie d'ailleurs. La solution envisageable c'est la solution Tchétchéne ... mais ca a déjà foiré plusieurs fois en Afghanistan, ca merde tranquille en Somalie et probablement ailleurs. La logique de l'aimant a djihadiste montre ses limites, on arrive plus a s'en décoller, et on crée probablement autant dee vocation qu'on en détruit. Pour les solution modele bisounours genre démocratisation occidentalisation forcé et autre ... on oubli de suite, il ne sont pas pret a ca culturellement dans l'immédiat, du moins le poids des gens pret a ca est inférieur a celui des gens contre ou inintéressé. La seule chose qui les interesse c'est de bouffer et d'avoir une vie "normale" avec un tout petit peu plus de confort, pas la peine de leur vendre notre société de frustré qu'il considere comme une sorte d'enfer.
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